Jacob + Wolves without teeth

jacob weaver

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

Jacob déteste le café › Il parle anglais, francais, espagnol et italien couramment et sait lire le coréen et le russe › Son auteur préféré est Fiodor Dostoïevski, mais son roman préféré est Madame Bovary de Gustave Flaubert › Il a eu sa première guitare entre les mains à 8 ans › Il a grandis dans un quartier aisé de Sydney en Australie, mais tous les été il était en vacance à Island Bay › Il est américain du côté de son père et australien du côté de sa mère › Il boit beaucoup, mais il ne supporte pas le goût de l'alcool il cherche seulement à atteindre l'état d'ivresse › Petit il a rêvé d'être astronaute, pompier, joueur de hockey et star de rock mais il s'est finalement retrouvé à étudier à Yale en droit › Il est carnivore et déteste tout ce qui est légume même s'il se force à en manger ça le dégoûte › Jacob est arachnophobe, sa peur des araignées dépasse la raison. Les petites le terrifie encore plus que les grosses parce qu'elles peuvent passer inaperçu › Il est très chatouilleux, il devient violent malgré lui lorsqu'on le chatouille plus que quelques secondes › Même si sa voiture vaut une petite fortune, il préfère voyager à l'air libre en vélo ou bien à la marche quand c'est possible › Il connait si bien Sydney qu'il a été employé pour le temps d'un été comme guide touristique quand il était plus jeune › Il a une petite soeur de 16 ans qui s'appelle Hannah et elle vit avec lui depuis 1 an parce qu'elle a été victime d'un accident de voiture et la seule personne dont elle se rappelle c'est lui › Hannah a été victime d'un accident de voiture il y a 1 an et ne se rappelle plus de rien excepté de la dernière année › Il a une relation très conflictuelle avec son père, il a même danser sur sa tombe lorsque celui-ci est décédé. Mais il l'a fait en cachette pour ne pas choquer sa famille › Il se soucie beaucoup (trop) des apparences et fait très attention à son physique en tout temps › Il est un fêtard invétéré et a déjà fait la une des journaux après que la police soit venu mettre fin à une de ses fêtes quand il était adolescent  › Même s'il était un étudiant exceptionnel, il a presque été expulsé de l'université pour son comportement › Il est déménagé à Island Bay à temps plein il y a 6 ans, mais il est souvent en dehors de la ville › Depuis la mort de son père, c'est lui le chef de la famille avec toutes les responsabilités que cela comprend notamment gérer les affaires de son défunt père › Malgré sa vie de fêtard, il est un lève tôt et manque presque toujours de sommeil pour cette raison il fait plusieurs siestes au cours d'une journée › Il déteste parler de lui même et évite toujours le sujet quand il vient

les indiscrétions sur le joueur

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<pris>dan stevens ›</pris> jacob weaver

   

l'histoire de ma vie

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Jacob est né dans la métropole australienne de Sydney il y 33 ans. Sa naissance avait été un événement heureux pour les deux parents qui était déjà âgé, menant une vie professionnelle débordée ils avaient retardé la décision de fonder une famille et avaient peur de ne pouvoir se rattraper jusqu’à ce qu’il pointe le bout de son nez. Les premiers mois furent un peu difficiles pour les nouveaux parents, trouver un juste équilibre entre leur vie professionnelle, amoureuse et familiale était plus compliqué qu’il ne se l’était imaginé en raison de leurs nombreuses responsabilités. Monsieur Weaver, Teddy qu’il préfère se faire appeler, était un chef d’entreprise de premier plan dans le milieu médiatique autant dans son pays d’origine aux États-Unis que dans son pays d’adoption d’Australie. Si Rupert Murdoch possédait tous les journaux, Theodore Weaver lui possédait toutes les stations de radio. Sa mère de son côté était urgentiste dans un des hôpitaux les plus débordés de Sydney. Ils aimaient tous les deux leur emploi, leur moitié et leur enfant, mais ils ont eu besoin d’un temps d’adaptation et ils ont engagé quelqu’un qui a vécu avec eux après la naissance de Jacob pour s’occuper de lui quand ils n’avaient pas le temps. Mais éventuellement, ils ont trouvé un juste équilibre et se sont épanouis comme parents d’un petit garçon qui était la 7e merveille du monde à leurs yeux. La famille était heureuse, les parents comblés et ils regrettaient tous les deux de ne pas avoir cherché à avoir des enfants plus tôt puisque la mère de Jacob était probablement déjà trop âgée pour espérer avoir la chance d’avoir un deuxième enfant alors que le premier avait été le résultat de plusieurs années d’efforts des deux. Mais Jacob leur suffirait, il était le seul enfant dont ils avaient besoin pour être heureux et comblés.

