contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam
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Sujet: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Sam 18 Fév - 14:29
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
18 février, 13h30 ~ "Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas retenter de se voir Sam." Je lève les yeux aux ciels, il ne peut pas être sérieux ! "Je t'aime encore Sam, tellement. J'ai fait une erreur, j'en ai conscience, crois-moi. Mais elle peut encore être réparée, on peut tout recommencer." Je plonge mon regard dans le sien, d'un air dur. "Écoutes-moi Tom, jamais les choses ne reviendront comme elles étaient auparavant. Tu m'as trompé avec ta secrétaire alors que je t'ai tout donné, tout. C'est fini, acceptes-le." Je quitte le café sans demander mon reste.
18 février, 15h12 ~ "Beth, je ne t'en veux pas. C'est juste que... [...] Je n'avais pas prévue de publier ce bouquin, si je t'en ai parlé c'est parce que... parce que tu voulais savoir et du coup je te l'ai dit. [...] C'était privé, quelque chose à moi, rien qu'à moi. Ce n'était qu'un hobby tu comprends, quelque chose qui me détendait... [...] Je me fiche bien pas mal d'avoir du talent, honnêtement ! Je ne sais pas quoi leur dire. [...] Non, je ne peux pas simplement leur dire que j'accepte ! [...] Parce que je ne suis pas écrivain Beth ! [...] Comment ça qu'est-ce que j'en sais ? [...] J'ai accepté d'avoir un rendez-vous eux, oui. [...] Oui, je ne me braquerai pas. [...] Promis. [...] Non, je ne t'en veux pas. [...] Oui moi aussi. [...] Passes une bonne journée, bisous." Je raccroche, dépitée. Je n'arrive pas à croire qu'elle est pu faire ça. Je sais bien que ça part d'une bonne intention mais... Je n'ai pas besoin de ça en ce moment bordel ! Je ne sais même pas pourquoi je lui ai montré mon livre... Enfin si je sais, pour changer de sujet, pour éviter de tout dévoiler vis à vis de Jay. Ça m'a avancé... Mon écriture, c'était ma bulle d'évasion, je me sentais bien, en paix quand j'écrivais. Et là, maintenant, je vais devoir en faire une sorte de business. Mon hobby va se transformer en une nouvelle source de tension, je le sens. Je stresse déjà rien qu'à l'idée de rencontrer la patronne de la maison d'édition, c'est pour dire. Bon dieu, j'ai rendez-vous chez eux dans deux jours, deux petits jours... Il faudrait que je me prépare, non ? Comme dans un entretien ? Que je m'habille ? Ohhh purge, je suis perdue.
18 février, 17h57 ~ "Entre." Jay passe la porte de la maison de ma fille. "Phoebe n'est pas là ?" Je me racle la gorge, j'ai les mains moites et mon coeur bat la chamade. "Non, elle est de sortie." Son sourire s'accentue, il se rapproche pour passer ses bras autour de ma taille. Ses lèvres caressent mon cou alors qu'il murmure un "Parfait..." Ses baisers me font frémir des pieds à la tête, instinctivement, je ferme les yeux. Peu à peu ses mains descendent, toujours plus bas, jusqu'à empoigner le haut de mon jean. "Jay..." Mes mains se posent sur les siennes pour stopper son geste. Il ne semble pas vouloir m'écouter et suçote mon cou d'une manière délicieuse. "Jayden arrêtes s'il-te-plaît." Il se recule vivement, un sourcil haussé. "Qu'est-ce qu'il y a ?" Je soupire, ne sachant pas vraiment comment amener les choses. "Il faut... il faut qu'on arrêter ça... nous... C'est mal Jay." Ses mains sont toujours sur les miennes, il s'en saisi et les tient fermement. "Est-ce que je te fais du bien ?" Non, je ne peux pas repartir là-dedans encore une fois. À chaque fois que l'on a cette discussion je m'y perds jusqu'à céder. Je ne peux plus le faire, il faut que je sois ferme. Je dégage mes mains pour mettre de la distance entre nous. "Ce n'est pas la question Jayden, je suis désolée mais c'est fini." Nous discutons encore une bonne demi-heure avant qu'il quitte la maison, me laissant désespérément seule.
19 février, 02h10 ~ "Et là qui va là inspecteur gadget..." Zapant de manière compulsive, je suis tombée sur un épisode de l'inspecteur Gadget. Je ne suis pas restée longtemps sur la chaîne, juste assez pour me mettre dans la tête le générique du dessin animé. Je sais, j'ai l'air ridicule mais, c'est plus fort que moi, je me sens obliger de le fredonner. À ma décharge, je pense que les verres que je me suis enfilés n'ont pas aidé. Un peu plus tôt dans la soirée, j'ai terminé le reste de mijoto qu'il y trônait dans le réfrigérateur de la cuisine, pour me détendre. Après ça, je me suis dit que j'aimerais bien un Sex on the beach, alors j'ai trifouillé dans la cuisine pour me munir des ingrédients et bien vite, j'en avais fait une carafe entière. J'en ai bu un à la santé de mon ex-mari, un deuxième à celle de mon livre, un troisième pour Jay et après ça... J'ai arrêté de me donner des excuses et je m'en suis enfilé deux autres. Je ne suis pas bourrée non mais, je suis quelque peu guillerette. Alors qu'un documentaire animalier attire mon attention, le bruit de la porte qui claque me fait sursauter. J'en fais tomber mon verre par terre, une chance pour moi, il est vide. "Il y'a quelqu'un ?" Je me lève doucement, manquant de me cogner le genou contre la table basse. "Allo..? Phoebe ?" Quand je m'approche de l'entrée, j'aperçois Tawny à l'embrasure de la porte. "Oh mon dieu ! Tu m'as fait peur ! Je croyais que j'étais seule pour la soirée..." Je jette un coup d'oeil au salon, je l'ai mis en bazar. Quelques vêtements à moi trônent sur le canapé, la carafe de Sex on the beach à moitié vide orne la petite table et mon verre vide est resté échoué au sol. "Je vais ranger..." Un peu gênée, je triture mes cheveux comme pour me donner une contenance.
