buy me, i'm yours (vente aux enchères)

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Cameron and Charlotte

Vous n’imaginez pas le choc lorsque j’ai vu que c’était Cameron qui avait décidé de m’acheter lors de la vente aux enchères de la ville. Bien que surprise, j’en étais très heureuse. J’étais un peu inquiète à l’idée que quelqu’un que je ne connais pas décide m’acheter et qu’ensuite je sois obligée de passer la soirée avec cette personne. Au moins, là, ça promettait une belle soirée en tête à tête.

Pour me préparer, j’avais pensé à chaque détail de mon corps. Bien que la soirée n’était pas obligée de se terminer avec deux belles femmes nues, je me préparais à tout. J’avais peaufiné toutes les parties de mon corps, enfilé la robe la plus sexy de mon dressing. Elle était ouverte dans le dos jusqu’au haut de mon fessier et elle moulait mes formes à la perfection. Je pris donc mes hauts talons, des escarpins noir brillant qui affinait encore plus mes jambes. Pour une fois, je m’étais un peu plus maquillée, voulait vraiment être sublime pour cette soirée. Je n’en doutais pas de toute façon. Je pense que Cameron fera de même. On aime beaucoup se taquiner, rien qu’en portant des fringues provocantes.

Nous avions donc décidé de nous retrouver en tête à tête chez la belle blonde. Nous ne voulions même pas nous mêler à la foule. Depuis notre dernière soirée ensemble, j’aime beaucoup me retrouver seule avec elle. En plus, après la journée de travaille que j’avais vécue, j’avais juste envie de me changer les idées et de voir quelqu’un qui ne me prendra pas la tête. Avec elle, je sais que je ne penserais à rien d’autre que nous et de la nuit qui pourrait s’offrir à nous.

Au volant de ma voiture je repensais à ma discussion avec Zola. Elle avait détesté le fait que j’ai couché avec Cameron. Je comprenais totalement son point de vue. Moi la première je ne voulais absolument pas passer derrière elle. Rien qu’à l’idée que Cameron puisse nous comparer, je voulais en vomir. Mais d’un autre coté, dès que je la regarde, j’oubli tout autour de moi et j’oubli même les cris de Zola. Enfin, c’est ce que je pense faire. Ce n’était pas très orthodoxe comme relation je l’avoue mais comment résister à l’envie et au désir.

Arrivée devant la porte de mon amie de sexe, je tapais, impatiente de la retrouver. Je l’imagine déjà dans une tenue sexy et provocante. Autant vous dire qu’il y aura de la tension sexuelle dans cette pièce.

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Cameron and Charlotte

Cette vente aux enchères était une bonne idée. Pour plusieurs raisons, premièrement pour le fond, cette association de protection des animaux, et aussi pour la forme, ça a permis à tout le monde de voir les attirances de certains, surtout quand on voit les sourires qu’on pu avoir quelques personnes en entendant le prénom de leur meilleur enchérisseur. Et ça a été le cas de Charlotte quand elle a entendu mon prénom. Oui, enfin ça n’a pas été du goût de sa cousine à voir sa tête, mais après tout, je m’en fous. Zola ne fait plus partie de mon quotidien, ni même de mon entourage. Depuis notre dernière altercation, je crois que j’ai été vacciné de cette partie de la famille. Du coup, je me concentre au maximum sur Charlotte qui au moins ne me donne pas autant de fil à retordre, bien au contraire. Avec elle, pas de prise de tête, on vis le moment présent et on ne cherche pas plus loin, pas de demain, juste aujourd’hui, et c’est ça que j’aime le plus. Notre petit jeu d’attirance est follement excitant, et même si je sais que j’aurai pu passer une nouvelle soirée avec elle sans enchérir sur sa petite bouille adorable, mais je trouvais ça fun de ‘gagner’ face à ses autres prétendants.

Je lui ai donc donné rendez-vous chez moi, un sms pour lui envoyer mon adresse et je met tout en oeuvre pour que nous puissions passer une bonne soirée, même si je n’en doute pas. J’ai commandé chez le meilleur traiteur de Wellington, enfilé ma plus jolie robe et mes plus jolis talons, et je vérifie mon reflet dans le miroir, passant mon index sur mes lèvres rosies par un rouge à lèvres qui je sais tient très bien même à une attaque de baises ardents. Lorsque la sonnerie de mon immense loft retentit, je sens un frisson me parcourir à l’idée de découvrir Charlotte, et mon coeur se met à battre plus fort sous l’excitation. Je trottine jusqu’à la porte et souffle un coup avant de passer mes mains sur ma robe pour la remettre bien, puis j’ouvre, un large sourire sur ls lèvres. Je découvre alors la tenue presque indécente de mon invitée, et j’adore. Je m’en mordille la lèvre inférieure. « Wow, tu es magnifique. Dans un autre contexte, j’aurai sûrement utilisé le mot ‘bonne’, mais ça ne convient pas au thème de la soirée ! » Je ris un peu et m’approche d’elle pour venir glisser une main à sa taille et déposer un baiser au coin de ses lèvres. « Viens, je t’en prie entre ! » Je la laisse entrer et referme la porte derrière elle. « Je te débarrasse de ta veste, donne. » Je récupère sa veste et découvre son dos nu absolument sublime. « Oh putain. » Et je plaque ma main sur mes lèvres avant de sourire, les yeux pétillant de malice. « C’est pas loyal. J’ai acheté des trucs super bons et c’est plus vraiment de nourriture que j’ai faim maintenant ! » Je ris légèrement avant d’aller accrocher son manteau sur le porte-manteau de l’entrée. « Fais comme chez toi. »

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Cameron and Charlotte

Juste avant que Cameron ouvre la porte de son appartement, je passais un dernier coup sur ma robe et me recoiffait le plus vite possible. Devant elle, j’avais envie d’être parfaite parce que je sais qu’elle le sera. Alors quant elle ouvrit la porte et que je découvre sa silhouette, je suis éblouis par sa beauté. Elle portait une robe merveilleusement bien moulée pour son corps et son rouge à lèvre me donnait envie de la dévorer sur le champ.

