les informations en vrac
01 ○ Née et a grandis à Malaga jusqu’à ses dix ans avant d’emménager à Sydney, en Australie, une mutation entre bases militaires que son père a fini par accepter après une longue dispute avec sa femme. Descend d’une mère (
Aurora) purement espagnole, oncologue, et d’un père (
Johnny) australien, pilote d’hélicoptère dans l’armée de l’air. L’absence récurrente de ce père à inciter Ana-Luisa à se rapprocher de sa mère. Elles ont donc toujours été fusionnelles.
02 ○ Enfance plutôt calme face à une adolescence mouvementée. Elle en avait fait voir de toutes les couleurs à sa mère, n’acceptant en aucun cas l’autorité de son père. Suite à une dispute entre mère et fille, Ana-Luisa a finit par lui avouer qu’elle avait perdue sa virginité à l’âge de seize ans, dans les toilettes d’une boite de nuit. Très peu glorieux, mais aucun regret pour la jeune et déjantée adolescente qu’elle était.
03 ○ Côté cœur, elle en a bien profité. D’aventures d’un soir et sans prises de têtes. Pas de chagrin d’amour, aucun compte à rendre à personne. Ça a toujours été très confortable pour la jeune femme. Puis faut le dire, elle a toujours été attirée par les hommes bien plus âgés qu’elle. Ça devait sans doute jouer. En revanche, quand elle a croisé
Noah Wade, Ana-Luisa s’est beaucoup remise en question…et s’est ainsi découvert de nouveaux sentiments. Il l’a piqué à vif celui-là ! Noah est…unique en son genre, mais il l’a si vite séduite..que quelques mois plus tard après leur officialisation, Ana-Luisa est tombée enceinte. Et comme beaucoup le savent, c’est une fille ! En revanche, tout le monde ignore encore le prénom qu’ils lui donneront.
04 ○ A la joie de vivre, toujours le sourire aux lèvres malgré une souffrance qu’elle ne montre pas. Orpheline de sa mère depuis six années, son père se noie dans l’armée au lieu d’apprendre à connaître sa fille. Une absence dont elle souffre profondément mais envisage une vraie famille pour son futur bébé.
05 ○ A tendance à vouloir maitriser une situation, même parfois un peu trop ce qui peut lui causer du tort. En revanche, elle arrive toujours à se remettre en question. Force de caractère, parfois un peu trop pipelette, elle ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds, ni gagner par l’instabilité.
06 ○ Passionnée de navigation, elle s’est acheté un catamaran tout équipé peu de temps après son arrivée à Island Bay, il y a deux ans de cela. Elle passe la plupart de son temps libre sur l’eau, à naviguer comme on le lui a appris et s’offre parfois quelques séjours en pleine mer. Pompier de métier, elle s’est toujours investie que ce soit dans la caserne d’Island Bay que dans les interventions. N’a jamais douter lorsqu’il était question de faire des choix.
A été victime d’une importante chute traumatique lors d’un incendie sur South Bay mais à bien vite reprit du service par la suite. Sa devise reste inchangée : « si tu sautes, je saute ! » Adoratrice d’adrénaline, elle aime prendre des risques. D’ailleurs, elle a déjà sauté accidentellement deux fois du pont de Wellington.
07 ○ A toujours été sportive : musculation, athlétisme, natation, canyoning, rafting, spéléologie, quelques parties de basket avec les collègues ou encore de longues nuits à se déhancher en boite de nuit. En soit, elle peut s’adapter à n’importe quelle discipline. D’ailleurs, suite à une agression dans les rues de Wellington, elle avait commencé à prendre des cours de boxe mais s’est plutôt réfugié dans le
kendo. Discipline qu’elle exerce maintenant depuis deux ans. Lors d’une représentation, elle a gagné un sabre en bambou (
le Shinay). Sabre qu’elle garde toujours bien caché dans l’un de ses placards de chambre. Mais il faut aussi savoir, qu’en cuisine, Ana-Luisa manipule les couteaux à la perfection.
