the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe

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jordan coalman

but if your life is such a big joke, why should i care ?

nom › Coalman. prénoms › Jordan. âge › 29 ans. lieu de naissance › londres. statut civil › fiancée. orientation sexuelle › hétérosexuelle. métier/études › traductrice dans une maison d'édition groupe › lost in my mind avatar choisi › keira knightley.

les informations en vrac

jordan est née et a grandi à londres dans une famille très aisée › elle est diplômée de l'université de yale en langues étrangères appliquées (français & allemand) ainsi qu'en commerce international › la mère de jordan est morte lorsqu'elle avait une dizaine d'années, juste après leur déménagement à New York › jordan n'a pas eu beaucoup de relations durables depuis son adolescence, car elle est très sauvage et a du mal avec les contraintes qu'un couple implique › sa situation de fille de riche famille lui convient dans les grandes lignes car elle n'a pas à se soucier de l'argent, mais les obligations sociales la dérangent fortement › elle considère sa gouvernante, euphemia, comme la soeur qu'elle n'a pas eue et la mère qui lui a été enlevée › jordan préfère qu'on l'appelle joe › elle est coquette mais tout en restant naturelle › elle a pour habitude d'écrire dans des lettres qu'elle n'envoie jamais ce qu'elle ressent sur des événements de sa vie, comme un journal intime amélioré › elle partage un secret avec son père ainsi qu'avec une ancienne amie qu'elle n'a plus revu depuis les événements qui les lient › joe ne fume pas et a beaucoup de mal à supporter l'odeur de la cigarette › elle a un caractère bien trempé et n'hésite pas à le faire ressentir autour d'elle : si elle doit taper du poing, elle le fera ›

les indiscrétions sur le joueur

pseudo/prénom › eilyam. âge › 23 ans. pays/région › lorraine. présence › 7/7j. comment as-tu connu island bay › publicité. scénario/inventé › scénario de théo antonelli the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 692898555

the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 692898555

. raison de ton inscription › j'ai craqué sur le scénario, & j'ai très envie de nouveaux personnages en ce moment the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 4164965148

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the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 449023763

dernier mot d'amour › des bisouilles toutes douces the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 838751658

the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 75032514

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Code:: <pris>keira knightley ›</pris> jordan coalman

Dernière édition par Jordan Coalman le Lun 27 Fév - 17:08, édité 2 fois

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l'histoire de ma vie

i still hear your voice

Lettre de Joe à Euphemia, la gouvernante de la famille.