- Wow, tu es magnifique. Dans un autre contexte, j’aurai sûrement utilisé le mot ‘bonne’, mais ça ne convient pas au thème de la soirée !

Je riais a sa réflexion avant de la remercier et de lui retourner le compliment. Toutes mes pensées étaient de nouveau flou à cause de sa beauté. Elle s’approche de moi, passe ses mains autour de ma taille et dépose un petit baiser sur le coin de mes lèvres. Je me demandais avant de venir comment nous allions nous saluer mais j’adore cette façon de faire je dois le dire. Elle se recule et me fait entrer. Je découvre un loft d’une grandeur impensable, bien loin de mon bateau ou de la maison de Zola. Le luxe a du bon, il faut le dire même si je me contente grandement de ce que j’ai. J’entends une injure sortir de sa bouche et je me retourne pour la découvrir, les deux mains sur sa bouche, un petit sourire qui en dit long.

- Quelque chose ne va pas ?

J’avais bien compris ce qui avait provoqué chez Cameron cette réaction et c’est d’ailleurs ce que j’attendais. Je n’avais jamais eu l’occasion de porter cette robe mais c’est exactement ce que je voulais qu’elle provoque.

- C’est pas loyal. J’ai acheté des trucs super bons et c’est plus vraiment de nourriture que j’ai faim maintenant !

Je riais avant de lui adresser un petit clin d’œil. Mon amie allait devoir attendre un peu parce que bien que l’envie de lui sauter dessus ne me quittait pas, je voulais profiter un peu de la soirée et peut-être même en apprendre un peu plus sur elle. Et puis si nous commencions déjà à notre fricoter, j’aurai l’impression qu’elle m’a acheté juste pour ça, comme si j’étais une prostitué.

- Il faut savoir être patient dans la vie.

Je lui souris malicieusement avant de me retourner pour faire le tour de son logement. C’est très grand. Je vois des pièces partout. C’est moderne mais très accueillant. Je veux dire, on a pas l’impression d’être une page d’un magazine immobilier. On sent que quelqu’un vit ici et c’est très reposant. Je me retourne de nouveau vers elle.

- C’est très beau chez toi, je n’aurai jamais cru.

Ce n’était pas méchant bien sur. Je savais qu’elle avait de l’argent et même qu’elle devenait célèbre mais c’est une personne pure et simple, on ne peut jamais imaginé l’endroit ou vit une personne. Je pose donc mon sac sur son immense canapé et en sort une bouteille de grand cru que j’avais eu en cadeau un jour.

- J’ai apporté du vin. Ne crois pas que j’ai pensé avoir soif chez toi mais un petit cadeau ne fait pas de mal quand on sait le prix que tu as mis pour qu’on puisse avoir cette soirée.

Je riais avant de lui donner ma bouteille. Une fois le liquide poser sur un meuble, j’attrape ma compagne de la soirée par la taille pour qu’elle se colle à moi. Je glisse mes doigts dans ses cheveux bien coiffés, replaçant une mèche derrière son oreille.

- Je suis vraiment heureuse que ça soit toi qui m’ai acheté. J’avais peur de voir un fou le faire.

A mon tour je déposais un baiser sur le coin de ses lèvres, comme pour la remercier.

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Notre complicité est évidente, elle est agréable même. Je suis contente qu’elle ait accepté de venir dîner ici et passer la soirée avec moi. On aurait pu fêter ça n’importe où, chez elle aussi dans son bateau. Mais depuis qu’Iris m’a foutu un garde du corps dans les pattes, je ne peux plus me déplacer sans lui, et je me serai mal vue dire à Charlotte ’t’en fais pas c’est mon bodyguard, il va rester dehors le temps que nous on passe une bonne soirée’. J’ai beau le détester, je ne vais pas non plus le laisser dehors si je passe la soirée avec quelqu’un. Donc la meilleure alternative, c’est ici, chez moi. Neal habite l’appartement d’à côté et je l’ai prévenu que je passais la soirée avec quelqu’un. Je sis obligée de le prévenir, c’est pire qu’une baby sitter. Bref. Tout ça pour dire que je suis heureuse qu’elle soit là. Et elle est magnifique en plus de ça. Je la taquine finalement pour lui faire comprendre que j’adore sa tenue. « Il faut savoir être patient dans la vie. » « Je sais l’être, tu en es la preuve, j’ai patienté un long moment avant d’arriver à te faire craquer ! » Je lui adresse à mon tour un clin d’oeil et vais pendre sa veste avant de revenir vers elle. « C’est très beau chez toi, je n’aurai jamais cru. » J’arque un sourcil, surprise par son aveu. Elle n’aurait jamais cru ? Ça veut dire quoi ? Je ne relève pas pour autant alors qu’elle me tend une bouteille de vin. « J’ai apporté du vin. Ne crois pas que j’ai pensé avoir soif chez toi mais un petit cadeau ne fait pas de mal quand on sait le prix que tu as mis pour qu’on puisse avoir cette soirée. » Je lui offre un large sourire et prends la bouteille entre mes mains. « Merci ! » Je ne bois pas de vin, je n’aime pas ça, sûrement parce que mon père en descendait des litres par jour lorsque je vivais encore chez lui. Mais je ne vais pas le dire à Charlotte, je ne veux pas casser l’ambiance. Je vais déposer la bouteille sur le bar et reviens vers elle alors qu’elle m’attrape par la taille pour me rapprocher d’elle. J’entoure son cou de mes bras et la regarde tendrement avant de lui sourire. « Je suis vraiment heureuse que ça soit toi qui m’ai acheté. J’avais peur de voir un fou le faire. » Je ris un peu et reçois son baiser, identique au mien un peu plus tôt. « Je n’aurai pas laissé un fou acheter une soirée avec toi. Et puis, je me suis dit que c’était l’occasion, je suis un peu partie comme une voleuse la dernière fois. Je suis désolée d’ailleurs. » Je me pince les lèvres et souris avant de glisser mes mains sur ses bras pour attraper sa main de la mienne. « Viens, je te fais visiter. » Je marche dans le salon faisant claquer mes talons sur le parquer. « C’est l’appartement que met Vogue à ma disposition le temps de mon contrat d’égérie. Le jour où ils veulent plus de moi, plus d’appart ! » Je ris un peu, mais rien que d’y penser, ça me fout le cafard. « Donc là la cuisine et le salon, je ne t’apprends rien. » Nous avançons un peu dans la partie nuit, toujours très grande et haute de plafond. « Là c’est la chambre, avec la salle de bain au fond, et là y’a une autre chambre avec pareil sa salle de bain privative. Et là… attention… ferme les yeux ! » Je me place derrière elle et mets mes mains doucement sur ses yeux, puis j’avance doucement et ouvre la porte qui allume immédiatement la lumière, avant de remettre ma main sur ses yeux. « Prête ? Tadaaa ! » C’est mon dressing, le truc juste hallucinant. Le jour où je pars, je sais pas où je mettrai tout ça, parce que ça prend de la place, et si l’appartement n’est pas à moi, tout ce qui se trouve dans cette pièce est à moi.

