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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 what are you doing here ? (mikael)

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Riley Carvalho
Riley Carvalho
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what are you doing here ? (mikael) SiyKa
○ âge : vingt-huit ans, depuis le dix-sept juin dernier.
○ statut : célibataire. aux sentiments un peu tiraillés suite au départ de celle qu'elle commençait à considérer comme sa petite-amie.
○ métier : guide-conférencière au musée d'island bay et aussi à celui de wellington, parfois.
○ quartier : à center bay, dans la colocation de l'appartement #27. elle a récemment déménagé.
○ orientation sexuelle : aux yeux de sa famille, elle se cache. mais riley est homosexuelle.
○ sujets abordés : viol, overdose.
○ informations en vrac : elle préfère souvent mettre une pizza surgelée au four, plutôt que d'en cuisiner une. elle n'est pourtant pas mauvaise en cuisine. // elle essaye d'initier les membres de sa colocation aux jeux de sociétés en tout genre. // parler de lissandro est devenu un sujet tabou dans la famille. // il lui arrive de fumer, de temps en temps. // elle aime beaucoup les films marvel. il n'est pas rare qu'elle se refasse l'intégralité du mcu chaque année. // rares sont les personnes au courant de ce qui lui est arrivé. // elle ne boit pas d'alcool, ou alors, à de rares occasions. // très souvent, elle porte des vêtements foncés. loin d'elle l'idée de faire véhiculer un message, ils ont simplement sa préférence. // elle évite toujours de passer dans la rue où habitait son petit ami lorsqu'ils étaient au lycée, de peur de le croiser. // elle a pris des cours d'auto-défense à l'université. // en australie, elle avait un chat. elle l'a laissé à une voisine lorsqu'elle a quitté le pays. // elle a un carnet qui regroupe toutes les cartes postales des pays qu'elle a visités. // elle a en sa possession des papiers pour savoir où se trouve sa fille, mais elle n'a pas encore ouvert l'enveloppe. elle ne sait pas si elle veut vraiment savoir. // il lui arrive de coudre ses propres vêtements. // elle aime passer du temps au musée, même en dehors de son travail.

○ posts : 4760
○ points : 135
○ pseudo : nsn.
○ avatar : alba baptista.
○ DC : andrea, celeste, charli, elliott, romi.
○ crédits : sunnysand-rpg.
○ inscrit le : 23/06/2016
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MessageSujet: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyJeu 12 Jan - 21:34


≈ ≈ ≈
{what are you doing here ?}
crédit/ tumblrmikael (puis azel).

La période que je rencontre en ce moment est plutôt compliquée et pour une fois, cela ne concerne pas mon couple. Depuis l'annonce de ma non-grossesse et la révélation de mes parents, je ne peux pas me plaindre sur la relation que je partage avec Azel. Aujourd'hui, le problème est lié à mes parents, mais aussi à la période d'examen que je dois affronter. Pour la première partie, je n'ai pas vraiment eu l'occasion de leur reparler depuis Noël, depuis l'annonce. J'ai eu un message de mon père pour la nouvelle année, mais c'est tout. Ma mère n'a pas donné signe de vie. J'ai eu de ses nouvelles via mon petit-frère que j'ai été chercher à l'école plusieurs fois, mais c'est tout. Cela ne me réjouit pas, c'est certain, mais je ne peux pas tourner le dos à Azel sous prétexte qu'ils ne l'acceptent pas. En ce qui concerne mes études, je suis sur ma dernière année et je ne peux pas me rater. Alors ce matin, j'ai commencé à travailler à huit heures trente, lorsque je me suis retrouvée seule à l'appartement. Après ça, je ne me suis pas vraiment arrêtée, juste pour grignoter un peu le midi et le soir. Autant dire que là, je suis épuisée. J'aurais bien demandé un massage à Azel, pour me détendre, mais cette dernière a eu une réunion de dernière minute et je dois dire non à ce petit moment de plaisir. À la place de ça, je fille me coucher. Je dois être en forme pour affronter la journée de demain.

Le claquement de la porte d'entrée me réveille, Azel ne pensait certainement pas que je serais déjà couchée. Elle reste quelques minutes dans la pièce principale de mon appartement, puis finit par me rejoindre dans la chambre. J'ouvre péniblement les yeux et lui offre un charmant sourire. « Coucou toi. » Elle s'approche légèrement de moi, dépose un tendre baiser sur mes lèvres et repars, pour se changer et faire tout ce que l'on fait avant de venir se coucher. Je l'écoute faire de loin et lutte pour ne pas me rendormir. Après plusieurs minutes, elle finit par revenir et se couche à côté de moi. « Tu as passé une bonne journée ? » Dis-je à Azel, alors que je viens me blottir dans ses bras. En réalité, je lui ai demandé cela, mais je suis bien incapable d'écouter sa réponse, je suis déjà en train de me rendormir. Je marmonne légèrement pour prétendre que je l'écoute, mais nous savons toutes les deux que je commence déjà à être très loin et que je rejoins de nouveau les bras de Morphée.

Plusieurs coups violents se font entendre. J'ouvre difficilement les yeux et pense dans un premier temps qu'il s'agit d'un mauvais rêve. Mais après plusieurs secondes, le bruit se fait de nouveau entendre. Je m'assois dans le lit et je regarde Azel qui dort encore. Même si je ne suis pas tellement rassurée d'être réveillée à une heure de la nuit, je me lève, attrape un gilet et l'enfile. En quittant la chambre, je fais attention de bien refermer la porte et cela sans faire de bruit pour éviter de réveiller ma petite amie. « J'arrive. » Dis-je en murmurant presque, alors qu'on cogne une nouvelle fois contre ma porte. Il faut laisser un peu de temps à ma voix pour qu'elle revienne à un niveau normal, elle vient elle aussi d'être réveillée en pleine nuit. Je déverrouille la porte d'entrée et l’entrouvre légèrement, je ne vais pas l'ouvrir en grand alors que je ne sais même pas qui se trouve derrière. « Papa ? » En me levant, je n'avais aucune idée de qui pouvait être derrière la porte, mais jamais je n'aurais cru que ce serait lui. « Mais qu'est-ce que tu fais là ? Il est trois heures du matin ! » Je ne suis pas encore en capacité de comprendre ce qui le pousse à être ici, d'ailleurs, je n'arrive pas encore à voir qu'il est complètement ivre.
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyLun 16 Jan - 22:59

❝ what are you doing here ? ❞
Reagan & Azel & Mikeal
- "Mikeal je suis désolé, mais je dois fermer... (mine désolé) Je... je sais que ce n'est pas facile pour toi en ce moment et si je pouvais... " Déposant mon verre vide sur le comptoir, sourire amer aux lèvres... "Je sais benny! T'inquiètes pas pour moi, il faut que je rentre de toute façon..." Me levant du tabouret sur lequel j'étais assis depuis trois heures, je manquais de tomber me rattrapant de justesse au bar... "Mikeal... ca... tu veux que je t’appel un taxi ou..." Levant ma main en direction du barman, je me concentrais pour marcher droit jusqu'à la porte d'entrée. Ces temps ci les températures étaient plutôt basses une fois la nuit tombée, et c'est donc refermant sur veste que j'entrepris de revenir à ma voiture garée non loin... Je crois bien que je passais vingt bonnes minutes assis dans l'habitacle ne sachant quoi faire. Il n'y a pas si longtemps que cela, à cette heure j'aurai été auprès de ma femme et mes enfants à rire autour d'un bon film, ou tout simplement à les regarder faire leurs devoirs, jouer ou écouter de la musique... Oui, il n'y a pas si longtemps j'avais une famille, mais à présent tout n'était que ruines et guerre! Reagan ne nous parlait plus et avait déménagé dans son appartement, amanda ne me parlait plus sauf pour m'accuser d'avoir éloigné sa fille de la maison en acceptant ce compromis qu'elle jugeait ridicule, et come avait décidé que j'étais le méchant de l'histoire sa mère n'arrangeant rien à l'affaire. Alors autant vous dire que je n'étais pas pressé de rentrer chez moi, pas plus que je ne l'étais de me rendre à mon boulot! Fields corporation... J'étais si heureux d'y travailler avant, si fière! Et à présent ce lieu ne cessait de me rappeler à cause de qui j'avais tout perdu!! Azel était réapparu dans nos vies dévastant tout sur son passage, emportant par la même ma petite fille loin de nous, loin de moi... J'avais une telle rage au fond du cœur, que je ne savais ce que je pourrai faire si je me retrouvais en face d'elle ou de son père. Dieu merci, je n'avais eu à me retrouver en présence ni de l'un, ni de l'autre depuis le fameux repas de noël.

