contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
26.01.2020 ▬ Ma résidence à l’hôpital de Wellington débute officiellement dans quelques jours, et pour la plupart de mes futurs collègues, ce doit être l’effervescence. Pour ma part, je ne réalise pas encore tout à fait ce qu’il s’est passé durant ces derniers mois, si ce n’est un coup de chance, ou alors un coup de pouce du destin. D’une certaine façon, je me dis que c’est peut-être elle qui veille sur moi, de là où elle est. C’est la seule explication que j’ai trouvée, au fait que l’université et l’hôpital aient conjointement accepté ma candidature tardive, et avec un dossier incomplet. Mais même si toutes les planètes se sont alignées, je sais aussi qu’il va falloir que je redouble mes efforts pour leur prouver qu’ils ont bien fait de croire en moi. Mais tout cela est secondaire, aujourd’hui. Parce qu’aujourd’hui, cela fait exactement un an que ses yeux se sont fermés pour la dernière fois. Et pour lui rendre hommage, je n’ai rien trouvé de mieux que de venir ici, au Jardin Botanique de Wellington, l’un de ses endroits préférés. Je n’ai pas souvent eu l’occasion de l’accompagner ici ; ce n’est que vers la fin qu’elle m’a révélé l’existence de cet endroit, alors qu’elle n’était plus capable d’y venir seule. Mais je garde précieusement les souvenirs de ces moments, comme de chacun des moments que nous avons vécu durant cette dernière année ensemble. En particulier, je me souviens de ce parterre d’hortensias devant lequel elle s’arrêtait systématiquement, et surtout, ce banc sur lequel elle aimait s’asseoir. Toujours le même banc, exactement. D’une certaine façon, cet endroit était son jardin à elle, et plus j’y reviens, plus j’ai la sensation qu’il renferme tous ses secrets, toutes ces choses dont elle ne m’a jamais parlé, et qu’elle a emportées avec elle. Il y a encore tellement de questions que j’aurais voulu lui poser... Mes pas sont lents, alors que je m’approche de cet endroit si cher à son cœur, tout en inspirant allègrement pour m’imprégner de tous les parfums qui m’entourent. Ce n’est qu’à quelques mètres du fameux banc que je réalise qu’il est déjà occupé. Et pas par n’importe qui. Sa silhouette m’est familière, même si je ne l’ai croisée que quelques fois. Même de profil, les traits de son visage se distinguent aisément, et son nom me revient naturellement, comme un instinct. « Docteur Hallenstein ? » Je m’arrête à quelques pas, partagée entre la perplexité et l’étonnement. C’est un jardin public, j’en conviens. Mais quelle était la probabilité qu’elle se retrouve ici, aujourd’hui, et sur ce banc-là précisément ? « Pardon, je ne savais pas qu’il y aurait quelqu’un. Je ne veux pas vous déranger... » Elle connaissait ma mère, je le sais. Mais j’ignore la nature exacte de leurs relations, de la même façon que j’ignore tout de la vie que ma mère pouvait mener à l’hôpital et ses environs. Cela dit, même si cette femme a des réponses aux questions que je me pose, je ne suis pas sûre d’être vraiment prête à les entendre - ou si ma mère voulait que je les entende, d’ailleurs.
365 jours passés sans découvrir son joli visage, une fois posé le pied dans l’aile de neurologie de l’hôpital. Elle s’est éteinte comme une bougie, une bougie que j’aurai voulue éternelle. Elena a été mon plus grand amour malgré la difficulté de ce dernier. Durant toute cette année, j’ai donné mon maximum pour ne pas montrer la blessure intense que son absence cause chaque jour. Aujourd’hui n’est pas l’anniversaire le plus heureux qui soit. Je choisis de rejoindre le jardin dans lequel nous nous retrouvions toutes les deux, chaque fois que nous avions besoin de calme. J’ai beaucoup de souvenirs avec elle en ce lieu, sur ce banc. Ici, elle m’a appris qu’elle était enceinte de la petite Sofia, nous nous sommes séparées un nombre incalculable de fois, pour toujours se retrouver. Ici. C’est à ce même endroit qu’elle m’a appris être malade. Cancer. Tumeur. Ce sont des mots qui me retournent encore le cerveau aujourd’hui, lorsque je pense à elle. Heureusement, les bons moments ont surpassé les moins bons, et je ne garde que le souvenir de ce sourire magnifique. Les yeux clos, je m’accorde un moment avec elle, je lui parle, même si c’est dans ma tête. Je suis