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- Je n’aurai pas laissé un fou acheter une soirée avec toi. Et puis, je me suis dit que c’était l’occasion, je suis un peu partie comme une voleuse la dernière fois. Je suis désolée d’ailleurs.

- Je comprends ne t'en fais pas, tu te rattraperas.  

Notre dernière soirée avait été coupé courte suite à un appel qu’avait reçu Cameron. Je ne lui en veux pas, nous avons toutes des obligations et des vies a cotés de nos loisirs. Je ne dis pas être un loisir mais je ne suis surement pas aussi importante que d’autres personnes ou peut-être même que son travail. Elle ne m’avait pas donné la raison de son empêchement mais elle avait l’air d’être très stressée au téléphone. Bien que ma frustration fut énorme, je ne pouvais que la laisse partir.

- Viens, je te fais visiter.

Elle s’avance dans l’appartement, claquant ses talons sur le sol. Je la suis pour qu’elle me montre les pièces de son appartement. J’ai l’impression que ça pourrait nous prendre beaucoup de temps.

- C’est l’appartement que met Vogue à ma disposition le temps de mon contrat d’égérie. Le jour où ils veulent plus de moi, plus d’appart !  

Je me demandais si, après un contrat aussi fort, même s’il la vire, elle pourrait toujours se payer un logement pareil. En tout cas, son entreprise ne lésine pas sur les moyens pour entretenir convenablement leur employé. Je comprends qu’on reste travaillé là-bas. Elle doit aussi avoir un peu peur de quitter l’appartement, et perdre son travail en même temps. C’est un peu comme avoir le couteau sous la gorge. Travaille bien ou tu es à la rue. Elle me montre alors la cuisine et le salon qui se trouvent dans la même pièce immense, ouverte sur une vue de la ville magnifique. Je lui souris en examinant l’endroit. Nous allons ensuite dans la partie nuit. La déco ne change pas et le style non plus. Les plafonds sont hauts et l’atmosphère très accueillante.

-  Là c’est la chambre, avec la salle de bain au fond, et là y’a une autre chambre avec pareil sa salle de bain privative. Et là… attention… ferme les yeux !

Je vois la chambre, de la même proportion que les autres pièces, grandes. C’est un endroit qui nous donne envie de rester. Pas que la chambre de Cameron m’attire plus que celle des autres, mais ses draps ont l’air très confortables. Elle se place ensuite derrière moi et me tourne vers une autre pièce. Les mains sur mes yeux, il m’est impossible de voir devant moi. J’entends une porte qui s’ouvre et j’imagine toute sorte de pièce. Je me demandais quel genre d’endroit extraordinaire pouvait-elle me montrer.

- Prête ? Tadaaa !

Mes yeux s’ouvrent sur une pièce que toutes femmes respectables souhaiteraient avoir. Son dressing est immense. Ce sont des rangés de vêtements, de chaussures et de sacs tous plus magnifiques les uns des autres. Travaillant dans la mode, je ne suis pas surprise de voir ce genre de pièce chez elle. Je ne suis qu’envieuse. Elle ne connaît pas encore ma passion pour les chaussures.

- Ouah, il y a plus de fringues que dans un magasin.

Je me retourne vers elle les yeux pétillants. Je m’avance ensuite dans la pièce et attrape quelques paires de chaussures pour les observer de plus près. Je ne pourrais jamais me payer une de ses paires. Je profite donc de ce moment ou je peux attraper entre mes mains des chaussures plus chères que mon salaire du mois. Je les repose avant de retourner vers mon amie.

- C’est magnifique en tout cas, je rêve d’avoir autant de paire de chaussures. Je pense d’ailleurs que c’est l’accessoire le plus important pour une femme. C’est celui qui nous définit au premier regard. Enfin je veux dire, c’est ce que je regarde en premier chez une femme dans sa tenue vestimentaire.