Pour le huitième anniversaire de Jacob, sa mère lui a offert une guitare faite à sa taille pour cadeau. Il avait toujours montré un penchant pour la musique depuis qu’il était en mesure de parler. Il aimait chanter sur toutes les chansons qu’il entendant à la radio ou ailleurs et il passait beaucoup de temps à jouer sur son mini piano. Sa mère lui avait donné quelques leçons de piano, mais Jacob avait eu les yeux tout brillants lorsqu’il avait vu son oncle jouer de la guitare à son anniversaire précédent que sa mère avait décidé de lui en offrir une. Jacob a adoré et s’est avéré très difficile à séparer de sa guitare le moment de sortir de la maison pour l’école ou autre chose. Ceci dit, il n’y avait pas que du mauvais à cette situation… Jacob n’était pas un élève très motivé durant sa jeunesse, mais croyez-moi quand je vous dis que la simple menace de lui confisquer sa guitare chérie à l’approche des évaluations suffisait à lui faire enfiler les A+ pour éviter le cauchemar d’une vie sans musique même seulement pour quelques jours ou semaines. Malgré son amour de la musique, il était un guitariste plutôt médiocre, pas mauvais, mais rien hors de l’ordinaire, mais ça lui était égal. Il pratiquait une chanson jusqu’à l’apprendre par cœur et être capable de l’exécuter sans erreur. C’était sa passion, son grand amour et il chérirait sa première guitare pour le restant de ses jours même s’il a dû la remplacer parce qu’elle lui faisait plus en vieillissant. C’était l’objet le plus précieux qu’il possédait et sa musique le rendait heureux. Mais la vie n’est pas un conte de fée, nous l’apprenons tous un jour, mais pour certains cet apprentissage arrive plus tôt que tard et Jacob était de ce lot. Sa mère est décédée peu avant le jour de Noël d’il y a 21 ans. Le petit garçon de 12 ans qu’il était, à l’époque à pleurer toutes les larmes de son corps même si jamais il ne s’était attendu à fondre en larme de la sorte peu importe les circonstances. Il ne l’admettrait jamais non plus, il était bien trop fier pour dire qu’un HOMME comme lui pouvait être mis dans un tel état. Surtout que son père à côté de lui n’avait pas versé une seule larme en apprenant la nouvelle et Jacob l’avait toujours pris comme modèle. Il était la masculinité incarnée et sa vie avait été remplie de succès à tous les niveaux. Qu’avait-il à ne pas admirer chez un homme accompli comme lui? Mais c’était le signe d’une blessure profonde chez son père et ce dernier ne serait pas le seul à en souffrir.

L’été des 13 ans de Jacob en fut un mémorable. Comme il était coutume chez les Weaver, Jacob et son père avait pris l’avion privé de la famille pour de longues vacances bien méritées dans la propriété de Island Bay. C’était un petit bout de paradis terrestre pour sa famille qui avait vécu de nombreux et précieux moments là-bas chaque été. Cette fois, c’était les premières vacances père-fils et leur première période où ils avaient véritablement interagi ensemble depuis la mort de sa mère. Jusque-là, son père s’était consacré à 100% sur son travail et rentrait si tard que son fils et lui ne s’étaient à peine échanger que des salutations, bonne nuit, bon appétit et autres conversations dénuées d’intérêt depuis bien longtemps. Mais l’été avait toujours été une période sacrée, surtout pour leur être cher perdue, alors les deux hommes avaient décidé de faire perdurer. Pour la majeure partie, ça s’était bien passé. Ils s’étaient rapprochés comme ils ne l’avaient pas fait depuis longtemps et fait plusieurs activités ensemble. Les choses semblaient retourner au beau fixe et Jacob a utilisé l’occasion pour partager sa première composition musicale à son père lors de leur dernière soirée à Island Bay. Ça devait être un moment spécial pour eux deux, Jacob n’avait jamais tenté d’écrire une chanson par le passé parce qu’il n’avait jamais senti qu’il avait quelque chose d’important et de vrai à raconter, mais après la mort de sa mère il avait eu beaucoup de choses sur le cœur et cela lui avait inspiré à saisir sa plume et écrire une chanson pour la première fois. Il voulait partager cela avec son père, parce qu’ils étaient les deux hommes qui avaient le plus aimé sa mère. Après les premières notes jouées, son père avait presque la larme aux yeux, il était fier de lui, mais quand les paroles ont commencé à atteindre ses oreilles tout a changé. Son père a été pris d’une colère noire, il lui a crié dessus en lui disant de la fermer, puis il lui a pris la guitare d’entre ses mains avant de le bousculer et de détruire sa guitare en la cognant à répétition au sol jusqu’à ce qu’il n’en reste que des débris. Pour cette chanson, Jacob avait utilisé sa première guitare, celle que sa mère lui avait offerte, la voir en lambeaux lui a brisé le cœur encore plus que les mots et l’agressivité de son père. C’était comme si sa connexion avec sa mère avait été brisée. Ce fut la première et dernière fois qu’il a joué la mélodie et chanté les paroles de la chanson composée en l’honneur de sa mère.

