contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Je sors du restaurant huppé « More Of It » du centre de Wellington tout juste et observe quatorze heures sur l’écran de mon téléphone. Bordel cette omelette jardinière m’a tué. Je relève la tête et inspire longuement face au spectacle : la rue est bondée de monde, cosmopolite et métisse, j’ai toujours aimé cette effervescence due aux milliers de vies venant de tout horizon venir se mêler sur ces terres. Ça me fait plus de proies potentielles… j’adore les latinos et les asiatiques. Eh non pas que je trouve un charme à Yoko Ono, mais avouons que le potentiel de Katsuni est nom de Dieu incroyable. C’est dingue mais quand je pense cul, j’ai ma petite peste insupportable en tête, alors que tout ce dont j’ai envie d’en tirer c’est deux trois baffes pour son insolence et un coup retourné pour sa perfection plastique et son charme qui m’agace à me tirer dans ses filets sans que je ne vois rien venir. Allez je m’arrête là sinon je vais me retrouver dans cinq minutes à l’hôtel à faire je ne sais quoi avec je ne sais qui. Ce soir j’ai un service à assurer. Je porte mon téléphone à l’oreille en ayant au préalable composé le numéro de mon taximan préféré, je l’ai rencontré le premier jour de mon arrivé à Island Bay et ça a collé de suite.
- Rosebury t’attend chéri. - J’arrive ma princesse.
L’amour fait des ravages avec moi. Je n’ai pas un instant pour verrouiller l’écran que mon agenda électronique me rappelle à l’ordre en m’envoyant une annonce. Oh merde il faut que j’aille à la chambre des commerces régler cette histoire immonde à propos du FOXGLOVE. Trois secondes passent et je réussi à monter mes nerfs en live en repensant à ce délire de petites envergures. Je valide l’alarme de l’agenda et range mon téléphone : je sais qui va manger les vestiges de mon agacement acide cette après-midi même si je voulais faire les boutiques en bonne consommatrice que je suis. Mon taximan arrive après cinq minutes de ruminement intense, mon index serré entre mes dents.
- Hyper centre ? Galerie marchande ? - Non pas aujourd’hui, on va plutôt saluer les employés de mon bureau administratif préféré. - Ah ? Les plans ont changé ? - Comme toujours quand on essaie de me tacler aussi peu subtilement. - Permets-moi de douter de la légitimité de ton engouement pour le rentre-dedans irréfléchi. - J’ai assez d’argument pour mettre à terre la moitié de l’immeuble. Fonce sur la chambre des commerces et improvisons le hold-up le plus symbolique de l’histoire.
Il rit en remontant sa fenêtre après avoir donné son ticket de sortie du parking privé du restaurant. Il tape alors sur l’écran de contrôle du GPS.
- T’as une haine contre eux ? - Une petite.
Nous continuons notre petite mascarade teintée de taquinerie pendant presque quinze minutes avant qu’il ne me dépose devant le bâtiment qui emploie délibérément les plus incompétents du milieu.
- Une bonne vingtaine de minutes. Je compte sur toi, t’es mon complice et je suis le chef du plan. Tu m’obéis. - Oui chef.
J’adore tout commander même sous couvert d’un ton amusé, parce qu’au fond je ne rigole pas. Mon taxi s’éloigne sur une place réservée, quel renégat celui-là. Je souris en coin avant de pénétrer dans le hall du bâtiment : oui enfin j’ai jamais pu me cadrer la décoration insipide des lieux administratifs dont le vide spatiale est à l’image de la vitesse intellectuelle des agents. Tout est blanc, faussement propre et puant de vieux papiers oubliés et englués de café séché. Parce que ces attardés ne savent faire que du café et du lèche-botte quand il faut rameuter un petit bonus à la fin du mois. Ok j’ai un peu la haine. Au fur et à mesure que je m’approche du bureau d’accueil, je sens monter l’amertume à une vitesse hallucinante dans mon tube digestif.
- Madame ? - Rosebury, bonjour. Je souhaite m’entretenir avec le responsable des commerces. De suite. - Avez-vous été conviée ? - Non, mais j’ai du temps à perdre, autant que je vienne l’user ici. - Excusez-moi madame mais avez-vous seulement appelé avant de venir ? Je ne répondrai pas à vos attentes si ce n'est pas le cas. - Je ne vous excuse pas, et ma venue ici était planifiée. Donnez-moi quelqu’un avec qui m’entretenir, s’il-vous-plait. - Restez ici. - Jusqu’à ce que mon butin y soit sain et sauf.