Kiana Davis
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○ âge : 34 ans (29.10.89)
○ statut : mariée à un délinquant, elle vit seule depuis trois mois avec sa fille Leah, âgée de 4 ans.
○ métier : gynécologue obstétricienne à l'hôpital de Wellington
○ orientation sexuelle : puisque peu de personne sont au courant de sa relation avec une jeune femme à l'aube de ses vingt ans, le reste du monde la pense hétéro. elle, elle ne met pas de mot sur sa sexualité.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Lun 20 Fév - 10:57
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
Elle me met hors de moi. Chaque fois que je dois bosser et que Kaylian est là, j’ai l’impression de partir en cacahuètes. Depuis quelques semaines, on a décidé de se faire chier mutuellement, pour éviter de succomber à cette attraction chimique et bestiale qui nous donne envie de se jeter l’une sur l’autre et succomber au plaisir comme la première fois. Mais elle reste ma patronne. Alors même si je n’ai pas tellement de limites lorsqu’il s’agit de ma liberté, Phoebe n’arrête pas de me répéter que Kaylian n’est pas faite pour moi, que ce ne sont que des problèmes et encore des problèmes. Le souci c’est que je crois que j’aime ça, les problèmes. Je suis désespérante. Une fois mon service terminé, il est minuit passé et je décide de répondre à l’invitation d’une cliente magnifique, pour aller boire un verre. Sauf que je suis joueuse et que je décide de rester sur place, au foxglove, pour boire ce fameux verre. Je reste là à flirter avec la jeune femme pendant plus d’une heure. J’enchaîne les verres, je sens clairement le pouvoir de l’alcool sur ma personne. Je flirte, j’allume, je danse, j’embrasse même cette fille en sachant que Kaylian est dans les parages. Pure vengeance. Mais la fille maintenant allumée glisse ses lèvres dans mon cou avant de me dire à l’oreille. « Emmène-moi chez toi. » Euh… ouais, mais nan en fait. « J’peux pas, j’suis désolée, ma coloc est à la maison. » Elle grimace un peu et je l’embrasse langoureusement. Je sens la frustration en elle, et ne parlons pas de moi. « On remet ça à un autre jour, ok ? Faut que je file, je bosse demain matin… » Elle vient m’embrasser langoureusement une nouvelle fois et je me retiens de l’entraîner avec moi dans les toilettes du bar. C’est pas bien. Je pense à Phoebe qui me répète sans cesse d’arrêter de coucher à tout va avec des filles sans aucun sentiment. J’ai l’impression que c’est pire depuis que j’ai appris la trahison de Freya, ma seule et unique petite amie. 4 mois, un record.
Heureusement je n’étais pas venue en moto au boulot, parce qu’elle y serait restée. Je ne prends pas le guidon quand je suis bourrée, et franchement là, je suis bien amochée. J’arrive à la maison après avoir pris le bus et marché un bon bout de temps. Je ne réfléchis pas, ça tourne un peu moins le fait d’avoir pris l’air. Je sais que Bee n’est pas là, elle est en déplacement avec son boulot ou j’ai pas tout bien compris. Enfin elle n’est pas là, mais sa mère, elle, est bel est bien là. enfin normalement. J’entre ma clé dans la porte et fais claquer cette dernière avec mon pied. Greezly s’approche en battant la queue pour venir chercher des câlins et me dire bonjour. « Salut mon gros. » Et là, j’entends la voix de Sam. « Et là qui va là inspecteur gadget.. » Je ris comme une conne de l’entendre dire les mots du dessin animé phare des années 90, et me dirige vers le salon alors qu’elle demande qui est là. « Oh mon dieu ! Tu m'as fait peur ! Je croyais que j'étais seule pour la soirée.. » Je ris un peu et hausse les épaules. « Bah, t ‘étais seule, maintenant c’est la nuit ! » Je ris encore, ouais, j’ai vraiment bu, je commence à raconter de la merde. Sam regarde l’étendue des dégâts de cette soirée et toutes ses affaires étalées. « Je vais ranger… » « Non mais t’inquiètes, holà ! Tu sais bien comme je suis bordélique, c’est pas trois trucs qui traînent qui vont m’empêcher de dorm… » ir. Un soutif, sur le dossier du canapé. son soutif, je suppose. « T’as eu raison de te mettre à l’aise… » Je lui adresse un sourire complice et tourne autour du canapé pour m’asseoir dessus avant de me pencher pour sentir ce qui se trouve dans le pichet. « Ne me dis pas. Vodka, pêche, ananas, cranberry… sex on the beach ! » Je la regarde en lui souriant largement. « Je peux ? » je lui fais signe pour lui demander si je peux me servir un verre moi aussi. On est plus à ça près.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Ven 3 Mar - 15:26
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
J'ai eu la peur de ma vie, tant que ça en est gênant. Voilà pourquoi je me justifie en lui disant me croire seule pour la soirée. "Bah, t'étais seule, maintenant c’est la nuit !" Je hausse les sourcils vivement, montrant ma surprise. "Hein mais il est quel heure ?" Je fixe ma montre, étrécissant les yeux pour arriver à distinguer l'heure. "Oh mon dieu... Je suis désolée, désolée, désolée ! J'ai pas vu l'heure passer..." Gênée au possible, je me propose de ranger un peu. Il faut bien avouer que j'ai foutu le bordel et pas qu'un peu. "Non mais t’inquiètes, holà ! Tu sais bien comme je suis bordélique, c’est pas trois trucs qui traînent qui vont m’empêcher de dorm…" Elle ne termine pas sa phrase et son regard se pose sur mon... soutient-gorge. Oh mon dieu ! Je me précipite vers le canapé pour le cacher sous une pile de vêtements, un sourire gêné vissé aux lèvres. "C'était... mon... enfin..." Je me triture les cheveux convulsivement, incapable de terminer ma phrase. "T’as eu raison de te mettre à l’aise…" Je ris légèrement, sans vraiment savoir pourquoi. "J'ai du mal à supporter les soutifs quelques fois..." Aussi étrange que ça puisse paraître, c'est la vérité. L'alcool me rend plus sensible et je peine à supporter les armatures quand je suis un peu pompette. Je jette un coup d'oeil furtif à mon haut, il est si fin que j'ai peur qu'on voye à travers, génial... Est-ce que ça paraitrait suspect si j'enfilais une doudoune, là, maintenant ? Tawny contourne le canapé pour se pencher vers le pichet. "Ne me dis pas. Vodka, pêche, ananas, cranberry… sex on the beach !" Je souris, elle est douée. "Un point pour la barmaid !" Pour la deuxième fois de la soirée, je ris sans raison évidente. L'alcool a la faculté de me rendre plus idiote que je ne suis. "Je peux ?" Je m'assoie sur l'accoudoir du canapé. "Fais toi plaisir." Je pointe de la main le pichet comme pour l'inviter à se servir. Je me sens étrangement, assise là sur le canapé, c'est comme si j'avais la tête dans du coton. Je dois être plus alcoolisée que je ne le crois. "Et si tu pouvais m'en resservir un au passage ce serait génial ! Je ne suis pas assez pompette pour survivre à cette journée. En effet, je ne pense qu'à une chose, oublier ce qui s'est passé aujourd'hui. Oublier que j'ai pour la énième fois quitté Jay, oublié que ses caresses inachevées m'ont laissé frustrée, en manque. Je suis restée des années sage comme une image, avec Tom c'était le calme plat et voilà que, aujourd'hui, je n'arrive même pas à tenir douze heures sans me languir qu'on me touche. Et dire que j'ai presque cinquante ans, c'est ridicule.