Les années ont passées et la relation entre Jacob et son père ne s’est jamais améliorée. Elle n’était rien de semblable à ce qu’elle avait un jour été et elle ne le serait probablement plus jamais.. Jacob s’était fait à cette idée, mais il tentait toujours et encore d’arranger les choses. Ce n’était pas facile, son père ne l’ignorait plus depuis leurs vacances ratées… non, maintenant il était invivable à temps plein. D’abord ça avait commencé par une interdiction de jouer ou écouter de la musique après l’été de ses 13 ans. Mais à ça c’est rajouter l’interdiction de jouer au hockey, d’écouter la série de télévision préférée de sa mère et bien d’autres choses. La plupart concernaient sa mère, et il le savait, mais il ne pouvait s’empêcher de le prendre personnellement. Sa mère était morte et il avait besoin de continuer ses activités qu’il avait partagées avec sa mère pour préserver le souvenir d’elle intacte. Cela l’a mené à trouver refuge ailleurs et dans d’autres activités, principalement la fête, l’alcool et les femmes. Lorsque le moment est venu de quitter pour l’université, il était soulagé plus qu’autre chose, un nouveau départ pour lui et surtout il serait à l’autre bout du monde puisqu’il étudiait aux États-Unis.

Le passage de Jacob à l’université n’a pas été de tout repos. L’idée d’étudier le droit ne venait pas vraiment de lui, il avait eu de nombreux rêves, mais définitivement pas celui-là. À vrai dire, pour la majeure partie de sa vie l’université n’avait même pas été une option dans son esprit. Mais son père l’y avait poussé et l’idée de s’éloigner de lui en étudiant en Amérique l’avait séduit. Le mauvais côté de la chose c’est que les études elles-mêmes étaient la dernière de ses priorités et il s’est mis beaucoup de gens à dos dans le personnel de l’université. Il était perçu comme un fauteur de trouble dans le campus, il avait même tenté de séduire une de ses professeurs en public et ça ce n’était que la pointe de l’iceberg. Toutes les distractions étaient bonnes pour lui. Il a foutu assez de merde dans la prestigieuse université de Yale que son père a du faire le voyage de Sydney dans son avion pour calmer le jeu. Si les paroles n’avaient pas suffi, son père s’avérait assez soucieux de l’avenir de son fils et des apparences pour sortir le chéquier. C’était la première fois depuis des années que son père avait fait quelque chose pour lui. Normalement, toutes les attentions qu’il recevait étaient négatives et punitives. Jacob l’a pris comme un compliment et a continué d’être la terreur de Yale jusqu’à ce que son temps là-bas soit fini. Inutile de vous dire qu’il n’a manqué à personne là-bas, mais ironiquement, malgré son comportement et son désintérêt Jacob était sorti de Yale premier de sa classe. Une bonne leçon pour tous les jeunes de ce monde, buvez, baisez, fêtez, vous aurez un diplôme de l’ivy league dans la poche. En dépit de plusieurs offres d’emplois provenant de divers cabinets du pays, Jacob a décidé contre toute attente de rentrer à la maison à Sydney où son père, sa nouvelle femme et sa jeune demi-sœur l’attendaient. Le monde ne s’était pas arrêté à Sydney depuis son départ. Là-bas, il n’a pas plus cherché à se trouver un emploi décidant plutôt de continuer ce qu’il avait si bien fait ces dernières années c’est-à-dire faire la fête. De plus, maintenant diplômé universitaire il avait accès à ses fonds de plusieurs millions de dollars que son père avait gardés bloqués jusque-là alors il voulait se dépêcher de tout dépenser. Ça n’a pas été très long, un yacht, quelques voitures exotiques et plusieurs autres dépenses démesurées plus tard il est venu cogner à la porte du paternel pour un renflouement d’argent.

