une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| you make me lose my mind... [andrea] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: you make me lose my mind... [andrea] (#) Sam 25 Mar - 13:46 | |
| Leither, Andrea You make me lose my mind... - Citation :
Je ne rentrerai pas ce soir. Ce message laissé sur l'ilot central était devenu récurant... Griffonnés sur du papier, ces mots n'avaient aucunement besoin d'être couchés au vu de la routine qui s'était instaurée au fil de la semaine... Ne rentrant qu'une fois la brune partie pour le travail, mes journées étaient rythmées par mes cours lorsque je m'y rendais, et mes nuits par les diverses fêtes ou j'accompagnais Denise, celle ci me mettant sous la surveillance d'une de ses connaissances lorsqu'elle s'en allait... En ce qui concernait mike, nous n'avions repris le contact que pour mieux nous affronter. Pour lui andrea était une personne en qui nous ne devions pas avoir confiance, et ce malgré le fait qu'elle lui avait fourni tous les éléments nécessaires sur sa personne. Parano vous dites? Psychotique serait le mot le plus approprié! Quand à moi, je ne voulais ni voir, ni entendre l'un ou l'autre! Prise entre mon amitié pour mikeal et ce lien indéfinissable qui s'était tissé entre la brune et moi, j'avais opté pour l'ivresse et l'évasion... Gueule de bois et sous effet de l"herbe, je tentais de rester la tête hors de l'eau de ce tsunami qu'était ma vie, espérant un retour rapide à la normale... Encore une autre soirée arrosée ou j'avais bu sans retenue, me laissant porter sur les divers styles musicaux, oubliant mes soucis pour profiter de l'instant présent. Seulement celle ci s'était finie tôt, beaucoup trop tôt à cause d'une plainte de voisinage qui avait conduit à l'intervention de la police. C'est donc en état d'ivresse avancée que Gary un ami au petit ami de Denise, et moi quittions les lieux sans demander notre reste... Ne voulant pas rentrer afin de ne pas me retrouver seule avec andréa, je laissais le blondinet passer des coups de fils afin de nous trouver une nouvelle soirée, chose qui se fit assez rapidement. Center bay... l'un des quartiers les plus anciens de la ville, mais également le moins en mon sens animé. Ayant un parc, un grand marché et de nombreux bâtiments scolaires, celui ci avait de quoi plaire aux parents ou futurs parents, mais manquait cruellement de ce petit plus palpable dans les autres quartiers de la ville. Pénétrant dans un immeuble, nous gagnâmes le dernier étage et accédions au toit ou se déroulait là fête... "Ça te plait?" Souriant je répondis positivement avant d'entrainer mon cavalier du soir sur la piste. Deux heures plus tard, nous rejoignîmes l’hôte de la soirée dans son appartement situé deux étages en dessous. Spacieux, celui ci était nettement plus moderne et chic que le mien, mais témoignait également d'un train de vie que je ne lui aurais jamais attribué. Les discussions s'enchainèrent ainsi que les verres, m'ennuyant un peu, je laissais les deux comparses discuter ensemble, attirée par un télescope posé sur le balcon, au travers duquel je me mis à observer mon environnement... Soudain mon attention fut attirée par deux femmes, une brune et l'autre blonde qui paraissaient se disputer assez violemment. Zoomant, je tentais de lire sur les lèvres de la blonde qui me faisait face, mais la résolution étant un peu flou à cette distance et le débit de paroles de l'inconnue un peu trop rapide, je ne parvins à déchiffrer que le mot Andrea... Sursautant, je retirais mon œil de la lunette passant une main fébrile dans mes cheveux avant de me ressaisir... *Putin lei, y'a pas qu'une personne qui se prénomme andrea sur terre!