Toc toc toc... Bifurquant ma tete sur la gauche en direction du bruit, je baissais ma vitre sous le regard inquiet de Benny. "Mikeal tu veux que je t'appel..." Coupant le barman voix lasse.. "Ca va aller benny, je me refaisais avant de prendre la route... (lui souriant) Rentre bien et embrasse ta femme pour moi!" Me faisant un signe de tête, benny s'éloigna lorsque je mis le contact. Les routes étaient plutôt dégagées cette nuit, aussi je ne tardais pas à arriver sur Island Bay, et mis encore moins de temps pour rejoindre le quartier résidentiel de center bay. Garant ma voiture dans l'allée du "42", je poussais un profond soupire avant de sortir du véhicule et me rendre près de la porte d'entrée... A peine avais glissé mes clés dans la serrure, que la porte s'ouvrit sur une Amanda déchainée... "C'est une heure pour rentrer chez soi??!! (me poussant fermant la porte derrière elle) Tu crois que tu peux aller et venir comme bon te semble?!" Fermant un court instant les yeux, je cherchais la force en moi de garder mon calme... "Amanda ce n'est pas le moment, je suis fatigué et j'aimerai juste..." Me bousculant de nouveau "TU es fatigué???!!! JE viens de sortir d'une garde de 24h, JE suis allée chercher mon fils à son école et J'AI préparé son diner, vérifié ses devoirs et JE l'ai mis au lit!! (se pointant du doigt) J'AI le droit d'etre fatiguée et de vouloir des choses!! JE..." Je ne l'entendais déjà plus ma colère gagnant en force... Elle était là à déblatérer sur ce qu'elle faisait, ce que je ne faisais pas, ce que j'aurai dû faire, ce qu'elle elle aurait fait. Elle s'attribuait le beau rôle, jouait à la femme parfaite alors que cela faisait plus de trois mois que j'avais découvert qu'elle avait une liaison avec un de ces collègues... Il me serait si facile de lui jeter cela à la gueule, de m'emporter, de la réduire à rien par de simples paroles bien placées et pesées, mais je n'en avais aucune envies... A vrai dire, je ne voulais plus rien mise à part le calme et que l'on me foute un peu la paix! Mais ça, ça elle ne paraissait pas l'entendre ou le comprendre ce qui commençait doucement mais surement à me mener à la limite de ce que je pouvais supporter... "TU as encore bu et TU veux que je laisse un ivrogne rentrer dans MA maison..." N'en tenant plus, ma colère ayant pris le pas sur ma raison... "TA MAISON... (m’avançant menaçant) TA MAISON?! Excuses moi mais il me semble que j'ai investi largement plus que toi dans ces murs! Tu es là à me reprocher tout et n'importe quoi, mais qui est là quand TU avertis quelques minutes à l'avance que tu ne rentreras pas pour raison professionnelle?! (m’avançant un peu plus, regard brillant) Qui va chercher NOTRE fils à l'école le plus souvent et fait ses devoirs avec lui??!!! Qui lui prépare de quoi diner et ce dans le silence le plus total?! Qui récolte toute sa colère alors que l'autre profite de cette image de perfection?!" S'approchant menaçante "Tu ne vas pas me..." La coupant abruptement.. "FERME LA! (plantant mon regard dans le sien) FERME TA GRANDE GUEULE!" Sursautant Amanda parut désarmée, je profitais de cet instant pour la dépasser et rentrer dans la maison, la laissant seule abasourdie sur le perron... Nous avions souvent eu des coups de sang, mais rien nous conduisant à cela, rien ne nous menant à nous dé respecter, et cela me rendait malade que nous soyons rendu à cela... Prenant une douche rapide, j’enfilais un jean, un t shirt noir et pris ma veste en cuir avant de redescendre. Je m’arrentais quelques instant dans le hall mon regard accrochant celui d'amanda, avant que je ne me décide à pousser la porte d'entrée. Montant dans mon véhicule, je restais quelques minutes là avant de me décider à reprendre la route...

Il était déja minuit et demi et les seuls endroits encore ouverts étaient les boites de nuits et quelques bar clubbing. Il y en avait un sur south bay que j'aimais particulièrement, il s'agit du Treasure dont la propriétaire Erin Branco était une bonne amie à moi... J'avais réussi à la convaincre d'ouvrir celui ci et à son départ pour l’Espagne, je lui avais conseillé de le laisser ouvert sous la direction d'un tiers au cas ou elle se déciderait à revenir en Nouvelle Zélande. Garant ma voiture, je pénétrais à l’intérieur du lieu très classieux qui sous la tutelle d'Edgard avait pris un petit coté plus... humm comment dire... déjanté! Il n'était pas rare de voir les barmaids danser sur les comptoirs ou encore, quelques serveuses assurer le show avec des battles de danses ou encore des animations un peu plus sexy... Si erin voyait cela pour sur elle péterait un câble, mais c'est ce qu'il fallait à son établissement aussi avais je promis à Edgard de tenir ma langue et en échange ma note était allégée... Tout n'était que lumière, musique et amusement, mais je n'avais pas le coeur à cela. Aussi me rendant dans un des salons VIP, je me contentais de boire et regarder tout ce beau monde s'amuser... Les heures passèrent aussi vite que les bouteilles se vidèrent et c'est complètement ivre que je quittais les lieux vers les 2h00 du matin. Laissant la voiture rouler sans but, je finis par atterrir sur la colline ou nous avions l'habitude de rester Dana et moi... J'y restais une bonne heure, me remémorant les bons souvenirs, buvant à la mémoire de celle qui avait en grande partie fait de moi l'homme que j'étais. Plus qu'ivre et submergé par diverses émotions que je ne parvenais à contenir, je pris le volant et me retrouvais en bas de l'immeuble ou reagan logeait... Pénétrant dans l'ascenseur, j'appuyais sur le 10em étages n'ayant qu'une seule envie, prendre ma fille dans mes bras et lui dire combien je l'aimais et combien elle me manquait!! Reagan avait peut etre appris dernièrement qu'elle était une enfant adoptée, mais pour moi elle était MA fille! Je n'étais pas allé la chercher dans une institution, non! J'avais vécu la grossesse avec sa mère, avais été chercher tard le soir fraises, glaces à la creme, fruits et autres selon les envies de sa mère biologique... J'avais ri, pleuré, joué, dormi avec sa mère, touché et parlé à ce ventre qui s'arrondissait chaque jour un peu plus. Reagan était ma fille, quoi qu'elle en pense, quoi qu'elle ressente elle restait MA fille! Sortant de l'ascenseur, je me rendis devant la porte du "111" et après avoir pris une bouffée d'air, je frappais légèrement afin de ne pas réveiller tout le palier... Rien... Je frappais un peu plus fortement... toujours rien... Soudain une forte angoisse étreigna mon cœur. J'avais l'impression de revenir quelques années en arrière ou ivre je frappais à la porte de Dana, porte qui ne s'ouvrit plus jamais. Mon angoisse se mua en peur irraisonnée alors que je me mis à frapper plus fortement... Déja une porte s'ouvrit sur une vieille dame dont le faciès exprimait le mécontentement, mais je n'en avais cure, je voulais juste que cette porte s'ouvre, chose qui se fit à l'instant ou l'inconnue pesta pour avoir un peu plus de silence... « Papa ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? Il est trois heures du matin ! » Souriant larmes aux yeux, je poussais la porte sans résistance de la part de reagan et enlaçant celle ci avec force, j'embrassais son front, humant l'odeur de ses cheveux, imprégnant de l'odeur de sa peau. Cela faisait plus de deux mois que je ne l'avais pas vu, que je n'avais pas entendu le son de sa voix, que je ne l'avais pas serré dans mes bras... J'aime ma fille, je peux meme dire que je suis fou d'elle et son absence me tue! Sentant mon cœur se gonfler, je ne pus retenir mes larmes..." (voix enraillée) Tu m'as manqué... tu m'as tellement manqué! (m'écartant légèrement, caressant ses joues de mes pouces) Tu... (larme) tu vas bien? Je veux dire (cherchant à retrouver une voix normale) Tu n'as besoin de rien?! Je... je suis là si... (fondant en larmes) Je suis toujours ton père... J'ai toujours été ton père!" Baissant la tete, je regardais le sol pour ne pas que ma fille voit son père s'effondrer. Je ne savais quoi lui dire, comment lui crier mon amour, comment revenir au creux de son coeur... Cette souffrance était la pire que j'ai jamais endurée, le silence d'un enfant, de votre enfant était la pire des tortures. Ne parvenant plus à me contrôler, c'est la voix tremblante et les larmes coulant à flot que je relevais mon regard dans le sien... "Je ne veux pas te perdre reagan... je ne peux pas te perdre! Dis moi... (voix enraillée) dis moi juste ce qu'il faut que je fasse!"  
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Dernière édition par Mikeal Wiess le Ven 17 Mar - 19:25, édité 1 fois
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○ âge : vingt-huit ans, depuis le dix-sept juin dernier.
○ statut : célibataire. aux sentiments un peu tiraillés suite au départ de celle qu'elle commençait à considérer comme sa petite-amie.
○ métier : guide-conférencière au musée d'island bay et aussi à celui de wellington, parfois.
○ quartier : à center bay, dans la colocation de l'appartement #27. elle a récemment déménagé.
○ orientation sexuelle : aux yeux de sa famille, elle se cache. mais riley est homosexuelle.
○ sujets abordés : viol, overdose.
○ informations en vrac : elle préfère souvent mettre une pizza surgelée au four, plutôt que d'en cuisiner une. elle n'est pourtant pas mauvaise en cuisine. // elle essaye d'initier les membres de sa colocation aux jeux de sociétés en tout genre. // parler de lissandro est devenu un sujet tabou dans la famille. // il lui arrive de fumer, de temps en temps. // elle aime beaucoup les films marvel. il n'est pas rare qu'elle se refasse l'intégralité du mcu chaque année. // rares sont les personnes au courant de ce qui lui est arrivé. // elle ne boit pas d'alcool, ou alors, à de rares occasions. // très souvent, elle porte des vêtements foncés. loin d'elle l'idée de faire véhiculer un message, ils ont simplement sa préférence. // elle évite toujours de passer dans la rue où habitait son petit ami lorsqu'ils étaient au lycée, de peur de le croiser. // elle a pris des cours d'auto-défense à l'université. // en australie, elle avait un chat. elle l'a laissé à une voisine lorsqu'elle a quitté le pays. // elle a un carnet qui regroupe toutes les cartes postales des pays qu'elle a visités. // elle a en sa possession des papiers pour savoir où se trouve sa fille, mais elle n'a pas encore ouvert l'enveloppe. elle ne sait pas si elle veut vraiment savoir. // il lui arrive de coudre ses propres vêtements. // elle aime passer du temps au musée, même en dehors de son travail.

