May I be of any help ? (ft. Max)

Le soleil avait commencé sa descente tranquille à l'horizon, peignant le ciel d'une palette de couleurs chaudes alors que je m'occupais de la petite Margaret dans la paisible maison de Max. La journée avait été ponctuée de rires enfantins, de jeux et de petits défis pour égayer la fillette d'un an que j'avais eu la responsabilité de garder. Margaret était une petite boule d'énergie et d'innocence, et chaque moment passé avec elle m'emplissait de joie sincère.

Lorsque Max est finalement rentrée du travail, son sourire accueillant et ses yeux pétillants de reconnaissance m'ont réchauffé le cœur, comme à chaque fois. Elle avait cette présence magnétique qui attirait invariablement mon attention, et je me surpris à ressentir ces papillons étranges dans le ventre en la voyant. C'était plus qu'une simple amitié, c'était une connexion indéfinissable qui grandissait entre nous.

Mais ce soir-là, il y avait quelque chose de différent en Max. Son visage, d'habitude si assuré et rayonnant, portait des marques de fatigue et de tension. La voir ainsi me préoccupait au plus haut point. Alors que nous discutions dans le salon, j'essayais de rester attentive à ses paroles, mais mes pensées étaient constamment tournées vers elle, cherchant un moyen de soulager la lourdeur qui pesait sur ses épaules.

Mes pensées s'embrouillaient alors que je cherchais désespérément à trouver un moyen de l'aider à se détendre, à lui offrir un peu de réconfort. Les mots avaient coulé de mes lèvres presque malgré moi lorsque j'ai timidement proposé : "Max, je sais que tu as eu une journée difficile. Est-ce que... est-ce que tu aimerais un massage pour te détendre ?" Mon cœur battait la chamade tandis que j'attendais sa réponse, mes yeux cherchant désespérément les siens. J'espérais de tout cœur qu'elle accepterait mon offre, tout en ressentant ces papillons dans le ventre, signe que quelque chose de profond se passait entre nous.

@Quinn Olsen

La journée avait été longue et compliquée pour Max. Depuis plusieurs semaines, la toute jeune quarantenaire ne se sentait pas très bien. Son mari était en déplacement à l’étranger pour son travail, sa fille aînée vivait à fond sa crise d’adolescence et sa petite Margaret avait d’un coup, décidé de ne plus faire ses nuits. Autant dire que gérer à la fois ses réveils nocturnes, puis assumer sa journée au travail devenait compliqué pour la psychologue. Elle se sentait plutôt démunie, mais surtout, épuisée. Aujourd’hui, Max avait dû faire face à de nombreuses difficultés de ses patients : l’un ayant fait récemment une tentative de suicide, elle avait dû passer tout un tas de coup de fil afin de préparer l’hospitalisation nécessaire de son patient… Tout en gérant ses rendez-vous prévus, bien évidemment. Les heures supplémentaires avaient été nécessaires et Max se voyait déjà bénir la babysitter de sa toute petite en rentrant ce soir. Quinn était une jeune fille tout à fait agréable, et surtout, très attentionnée envers Maggie. Juste ça comblait Max, mais la quadra devait quand bien même avouer que la blonde avait un petit quelque chose en plus. Peut-être sa sympathie, ou sa joie de vivre.