La femme d’une trentaine d’années, pas laide non plus, m’adresse un regard ahuri. Elle a l’habitude de voir quelqu’un de profondément persuadé d’avoir affaire à des débiles pourtant... Ses talons claquent à nouveau sur le carrelage blanc après même pas cinq minutes d’absence. Est-ce que c’est sa putain de robe Gucci qui me fait de l’œil et attise mon énervement sous son relent de jalousie ou est-ce que c’est purement compétitif ? La mienne est pourtant griffée Balmain.
- Le service des commerces est fermé pour une réunion. Repasser dans deux heures, ou prenez rendez-vous.
Son ton suffisant m’énerve… « ou prenez rendez-vous ». Sa petite voix de femme frustrée qui a réussi à caler son petit pouvoir insignifiant depuis ses hauteurs professionnelles validées par un abruti de seconde zone me fait littéralement vomir.
- Je ne prends rendez-vous qu’avec les femmes qui ont assez de charme pour me donner envie d’écouter leur chant de spécialiste agréée. - Sortez.
Une vexée ! Une !
- « La jalousie qui se tait s'accroît dans le silence. » Prenez des notes, au revoir.
Téléphone en main, je ressors de cette calamité en un éclair, par peur de m’imprégner de la morosité du lieu. J’ai pas envie de revenir me casser le nez sur la femme qui détient le guiness record de l’amabilité de l’île. Donc on s’accommodera d’appels téléphoniques. De toutes manières si il faut que je fasse un rapport, je le ferai. Mon taximan au bout du fil, il me confirme sa venue d’ici deux minutes, assez pour me pavaner devant la porte vitrée pour que mademoiselle Gucci-frustrée monte d’un cran en explosant sa jalousie haineuse. Je suis étonnamment loin d'être en colère, sans aucun doute parce que j'ai pu faire mon petit numéro avec la secrétaire la plus insignifiante du secteur. Je ne me risquerai pas à revenir pour éviter des dérapages verbaux incontrôlables. J'ai une certaine éloquence que je maîtrise selon qui, ou quoi j'ai face aux yeux, mais parfois je ne peux m'empêcher de siffler. On verra les petites envergures un autre jour, je suis assez calme pour retourner m'occuper du reste de mes problèmes de paperasse dans mon bureau.
Je décide d’enchaîner en allant directement au FOXGLOVE, histoire de ranger mon bureau puisque j’ai encore fait des folies, et finir la fameuse partie "papiers" à propos du bar. Les finitions administratives sont lentes, chiantes et affligeantes, soit. Je débarque sur mon plancher lustré et marque chaque mètre carré du FOXGLOVE de mes talons Louboutin avec une infinie détermination. Il est presque quinze heures et j’entre dans mon bureau, jette mon sac à main Giorgio Armani sur le fauteuil avant de venir me jeter sur mon siège de bureau. Enfin sur mon territoire ; le rangement m’attend.
Je me rends compte de l’heure qui a passé que lorsqu’un serveur me dérange dans mon bureau pour des tabliers. En ouvrant la porte, la musique pop de la salle principale vient à mes oreilles comme un doux chant agréable. Le soleil se couche et la lumière orangée ruisselle sur les murs boisés du bar en y dessinant les ombres des usagers, parés à passer une excellente soirée. Je me lève de mon siège, tirant mon regard des innombrables papiers pour le poser sur la porte ouverte : un peu de liberté. Mon employé repart accomplir ses missions énergiquement alors que j’attrape mon rouge à lèvre pour redessiner mes lèvres pulpeuses. Prête pour partir en reconnaissance visuelle. J’ai juste besoin de détendre mes nerfs affriolant.
