Meet me in the storeroom in ten ∞ Connor & Ollie ∞ Hot

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Meet me in the storeroom in ten

Connor & Ollie

Je me réveille dans une sorte de brouillard, je n'aurais vraiment pas du sortir hier soir. Bordel, je suis en retard, vraiment vraiment en retard. J'attrape mes vêtements à la va vite, prenant rapidement un petit dej' tout en m'habillant. Je sors de l'appartement en trombe. Il faut absolument que j'attrape un bus, le métro est à deux plombes. Je le vois au loin s'approcher de l'arrêt, je cours pour l'attraper, à quelques secondes près, je l'aurais loupé. Essoufflée, je prends mon téléphone en main pour inspecter mon allure qui est assez négligée : je suis débraillée et mes cheveux partent dans tous les sens. Génial, tout bonnement génial ! Je profite du trajet pour me refaire une beauté, du moins j'essaie de limiter les dégâts. L'arrêt de bus le plus proche est à cinq cent mètre de l'hôpital, je me retrouve encore une fois à courir.

Arrivée à dans l'enceinte de la clinique, rien ne s'arrange. C'est la course, il y a tout un tas de patients aux urgences. Je cours de partout, j'opère à droite, j'octroie des occultations à gauche... Stressée au possible, je compte les secondes jusqu'à ma pause. Dix minutes avant celle-ci, j'envoie un message à Connor, un collègue, pour lui dire de me retrouver dans la réserve. J'ai bien besoin de me décontracter et dieu sait qu'il est doué pour ça. Ainsi, quand enfin je peux souffler, je me dirige vers le lieu de rendez-vous d'un pas pressé étant quelque peu en retard. J'ouvre discrètement la porte pour être sûre qu'on ne me crame pas, ce serait ballot. Connor est déjà sur place, adossé à une étagère. Enlevant mon haut le plus naturel du monde, un léger sourire aux lèvres, je lui pause la question fatidique : "Tu as combien de temps devant toi ?" En effet, c'est mieux de savoir si nous avons le temps de faire ça dans les règles de l'art ou si au contraire, il faut passer la seconde.

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ollie & connor

La tension montait progressivement depuis quelques jours. A mesure que le repas de Noël chez ma tendre Alyx approchait, j'angoissais de retrouver ma grande soeur perdue de vue depuis bien trop longtemps. Ces retrouvailles un peu particulières couplées à l'effervescence qui régnait à l'hôpital depuis plusieurs jours faisait monter la pression de tout le corps médical. Et si je faisais partie des personnels les plus "résistants" sur le plan psychologique, je n'étais pas épargné. Les patients se multipliaient, avec des situations toutes aussi cocasses les unes que les autres. Ce matin, j'avais droit à un patient déguisé en père Noël qui avait insisté pour installer des guirlandes lumineuses sur son toit, en dépit de ses problèmes cardiaques. L'effort étant bien trop intense pour un homme de cet âge (dont la santé était fragile) et son coeur n'avait pas suivi. Un arrêt cardiaque et une chute du haut du toit plus tard, Santa s'en était miraculeusement sorti indemne. Je pouvais enfin souffler, pour la première fois depuis huit heures. J'informai les proches du patient que l'opération au bloc, aussi longue et complexe fut-elle, s'était bien déroulée. J'eus le droit à de chaleureuses accolades, et à de profonds remerciements qui ne laisserait personne indifférent. Je leur adressai un dernier sourire avant de longer le couloir vers la salle de pause, quand mon téléphone vibra. Je découvris un message de ma collègue, Ollie, qui me donnait rendez-vous dans la réserve. J'arquai un sourcil, agréablement surpris. En quelques secondes, je rejoins la réserve. J'eus à peine le temps de m'adosser contre l'étagère qu'Ollie entra et ôta son tee-shirt. Sa lingerie fine me faisait déjà tourner de l'oeil. Tu as combien de temps devant toi ? Je m'approchai d'elle et glissai ma main dans son dos. « Pour toi, j'ai tout mon temps. » C'était faux, évidemment, mais Ollie était bien placée pour lire entre les lignes. « Même après une garde de quarante huit heures, tu es sublime. » lui susurrai-je à l'oreille.