* Inspirant profondément, je retournais à mon télescope assistant à l'échange houleux avant que la brune ne se décide à mettre un terme à celui ci... Choc... Le visage qui s'était dévoilé était bien celui de la mexicaine, qui regard noir s'éloignait à grands pas de la blonde qui l'invectivait. Puis je ne sais pas ce que l'inconnue lui dit, mais la brune stoppa net avant de revenir sur ses pas, se saisir du visage de la blonde et l'embrasser avec passion... Mon cœur manqua deux battements, mon cerveau s'embrumant... Que... Qui?... Tel un automate, je suivis les deux femmes de mon œil de verre assistant à leur baiser torride, leur étreinte passionnée, avant que la blonde n'attire la mexicaine dans un immeuble situé en face du mien. Sous l'emprise de vives émotions que je ne saurais décrire, je cherchais le cœur battant la fenêtre qui s'éclairerait sur la façade du bâtiment, mais rien... Rageant, je sentis une vague de colère me submerger, lorsqu’enfin l'un des appartement s'éclaira... Là, deux ombres enlacées se déshabillèrent sous mon regard ahuri, avant que l'une des ombres ne se détache descendant vers le sud, ce qui ne laissait aucune place aux suppositions quand à ce qui se déroulait. Poussant un petit grognement sous la colère, je quittais le balcon pour rejoindre le toit et tenter d'y oublier ce que j'avais vu... Mardi, mercredi... Ces images ne cessaient d'emplir mon esprit, me rendant folle de rage à mesure que les jours passaient. Qui était cette blonde? Que représentait elle pour la mexicaine? Pourquoi n'en avait elle jamais fait mention? Était ce une aventure ou bien plus que cela? *lei, passe à autre chose!* Jeudi, vendredi... *lei passe à autre chose putin!* Rien à faire, l'alcool, la weed et les flirts n'y faisaient rien... La mexicaine envahissait tout mon esprit, m’empêchant de penser rationnellement... Le samedi soir, alors que j'étais totalement ivre, je débarquais pour la première fois en une semaine et demi dans l'appartement, alors que la brune pouvait s'y trouver. D'ailleurs, s'était dans l'objectif de la confronter que j'avais avorté ma soirée en compagnie de denise, celle ci m'ayant prêté sa voiture. Poussant la porte d'entrée, je fus accueillie par un cobain fou de joie que je tentais de calmer afin de ne pas alerter la brune. Réussissant en lui donnant de quoi manger, je me dirigeais directement vers la chambre de la mexicaine dont je poussais la porte avec précaution afin de ne pas la réveiller, au cas ou elle dormirait... Il faut dire qu'il était passablement tard ou tôt, tout dépendait de là ou vous vous situez et que celle ci devait surement travailler dans quelques heures, aussi ne fus je pas si étonnée que cela de la trouver assoupie. Pénétrant dans la chambre baignée par la lueur de la lune, je posais mes yeux sur le corps au repos de la brune qui ne quittait jamais son short en coton... Un léger sourire étira mes lèvres, alors meme que je m'approchais doucement de son lit, mes yeux glissant de la pointe de ses pieds à sa bouche parfaite... Flash... De nouveau je fis cette blonde, la passion de leur étreinte, cette ombre glissant vers le sud... Submerger de nouveau par cette vague de colère, mon regard se fit plus dur, ma mâchoire se serrant alors meme que je m'étais faite immobile. Respiration profonde, luttant entre mon Moi et mon Ça, je finis par ôter cette robe au tissu léger qui habillait mon corps sans prendre la peine de retirer mes sous vêtement et mes talons, et grimpais sur le lit à genoux entre les cuisses de la brune, mes mains se saisissant de ce short que j'abaissais avec sa culotte.... instantanément andrea se redressa en position assise, son regard de fauve dans le mien, ses deux mains enserrant mes poignets bloquant tout geste. Regard dur, je défiais le sien sous fond d'une tension palpable