sûre qu’elle m’entend. Ma gorge se noue, mon coeur s’emballe, les larmes me montent déjà aux yeux. Un an. Un an sans elle, et je dois continuer de vivre ma vie, d’élever mes enfants, de faire mon travail, comme si je n’avais pas perdu l’amour de ma vie. « Docteur Hallenstein ? » Cette voix me sort de mes rêveries, me poussant à ouvrir les yeux et tourner la tête. Sofia. Mon palpitant continue sa course folle. Comment connaît elle ce jardin, ce banc. Est-ce que sa mère l’emmenait là aussi parfois ? Souvent ? « Sofia… » Je suis incapable de l’appeler par son nom de famille. Elle a choisi de porter le même que sa mère, abandonnant celui de son paternel, et je ne peux que le comprendre. « Pardon, je ne savais pas qu’il y aurait quelqu’un. Je ne veux pas vous déranger... » Je secoue la tête vivement. Si elle veut se recueillir, elle peut le faire sans aucun problème. « Tu ne me dérange pas, viens t’asseoir. » Je tapote le banc à mes côtés pour l’inciter à prendre place, et me racle un peu la gorge pour tenter de dénouer mes cordes vocales. Un silence s’installe, et je choisis de le briser. Je ne sais pas exactement ce que la jeune femme sait de ma relation avec sa mère, je crois savoir que cette dernière voulait garder sa vie privée.. privée. Pourtant, j’étais présente lors de l’incinération d’Elena, et le comité était restreint. J’imagine que Sofia a au moins compris que nous étions proches, sans pour autant savoir à quel point. « Comment vas-tu ? Je veux dire… aujourd’hui… » Elle n’est pas obligée de me répondre, je ne lui en voudrai pas si elle décide de ne pas me parler, mais je préfère tenter tout de même.
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Sujet: Re: supermarket flowers (jill) (#) Dim 2 Oct - 13:44
Je ne m’attendais pas à voir quelqu’un ici, aujourd’hui. Ma mère n’avait pas d’ennemis à proprement parler, mais elle avait un fort caractère, toujours juste, mais parfois dur. On ne peut pas dire qu’elle était entourée d’amis, même si elle a eu une vie bien remplie, de toute évidence. Ceci étant dit, je me souviens maintenant avoir vu le docteur Hallenstein le jour de ses funérailles. Sur le moment, j’étais surtout submergée par ma propre peine, et je n’ai pas cherché à en savoir plus. Mais le fait de la voir ici, aujourd’hui, est un signe. Et si mon premier instinct est de vouloir fuir, principalement parce que je n’avais pas prévu de parler à qui que ce soit, je finis par me laisser gagner par la curiosité. En silence, j’accepte son invitation, pour aller m’asseoir sur le banc, à côté d’elle. Les mains croisées sur mes genoux, je ne peux d’abord pas détacher mon regard de cette femme mystérieuse, mais je vais rapidement fixer un point devant moi quand elle me demande comment je vais. Comment répondre à cette question... ? « Je... vais bien. » C’est un mensonge. Bien sûr que je ne vais pas bien, et que je ressens le manque dans chacune des fibres de mon être. Mais je sens déjà quelques larmes qui se fraient un chemin jusqu’à mes yeux, rien qu’en y pensant. Pendant quelques instants, le silence reprend ses droits, alors que je me livre à une lutte intérieure pour ne pas pleurer. Si elle devait s’ouvrir, j’ignore si je serais capable de refermer la vanne. Mais au bout de quelques longues inspirations, je finis par retrouver un peu de contrôle, et une nouvelle forme de calme. « Elle aimait beaucoup ce jardin. » Quelque chose me dit que mon interlocutrice ne sera pas étonnée par cette révélation, mais j’ai quand même envie de le dire à voix haute. Parce que c’est peut-être plus facile de parler de ces choses-là, plutôt que de parler de ce que je ressens. « Je l’ai toujours vue seule, ici. J’ignorais qu’elle le partageait avec quelqu’un d’autre. » Ce jardin, ce banc... Cet endroit a beau être public, je ne peux pas croire qu’il s’agisse d’un hasard ; la coïncidence serait beaucoup trop grosse. « Vous la connaissiez bien ? » Je ramène de nouveau mon regard en direction de la chirurgienne, en me doutant déjà de la réponse à ma question. Ma mère avait beau passer le plus clair de son temps à l’hôpital, et garder une séparation bien nette entre sa vie privée et professionnelle ; je ne peux pas croire qu’elle considérait Jill comme une simple collègue, si elle est ici aujourd’hui.
