smoke weed everyday - sulli

Sulli Shepherd

smoke weed everyday

les informations en vrac

amatrice de drogues dures, ils ne se passent pas une journée sans qu'elle ne soit défoncée › depuis le temps, les effets de la drogue ne la touche plus vraiment, personne ne voit qu'elle n'est pas dans son état normal › de ce fait, c'est une personne très extravertie, toujours la phrase de trop, parfois avec beaucoup de maladresse › elle est sans filtre, elle ne se rend pas compte que ce qu'elle dit peut vexer ou blesser › elle a quitter les états-unis quand elle a cru qu'elle serait pourchassée par la police › son petit ami de l'époque s'est fait chopper, lui › elle n'a jamais apprécier le monde dans lequel elle est née, les bobos de l'uper est side la déprime › peur proche de ses parents, elle ne leur parle que quand elle a besoin, et ils ne s'en rendent même pas compte, pour dire comme ils s'occupent d'elle › enfant, elle rêvait d'une famille comme celle de sa bonne. une famille unie et soudée › toujours elle a été passionnée par les mots qui l'évadait dans un autre monde pour oublier que la sienne était pourrie › amatrice de mode, elle profite de son argent pour s'acheter ce qu'elle veut › elle n'accorde pas facilement sa confiance de peur d'être trahie › elle sort beaucoup mais fait tout de même attention, elle a des employés sous sa direction › information en vrac › information en vrac › information en vrac › elle a beaucoup d'amis mais aussi des ennemis a cause de son caractère prononcé et de sa façon de se comporter › elle adore le sport et court très souvent le matin, avant de se prendre quelques rails dans le nez › l'amour n'a pas vraiment de sens pour elle, elle a déjà connu et ne veut pas le ressentir de nouveau › elle vient d'apprendre qu'elle était à cinq mois de grossesse, une nouvelle qu'elle n'attendait surement pas › son ancien dealer va l'aider a quitter la drogue et a gérer un enfant › malgré qu'elle soit enceinte, elle n'a aucune volonté pour arrêter de se droguer, de toute façon, ça fait déjà des mois que l'enfant prend tout ce qu'elle prend › elle n'est pas prête à changer sa vie pour un enfant

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>vanessa hudgens ›</pris> sulli shepherd

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Mars 2002. Je n’avais jamais vu ça dans ma famille. C’était l’anniversaire de l’un des enfants de ma bonne. Comme elle devait me surveiller toute la journée, Rosita avait décidé de m’emmener à cette fête pour les 8 ans de sa fille. Moi, j’en avais 12. Mes parents n’avaient pas vu d’inconvénient à me laisser partir avec elle, tant que je ne les dérangeais pas. Là-bas, j’ai eu la joie de découvrir ce que c’était qu’une vraie réunion de famille. Tout le monde riant, chantait, s’amusait. Pas comme les repas de ma famille, tellement guindés qu’on n’ose pas parler ou bouger. La famille de ma bonne m’avait tout de suite accepté, ne faisant pas de différence avec mon statut social. Faut dire qu’à douze ans, je n’étais pas encore une petite pétasse newyorkaise. J’avais un peu de mal à m’intégrer, les codes de mon monde me rattrapant toujours. Mais au final, comme une enfant normal, j’ai réussis à rire et m’amuser avec eux. Aujourd’hui, je peux le dire que c’était le plus belle journée de mon enfance. A partir de ce jour, je suppliais souvent ma bonne pour qu’elle m’emmène chez elle. Ma propre mère n’avait même pas remarqué que je portais plus d’amour à Rosita qu’à elle. Je peux le dire, j’ai eu une belle enfance pendant laquelle j’ai pu garder les pieds sur terre grâce à ma bonne.

A mes 14 ans, Rosita quitta le navire Shepherd, voulant prendre plus de temps pour ses enfants. Ça été très dur pour moi mais dans ma période de rébellion, j’ai réussit à passer à autre chose, très vite.