et de non dits évidents... Tentant de faire descendre son bas, celle ci enserra plus fortement mes poignets ce qui éveilla un feu ardent en mes reins. Respirations profondes calquées l'une sur l'autre, nous étions immobiles et silencieuses, les lueurs de reproches dans nos pupilles parlant pour nous... Mâchoire serrée, je me penchais sur les lèvres de la brune sans la quitter de mon regard de louve, et c'est ton sec que je rompis le silence... " Lache moi!" Aucune réponse, seul un léger grognement sourd se fit entendre dans la gorge d'andrea qui serra plus fortement mes poignets, m'arrachant un soupire de désir... Mordant ma lèvre inférieure, je tentais de me maitriser et réitérais mon ordre celui ci claquant l'air... "J'ai dit... (lèvres à quelques millimètres des siennes) Lache moi!" Toujours aucune réponse, mais le regard de la brune s'était fait plus intense, plus dur, alors que sa respiration s'étaient faite tout comme la mienne plus profonde encore... N'y tenant plus regard ancré au sien, je glissais ma langue chaude et imbibée de téquilla sur ses lèvres qu'elle refusait d'entre ouvrir... Grognement... je mordis brutalement sa lèvre dans un geste de colère et désir, celle ci répliquant de suite, m'arrachant un gémissement ou douleur et plaisir s'entre mêlaient. Quelque chose coula de ma lèvre, attirant le regard de la brune qui comme hypnotisée, porta sa main droite à ma bouche récoltant sur son index une goutte de mon sang... Me dégageant de l'étreinte de son autre main, je finis d'abaisser son short dans un geste brutal qui la fit basculer sur le dos. Fondant entre les cuisses de la brune que j'écartais avec autorité, je laissais mes mains glisser avec fermeté le long de celles ci, avant que mes doigts n'écartent ses grosses lèvres, ma bouche prenant possession de son intimité. Dessous de langue coulant le long de la hampe de son clito, je laissais celle ci s'échouer dans son antre avant d'en sortir, pour de nouveau y pénétrer. J’aimais etre là entre ses cuisses, aimais son gout, la sentir se contracter sous chaque sucions plus ou moins forte, sous chaque coup de langue plus ou moins rapide, sous chaque pénétration de celle ci plus ou moins profonde. Complètement abandonnée dans ces caresses humides, je fis des cercles de plus en plus larges sur son clitoris, puis inversais le processus me délectant de l'effet produit. Je pouvais sentir la brune lâcher prise, ses gémissements commençant à emplir la pièce, trouvant écho dans les miens... De penser qu'une autre avait été là à ma place cette semaine, me rendait folle! Et c'est ivre de colère et de désir que je mordais le dos de son sexe, suçant par la meme celui ci avant que ma bouche ne retrouve le chemin de son antre humide, ma langue s'amusant avec ce jouet qui ne cessait de durcir. Les ondulations de bassin d'andrea m'emmenaient toujours plus bas, tandis que sous l'action de son plaisir ses cuisses se refermaient inexorablement autour de ma tête. Mains à plat et ferme sur ses entre cuisses, je l'obligeais à s'offrir à moi dans une position sans équivoque. Mêlant vas et viens, cercles, force et douceur, rapidité et sensualité, la brune ne tarda pas à rendre les armes dans un gémissement qui me traversa comme un courant électrique. Hors de contrôle, je plongeais vers ses lèvres l'embrassant avec passion, mes doigts s'insinuant en elle, sans que je ne leur en ais donné l'ordre... "Hann... (haletante, mordant sa bouche) Est ce qu'elle te baise mieux que moi?" L'incompréhension ou plutôt la crainte de comprendre mes propos se lu dans le regard d'andrea, nos baisers se faisant plus passionnés à mesure que mes pénétrations se faisaient plus profondes et rapides... "(gémissante, regard dur) Ta pute blonde... hummm... (glissant ma