08 ○ Une alimentation saine, dans un corps sain..ou presque. Elle raffole du chocolat, elle pourrait s’en gaver et risquer la crise de foie ; aime les plats typiques espagnols et asiatiques ; adore manger du fast food. Cependant, elle prend tout de même un certain plaisir à cuisiner pour son entourage. Espagnole, elle n’a pas la main morte sur les épices.
09 ○ Féminine, elle aime autant prendre soin des autres que d’elle-même. Sa penderie déborde de vêtements, elle collectionne un grand nombre de produit de beauté (crèmes, sérums, maquillage, parfums, soins en tout genre) mais n’a que très peu de bijoux : porte toujours une bague en or à l’annulaire droit qu’elle a hérité de sa mère et un collier en or (un croissant de lune).
10 ○ Il y a six ans, la mère d’Ana-Luisa,
Aurora a été emportée - après trois semaines d’hospitalisation - par un cancer du sein qui s’est généralisé. Pas de radiothérapie, ni de chimiothérapie. Un cancer dont le taux de survie reste assez bon en temps normal – surtout lorsqu’il est pris en charge à temps -, mais pas quand il est à un stade très avancé. Aurora connaissait parfaitement son issue. Et à son dernier jour de vie, Ana-Luisa n’a pas pu être présente auprès d’elle, puisqu’elle réalisait un stage d’incendie à l’étranger. C’est une fois sur son lit de mort, que la jeune femme a retrouvé sa mère. Un regret qui la ronge depuis… Suite à la perte de sa mère, la jeune femme a décidé de mettre un peu d’eau dans son vin et d’essayer de passer du temps avec son père dès que des permissions lui étaient accordé. Mais père et fille sont bien trop différents et finalement, ils se sont bien vite rendu compte qu’ils ne se connaissaient qu’à peine. Ce qui a toujours rendu leur relation très souvent conflictuelle, malgré quelques efforts fournis de part et d’autre. Mais la seule solution qu’Ana a trouvée, c’est de quitter l’Australie pour la Nouvelle-Zélande. Un choix très simple, elle n’avait que la mer de Tasman à survoler en avion. Et depuis, elle communique très peu avec son père par des lettres manuscrites.
Actuellement enceinte, Ana redoute de plus en plus l’arrivée de ce bébé et l’image d’une mère qu’elle donnera à sa fille. Il est clair qu’elle compte sur Noah, mais toute autre aide peut aussi être la bienvenue.
11 ○ En ce qui concerne la religion, Ana-Luisa à suivit les chemins catholiques. Très jeunes, elle participait déjà aux diverses messes. Elle savait que sa mère y tenait aussi très à cœur. Parfois par manque de temps ou pour cause d’imprévus, elle ne peut se rendre sur un lieu de culte. C’est donc chez elle, qu’elle glorifie son Dieu.
12 ○ Suite au décès de sa mère, Ana-Luisa a développé un tic : elle se fait craquer les doigts un à un avec l’aide de ses deux pouces, dans un sens, puis dans l’autre. Et elle le fait minimum quatre fois de suite. C’est un besoin pour elle d’évacuer son stress ou une certaine angoisse. Cependant, il est tout de même rare qu’elle le fasse. Mais parfois il en vient de l’incontrôlable.
13 ○ Parce qu’Ana-Luisa aime tout autant les traditions que ses petites habitudes, tous les premiers vendredis du mois, elle prépare un festin avant de le savourer avec trois de ses amies les plus proches. Un temps entre fille durant lequel les potins fusent mais aussi certaines confidences. Aucune présence masculine n’est autorisée, c’est leur moment à elles.