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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 22 Jan - 21:42


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{what are you doing here ?}
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Voir mon père ici me surprend, le voir agir de la sorte, encore plus. Il s'approche de moi et me prend dans ses bras, sans que je n'ai le temps de réagir. Il a déjà agit de la sorte, ce n'est pas cela qui me perturbe, mais c'est bien le fait que la récente distante entre nous a été imposé par lui. Lorsque je leur ai parlé d'Azel, à lui et ma mère, il a décidé de partir. Alors pourquoi revient-il de la sorte aujourd'hui ? « Tu m'as manqué... tu m'as tellement manqué ! » Je soupire légèrement. Qu'est-ce que je suis censée faire ? Je suis heureuse de le voir, c'est certain, mais il est quand même trois heures du matin et une telle visite ne peut pas être anodine. « Papa.. » Il s'éloigne légèrement de moi et je peux ainsi le regarder, analyser chacun de ses traits. « Tu...tu vas bien ? Je veux dire.. Tu n'as besoin de rien ?! Je... je suis là si... » Je ne l'écoute presque plus, je suis hypnotisée par son état. Je ne me rappelle pas l'avoir déjà vu ainsi, ou alors si, mais c'était seulement lorsque je me suis retrouvée à l'hôpital. Un tel événement justifiait son état, mais aujourd'hui non et je reste pensive, cherchant bien ce qui fait qu'il est ainsi. « Je suis toujours ton père... J'ai toujours été ton père ! » Je n'ai jamais douté de ça. J'ai peut-être remis son autorité en cause lorsque j'ai appris pour mon adoption, mais c'était simplement pour lui montrer mon mécontentement, pour lui montrer qu'ils n'avaient pas à me mentir pendant vingt ans. Même si j'ai fait des recherches sur mes parents durant un certain temps, je ne comptais pas les remplacer en un claquement de doigts. « Je ne veux pas te perdre Reagan... je ne peux pas te perdre ! » Finit-il par dire pour poursuivre son petit discours. « Dis moi... dis moi juste ce qu'il faut que je fasse ! » Je n'ai pas la réponse, je n'arrive même pas à savoir où il veut en venir. Notre famille a quelques bas en ce moment, tous liés à moi, ce qui pourrait être un peu vexant dans le fond, mais cela ne veut pas dire que ça restera ainsi toute notre vie. Par exemple, j'ai été agaçante, énervée et très distante suite à l'annonce qui a été faite il y a un peu plus d'un an maintenant, mais cela allait un peu mieux, avant Noël. Finalement si, j'ai peut-être la réponse à sa question. Le repas de Noël s'est terminé très vite, raccourcit par l'annonce de ma relation avec la blonde qui dort dans la chambre et j'ai bien envie de savoir pourquoi, savoir ce qui dérange autant mon père. Dans le fond, s'il veut que tout aille bien entre nous, il va falloir qu'il finisse par accepter ma relation. Cela est peut-être beaucoup lui demander pour le moment, alors je me contente de détourner la conversation. « Nous sommes en plein milieu de la nuit et tu viens me dire cela ? Tu n'es pas censé faire comme tout le monde et dormir ? » Oui, je me répète, encore. Mais il faut qu'il prenne conscience que l'on ne vient pas cogner chez les gens juste sous prétexte qu'ils nous manquent. J'ai eu peur en me levant, je pensais que j'allais apprendre une mauvaise nouvelle. J'oscille la tête de gauche à droite, tout en le regardant. « Tu as bu ? » Cette question est un peu bête. Bien sûr qu'il a bu, ça se sent quand il parle. C'est peut-être pour ça qu'il agit ainsi, qu'il est si.. faible. Je soupire une nouvelle fois. Je n'ai jamais eu l'occasion de le voir ivre, il devait certainement faire en sorte que nous ne le voyons pas, Côme et moi. Quoiqu'il en soit, j'ai comme l'impression que les rôles sont inversés ce soir. Il joue à l'adolescent et moi l'adulte. Je m'éloigne de lui et me dirige vers l'espace cuisine. Je sors un verre du placard et le remplit d'eau. Je retourne ensuite vers lui et lui tend la boisson. « Ça devrait t'aider un peu. » Son corps devrait apprécier un peu d'eau. Je le regarde, un peu énervée. Non pas par le fait qu'il soit venu ici me déranger, mais bien par le fait qu'il est venu ici alcoolisé. Il a certainement dû conduire et oublier aussi tout ce qu'il m'a toujours dit sur les risques de l'alcool, il n'aurait pu ne jamais arriver. Je pense alors aussi aux options qui s'offrent à moi, je ne vais pas pouvoir le laisser repartir comme ça. Soit il va devoir dormir ici, soit j'appelle un taxi ou alors ma mère. D'ailleurs, où est-ce qu'elle est ? Elle laisse son mari boire autant et le laisse ensuite seul ? « Maman accepte tout ça ? »
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 29 Jan - 16:58

❝ what are you doing here ? ❞
Reagan & Azel & Mikeal
- "Je ne veux pas te perdre reagan... je ne peux pas te perdre! Dis moi... (voix enraillée) dis moi juste ce qu'il faut que je fasse!"

Larmes aux yeux j'étais totalement désarmé face à ma fille... Moi le roc, l'homme de toutes les situations, je flanchais, me perdais devant ces yeux noisettes qui étaient posés sur moi! Elle était si belle, tellement parfaite dans son imperfection, tellement tout ce que j'avais espéré le jour ou je l'avais prise dans mes bras pour la première fois... Parce qu'à vrai dire, reagan était un mini moi, une sorte de mikeal 2.0 avec un caractère merdique et une obstination à la limite du ridicule. Elle avait cette force, cette volonté de se battre pour ses idéaux, et ce qu'elle soit épaulée ou non, et cela ne pouvait que me rendre fier!! Je n'étais peut être pas le père de l'année, mais j'avais réussi à faire de ma fille, une femme qui saurait avancer dans la vie que mes yeux restent ouverts ou non... Me perdant dans la contemplation de mon enfant que je n'avais pas revu depuis ce fameux repas de noël, sa voix me tira de mes rêveries... « Nous sommes en plein milieu de la nuit et tu viens me dire cela ? Tu n'es pas censé faire comme tout le monde et dormir ? » Je ne m'attendais pas à cette réponse, bien que cette réflexion était bien digne de moi!! Mes larmes se mêlant à un rire franc, je passais une main sur mon visage pour chasser celles ci afin de reprendre un peu contenance...  Soupirant mon cœur débordant d'amour, je secouais ma tête hilare du manque de tact de ma progéniture, tact que je n'avais pas plus qu'elle mais que j'avais espéré qu'elle n'hérite pas... "Tu as raison, il est... (regardant ma montre) heu.. ha oui! (posant mes yeux de nouveau sur reagan) Je... (grattant ma tête) je n'avais pas fait attention! (main dans mes cheveux, sourire taquin aux lèvres) Oups!" Oscillant la tête de gauche à droite, reagan plissa les yeux me détaillant un peu plus... « Tu as bu ? » Mon sourire disparut d'un coup. Jamais mes enfants ne m'avaient vu saoul! Un peu euphorique lors de grandes fêtes de famille, mais jamais ivre comme je l'étais ce soir... Je ressentis une grande gène, mais nullement de la honte! J'avais toujours voulu qu'entre nous il y est un fort sentiment de confiance, que l'on puisse se montrer entre nous tel que nous étions... Ivres, joyeux, tristes, amers... gay?! Je fronçais les sourcils alors que reagan s'éloignait dans la cuisine... Était ce l'une des raison de ma vive réaction à noël? Était ce parce que j'avais eu l'impression d'être trahi, d'être mis à l'écart de la vie de ma fille, alors que j'avais toujours mis un point d'honneur à créer un climat de confiance?! Posant mon regard sur le sol, je revis cette fameuse scène ou reagan nous avait annoncé en plein diner qu'elle était avec Azel depuis plusieurs mois... Le choc avait été si rude, que je n'avais pas eu de mot, me contentant de me lever et de partir. Non pas que j'étais fâché ou triste, j'étais juste... j'étais juste... Déçu! Qu'avais je donc raté? Qu'avais je donc fait pour qu'elle ne vienne pas m'en parler plus tôt? Pour qu'elle ne se livre pas à son père?! M'étais je donc si éloigné de ma propre chair pour qu'elle vive tous ces changements seule! J'avais éprouvé de la colère ce jour là, oui, je ne mentirai pas! Mais pas vis à vis de reagan, mais bien  vis a vis de moi... Je m'étais remis en question, avais refait le film de ces dernières années, avais cherché là ou j'avais perdu la confiance de ma fille sans parvenir à y mettre le doigt. Alors je m'étais enfermé dans ce sentiment d'amertume qui avait gagné en force sous les divers reproches d'amanda... Pour elle, j'étais celui qui avait fait rentrer la pomme pourrie dans son foyer, et par pomme pourrie, elle entendait Azel. Je crois que ma réaction face à ses propos scella notre rupture! Je m'en souviens encore comme si c'était hier...

chambre parental, maison wiess...