En rentrant à la maison, Max avait rejoint sa fille qui était déjà en train de se faire raconter une histoire par sa babysitter. Il était déjà l’heure pour elle de dormir, mais Max tenait quand même à la câliner et à gérer le coucher elle-même. Une fois Maggie endormie, Max était redescendue dans le salon où Quinn terminait de ranger. Naturellement, Max avait commencé à papoter et à se plaindre un peu de sa journée interminable. “Ce n’est vraiment pas facile tous les jours. J’aime mon métier, mais j’avoue culpabiliser un peu de ne pas tellement voir Maggie. Merci d’être là pour elle.” avait-elle avouée à la blonde. Puis la discussion s’était rallongée, Max parlait clairement de sa vie. À cet instant, Quinn avait clairement le rôle d’une confidente… presque d’une psychologue. Max était ravie de pouvoir parler ainsi avec elle et lui faire confiance à ce point. À un instant, la blonde proposa à Max de la masser pour la détendre. Une proposition qui la surprit au premier abord, mais finalement, elle ne put se convaincre à refuser. “Oh, Quinn, c’est vraiment gentil de ta part. Tu es sûre ? Je ne peux pas vraiment refuser.” lui dit-elle, plongeant son regard dans le sien. La psychiatre lui offrit un sourire sincère. Elle était un peu gênée, mais elle devait bien avouer qu’un massage tombait à pic. “Tu peux rester passer la soirée ici, on va commander quelque chose. Tu as des envies particulières ?” demanda-t-elle. Max avait un peu faim, et attendait la réponse de Quinn avant de passer commande. Comme cela, la blonde pourrait la masser en attendant le livreur, et les deux femmes passeraient une bonne soirée.

Dans cette pièce baignée d'une lueur douce, les pensées se bousculaient dans ma tête alors que Max et moi étions plongées dans une conversation profonde. Chaque mot prononcé par Max semblait résonner en moi, et je ne pouvais m'empêcher de ressentir un mélange complexe d'émotions. La gratitude pour la confiance qu'elle avait en moi se mêlait à une douce appréhension. Mon cœur battait la chamade, et mon esprit tourbillonnait alors que nos regards restaient fixés l'un sur l'autre.

À l'étage, la petite Margaret dormait paisiblement, son souffle léger et régulier remplissant la maison d'une aura apaisante. Sa présence innocent contrastait fortement avec la tension palpable qui régnait dans le salon. Son père, ne rentrerait pas ce soir, laissant Max et moi seules dans cette demeure silencieuse. Cette réalité s'imposait de plus en plus dans mon esprit, ajoutant une dimension encore plus troublante à la soirée.

En écoutant Max partager ses pensées avec moi, je me rendais compte de ma position en tant que confidente. J'étais là pour l'écouter, pour la comprendre, et chaque mot qu'elle prononçait renforçait la connexion qui grandissait entre nous. Sa confiance me touchait au plus profond de mon être, mais elle avait aussi le pouvoir d'exacerber mes propres sentiments pour elle.

Max était une femme de presque quinze ans de plus que moi, une femme complexe et fascinante. Mes sentiments pour elle avaient évolué doucement, presque insidieusement, jusqu'à ce qu'ils deviennent inévitables. Mon cœur, en dépit de toute logique, s'emballait dès que j'étais près d'elle. Les battements de mon cœur semblaient résonner au rythme de ma réalisation croissante : j'étais profondément amoureuse de Max.

En cet instant, alors que nous étions sur le point de partager un moment d'intimité, je pris une profonde inspiration pour chasser mes doutes et mes peurs. Je savais que je ne pouvais pas reculer, car l'opportunité était trop précieuse, tout comme mes sentiments pour Max. Mon esprit était rempli d'anticipation, de désir, et d'une profonde affection pour cette femme qui, d'une manière ou d'une autre, avait réussi à s'emparer de mon cœur. Cette nuit allait être un tournant, un point de non-retour, et je savais que nos vies étaient en train de changer à jamais dans cette maison silencieuse où l'amour avait pris racine.

« Eh bien... Je tiens vraiment à vous aider à déstresser. Alors je voudrais mettre à profit mes maigres compétences en la matière. Si cela vous fait plaisir bien sûr... Quant au dîner, je ne sais pas trop Madame Sanders... Peut-être des sushis? Enfin... Si cela vous dit aussi...? » dis-je sur un ton presque trop timide. Subitement, les idées me submergent et mes mains tremblent plus que de raison.