Je débarque dans la salle bondée et observe les nombreuses personnes venir s’approvisionner en boissons et petits suppléments sucrés, usant mes employés à la tâche. Mes serveurs se disputent le peu d’espace disponible pour circuler à vive allure entre les tables occupées et les doigts levés, et malgré l’effervescence de ce brouillard de rire et d’amusement, le bar se tient fièrement, remplissant pleinement sa tâche noble. Mes employés ont presque l’air de s’amuser à courir et discuter ici, à débarrasser et rigoler là-bas ou encore à draguer tout en essuyant sensuellement les trois gouttes que monsieur a laissé sur sa table. Je respire profondément avant de venir mettre mon grain de sel dans l’arrière-boutique où mes employés se fatiguent à tout garder en nombre suffisant et à fraîche température, il me faut peu de temps pour voir que tout va bien ici. Je me retire doucement puis vient m’installer dans la salle où je commande à l’une de mes serveuses un cocktail frais, celui qu’elle réalise le mieux, je me fous duquel. Lorsqu’elle revient m’apporter ma boisson, lui accordant toute ma gratitude, j’aperçois au loin une créature faisant son entrée dans mon antre dans la démarche la plus féminine et sexy du monde. Je suis sûre que ma bouche s’est ouverte en grand, et que mes pupilles se sont dilatées en une fraction de seconde. Sa crinière blonde platine, son maquillage de professionnel et sa robe élégante enrobe sa silhouette aux courbes les plus vertigineuses jamais observées… le tout accompagné d’un sourire ravageur sur une peau bronzée qui en ferait baver plus d’un. Nom de Dieu je dois aller la voir. Parmi toutes les gazelles qui dansent, boivent et courent ici ce soir, c’est elle qui se démarque –Tawny étant absente- et je compte bien enregistrer sa venue en en tirant un moment mémorable, oh oui, mémorable.
Sujet: Re: Eh! Sing it for me (#) Dim 26 Fév - 14:12
eh ! sing it for me. kaylian & lyra
Aujourd'hui c'est une journée complètement pour moi. Hier soir Gab' est venu a la maison pour garder Craig vue que j'étais de sortie pour aller chanter dans mon bar préféré mais surtout parce qu'on me l'avait demander. Je n'avais pas dit non de toute façon, j'adore tellement ça que même mon frère ma pousser a y aller. Je lui avais laisser mon appartement pour la soirée car je sais que Craig ne voulait pas partir de la maison puis mon frère trouve toujours place sur mon canapé. En rentrant a trois heures du matin, je suis passer dans le salon pour aller me chercher quelques choses a manger mais au passage j'ai remonté sa couette sur lui puis j'ai éteins la télé. Il dormait comme un bébé. Ma boite de céréale en main avec mon bol je monte lentement les marches pour aller voir Craig s'il dort, mais oui il dort bien. Je sais qu'il a passer une soirée assez cool avec son oncle c'est pour ça que je lui laisse régulièrement. Je rentre dans ma chambre et quand je m'assois sur mon lit je laisse un soupire de soulagement m'échapper. Je dépose le bol et mes céréale sur mon lit puis je me dirige vers ma salle de bain pour retiré mes vêtements et enfiler mon pyjama. Je viens me mettre sous ma couette, prenant mon bol et le remplis de céréales, ceux qui sont de toutes les couleurs, c'est peut-être ceux de mon fils mais bon c'est pas grave ça fait du bien quand tu rentres. Je viens mettre mes écouteurs sur mes oreilles puis je mets ma musique en mangeant tranquillement. Une fois que j'ai finis mon bol je viens le dépose a coter de la boite puis je coupe ma musique en y déposant sur ma table de chevet. Une nuit assez longue et reposante, c'est se que j'aimerais en espérant que Craig ne viennent pas me réveiller. Dans la nuit, ou plutôt très tôt le matin le chat entre dans ma chambre pour venir se dépose a mes coter. Ca ne me réveille même pas. Je n'entends même pas Gab entré dans la chambre pour venir chercher la boite de céréale. Bien sûr il me récupère mon bol et referme la porte derrière lui. Vers treize heures je sens le soleil me chauffer le visage, mais aussi un petit bruit en bas. Craig et Gab sont entrain de s'occuper. Je ne sais pas comment je pourrais remercier mon frère d'en faire autant pour moi. Je grogne doucement en m'allongeant sur le dos et passe mes mains sur mon visage. Le chat vient se lever aussi en bayant bien plus que moi. J'ouvre doucement les yeux en venant regarder l'heure sur mon réveille. Pas de stresse, c'est ça qui est bien, la boutique et le bar sont entre de bonnes mains, puis Craig aussi. Je viens doucement me lever, passant mes deux mains dans mes cheveux