langue sur la sienne) Celle avec qui tu as baiser lundi soir! (regard de louve, la pénétrant d'un troisième doigts) Est ce qu'elle te baise mieux que moi?" Nos corps montaient et descendaient avec force et rapidité sous mes assauts, ou se mêlaient colère, brutalité, passion, possession, domination et soumission... De la savoir là soumise à mes désires, tremblante de plaisir, cuisses grandes ouvertes, ma main gauche s'assurant de maintenir l'une d'elle bien écarté, et de sentir mes doigts glisser en elle avec telle facilité sous son excitation... j'étais tout simplement en transe! Remontant ma main gauche le long de son rein, ses seins pour finir par échouer sur sa gorge que j'enserrai, c'est au bord de l'orgasme que je lui dis voix empreinte de plaisir et colère... " Son nom... (la pénétrant de quatre doigts, lui arrachant un cri) Je veux son nom! (pénétrations fortes et profondes) Hannn... dis moi comment se nomme ta pute?!" Je n'y tenais plus, ma tete tournait, je manquais d'air, mon corps ne répondant plus à aucun de mes ordres... "A moi... (l'embrassant avec passion, mon coeur frappant fort en ma poitrine) Tu es à moi..." Respirations hachées, regards de braise, c'est dans un cris de jouissance à l'unisson que nous partîmes, nos lèvres s'unissant, alors que nos corps tremblant se relâchaient... Andrea, andrea, andrea... Je ne savais plus quoi faire, j'avais l'impression d’être à elle, d’être irrémédiablement attirée par elle, et cela me terrorisait. M'arrachant à son étreinte, c'est regard terrorisé et pétrit de désir que je récupérais ma robe passant celle ci avec rapidité, avant de quitter précipitamment la chambre attrapant au passage les clés de voiture de denise. Les portes de l'ascenseur se refermèrent alors que prise d'un vertige, je me rattrapait à un appui. Traversant le hall une fois arrivée en bas, je m'engouffrais dans la voiture et pris la route direction... Je n'en avais aucune idée... © code par Nostaw. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: you make me lose my mind... [andrea] (#) Mer 29 Mar - 17:54 | |
| Les journées sont longues et répétitives, et je sais que je n’ai pas le droit à l’erreur au boulot, au risque de me faire mettre à pied. Et pour rien au monde je sacrifierai mon job, surtout pas pour cette gamine qui fait de ma vie un vrai bordel depuis quelques semaines. Je me souviens de mon collègue qui me disait ‘petite étudiante facile à dompter’, putain, il a pas vu la bête. Je suis incapable de regretter notre rencontre, ma mission, mon installation ici, mais bordel je n’ai jamais connu aucune femme aussi compliquée qu’elle. Mon quotidien est devenu un réel enfer, et ce n’est rien à côté de ce qui m’attend j’imagine. Semaine de boulot accablante, j’ai tout juste eu le temps de passer un peu de bon temps avec Rayan en début de semaine, mais il faut dire que même avec elle tout devient compliqué. Mon cerveau s’embrouille alors que je m’étais toujours promis de ne jamais laisser ni une femme et encore moins un homme foutre le bordel dans ma vie. Il semble que je sois arrivée au point de non retour. Assoupie dans mon lit, sans même avoir pris le temps de me glisser sous les draps, je me laisse emporter par un flot de rêveries toutes plus abracadabrantes les unes que les autres, et je n’entends même pas le bruit de la porte, ni même celui de Cob qui se lève pour accueillir la maîtresse de maison. Mais à l’instant même où je sens le toucher de quelqu’un sur mon bassin, je me réveille instantanément et attrape dans un geste vif les poignets qui étaient prêts à me déshabiller furtivement, ouvrant les yeux pour découvrir l’intrus qui vient de pénétrer dans ma chambre dans l’espoir de me déshabiller. Je ne suis pas surprise de découvrir le visage