deal it with my heart (phoebe)

deal it with my heart

phoebe & jane

  Les yeux rivés sur mon écran d’ordinateur, je tape, et tape encore les nouveaux éléments que nous venons de découvrir pour un de nos dossiers en cours. Un nouveau dossier s’annonçait, un peu différent des autres cette fois ci, puisqu’il s’agissait d’une suspicion de maltraitance. De la maltraitance, on en voit tous les jours ici, c’est fréquent, malheureusement, mais une maltraitance entre frère et sœur, ce n’est pas vraiment commun à vrai dire. Surtout quand le présumé suspect a tous juste douze ans, c’est rare. En fait, ce n’était pas les parents qui étaient venu nous voir, mais la voisine, qui disait-elle, voyait les conséquences de cette maltraitance suspecté tous les jours. D’après elle, ce ne pouvait être que le gamin, car les parents étaient bien trop gentils pour ça. Nous n’en étions pas si sûrs, mais après tous, cela valait bien une enquête malgré tous. Je regarde mon coéquipier, Samuel, qui doit partir du boulot dans une heure pour aller rechercher sa fille à l’école et s’occuper d’elle le soir, et je soupire en y pensant. Cette nuit, je vais encore être seule dans le service, et ça va pas être la joie encore, mais bon, après tous, j’adore mon boulot et je crois bien que c’est la seule chose qui me fait tenir depuis si longtemps. J’adore mon boulot, j’y consacre ma vie et mon quotidien, mais parfois les nuits sont bien longues et difficiles, surtout dans un service pareil. A tout moment, je peux recevoir un coup de fil, qui me dit qu’un gosse est emmené à l’hôpital pour maltraitance, ou même qu’un se prostitue dans la rue, car ça arrive, aussi. Je soupire en y pensant, puis continue de taper les mots sur l’ordinateur. Samuel part au bout d’une heure, et à peine est-il parti que l’écran devient noir. Je souffle, lance une injure, puis m’énerve en essayant de le rallumer. « Bon sang ! » J’essaie sur l’ordinateur de Sam, mais rien y fait ; et je décide rapidement d’appeler le service informatique, tombant sur Jane, encore et encore elle.

Je soupire en me faisant à l’idée qu’elle va débarquer, et me faire des avances, comme à son habitude. Je ne sais pas ce qu’attend cette fille de moi, mais clairement, j’aime pas ça. J’ai déjà eu l’occasion de l’entendre plusieurs fois avec Andrea, et je ne comprends pas pourquoi elles font ça au travail. Mais bon. Elle arrive, rapidement, avec son minois bien maquillé. « Agent Phoebe Winchester. » Je lève les yeux au ciel. « Au travail Kennedy. » Je soupire, et elle s’avance de moi. Je me lève, pour aller poser ma tasse de café sur le buffet à côté de la cafetière, puis me tourne vers Jane, qui est déjà assise sur ma chaise. « Alors, on a du mal à bosser sans mon aide ? » J’ignore sa phrase, et elle continue rapidement. « Avoue-le, je te suis indispensable ma belle brunette. » Au fond, elle n’a pas tout à fait tord, et je ne sais pas ce que j’aurais fais si elle n’était pas là. Mais l’idée de me retrouver seule dans le service avec elle ne me rassure pas vraiment, et je ne manque pas de vouloir lui rappeler. Elle me séduit déjà, et j’ai peur de la suite en fait. Elle regarde les ordinateurs, coupe tous les ordinateurs du service, et ouvre ma tour. Je soupire. « Bon bah on a plus qu’à danser la macarena maintenant. Tu viens ? » Je soupire, et ma proposition est plus qu’ironique. Je commence malgré tous à danser, avant de m’asseoir à nouveau sur la chaise que je lui pique puisqu’elle s’est levée. « Non mais attend si les ordi marchent pas je vais faire quoi moi cette nuit ? Je suis de garde ! C’est pas possible. » Je soupire, et lui gueule presque dessus sans m’en rendre compte. « Dépêche toi de trouver une solution, je peux pas rester comme ça. » Je la regarde, en espérant qu’elle ne me propose pas un truc à la con.