"TU AS FAIT ENTRER CETTE ENFANT DANS NOS VIES!!! (marchant de droite à gauche, passablement énervée) JE TE REVOIS ENCORE ME DIRE ET SI NOUS L APPELIONS REAGAN, CEST AZEL QUI A TROUVE!" Passant mes mains sur mon visage cherchant les mots... "Amanda... je ne pouvais pas savoir qu'elle... qu'elles..." Criant de plus belle... "QU ELLE FINIRAIT DANS LE LIT DE MAAAAAA FILLE? QU ELLES SE METTRAIENT EN COUPLE? (s'approchant de moi menaçante) Ce n'est pas toi qui m'a dit hilare qu'azel t'avait dit que si elle avait été un garçon, elle aurait épousé reagan?" Riant mi gené mi amusé.. "Mais c'était les propos d'une enfant..." me coupant la parole " D UNE ENFANT? UNE ENFANT DIRAIT CE GENRE DE CHOSE?! TU NE VOIS PAS QU ELLE ETAIT DEJA PERVERTI A SON AGE! QU ELLE... " M'emportant réduisant la distance entre nous regard noir, tremblant de rage, voix menaçante... "TU vas très vite baisser d'un ton! (la pointant du doigt) TU ne connais pas Azel! TU ne sais rien de cette enfant, alors TU vas très vite te calmer!" Choquée.. "tu prends la défense de cette fille?! (fronçant les sourcils) de cette... cette gamine pourrie gatée qui n'a aucune limite, qui... " l'interrompant " La terreur n'est pas comme tu le penses, elle est maligne et oui un peu gâtée et alors?! Nous avons fait la meme chose avec reagan lorsqu'elle...." regard mauvais... " La terreur??? la terreur???? LA TERREUR COUCHE AVEC NOTRE FILLE! REVEILLE TOI!!! TU AS DÉCIDÉ DE FAIRE DE CETTE GAMINE TA FILLE DE SUBSTITUTION PARCE QUE JE N ARRIVAIS PAS A AVOIR NOTRE ENFANT! TU L AS FAIT ENTRER DANS NOS VIES, RAMENANT TES ORDURES DE TON TRAVAIL... ET...." Me précipitant sur amanda je plaquais celle ci contre le mur, ne répondant plus de moi... "Azel n'est pas une ordure! Ne t'avises plus JAMAIS de redire cela! (regard de dégout) Tu as bien vite oublié ton aventure avec cette fille à la fac! Tu es très mal placé pour critiquer la terreur!!! Tu as brouté de la chatte il me semble et d'après ce que tu m'as dit, tu as a.d.o.r.é ça!" Piquée au vif me repoussant.. "Dit monsieur bonne conscience qui s'est tapé sa meilleure amie alors que nous étions fiancé!!! Elle a été plus maligne que moi, elle a su voir la source de problèmes que tu serais!!" Serrant la mâchoire "Elle au moins traitait les gens avec respect! Elle aurait su trouver les mots avec notre fille, elle aurait su faire en sorte que notre fille vienne se confier à elle!" Regard noir et triste "Tu aurais peut etre dû te marier avec elle!" Regard triste ton sec... " C'est ce qui se serait fait, si elle ne nous avait pas quitté!"

Retour au moment présent...

« Ça devrait t'aider un peu. » Je relevais les yeux sur le verre d'eau que reagan me tendait, revenant par la même à la réalité. Souriant, je me saisis de celui ci, mon sourire s'élargissant de plus en plus... "Tu sais que l'eau n'aide pas à dessaouler! Mais je prends quand même (clin d’œil)" Je pouvais voir au regard de ma fille qu'elle était contrariée... Surement du fait que j'étais ivre, bien plus en tout cas que pour l'heure tardive... Je peux voir aux divers inflexions de ses traits de visage que ça cogite pas mal dans son crane, et je sens déjà la remontrance venir. Il faut dire que si elle avait été dans mon cas, je ne l'aurai pas loupé ayant toujours fait le nécessaire au niveau de la prévention contre l'alcool, les drogues et les mauvaises fréquentation auprès de mes enfants... Seulement, je ne m'attendais pas à son ... « Maman accepte tout ça ? » Serrant instinctivement la mâchoire, je tentais de garder un faciès neutre bien que je bouillais de l’intérieur! Que devais je dire à reagan? Ta mère a un amant et donc autre chose à faire que de se préoccuper de ce que ton père ressent ou fait? Ou encore, ta mère ne cesse de me reprocher le fait que je te paie cette appartement et considère que ta place est à la maison cloitrée dans ta chambre? Ou encore, ta mère pense qu'Azel est le mal et a décidé de mener une croisade contre elle? Erfff, non! Il valait mieux que je me taise sur ce sujet et que je mente... " Ta mère ne sait pas, je fais en sorte de rentrer comme un sou neuf afin de ne pas dormir sur le canapé (faux sourire)" Dormir sur le canapé... mais je ne dormais meme plus dans le salon, préférant dormir dans ma voiture dans l'allée de la maison, ou encore dans un motel pour arriver très tot le matin à la maison, prendre une douche, m'occuper de come quand c'est mon tour et l'emmener à l'école.... A vrai dire, c'était une véritable bénédiction que reagan ne soit pas présente ces temps ci à la maison; Cela lui évitait un climat froid et tendu, climat que come subissait de plein fouet! Il me vint d'ailleurs une idée... "Dis moi reagan, j'aurai besoin de savoir si tu pourrais prendre come avec toi le temps d'un week end? Ta mère travaille de plus en plus, et j'aurai un voyage d'affaire à faire; Aussi, come serait nettement plus heureux de passer ces journées avec toi qu'avec vos grands parents!" Semi mensonge... Je voulais juste éloigner come de la maison le temps d'un week end qu'il souffle un peu. Et cela me permettrait moi de prendre une chambre d’hôtel et dormir deux nuits dans un vrai lit douillet...
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Dernière édition par Mikeal Wiess le Ven 17 Mar - 19:28, édité 1 fois
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Riley Carvalho
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what are you doing here ? (mikael) SiyKa
○ âge : vingt-huit ans, depuis le dix-sept juin dernier.
○ statut : célibataire. aux sentiments un peu tiraillés suite au départ de celle qu'elle commençait à considérer comme sa petite-amie.
○ métier : guide-conférencière au musée d'island bay et aussi à celui de wellington, parfois.
○ quartier : à center bay, dans la colocation de l'appartement #27. elle a récemment déménagé.
○ orientation sexuelle : aux yeux de sa famille, elle se cache. mais riley est homosexuelle.
○ sujets abordés : viol, overdose.
○ informations en vrac : elle préfère souvent mettre une pizza surgelée au four, plutôt que d'en cuisiner une. elle n'est pourtant pas mauvaise en cuisine. // elle essaye d'initier les membres de sa colocation aux jeux de sociétés en tout genre. // parler de lissandro est devenu un sujet tabou dans la famille. // il lui arrive de fumer, de temps en temps. // elle aime beaucoup les films marvel. il n'est pas rare qu'elle se refasse l'intégralité du mcu chaque année. // rares sont les personnes au courant de ce qui lui est arrivé. // elle ne boit pas d'alcool, ou alors, à de rares occasions. // très souvent, elle porte des vêtements foncés. loin d'elle l'idée de faire véhiculer un message, ils ont simplement sa préférence. // elle évite toujours de passer dans la rue où habitait son petit ami lorsqu'ils étaient au lycée, de peur de le croiser. // elle a pris des cours d'auto-défense à l'université. // en australie, elle avait un chat. elle l'a laissé à une voisine lorsqu'elle a quitté le pays. // elle a un carnet qui regroupe toutes les cartes postales des pays qu'elle a visités. // elle a en sa possession des papiers pour savoir où se trouve sa fille, mais elle n'a pas encore ouvert l'enveloppe. elle ne sait pas si elle veut vraiment savoir. // il lui arrive de coudre ses propres vêtements. // elle aime passer du temps au musée, même en dehors de son travail.

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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 12 Fév - 18:28


≈ ≈ ≈
{what are you doing here ?}
crédit/ tumblrmikael (puis azel).