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Connor & Ollie

L'air frais me fait frémir à moins que ce soit le regard de Connor sur moi. Entre nous ça a beau être purement sexuel, ça n'en enlève rien de son intensité. Je ris légèrement quand il dit avoir tout son temps. Bien que ce soit totalement faux, j'aime qu'il ne montre pas d'empressement. Il sait jouer des mots (et aussi de ses mains d'ailleurs) faut bien l'avouer. "Ça n'en sera que meilleur." En effet, je suis de celle qui aime prendre son temps. Pour moi, un petit coup vite fait se résume à de la médiocrité. Il faut savoir faire monter la pression si on peut dire ça ainsi. Sa bouche se rapproche dangereusement de mon oreille alors qu'il y susurre un compliment des plus agréables. Encore une fois, je ne suis pas sûre que ça soit complètement honnête, j'ai bien l'impression de ressembler à un vulgaire sac aujourd'hui. Ceci-dit, amusée par sa remarque, je décide d'en jouer quelque peu. Je détourne légèrement la tête pour rapprocher ses lèvres de miennes. Elles ne se touchent pas mais la distance qui les sépare est outrageusement réduite. Haussant un sourcil de manière provocatrice, je pose un indexe sur son torse. "Vraiment ?" Mon doigt se déplace vers sa clavicule dont je trace les contours. Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres alors que je rapproche légèrement son bassin du mien, amenuisant encore plus la distance qui nous sépare. C'est à mon tour de lui murmurer quelque chose : "Tu aimes me voir à moitié nue devant toi ?" Je dépose alors un baiser juste derrière son oreille à l'endroit précis où se trouve cette zone si érogène. Toujours souriante, presque aguicheuse, je recule de deux bons pas. En mettant ainsi de la distance entre nous, je joue un petit jeu qui m'amuse beaucoup. J'aime voir le regard de Connor s'embraser à mesure que je le titille.

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"Ça n'en sera que meilleur." Ces mots, aussi simples soient-ils, sont prononcés si langoureusement qu'ils sonnent à mon oreille comme une arme de séduction. D'une voix suave, je lui fis un compliment qu'Ollie accueillit sans trop y croire. "Vraiment ?" « Vraiment. » ajoutai-je dans un souffle alors que nos corps se rapprochaient dangereusement. Ma partenaire s'amusait à effleurer chaque partie de mon torse du bout des doigts, augmentant peu à peu l'excitation que nous partagions déjà. Je vins lui déposer quelques baisers dans le cou, cette zone érogène chez de nombreuses femmes, lorsqu'elle me susurra quelque chose à l'oreille. "Tu aimes me voir à moitié nue devant toi ?" L'excitation monta d'un cran. « J'aime encore plus te voir complètement nue. » annonçai-je en arquant un sourcil, comme un défi. Nos lèvres se touchaient presque, nos corps tout entiers se frôlaient lorsqu'Ollie se recula franchement. Sur le plan de la séduction, je commençais à bien la connaître - car nous n'en étions pas à notre première fois - et je savais qu'elle était très douée pour se rendre irrésistible. Avec moi, il ne lui suffisait que de quelques secondes pour me rendre fou. Dans un sourire coquin, je me mordillai la lèvre en l'observant avec envie. « Docteur Marks, vous êtes très douée. » dis-je suavement avant de l'attraper par la taille pour la ramener tout contre moi. Mes mains glissaient de sa chute de reins jusqu'à sa nuque. Doucement, je l'attirai vers moi pour l'embrasser... avant de moi aussi changer de direction, pour lui mordiller l'oreille. « Moi aussi, je suis doué au jeu du chat et de la souris. » prononçai-je, dans un souffle chaud, tandis que j'augmentais la pression de mes caresses.