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○ statut : mariée à un délinquant, elle vit seule depuis trois mois avec sa fille Leah, âgée de 4 ans.
○ métier : gynécologue obstétricienne à l'hôpital de Wellington
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Dim 5 Mar - 23:03
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
« Hein mais il est quel heure ? Oh mon dieu... Je suis désolée, désolée, désolée ! J'ai pas vu l'heure passer… » Je secoue la tête en souriant, non, vraiment, c’est rien, et je lui dis très ouvertement. Ici, c’est chez moi, mais c’est chez Phoebe surtout. Et du coup, c’est un peu chez Sam, par procuration. Je rassure la mère de famille en lui disant qu’il n’y a rien de grave sauf que mon regard accroche son soutif qui traîne sur le canapé, et je bug complètement. Ok. Du calme Tawny. « C'était... mon... enfin… J'ai du mal à supporter les soutifs quelques fois… » Sa réaction me fait plus rire qu’autre chose, on dirait presque une enfant, c’est trop mignon. « Nan mais t’inquiètes, c’est pareil pour moi, j’en porte rarement, je profite d’être encore jeune et que ça tienne tout seul ! » Je souris et malgré moi je baisse les yeux sur sa poitrine, à peine cachée par son t-shirt moulant. « Ouais enfin… ça n’a rien à voir avec l’âge… visiblement… » Je me racle un peu la gorge et détourne le regard pour éviter de faire une bêtise. Je soupire un peu et vais voir ce qu’elle a préparé comme cocktail. Un sex on the beach, intéressant. Je lui demande si je peux m’en servir un, ce à quoi elle répond d’un hochement de tête. « Fais toi plaisir. Et si tu pouvais m'en resservir un au passage ce serait génial ! Je ne suis pas assez pompette pour survivre à cette journée. » Je nous sers deux verres et tourne la tête vers elle. « Ah ouais ? Journée pourrie ? » Je lui tends un verre bien rempli et l’incite à venir s’asseoir près de moi plutôt que de rester assise sur l’accoudoir. « Tu veux qu’on en discute ? Cela dit, j’ai pas passé la meilleure journée du monde non plus. » Je soupire et bois une gorgée de son mélange avant de sourire. « Hum , il est bon, tu t’en es bien sortie, il est pas facile à doser celui là ! » Elle l’a bien corsé, tu m’étonnes qu’elle ait chaud. Enfin, je l’imagine en la voyant si peu vêtue. Bordel, mais pourquoi je louche sur ses jambes là. On reste calme Tawny, on reste calme. Allez hop, deux bonnes gorgées de cocktail. « Tu sais, c’pas parce que Bee est ma meilleure amie que je peux pas garder des secrets. Si jamais t’as besoin de parler, n’hésite pas ! » Je pose naturellement ma main sur sa main, main qui se trouve sur sa cuisse, holéééé, la température qui monte d’un cran. Souffle un coup, ça va aller. L’électricité est palpable, c’est… étonnant.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Dim 19 Mar - 21:39
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
"Nan mais t’inquiètes, c’est pareil pour moi, j’en porte rarement, je profite d’être encore jeune et que ça tienne tout seul !" Son regard descend jusqu'à ma poitrine et ma gêne s'accentue encore plus. Je ne suis pas d'un habituel très réservé mais j'ai toujours connu Tawny, elle est la meilleure-amie de ma fille alors je préférai éviter de lui montrer mes seins. Ce serait pas mal, accessoirement. Mais, pour être honnête, il n'y a pas que ça. Je ressens une certaine tension alors que ses yeux me sondent intensément. "Ouais enfin… ça n’a rien à voir avec l’âge… visiblement…" Je croise aussi brusquement que maladroitement les bras pour cacher du mieux que je peux ce qui est à l'instant T bien en évidence alors que Tawny détourne le regard. Mon coeur bat plus vite qu'à la normal et je déglutis péniblement. J'ai soudain l'envie viscérale de fuir cette pièce, je me sens mal à l'aise, comme trahie par mon propre corps. Depuis que j'ai divorcé et que j'ai recommencé à sortir, je me suis... Comment l'expliquer ? C'est comme si je m'étais reconnecté avec mon corps et ses besoins. Jay a ravivé la passion en moi et maintenant j'ai bien du mal à me maîtriser. Alors, quand Tawny m'a regardé de la façon dont elle l'a fait, j'ai aimé ça. L'alcool doit sans doute me faire tourner la tête plus que de raison car je pète totalement un plomb. Je me masse la tempe comme si ça pouvait m'aider à retrouver mon sérieux. Ou tout du moins un brin de contrôle sur mes émotions. Tout est plus intense depuis que j'ai divorcé, plus compliqué. L'histoire avec Jay n'a rien arrangé et je suis un peu perdu. J'ai beau me dire que j'ai bien fait de mettre fin à tout ça mais, d'un autre côté, je n'en avais strictement aucune envie. Il me fait tellement de bien... Enfin il me faisait... Je me force à chasser ses pensées, elles ne servent à rien à part peut-être à me faire rebrousser chemin jusque dans ses bras. "Ah ouais ? Journée pourrie ?" Voilà ce qu'elle me répond quand je lui demande de me servir un autre verre. "Ouais c'était pas ma journée comme on dit." Je préfère rester vague, qu'est-ce que je pourrais lui dire après tout ? Quelque