pour venir les mettre en arrière mais surtout les attaché en queue de cheval. Je descend doucement les marches, quand Craig me voit il court pour me sauter dans les bras « Maman ! » je rigole doucement puis je le porte pour le recouvrir de baiser. Je peux l'entendre rire et quand je le remet a terre je m'approche de mon frère et le prend dans les bras. C'était devenu une habitude. « Hey, comment tu vas ? » « A merveille et toi donc ? Pas trop dur le réveille ? » je laisse un petit rire m'échapper en secouant la tête de gauche a droite. Mon fils toujours plein d'énergie il me raconte toute sa soirée de hier avec mon frère, je viens alors m'asseoir sur le canapé, pour l'écouter. Gab' me rapporte une tasse de café, je le remercie en souriant. « C'est vrai avec tonton vous êtes aller au parc hier ? Et tu as fais un tour de manège ? Wahou ! Il est adorable ce tonton ! » je lui avais laisser Craig des seize heures hier vue que je bossais. On rigole tout les trois, puis je laisse Craig s'amuser pour rejoindre Gab. « Merci pour hier ! » je viens déposer ma main sur son bras en le regardant. « Normalement Troy vient dans l'après-midi, tu vas pouvoir partir, et ce soir c'est Troy qui me garde Craig. » « Tu chantes encore ce soir ? » « Oui au FoxGlove, je t'en avais parler je crois. » « Ah oui c'est vrai, c'est une très bonne ambiance là-bas aussi. Tu vas t'amuser. Je te laisse petite sœur, je vais voir papa. Je t'appelle. » Je hoche la tête en souriant, puis il embrasse mon front, vue que je suis plus petite. Il va vers Craig pour venir l'embrasser aussi et lui promettre qu'il revient vite. Craig hoche la tête de haut en bas, je ne peux que sourire a les voir tout les deux. En attendant mon meilleur ami, je mets Craig devant les dessins animés, je lui dis que je vais prendre ma douche. Je sais que je peux le laisser quelques minutes tout seul devant la télé. Je monte rapidement, puis fil sous la douche. J'en prends une assez rapidement puis je vais enfiler un simple jean et un débardeur. Ce n'est que mon meilleur ami après tout il m'a vue dans des pires tenus. Quelques heures plus tard, alors qu'on était devant la télé a se poser, j'entends la porte sonner, je dis a Craig qu'il peut ouvrir. Derrière celle-ci se trouve mon meilleur ami ainsi que le sien. Ils sont adorables et se prennent dans les bras. Je souris et mon meilleur ami me fait de même. On les laisse entre eux puis nous deux on s'éloigne un peut pour parler de tout.
Je l'abandonne quelques minutes pour monter me changer. Je regarde dans ma garde robe puis j'attrape une robe, blanche/grise, je ne sais jamais trop la couleur, mais je l'aime beaucoup. Je viens alors l'enfiler. Épousant parfaitement mes formes, je viens m'asseoir devant mon miroir puis je m'occupe de mon maquillage. J'ai pris l'habitude a San Juan d'avoir un maquillage parfait, comme une professionnelle. Pour mon mariage c'était moi-même qui m'avait fait mon maquillage. Je viens lâcher mes cheveux sur mes épaules, attachant quand même un peu mes quelques mèches rebelle devant mon visage. J'attrape cette fois mon rouge a lèvre rouge pour le dépose sur mes lèvres et les embellir plus qu'elles ne le sont. Je descends alors comme ça pour rejoindre les garçons. Je pouvais voir leur yeux s’agrandir et un petit « Wahou » sortir de la bouche de mon meilleur ami. Je souris doucement puis je m'approche d'eux pour leur dire au revoir. Je devais aller au FoxGlove pour la soirée. « Tu n'hésite pas a m'appeler si quelques choses ne va pas ! » Il lève les yeux aux ciels en riant doucement et me dit de partir. J'enfile alors mes talons, noir, puis je sors de chez moi. Prenant alors ma voiture pour me diriger vers ton bar. Une fois garé, je sors après avoir remis mes cheveux en place. Je pousse doucement la porte de celui-ci, du monde ? Ce ne me fait pas peur du tout. Je commence a me glisser entre quelques personnes, le sourire aux lèvres, mon regard vagabondant un peut partout dans la pièce. Je m'arrête doucement au bar puis je me permets d'interpeller un barman. « Excuse moi, j'aimerais voir Kaylian s'il te plaît. » Il me sourit et m'explique que tu te trouve a une table un peu plus loin. Je le remercie puis je continue a me glisser entre les personnes pour arrivé face à toi, sourire toujours aux lèvres. « Bonsoir Kaylian. » Je dis d'une voix douce en te regardant. Je te laisse mon regard se déposer sur ton visage. Je savais que je devais chanter pour toi ce soir, mais on avait pas parler de plus de toute façon c'était ma raison pour la quel je suis là plus tôt.
