dazed and confused ☆ braham

abraham prince

mieux vaut être giflé par la vérité qu'embrassé par le mensonge

les informations en vrac

il rêve de faire le tour du monde.  › il possède deux chats et un chiot à la maison. › il aime secrètement les films à l'eau de rose. › il est bipolaire. merci papa. › il a été élevé par sa mère, le père s'étant suicidé quelques jours après sa naissance. › c'est un être intelligent, mais il enchaîne les bêtises également. › cela lui arrive d'arrêter de prendre ses médicaments, trop de pilules à prendre. il oublie, un oubli bien souvent voulu. son humeur se met alors à changer soudainement, une voix qui s'élève, des mots qui s’entremêlent entre eux. des plans débiles, entraînant ses amis dedans, parce que pour lui, c'est normal de vouloir courir dans la rue en criant ou de vouloir voler une banque. › il est mauvais perdant. › Abraham, Abraham Lincoln. On a souvent blagué sur son prénom. › Durant son enfance, on voulait toujours le materner, il a toujours trouvé cela agaçant. Excepté quand cela venait de sa mère. › Sa mère est décédée du cancer du sein. Cette perte fut très douloureuse pour le jeune homme, encore aujourd'hui, il n'arrive pas à passer à travers cela. Braham visite régulièrement la tombe de sa maman, venant lui parler, lui apporter des fleurs.  › il est fond dans les karaokés, surtout saoul. › il ne danse pas très bien, préfère donc s'abstenir de se retrouver dans les boîtes de nuit ou tout simplement sur une piste de danse. › il tente toujours de fuir les situations compliquées et les disputes, il règle cela par des solutions simples, bien souvent stupides, mais ça fonctionne. (1 fois sur 2) › les étoiles, les planètes, ça le fascine à un plus haut point. Il n'est pas expert professionnellement, mais il se la joue expert devant les autres. › ses amours ont toujours échoué. Pourtant, il continue d'y croire. › Lorena Caldwell est sa colocataire, une vraie boule de feu. une vraie bombe aussi. › il n'est pas très enfant, mais sûrement parce qu'il est un peu encore gamin mentalement. › vive les fast-foods et ses gras. (incluant le chocolat, les chips, les bonbons) vive le sport juste après aussi. › il a sa petite bande d'amis depuis le lycéen, ils ont pris des chemins différents, mais ils sont liés à l'un et l'autre. › il a le cœur sur la main, comme il peut parfois se montrer sauvage et distant avec les inconnus. › il a longtemps refusé sa maladie et les problèmes que cela cause dans son quotidien. Il est malade et il le sait. Cela le ronge de l'intérieur, il se déteste parfois à cause de cela, peur d'être le malheur de tout le monde. Aujourd'hui, on ne peut pas dire qu'il vit très bien avec cela, mais Braham a accepté sa maladie, mais ne prononce jamais le nom de cette dernière. › s'il aime aider les autres, en revanche, il n'aime pas que l'on aide. Il veut qu'on le laisse se noyer avec ses problèmes.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>dylan o'brien ›</pris> abraham prince

   

l'histoire de ma vie

Enjoy your life today, because yesterday has gone and tomorrow may never come.

Médicaments pris. Fleurs à la main. On peut enfin démarrer la voiture. Ce n'est pas conseillé après une telle prise de pilules, mais on s'en fout. Sa voiture ne l'a pas encore conduit dans un arbre. Les mains tremblantes posées sur son volant, il démarre et quitte son domicile. Sa mère est souffrante. Très souffrante. Elle est entrée d'urgence à l’hôpital cette nuit pour d'atroces douleurs inexpliquées. Braham se rend à l’hôpital. Il a une boule au ventre. Le cancer de sa mère était au stade terminal. Il le savait, mais il n'était pas prêt à vivre sans sa maman. Il s'est voilé la face, vivait comme si tout allait bien. La vérité, il la voyait en face. Le visage malade, de plus en plus de difficulté à marcher, à respirer, sa mère en avait plus pour longtemps. Le tic-tac de l'horloge le rendait fou de rage, le détruisait de l'intérieur. Un rappel à la réalité. Il avala difficilement sa salive. Que pouvait-il arriver de plus ? Les médecins semblaient n'avoir rien trouvé de plus que le cancer. Tout allait pour le mieux, non ? Sa mère allait sortir et ils continueront comme avant.
L'arrivée à l’hôpital fut pénible et longue. Braham sert le bouquet, ses pas semblent se déposer lourdement contre le sol. Les paroles des gens résonnent dans sa tête. Il a peur de la retrouver morte, au sol, dans son lit, à la morgue. Elle est là, souriante, prête à accueillir son fils, mais toujours aussi faible, beaucoup plus malade qu'hier matin. Il s'efforce de sourire pour elle. « Je t'ai apporté tes fleurs préférées. » Sa mère lui adresse soudainement la main, mais délicatement. Braham en fait presque le saut, parce que ses mains sont glaciales. C'est horrible. Foutu cancer. Je te hais. « Maman.. » Murmure le jeune homme. Elle ne le laisse pas terminer sa phrase. « Tu veux bien m'apporter un verre d'eau, trésor ? Et peut-être un sandwich du distributeur, tu veux bien ? » Abraham hausse la tête, il tremble, il va verser des larmes qui refoulent depuis cette année. Cela se sent tellement. « Je t'aime mon fils. Je t'aime plus que tout. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. » Est-ce la fin ? Bien sûr que non. Elle a faim et soif. Impossible. Ayant vu trop de films, il sait au fond que c'est la fin. Braham ne désire aucunement chercher ce qu'elle désire. Impossible. Il ne peut pas la laisser partir. Elle ne peut pas quitter ce monde sans l'avoir à ses côtés. « Je t'aime maman.. » À ses mots, qui devaient faiblement résonner dans la tête de la mère, mais les ayant bien entendus. Le moniteur se met en l'alerte, son cœur lâche. Elle est morte. Il n'y a plus rien à faire. Les médecins qui sont arrivés en vitesse n'ont pas pu la ramener. Laissant un Abraham affaibli, meurtri, blessé, perdu. Ses larmes se déversent sur son visage. Il hurle à pleins poumons dans la chambre de sa maman.
On le sort de force de la chambre. Braham n'a jamais appris à vivre sans sa mère. Il a toujours été dépend concernant la cuisine, le ménage, tout ce qui se rapporte à être un adulte. Braham a arrêté de prendre ses médicaments après la mort de sa mère. Il fut même interné durant un mois avant que son oncle, frère de sa maman, ne vienne le sortir de cet endroit, lui demandant de respecter un souhait de la mère; terminer ses études, et surtout, soit heureux.
Braham a terminé ses études, il assiste son oncle dans une clinique vétérinaire, mais est-il heureux ?