Je commençais à jaser pour rien. Elle se foutait surement de connaître mon avis sur la mode. Surtout que la plus experte de nous, c’est bien elle.

- Je rêve d’inaugurer chacune de ses pièces.

Je lui adresse un petit clin d’œil, accompagné d’un sourire charmeur qui confirmait bien mon sous-entendu. Je la dépassais ensuite pour retourner dans le salon, cherchant à retarder le moment ou je ne pourrais plus contrôler mon envie d’elle. Nous nous retrouvons alors dans la pièce principale, toutes les deux debout sans rien dire. Je ris un peu avant de reprendre la parole.

- Que m’as-tu préparé de bon ? Je ne sais même si tu cuisines bien. Il va falloir me montrer ce que tu sais faire ma belle.

Je lui souris alors que moi-même je ne suis pas une excellente cuisinière. D’ailleurs c’est souvent que mes amis viennent et que je fais appel a un traiteur.

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Je lui fais faire le tour de mon loft, lui présente les quelques pièces qui ne sont pas si nombreuses bien que spacieuses. Nous arrivons au dressing et je lui fais fermer les yeux pour l’effet de surprise. Lorsqu’elle les ouvre, elle est émerveillée, comme j’imaginais. Je ris un peu et la regarde réagit face à tout ça. Mais si j’en suis fière, je ne fais pas ça pour me vanter, au contraire. « Ouah, il y a plus de fringues que dans un magasin. » Ses yeux pétillent et elle commence à toucher mes chaussures. « Elles te plaisent ? » on dirait bien. « Tu les veux ? » Elle relève les yeux vers moi, un air choqué sur le visage. Je ris et hoche les épaules. « Tu sais, avec mon boulot, j’ai des cadeaux de ce genre régulièrement, et celles là ne sont pas mes préférées. » Je baisse les yeux sur ses pieds. « Je suis sûre qu’on fait la même pointure ! ». « C’est magnifique en tout cas, je rêve d’avoir autant de paire de chaussures. Je pense d’ailleurs que c’est l’accessoire le plus important pour une femme. C’est celui qui nous définit au premier regard. Enfin je veux dire, c’est ce que je regarde en premier chez une femme dans sa tenue vestimentaire. » Je lui souris et regarde mes pieds. « Je ne savais pas que tu étais fétichiste ! » Je lui offre un regard charmeur et amusé avant que nous revenions vers la pièce principale. « Je rêve d’inaugurer chacune de ses pièces. » Je m’arrête et me tourne vers elle, haussant un sourcil. « Ah oui ? Vraiment ? Intéressant… » Je souris de plus belle, intéressée, mais je me dis quand même que ça ne le fait pas que je lui saute dessus directement. « Que m’as-tu préparé de bon ? Je ne sais même si tu cuisines bien. Il va falloir me montrer ce que tu sais faire ma belle. » Je penche la tête sur le côté, amusée. « Je préfère être sincère, je n’ai pas fait la cuisine, sinon c’était risqué. Je suis pas vraiment douée en la matière. Faudrait que je prenne des cours, ce serait une idée ! » Je hausse les épaules et lui fais signe pour qu’elle me rejoigne dans la cuisine. « Tu veux boire un truc ? » J’ouvre le frigo et fais une petite moue. « Tu voulais ouvrir la bouteille de vin ? J’ai pas spécialement envie de boire de l’alcool. Mais si tu veux, y’a pas de soucis ! » Je sors deux verres et attends qu’elle me demande ce qu’elle veut et la sers. « On va s’installer dans le salon ? » Sans plus tarder, nous allons nous installer dans le canapé, et je croise mes jambes sensiblement, faisant remonter ma robe le long de mes cuisses. Je trinque avec elle et bois une première gorgée. « Et toi, t’es douée en cuisine ? »

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Je réalisais que je ne connaissais pas vraiment Cameron. A part bien sur ses talents sexuels, elle était un vrai mystère pour moi. Elle travaille pour Vogue, elle a de l’argent et elle est très belle. Cette soirée est aussi l’occasion d’en savoir plus sur mon amie. C’est pour cela que je voulais savoir si elle avait des talents de cuisinière.

- Je préfère être sincère, je n’ai pas fait la cuisine, sinon c’était risqué. Je suis pas vraiment douée en la matière. Faudrait que je prenne des cours, ce serait une idée !

Une chose de plus que je sais sur mon amie. Je n’étais pas vraiment surprise et je riais même doucement lorsque j’entends sa réponse. En même temps je n’étais pas une grande cuisinière non plus alors ce n’est pas moi qui allais lui donner des cours. Je la suis ensuite dans la cuisine. Elle me demande alors si je veux boire quelque chose. Bien sur, mais je prendrai ce qu’elle me propose. Elle ne veut pas boire de vin alors je la suis en prenant la même chose qu’elle et elle me sert un verre immédiatement. Elle me propose ensuite d’aller s’installer dans le salon, ou je la suis, notre verre à la main. Assise dans le canapé, j’observe la robe de mon amie remonter le long de ses longues jambes, révélant sa plastique de rêve. Mon regard reste fixé sur sa peau pendant quelques secondes avant qu’elle ne me ramène à la réalité en me posant une question sur la cuisine.

- Je dois avouer que je ne puis pas douée du tout en cuisine sauf si tu considères comme bonne cuisine une plâtré de pates.

Je ris un peu et réalise que je sais parfaitement cuisiner quelque chose. Ça pourrait faire rire et penser que je suis vraiment obnubilée par la vie sous-marine.

- En fait, ça va te faire rire mais je cuisine parfaitement le poisson. En fait, j’ai du travailler sur quelques recettes cette année.

