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Im a bad influence, but damn in fun

Ma nuit avait été particulièrement chaotique. J'avais fais plusieurs cauchemars à répétition, ce qui m'avais causé une mauvaise nuit de sommeil. Hier soir, j'étais sortie avec des amies dans une boîte de nuit et j'étais rentrée particulièrement bourrée. Cela était donc la cause de mes cauchemars. À peine m'étais-je levée du lit que je sentais mon cerveau taper contre mon crâne et ma tête qui semblait vouloir tomber au sol. James semblait dormir profondément, il ne bougeait absolument pas d'un poil. Il n'avait donc pas dû se rendre compte de mon agitemment durant la nuit. Je me leva donc, la main sur le front comme si cela pouvait calmer mon mal de crâne. Rapidement, je me rendis dans la salle de bain, afin de mouiller mon visage et de prendre deux cachets d'aspirine. Ma journée allait être pénible, je savais très bien. Retournant dans le lit, je pris quelques secondes afin de regarder mon portable, histoire de voir si j'avais reçu des messages. Aucun. Juste avant de reposer mon portable sur la table de chevet, j'eu l'idée d'envoyer un message à mon meilleur ami, afin de lui demander s'il voulait aller prendre un petit-déjeuner avec moi. Meilleure solution pour guérir une gueule de bois ? Café et oeuf brouillés. Je lui envoya un message tout simple, mais clair. « Petit-déjeuner, dans 20 minutes, même place »

Moins de cinq minutes s'écoulèrent avant que mon meilleur ami m'envoie un message, confirmant sa présence. Rapidement, j'enfila une tenue plus que basique. Vu mon état, je n'avais pas envie de me forcer à trouver quelque chose d'absolument magnifique. De plus, Enzo m'avait vu dans tellement de tenues différentes. De robe chic, en passant par le pyjama, jusqu'à la tenue d'Adam, alors je ne pensais pas que celle d'aujourd'hui l'offenserait. Je lui avait donné rendez-vous dans le même restaurant que nous allions souvent. C'était un petit local bien simple, sur une des rues principales du centre-ville. La propriétaire était une dame très vieille, qui avait ce petit restaurant depuis des années. Rapidement, nous avions créer un lien d'amitié avec elle, puisque Enzo et moi on se retrouvaient là, au moins une fois par semaine. Je termina donc de me préparer, prenant bien soin de mettre des lunette fumée sur le bout de mon nez. Dû à mon état d'hangover, le soleil m'agressait particulièrement. Je me pencha vers mon amoureux, qui semblait toujours aussi profondément endormi. « T'vas ou? Je t'aime, bye! » m'avait-il dit, probablement inconscient.

Je me rendis alors au restaurant, en quelques minutes. Celui-ci ne se trouvait pas bien loin de mon logement. M'approchant du bâtiment, je vis qu'Enzo s'y trouvait déjà. « T'étais déjà prêt ou quoi? » dis-je en arrivant à sa hauteur. Je lui fis la bise, juste avant de reculer un peu. « Ma soirée a été follement mouvementée. Le soleil fait mal .. Ma tête fait mal! J'ai besoin d'un café! ». Sous les rires puissants de mon ami, nous entrâmes dans le petit restaurant, vivement salués par notre charmante vieille propriétaire.

AVENGEDINCHAINS

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Jillian McGreggor & Enzo Wade

	I'm a bad influence, but damn in fun
C’était le matin et Enzo n’avait clairement pas envie de se lever de son lit, surtout qu’il n’avait aucun babysitting à faire pour la journée donc ça serait assez tranquille et la tranquillité n’était pas forcément ce dont il avait besoin en ce moment. C’était sûrement passager mais Enzo était chamboulé d’avoir revu son ex qui en plus de cela avait désormais un garçon de trois ans et le hasard avait fait que c’était Enzo qui s’était présenté quand elle avait eu besoin d’un ou une babysitter. Il avait ainsi appris qu’elle habitait à seulement quelques pas de chez lui tout ce temps et qu’il n’en avait jamais rien su. Ce n’était pas la seule chose qu’il avait découverte sur elle malheureusement puisqu’il avait aussi remarqué que son nom de famille ressemblait drôlement à celui de Charlotte. Pendant un instant il était dit que ce n’était rien, c’était le hasard mais finalement non puisque Charlotte lui avait avoué qu’elles étaient cousines. Il connaissait déjà Charlotte à l’époque où il était avec Roxy mais ils avaient tenus à garder leur relation secrète du coup ils ne se posaient pas de questions du style quel est ton nom de famille, nom qu’il avait ignoré jusqu’à récemment. Ce petit garçon avait trois ans, c’était exactement le temps où il n’avait pas eu de nouvelle d’elle après qu’elle ai fuit sans lui donner la moindre raison à son acte. Evidemment, Enzo ne pensait pas une seule seconde que cet enfant était le sien, il était même persuadé qu’elle avait fuit parce qu’elle l’avait trompé et que le petit Joan était le fruit de cette tromperie mais s’il savait la vérité ça serait encore pire puisque ça voudrait dire qu’elle l’avait empêchée de rencontrer son fils et de le voir grandir hors c’était quand même impardonnable. Alors qu’il était perdu dans ses pensées, il entendit son téléphone sonner, signe qu’il venait de recevoir un message, il pris son téléphone et remarqua qu’il s’agissait de Jillian. Elle lui proposait qu’ils se voient, enfin proposer n’était pas vraiment une proposition puisque son message indiquait qu’il n’avait pas vraiment le choix mais il lui répondit tout de même qu’il serait là, comme toujours. Il se prépara en deux-trois mouvements et sortit finalement de son mobil-home direction le centre-ville au restaurant où ils avaient l’habitude de se rendre au moins une fois par semaine. Ils appréciaient beaucoup la propriétaire qui était une vieille dame tout à fait sympathique et intéressante. Parfois, quand Jillian partait, Enzo restait un peu plus longtemps et parlait de tout et de rien avec la vieille dame un peu comme si elle faisait partie de sa famille et d’ailleurs, elle lui avait trouvé la plupart de ses jobs alors il lui devait beaucoup. Il était arrivé rapidement et ce bien avant Jillian, enfin cinq minutes si on comptait et cet air frais de printemps lui faisait un bien fou, ça lui aérait le cerveau aussi donc c’était bien. Jillian arriva quelques instants seulement plus tard et fit une remarque sur le fait qu’il était déjà là, c’était évident qu’elle allait en faire une de toute manière, elle n’avait pas la langue dans sa poche et Enzo l’aimait telle qu’elle était donc ça ne le dérangeait pas. ENZO - A vrai dire, non, j’étais totalement nu dans mon lit mais je ne suis pas comme toi, je n’ai pas besoin de passer une heure dans la salle de bain pour avoir l’air beau ! D’ailleurs, laisses moi te regarder… Oui, clairement ça se voit, t’as une mine affreuse, enfin plus que d’habitude cela va sans dire ! Je vais devoir dire à James de se calmer niveau folie avec ton corps ?
© Gasmask