Quinn était une jeune femme tout à fait bien élevée, et cela plaisait beaucoup à Max. La journée lui avait été compliqué, et elle appréciait vraiment de pouvoir discuter avec elle ce soir. La petite Margaret dormait à point fermé, et les deux femmes pouvaient à présent profiter du moment de calme. Max avait commencé à se plaindre un peu de sa journée, puis la blonde avait fini par lui proposer un massage. C’était une proposition qui plaisait vraiment à Max et elle l’avait accepté avec plaisir, en échange d’un dîner. Visiblement, des sushis, selon le choix de la baby-sitter. Cela lui convenait grandement, Max adorait ça. D’habitude, les soirées sushis se déroulaient plutôt en tête-à-tête avec sa fille, mais les habitudes sont bonnes à changer, parfois. “Parfait pour les sushis.” dit-elle en souriant, tout en déverrouillant son téléphone afin de le parcourir pour ouvrir l’application de livraison de repas bien connue. Il n’y avait pas 3000 restaurants de sushis dans le coin, et Max connaissait le meilleur. Elle mît rapidement ses sushis préférés dans son panier avant de tendre le téléphone à Quinn. “Je te laisse choisir, passe la commande directement, toutes les infos sont enregistrées. Prend ce qui te fait plaisir, ne te prive surtout pas.” Max était heureuse d’offrir ce repas à la baby-sitter. Après tout, elle lui devait une fière chandelle pour son travail. Elle s’occupait à merveille de sa petite fille, gérait très bien : la maison était toujours clean en rentrant, Max n’avait jamais eu à se plaindre. Et les parents savent à quel point ce n’est pas toujours le cas avec les babysitters. Max se sentait chanceuse de pouvoir faire confiance les yeux fermés à la jeune femme. Pour sa fille… et bientôt pour un massage. “Tu veux que je m’installe comment ? Je pense que les sushis vont mettre environ 45 minutes à 1h avant d’être livré, ça nous laisse le temps. Je m'assieds sur une chaise ? Ou tu préfères que je m’allonge à plat ventre sur le canapé ?” demanda-t-elle en souriant. Max n’avait pas tellement l’habitude des massages. Il faut dire que son mari lui en faisait très rarement, pour ne pas dire jamais. Les seules fois où elle a pu se faire masser par ce dernier avaient été des catastrophes… Il n’avait pas vraiment des mains de masseurs. Après tout, chacun sa spécialité.

Lorsque Max accepta mon offre de massage en échange d'un dîner sushi, un sourire sincère se dessina sur mon visage. Les papillons dans mon ventre s'agitaient encore plus intensément, maintenant mêlés à une excitation presque palpable. J'avais hâte de pouvoir la toucher, de lui offrir un peu de réconfort après sa journée difficile.

"Parfait pour les sushis," répondit-elle avec un sourire, déverrouillant son téléphone pour passer la commande. Mes doigts tremblaient légèrement alors que je sélectionnais soigneusement les sushis, cherchant à satisfaire ses préférences. C'était un geste simple, mais il me remplissait de satisfaction de pouvoir lui offrir ce repas.

Max était une femme généreuse, et je me sentais privilégiée de recevoir ce geste de sa part en échange de mes services de babysitting. Je savais à quel point elle pouvait être exigeante en matière de soins pour sa petite fille, et cela me faisait chaud au cœur de savoir qu'elle avait confiance en moi.

Elle m'informa que la livraison prendrait environ 45 minutes à 1 heure, nous laissant ainsi du temps pour le massage. "Je te laisse choisir, passe la commande directement, toutes les infos sont enregistrées. Prend ce qui te fait plaisir, ne te prive surtout pas," dit-elle généreusement.

Je pris quelques instants pour sélectionner les sushis avec soin, veillant à ce qu'il y ait une variété de saveurs pour satisfaire leurs papilles. Une fois la commande passée, je lui tendis le téléphone, un sourire de gratitude sur les lèvres. "C'est fait, Max. J'espère que ça te plaira."

Puis, elle me demanda comment elle devait s'installer pour le massage. Sa question me ramena à la réalité de la situation. Mon cœur battait toujours la chamade, mais j'étais déterminée à la détendre. "Hmm, allonge-toi sur le canapé à plat ventre, s'il te plaît," répondis-je timidement. "Je vais préparer tout ce dont j'ai besoin pour le massage, et je m'occuperai de toi dès que tu seras prête."