La surprise que j'ai de voir mon père ici semble le surprendre, je me sens donc obligée de lui rappeler l'heure qu'il est vraiment et surtout que ce n'est pas un moment pour venir frapper à ma porte, ou alors, uniquement s'il s'agit de quelque chose de grave et visiblement, ici ce n'est pas le cas. « Tu as raison, il est...heu.. ha oui ! Je… je n'avais pas fait attention ! » Je soupire et oscille ma tête de droite à gauche. « Oups ! » Mon père est plutôt étrange et je pense que je ne l'ai jamais vu ainsi. Je m'attarde alors sur ses traits, sur son comportement et je finis par arriver à la conclusion qu'il a bu. Lorsque je lui demande, il ne répond rien et je peux donc en déduire que j'ai raison. C'est bizarre, très bizarre même. Je sais bien que mon père n'est pas infaillible, mais je ne pensais pas le voir dans un tel état un jour. La question que je me pose maintenant c'est de savoir si je suis passée à côté avant ou est-ce vraiment la première fois, depuis ma naissance en tout cas, qu'il se rend ainsi. Qu'est-ce que je suis censée faire moi ? J'ai déjà du mal à savoir quand il s'agit de moi, alors là, pour lui, c'est encore plus compliqué. Pourtant, je me dois d'agir, je ne peux pas le laisser comme cela et encore moins le mettre à la porte de chez moi. Je me dirige alors vers le coin cuisine et lui serre un verre d'eau. « Tu sais que l'eau n'aide pas à dessaouler ! Mais je prends quand même. » Dit-il alors que je viens de le lui donner. Je hausse les épaules, montrant par ce geste que je m'en fiche que cela ne l'aide pas à dessaouler. Il a besoin de se rafraîchir et de se remettre les idées en place. Selon moi, le verre d'eau est la meilleure des solutions, mais après tout, s'il ne veut pas le boire, je peux toujours lui lancer au visage, l'effet devrait être le même. Maintenant que je suis bien réveillée, je deviens curieuse et je cherche à me renseigner sur ce que ma mère pense de tout ça. « Ta mère ne sait pas, je fais en sorte de rentrer comme un sou neuf afin de ne pas dormir sur le canapé. » Je ne sais pas si tout ce qui se passe entre eux est lié à moi, si c'est de ma faute, mais visiblement et d'après ce que je comprends de ses paroles, ce n'est pas la joie entre eux. « Dis-moi Reagan, j'aurai besoin de savoir si tu pourrais prendre Côme avec toi le temps d'un week-end ? Ta mère travaille de plus en plus, et j'aurai un voyage d'affaire à faire. Aussi, Côme serait nettement plus heureux de passer ces journées avec toi qu'avec vos grands parents ! » Je hoche la tête, avant de lui répondre clairement. « Bien sûr, il n'y a pas de soucis. Il peut venir quand il veut. J'ai un lit suffisamment grand pour deux, ou je lui laisserais ma chambre et je dormirais sur le canapé. » Avec Azel certainement. Car même si j'accueille mon frère, pas sûre qu'elle soit ravie d'être mise à la porte. L'avantage ici, c'est que mon petit frère adore la blonde et qu'il ne devrait pas voir d'objection à ce qu'elle soit avec nous pour ce fameux week-end. « Mais tu n'es pas venu pour ça.. Pour demander cela, tu m'aurais envoyé un SMS. » Ça, j'en suis plutôt sûre. On ne débarque pas en plein milieu de la nuit pour seulement demander à ce que son fils passe la nuit chez sa sœur. Il y a donc autre chose, mais je n'arrive à savoir de quoi il s'agit, il dévie beaucoup trop mes questions pour m'éclaircir. « Tu me surveilles ? » Cette question est peut-être déplacée, mais depuis le jour où je leur ai annoncé, à ma mère et lui, que je sortais avec Azel, je ne l'ai pas vu et le voilà qui débarque en plein milieu de la nuit pour une raison qui m'échappe. Je soupire légèrement et jette un rapide coup d’œil à la porte qui mène à la chambre. Ma petite amie y est et j'espère qu'elle dort encore, je m'en voudrais de l'avoir réveillée et surtout, ne sachant pas comment mon père réagirait en la voyant, je préfère qu'elle y reste pour le moment. Je m'avance un peu plus vers le canapé et m'installe dessus. Je tourne ensuite mon regard vers celui qui m'a élevé, le visage triste. « Je n'aime pas te voir ainsi.. » Je ne sais plus vraiment où en est notre relation, mais c'est certain que je n'aime pas voir mon père ainsi, cela me blesse. Surtout que dans le fond, je sais que c'est en partie ma faute.
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptySam 25 Mar - 2:37

❝ what are you doing here ? ❞
Reagan & Azel & Mikeal
« Dis-moi Reagan, j'aurai besoin de savoir si tu pourrais prendre Côme avec toi le temps d'un week-end ? Ta mère travaille de plus en plus, et j'aurai un voyage d'affaire à faire. Aussi, Côme serait nettement plus heureux de passer ces journées avec toi qu'avec vos grands parents ! » J'espérais qu'elle accepte car il en valait du bien être de come... J'aimais mon fils, je l'aimais du plus profond de mon âme, mais... mais j'avais une affection particulière pour sa grande sœur. Elle avait été tant désirée, nous nous étions tous tant battu pour qu'elle arrive à terme, et ce malgré les complications aussi bien médicales que relationnelles et psychologiques, que j'avais pour elle un amour irrationnel. Seulement, avais je su le montrer? Avais je été trop distant, trop pris par mon travail, trop dépassé pour ne savoir comment réagir face à cette bombe qui avait été lachée à noel? Repartant dans mes sombres réflexions, reagan me ramena à elle... « Bien sûr, il n'y a pas de soucis. Il peut venir quand il veut. J'ai un lit suffisamment grand pour deux, ou je lui laisserais ma chambre et je dormirais sur le canapé. » Je jetais un coup d’œil sur le canapé, pas vraiment sur de vouloir y faire dormir ma fille sous prétexte que ses deux parents ne pouvaient plus se voir en peinture. Humm non, definitivement cette solution ne me plaisait pas... Et si je leur payais un week end au cardrona alpine resort, une station alpine dans l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande. Ils pourraient y passer du bon temps, come s'échappant de la maison et les tensions y régnant et reagan faisant une pause dans sa routine universitaire... C'était gagnant gagnant! « Mais tu n'es pas venu pour ça.. Pour demander cela, tu m'aurais envoyé un SMS. » Je fronçais les sourcils ne comprenant pas sa réaction... Non... Non je n'étais pas venu que pour cela, j'étais surtout venu pour voir ma fille comme je lui avais fait comprendre, mais apparemment je n'étais pas le bien venu... « Tu me surveilles ? » Fronçant les sourcils un peu plus, je ne savais quoi répondre tant j'avais mal... Je n'étais peu être pas le meilleur père que la terre ait porté, mais j'en étais un tout de meme et je pensais que ma fille savais que derrière mes airs durs, je mourais de ne pas l'avoir près de moi. Silencieux, je laissais reagan rejoindre le canapé tentant de me calmer afin de ne pas raviver des tensions inutiles entre nous... S'installant à son aise, rea posa ses yeux sur moi, sa méfiance s'étant muée en une profonde tristesse. C'est voix lasse et teintée d'une certaine amertume qu'elle brisa de nouveau le silence... « Je n'aime pas te voir ainsi.. » Déglutissant avec difficulté, je me levai lui tournant le dos de manière à ce qu'elle ne voit pas mes larmes couler. Qu'avais je fait?! Pourquoi tant de confusions, de non dits, de tensions, d'amertumes, de reproches, de désunion au sein de notre famille?! Je ne pouvais rester là à boire et m'enlisser quand j'entrenais à ma suite mes enfants! Soupirant bruyament, je portais mon regard sur le plafond avant de me tourner vers reagan un sourire amère étirant mes lèvres... "Ecoutes, je crois que tu es assez grande pour que je n'ai pas à te mentir... (passant ma main dans mes cheveux) Entre ta mère et moi ça ne va pas fort. Elle... (cherchant mes mots) Elle n'accepte pas la situation... (la montrant de ma main paume ouverte) Ta situation!" Il me fallait bien choisir mes mots, ne pas incriminer sa mère, et ne pas incriminer reagan. Sur un fil tendu, je m'avanturais dans un semblant d'explications... "Disons que nous nous sommes disputés assez violement au sujet d'azel... (grimaçant) Et depuis c'est un peu la guerre froide... (m'approchant rapidement d'elle, mon regard ancré au sien) Mais ce n'est pas de ta faute reagan! Je veux dire... (remettant une meche de ses cheveux en place) Tu peux... (raclant ma gorge) Tu as le droit... Enfin tu as compris... elle... Elle s'y fera!" Oui mais moi, moi est ce que je m'y ferai? Je n'avais pas encore revu azel depuis l'annonce aussi inattendue que brutale de reagan, et je n'arrivais toujours pas à savoir exactement quels étaient mes sentiments vis à vis de la blonde... Colère, déception, trahison, rejet tels étaient ceux que je ressentais avec netteté, et bien que beaucoups de choses sales s'étaient dites entre amanda et moi lors de notre fameuse dispute, une chose était vraie... J'avais fait d'azel mon enfant de substitution, l'avais fait entrer au sein de notre famille bien avant la naissance de reagan, et avais d'une certaine manière contribué à ce lien entre la blonde et ma fille. Tous ces sentiments négatifs au final ne resultaient ils pas du fait qu'en mon esprit, j'avais fait d'azel la soeur de coeur de reagan? Ce sentiment de trahison n'était il pas alimenté par cette image figée d'azel enfant tenant la minuscule main de reagan dans la sienne? M'appretant à ouvrir mon coeur à ma fille un bruit de porte se fit entendre, une voix feminine légèrement endormie s'élevant de derrière celle ci qui s'ouvrit pour laisser apparaitre... "Azel?" Bifurquant mon regard ahuri sur reagan, celui ci se chargea instentanement de colère, ma machoire se contractant sous l'afflut de sentiments aussi violents que négatifs.
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptySam 25 Mar - 19:23




WHAT ARE YOU DOING HERE ?