Son style de vie mouvementé à continuer pour des années durant alors qu’il enchaînait soirée, conquêtes et dépenses incendiaires comme s’il n’était né que pour faire ça. Le pire était qu’il n’appréciait pas vraiment ça, les soirées consécutives devenaient redondantes et les filles n’avaient plus aussi bon goût qu’autrefois. Sa vie et ses relations étaient vides de sens, ses conquêtes ne signifiaient rien le lendemain et il n’avait pas avancé d’un pouce dans sa vie depuis qu’il avait laissé les bancs d’école derrière lui. Le jeune garçon rempli de rêves et d’espoirs n’était plus et ne serait probablement plus le même à jamais. Il n’était plus qu’un gamin perdu et désespéré qui faisait le plus de bruit possible en espérant faire réagir ses parents. Malgré tout ça, il pouvait paraître en parfait contrôle de lui-même en public et auprès de ses amis, conquêtes et les gens avec qui il fêtait. Il était toujours aussi intelligent, charmant, drôle et captivant lorsqu’il était sobre et parfois même lorsqu’il était ivre avec un mannequin ou une actrice à ses côtés en direction pour un lit. Ses plus longues relations duraient quelques semaines habituellement, justes assez longtemps pour que la célébrité qu’il avait attirée dans son lit ne réalise la coquille vide qu’il était et que de ce qui s’était passé entre eux n’importait vraiment aux yeux de Jacob. Rien ne semblait ralentir le jeune homme jusqu’à la mort de son père il y a quatre ans. La première pensée de Jacob en apprenant la nouvelle était que son père serait plus heureux dans l’au-delà avec sa mère que sur terre avec son fils et sa deuxième pensée qu’il n’avait pas besoin de lui. Ensuite, il est fondu en larmes, comme le jeune garçon qu’il avait été lorsque sa mère était décédée. C’était un rare moment de vulnérabilité pour l’homme en armure qu’il était devenu. Néanmoins, cela n’avait pas duré, il était même allé danser sur sa tombe la nuit après son enterrement alors qu’il avait bu un coup de trop et qu’il s’était presque saoulé à mort. Il n’en avait gardé aucun souvenir, mais le Jacob ivre avait filmé tout ça avec son téléphone portable avant de s’effondrer et passer la nuit entière là-bas. Après cela, il a décidé de déménager à Island Bay dans la demeure de vacances familiale qui était maintenant sa propriété comme tout le reste. Son père n’avait peut-être plus été en mesure de réellement l’aimer ou lui parler, il avait peut-être même pensé qu’il n’était bon à rien et foutait sa vie en l’air, mais il ne lui avait pas pour autant retiré son héritage.