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phoebe & jane

  Jane semble ne pas me prendre au sérieux, et continue de me faire des réflexions bien ciblés. Je soupire, et l’écoute en ronchonnant, telle une mère quand son gosse lui répond. « Ok, ok. Tellement froide pour un corps qui donne si chaud. » Je relève la tête vers elle, et rougie avant de finalement l’ignorer, et partir déposer ma tasse de café. Je reviens en croisant les bras, comprenant rapidement que je risque de ne pas pouvoir travailler sur mon ordinateur avant un moment, et je tente une blague, histoire de me détendre, en proposant à Jane de danser la macarena tout en commençant a danser. Jane rigole, me traitant au passage de folle. « Tu es complètement folle, t'es au courant j'espère ? » Je la dévisage, avant de continuer à parler, complètement stressé. Et elle, elle sourit, ce qui provoque dans mon corps une véritable ébullition de colère. J’ajoute qu’il faut qu’elle se dépêche à me trouver une solution, car clairement, passer une nuit à ne rien foutre, très peu pour moi. Si je pouvais rentrer chez moi encore, pourquoi pas, mais là, c’est impossible. « Là, tout de suite, j'ai bien une proposition... Mais je ne crois pas qu'elle te plaira. » Je dévisage Jane. Je ne m’attendais pas à ça du tout, et mes arrières pensées imaginent de suite quelque chose de pas très catholique en fait, qui ne me plait pas du tout. Je tourne la tête pour ne pas montrer ma gêne, d’autant plus que ça fait plus d’un mois que je n’ai pas couché avec quelqu’un, et mes envies commencent à se faire ressentir, mais il est hors de question de coucher avec Jane. « Putain. » Je soupire, et Jane rigole avant de reprendre la parole. « Du calme Phoebe, je ne vais pas te violer ou je sais pas quoi. Je couche avec des femmes consentantes pour leur donner tout le plaisir qu'elle ont besoin. » Je tourne la tête vers elle, et ignore, pendant qu’elle, elle se marre. Je soupire, un peu destabilisé par ses paroles. J’aime pas Jane, elle me perturbe, et en plus, elle est blonde, ce qui n’est pas facile pour moi. Je veux dire, je n’ai pas envie de coucher avec elle, pas du tout même, mais je dois avouer qu’elle ne me laisse pas indifférente. « Non, je te proposais de travailler dans mon bureau en attendant. Les autres trouveront bien des ordinateurs de disponible. » Je hoche la tête, même si les autres, ils ne reviendront que demain matin. Ouais, dans mon service, c’est comme ça. Un seul reste la nuit, tandis que les autres doivent rester à disposition, mais chez eux. Je soupire, et je me sens un peu obligée de réfléchir à sa proposition, car de toute façon, c’est soit ça, ou soit je vais rien foutre de la nuit. « De toute façon... »  Elle se relève, puis poursuit. « Je dois emmener ta tour phoebe, c'est la tête de réseau alors bon, y a que chez toi que ça peut venir. » Ouais donc en fait, c’est de ma faute, c’est bien ce qu’elle sous entend. Je soupire, et espère au fond de moi que ça ne va pas durer vingt ans, car j’ai vraiment besoin de bosser. « Super. » Je soupire, et regarde Jane soulever mon ordinateur. Elle a une sacré force quand même, pour soulever un engin pareil. Je grimace un peu, de peur qu’elle casse un truc. « Tu fais comme tu veux, la brunette, mais crois pas que t'auras ton pc dans trente minutes. » Je la regarde en écarquillant les yeux, et elle s’en va. J’hésite un court instant avant de partir en direction de son bureau, si encore on peut appeler ça comme ça. En fait, c’est pas vraiment un bureau, c’est plutôt un local poubelle son truc. Je soupire, et referme la porte derrière moi, en veillant bien à ce que personne ne m’observe. Je sais très bien ce qu’ils pensent de moi dans ce service, et j’ai horreur de ça. « Tu peux déconnecter ma session et prendre la tienne, elle fonctionne ici aussi. » Je tente un léger sourire, puis m’installe devant son ordinateur. « Merci. Mais dépèche toi. » Je soupire, veillant bien à ne pas être déconcentrer par ce que fait Jane. J’ouvre ma session, et continue ce que j’étais en train de faire, même si j’ai un peu du mal à me concentrer, écoutant Jane pour vérifier qu’elle ne fait pas de connerie. Je tape le point final, et ferme le dossier. Je relève la tête vers Jane, et hallucine. « Jane, ton pantalon. » Je la fixe. Je ne sais pas vraiment si elle s’en rend compte, mais on voit sa raie du cul, et sévère. Je souffle, et décide de la déconcentrer une bonne fois pour toute. « Je vois ton cul là, arrête et remonte ça de suite. J’ai pas envie de te sauter dessus. » Là maintenant, j’ai envie de me cacher, bien loin, pour ne pas que Jane prenne au sérieux ce que je viens de dire. Je n’étais pas sérieuse du tout, enfin, sans doute un désir refoulé, mais mes pensées sont finalement devenues mes paroles. Je la fixe, rouge comme une tomate.