Ma très chère Euphie,

Nous y voilà. Le moment est venu. Je vais partir loin de toi, pour la Nouvelle-Zélande. Tu sais Euphie, je ne te remercierai jamais assez de tout ce que tu as fait pour moi. Nous n'avons qu'une vingtaine d'années de différence, et je n'ai jamais réussi à te considérer comme ma bonne. Tu es comme une soeur pour moi, et je n'en démordrai jamais -d'ailleurs tu sais que tu es la bienvenue quand tu veux dans ma nouvelle maison !-.
Depuis que nous avons déménagé à New-York il y a bientôt vingt ans, et que tu nous as suivis, tu as été mon repère principal, et ma force dans cette ville impitoyable. C'est toi qui m'as aidée lorsque j'ai dû me faire une place dans les écoles huppées de la ville, où les fortunes étrangères sont vues comme une menace. C'est toi qui m'as consolée lors de ma première déception amoureuse. C'est également toi qui t'es interposée entre père et moi durant les altercations qui ont jalonné toute mon adolescence. Tu as pris le rôle de mère, grande soeur, nounou, professeur particulier, marchand de sable, styliste, maquilleuse... Tu sais tout faire, ma bonne Euphie.
Te souviens-tu de nos ballades au coeur de Londres ? Quand nous sommes montées pour la première fois dans la grande roue et que tu m'as expliqué que Big Ben veille sur nous depuis bientôt deux siècles ? Tu te souviens, hein, Euphie ? De ces nuits à me raconter les histoires de ta jeunesse pour m'endormir, quand tu t'es enfuie de ton petit village écossais pour venir t'installer à la capitale et vivre ta vie ? Heureusement que père et mère ont choisi de faire appel à une gouvernante... Si tu n'avais pas été là, je me serais retrouvée seule à la mort de mère. Seule, et sans aucun repère.
Toi et moi nous nous ressemblons beaucoup. Nous refusons de nous soumettre, de participer à une mascarade sociale qui ne nous attire pas. Je ne me suis jamais plainte de notre situation, mais ceux qui ne font pas partie de ce monde ne peuvent pas comprendre les responsabilités qu'il implique quand on veut en être. Il faut rester dans le rang, ne jamais en sortir. Tu sais Euphie, j'en suis sortie, de ce rang, il y a bientôt dix ans. Je ne t'en ai jamais parlé, parce que père me l'a interdit. Je pleurais sans cesse, et tu ne comprenais pas pourquoi. Cela a duré un mois environ. Je ne sortais plus. Je prenais les cours par correspondance. J'ai perdu toutes mes fausses copines d'école, ainsi que la réputation que j'avais mis plusieurs années à me forger. C'était comme si la rébellion que j'avais entamée en fin d'adolescence venait de se retourner contre moi.
Tu ne m'as jamais vue que sous mon bon jour, mais tu sais, j'ai eu de très mauvaises fréquentations avant de partir pour Yale. Je voulais sortir des carcans de la belle famille riche et rangée. Faire payer à père la présence de sa nouvelle femme, une poule consommatrice qui ne pouvait pas me voir en peinture. Si elle était arrivée un petit peu plus tard, j'aurais pu lui montrer qu'elle n'avait pas sa place parmi nous, et encore moins pour profiter de père. J'ai beau détester ce qu'il m'a fait subir, il reste mon géniteur, je suis la chair de sa chair, et je l'ai certainement plus déçu que lui ne m'a détruite. Ces années avant d'aller étudier les langues et le commerce international à Yale ont été les plus belles comme les plus sombres de ma vie. Plus je sortais, moins je rentrais à la maison. Il me manquait beaucoup de choses, et quand j'étais dans ma chambre je n'avais plus envie de rien. C'est à cette époque que j'ai connu Heather, cette fille mystérieuse de l'Upper West Side. Elle vivait de l'autre côté de Central Park, et comme moi, était issue d'une grande famille brisée. La sienne était originaire de Chicago. Heather a été ma meilleure amie, mais père a fini par m'obliger à me séparer d'elle, après le drame. Je t'ai dit que nous nous étions disputées, mais ce n'était pas vrai. Je vais tout te raconter Euphie. Il est temps.
Elle m'emmenait régulièrement à des fêtes. Nous n'étions pas majeures, mais qu'importe, la jeunesse dorée de Manhattan fait ce qu'elle souhaite tant qu'elle ne traîne pas dans les pattes de ses géniteurs. L'une de ces fêtes a mal tourné, et Heather et moi nous sommes retrouvées dans une situation très dangereuse. Deux hommes nous ont emmenées sur le toit de l'immeuble dans lequel se déroulait la fameuse fête, des coupes de champagne à la main. Nous avons bu, nous avons ri, nous nous sentions puissantes, libres. Et le cauchemar a commencé. Les deux hommes, des jeunes d'une bonne famille, tout comme nous, ont sorti une caméra et un pistolet, nous demandant de nous caresser pendant qu'ils filmeraient. J'ai eu si peur, Euphie, si tu savais. Heather et moi étions terrorisées, l'effet de la drogue mélangée à l'alcool altérant tous nos jugements. Heather m'a surprise, elle m'a attrapé par la nuque et m'a embrassée avant de descendre au niveau de mon cou, près de mon oreille. J'ai entendu les deux hommes jubiler en activant leur caméra, je les voyais du coin de l'oeil se délecter du spectacle, presque la main dans le pantalon. Heather m'a saisie par le bras, du côté que les hommes ne pouvaient pas voir, et m'a serrée fort fort, faisant presque entrer ses ongles dans ma peau. Elle a fait mine de continuer à m'embrasser dans le cou, mais en réalité elle murmurait à mon oreille qu'elle avait une idée. Il fallait qu'on les fasse se joindre à nous, et qu'on agisse ensuite pour leur piquer leur flingue et s'enfuir. J'étais tétanisée, frigorifiée. Il y avait du vent, et je n'avais pas pris ma veste en montant. Heather m'a donné le top, et j'ai revêtu mon plus beau sourire, le charmeur, celui auquel aucun homme ne peut résister. J'ai invité le plus grand des deux, celui qui tenait le pistolet, à venir remplacer Heather dans mon cou, ce à quoi il n'a évidemment pas dit non. Il a posé le flingue par terre près de la porte pour redescendre dans l'immeuble, et s'est rapproché de moi. De son côté, Heather avait attiré l'autre. Ils avaient l'air partants pour s'amuser à quatre. J'ai senti ses lèvres sur mon cou. Son souffle chaud, son haleine fétide. Il puait l'alcool et le joint, un mélange bien peu classe comparé au costume et aux allures qu'il arborait.