On ne détruit pas la personne qu’on aime.


Se rendre compte que votre histoire d’amour va droit dans le mur n’est pas une réalisation que vous souhaitez avoir et pourtant voilà ce qui tournait dans la tête d’Azel depuis quelques jours. Elle aimait Reagan comme jamais elle n’avait aimé et comme jamais elle aura un jour aimé. La jeune femme était la femme de sa vie, elle le savait, elle avait toujours cette étincelle au fond de son âme qui lui soufflait qu’elle avait enfin trouvé la bonne personne et c’était vrai, Reagan était la femme de sa vie, son âme sœur, mais pas son avenir. Elle aurait dû le savoir plus tôt, le sentir, la différence d’âge poserait un problème tôt ou tard, Azel rêvait de se marier et avoir des enfants, Reagan le voulait aussi, mais plus tard, beaucoup plus tard et approchant de la trentaine, Azel n’avait plus tellement de temps à perdre. Elle aurait pu se dire que le sacrifice d’une promesse éternelle et les rires d’enfants cavalant dans la maison valait la peine, mais c’était trop lui demander, trop pour elle. Alors oui son histoire allait dans le mur, elles approchaient lentement mais sûrement du précipice, alors quand elle rentrait du travail, qu’elle embrassait la brune, elle ne pouvait pas s’empêcher de se demander si cela était la dernière fois, elle en profitait, chaque baiser, caresse ou sourire que Reagan lui offrait, elle le prenait avec une telle force, qu’elle s’y accrochait. Elle continuait à dévorer sa petite amie du regard, parce que le désir, l’amour était toujours là, il serait toujours là, mais c’est avec amertume qu’elle abordait chaque journée, c’était comme être un prisonnier qui attend sa sentence, qu’il sait qu’on le mènera à la chaise électrique et que la seule question qu’il peut se poser est : quand ?
Ce soir là ne dérogea pas à la règle, Reagan voulait rester chez elle pour travailler et Azel lui avait donc proposé de dormir chez elle, elle voulait passer chaque minute aux côtés de la femme qu’elle aimait, chaque nuit, elle ne voulait pas manquer la moindre chose, le moindre détail. Claquer la porte dans l’impatience de retrouver l’être aimé, la blonde fut surprise de découvrir que celui ci était tranquillement endormi dans son lit et c’est alors avec un sourire non-feint, qu’elle se pencha pour venir embrasser la belle brune avant de chuchoter doucement. « Bonsoir. » Elle aurait voulu s’excuser de l’avoir réveillé et dans le fond elle se sentait un peu coupable, mais en même temps, elle adorait l’idée de pouvoir observer ses beaux yeux bleus, chaque détail de son visage parfait, c’est donc extrêmement rapidement qu’elle se changea. Laisser glisser la robe hors de prix à ses pieds, retirer les chaussures à talon qui devaient valoir le double de ce que pouvait toucher Reagan, quitter ses sous-vêtements et à la place enfiler un boxer noir et une chemise bleu ciel beaucoup trop grande pour elle, c’était comme quitter Azel Fields pour Azel, juste Azel. Quitter le rôle de la PDG et rédactrice en chef de MODE magazine pour simplement être Azel, une jeune femme amoureuse comme jamais de la personne qui partage sa vie et qui déteste les films d’horreur car trop effrayée. Enfin, elle rentra dans le lit et fut immédiatement accueilli par la chaleur de la couette mêlé au corps de la brune qui vint se coller à elle, déposant un baiser sur le front de sa belle, elle laissa un doigt redessiner les traits de son visage avant de sourire presque tristement. « Non, absolument pas, mais elle se termine parfaitement. » Renouer avec les lèvres de Reagan était comme avoir droit encore et toujours à une nouvelle bouchée de son gâteau préféré, comme revenir continuellement à un état de bonheur inexplicable.

Des mots, des cris, des pleurs peut-être, voilà ce qui la tire de son sommeil, automatiquement son bras cherche un corps à ses côtés qui n’y est pas, la place est froide signe que Reagan a quitté le lit depuis un petit moment maintenant. Lentement elle se lève, ouvre la porte, croise les bras sur sa poitrine avant d’être agressée par la lumière artificielle, pire être agressée par la vision qui s’offre à elle, Mike, son beau-père, celui qui avait un père de substitution pour elle quand son propre père était occupé en réunion, c’est lui qui l’avait aidé avec ses soustractions, ses lettres d’alphabet. C’est lui qu’elle retrouvait tous les ans au gala organisé par son père et sa compagnie, c’était lui le confident de la famille, il en était devenu un membre à part entière d’ailleurs et c’était avec sa fille qu’Azel faisait l’amour, riait, rêvait, fonçait dans un mur. Visiblement il était surprit de sa présence et au-delà de ça, il ne semblait pas tellement ravi et elle non plus. Elle connaissait sa position à l’égard de la relation qu’elle entretenait avec Reagan et ça la faisait souffrir, pas autant que la brune, mais tout de même, elle avait idéolatré l’homme durant tellement d’années que maintenant se retrouver à le mépriser avec colère était douloureux. Une voix glaciale, une voix réservée à ceux qui ne la connaissent pas, une voix qui fait trembler tous les membres du magazine. « Mike. » C’est froid, distant. Elle n’est pas dans le feu Azel, seulement celui de la passion et il est réservé à l’amour de sa vie qui se tient derrière la carrure imposante, mais qui ne lui fait pas peur, de l’homme face à elle. Toujours les bras croisés sur sa poitrine, elle penche légèrement la tête pour trouver les yeux de Reagan. « Tout va bien ? » Une voix douce, une voix réservée à Reagan et seulement à elle, une voix qui veut dire, je suis là pour toi et je t’aime.


love.disaster
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○ âge : vingt-huit ans, depuis le dix-sept juin dernier.
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○ métier : guide-conférencière au musée d'island bay et aussi à celui de wellington, parfois.
○ quartier : à center bay, dans la colocation de l'appartement #27. elle a récemment déménagé.
○ orientation sexuelle : aux yeux de sa famille, elle se cache. mais riley est homosexuelle.
○ sujets abordés : viol, overdose.
○ informations en vrac : elle préfère souvent mettre une pizza surgelée au four, plutôt que d'en cuisiner une. elle n'est pourtant pas mauvaise en cuisine. // elle essaye d'initier les membres de sa colocation aux jeux de sociétés en tout genre. // parler de lissandro est devenu un sujet tabou dans la famille. // il lui arrive de fumer, de temps en temps. // elle aime beaucoup les films marvel. il n'est pas rare qu'elle se refasse l'intégralité du mcu chaque année. // rares sont les personnes au courant de ce qui lui est arrivé. // elle ne boit pas d'alcool, ou alors, à de rares occasions. // très souvent, elle porte des vêtements foncés. loin d'elle l'idée de faire véhiculer un message, ils ont simplement sa préférence. // elle évite toujours de passer dans la rue où habitait son petit ami lorsqu'ils étaient au lycée, de peur de le croiser. // elle a pris des cours d'auto-défense à l'université. // en australie, elle avait un chat. elle l'a laissé à une voisine lorsqu'elle a quitté le pays. // elle a un carnet qui regroupe toutes les cartes postales des pays qu'elle a visités. // elle a en sa possession des papiers pour savoir où se trouve sa fille, mais elle n'a pas encore ouvert l'enveloppe. elle ne sait pas si elle veut vraiment savoir. // il lui arrive de coudre ses propres vêtements. // elle aime passer du temps au musée, même en dehors de son travail.