L’héritage du milliardaire Theodore Weaver s’est avéré être un cadeau empoisonné pour Jacob. Il ne s’en était pas rendu compte directement, mais 6 mois après qu’il ait hérité de l’empire médiatique de son père alors il a été abordé par certaines de ses partenaires d’affaires. Une façon polie de ma part pour décrire une bande de criminels et d’escrocs. Apparemment, son père avait dû secrètement régler une dette de plusieurs centaines de millions en taxes impayées en raison de son comptable personnel qui s’avérait être un fraudeur et s’était envolé quelques années avant la mort de son père. Bien qu’excessivement riche, son père n’avait à l’époque pas assez d’argent pour rembourser tout cela. Tous les revenus qu’il avait, il les convertissaient toujours majoritairement en actifs pour faire prospérer son entreprise. Cela le mettait évidemment dans une mauvaise posture alors pour éviter le scandale, la faillite et pire s’il refusait de payer il a vendu son âme au diable en faisant affaire avec ces criminels qui abordaient maintenant son fils. La dette de son père demeurait impayée et il revenait désormais à Jacob de s’acquitter du restant de la dette de son père. Il ne s’agissait pas de payer de l’argent, mais d’utiliser les médias contrôlés par le conglomérat des Weaver pour avancer l’agenda de ces gens qui était impliqué dans le milieu politique, américain, australien et britannique. Jacob était ronger par cela de l’intérieur, il n’était pas au courant des secrets que cachait son père toutes ses années derrière son apparence neutre et détachée et l’idée de continuer là où ce dernier s’était arrêté ne l’intéressait pas, mais il ne savait pas quoi faire d’autre. Il se sentait pris au piège et surtout pris au dépourvu. Il n’avait aucune réponse à cela. Alors, guider par la peur il a fait ce que ses messieurs lui disaient de faire. Mais son sentiment d’impuissance de culpabilité lui pourrissait la vie de sorte qu’il est retombé dans son mode de vie décadent qu’il avait mis derrière lui après s’être remis de la mort de son père. C’était un échappatoire pour lui de la vie qui était la sienne, mais dont il n’avait véritablement aucun contrôle présentement.

Les fêtes et les femmes lui permettaient un peu d’oublier tout ça le temps d’un instant même si elles n’étaient rien de plus qu’éphémère. Une fois, il avait même accepté le défi de séduire une jeune femme d’Island Bay et de la mettre non seulement dans son lit, mais aussi d’en faire sa petite copine officielle. La chasse s’était bien passée et il avait eu sa cible dans ses filets, mais cela avait pris beaucoup plus de temps et d’efforts que prévus, elle n’était pas une de ses filles faciles et il avait pris beaucoup de temps à le faire. Le hic, c’est qu’après avoir passé tout ce temps à la séduire il s’était mis à l’aimer, même qu’un peu, alors malgré le défi accompli il a continué de la fréquenter et se rapprocher d’elle. Elle se confiait à lui, ouvrant grand son cœur, mais Jacob en dépit d’efforts louables ne lui avait pas rendu la pareille même s’il cachait si bien son jeu qu’on aurait dit qu’il n’avait rien à raconter et que sa vie était tout ce qu’il y avait de plus heureux et non événementielle. Il était bien avec cette femme, Alexy, du moins il était bien avec elle jusqu’à ce qu’elle entende accidentellement une discussion à son sujet entre Jacob et son ami qui lui avait lancé le défi. Ce dernier le confrontait à propos du fait qu’il était encore avec l’objet du défi et Alexy a compris assez de la conversation pour réaliser qu’elle s’était fait servir d’elle. Elle est disparue et Jacob n’a pas entendu d’elle depuis longtemps. Après cela, il a mis de côté toutes relations s’étendant à plus qu’une nuit de plaisir. Même s’il n’avait jamais eu l’occasion d’avoir une relation avec quiconque, il regrettait un peu la manière dont les choses s’étaient passées. Mais rien que l’alcool n’avait pas pu lui faire oublier jusqu’à ce qu’il croise Alexy de nouveau il y a quelques mois. Ils ont eu une longue discussion, Jacob a essayé de s’excuser pour l’avoir fait souffrir, mais Alexy est trop blessée et ne lui fait pas confiance. Elle l’a repoussé et depuis Jacob l’évite tant bien que mal pour leur bien à tous les deux. Peu importe les sentiments qu’il avait ou n’avait pas pour Alexy, il n’était définitivement dans un état émotionnel pour essayer de réparer tout cela et en faire quelque chose de beau et réel. Il était une épave et tout le monde serait mieux sans lui, surtout cette chère Alexy alors pour le peu qu’il se souciait d’elle, il la laisserait aller de l’avant. Il ne serait pas un poids l’entraînant vers le bas. Il avait déjà les mains pleines à mettre sa propre vie en l’air même s’il cachait bien son jeu. Il était perçu comme un fêtard, un play boy, personne ne se doutait que depuis toujours cela n’avait été qu’une façade, un peu comme un Bruce Wayne ou Tony Stark. La richesse et une vie d’extravagance ne l’empêchaient pas de souffrir. Jacob était toujours aussi perdu que le jour où il a perdu sa mère, même plus, rien ne semblait indiqué qu’il retrouverait son chemin de sitôt.