Je lui souris, replaçant en même temps ma robe qui glissait sur ma peau dévoilant un peu trop ma poitrine bien que je ne sois pas gênée devant Cameron. Je pris a nouveau une gorgée du liquide que mon amie m’avait versée, l’observant et remarquant de nouveau sa beauté.

- Raconte moi des choses sur toi, je veux en savoir plus. Tout ce que je connais de ta personne c’est ton travail et tes talents sous la couette.

Un petit sourire s’affiche sur mon visage quand je repensais à notre dernière nuit ensemble ou nous avions passé un très bon temps.

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Je suis contente que Charlotte me laisse choisir les boissons, je n’ai pas envie de boire de l’alcool, et encore moins du vin. Alors au lieu de ça, je nous prépare deux cocktails à base de jus de fruits et de sirops. Je la rejoins dans le salon et m’assieds près d’elle, lui donnant son cocktail avant de lui énoncer ce qu’il y a dedans. Je ne suis pas très douée pour la cuisine, mais les cocktails je me débrouille assez bien. Après une déclaration quant au fait que je ne suis pas douée en cuisine, je lui retourne la question, je suis curieuse de savoir si elle se débrouille bien. « Je dois avouer que je ne puis pas douée du tout en cuisine sauf si tu considères comme bonne cuisine une plâtré de pates. » Je ris avec elle et secoue la tête, amusée. « Les pâtes c’est très bien, j’adore les pâtes ! » Je bois une gorgée de mon cocktail et la dévore du regard, mais je me promets d’attendre un peu avant de céder à la tentation. « En fait, ça va te faire rire mais je cuisine parfaitement le poisson. En fait, j’ai du travailler sur quelques recettes cette année. » J’ouvre grand les yeux, surprise, agréablement surprise. « Ah oui ? Alors j’aimerai bien que tu me prépares du poisson un jour, j’adore ça, mais je suis vraiment nulle pour le préparer ! » Je lui souris et la regarde remettre un peu sa robe pour cacher - un peu - son joli décolleté. Un léger silence plus tard et Charlotte reprend la parole, avec une question pour le moins surprenante. « Raconte moi des choses sur toi, je veux en savoir plus. Tout ce que je connais de ta personne c’est ton travail et tes talents sous la couette. » Je penche la tête sur le côté en souriant, amusée par la fin de sa phrase. « Oh, tu sais, il n’y a pas grand chose à raconter. Je suis née en Australie, à Perth, je sais pas si tu connais. J’ai eu une enfance plutôt basique… » Je fais le choix de ne pas lui parler de mon père alcoolique et ma mère qui m’a abandonnée, j’arrange un peu la vérité. « Je suis fille unique, mes parents ont divorcé quand j’avais douze ans et j’ai vécu avec mon père jusqu’à l’année dernière quand je suis venue ici pour rejoindre ma mère. Sinon rien d’exceptionnel, un jour j’ai croisé Iris Von Dust dans la rue, elle m’a demandé mon numéro et elle m’a rappelée quelques jours plus tard pour me proposer un contrat d’égérie. Faut croire que j’ai un cul monstre ! » Je ris avant de plisser les yeux. « Enfin, façon de parler hein, je crois pas que mon cul soit si difforme… » Je la regarde, complice, avant de lui adresser un large sourire. « Et toi alors, qui est la jolie Charlotte Hawthorne ? »

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Mon envie d’en savoir plus sur mon amie s’intensifiait au fils de la soirée. Je lui avais alors demandé de m’en dire plus sur elle. Son magnifique sourire aux lèvres, elle commença par me parler d’elle. « Oh, tu sais, il n’y a pas grand chose à raconter. Je suis née en Australie, à Perth, je sais pas si tu connais. J’ai eu une enfance plutôt basique… » Pour commencer, je ne savais même pas qu’elle était née en australie, j’ai toujours pensé qu’elle venait de island bay, comme beaucoup de ses habitants. « Je suis fille unique, mes parents ont divorcé quand j’avais douze ans et j’ai vécu avec mon père jusqu’à l’année dernière quand je suis venue ici pour rejoindre ma mère. Sinon rien d’exceptionnel, un jour j’ai croisé Iris Von Dust dans la rue, elle m’a demandé mon numéro et elle m’a rappelée quelques jours plus tard pour me proposer un contrat d’égérie. Faut croire que j’ai un cul monstre ! » Je ris à la fin de sa phrase, pensant a son magnifique derrière plutôt qu’à la chance qu’elle avait eu en rencontrant Iris Von Dust. Me voyant rire à cela elle rajoute : « Enfin, façon de parler hein, je crois pas que mon cul soit si difforme… » Je ris de nouveau, bien sur que non son cul n’est pas difforme. « De ce que j’en ai vu, ton cul est très bien. » Un petit sourire sournois aux lèvres, je relevais le fait que son fessier soit à mon gout. « Et toi alors, qui est la jolie Charlotte Hawthorne ? » Que dire de moi, une simple fille venant de sa ville natale. « Je suis née à Island Bay et j’ai trop peu souvent quitté la ville. Tout comme toi je suis fille unique mais je considère mes deux cousines comme des sœurs. En fait comme mes parents étaient peu souvent en ville, je vivais chez mon oncle sur le large avec ma cousine Zola. » Rien de plus à dire sur mon enfance ou bien ma famille, des parents absents et un oncle plus paternel que le mien. « C’est bien sur mon oncle qui m’a transmis l’amour de l’océan. Et que je suis devenue reporter sous marin. Je vais d’ailleurs travailler pour VOGUE aussi, j’ai rencontrer Iris il y a peu de temps. » Nous avions deux choses en communs, nous n’avons pas de frères et sœurs et nous avons la même chef tyranique. Un petit sourire aux lèvres, je croise mes jambes et ma robe remonte de nouveau le long de mes jambes. Intentionnellement, je ne la redescends pas. Mon regard diverge sur son corps sublime alors que j’ai arrêté de lui parler. Je me prends quelques secondes sur sa magnifique peau avant de remonter les yeux sur son visage. « Je ne sais pas toi, mais j’ai une petite faim. » Un large sourire aux lèvres, je la laissais assouvir ce besoin.