Alors que Max se dirigeait vers le canapé, mes pensées tourbillonnaient dans ma tête. Cette opportunité de la toucher de manière intime était à la fois exaltante et effrayante. Mes sentiments pour elle s'étaient développés au fil du temps, mais ce moment marquerait un tournant dans notre relation. Mon désir de la rendre heureuse et détendue était plus fort que jamais, et je ne pouvais m'empêcher de penser à ce que l'avenir nous réservait. Pour l'instant, je me concentrais sur le présent, sur le massage à venir, espérant qu'il nous rapprocherait davantage et que nos sentiments continueraient de croître, car je savais que j'étais tombée profondément amoureuse de Max.

Un massage et une soirée en compagnie de Quinn avec des sushis. Max ne s’attendait pas tellement à cela pour ce soir, mais ce n’était pas pour lui déplaire, finalement. Sa petite fille dormait à poings fermés et les deux femmes pouvaient dès maintenant profiter de leur soirée. Les sushis étaient maintenant commandés, et était venu le temps du massage (et non des cathédrales). Max demanda les instructions à la babysitter, qui lui indiqua comment s’installer. “Merci Quinn.” dit-elle en souriant. Elle se dirigea ensuite vers le canapé, afin de s’y allonger, à plat ventre, comme le lui avait demandé la jeune blonde. Au fond d’elle, Max angoissait ce moment d’intimité. Sans trop savoir pourquoi, elle en avait le tourni dans l’estomac, se sentait un peu gênée. Elle ne reconnaissait pas tellement ce sentiment, il lui était totalement inconnu, et cela l’effrayait un peu. Malgré tout, elle se laissait guider, comme d’habitude, par son instinct. Et ce soir, celui-ci lui conseillait de se faire confiance et de profiter de l’instant présent. Elle savait que Quinn attendait son signal avant de revenir, alors, Max ne la fit pas attendre davantage. “Tu peux venir. Je n’ai pas retiré mon t-shirt… je ne sais pas si tu préfères masser au dessus d’un vêtement, ou non…” dit-elle, légèrement perturbée par la situation. L’idée de se retrouver en soutien-gorge face à Quinn la gênait vraiment. Après tout, elle restait la baby-sitter de sa fille, elles se connaissaient à peine… et en même temps, Max se doutait bien qu’un massage au dessus d’un t-shirt n’était pas possible. Elle soupira en y pensant, puis reprit la parole. “Je vais le soulever un peu. Tu trouveras de l’huile de massage dans le tiroir de la table à langer au rez-de-chaussé. C’est pour Maggie, mais ça fera l’affaire, peut-être…” dit-elle tout en se dandinant afin de lever un peu son t-shirt. “Enfin, je te laisse faire comme tu veux, tu connais la maison et tu as l’air de…” Max parlait trop. Elle était vraiment terriblement gênée. “Je suis désolée. Je me tais, je te laisse gérer la suite” dit-elle en riant nerveusement. Pourquoi Quinn la rendait ainsi ? C’était terriblement gênant, et elle se sentait très maladroite à son égard. Elle n’avait jamais été comme cela avec elle, ni avec personne d’ailleurs. C’était très étrange. Mais l’heure n’était pas aux questionnements pour la psychiatre, mais plutôt à la détente après cette journée compliquée.

@Quinn Olsen

Max se dirigea vers le canapé, prête à s'allonger à plat ventre pour le massage que je m'apprêtais à lui donner. "Merci, Quinn," dit-elle en souriant. Son visage rayonnait malgré l'angoisse que je percevais dans ses yeux.

Pour ma part, mes propres émotions étaient en ébullition. L'anticipation de ce moment intime était presque palpable, et la gêne de Max n'échappait pas à mon regard attentionné. Je me sentais presque coupable de susciter cette réaction chez elle, mais en même temps, je ressentais une étrange satisfaction de savoir que j'étais capable de la surprendre, de la faire sortir de sa zone de confort.