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Sujet: Re: Eh! Sing it for me (#) Jeu 2 Mar - 20:42
Eh! Sing it for me
Lyra et Kaylian
La sublime femme qui vient d'illuminer le bar de sa grâce légendaire s'avance vers l'un de mes employés. Ok je vais le bouffer celui-là, elle doit préférer les hommes. Bordel! Je porte le verre dans lequel gît un cocktail orangé à ma bouche en ne quittant pas des yeux une seconde la nouvelle arrivante. Si mon employé tente quoique ce soit, comme la faire rire, ou encore la toucher, je le vire. J'avale deux trois gorgées avant de voir que le serveur indique ma position de la main. Moi? Elle s'approche de ma table en se faufilant parmi les clients assoiffés qui lui obstrue le passage, et ma vue par la même occasion. Elle observe partout autour d'elle, le sourire au lèvre, laissant sur son chemin une aura étincelante d'élégance et de beauté. Je m'étouffe presque lorsque je vois ses pas se rapprocher de moi, confirmant ce que je pensais: elle vient me voir.
- Bonsoir Kaylian.
Elle m'affiche un sourire suave et sexy. Je suis en train de nager dans une marée de paillette.
- Bonsoir, madame? Je n'ai pas le plaisir de vous connaitre.
Le fait qu'elle ait prononcé mon prénom me déstabilise quelque peu. D'où ça sort ça? Si c'est le serveur qui m'a devancé en me présentant, alors je le tue. Définitivement.
- Installez vous je vous prie. Vous me cherchiez? Si vous connaissez mon nom...
Je tente de garder l'esprit clair en repensant à ce que j'avais à faire aujourd'hui. Rien ne me vient... Pourtant... J'ai bien l'impression que j'ai oublié quelque chose en fait. Je n'ai pas plus de temps à accorder à ma mémoire qu'une de mes serveuses ne débarque.
Ma serveuse m'adresse un clin d'oeil. Madame Foster? Bordel de Dieu! La chanteuse! La chanteuse! Comment j'ai pu rater ça! La chanteuse de ce soir... Je n'ai pas mon téléphone sur moi pour me délecter de l'alarme qui n'a pas sonné pour me prévenir du rendez-vous. Nom d'un chien mais je suis irrécupérable. J'ai souvenir de ce client qui m'avait fait la promotion d'une certaine Foster en tant que chanteuse de bar... il m'avait laissé sa carte il y a deux semaines. J'ai oublié. J'ai oublié. Je lève les yeux sur mon employée et réponds à la place de mon invitée magique.
- Un autre cocktail, comme le mien, ça ira.
Je me tourne alors vers la chanteuse et lui adresse un sourire extravagant, masquant ma gêne. Je déteste être prise de court comme c'est en train de se passer, mais je ne vais pas lâcher mes nerfs sur elle, je n'ai aucunement envie de la faire fuir. Un petit cul va le payer cher. Je devrais employer un esclave qui me sert d'agenda humain, j'ai toujours été nulle avec la technologie et ça m'énerve.
- Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez celle que j'attendais.
J'exagère volontairement sur "celle", histoire qu'elle voit que j'apprécie convenablement sa présence physique. Autant le dire, elle me plaît.
- Vous chantez pour les bars et j'apprécie votre démarche artistique, mais dites-moi seulement quel genre de contrat souhaitez-vous?