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Charlotte me demande un peu qui je suis, mon parcours, mon passé, ce qui fait sûrement que je suis qui je suis aujourd’hui. Je reste assez évasive sur les points plus noirs de mon histoire, volontairement, parce que je ne voudrais pas gâcher notre soirée. Alors pour finir sur une note amusante, je parle de mes fesses, et ça semble faire rire Charlotte. C’était exactement ce que je voulais faire. « De ce que j’en ai vu, ton cul est très bien. » Je ris, amusée, et finis par lui demander elle, qui est-elle. « Je suis née à Island Bay et j’ai trop peu souvent quitté la ville. Tout comme toi je suis fille unique mais je considère mes deux cousines comme des sœurs. En fait comme mes parents étaient peu souvent en ville, je vivais chez mon oncle sur le large avec ma cousine Zola. » Au moment où elle parle de Zola, je me renferme légèrement, mais je fais en sorte que ça ne se voit pas trop. Outre le fait d’avoir couché avec sa cousine, cette dernière sait surtout bien plus de choses sur moi qu’elle le devrait. Je suppose qu’elle n’en a pas parlé à Charlotte et si c’est ça, je suis rassurée. Un sourire de ma part essuie toutes suspicions alors que la demoiselle continue de me conter son histoire. « C’est bien sur mon oncle qui m’a transmis l’amour de l’océan. Et que je suis devenue reporter sous marin. Je vais d’ailleurs travailler pour VOGUE aussi, j’ai rencontrer Iris il y a peu de temps. » J’ouvre grand les yeux, surprise par ce qu’elle vient de m’apprendre. « Sérieusement ? » Je ris un peu avant de continuer. « Tu vas avoir à faire à la dragonne alors ! Moi j’ai réussi à l’amadouer, je sais même pas comment j’ai fait ! » Je ris un peu et baisse les yeux lorsque la jeune femme décroise et recroise ses jambes de l’autre côté, faisant remonter sa robe le long de ses jambes fines. Un vent de chaleur s’empare de moi et je relève les yeux lorsqu’elle reprend la parole. « Je ne sais pas toi, mais j’ai une petite faim. » Un sourire charmeur et coquin prend place sur mes lèvres, avant de mordre ma lèvre inférieure. « Non, tu n’auras pas ton dessert plus tôt que prévu ! » J’arque un sourcil, amusé, et me lève du canapé avant d’avaler une gorgée de ma boisson. « Je vais aller réchauffer tout ça, tu peux t’installer à table si tu veux, j’arrive. » Je file en cuisine pour réchauffer ce que le traiteur a préparé, et je reviens assez rapidement avec l’entrée. Je m’installe en face de charlotte. « J’espère que ça te plaira, tu n’es allergique à rien j’espère, je ne voudrais pas qu’on finisse à l’hôpital, j’ai des projets un peu plus intéressants pour notre soirée ! »

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Je ris en voyant l’étonnement de mon amie lorsque je lui annonce que j’ai rencontré sa patronne, Iris. C’est vrai que c’est une femme très spéciale avec beaucoup de prestance et qui à tendance à nous impressionner. Je ne la connais pas plus que ça, mais en tout cas, je n’ai vraiment pas eu de réel problème avec elle. « Je dois dire que tout se passe bien avec elle. » Je ne m’attarde pas sur ce sujet. Je n’étais pas venue pour parler travail toute la soirée. Je décide de détourner la conversation en parlant de cette faim immense qui a envahit mon corps au moment au j’ai pénétré dans son appartement. Bien sûr, elle devait comprendre le sous-entendu. Je l’observas se mordre la lèvre juste après m’avoir fait l’un de ses sourires charmeurs. Je ne peux m’empêcher de rire en voyant cette scène. Un rire plus gêné qu’autre chose. « Non, tu n’auras pas ton dessert plus tôt que prévu ! » J’étais déçue mais j’aimais aussi quand mes partenaires se font désirés, le final étant toujours plus grandiose. Je la regarde se lever, son verre a la main et me demande ce qu’elle préparait. « Je vais aller réchauffer tout ça, tu peux t’installer à table si tu veux, j’arrive. » Je me lève donc pour aller me mettre à table. « Reviens vite ma belle. » lui dis-je alors qu’elle pénètre dans la cuisine ou elle me prépare à manger. Enfin, ou elle réchauffe les plats. Rapidement, elle revient, une entrée dans les mains et dépose le tout sur la table. Elle s’installe en face de moi, comme pour un vrai dîner romantique. Mes pensées ne pouvaient que déviées vers ce qui se passerait ce soir. « J’espère que ça te plaira, tu n’es allergique à rien j’espère, je ne voudrais pas qu’on finisse à l’hôpital, j’ai des projets un peu plus intéressants pour notre soirée ! » Chacun ses sous-entendus à ce que je vois. Je n’avais pas prévu de finir à l’hôpital,  bien au contraire, j’avais hâte de voir quel genre de projet elle avait pour moi. Je ris en lui répondant, arquant les sourcils sous le questionnement. « Non, t’en fais pas, aucun risque de finir aux urgences. » Je prends une gorgée de ma boisson avant de reprendre la parole. « En aucun cas je ne voudrais manquer tes projets pour cette fin de soirée. » Je lui souris, glissant un petit clin d’œil, puisque nous comprenions toutes les deux de quoi je voulais parler. Alors que Cameron me servait cette entrée, je ne perdais pas de temps avant de gouter de délicieux repas. Elle devait connaître de très bon traiteur à ce que je vois. Honnêtement, je me fichais de savoir si c’était elle qui cuisinait, je n’étais pas venue pour la gastronomie. « Je dois dire que ton traiteur est douée. » lui avouais-je en savourant mon assiette. « Je t’ai déjà dis que ma partie préférée du repas est toujours le dessert ? D’ailleurs parfois, je commence par le dessert. » lui dis-je en riant, bien que je mente du début à la fin. L’idée de commencer par le dessert, le vrai, ne m’a jamais traversé l’idée. En revanche, le dessert auquel je pensais lui, j’y commence souvent. D’ailleurs en prononçant ses quelques mots, je glisse mon pied le long de sa jambe, le faisant remonter contre sa peau, à sa guise.