"Tu peux venir. Je n'ai pas retiré mon t-shirt… je ne sais pas si tu préfères masser au-dessus d'un vêtement, ou non…" dit-elle, son ton légèrement perturbé.

Son inquiétude me toucha. Je compris que cette situation était nouvelle pour elle, tout comme elle l'était pour moi. Max était une femme d'habitude, et l'idée de se retrouver en soutien-gorge face à moi la gênait clairement. Pourtant, elle se montrait ouverte et prête à s'adapter, comme toujours.

"Ne t'en fais pas, Max," répondis-je doucement. "Pour un massage efficace, il vaut mieux être directement en contact avec la peau. Je vais te mettre à l'aise, promis."

Elle mentionna l'huile de massage, qui se trouvait dans le tiroir de la table à langer au rez-de-chaussée. "D'accord, je vais aller la chercher," dis-je en lui souriant pour la rassurer. "Je vais m'occuper de tout."

Alors que Max se dandinait pour lever légèrement son t-shirt, je ne pouvais m'empêcher de la trouver adorable dans sa maladresse. Elle parlait, puis s'excusait de trop parler, riant nerveusement. La voir ainsi me faisait réaliser à quel point cette soirée était spéciale, à quel point notre relation évoluait. C'était un mélange d'excitation et de tendresse.

"Ne t'excuse pas, Max," la rassurai-je doucement. "C'est normal de se sentir un peu gênée dans une situation comme celle-ci. Je vais tout faire pour que tu te sentes à l'aise. Maintenant, détends-toi, respire profondément, et laisse-toi aller. Je m'occupe du reste."

Je me dirigeai vers le rez-de-chaussée pour récupérer l'huile de massage, mon cœur battant la chamade alors que je réalisais que cette soirée allait sceller notre destin d'une manière ou d'une autre.

Je pris une profonde inspiration alors que je me dirigeais vers le rez-de-chaussée pour récupérer l'huile de massage. Mes pas semblaient lourds, ma poitrine était serrée par un mélange d'anticipation et d'excitation. Max était une femme fascinante, et la perspective de la toucher de manière intime me remplissait de désir.

Une fois que j'eus trouvé l'huile, je remontai les escaliers, me répétant mentalement de rester calme et professionnelle. C'était un massage, rien de plus. Pourtant, une part de moi savait que c'était bien plus que cela. C'était un moment qui pouvait changer notre relation à jamais.

De retour dans le salon, je vis Max toujours allongée sur le canapé, son t-shirt relevé pour me permettre d'accéder à sa peau. Elle semblait à la fois anxieuse et curieuse, son regard fixé sur moi.

"Je suis de retour," dis-je doucement en m'approchant d'elle. Je posai l'huile de massage sur la table basse à côté du canapé et m'agenouillai près d'elle. Mes mains tremblaient légèrement alors que je les enduisais d'huile, les réchauffant entre mes paumes.

Le contact initial de mes mains sur sa peau m'envoya un frisson électrique à travers tout le corps. C'était un mélange de douceur et de tension, de désir et de retenue. J'entamai le massage en effectuant de légers mouvements circulaires sur son dos, ma respiration devenant irrégulière.

Mon esprit était en ébullition, oscillant entre la concentration nécessaire pour le massage et les sentiments intenses que je ressentais pour Max. Chaque fois que mes mains glissaient sur sa peau, je me rendais compte à quel point j'étais attirée par elle, à quel point je la voulais.

"Tu as des nœuds ici," murmurai-je doucement, mes doigts travaillant sur les muscles tendus de son dos. "Je vais essayer de les relâcher pour toi."

Alors que je continuais le massage, j'espérais que Max puisse sentir l'intensité de mes émotions à travers mes mains, que ce moment intime puisse nous rapprocher davantage et peut-être, juste peut-être, nous permettre d'explorer ce que nous ressentions l'une pour l'autre.