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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain !
Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?

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 just the two of us [Camiris #3]

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MessageSujet: Re: just the two of us [Camiris #3] (#)   just the two of us [Camiris #3] - Page 3 EmptyMar 2 Mai - 22:29

❝ juste the two of us ❞
cameron & iris

J’ai ce besoin irrépressible de lui faire comprendre par un nombre incalculable de regards et de comportements, que je m’offre à elle de manière totale. Je voudrais qu’elle comprenne à quel point tout son être me transcende, à quel point j’aimerai pouvoir faire partie de sa vie comme elle fait partie de la mienne. Jamais je n’aurai pu imaginer pouvoir ressentir ce genre de chose à son égard, quand je repense aux blessures qu’elle a pu créer en moi à plusieurs reprises par ses agissements envers moi. Mais le fait même qu’elle se laisse aller dans mes bras, qu’elle me fasse confiance au point de se livrer à moi panse mes blessures, d’une certaine manière. J’ai compris qu’elle était un être torturé, pour des raisons différentes que celles qui font de moi un être compliqué, mais elle n’en est pas moins belle, bien au contraire. J’ai appris à lire en elle d’une certaine manière, je l’ai vue s’ouvrir, éclore comme une fleur magnifique qui ne cherchait qu’à s’ouvrir, à assumer certains de ses comportements. Et si ce n’est qu’avec moi alors je me sens la plus heureuse du monde, et je chérirai la chance qu’on m’offre de pouvoir voir en elle ce que d’autres n’ont pas le bonheur de voir. Iris est une femme merveilleuse et chaque nouvelle chose que je découvre à son sujet me fait l’amer d’avantage, parce que oui, les sentiments que je lui porte n’ont plus rien de professionnel, c’est désormais une certitude. A en voir ses gestes peu assurés, je crois comprendre qu’elle n’a jamais partagé de moment charnel de ce type avec une autre femme avant moi. Cette idée me fait un bien fou et renforce le bien-être que je peux ressentir, autant que l’angoisse de ne pas réussir à lui faire plaisir à ce que j’estime être sa juste valeur. Iris bascule et m’emmène dans sa chute de manière à me faire grimper à nouveau sur elle, reprenant une sorte d’avantage même si pour moi ça n’en est pas vraiment un. De manière non verbale elle me demande de la guider, et je n’ai qu’une envie présentement, la faire mienne jusqu’à ce que nos coeurs ne tiennent plus la cadence, que nos corps fatigués ne lâchent sous le poids du plaisir répété. Les mains de ma patronne se referment sur ma poitrine galbée par le désir et je soupire sous la multitude de frissons ressentis par la simple pression de ses doigts. Sentir à nouveau sa bouche contre la mienne, sa langue dansant avec la mienne, je tressaille complètement, mais ce n’est rien comparé à l’instant où elle me fait comprendre la source de ses désirs. Elle me demande simplement de me laisser aller et c’est sans tarder que je lui rends en quelque sorte la monnaie de sa pièce, faisant glisser ma main le long de son ventre et la faufilant entre nos corps pour venir pour la première fois la toucher intimement. Je souffle à l’instant même où mes doigts entrent en contact avec sa féminité brûlante de désir, et je prends seulement conscience de l’effet que je peux lui faire. Voilà déjà son corps qui se cambre et de premiers gémissements s’extirpent d’entre ses lèvres, certains dans lesquels elle entremêle mon prénom, ce qui me fait mourir d’amour encore un peu plus. Je m’applique à l’embrasser, son cou principalement, le parfum de sa peau embaumant mes narines et poignardant mon âme. Iris finit par me guider vers ses envies les plus charnelles, me faisant comprendre ce qui pourrait la rendre folle. Je n’ai pas besoin de dessin, et bien vite mes baisers perdent de l’altitude, s’emparant avec gourmandise du reste de son épiderme jusqu’à terminer ma course entre ses cuisses. Un râle de bonheur s’empare de ma gorge et je me délecte de ce corps qu’elle m’offre sans contrepartie. Il ne me faut pas longtemps pour l’entendre lâcher le dernier gémissement d’un premier round, première jouissance au creux de mes bras, de mes lèvres. Mon coeur bat à tout rompre et c’est la première fois que je jouis sans même être touchée par ma partenaire, juste en lui donnant du plaisir. Je remonte alors jusqu’à ses lèvres pour les retrouver enfin, liant à nouveaux nos langues avec l’envie de continuer cet instant pour l’éternité.

Il nous faut quasiment deux bonnes heures pour nous rassasier, ou du moins à peu près, et je crois avoir battu mon record d’orgasmes offerts et reçus en un laps de temps aussi court. Il faut dire qu’avec une femme, c’est un avantage, il n’y a pas besoin d’attendre qu’elle soit de nouveau prête à jouer une nouvelle partie. Essoufflée, ma tête encore sur un nuage, je dépose un baiser sur la main d’Iris que je viens de porter à mes lèvres avant de tourner la tête vers elle, lui offrant un sourire complice et profondément sincère. « On avait prévu quoi aujourd’hui ? Je crois qu’on a bouffé une bonne partie de la matinée… et pour te mettre dans la confidence, je.. » pas le temps de terminer ma phrase que mon ventre prend le relais, faisant entendre son manque de nourriture. « Voilà. Je crois que je n’ai rien à ajouter. » Je ris et me délecte de son rire qui se mêle au mien. Je me positionne alors sur le flanc, ma tête reposant sur ma main, coude en appui contre les draps défaits du lit qui a accueilli mon plus beau moment charnel. Délicatement, je fais glisser mon index sur le ventre de ma patronne, dessinant d’invisibles formes géométriques, remontant entre ses seins si longtemps dévorés, avant de caresser sa joue, et m’approcher pour l’embrasser tendrement. « Dis-moi qu’on peut aller dévorer un gigantesque petit déjeuner dans la meilleure pâtisserie de la ville ? »
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just the two of us [Camiris #3]
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