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Cameron and Charlotte

Nous nous installons à table et je lui présente l’entrée sans plus tarder. J’ai bien senti que Charlotte avait faim, et dans un coin de ma tête je me dis que plus vite le repas sera passé, plus vite nous passerons au choses intéressantes. Pas que dîner avec la blonde soit désagréable au contraire, mais mes envies sont tout autre que de dévorer un repas, même s’il s’agit du meilleur traiteur de la ville. En vérité, ce que j’ai envie de dévorer, c’est plutôt son corps. A cette simple pensée, j’ai un petit coup de chaud, et je bois quelques gorgées d’eau fraiche pour me calmer. Je ne me retiens pas pour autant de faire des sous-entends loquaces. Ça m’amuse, et voir son sourire et ses joues rosir, ça me plait. Je la regarde rire et je souris de plus belle, ravie du petit effet de ma phrase. « Non, t’en fais pas, aucun risque de finir aux urgences. En aucun cas je ne voudrais manquer tes projets pour cette fin de soirée. » J’arque à mon tour un sourcil et souris pendant qu’elle m’adresse un clin d’oeil. « Tu m’en vois ravie ! » Nous commençons à manger et je me lève pour aller changer la musique, quelque chose qui emplira la pièce d’une nouvelle chaleur. Lorsque je reviens, je plonge mon regard dans celui de la blonde et reprends mon repas. « Je dois dire que ton traiteur est doué » « C’est vrai ça te plait ? » Elle hoche la tête et ça me fait d’autant plaisir. « C’est la première fois que je commande chez lui mais on m’en avait dit que du bien. » Je pique dans mon assiette mais ne peux m’empêcher de jeter des regards à la jolie blonde qui semble se délecter de son plat, pour mon plus grand plaisir. « Je t’ai déjà dis que ma partie préférée du repas est toujours le dessert ? D’ailleurs parfois, je commence par le dessert. » J’arque un sourcil, un large sourire sur mes lèvres. « Oh, comme c’est intéressant… » Ma voix s’est faite plus sensuelle et lorsque je sens son pied glisser le long de ma jambe, je me mords la lèvre inférieure en fermant les yeux une seconde un peu plus longue. Je me racle la gorge et la regarde avec mes yeux de braise. « Si tu continues comme ça Charlie, tu vas vraiment manger froid parce que je vais te donner ton dessert plus tôt que prévu ! » Je plisse un peu les yeux en souriant. Qu’elle ne me cherche pas plus longtemps…

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Nous parlions traiteur comme deux amies tout à fait normale, qui passait une petite soirée sympa. Hors mon esprit n’était accaparé que par la bombe sexuelle qui se trouvait juste en face de moi. Honnêtement, nous savions toutes les deux comment allait se terminer la soirée et j’avais plutôt hâte de me retrouver à ce moment là. Pas que je n’ai pas faim, mais mon appétit se dirige vers autre chose que la bonne nourriture préparée par son traiteur. Nos regards se croisent et on peut toutes les deux sentir la tension sexuelle qui se trouve entre nous. Je lui avouais alors que ma partie préférée du dîner a toujours été le dessert et pour des raisons bien précises. Mon amie arque un sourcil, comprenant tout de suite ce que je voulais lui dire. Je ris légèrement, mordillant ma lèvre d’envie. Je glisse alors mon pied le long de sa jambe, faisait monter la température dans la grande pièce de son appartement. Ses yeux se ferment pendant de longues secondes et je comprends qu’elle apprécie mon geste. Quand ses yeux s’ouvrent de nouveau, je peux lire le désir en elle tout comme elle doit le voir en moi.  « Si tu continues comme ça Charlie, tu vas vraiment manger froid parce que je vais te donner ton dessert plus tôt que prévu ! » Je ris doucement, n’ayant vraiment pas envie de lui résister. Elle sait très bien que ma seule envie est de passer au dessert, bien que son assiette soit très appétissante. Mon sourire reste sur mon visage, incapable de le faire disparaître alors que mon pied continue de monter le long de sa jambe. « Ta menace ne me fait pas peur, met la à exécution si tu le souhaites. » avouais-je en riant, n’attendant qu’une chose : qu’on fasse valser ses assiettes et verres pour nous y allonger a leur place. Je tourne alors ma chaise plus près d’elle, penchant mon visage près du sien de façon à ce qu’elle puisse sentir mon souffle contre son visage, approchant dangereusement. « Je pourrais peut-être te donner un avant goût. » lui dis-je alors que mes lèvres se rapprochent des siennes assez lentement pour lui laisser le temps de me désirer. Quand elles se rencontrent enfin, je l’embrasse plus passionnément que prévu, mouvant tendrement mes lèvres contre les siennes. Une de mes mains se loge dans sa chevelure bien coiffée, collant son visage au mien alors que notre baiser langoureux n’en finit pas. Mes yeux s’ouvrent de nouveau alors que nos lèvres se détachent et nos regards plongent de nouveau l’un dans l’autre. Mon sourire taquin se dresse sur mon visage et je me mort la lèvre, déjà très excitée par celle que je venais d’embrasser.