chose du genre : Oh tu sais ton pote Jay, le meilleur ami de ma fille, je me le tape mais bon j'ai décidé d'arrêter parce que j'ai retrouvé une conscience ? Ce serait tout sauf une bonne idée, Phoebe et elle se disent tout et la dernière chose que je veux, c'est faire souffrir ma fille. Je ne l'ai jamais voulu et je ne sais même pas pourquoi ou même comment tout cela a commencé. Toujours assise sur l'accoudoir, les bras croisés j'hésite à me saisir du verre que Tawny me tend, mal à l'aise à l'idée d'exposer ma poitrine. Cela-dit je finis par me résonner, je suis une adulte, je ne vais tout de même pas me comporter comme une ado pré-pubère. Et c'est ainsi que je prends place à côté d'elle quand elle tapote le canapé pour m'inciter à le faire. "Tu veux qu’on en discute ? Cela dit, j’ai pas passé la meilleure journée du monde non plus." Je lui souris tendrement. C'est très gentil de sa part de vouloir m'aider de la sorte mais comme je l'ai dit, ce serait la pire des idées. "Non, c'est rien, ça va aller, rien qu'un petit coup de déprime ! Mais toi tu peux me parler de ta journée. Me dire ce qui t'a chagriné." Je minimise espérant que ça détourne assez son intention pour qu'elle lâche l'affaire. Je n'ai jamais été très douée pour mentir cela-dit. Tawny porte le verre qu'elle venait tout juste de se servir à la bouche. "Hum, il est bon, tu t’en es bien sortie, il est pas facile à doser celui là !" Je suis sincèrement flattée par son compliment, après tout il s'agit d'une professionnelle, quand à moi je ne suis qu'une ex-femme au foyer... "Oh tu sais, c'est le seul que je sais faire, rien d'extraordinaire ! Demande-moi de faire un Bloody Mary et je suis perdue !" Je rigole légèrement, un peu trop au vu de la situation même. C'est ce qui ma pousse à me demander si je l'ai tant réussi que ça, j'ai légèrement la tête qui tourne, j'ai sans doute eu la main trop lourde sur la vodka. "Tu sais, c’pas parce que Bee est ma meilleure amie que je peux pas garder des secrets. Si jamais t’as besoin de parler, n’hésite pas !" Même si elle n'était pas l'amie de Bee, est-ce que je lui parlerai de mes frasques sexuelles ? Est-ce que j'aurais assez de courage pour les assumer ? Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai l'impression de devoir totalement réapprendre à me connaître, comme si je ne connaissais plus mes limites ou mes forces d'ailleurs. C'est alors que ça se produit. Tawny pose sa main sur la mienne, tout près de ma cuisse et mon souffle se meurt. Mes yeux se rivent alors aux yeux et j'ai l'impression d'être fiévreuse. Pourquoi sa caresse a-t-elle un tel effet sur moi ? Elle que j'ai vu grandir, elle qui est l'amie de ma fille. À croire que je répète un schéma Jay, Taw, qui serait le prochain qui m'attirerait ? Maggie ? Je me sens terriblement mal et pourtant terriblement grisée par son touché. Je me prends à me demander ce que ça ferait d'être de nouveaux dans les bras d'une femme... Alors je fais quelque chose que je ne devrais absolument pas faire, je me saisis de sa main pour la caresser légèrement, doucement, presque sensuellement.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Lun 20 Mar - 10:59
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
Lorsque Sam croise ses bras pour planquer sa poitrine, je comprends vite que mon regard a été un peu trop insistant, faut dire que l’alcool déjà ingéré ne m’aide pas à être vraiment discrète. Déjà que ça ne fait pas partie de mon caractère, alors là c’est pire. Je m’installe dans le canapé et essaie de faire parler un peu la mère de ma meilleure amie, parce que d’après ce qu’elle dit, sa journée a été merdique. Au moins, on est deux. Je vais pas la laisser seule avec son pichet de sex on the beach, ce serait pas correct. « Non, c'est rien, ça va aller, rien qu'un petit coup de déprime ! Mais toi tu peux me parler de ta journée. Me dire ce qui t'a chagriné. » Je hausse les épaules et secoue à peine la tête. « Oh tu sais, la routine, ma patronne qui est sans cesse sur mon dos, mon manager qui me casse les bonbons parce qu’il m’a dans le collimateur, et ce soir j’ai bien failli coucher avec une fille qui me plaisait même pas juste parce que j’avais pas le moral… » Je soupire en levant les yeux au ciel d’un air désespéré et bois trois bonnes gorgées de son cocktail. Je la gratifie d’ailleurs d’un compliment, mes papilles s’en trouvent ravies. « Oh tu sais, c'est le seul que je sais faire, rien d'extraordinaire ! Demande-moi de faire un Bloody Mary et je suis perdue ! » Mon rire se mêle au sien dans un moment étrangement complice. J’aime vraiment cette femme, elle n’est pas seulement belle et intelligente, elle a un côté vraiment attachant, et ce soir, incroyablement attirant. C’est même assez étrange. J’ai toujours été un peu ambigue avec elle, souvent devant Phoebe, juste pour la faire chier. En même temps, pour son âge elle est sacrément bien foutue, et si elle n’était pas la mère de ma meilleure amie presque soeur, j’aurai tenté ma chance depuis un bail.