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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 26 Mar - 17:35


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La proposition de mon père me plaît, je ne dis jamais non pour passer un peu plus de temps avec mon petit frère. Cependant, cela me paraît étrange. Il ne peut pas être venu ici, en pleine nuit, juste pour me demander un service de baby-sitting. Il y a autre chose, je le sais, mais pourtant, il n'en dit pas plus. Je suis obligée de lui tirer les vers du nez et d'avoir des informations qu'il m'aurait données naturellement il y a encore quelques mois. Je n'utilise pas forcément la bonne méthode pour cela, mais le fait d'avoir été réveillée de peur en pleine nuit n'aide pas. Après cela, j'ajoute ne pas aimer le voir ainsi. Ce soir, de nous deux, j'ai l'impression d'être la plus adulte, alors que ça ne devrait pas être le cas et cela me fait mal au coeur. Ma remarque semble avoir son effet sur mon père qui décide enfin de sortir de son silence. « Écoutes, je crois que tu es assez grande pour que je n'ai pas à te mentir… Entre ta mère et moi ça ne va pas fort. Elle… Elle n'accepte pas la situation... » Lentement, je baisse le visage. Elle n'accepte pas la situation, elle n'accepte pas ma relation avec Azel. Je m'en doutais un peu, mais l'entendre de mon père rend la chose beaucoup plus compliquée, beaucoup plus réelle. C'est pour ce genre de réaction que j'ai mis du temps à leur dire et visiblement, j'aurais dû garder cela secret encore un peu. Quoique, peut-être qu'elle ne l'acceptera jamais et dans ce cas, j'aurais été obligée de vivre dans le secret un bon moment. « Disons que nous nous sommes disputés assez violemment au sujet d'Azel… Et depuis c'est un peu la guerre froide… Mais ce n'est pas de ta faute Reagan ! » À cette affirmation, je rigole nerveusement. « Je veux dire… Tu peux… Tu as le droit... Enfin tu as compris... elle... Elle s'y fera ! » Mon père a beau me rassurer, je me sens plutôt coupable. En plus de cela, ma mère semble déçue de moi et cela fait mal. Une larme coule le long de ma joue, mais je m'empresse de l'essuyer. Je ne veux pas de sa pitié, je ne veux pas de son aide. Il m'a clairement fait comprendre pendant un mois d'absence que je devais me débrouiller seule, alors qu'est-ce qu'il change aujourd'hui ? Le fait qu'il m'a dit que je peux ? Je n'ai pas besoin de sa permission, mais juste de sa bénédiction. Qu'il le veuille ou non, je suis avec Azel, cela ne devrait pas changer. J'ai juste envie qu'il soit heureux pour moi, qu'il voit ma petite amie comme il voyait Declan. C'est une femme et alors ? Ça change beaucoup de choses ? « Azel ? » À ce prénom, je me décale légèrement et me décale de la carrure de mon père. Derrière lui, au seuil de la porte de ma chambre, il y a ma petite amie. J'avais presque oublié qu'elle dormait dans la chambre d'à côté et je me sens maintenant coupable, car si elle est réveillée, c'est certainement à cause de nous. « Mike. » Cela n'annonce rien de bon. Mon père et la blonde se connaissent déjà, plutôt bien même, ou du moins c'était le cas quand Azel était plus petite. Car aujourd'hui, les choses ont changé. Ma petite amie n'est plus la petite fille qu'elle était, celle dont s'occupait mon père à son travail et surtout, comme je l'ai dit, aujourd'hui Azel est avec moi. Forcément, ce détail est plutôt important et il change tout. La tension entre ces deux-là est palpable et je sais déjà que je vais devoir jouer au juge de paix. « Tout va bien ? » Je hoche la tête, comme réponse, puis j'ajoute des mots. « Oui, oui, tout va bien. » Je décide de sortir de ma cachette et m'avance jusqu'à elle. Je dépose un tendre baiser sur sa joue, avant de lui murmurer à l'oreille. « Je suis désolée pour le bruit. » Ce geste, je le fais tellement naturellement, à aucun moment je me dis qu'il peut déranger mon père. Ce n'est pas grand-chose, je le sais, il aurait pu voir bien plus, mais je suppose que cela ne va pas forcément le mettre à l'aise. Comprenant cela, je me tourne vers lui et lui adresse un regard désolé. Je ne lui dis pas clairement, mais j'espère bien qu'il va le comprendre. « Tu peux retourner te coucher si tu veux, je m'occupe de ça. » Les journées d'Azel sont généralement longues et je m'en voudrais d'être à l'origine d'une mauvaise journée à cause d'un manque de sommeil.
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 16 Avr - 18:55

❝ what are you doing here ? ❞
Reagan & Azel & Mikeal
 Azel... La petite fille n'était plus, j'avais face à moi une femme d'une vingtaine années, une femme que je n'avais pas vu grandir, tout comme je n'avais pas vu reagan se muer en la jeune femme forte et indépendante qu'elle était devenue... Mâchoire contractée, je ne quittais celle qui jadis fut ma petite terreur, cherchant dans ses yeux une trace de cette complicité qui  nous liait autrefois... « Mike. » Mon cœur se serra sous la froidure de son ton, sous l'absence manifeste de quelconques sentiments. Nous en étions donc là, elle à s'adresser à moi sous ce ton condescendant si souvent entendu vis à vis de ses subordonnés, et moi à me murer dans mon silence contenant toutes ces émotions aussi contradictoires que puissantes. Nous en étions donc là... Une boule de plus en plus pesante se forma dans ma gorge, alors que je serrais plus étroitement les dents tentant de maintenir cette tristesse à l’intérieur de moi. Ne rien laisser paraitre, ne pas s'avouer mis à genou, n'était ce pas ce que l'on apprenait à tout homme, être fort quelques soient les événements, quel qu’en soient les enjeux?! Devais je réellement faire fi des enjeux?? Bras croisés sur sa poitrine, la blonde pencha légèrement sa tête cherchant du regard reagan...  « Tout va bien ? » Cette fois sa voix fut plus douce, empreinte d'amour et d'une volonté protectrice, elle trouvait écho dans son regard tendre et inquiet. Détachant lentement mes yeux du corps d'azel, je glissais ceux ci avec la même lenteur sur ma fille, cherchant quoi? Du soutient, du réconfort? Ou peut être cette froidure palpable chez la blonde? Reagan ressentait elle cette même... haine... de ma personne?

Le silence qui s'était instauré était à couper au couteau, et ne faisait qu'ajouter un peu plus au mal aise ambiant... « Tout va bien ? (hochant la tete) Oui, oui, tout va bien. » Me dépassant, reagan se dirigea vers azel avant de déposer un tendre baiser sur sa joue, comme cherchant à la rassurer plus concrètement sur son état et ce qui se passait entre nous. Je n'esquissais aucun geste, la boule en ma gorge oppressant tant celle ci que je ne parvenais plus à avaler ma salive. Je décide de sortir de ma cachette et m'avance jusqu'à elle. Quelques mots susurrer à l'oreille, comme un secret que je ne pouvais partager, comme pour bien me montrer qu'elles étaient deux à présent et que je n'avais plus ma place.  De nouveau mon cœur se serra, plus fortement cette fois ci, plus violemment faisant transparaitre sur mon visage une grimace de douleur qui disparut aussi tôt... Être fort, être un roc, être un homme c'était ainsi qu'on m'avait éduqué. Et bien qu'il y a quelques minutes de cela, je m'étais effondré face à ma fille, nous n'étions plus seuls à présent et ma fierté m’empêchait quelques démonstrations de faiblesses. Je me levais donc lentement de cette chaise sur laquelle je me trouvais, puisant en moi la force de ne pas chanceler, de tenir droit sur mes pieds. Cela attira surement l'attention de reagan qui se retourna dans ma direction, son regard exprimant une sorte de "désolé" silencieux qui étira mes lèvres en  un léger sourire amère... « Tu peux retourner te coucher si tu veux, je m'occupe de ça. » Elle s'occupe de ça... ça équivalant à moi, et moi en son père, j'étais réduit en une affaire, une chose à régler, un ça. Passant ma main sur mon visage, je sentais que je n'étais plus très loin... Plus très loin de mes limites, de mes forces et à vrai dire je ne me sentais pas à ma place. Ne me l'avait elle pas fait remarquer depuis le début en mettant en avant l'heure tardive, ses cours, son sommeil sans jamais dire que la principale raison était son amante dans la chambre à coucher... Sourire amère, je pris la parole tentant de dissimuler au maximum cette douleur qui était mienne... "Je... je ne vais pas vous déranger plus longtemps... (me dirigeant vers la porte, gorge nouée) Je voulais juste savoir si tu allais bien... (faux sourire joyeux) Et tu vas bien... (voix plus basse) Tu m'as l'air d'aller parfaitement bien... (ouvrant la porte) Je ... je te dirai pour Côme, ok? ok..." Je n'attendis pas de réponses pour passer la porte et la refermer derrière moi. Me dirigeant vers l'ascenseur, j'appelais celui ci sentant les larmes couler sur mes joues... J'avais perdu ma fille... C'était aussi simple que cela. Elle n'avait ni besoin de moi, ni de sa mère, à l'exception peut être de Côme qui se retrouvait malgré lui pris dans un engrenage dont je ne voyais pas la solution de désamorçage... La question était, avais je perdu reagan ce fameux jour ou je m'étais levé de table ou bien avant? Et à l'instant meme ou cette question me traversa l'esprit, je sus que la réponse importait peu, le résultat était le mème dans les deux cas. Et cet ascenseur qui tardait à venir... "Putin j'ai jamais vu un ascenseur aussi lent!"
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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptySam 20 Mai - 17:32




WHAT ARE YOU DOING HERE ?

On ne détruit pas la personne qu’on aime.