Jane semble ne pas très bien comprendre ce que j’entends par son pantalon, et soulève simplement un sourcil. Je tourne un instant la tête, avant d’avouer que je vois son cul, et que je n’ai pas envie de lui sauter dessus. Je me rend rapidement compte de ce que je viens de dire, d’avouer que j’ai clairement envie d’elle là maintenant, et que je tente de m’en empêcher. Mes joues virent au rouge, et Jane se retourne vers moi, s’approchant de moi. Je n’ai même pas le temps de m’échapper que déjà, elle m’emprisonne avec ses bras. « Aurais-je bien entendu ? Tu as envie de me sauter dessus ? » Je la regarde, dans les yeux, tandis que sa chevelure effleurent mes joues brulantes, rouges. Mon cœur se met à battre d’une telle force, que je tourne délicatement la tête pour ne pas montrer mon envie, alors qu’elle reprend rapidement la parole. « Ne refoule rien, ma belle et saute moi dessus. C'est pas moi qui vais refuser. » Je retourne la tête vers elle, ses lèvres s’approchent des miennes, et je respire fort tout en me mordant la lèvre inférieur. Jane me met dans une situation très embarrassante, et je ne sais pas vraiment quoi faire. Au fond, je ne devrais même pas hésiter et retourner à mon bureau, mais mon ventre brulant de désir m’empêche de choisir. Je passe délicatement une main dans mon cou, montrant ma gêne face à cette situation. Je n’ai toujours pas osé prononcer un mot de plus, alors que Jane elle, parle à nouveau. « J'ai réparé la tour. On retourne à ton service si tu as terminé ? » Je secoue la tête, presque instinctivement. Je relève la tête vers elle, en me redressant délicatement pour faire craquer mon dos, tout en regardant ses lèvres. Si elles ne me donnaient pas envie jusqu’à aujourd’hui, aujourd’hui, je les désire plus que tout, et son souffle sur mon visage accentue la chose. « Sauf si tu veux qu'on continue dans des choses plus... sérieuses ? » Je plonge mes yeux dans ses yeux bleus, avant de réfléchir rapidement à sa proposition. Je n’ose ni accepter, ni refuser, j’en sais rien en fait, j’en brouille d’envie, j’en brule, mais ce n’est pas dans mes principes de coucher avec une femme dans les locaux. Mais cela fait si longtemps, ma dernière relation avec une femme remonte à plus de deux ans, avant Scott. Depuis, il a su combler mes désirs et me donner du plaisir, mais aujourd’hui, il n’est plus là. Ne voulant faire durer le suspens plus longtemps, je décide de prendre à nouveau la parole. « Va fermer la porte Jane. A clé. » Je décroche un léger sourire. Je m’étonne de moi-même parfois, et je ne sais pas vraiment si ce que je lui propose est une bonne idée. Cette fille couche avec tous le monde ici, et je la prend clairement pour une prostituée. Mais mon désir prend le dessus sur mes pensées, mes principes, et je ne sais plus que faire.