On va parler affaire pour la fidéliser un peu, si je peux la rameuter dans mon bagage administratif, ça ira d'autant mieux que je ne veux vraiment pas qu'elle m'échappe. Pour son talent, on verra ça plus tard.
Sujet: Re: Eh! Sing it for me (#) Dim 12 Mar - 14:08
eh ! sing it for me. kaylian & lyra
Le barman assez agréable mais aussi très gentil me montre ou te trouve. Je ne lui laisse pas le temps de me dire quoi que ce soit d'autre et je fils. Je m'avance, je slalome entre les personnes carrément pour venir a ta table. Mon sourire toujours attacher a mes lèvres, une fois face à toi quand je prononce ton prénom je vois clairement que tu es « destabiliser » mais surtout que tu ne remets pas un nom sur mon visage. Amusant. Oui c'est assez amusant en réalité, c'était pas la première fois que l'on me fait ça mais à t'entendre c'est amusant. - Bonsoir, madame? Je n'ai pas le plaisir de vous connaitre. « Et bien vous allez me connaître très rapidement madame Rosebury. » Je dis légèrement amuser, enfin plus qu'amuser. Je trouve cette situation très amusant même. Je ne pensais pas que tu n'allais pas te souvenir de moi, voyant comment tu me dévore des yeux. J'ai l'impression d'être l'ange tomber du ciel sans que tu saches mon prénom. - Installez vous je vous prie. Vous me cherchiez? Si vous connaissez mon nom... je te remercie puis je tire doucement la chaise qui se trouve face à toi pour venir m'installer. Je croise mes jambes vue que je suis en robe, puis je dépose doucement mes bras sur la table, prête a reprendre la conversation mais ta serveuse nous coupe totalement dans mon élan. - Alors, madame Foster, vous désirez quelque chose? Je relève le regard vers elle, moment de lucidité pour toi, illumination quand elle prononce mon nom de famille. Un petit sourire au coin de mes lèvres se fait et voilà que tu reprends rapidement de ta personne me laissant pas prendre commande. - Un autre cocktail, comme le mien, ça ira. La dernière personne qui a prit commande pour moi connaît très bien mes goûts. Je ne suis pas du tout cocktail donc avec un sourire toujours autant amuser, je me permets de retenir ta serveuse en la regardant. « Il a l'air délicieux mais je préfère un Martini rouge avec un seul glaçon dedans s'il vous plait. » Bien tenté mais tu peux voir que moi aussi je peux prendre le dessus et ne pas me laisser faire. En réalité, se que je n'aime pas dans les cocktails c'est ce mélange de plusieurs saveur qui me déplaise assez. Je préfère prendre un seul alcool et non un mélanger. La plus part du temps on ne sait jamais se qui a dedans et vue que j'aime pas je ne préfère pas. A Porto-Rico j'en prenais jamais. - Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez celle que j'attendais. je souris en te regardant. Une gêne se faire entendre dans ta voix mais je ne la prends pas du tout en compte. « Pas de problème, ça peut arriver a tout d'oublier un rendez-vous surtout quand on a eu une journée charger. » se que je peux en conclure en voyant ton oublier que je ne prends pas mal du tout bien au contraire. Tu pouvais le voir que non, non je m'en fiche même que tu aies oublier mon rendez-vous, sa pimente un peut plus la situation. Prise de cour mais aussi agréablement tu le prends comme une professionnelle. - Vous chantez pour les bars et j'apprécie votre démarche artistique, mais dites-moi seulement quel genre de contrat souhaitez-vous? et maintenant venons au vif du sujet. Chanter dans les bars mais aussi le contrat. Je hausse doucement des épaules. « Vue que je fais ça pur le plaisir, la plus part du temps le contrat est de nature dite de temps partiel en faite. Comme si vous prenez une étudiante qui veut se faire un peu d'argent de coter pendant ses études, un contrat temporaire. » je fais une petite pause en te regardant toujours autant. « Je pense que vous saviez que vous n'est pas le seul bar dans le quel je présente mais si vous avez mieux a me proposer je vous écoute. » Sourire toujours au lèvre laissant mon regard sur ta personne en attendant une réponse de ta part, amusée.
electric bird.