14 ○ Très proche du reste de sa famille espagnole, Ana-Luisa a toujours adoré entendre les petites histoires ou plutôt les supercheries que ses grands-parents faisaient lorsqu’ils étaient plus jeunes. Silvia sa grand-mère, lui raconte encore quand Bruno son grand-père élevait des rats dans la cave de ses parents. Et que lors d’un repas de famille, un des rats s’était échappé après avoir laissé quelques crottes sur le plateau de fromage. Ce qui a toujours été très hilarant pour Ana, en imaginant les expressions autour de la table.
15 ○ Ana-Luisa a toujours eut une bonne descente pour ce qui est de l’alcool. Etant plus jeune, elle avait même gagné un concours lors d’une soirée et avait été renommée « Miss Sangria ». A défaut de ne pas avoir été élue « Miss España », elle s’est toujours bien contentée de ce titre et l’a à chaque fois honoré ! La sangria, elle connait !
16 ○ A Sydney, tout juste jeune conductrice et pour la première fois qu’elle prenait le volant toute seule, Ana-Luisa se rendait à la plage, une planche de surf accrochée sur le haut de son mini van. Enfin c’était surtout le van de son oncle. N’ayant pas franchement anticipé sur sa distance de freinage, elle avait fini par piler contre le cul de la voiture d’en face et son regard s’était directement posé sur sa planche de surf, qui venait à peine de s’encastrer dans le pare-brise arrière. Une grimace sur le visage, elle n’a plus jamais reconduit ce van depuis ce jour-là.
17 ○ Sans doute un peu trop émotive, et pourtant il est rare qu’Ana-Luisa se perde dans un sanglot, mais elle trouve toujours le moyen de pleurer devant un film. Devant n’importe quel film. Science-fiction, dramatique ou encore film d’horreur, elle est tellement absorbée par l’histoire qu’elle s’y prête un peu trop au jeu. Mais prévoyante, elle pose toujours un paquet de mouchoir non loin d’elle, car comme à son habitude, elle finit par essuyer ses petites larmes de joie, de tristesse ou même de peur.
18 ○ Ana-Luisa est exigeante avec son entourage. Elle déteste le fait qu’on soit en retard, et pourtant, elle l’est à chaque fois. Même si elle anticipe sa douche, son temps de maquillage, ou le temps d’un trajet, elle arrive toujours avec quelques minutes de retard. Mais grâce à son sourire, elle se fait bien vite pardonner !
19 ○ Chalengeuse, la jeune femme ne craint pas d’accepter n’importe quel défit. Bon, dans la limite du raisonnable tout de même. Mais il lui est déjà arrivé de faire un saut en élastique après avoir perdu à un jeu de cartes. Non, elle n’a pas froid aux yeux.
20 ○ Depuis toute petite, Ana-Luisa s’est toujours passionné pour la mythologie grecque. La Grèce est d’ailleurs le seul pays qu’elle a pu visiter dans les moindres recoins. Et c’est d’ailleurs pour cela, qu’à chaque soirée déguisée, elle opte toujours pour le même déguisement : celui de la Déesse Athéna !
Bonus : bienveillante, émotive, impatiente, sensible, courageuse, dynamique, digne de confiance, têtue, râleuse, obstinée, rêveuse, bavarde, rancunière.
Aime les animaux, surtout les chiens, les loutres et les ânes. ○ Joue parfois sur son piano de type synthétique et reprend quelques chansons (surtout espagnoles). ○ Lâche du jargon espagnol lorsqu’elle est énervée. ○ Aimerait faire le tour du monde. ○ Se déplace en mini cooper rouge ou à vélo. ○ A une préférence pour l’hivers, rien que pour boire des chocolats chauds en étant bien emmitouflé sous un plaid. Mais apprécie tout de même la chaleur. ○ Parle couramment l’espagnol, l’anglais et arrive à prononcer quelques mots en français. ○ A un léger accent espagnol ○ A toujours admiré les fleurs d’amandiers en février. ○ Porte sur elle une odeur florale. ○ Aime la sangria, mais à une préférence pour la sangria blanche. ○ Avant le dîner, a toujours eut l’habitude de déambuler sur la plage. ○ Se tresse souvent les cheveux.