Il ne faut pas plus de mots de plus pour que Jane comprenne ce que je viens de lui demander. « Tu as peur que l'on te voit prendre ton pied avec une femme ? » Elle se lève, et part rapidement fermer la porte à clé. Je soupire de soulagement, car j’ai clairement peur de me faire surprendre par quelqu’un, et perdre toute ma dignité ici. Déjà que je ne suis pas certaine de pouvoir me restreindre sur le son, autant être sûr de ne pas me donner en spectacle visuellement. Jane revient rapidement vers moi, et je sens mon cœur battre de plus belle, et mon ventre désirer davantage Jane. Elle m’attrape mon tshirt, et m’attire vers elle avant de coller sa bouche sur la mienne. Je ferme les yeux, ressentant le besoin de profiter de l’instant, de ce plaisir, tout en jouant avec sa langue, tandis qu’elle me caresse les cheveux. Les actes valent mieux que les paroles, je le sais depuis un moment déjà, depuis Maggie en fait. J’évite de penser à elle, et me reconcentre rapidement sur Jane, en posant mes mains froides sur sa taille, si fine et à la fois si délicate, alors qu’elle passe ses mains sur mon haut pour me le retirer. Je frissonne quand ses mains se déposent sur mes hanches, puis mes côtés, puis sur mon soutien-gorge, qui ne restera pas là longtemps, je le sens. Je rouvre délicatement les yeux, et me retire de ses lèvres pour poser les miennes dans le creux de sa nuque, brulante. Je dépose quelques baisers, pendant que Jane passe sa main sur ma poitrine, me faisant frissonner à nouveau, tandis que mes mamelons se redresse tel des piquets. Elle dégrafe mon soutien gorge, et je me retrouve la poitrine nue devant elle. Mes lèvres se reposent sur les siennes, et mes mains remontent peu à peu sous son tshirt, caressant au passage son nombril, avant de remonter sur sa poitrine. D’un geste brusque, je lui retire son tshirt et le balance à travers la salle, avant de m’attarder sur son soutien gorge, qui ne reste pas cinq minutes de plus. « Je le savais ; t'es magnifique ainsi. » J’esquisse un sourire, tandis qu’elle me lance telle une boule de bowling sur la chaise de bureau, qui vole contre le mur. Je sursaute un moment, alors qu’elle vient se mettre à genoux face à moi. « Bon dieu Jane, tu te caches aussi. » Jane est magnifique, et si je ne l’avais pas vu jusqu'à aujourd’hui, je profite pleinement de cela aujourd’hui. La blonde retire le bouton de mon pantalon, et le fait glisser contre mes jambes, entrainant avec lui ma petite culotte, qui n’attendait qu’à être retirée. Quand les lèvres de Jane se pose sur mes jambes, mon corps frissonne d’envie, et je n’hésite pas à lui faire comprendre, en lui attrapant la main pour la remonter sur mon corps, brulant de fièvre de désir. « Si tu savais comment j'en ai eu envie. » Je lui souris, cette fille me flatte depuis tout à l’heure, et c’est la première fois que je me sens autant désiré par une inconnue. Sa main, posée sur mon visage part vers mon cou, et l’autre joue avec mon oreille, et je rougie, à nouveau. Les oreilles, c’est un de mes points sensibles, qui pourrait me faire ressentir du désir à ne plus en pouvoir. Elle m’embrasse, d’abord sur la bouche, puis la joue, et enfin sur mes oreilles, et je me redresse pour montrer à quel point ce qu’elle me fait me fait du bien. Elle termine finalement sur mon cou, et je sais très bien ce dont Jane a envie maintenant, mais je préfère patienter encore un peu. « Tu sens divinement bon, Phoebe. » Je lui souris, et attrape une de ses mains, passant la mienne derrière son dos pour la faire basculer vers moi. « Je… je sais même pas pourquoi tu me ressentir ça putain. » Je pose ma main sur le haut de son pantalon, et dégrafe son bouton en souriant. Etre nue face à Jane, me dérange, si elle ne l’est pas avec moi. J’ai besoin de sentir sa chair contre la mienne, avant de pouvoir prendre définitivement mon plaisir, que je passerais après le sien, c’est un de mes principes. Faire plaisir, avant que prendre du plaisir. Je pose mes lèvres sur celle de Jane, glissant ma langue contre la sienne, ma respiration se faisant de plus en plus difficile. « Jane, tu es passée au dessus de mes principes. » A la fin de ma phrase, je me relève, l’entrainant avec elle avant de la pousser sur la chaise, et de faire descendre son pantalon à mon tour, puis sa culotte avant de m’asseoir contre elle, posant mon intimité sur la sienne. En réalité, je ne pensais pas en venir à désirer Jane autant que ça, je m’étonne de moi-même.