Je ne sais pas ce qui m'a le plus dégoûtée : sentir ses mains s'engouffrer sous ma robe au niveau de mes cuisses, ou le contact de sa langue sur ma clavicule. Mes mains ont agi sans que je puisse les contrôler. J'ai attrapé ses cheveux de chaque côté de sa tête, et en une fraction de seconde il s'est écroulé par terre. Je venais d'utiliser toute ma force pour lui briser la nuque. Heather et l'homme à la caméra se sont stoppés net. Lui s'est mis à hurler en plongeant pour voir si son ami allait bien, Heather s'est précipitée sur le pistolet près de la porte. Elle a mis l'homme en joue, qui s'est relevé, les larmes aux yeux. Je ne pouvais plus bouger, Euphie, c'était horrible. Je venais de tuer un homme à mains nues, et c'était d'une facilité déconcertante. J'étais presque fière de l'avoir fait. Au moment où j'allais revenir près de Heather pour me serrer contre elle, voulant ignorer le dernier resté debout, le coup de feu est parti. Mon amie venait de tirer sur l'autre homme. Mes yeux se sont écarquillés à la vue du sang. C'était beaucoup plus sauvage que ce que j'avais réussi à faire. "Quelqu'un nous a vues monter avec eux ?" m'a demandé Heather. J'ai secoué la tête. Nous sommes restées longtemps dans la cage d'escalier avant de quitter l'étage de la fête et de monter sur le toit. "On s'en va.". Heather a mis le flingue dans son sac à main. Nous sommes repassées rapidement à l'appartement comme si de rien n'était. Personne ne nous a remarquées. J'ai récupéré ma veste. Nous sommes descendues sur le trottoir, ayant bien pris garde de ne rien laisser paraître. J'ai appelé l'une de nos voitures, qui nous a conduites chez moi. Père était le seul à pouvoir nous aider. Et il l'a fait. Le lendemain, les deux corps avaient disparu, je n'avais plus le droit d'entrer en contact avec Heather et père me détestait. Il m'avait protégée parce que j'étais la chair de sa chair, et que son sang coulait dans mes veines. Mais il ne me regardait plus comme avant. C'est pour cela que j'ai tant pleuré, Euphie. J'ai prétexté un chagrin d'amour, mais c'était bien plus grave que cela. J'ai tué un homme, Euphie, et je suis complice d'un autre meurtre. Ca fait beaucoup à supporter pour un corps aussi chétif que le mien.
Mon caractère a redoublé de vigueur par la suite. Surtout lorsque je suis partie à Yale. Je me suis éloignée de mes démons, je les ai enfouis au plus profond de ma mémoire et ai réussi mes études haut la main. Je suis revenue à la maison pour te revoir et pour reprendre une vie normale après mes études. Sauf qu'après quelques années et des dizaines de livres étrangers traduits en anglais, père m'a annoncé qu'il m'avait promise à l'un des enfants Antonelli. Il s'agissait d'une haute famille de New York, que je connaissais par quelques relations. J'en avais entendu de belles sur eux, et surtout sur celui que j'allais devoir épouser : Théo. J'ai d'abord refusé, tu te souviens certainement de cette dispute Euphie, tu n'étais pas très loin quand père m'a convoquée dans son grand bureau au dernier étage de notre appartement. Ce que tu n'as pas entendu, c'est qu'il a invoqué la faveur que je lui devais par rapport aux événements du toit avec Heather. Je n'ai pas pu protester plus longtemps : je me suis rangée, comme tout fille de bonne famille est censée faire, aussi furieuse puisse-t-elle être contre ces traditions stupides.
La première fois que j'ai rencontré Théo, cela n'a évidemment pas été un coup de foudre, je te l'ai raconté d'ailleurs. Ses airs suffisants m'ont donné envie de m'enfuir à toutes jambes. Je ne voulais pas me marier avec lui. Mais lui non plus n'avait pas envie de ce mariage, ce qui en faisait directement un allié puissant contre nos pères respectifs. Il fallait seulement jouer le jeu, faire semblant. J'étais très douée pour cela. Je pourrai vivre ma vie comme je l'entendais, et lui de-même. En allant m'installer chez lui, j'ai mis ma carrière en pause. Je n'ai plus tant envie que cela de passer mon temps à écrire même si j'adore cela, je veux diriger. J'ai envie de créer ma propre maison d'édition, mais j'attendrai la fin de cette mascarade pour cela. Père n'y a pas vu d'inconvénient, il m'a assuré un soutien financier continu, vu que j'ai bien voulu accepter le mariage arrangé avec le fils Antonelli. Trop aimable, père...
Ma chère Euphie, je dois m'éloigner de toi quelques temps. Je ne sais pas quand je reviendrai à Manhattan. Je pars avec Théo, je l'accompagne pour un voyage d'affaires qu'il doit réaliser. A force de vivre ensemble, nous nous sommes habitués à la présence de l'un et de l'autre. J'ai beaucoup plus envie de le soutenir qu'au début de cette comédie faussement romantique. Je sens que nous pouvons devenir amis. Après tout nous sommes tous les deux forcés de faire avec ce mariage, autant faire en sorte de le vivre de la meilleure façon possible.
Je te dis à bientôt ma chère amie. Je penserai à toi chaque jour, tu me manqueras.