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"Vraiment." Je ne peux retenir un sourire. Je ne suis pas du genre à apprécier les compliments, au contraire, ils ont tendance à me gêner plus qu'autre chose. Pourtant, avec Connor, ce n'est pas le cas : sans doute parce que je sais qu'il ne se cache rien derrière ce qu'il me dit. J'ai souvent apprit que les flatteries étaient intéressées. Ses baisers, tout contre mon cou, me font frémir de plaisir. J'ai envie de plus, j'ai envie de son corps collé contre le mien, j'ai envie de l'avoir en moi. "J'aime encore plus te voir complètement nue." Il hausse un sourcil, provocateur. "Intéressant..." Alors que je viens tout juste de mettre de la distance entre nous, il se mord la lèvre d'une manière si séduisante que j'ai l'envie irrésistible de me jeter sur lui. "Docteur Marks, vous êtes très douée." Un léger sourire habille alors mon visage mais il s'efface bien vite. Ses mains se posent à ma taille jusqu'à remonter jusqu'à ma nuque. Lorsqu'il s'approche de moi, je crois qu'il va m'embrasser ceci-dit il n'en fait rien. Il plaque sa bouche de nouveau contre mon cou et le peu de contrôle qu'il me restait menace de s'évaporer à tout moment. "Moi aussi, je suis doué au jeu du chat et de la souris." Ça s'est bien vrai, ses lèvres me rendent folle. Il augmente la pression et je manque de défaillir. C'est comme si une famille de papillons venait élire domicile entre ma poitrine et le bas de mon ventre. Une de mes mains vient se poser naturellement dans ses cheveux et les caresse légèrement alors qu'il titille encore mon cou. "Je dois bien admettre que vous vous défendez Docteur Lane." Alors, ne pouvant plus faire autrement, mes lèvres caressèrent les siennes une fois, puis une seconde, comme si elles devaient refaire connaissance. Il a quelque chose de suave dans ce baiser. Ma bouche trace un sillon le long de sa mâchoire, jusqu'à son oreille. Mes mains, elles, se baladent, explorant son corps sans retenue alors que je m'empare une nouvelle fois de ses lèvres. Ce baiser-ci n'a rien de doux, au contraire, il est sauvage. Je prends possession de sa bouche comme si elle était ma propriété. Ma langue s'insinue bien vite entre ses lèvres et je gémis légèrement de contentement quand elles se caressent. Lorsqu'il nous faut reprendre notre souffle, j'en profite pour me dévêtir complètement avec une lenteur calculée. Encore quelque peu haletante, je demande : "C'est mieux ? " Il avait dit me préférer nue, je lui donne donc ce qu'il veut, en espérant qu'en retour, il me donne à mon tour ce que j'attends.