Je continue sur ma lancée en lui proposant de me confier ce qui la tracasse, je vois bien qu’elle n’est pas totalement dans son assiette, mais je ne vais pas la forcer à me parler. J’essaie de la rassurer en lui disant que même si Phoebe est ma meilleure amie, je peux aussi garder des secrets, ce ne serait pas la première fois. Maggie en est la preuve. Et Phoebe ne m’en a pas voulu pour autant, elle est adulte et sait faire la part des choses. Si nous n’avons pas vraiment de secrets l’une pour l’autre, nous avons cependant notre jardin secret, et c’est pas plus mal quand on y pense. Dans un instant plutôt tendre et compréhensif, je viens poser ma main sur celle de Sam, frôlant la peau de sa cuisse au passage. Alors que nos regards se trouvent ancrés l’un à l’autre, je sens les doigts de la rousse se saisir de ma main, la caressant tendrement, presque sensuellement. Une chaleur indescriptible vient s’emparer de moi et je sens mon souffle se faire plus court. « Je peux faire quelque chose pour toi ? » Mon ton se veut plus chaud, presque un peu rauque, murmuré dans un souffle sensuel, et déjà mes yeux dérivent sur les lèvres de Samara. Je ne réfléchis pas, je ne sais pas bien ce que je suis en train de faire, ou même de penser. L’alcool a déjà court-circuité mon cerveau, et voilà que ma main glisse cette fois sur sa cuisse, doucement, faisant monter un peu plus la chaleur, et je m’approche d’elle dangereuse. nos regards ne se quittent que lorsque je louche sur ses lèvres. Voilà que je peux sentir son souffle s’écraser sur les miennes et je ferme un instant les yeux. « J’ai envie de faire une bêtise. » Mes pensées ont dépassé la limite de mes lèvres, et déjà mes doigts s’enfoncent un peu plus dans la peau brûlante de sa cuisse, remontant de quelques centimètres encore. Il fait 50 degrés ici !
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Mer 22 Mar - 17:06
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
"Oh tu sais, la routine, ma patronne qui est sans cesse sur mon dos, mon manager qui me casse les bonbons parce qu’il m’a dans le collimateur, et ce soir j’ai bien failli coucher avec une fille qui me plaisait même pas juste parce que j’avais pas le moral…" Je lui lance un regard désapprobateur, je ne compte plus le nombre de fois où j'ai fait la morale à ma fille sur le fait qu'il faut avoir des relations seulement avec ceux qui ne nous plaisent vraiment. Et bien évidemment, comme là où est Phoebe est Tawny, elle aussi par extension. J'ai toujours trouvé qu'elle accordait trop facilement ses faveurs, non pas que je la juge, c'est simplement que je m'inquiète pour elle. "Les vibros ça existe tu sais." Je lui souris pour montrer que je plaisante. "Ça évite de faire des bêtises." Et les mauvaises surprises par la même occasion, ça je peux le confirmer. Mariée avec un homme pendant plus de vingt ans, je sais qu'il n'y a que ces petits joujoux de plastique qui sont réellement fiables. Pour le reste, ça ne va pas en s'arrangeant, croyez-moi... Tout ça pour dire que quelques fois, il faut savoir se raisonner. Je ris quelque peu mais pas pour bien longtemps. En effet, quand la main de Tawne se pose sur la mienne, frôlant dangereusement ma cuisse au passage, je perds toute trace de sourire. C'est alors que, prise d'une impulsion que ne saurais pas expliquer, j'applique une légère caresse sur sa main. Je regrette immédiatement mon geste, me trouvant tout sauf raisonnable. J'en viens à me demander si quelque chose ne cloche pas chez moi. Je m'apprête à présenter de plates excuses aussi maladroites que gênantes quand la voix de Tawny me stoppe net. "Je peux faire quelque chose pour toi ?" Le ton de sa voix a un je-ne-sais-quoi qui me fait frémir. J'ai l'impression que mon corps trahit des désirs que je ne devrais même pas éprouver. Sa main se pose alors sur ma cuisse une bonne fois pour toute et je pense mourir. J'ai soudain très chaud, ma respiration devient haletante si bien que j'ai du mal à respirer. "Tu... Je..." Voilà tout ce que j'arrive à dire. Le désir que j'éprouve devient maitre de mon corps comme s'il ne pouvait plus se contenir après toutes ces années à se réprimer."J’ai envie de faire une bêtise." Je déglutis péniblement lorsqu'elle se rapproche de moi, enfonçant par de la même sa main plus profondément, s'approchant d'une zone de mon corps qui palpite de plus en plus. Impossible qu'elle ne me sente pas frémir sous ses caresses et quand bien même elle le remarquerait pas, mon regard est bien plus qu'explicite. Il brûle d'envie, littéralement. Ce qu'on est en train de faire est mal pour tout un tas de raison que je n'ai même pas besoin d'expliquer et pourtant je ne peux m'empêcher de vouloir voir ce qui va se passer ensuite. Pendant un bref instant, j'oublie qui je suis, j'oublie qui elle est : je ne pense qu'à sa main, qu'à sa bouche sur laquelle je lorgne plus que de raison et qu'à son corps qui, soyons honnête, est tout bonnement affolant. Le pire dans tout ça, c'est que je ne me considère pas comme bi-sexuelle, j'ai eu quelques expériences comme tout un chacun mais j'ai rarement ressenti une réelle attirance pour une femme. C'est pour cela que tout ça me prend tant par surprise, je n'aurais cru pouvoir ressentir ce que je ressens en ce moment. "Tu le devrais peut-être..." Je réduis encore quelques peu la distance qui nous sépare, sa bouche n'est qu'à quelques centimètres de la mienne, je suis persuadée je pourrais sentir le goût du cocktail qu'elle vient de boire si je venais à goûter ses lèvres. L'idée est terriblement tentante, je dois bien l'avouer. Je ne peux m'empêcher de me mordre légèrement la lèvre inférieure, détournant le regard gênée par les idées qui me passent par la tête.
Kiana Davis
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○ âge : 34 ans (29.10.89)
○ statut : mariée à un délinquant, elle vit seule depuis trois mois avec sa fille Leah, âgée de 4 ans.
○ métier : gynécologue obstétricienne à l'hôpital de Wellington
○ orientation sexuelle : puisque peu de personne sont au courant de sa relation avec une jeune femme à l'aube de ses vingt ans, le reste du monde la pense hétéro. elle, elle ne met pas de mot sur sa sexualité.