Jordan souleva le bloc-notes de la tablette devant elle et le referma après en avoir détaché sa longue lettre. Elle plia soigneusement les feuilles de papier et les enfouit dans le fond de la pochette au dos du bloc-notes, sous un tas d'autres documents inutiles. Sur le siège à côté d'elle, Théo dormait à poings fermés. Il ne l'avait pas vue passer deux longues heures à écrire. L'arrière de son crâne contre l'appuie-tête, Joe laissa son regard se perdre dans les nuages qui défilaient derrière le hublot. Ils n'allaient pas tarder à arriver. Elle souleva sa main et la posa sur le bras de Théo qui bougea un peu dans son sommeil. Joe eut un sourire et ferma les yeux à son tour, soupirant longuement.

Dernière édition par Jordan Coalman le Lun 27 Fév - 16:55, édité 2 fois

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Excellent choix de scénario. the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1965479019

Bonne chance pour supporter ton prétentieux de fiancé. the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 610134410

the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1986789816

Et sinon, bienvenue par ici ! the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1242777542

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Merci beaucoup the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 2841892701

by the way je ferai ma fiche tout à l'heure ou demain the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 843031823

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Bienvenue sur le forum ^^.

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Bienvenue :).

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Merci à vous the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 902541242

(coucou odyssea hihi)

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bienvenue chez nous et merci pour ton inscription :)

**○ inscrit le** : 23/06/2016

Haannnnn le cherie de Theo !! the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1501980771

et puis Keira quoi the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 3567569076

Bienvenue !

**○ inscrit le** : 07/09/2016

Bienv'nue à toi ^^

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• Even if life is not good with you, you have to smile •

(c) Miss Pie

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keira

the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 794295163

bienvenue et bon courage pour ta fiche the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 843031823

tres bon choix de scénario :héros:

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Bienvenue et courage pour ta fichette the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 2693342364

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ton pseudo me dit quelque chose the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1113161770

Bienvenue par ici, bon courage pour ta fiche the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 1242777542

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Bienvenue parmi nous the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 445914281

Bon courage pour ta fiche !

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Biencenue par ici, courage pour la fiche the clock is set for nine but you know you're gonna make it eight. ▬ joe 843031823

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