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Je savais pertinemment qu'en provoquant Ollie, elle ne se laisserait pas faire. Elle faisait partie de ces femmes fortes, au caractère bien trempé et qui ne reculent jamais devant rien. Elle aimait aller au front, se battre pour ses idées et se jeter à corps perdu dans de nouvelles aventures... comme la notre, par exemple. Grand bien m'en fasse ! "Intéressant..." Je ne fus pas étonné pour un sou de l'entendre prononcer ce simple mot. Je lui avais soumis l'idée d'aller plus loin encore dans notre petit jeu, et elle ne semblait pas réfractaire. Bien loin de là. Nos corps commençaient à se connaître, à se ressentir, et les frissons qui parcouraient sa peau lorsque je lui déposai quelques baisers dans le cou prouvaient clairement son attirance pour moi. C'était un cercle vicieux : nous étions tous les deux dotés d'une certaine fierté, et voir que l'autre nous plaisait particulièrement ne faisait que gonfler nos égos. Ce qui rendait la situation d'autant plus plaisante... et excitante. "Je dois bien admettre que vous vous défendez Docteur Lane." J'haussai un sourcil, flatté par ce compliment. Ollie commença à prendre les devants en m'administrant un baiser suave dont elle seule avait le secret. Ses lèvres humides glissèrent jusqu'à mon oreille, et je perdis le contrôle de moi-même. J'ignorai pourquoi, mais c'était là un point tout à fait érogène chez moi. Et Ollie l'avait bien compris, visiblement. Je l'attrapai par les hanches pour coller son corps contre le mien, sauvagement. Mes caresses, parcourant son corps menu, se faisaient plus intenses encore. Nos langues se liaient dans une passion brulante ne faisant que grimper l'excitation... que seul notre besoin d'oxygène pouvait raisonner. Lorsque nous reprenions notre souffle, Ollie en profita pour se dévêtir lentement. Très lentement. Mon rythme cardiaque, lui, augmentait rapidement. Très rapidement. "C'est mieux ? " me demanda-t-elle alors que ses sous-vêtements tombaient sur le sol. Je me mordillai la lèvre en l'observant. « Cette tenue d'Eve te va à ravir. » chuchotai-je avant de l'attraper sauvagement. Je la portai, ses jambes entourant mon corps, jusqu'à lui plaquer le dos contre le mur. « Tu me rends fou, Marks. » murmurai-je à son oreille avant de l'embrasser fougueusement en me défaisant à mon tour des tissus trop encombrants. Dans cette réserve, nous étions désormais dans le plus simple appareil. Nos corps, brulant de désir l'un pour l'autre, ne répondait qu'à leur instinct animal. Pourvu que nos bipeurs ne sonnent pas la fin avant l'heure.

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"Cette tenue d'Eve te va à ravir." Je n'ai pas le temps de répondre quoique ce soit. Il me soulève soudain de façon à ce que j'enroule mes jambes autour de ses hanches. Bien vite, je me retrouve plaquée contre le mur froid de la réserve, contrastant terriblement avec ma propre chaleur corporelle. Je hoquète de surprise. J'aime le côté sauvage qu'il peut montrer parfait. Ça m'excite à un point que vous ne pouvez pas imaginé. Connor a vraiment le don de rendre mes poses terriblement intéressantes... "Tu me rends fou, Marks." Je retiens un frisson, c'est le genre de phrase qui me laisse toute chose. Dieu sait que je suis bien loin de la vierge effarouchée mais ses mots me surprenne d'une façon délicieuse. Il m'embrasse avec une telle passion que je gémis bruyamment. Il éveille en moi un désir impérial, j'ai envie de lui, tellement. Le souffle court, c'est à mon tour de lui susurrer à l'oreille. "Et Tu n'as encore rien vu..." Je mordille alors le lobe de son oreille, comme pour prouvé mes dires. Il enlève alors à son tour ses vêtements et nous nous retrouvons tout deux nus, collés l'un à l'autre. Je prends quelques secondes pour admirer son corps. Il est vraiment appétissant, la vue de certaines parties de son anatomie me donne envie de faire toutes sortes de choses loin d'être catholique. J'écrase de nouveaux mes lèvres comme les siennes, avide. La faim. C'est à cela que ressemble mon baiser. C'est ce que je ressens à l'intérieur de moi. Je veux sentir chaque centimètre de sa peau sur la mienne et même plus. Je voudrais me perdre dans cette sensation et être submergée par son seul contact. Mes mains explorent brutalement chaque centimètre de sa peau découverte. Une vague de chaleur m'envahit, s'installant au plus profond de mon ventre. Toutes les parcelles de mon corps s'enflamment tandis que j'explore sa bouche de la mienne. Je l'embrasse comme si nous avions tout le temps du monde. Je lui mordille même sauvagement la lippe avant de rompre le baiser. Mes lèvres me paraissent agréablement gonflées. "Si tu savais tout ce que j'ai envie de te faire, tout ce que j'ai envie que tu me fasses." Je me saisis alors d'une de ses mains pour la guider jusqu'à mon intimité, un sourire mutin aux lèvres. De là où ses doigts se trouvent, il doit avoir parfaitement conscience de mon désir pour lui. Provocatrice, j'active un peu sa main de la mienne. Je ne peux pas retenir un gémissement. Parallèlement, mes lèvres laissent un sillon de flammes le long de mon son cou où j'enfouis mon visage pendant que je presse son doigt de nouveau dans la chaleur humide de mon entre-jambe.