○ posts : 4002
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○ pseudo : Loudsilence. (Vicky)
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Mer 29 Mar - 17:58
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
Je sens immédiatement que le corps de Samara réagit au contact de ma main. Mon souffle se raccourcit et je suis totalement incapable de reconnaître l’erreur qui est sur le point de se dérouler. Je suis prise entre l’alcool un peu trop présent dans mes veines et cette attirance qui a finalement toujours été sans que je ne lui accorde une certaine importance. J’aime les femmes, les belles femmes, l’âge pour moi n’est pas une barrière et le fait qu’elle soit la mère de ma meilleure amie ne l’est pas non plus. Regard ancré dans le sien, je cherche à savoir si elle serait prête à me repousser ou au contraire m’inciter à continuer. Les signes sont là, sa respiration s’accélère elle aussi, sa peau frissonne et son regard se laisse glisser sur mes lèvres que je m’amuse à mordiller pour faire monter encore un peu plus la température de la pièce. Je ne réfléchis pas, dans ces moments je sais que je devrais, mais c’est plus fort que moi, la passion prendra toujours le pas sur la raison, je suis comme ça. Une fille profondément passionnée, et pas un poil raisonnable. J’avoue à la quadra que j’ai envie de faire une bêtise, elle n’est pas née de la dernière pluie, elle sait bien ce que ça signifie, et mon regard gourmand porté sur ses lèvres donne un indice sur ma convoitise. « Tu le devrais peut-être… » Me dit-elle dans un souffle, s’approchant de moi un peu plus. Un sourire naît au coin de mes lèvres et je l’imite, m’approchant encore d’elle, mon corps et mon visage, toujours plus près alors que les secondes défilent. Je peux sentir son souffle s’écraser sur mes lèvres et mes yeux se ferment sans plus tarder alors que j’approche encore, millimètre par millimètre. « Je suis sûre que tes lèvres ont un goût exquis. » Un murmure laissant mes mots et mon souffle taquiner la pulpe de sa bouche. Elle ne recule pas et ma deuxième main se lève pour venir chercher son visage, s’échouant dans son cou, sa nuque puis la naissance de ses cheveux. C’est en ne sentant aucune résistance que je romps finalement la distance entre nous, me saisissant de ces lèvres qui ne semblaient n’appeler que moi. C’est une explosion de saveurs qui s’empare de tout mon corps et une succession de frissons incontrôlables font frémir mon dos. Ma main s’appuie un peu plus dans sa nuque pour intensifier l’échange qui pourrait s’arrêter là, si seulement je n’avais pas envie de plus. Nos langues viennent se chercher pour faire de notre baiser quelque chose de plus langoureux, sensuel et charnel. J’hésite à mettre un terme à tout ça avant qu’elle ne décide de le faire. C’est elle l’adulte responsable dans l’histoire, si une de nous deux doit arrêter les bêtises, ce n’est pas moi qui le ferai. Je me redresse sur mes genoux, doucement, ma main initialement posée à sa cuisse vient se nicher à sa taille et je ne résiste pas à allonger son corps déjà brûlant sur le canapé tout en me positionnant au dessus d’elle. A cet instant précis, Phoebe ne fait plus partie de notre vie.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Lun 3 Avr - 14:29
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
"Je suis sûre que tes lèvres ont un goût exquis." Elle si proche que je peux sentir son souffle contre ma bouche. Mes pulsions régissent absolument tout mon être et j'avoue adorer ça. J'aime désespérément me laisser aller aux sensations que je ressens, c'est si libérateur. Quand elle pose ses mains sur moi, naviguant de mon cou à ma nuque, elle laisse un sillon de frissons là où elle m'a touché. Je ne peux pas m'empêcher d'en vouloir plus, je me demande ce que ça ferait d'avoir sa bouche sur la mienne, de sentir sa langue me taquiner, de sentir l'une de ses mains remonter plus haut vers le centre de mon désir... Toutes ces pensées sont plus que moralement douteuses et pourtant sur le moment, elles me paraissent tout à fait naturelle. Je n'ai que rarement été avec des femmes pourtant, quand la bouche de Tawny s'écrase sur la mienne, j'ai l'impression que je n'ai jamais rien connu d'autre. C'est si bon de sentir ses lèvres contre les miennes si bien que j'en gémis. Je renoue depuis quelques mois avec des sensations dont j'avais même oublié l'existence. J'ai toujours pensé que Tawny devait être douée pour tout ce qui est charnel, qu'elle respirait la sensualité, j'en ai la confirmation aujourd'hui. Son baiser est si suave que j'ai l'impression d'être transportée dans un autre monde et quand sa langue vient chercher la mienne, je perds la tête. La main qu'elle a posé sur ma nuque me tient fermement contre elle et je suis totalement à sa merci. Ses caresses m'empêchent de penser rationnellement alors que j'arrive à peine à contenir toutes les sensations que je ressens. Pleine d'audace la brune, si tranquillement que je me demande encore comment j'en suis arrivée là, m'allonge sous elle. Son corps est collé au mien si bien qu'une certaine zone de mon anatomie palpite plus que de raison tout comme mon coeur bat la chamade. Déchaînée je lui rends son baiser avec une fougue dont je me serais, il y a quelques temps, crue incapable. Mes mains semblent adopter un comportement qui leur est propre puisque, sans que je ne puisse m'en empêcher, elles parcourent chaque parcelle de la peau de Tawny, s'aventurant même sous son t-shirt. Je prends possession d'elle, littéralement. Je ressens le besoin impérial de la titiller, de lui donner du plaisir, voilà pourquoi je lui mordille la lèvre, taquine. Mains mains empoignent la bordure de son t-shirt pour le lui ôter. À mi-chemin, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche. Instinctivement je pense que ce doit être Phoebe et ça a l'effet sur moi d'une douche froide. Je me recule brutalement, comme si on m'avait frappé. J'éclate alors d'un rire nerveux presque incontrôlable. "Je..." Bien vite le calme revient et je soupire, résignée. "Je m'excuse, on aurait jamais dû faire ça... C'était une erreur... Je ne fais que des conneries en ce moment." Oh oui, pour le coup j'ai bien déconné...
