Plus on est de fous plus on rit

   

Lucas Strand

La vie est faite pour qu'on puisse en profiter alors LET'S GO THE PARTY !!!

   
   

les informations en vrac

  N'ayant pas connu son père, c'est sa mère qui l'a élevé › Depuis son plus jeune âge il se montrait déjà précoce au niveau de l'intelligence, il était considéré comme le petit doué de la classe › Il ne faisait pas pour autant l'unanimité étant donné son coté un peu trop clownesque et farceur › Il a été viré d'un établissement après avoir envoyé une prof en dépression  › Il ne peut s'empêcher de jeter un coup d’œil dans le miroir lorsqu'il passe devant › Il a joué dans l'équipe de football américain de Nouvelle-zélande et est devenue le plus jeune prodige de l'histoire de ce sport › Il a traversé plusieurs pays pour des tournois › Son plus grand rêve est de se la jouer Robinson Crusoé sur une ile déserte › C'est un adepte des sensations fortes › Il aime relever les défis, peu importe la nature › Il n'hésite pas une seule seconde à s'amuser si l'occasion s'y prête ›


   

les indiscrétions sur le joueur

   
   

Code:

<pris>Zac Efron ›</pris> lucas strand

       

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

   Le destin s'écrit suite aux choix que nous faisons, des décisions cruciales directement lié à un avenir à la base incertain. La raison d'être d'une personne se révèle bien souvent comme une survie au sein d'un milieu inconnu, là où le chemin que vous empruntez peut s'avérer fatal pour la suite. Pourtant, Lucas a toujours réussit à se sortir d'une mauvaise passe en se rappelant que la vie est faite pour être vécue à fond sans engendrer le moindre remord pouvant mettre en doute le subconscient fragile que contient tout les êtres vivants. Personne n'est à l'abri d'un retournement de situation, heureusement pour lui sa mère s'est toujours grandement investit dans son éducation, dans son apprentissage pour devenir l'homme qu'il est aujourd'hui. Comme n'importe quel enfant, Lucas a tracé sa propre voix une fois arrivé à l'adolescence, il a commencé bien assez jeune à se montrer indépendant, à faire ce que bon lui semblait tout en restant dans les limites du raisonnable. Était-il promis à un grand avenir ? A porter des lunettes et se retrouver le cul vissé sur une chaise derrière un écran ? Oh non, il était bien loin de cette vie emmerdante, il est un fêtard dans l’âme et il n'hésite pas une seule seconde à le revendiquer. Se faire qualifier d'intello de service a tendance à le rebuter, à le contrarier et pourtant cette image l'a suivit durant toute sa scolarité...une vraie plaie.

Jamais il n'a voulu de ce titre, mais y pouvait-il quelque chose ? Qualifié par ses profs et sa mère d'intello précoce premier de sa classe, il en a entendu des choses à son égard et ça l'a grandement fait chier d'ailleurs. Sur le moment il avait bien envie de leur foutre une colle dans la bouche et de l’aplatir jusqu'à ce qu'ils puissent jouer au roi du silence. Encore heureux qu'il n'en était pas à là, il préférait se distinguer en faisant le pitre, le clown de service prêt à tout pour amuser la galerie. Il aurait pu envisager de devenir comédien ou acteur, mais là encore il ne se voyait pas dans cette catégorie. Non pas qu'il ne se sentait pas à la hauteur, mais il préférait garder une image de Leader. Très bon élève, hormis le comportement personne n'avait rien à lui reprocher et pourtant...

Lorsque la fin d'année arrive, les étudiants ont tendances à se lâcher un peu plus que la moyenne, à faire les 400 coups pour immortaliser les derniers jours. Suite à un vote, Lucas est même devenu le porte-parole de sa classe, celui qui dicte les mauvais coups à faire, le Leader de la connerie. Pour preuve, ce dernier a été jusqu'à positionner des épingles sur la chaise d'une de ses profs qu'il avait du mal à blairer, le genre de prof qui ne fait que de l'ouvrir parce que madame n'a pas niquer la veille.  Désolant et désespérant. Rien de mieux pour motiver Lucas à faire sa connerie et lorsqu'elle s'est mise à sautée au plafond au contact des épingles, ce fut le fou rire général et bien entendu, discret comme il est, il s'est grillé tout seul en affichant son sourire fier et amusé. Ce n'était pas le seul coup à son actif, il a également trafiqué une chaise pour la faire devenir instable, des boules puantes dans les tiroirs du bureau ou encore des souris dans les trousses. HOLLY SHITTT !!!! Ça c'était le bon temps, avant qu'il ne se fasse virer de l'établissement.