Cette situation elle ne l’avait jamais souhaitée. Longtemps elle avait imaginé Mikeal comme le père idéal, lui qui était si heureux de lui conter les aventures de ses enfants, lui qui était toujours entrain de la distraire quand son père se retrouvait en réunion, lui qui encourageait toujours ses enfants dans leurs projets, mais maintenant elle se retrouvait face à un homme qui lui semblait inconnu. Comment, lorsqu’il avait été jusqu’ici un père exemplaire, pouvait-il se refuser à accepter la sexualité de sa fille ainsi que leur relation. Il la connaissait, savait qu’elle était digne de confiance, sûrement plus que n’importe quel homme sur lequel sa fille aurait pu tomber, il avait des raisons de croire en leur histoire, de savoir que pour Azel, Reagan n’était pas qu’une distraction, que si jamais elles s’étaient donné une chance c’est parce qu’elles croyaient en leur avenir commun. Elles s’aimaient et le plus important était que ni lui, ni n’importe qui d’autre, ne pouvait lutter contre ça. Alors non elle ne pouvait pas laisser Reagan comme ce que sa petite amie lui demandait, elle ne pouvait pas parce qu’elles étaient ensemble dans cette histoire, ensemble contre le reste du monde s’il le fallait. Dans tous les cas, Azel n’allait pas l’abandonner et la laisser seule faire face pour elles. Elle assumait son couple avec la brune et elle allait l’assumer jusqu’au bout. Cependant cette confrontation n’allait même pas avoir lieu puisque Mikeal se proposa de s’en aller et Azel eu l’impression de respirer de nouveau, elle était heureuse de voir qu’il ne cherchait pas le conflit, mieux, il cherchait la situation la plus raisonnable. Il voyait sa fille heureuse et ne semblait pas décidé à lutter contre ça et face à cette idée, Azel avait l’impression de retrouver l’homme qu’elle avait tant aimé durant son enfance. Elle se rendait compte de l’effort qu’il venait de faire et surtout, elle se rendait compte qu’il n’était pas le seul à devoir en faire. Ainsi elle délaissa les bras de sa petite amie quelques minutes pour rejoindre son père dans le couloir, lui qui semblait s’énerver contre l’ascenseur. « Ce n’est pas en s’énervant dessus qu’il arrivera plus vite. » Un léger sourire naquit sur son visage alors qu’elle fit quelques pas pour arriver à sa hauteur, soupirant longuement elle planta son regard dans celui de son beau-père. « Reagan vous aime. Vous êtes son père et elle vous aime. Et je sais qu’elle souffre de la situation et ce que vous avez fait, ne pas lui adresser un seul moment ou regard quand elle vous a tout avoué, ce n’était pas bien. Et ça me surprend. Vous êtes un père exceptionnel, je pensais que vous étiez du genre à soutenir vos enfants dans tout ce qu’ils font. Mon père a accepté cette situation parfaitement alors qu’il a beaucoup à risquer. » Fermant les yeux, elle tenta de trouver les bons justes. « Je peux comprendre que ça ne soit pas facile, d’abord  d’apprendre comme ça que Reagan aime aussi les filles, mais surtout que c’est moi qu’elle aime. Mais vous me connaissez, je donnerais ma vie pour Reagan, vous pouvez me faire confiance, j’aime votre fille plus que n’importe qui ou quoi dans ce monde. Alors si vous êtes prêt à accepter ça, l’idée qu’elle et moi sommes réelle, vous êtes les bienvenue dans notre famille à toutes les deux. » Sans un mot de plus, elle s’approcha du grand homme avant de le prendre dans ses bras. Qu’il soit heureux pour elles, c’était tout ce qu’Azel désirait et enfin l’ascenseur s’ouvrit alors qu’elle rejoignait sa petite amie.


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MessageSujet: Re: what are you doing here ? (mikael) (#)   what are you doing here ? (mikael) EmptyDim 21 Mai - 6:19

❝ what are you doing here ? ❞
Reagan & Azel & Mikeal
"Putin j'ai jamais vu un ascenseur aussi lent!" Ou du moins je n'ai jamais attendu aussi fortement la venue d'un ascenseur... « Ce n’est pas en s’énervant dessus qu’il arrivera plus vite. » De suite, je me crispais la voix d'azel résonnant dans mon esprit. Figé, je ne parvenais plus à réfléchir, mon corps refusant de répondre à mes ordres... J'avais tant de fois imaginé ce tête à tête avec la blonde, que maintenant je redoutais aussi bien mes réactions que ses propos... Lequel attaquerait le premier? Lequel riposterait avec le plus de force? Et si nous ne nous battions pas? Et si nous parvenions à trouver une solution à cette situation complexe et épuisante? Et si... Azel était à présent à mes cotés, et je pouvais voir combien elle avait grandi, en taille du moins car elle ne m'avait rien montré de la femme qu'elle était devenue... Était elle venue faire son annonce avec Reagan? Non! Ou était donc cette petite fille intrépide n'ayant peur de rien, prête à braver donjons et dragons? Comment avait elle pu laisser reagan faire cette annonce seule? Soupire... « Reagan vous aime. Vous êtes son père et elle vous aime. Et je sais qu’elle souffre de la situation et ce que vous avez fait, ne pas lui adresser un seul moment ou regard quand elle vous a tout avoué, ce n’était pas bien. Et ça me surprend. Vous êtes un père exceptionnel, je pensais que vous étiez du genre à soutenir vos enfants dans tout ce qu’ils font. Mon père a accepté cette situation parfaitement alors qu’il a beaucoup à risquer. » Mais de quoi parlait elle? Était elle seulement là pour savoir ce qui s'était fait et comment cela c'était fait? Était elle venue à moi pour connaitre le pourquoi du comment de ma réaction? Non! Alors il était facile de revêtir l'armure blanche et de crier à qui mieux mieux que mes actions ou réactions étaient répréhensibles, mais qui se souciait de ce que je ressentais?! L'orientation sexuelle de ma fille ne me gênait pas... A vrai dire avec le temps, j'avais compris le pourquoi de ma réaction. Je n'en avais cure de ses préférences, mais ce qui m'avait touché au plus profond de moi, avait été de découvrir qu'elle m'avait caché tout ce temps ce bouleversement dans sa vie! Elle n'avait pas eu confiance en moi, en mon amour pour elle. Elle avait délibérément menti, feint une relation qui n'en n'était plus une depuis des mois et en plus de cela, avec une personne que je considérais comme ma fille.. En vérité, je me sentais trahi par elles deux! Ma fille par procuration et l'enfant que j'avais désiré depuis tant d'années! Le "vous" d'azel sonnait à mes oreilles comme un camouflet... Depuis quand me vouvoyait elle? Étais je à présent réduit à ce vous, à ce ça de reagan, à un rien en sommes! La colère gagnait du terrain, remontait dans mes veines et s'insinuait en mon esprit. Je commençais à en avoir marre d'etre celui sur qui on rejetait toutes les fautes!! Pour ma femme j'étais celui qui avais fait entrer "la pomme pourrie" comme elle aimait à le dire, dans sa famille! J'étais celui qui était responsable de la découverte de reagan de son adoption, vu que l'information avait fuité de mes parents! J'étais celui qui était responsable de sa tromperie, vu que je travaillais trop et qu'elle me reprochait Dieu sait quoi pour justifier son adultère! Quand à come, j'étais celui qui n'avait pas su retenir sa sœur, qui désertait la maison et qui rendait maman triste et en colère! Et là, j'étais considéré comme l'homophobe de service... Quelqu'un prendrait il un peu ses responsabilités dans toute cette merde? Car j'étais à deux doigts de tous les envoyer chier et vivre ma vie, vu qu'ils ne désiraient pas de moi dans la leur! « Je peux comprendre que ça ne soit pas facile, d’abord  d’apprendre comme ça que Reagan aime aussi les filles, mais surtout que c’est moi qu’elle aime. Mais vous me connaissez, je donnerais ma vie pour Reagan, vous pouvez me faire confiance, j’aime votre fille plus que n’importe qui ou quoi dans ce monde. Alors si vous êtes prêt à accepter ça, l’idée qu’elle et moi sommes réelle, vous êtes les bienvenue dans notre famille à toutes les deux. » Je... Elle, elles quoi? J'étais au bord de l'implosion et prêts déverser ma colère et ma détresse, car oui j'étais un mari, un père, un homme en détresse, mais d'un coup tout s'estompa. Cette peau, cette odeur, c'était  la meme ou presque... Sans que je ne puisse rien y faire, mon cœur se gonfla, ma gorge se noua et mes yeux se gorgèrent d'eau salée. Aurais je eu la maitrise de ce corps que je l'aurai serré à mon tour, pressé contre mon cœur. Mais je ne pus esquisser le moindre geste... J'étais foudroyé... Foudroyé par mes souvenirs, foudroyé par cette étreinte spontanée et sincère, foudroyé d'amour. Et alors que tôt, bien trop tôt azel s'écarta, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent alors même que la blonde tourna les talons. Hagard, je pénétrais dans l'ascenseur et appuyais sur le bouton rez de chaussé, les portes se refermant. Une larme s'écoulant le long de ma joue droite dans un battement de cils.

Fin pour mickeal....
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