de Leither mais mon regard se veut plus noir et plus profond, mon coeur tambourinant dans ma poitrine de par la surprise qu’elle vient de créer en moi. Mes mains solidement accrochée à ses poignets, je la laisse essayer de se débattre mais je ne suis pas prête à la lâcher. « Lache moi! » me demande-t-elle d’un ton ferme, mais elle doit bien se doute que ça ne suffira pas. Je referme ma prise autour de ses frêles poignet et elle me demande à nouveau de la lâcher, s’approchant encore un peu plus de mon visage. Si elle imagine que ça suffira, elle se met le doigt dans l’oeil. Je ne compte pas la laisser gagner, surtout si elle vient comme ça sans un mot en essayant de me soutirer je ne sais quoi. La jeune femme s’approche, essayant de me faire capituler grâce à l’usage de sa langue sur mes lèvres mais je reste stoïque, et de toute évidence, ça ne lui plaît pas puisqu’une seconde plus tard je sens ses dents se refermer sur ma lèvre inférieure, et je réplique dans un élan sauvage, mordant si fort sa peau qu’une coupure s’en suit, laissant s’écouler un peu de liquide rouge sur sa lèvre, attirant par la même mon regard excité. Je ne dois pas la laisser faire, je dois me retenir, la retenir. Mais attirée par ce sang qui ruisselle sur sa lèvre, je libère une de ses mains et approche de sa bouche pour l’en essuyer. Mais la captive se libère pour s’affairer à retirer finalement mon short et mon sous-vêtement comme elle en avait l’intention quelques secondes plus tôt. Garce. « Leither arrête ça tout de suite. » Tu parles, elle n’a que faire de l’autorité et encore moins de la mienne. La voilà déjà en train de s’insinuer entre mes cuisses pour venir plaquer sa bouche contre mes lèvres intimes, jouant de sa langue pour me rendre folle. Elle sait exactement comment me rendre folle et cette simple pensée me donne envie de fuir, mais putain elle est beaucoup trop douée pour que j’applique une once de ce que mon cerveau me demande de faire. Mon corps se contracte, les yeux clos je viens passer mes mains sur mon visage, me cambrant en fonction du passage de sa langue à certains endroits plus sensibles, et mes gémissements se mêlent bientôt à la partie. Chaque de ses acte me rend plus folle à chaque seconde, qu’elle lèche, suçote, morde, tout me fait un effet plus puissant à mesure que les secondes passent et il m’est impossible de résister à l’arrivée de l’orgasme que j’accueille à bras ouverts, emplissant la pièce de ce gémissement plus puissant que les autres, signant l’apogée de cet instant torride. Mais connaissant la jeune femme, j’ai l’impression qu’elle n’en a pas fini avec moi. La voilà déjà, féline, qui remonte le long de mon corps pour venir m’embrasser, et sans que je ne m’y attende vraiment, je sens ses doigts me pénétrer sans tarder, me faisant lâcher un grognement mélange de surprise et de plaisir. « Est ce qu'elle te baise mieux que moi? » Surprise, je cherche à m’éloigner de son visage pour pouvoir la regarder et lui demander de quoi elle parle, mais la position ne m’en laisse pas le droit et déjà elle revient chercher mes lèvres avec avidité, continuant ses va-et-vient en moi, comble de la luxure. « Ta pute blonde...Celle avec qui tu as baiser lundi soir! Est ce qu'elle te baise mieux que moi? » Me demande-t-elle avant d’ajouter un peu plus de matière en moi, laissant s’extirper de mes lèvres un nouveau râle plus important. Je n’ai couché qu’avec une personne cette semaine, Rayan. Comment Leither est-elle au courant, ça c’est une autre histoire. Je me laisse submerger par le plaisir de ses doigts en moi et de sa paume de main qui titille mon clitoris exactement comme j’adore. Je suis au bord de l’extase que la blonde remet le couvert sur ses accusations et sa jalousie mal placée.