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Je n'avais jamais de mal à trouver une femme avec qui passer du temps, mais je devais avouer qu'Ollie savait prendre les devants comme personne. Elle savait ce qui me rendait fou, et sa confiance en elle me donnait davantage envie de lui montrer de quel bois je me chauffais. Entre nous, c'était fusionnel, passionnel. Quand nous nous retrouvions, c'était une symphonie de plaisirs. "Et Tu n'as encore rien vu..." Ollie était délicieuse. Ses courbes folles, sa taille fine, sa chevelure sauvage et son regard perçant me rendait fou. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes désirs, comme c'était aussi le cas pour elle, qui accompagnait ma main vers son intimité. Habilement, je m'occupais de lui faire perdre pied. Ses gémissements me confortaient dans l'idée que j'étais assez doué pour cela. A mesure que je lui donnais du plaisir, Ollie se cambrait. Je sentais son souffle chaud contre mon cou, avant de m'embrasser sauvagement. Nos lèvres, gonflées par le plaisir, se dévoraient comme s'il ne nous restait plus que quelques minutes à vivre. "Si tu savais tout ce que j'ai envie de te faire, tout ce que j'ai envie que tu me fasses." Ses paroles, susurrées au creux de mon oreille, fit grimper l'excitation jusqu'à son plus haut niveau. J'ôtai ma main de son entre-jambe pour m'y insérer vigoureusement ; nous avions tellement envie l'un de l'autre que nous aurions pu démolir la pièce. Sans perdre de temps, c'est sur un rythme effréné que nos corps brulants dansèrent ensemble. J'attrapai son corps, serrant sa peau si fort que j'avais l'impression que nos corps fusionnaient. Mes va-et-vient étaient puissants, passionnés. Alors que l'excitation montait presque à son paroxysme, je reculai mon visage de quelques millimètres pour regarder Ollie dans les yeux. Cela m'excitait davantage encore de la voir jouir de plaisir. Je me mordais les lèvres en continuant notre danse charnelle, jusqu'à en perdre haleine.

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[quote="Ollie Marks"]

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Connor & Ollie

Je perds la notion du temps, la notion de tout. Je ne saurais même plus vous dire quand Connor s'est retrouvé en moi. La seule chose que je sais, c'est que c'est terriblement délicieux. Ses va-et-vient me procure un peu plus de plaisir à chaque fois. Si bien que je risque perdre pied. Je peine à rester silencieuse (il le faut bien, nous sommes sur notre lieu de travail après tout), ses assauts vigoureux me font ravaler à des gémissements de plus en plus puissants. Mes mains enfoncés dans la peau de Connor, je me sens arriver aux bornes du plaisir quand soudain BIP, BIIP, BIIIP. Mon beeper sonne, j'y jette un rapide coup d'oeil, orientant mon regard vers le sol, là où il se trouve. Merde, c'est une urgence. Je grogne. "C'est pas vrai !" À contre-coeur, je me trouve obliger de me séparer de Connor avant que nous ayons atteint la jouissance. Frustrée, je m'habille rapidement. "Faudra qu'on termine ça." Je prononce ces paroles d'un air résolu. Ni une, ni deux, je sors de la réserve en trombe. Je tombe alors nez à nez avec un de mes internes. "Docteur Marks ! Tenez de l'eau pétillante pour vous, je sais que vous aimez bien boire avec un opération." Agacée je lui jette le contenue de la bouteille à la figure. "Je ne bois que de l'eau plate." Je grommelle. Je sais, je peux être une vraie garce parfois. Ainsi, je me dirige non sans peine vers le bloc, laissant malheureusement Connor seul dans la réserve.

FIN

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