On va pas se mentir ça a été un coup dur pour sa mère qui se retrouva un peu sur le cul en apprenant la nouvelle. Son fils, viré d'un établissement...et oui. Le choix ne lui appartenant pas vraiment, ils ont été obligé de déménager afin de trouver une nouvel établissement prêt à l'accueillir. La logique voulait que ça ne soit pas si compliqué étant donné son parcours plutôt encourageant au niveau des notes et de son application. Mais l'attitude a été plutôt un frein, mais comme on dit il ne faut jamais baisser les bras pour avancer. Jouant un peu sur les émotions, Lucas a finit par intégrer un nouvel établissement, là même où  il a intégré l'équipe de Football Américain: la NZAFA. Depuis toujours passionné par ce sport, ce changement d'établissement a été une aubaine pour lui, il pouvait enfin réaliser un de ses rêves. S'investissant plus dans ses entrainements que dans son cursus scolaire, il devint bien vite un jeune prodige, le plus jeune depuis la création du club. Les voyages organisés pour les championnats, les rencontres importantes, les mercatos, etc... Il était aux anges, le paradis absolu avec les Cheerladers.

Devenu la grande star du club du haut de ses 26 ans, Lucas s'est frayé un chemin en or qu'il a continué à creuser en cherchant à ouvrir son propre club avec quelques amis. Problème, il n'avait pas les moyens suffisants pour atteindre son objectif. De ce fait et après les conseils avisés de son entourage, Lucas est devenu Barman pour un temps afin de se faire un peu plus d'argent de poche au bar le Foxglove. Si on le connait comme étant un fêtard possédant une personnalité complètement folle, lorsqu'il se trouve sur son lieu de travail il devient d'un sérieux impeccable tout en restant malgré tout un minimum accessible, pas le genre de gars à paraitre comme quelqu'un de coincé du cul. Il aime parler, rigoler et ça fait plaisir aux clients de voir quelqu'un qui ne se prend pas la tête. Un véritable atout pour le bar. Le temps passait et petit à petit il se rapprochait de son objectif...jusqu'à ce qu'il soit convoqué par ses supérieurs. Qu'est-ce qu'ils voulaient ? C'était assez bizarre, mais la surprise fut présente lorsqu'il découvrit que la convocation avait pour but de le promouvoir en tant que manager. Lui manager ? Carrément qu'il était partant. On lui faisait confiance et il ne comptait pas la briser.

Il commençait à se plaire dans ce bar, la clientèle et le personnel était plutôt sympa, il s'entendant avec la plupart et parfois il prenait un malin plaisir à donner des directives. Narcissique ? Bon, un petit peu alors. Pendant une année entière il a trimé, il s'est donné à fond et là...c'est le drame. Nouvelle promotion en tant que co-gérant du bar. Genre le gars passant du petit intello au clown de service puis au footballeur américain puis au barman puis au manager pour au final finir co-gérant. Sérieusement ? Si là il ne doit pas aller allumer un cierge alors il ne comprend plus rien.

Depuis ce jour, Lucas continue sur sa bonne lancée tout en alternant entre son job et sa passion sportive. Pour le moment il arrive à s'en sortir, il se montre responsable et un peu trop décontracté selon certains, pour un co-gérant il lui arrive parfois de se montrer trop amical et ce n'est pas toujours bien vu. Mais on lui fait confiance ? On l'a promu c'est pas pour rien ? Alors qu'ils ne se plaignent pas parce qu'il en faut pas oublier qu'il est le roi des 400 coups et il en a encore un bon paquet en réserve.