Juillet 2010. « Sulli, écoute moi, arrête de paniquer. Les flics arrivent chez moi là, je ne peux rien faire, ils vont découvrir tous nos stocks, y compris ce qu’on vend. Je ne te dénoncerai pas, je te le jure mais tu dois te mettre à l’abri. Il n’y a aucune raison pour qu’ils te cherchent mais on ne sait jamais, alors quitte la ville, le pays, j’en sais rien, mais fais attention. » Mon souffle s’est coupé, je ne réalise pas ce qui est en train de se passer. Je croyais à une blague de la part de mon petit-ami, mais c’était trop dur pour que ça soit ça. Au bout du téléphone plus rien, mon ami avait déjà raccroché, faute de temps. Je me retrouvais seule, mon portable à main tombant, les images de ses cinq dernières années défilant dans mon esprit. Ma première rencontre avec Colton, notre premier rail ensemble, notre première injection. Des souvenirs futiles mais tellement importants. C’est lui qui m’avait ouvert la porte à un monde ou je pouvais oublier ma vie de princesse que je détestais. C’est lui, qui m’a entrainer dans la drogue et je ne lui en voudrai jamais malgré les  conséquences que ça aura sur ma vie ou sur ma santé. Cinq ans ou je suis tombée amoureuse, amoureuse d’un homme qui m’a apporté plus que ce que j’espérais. Même si nos actions n’étaient pas bonnes, même si notre addiction à la drogue rendait notre couple clandestin, nous étions heureux comme ça. Tous les deux avions les mêmes idéaux et la même haine contre notre famille et ce monde de riches abrutis. Il était mon monde à moi, et il venait de s’écrouler. Maintenant, je devais fuir au plus vite, sans regarder derrière moi.

Ni une, ni deux, je cours rejoindre mes parents, leur expliquant brièvement la situation tout en faisant ma valise. Je savais ce que je devais leur dire pour qu’ils acceptent tout de suite ce que je veux. J’avais vingt ans, alors je leur expliquais mon envie de découvrir le monde en reprenant mes études. Ils n’attentaient que ça, que je travail pour qu’ils soient fières. Il me suffisait de dire les mots « étude » et « argent » pour qu’ils me donnent l’argent nécessaire pour partir des années dans le monde entier. Je leur dis alors que je pars vivre en Australie, leur mentant en fait sur ma destination. En moins de vingt quatre heures, je posais pour la première fois les pieds sur la terre néozélandaise, à Island Bay précisément, mettant derrière moi l’homme que j’aime et ma misérable vie newyorkaise. Je me suis trouvé un appartement dans le centre de la ville, pas dans le cartier des petits riches et je me suis inscrite à la fac pour la rentrée de septembre.

Toujours plongée dans la drogue, sans avoir aucune envie d’en sortir, je décidais tout de même de prendre des études. Au final, j’avais tellement l’habitude d’être défoncée que je savais vivre avec, sans que personne ne s’en rende compte et bien sur, en réussissant tous mes examens. J’avais décidé d’aller en fac de lettre puisque j’avais toujours été passionné par les lignes, les vers, les pages de lettres, les livres. Des études pas des plus passionnantes mais je pimentais par mes séances quotidiennes de défonce, par mes parties de jambes en l’air. Quand je n’étais pas en cours, je me faisais assez de rail pour endormir un éléphant. J’avais mes petites habitudes, mon dealer, mon potes de défonce. Cinq ans après me voilà diplômé de lettre et prête à créer ma maison d’édition. Chose bien plus facile quand ses parents acceptent d’acheter l’une des plus grandes de Wellington. Je savais quand parler à mes parents, évidemment. Bien sûr, ils n’avaient pas apprécier mon mensonge mais quand je leur ai dit que je pouvais devenir une des plus grandes éditrices du pays, ils n’ont pas hésité une seconde avant de racheter le siège de la Random House, implanté à Wellington depuis quelques années. Voilà deux ans que je suis à la tête de cette entreprise. Des rumeurs couraient sur moi, disant que je me droguais. Ils avaient raison, mais le premier qui ouvrait la bouche était viré. Je savais me faire respecter.

Juin 2015. Cinq ans après me voilà diplômé de lettre et prête à créer ma maison d’édition. Chose bien plus facile quand ses parents acceptent d’acheter l’une des plus grandes de Wellington. Je savais quand parler à mes parents, évidemment. Bien sûr, ils n’avaient pas apprécier mon mensonge mais quand je leur ai dit que je pouvais devenir une des plus grandes éditrices du pays, ils n’ont pas hésité une seconde avant de racheter le siège de la Random House, implanté à Wellington depuis quelques années. Voilà deux ans que je suis à la tête de cette entreprise. Des rumeurs couraient sur moi, disant que je me droguais. Ils avaient raison, mais le premier qui ouvrait la bouche était viré. Je savais me faire respecter. Aujourd’hui, je suis une femme d’affaire redoutable, marchant sur l’argent, bien que ça ne m’intéresse pas. Je continue de profiter de ma vie, toujours plongée dans les mésaventures de la drogue, sans avoir envie de les arrêter. Il n’y qu’une seule chose qui pouvait anéantir mon monde arriva tout de même. J’ai appris cette semaine que j’étais enceinte de cinq mois. Plusieurs mois pendant lesquels j’ai bu, je me suis drogué et je ne me suis même pas rendu compte qu’un être vivait moi. Il est trop tard pour interrompre ma grossesse, je dois donc aller au terme. Malheureusement, encore immature, je ne suis pas sûre de pouvoir arrêter mon addiction du jour au lendemain, pour un enfant que je n’ai jamais voulu.