Spoiler:
désolée du temps de réponse
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Sujet: Re: Eh! Sing it for me (#) Dim 2 Avr - 12:31
Eh! Sing it for me
Lyra et Kaylian
- Il a l'air délicieux mais je préfère un Martini rouge avec un seul glaçon dedans s'il vous plait.
Me voir refuser la politesse d'un oublie de la sorte me fait prendre conscience que j'ai sans doute face à moi la princesse la plus assurée de la ville. Elle n'a pas l'air touchée par ma maladresse pour laquelle je ne peux plus rien. J'en suis malicieusement satisfaite, d'autant plus qu'elle à l'air à l'aise. Rien de mieux pour un patron que de s'apercevoir que la confiance est maître mot, je n'ai pas envie de m'engager sur un contrat avec un boulet. Sa plastique quasi-parfaite mérite amplement sa place ici, j'aurais été bien déçue de me prendre une claque dû à une prestance médiocre et une assurance digne d'un puceau qui parle pour la première fois à son coup de foudre du samedi soir. Quelle horreur.
Alors que j'excuse le fait que je l'ai oublié, elle reprend en main les raisons de sa venue en me rassurant. Loin de moi l'idée de la berner, et je pense qu'elle se dit la même chose. Rien n'est plus sûr que mon réel enthousiasme quant à sa venue.
- Pas de problème, ça peut arriver a tout d'oublier un rendez-vous surtout quand on a eu une journée charger. - Les journées peuvent s'enchaîner, je reste à la disposition de mes moyens lorsque le travail est correct. Je pourrais reprocher l'oublie à mon agenda qui n'a pas fait son boulot correctement.
Elle est très sure d'elle, et ça a le don de me mettre en confiance. Je pense que c'est quelqu'un qui est proche de ses principes et qui se connait assez bien pour m'offrir une prestation de qualité. J'enchaîne en parlant purement travail... passons aux choses sérieuses, on a pas toute la journée.
- Vue que je fais ça pour le plaisir, la plus part du temps le contrat est de nature dite de temps partiel en faite. Comme si vous prenez une étudiante qui veut se faire un peu d'argent de coter pendant ses études, un contrat temporaire. Je pense que vous saviez que vous n'est pas le seul bar dans le quel je présente mais si vous avez mieux a me proposer je vous écoute. - Donc vous voulez vous tourner vers du temporaire à temps partiel. La place est disponible, vous n'avez plus qu'à l'investir. Je vous laisse choisir les jours de présence, selon votre plaisir personnelle et si après observation vous remarquez une affluence plus importante tel ou tel soirée. Jusque quand voulez vous tirer le contrat?
Alors que je lui expose les faits, j'aperçois une serveuse traverser la salle. Je l'intercepte d'un mouvement de la main, la ramenant irrémédiablement vers moi.
- Va dans mon bureau et ramène moi le classeur vert s'il-te-plaît chérie. - Ok Kay'!
Je lui souris comme pour l'encourager puis elle se tourne pour s'executer, faisant remuer son petit cul magnifique. Je détourne mon regard de cette vue affriolante et replace mes iris dans ceux de ma belle invitée.
- Pour ce qui est de votre espace personnel, avez-vous des exigences? Un local, un casier, pas de local, pas de casier, mélangée aux autres, ou pas... Et en ce qui concerne les horaires, libre à vous de choisir, mais lorsque vous choisissez des jours de présence, ne me faites jamais faux-bond. J'ai horreur de ça. Les consommations seront gratuites pour vous et vos musiciens si vous souhaitez vous faire accompagner.
Ma servante extrêmement attentionnée revient avec le classeur vert et en a profité pour apporter la consommation de madame Foster. Elle est parfaite cette petite.
- Kaylian, ton classeur, madame Foster, votre boisson. Bonne dégustation!
Et quelle dégustation...! Je pose frénétiquement le classeur épais sur la table et ouvre les première pages à la recherche de tous les noms de mes employés, permanents comme temporaires. Tout est classé selon des caractéristiques précis à la perfection. Si mon bureau est un bordel sans nom la plupart du temps, tout ce qui concerne le sérieux administratif dont j'ai horreur est réglé comme une horloge. Paradoxal et démoniaque.
- Bien, selon vous, quels sont les jours où vous pourriez vous libérer pour le FOXGLOVE?