Jane me fait ressentir du plaisir, et elle le sait. Son simple regard s’offrant à moi, me fait ressentir tellement de chose, passant de mon intimité pour remonter dans mon ventre désireux. Mes mamelons durcis par son touché, je lui enlève brusquement son tshirt et son soutien-gorge, lui ajoutant quelques mots pour lui montrer à quel point elle me fait de l’effet. Je ne sais pas vraiment pourquoi je ressens tous ça pour elle, maintenant, ce désir, cette pulsion, presque sauvage, et je ne manque pas de lui faire la réflexion, après l’avoir attirée vers moi. Elle pose simplement un doigt sur mes lèvres, avant de m’embrasser, et je décide de me taire et de me coller au plus près d’elle, retirant au passage le bouton de son pantalon, voulant aller rapidement plus loin. Ma chaleur contre la sienne, je sens mon intimité devenir humide, peu à peu, presque sauvagement, et j’embrasse langoureusement Jane en la relevant, lui annonçant qu’elle est passée bien au-delà de mes principes, ceux de ne pas mélanger la vie privée, sexuelle, et le travail. Un principe que je n’ai jamais oublié jusqu’à aujourd’hui, jusqu’à ce que Jane me montre son cul dans son bureau, m’appelant une nouvelle fois au secours. En réalité, je ne sais même pas pourquoi je n’ai pas cédé avant, j’imagine que j’aime faire patienter les gens. « Tais-toi et bouge. » Elle m’embrasse à nouveau, et je la pousse sur la chaise, afin qu’elle prenne ma place pour la rendre définitivement nue. Je lui redire délicatement son pantalon, puis sa culotte, avant de venir me rasseoir sur elle, gênée par tant de proximité avec elle. Ses mains se dirigent dans mon mot, puis mes fesses, tandis que je me colle à sa poitrine pour lui offrir de légers baisers, sentant en même temps la main voyageuse de Jane s’approcher dangereusement de mon intimité humide, et gonflée de désir. Lorsque sa main touche enfin ma zone érogène, je me redresse, écarquillant les yeux, domptés par le plaisir qu’elle me procure, et lâchant quelque injure de plaisir. « Putain, Jane. » Je ferme mes yeux, afin de profiter du moment, tout en me dandinant sur Jane pour profiter davantage, et me procurer un plaisir plus intense encore. Et puis elle l’effleure, me taquine, mon bouton de désir, gonflé par ce qu’elle me procure. J’en veux plus, et je ne manque pas de lui montrer, avant de poser ma main sur la sienne, histoire de l’aider à faire son chemin. Je rouvre les yeux, pour poser mes lèvres sur les siennes, tandis qu’elle remonte sa main et ses doigts vers sa bouche. Je la regarde faire, en souriant, glissant une de mes mains sur sa fesse droite, la caressant délicatement. Je ne sais pas si Jane préfère quand c’est torride, mais je suis quelqu’un d’assez calme en général. Elle sourit, et j’attrape sa main, que je pose sur ma poitrine avant de lâcher quelques soupirs de désirs. « Jane, tourne pas autour du pot, dépêche toi. » Ma phrase est froide, contrastant avec mon corps si chaud, si brulant pour elle. Je regarde Jane, attendant sa réaction et son action plus que tout, et je crois même que je serais capable de prendre l’action de sa main pour parvenir à avoir ce dont j’ai envie actuellement. Brisant un nouveau principe, celui de toujours faire passer le plaisir des autres avant le mien.