L’emprise de ses doigts autour de ma gorge me fait grogner, mais cette fois pas de plaisir. Je n’ai pas pour habitude de me soumettre de cette manière, elle le sait et elle en joue. « Son nom… » Un quatrième doigt vient rejoindre les autres et je gémis plus fort sous le plaisir qui s’insinue en moi. « Je veux son nom! » Je bruit de ses pénétrations mêlées à son souffle rapide me met complètement en transe. « Dis moi comment se nomme ta pute?! » Ta gueule putain Leither. J’attrape le visage de la jeune femme pour violer ses lèvres pour qu’elle la ferme enfin et qu’elle arrête avec Rayan, j’ai pas envie de penser à elle, c’est Leither qui me fait jouir présentement, et j’ai juste envie de profiter de cet instant imprévu. « A moi...Tu es à moi… » répète-t-elle alors que j’atteins enfin la jouissance, pour la seconde fois en un laps de temps très réduit. Personne avant elle n’avait réussi à me rendre aussi folle. Je peine à retrouver un semblant de respiration que je sens déjà ses doigts me quitter et son absence me briser. Elle se relève et je me redresse sur mes coudes, la regardant enfiler sa robe. « T’es pas sérieuse ? » Même pas un regard qu’elle est déjà sortie de ma chambre. Je me lève du lit, manquant de me casser la gueule sous les effets de ma tête qui tourne. « Leither attends ! » A peine arrivée à la porte de ma chambre que celle de la porte d’entrée claque sans que je ne puisse rien faire. La retenir ? A quoi bon ? Cette fille est une énigme à elle seule.
Je me recouche après avoir pris une douche pour calmer la chaleur de mon corps, et c’est encore une nuit quasiment sans sommeil. Les jours passent et je ne croise pas Leither, ou à peine en coup de vent et quand c’est le cas elle m’évite comme la peste. Je déteste cette manière qu’elle a de me faire me sentir comme la pire des merdes. « Andy ! » Je me tourne en entendant mon prénom, plus par habitude qu’autre chose, bien que j’aurai pu fuir en reconnaissant la voix de Rayan. Je soupire un peu alors qu’elle s’arrête près de moi. « Tu veux pas qu’on aille boire un verre ? Je crois qu’il faudrait qu’on discute. » Je soupire et secoue la tête. « J’ai pas super envie de discuter. » Je ne sais pas encore comment Leither a réussi à savoir pour Rayan et moi mais ça ne m’inspire pas vraiment confiance. « Ecoute, je pense qu’il faudrait qu’on arrête de se voir pendant un temps, je suis super prise par le boulot et… » « C’est ta mission qui te prend autant le chou ? » « Ouais voilà, c’est ma mission. » « C’est cette fille alors. » Je fronce les sourcils, étonnée de déceler cette espèce de jalousie en elle. « Tu es jalouse ? » Elle ricane comme pour cacher la vérité. « Bien sûr que non. Tu fais ce que tu veux. Fais juste gaffe de pas te faire chopper. » Je secoue la tête. « Qu’est-ce que tu vas chercher, y’a rien entre elle et moi. » Elle hoche la tête et souris, un peu amère. « J’ai dû me battre lundi pour arriver à passer la nuit avec toi, et là tu me dis que tu veux qu’on arrête, mais qu’il y a rien avec elle. Tu te fous de ma gueule en plus du reste ? » Je soupire. « Ecoute, c’est pas parce que j’ai pas envie de parler que… Merde ! Tu fais chier Rayan ! Je sais pas comment mais elle a réussi à savoir pour nous. » Nous, mais quel nous ? « J’ai pas envie qu’elle revienne jusqu’à ma vraie identité juste parce qu’elle sait qui tu es, et j’ai pas non plus envie qu’il t’arrive quoi que ce soit. Donc pour le moment, on va éviter de se voir. » Je souffle un peu, parce qu’au fond c’est quand même difficile de lui dire ça. « Andy s’il te plait. » Et voilà qu’elle me fait les yeux doux, s’approchant de moi pour venir chercher mes lèvres. Je sis incapable de la repousser pour le moment, jusqu’à ce que je reprenne conscience. « Rayan arrête. » Elle soupire et décide de partir dans demander son reste. Très bien. Quant à moi, je rentre à la maison dans l’espoir de passer une soirée tranquille. Mais c’est sans compter l’arrivée de ma colocataire qui ne semble pas être dans son état normal. Allongée sur le canapé, je me redresse pour regarder la jeune femme marcher étrangement jusqu’à sa chambre. « Leither tout va bien ? » Non, tout ne va pas bien. J’ai juste le temps de me lever en vitesse pour bloquer la porte de sa chambre de mon pied. « Leither je te parle ! » |
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