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Cameron and Charlotte

Je m’amuse de voir sa manière de me draguer, je n’en fais pas moins, bien au contraire. J’adore cette électricité latente. Je connais son corps, elle connaît le mien, nous savons toutes les deux que ça colle bien entre nous, ce serait dommage de ne pas en profiter non ? Je la taquine, mutine, et attends d’elle qu’elle réponde à mes provocations sous-entendues. Ce qu’elle ne tarde pas à faire. « Ta menace ne me fait pas peur, met la à exécution si tu le souhaites. » me dit-elle non sans remonter son pied le long de ma jambes. Mon sourire s’étire un peu. « C’est un défi ? Attention jeune fille, tu dois bien te douter que je suis justement du genre à adorer les défis… » Tu parles, elle le sait bien, c’est justement pour cette raison qu’elle le fait. Elle approche sa chaise de moi et j’arque un sourcil, charmeuse. Mon regard la dévore déjà. « Je pourrais peut-être te donner un avant goût. » me dit-elle en s’approchant d’avantage de moi. Je peux désormais sentir son souffle sur mes lèvres et j’adore ça. Ma main glisse subrepticement sur sa cuisse et remonte doucement le long de cette dernière, jusqu’à ce qu’elle finisse par m’embrasser avec une passion sans pareille. Je me laisse griser par son baiser et le prolonge avec envie lorsqu’elle finit par y mettre un terme. Je sais qu’elle ne demande qu’une chose, et je ne compte pas la faire languir plus que ça. « Viens-là, je vais te montrer un endroit où les desserts sont encore meilleurs… » J’arque un sourcil, coquine, et viens chercher la main de Charlotte pour l’aider à se lever. Une fois fait, je plaque mon corps contre le sien et glisse une main dans le creux de ses reins, non sans trouver à nouveau ses lèvres de manière quasi compulsive. Nos souffles se mêlent, nos langues commencent leur danse, et je l’attire à moi jusqu’à ma chambre. Une fois dans cette dernière, j’appuie sur l’interrupteur qui allume un éclairage tamisé et tout à fait adéquat pour ce genre de situation. Ma main vient chercher la fermeture de sa robe et mes baisers glissent dans son cou, pendant que je fais glisser le tissus délicatement sur son corps. Si la première fois nous avions été plutôt dans la passion, j’ai envie de donner à notre nouvelle ‘rencontre’ quelque chose d’un peu plus doux, mais pas moins passionné pour autant.

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Cameron and Charlotte

La tension sexuelle entre nous était de plus en plus grande et pour cause, nous nous taquinons depuis le début de la soirée. J’aime à voir combien de temps pourra-t-elle me résister, ce petit jeu entre nous qui cesse de me faire vibrer chaque fois que nous nous retrouvons seules dans la même pièce. Pour continuer dans ce petit jeu, j’avais décidé de donner un petit avant gout de ce que je pourrais donner à mon amie. Plus près d’elle que jamais, mes lèvres se sont délicatement posées sur les siennes dans un baiser aguicheur et passionné. Sa main sur ma cuisse ne faisait qu’attiser mon envie d’elle et moi même, je me demandais si j’allais pouvoir résister à Cameron encore longtemps. Je mets fin à notre baiser, voulant lui donner envie de plus, quitte à la laisser le repas refroidir. Parce que oui, je ne lui laisserai pas le temps de rester chaud, au contraire de Cameron et moi. « Viens-là, je vais te montrer un endroit où les desserts sont encore meilleurs… » J’arque un sourcil, intrigué mais je me laisse totalement faire, devenue totalement soumise à ce qu’elle voulait. Elle attrape ma main et je me relève en même temps qu’elle, prête à la suivre n’importe ou. Aussi vite, elle plaque son corps tout entier contre le mien, glissant de nouveau ses lèvres contre les miennes dans un baiser tout aussi envieux que le précédent. L’une de mes mains vient glisser dans ses cheveux, obligeant son visage à rester contre le mien, tandis que l’autre se pose sur sa hanche, l’approchant d’avantage de moi. Dans ce baiser devenu langoureux, nous atteignons vite une chambre, que j’estime être la sienne. Elle allume la lumière, me laissant la chance d’admirer ses formes magnifiques. Cameron ne perd pas de temps avant de défaire la fermeture de ma robe, glissant ses lèvres sur mon corps en suivant le chemin de mon vêtement qui tombe le long de ma peau. Un frisson parcours mon corps alors que mes mains glissent sur son dos, cherchant à lui enlever ce tissu de trop. Lorsque ses lèvres quittent mon corps, je me précipite pour enlever cette robe qui est de trop entre nous deux. Doucement je la fais glisser le long de son corps alors que j’admire son corps fabuleux. Joueuse, je m’éloigne légèrement d’elle tout en dégrafant mon soutient gorge, mon regard plonger dans le sien, et mes dents mordillant ma lèvre inférieur. Je recule jusqu’à atteindre son lit ou je m’assois, plaçant ma poitrine maintenant nue bien en évidence sous ses yeux. « Rien que pour toi. » Dis-je alors qu’elle s’approche de moi. Je prend sa main pour la tirer au dessus de mon corps, s’asseyant a califourchon sur mes cuisses. Mes mains glissent dans son dos pour que nos poitrines se touchent alors que de nouveau, nous nous embrassons avec fougue, toutes aussi envieuses. Elle me donne des sueurs chaudes tellement elle m’excite, et elle va vite le comprendre.