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Jeu 6 Avr - 23:52
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
C’est plus fort que moi, au fond je sais que je ne devrais pas, qu’on ne devrait pas. Mais le fait même que Sam soit réactive me donne envie de goûter à ses lèvres. Elle m’incite à le faire, je ne fais rien de mal après tout, je suis une adulte, elle l’est encore plus, et depuis le temps que je la drague implicitement, il fallait bien que ça arrive non ? Les réactions de mes mains sur sa peau sont immédiates, et j’adore ça. Déjà mes lèvres viennent chercher ses lèvres, nos langues démarrent une danse sensuelle, et je ne repousse pas l’envie de l’allonger sur le divan, me positionnant au dessus d’elle. Je ne veux pas réfléchir, je déconnecte totalement mon cerveau et me laisse guider par mes émotions, mes envies, comme j’en ai toujours eu l’habitude. Je ne devrais pas, je sais, ça me porte souvent préjudice, mais bon dieu que c’est bon. Je glisse une jambe entre les siennes, créant ainsi une proximité et une pression sur son intimité que je sens déjà brûlante. Je m’amuse à jouer de cette pression tout en souriant contre ses lèvres, aspirant ses soupirs et sa respiration de plus en plus saccadée. Ses dents rencontrent ma lèvre inférieur, traduction de son désir, et je la laisse faire, glissant mes mains sous son t-shirt pour aller caresser sa poitrine dénudée. Je frissonne à ce contact et la rousse cherche à en faire de même, agrippant mon t-shirt en vue de me le retirer, mais la sonnerie de son téléphone nous fait toutes les deux sursauter, et Sam s’éclipse de mon étreinte comme un savon entre mes doigts, glissant jusqu’à l’autre bout du canapé. Je la regarde, le souffle encore rapide. Elle rit et c’est ce qui me fait reprendre conscience. Je m’assieds à genoux, les fesses sur mes pieds, et passe ma main dans mes cheveux, fuyant cette fois son regard. « Je…Je m'excuse, on aurait jamais dû faire ça... C'était une erreur... Je ne fais que des conneries en ce moment. » Je secoue la tête et passe mes mains sur mon visage et dans mes cheveux, nerveusement. « Nan c’est moi, c’est con j’aurai pas dû. Quelle conne. » Je m’assieds mieux sur le canapé de manière à ne plus être réellement face à elle. J’ai l’impression de sentir encore le galbe de ses seins dans mes paumes de mains. Je viens frotter ces dernières sur mon pantalon et soupire un peu avant d’aller chercher mon verre que je finis d’une traite. Je secoue la tête et ris un peu nerveusement, comme Sam l’a fait plus tôt. « Tu as vraiment forcé sur la Vodka dans ton cocktail. Ceci explique cela. » On va dire ça oui. Je tourne la tête vers elle et me pince les lèvres en me raclant la gorge. « De quelles conneries tu parles ? A part celle qu’on s’apprêtait à faire j’veux dire … »
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Sam 8 Avr - 19:20
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
"Nan c’est moi, c’est con j’aurai pas dû. Quelle conne." J'aimerais croire que c'est de sa faute, croire qu'elle est la seule responsable de cette situation mais cela reviendrait à se voiler la face. C'est moi et moi seul le problème. Depuis mon divorce, sous prétexte que je suis libre, je fais tout et n'importe quoi. J'investie dans un appartement que je peux à peine me payer, obligeant ma fille par de là même à m'héberger, je sors beaucoup plus que de raison, je vois un homme que je ne devrais même pas côtoyer... En plus de ça, Beth me pousse à publier un livre alors que je n'en avais aucunement l'envie. J'ai l'impression d'être prise dans un tourbillon d'évènement et d'être quelque part... perdue en plein milieu. C'est pour ça que je doute réellement que ce soit la faute de Tawny. "Tu as vraiment forcé sur la Vodka dans ton cocktail. Ceci explique cela." Encore une fois, j'ai bien l'impression qu'il s'agit encore d'une excuse et je ne veux plus avoir à justifier mes actes de la sorte. Je l'ai fait la première fois que j'ai couché avec Jay, je l'ai fait la première fois où je me suis retrouvée avec une énorme gueule de bois : maintenant c'est fini. Il faut que je me reprenne et sérieusement. C'est bien joli de vouloir d'amuser, de vouloir profiter de la vie mais ça a ses limites. Si je veux réellement faire quelque chose du temps qu'il me reste, il faut que je commence à me poser des questions sur ce que je veux, sur ce que j'attends de ma vie. Et ça commence ce soir. "De quelles conneries tu parles ? A part celle qu’on s’apprêtait à faire j’veux dire…" Et voilà, c'est ce que je redoutais, c'est le moment de faire face. Enfin... quand je parle de faire face, je ne veux bien sûr pas dire qu'il faut que je lui dise la vérité. Ce serait terrible, elle finirait par tout raconter à Bee et ça signerait rien de plus que mon arrêt de mort. Perdre ma fille est la dernière chose dont j'ai besoin et le moins qu'on puisse dire, c'est que si ça venait à se produire, je ne la reverrais plus jamais. "C'est compliqué Tawny..." Je me passe la main dans les cheveux, en soupirant, d'un air lasse. Je n'ai aucune stricte idée de comment m'expliquer. "En ce moment, je sors beaucoup... Je... je me comporte comme si j'étais une enfant et je ne réfléchis pas aux conséquences." Voilà qui me semble résumer la situation au mieux sans toute fois entrer dans les détails. "Et il faut que j'arrête, parce que ça va trop loin..." Si j'avais continué sur ma lancée avec Tawny, j'aurais fait quelque chose de tout bonnement ignoble associé à ce que j'ai déjà fait avec Jay et ça, je ne le veux pas. Je pense être quelqu'un de bien et il est temps que je le prouve.
Kiana Davis
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○ âge : 34 ans (29.10.89)
○ statut : mariée à un délinquant, elle vit seule depuis trois mois avec sa fille Leah, âgée de 4 ans.