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Sujet: Re: supermarket flowers (jill) (#) Dim 2 Oct - 19:55
Je remarque sans aucun mal qu’elle est surprise de me voir ici, sur ce banc, dans ce jardin. J’ignorais que quelqu’un d’autre était au courant de l’amour d’Elena pour ce jardin. Je n’y suis venue qu’avec elle, et je ne suis pas si étonnée qu’elle ait pu partager également ce banc avec sa fille, ici présente. Je lui fais comprendre qu’il y a de la place pour deux, et qu’elle peut venir s’installer près de moi si elle en a envie. Je ne la forcerai pas bien entendu. Une fois installée, je lui demande comment elle va, principalement aujourd’hui. Sa réponse est hésitante, et je la comprends tout à fait. « Elle aimait beaucoup ce jardin. » Mon regard au loin, je continue d’admirer la nature qui est différente à chaque saison, et qui l’est d’autant plus depuis qu’Elena nous a été enlevée. « Oui… » Je ne dis pas que je sais, mais elle se doute bien que si je suis ici aujourd’hui, ce n’est pas une coïncidence. « Je l’ai toujours vue seule, ici. J’ignorais qu’elle le partageait avec quelqu’un d’autre. » Parce que personne n’était au courant de ce que nous partagions elle et moi. A plusieurs reprises nous avons essayé de toute arrêter, en vain. « Vous la connaissiez bien ? » Je sens mon coeur qui se serre, en même temps que son regard se pose sur moi. Je baisse un instant le regard sur mes mains qui, nerveusement, triturent la couture de mon chemisier. « Oui… on a travaillé longtemps ensemble, ta mère et moi. » Je repose sur elle mon regard et tente un mince sourire, avant de reposer mes yeux sur un point a l’horizon. « Nous étions… amies. » Et bien plus encore, mais il est évident que je ne peux pas lui dévoiler ce que sa mère et moi partagions de son vivant. Surtout pas. Je ne sais même pas si elle le saura un jour, aujourd’hui j’en doute. « Elle m’a si souvent parlé de toi… » Je la regarde à nouveau pour lui sourire tendrement. « Elle avait à coeur de bien délimiter sa vie professionnelle et sa vie personnelle, et j’étais un peu… l’exception qui confirme la règle, en quelque sorte. » Lorsque Sofia était bébé, je venais même aider Elena quand elle avait le cafard ou qu’elle se sentait submergée. La jeune femme ne s’en souvient pas, c’es une évidence, mais j’aime à me rappeler à ce souvenir. Est-ce que nous aurions pu être une famille si les choses avaient été sensiblement différentes ? Si j’avais quitté Michael pour me concentrer sur mon histoire d’amour avec Elena ? Est-ce que j’aurai élevé Sofia comme ma propre fille, comme je l’ai fait avec mes enfants ? Je préfère ne pas réfléchir à ce genre de scénario, parce que j’ai adopté d’autres merveilleux enfants au cours des années, et même mis au monde ma petite Toni. « J’ai hésité à venir te voir après qu’elle soit partie, pour te proposer mon épaule, mon aide, mon soutien, mais j’ai juste eu peur que l’aide d’une inconnue te pousse encore plus loin dans tes retranchements. » Je suis honnête, j’avais envie de l’être avec elle depuis si longtemps, et sa présence ici aujourd’hui m’apparaît comme une évidence. « Je sais qu’on ne se connaît pas mais je suis là pour toi Sofia, si tu as besoin. » Qu’elle prenne la main que je lui tends ou non, il me semblait simplement important qu’elle sache que je suis là.