○ métier : gynécologue obstétricienne à l'hôpital de Wellington
○ orientation sexuelle : puisque peu de personne sont au courant de sa relation avec une jeune femme à l'aube de ses vingt ans, le reste du monde la pense hétéro. elle, elle ne met pas de mot sur sa sexualité.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Dim 16 Avr - 20:08
❝ Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ❞ tawny & samara
Je me confonds en excuses, je crois qu’on se sent aussi bêtes l’une que l’autre, c’est un moment gênant à passer, mais je suis sûre qu’on finira pas en rire. Je reprends contenance du mieux que je peux et me ressers un nouveau verre comme pour essayer d’oublier ce qui vient de se passer, même si clairement, ça risque d’être compliqué. Sam m’avoue qu’elle ne fait que des conneries ces derniers temps, et cette phrase pique ma curiosité. Fronçant les sourcils, je tourne mon visage vers la mère de ma meilleure amie, et lui pose la question, sans passer par quatre chemins, parce que je ne suis pas du genre à enjoliver mes paroles et tourner autour du pot pendant un millénaire. « C'est compliqué Tawny… » Je lève les yeux au ciel en secouant légèrement la tête. « Tout est compliqué dans la vie. » C’est une question de point de vie je pense. J’ai toujours eu tendance à vivre ma vie au jour le jour, ne me soucier de rien. Je sais qu’un jour ça me tombera sur le coin de la gueule, mais en attendant, je m’en tire pas trop mal, et je me sens heureuse avec ce mode de vie. « En ce moment, je sors beaucoup... Je... je me comporte comme si j'étais une enfant et je ne réfléchis pas aux conséquences. » Je souris, avant de poser mon regard sur elle. C’est vrai qu’elle a ce petit truc espiègle fortement agréable, c’est certainement ça qui m’a fait craquer pour elle ce soir, plus que d’habitude. Elle a changé depuis qu’elle a divorcé, une forme de liberté sûrement, et elle est encore plus belle qu’elle ne l’a jamais été. On ne le dira jamais assez, une femme libre est cent fois plus attirante qu’une autre enfermée dans son carcan. « Et il faut que j'arrête, parce que ça va trop loin… » une fois encore elle pique ma curiosité, et, fronçant les sourcils, je finis mon verre avant de reprendre la parole. « Tu en as trop dit ou pas assez. Maintenant, c’est trop tard, tu dois tout me raconter ! » Je lui adresse un regard bienveillant, l’incitant à me parler sans avoir peur. « Je te promets de ne rien dire à Phoebe si c’est ce qui te fait peur. Tu sais, j’ai beau être parfois… souvent immature, je sais aussi très bien être à l’écoute, et parfois même de bons conseils, je t’assure ! » Je lui souris à nouveau et lui ressers un verre à elle aussi. « Allez, raconte ! Je veux tout savoir ! Je suis sûre que c’est pas si pire que tu semble le laisser paraître ! » Je sursaute en entendant cette fois mon téléphone qui sonne. Merde. Je grimace en voyant que l'appelant n'est autre que le numéro de la caserne. Manquait plus que ça. «Excuse-moi.» Je décroche et on m'appelle pour une urgence. Une fois raccroché, je soupire et me lève en récupérant ma veste. « Je suis désolée, faut que je file, mais tu perds rien pour attendre ! Et puis, tu sais où est ma chambre !» Je lui adresse un petit sourire complice et disparais sans tarder.
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#) Mar 18 Avr - 14:10
Pour savoir qu'un verre était de
trop, encore faut-il l'avoir bu
Tawny & Sam
"Tout est compliqué dans la vie." Ça je ne peux qu'être d'accord. Je ne l'ai jamais autant compris qu'en ce moment d'ailleurs. J'ai l'impression que tout m'échappe d'une manière totalement incontrôlable. C'est comme si j'avançais dans des sortes de sable mouvant sans que je puisse m'en dépêtrer. J'ai même parfois l'impression d'être plus spectatrice qu'atrice de ma vie. Je fais les choses sans bien savoir pourquoi. Tout ce que je sais, c'est que je les fais."Tu en as trop dit ou pas assez. Maintenant, c’est trop tard, tu dois tout me raconter !" Tawny est obstinée, elle l'a toujours été. Je lui ai souvent dit que je trouvais que c'était l'une de ses plus belles qualités mais, en ce moment même, je préférais qu'il n'en soit rien. Pas bien étonnant si on considère le fait qu'elle essaie de me tirer les verres du nez. "Je te promets de ne rien dire à Phoebe si c’est ce qui te fait peur. Tu sais, j’ai beau être parfois… souvent immature, je sais aussi très bien être à l’écoute, et parfois même de bons conseils, je t’assure !" Un sourire sincère s'affiche sur mon visage. Je ne peux qu'être touché par ce qu'elle me dit. Cela me prouve que je compte à ses yeux et ça fait du bien de savoir qu'il me reste des personnes ur qui je peux tomber. Je sais pertinemment qu'elle et ma fille se disent tout et que ça lui couterait de lui cacher quelque chose. Si elle le faisait, ce serait vraiment pour moi et je peux qu'apprécier. Cela étant dit je ne peux pas la mettre dans cette position, jamais je n'oserais. "Ça n'a rien à voir avec toi Tawny, je t'assure. Je te fais confiance, crois le bien... C'est juste que c'est quelque chose que je dois régler moi-même. Tu comprends ?" J'ai bien peur qu'elle ne lâche pas l'affaire, si bien que je me demande comment je vais m'en sortir. "Allez, raconte ! Je veux tout savoir ! Je suis sûre que c’est pas si pire que tu semble le laisser paraître !" Qu'est-ce que je disais ? Soudain, une sonnerie de téléphone retentit de nouveau, je prie pour que ce ne soit pas Phoebe. "Excuse-moi." Je lui souris comme pour lui dire de ne pas se gêner pour moi. Au contraire même, ça m'arrange, ça me laisse quelques secondes de répit. "Je suis désolée, faut que je file, mais tu perds rien pour attendre ! Et puis, tu sais où est ma chambre !" Ni une, ni deux, elle s'en va, me laissant seule avec mes incertitudes. Et quelque part, c'est mieux comme ça.
FIN
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Sujet: Re: Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam (#)
Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu ~ Tawny & Sam
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