Je ne parle jamais de ma mère, c’est une règle que je me suis fixée depuis que j’ai décidé d’aller de l’avant, de reprendre ma vie - ma carrière - en main. Pourtant, aujourd’hui semble être un jour tout indiqué pour parler d’elle. Et surtout, c’est beaucoup plus facile de parler d’elle que de moi, aujourd’hui. Le faire avec quelqu’un qui la connaissait l’est encore plus, et je suis prise d’une curiosité que je ne me connaissais même pas à son sujet. Jill prétend qu’elles étaient amies, et j’ai comme la sensation qu’elle a connu une Elena différente de celle qui était ma mère. Une Elena encore différente de l’éminente docteur Rogers dont on me vante les mérites à chaque fois que je mets un pied à l’hôpital. « Qu’est-ce qu’elle vous disait ? A mon sujet ? » A l’inverse, elle ne m’a jamais parlé de son amitié avec le docteur Hallenstein, ni d’aucune autre relation de ce type. Il paraît pourtant évident, maintenant, qu’elle était bien plus qu’une chirurgienne, même si sa carrière restait sa principale priorité ; la prunelle de ses yeux, à n’en pas douter. Parfois, je l’ai même soupçonné de la faire passer avant moi ; mais c’est ainsi qu’elle était, Elena Rogers. Un véritable mystère, et qui a emporté tous ses secrets avec elle... Jill me sort à nouveau de ma réflexion, en parlant de moi, maintenant. Soulignant, même si ce n’est pas volontaire, la solitude écrasante avec laquelle je vis depuis douze mois. Un peu plus, même, si on repense à ces dernières semaines pendant lesquelles ma mère n’était plus vraiment elle-même... Cette solitude, j’en ai d’abord longtemps été la prisonnière, avant d’apprendre à l’accepter, puis à l’aimer, presque. J’ignore ce qu’il se serait passé si la chirurgienne était venue me voir, comme elle prétend avoir hésité à le faire ; mais les choses auraient sans doute été différentes, même si j’ignore dans quel sens, ni à quel point. De la même façon, je ne sais pas comment réagir à sa déclaration - sa proposition ? « C’est gentil, mais je ne vois pas comment vous pourriez m’aider, maintenant. » Les yeux fixés droit devant moi, il n’y a aucune animosité dans le ton de ma voix. De la résignation, tout au plus, alors que j’étreins en silence cette solitude qui est la mienne, et contre laquelle elle ne peut plus rien. « Elle doit être contente de vous savoir ici... si vous étiez son amie. » Je ne doute pas que ce soit vrai. Cet endroit avait l’air d’être vraiment spécial à ses yeux, je l’imagine mal révéler son existence à quelqu’un qui n’aurait pas tout autant d’importance. « Mais... elle ne m’a jamais parlé de vous. » De nouveau, je tourne la tête pour aller croiser le regard de ma voisine. « Vous savez pourquoi... ? » J’ignore si elle aura la réponse à ma question ; mais elle aura peut-être au moins quelques pistes pour m’aiguiller. Je n’ai plus que ça, désormais...
« Qu’est-ce qu’elle vous disait ? A mon sujet ? » demande la jeune femme, alors que je laisse apparaître un léger sourire au coin de mes lèvres. « Je me souviens du jour où elle appris être enceinte de toi, elle m’avait même montré la première échographie… » C’est un souvenir qui reste encore bien ancré dans ma mémoire, comme beaucoup d’autres la concernant. « Quand tu es née, elle disait qu’elle donnerait tout pour que tu sois heureuse. Ça n’a pas toujours été évident de jongler entre sa vie de mère, et son métier qu’elle adorait. » Et je sais de quoi je parle, je suis un peu dans cette catégorie aussi, même si j’ai une grande famille et qu’il a bien fallu que je trouve un équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. « Elle était si fière de toi, je me souviens de son regard qui brillait tant, chaque fois qu’elle mentionnait ton prénom. » C’est important pour moi de lui dire tout ça, qu’elle sache que sa mère l’aimait profondément. Je tiens aussi à ce qu’elle sache que je peux être là pour elle si elle en a besoin. Perdre sa mère doit être une épreuve extrêmement difficile. Mes parents adoptifs sont encore en vie, mais je me pose toujours quelques questions concernant mes parents biologiques. Sont-ils toujours de ce monde ? « C’est gentil, mais je ne vois pas comment vous pourriez m’aider, maintenant. » Mon coeur se serre. Est-ce qu’elle insinue que j’aurai pu l’aider lorsque sa mère est partie ? J’ai toujours un regret de ne pas avoir trouvé une façon de lui apporter mon épaule. D’un autre côté, j’ai dû moi aussi gérer la peine qui m’a engloutie lorsque sa mère a quitté notre monde. Mon amour pour cette femme était immense, et je ressens encore ce trou béant dans ma poitrine aujourd’hui. « Elle doit être contente de vous savoir ici... si vous étiez son amie. » Je hoche la tête et dévie mon regard pour balayer le jardin, ces fleurs qu’on aimait tant regarder ensemble… « Mais... elle ne m’a jamais parlé de vous. Vous savez pourquoi... ? » Mon coeur s’emballe d’un seul coup. Evidemment que je sais pourquoi elle gardait notre lien secret, pour la simple et bonne raison que l’amour que nous nous portions n’aurait été compris de personne. « Probablement parce qu’elle aimait tout compartimenter. Séparer les choses pour que rien ne se télescope. » Pour notre cas, ça aurait été dramatique, à bien des égards. « Il y a beaucoup de choses que j’ignorais de ta mère, je crois que personne ne la connaissait vraiment en totalité. Mais si je peux t’aider à éclaircir quelques points, je le ferai avec plaisir. Me rappeler à son bon souvenir est un exercice que je fais régulièrement. »