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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 I've got twins, they're called boobs. [Leither]

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MessageSujet: I've got twins, they're called boobs. [Leither] (#)   I've got twins, they're called boobs. [Leither] EmptyMar 18 Avr - 22:39

« Tu es sûre que tu ne peux pas la garder avec toi ? » Elle entend encore le ton agacé de Rhys alors qu'elle filait en vitesse dans l'entrée, échappait gentiment à ses responsabilités de maman. Elle ne s'était pas trop concertée avec lui avant d'aller vaquer à ses occupations. Elle gâchait probablement ses plans mais à vrai dire... Cela lui était égal. Ce n'était pas en restant à la maison à pouponner qu'elle avancerait sur son projet et pourrait enfin fixer une date d'inauguration pour le club. L'absence de Van n'aidait pas, avait même tendance à lui taper sur les nerfs. Sans lui et son statut de gérant du club, elle n'avait aucune foutue idée de ce qu'elle pouvait faire ou non. C'était agaçant cette sensation de devoir attendre une autorisation, un aval qui ne viendrait pas avec cet abruti à l'autre bout de l'Europe. Comme si c'était la bonne période de partir en Russie... Il ne lui avait pas dit grand chose, juste qu'il reviendrait. Mack n'avait pas essayé de discuter, connaissant leurs tendances secrètes et irritables quand le sujet de discussion venait à quelque chose de tabou. Alors elle avait laissé tomber, avait pris le parti de bosser sur ce qui ne concernait pas le russe.

Et tout ce qu'elle arrivait à faire, c'était se mordre les lèvres pour retenir son rire en se passant en boucle l'image de Rhys, Emily dans les bras. Non, vraiment, elle n'aurait pas pu amener sa fille. Un sexshop n'était pas la place d'un bébé. Encore moins quand sa mère enchaînait les essayages de tenues toutes aussi plus vulgaires les unes que les autres. La lingerie un peu trop légère au début, la soubrette ensuite, l'infirmière, et voilà que la blonde se retrouvait dans un accoutrement de policière sexy en latex. C'était court, moulant. Et bien que cela soit clairement fait pour le strip-tease, à force de se trémousser, Mack finissait par se demander si cela ne valait pas mieux d'en faire un usage unique et de faire craquer les coutures, au vu de la piètre qualité du tissus. Mais le spectacle ne serait certainement pas le plus plaisant. Fallait quand même donner de sa personne pour en arriver à essayer soi-même les tenues que porteraient ses filles sur la scène. Dans un sens, c'était logique en se disant que Mack déciderait de toute la logistique, de l'ordre de passage, des musiques, des chorégraphies. de... tout. Il fallait au moins se mettre dans l'ambiance pour réussir à imaginer ce que cela donnerait dans quelques semaines, quand l'activité tournerait à plein régime. De toute façon, ce ne serait pas elle qui s'exhiberait de la sorte.

La blonde soupira en remettant un peu le haut de la tenue en place mais sa contemplation de l'allure générale fut coupée par le grésillement de l'ampoule au plafond, puis par le noir. « Fait chier. » Elle grogna, sortit de la cabine pour retourner vers le magasin. Évidemment, fallait que les deux pauvres salles d'essayage soient à l'écart dans l'ombre et ne dépendent que d'une seule pauvre ampoule. C'était clairement pas avec tous les détails de la tenue que Mack réussirait à se rhabiller dans le noir. Fallait aller demander un peu de lumière.. Au moins, elle allait pouvoir jauger l'avis des clients du magasin. Avec un peu de chance, il n'y aurait personne. Une hypothèse à laquelle elle crut réellement, jusqu'à heurter une jeune femme au coin d'un rayon, à peine deux mètres plus loin. Quelle chance. « Police, haut les mains. » Elle tenta, un rictus au coin des lèvres. Elle ressemblait surtout à une flic de début de film porno.
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MessageSujet: Re: I've got twins, they're called boobs. [Leither] (#)   I've got twins, they're called boobs. [Leither] EmptyJeu 20 Avr - 17:19

Mack, Leither
I've got twins, they're called boobs.
I've got twins, they're called boobs. [Leither] Ransomware-affects-everyone-even-sex-shops-492330-2 I've got twins, they're called boobs. [Leither] IMG_6752

Wellington, Center Bay, 15h00...

- "Tu plaisantes?! Je... Je pensais qu'on allait faire des emplettes!" Hilare.. "Et c'est ce que nous allons faire lei... " Sourire moqueur aux lèvres, james bifurqua dans une ruelle se garant devant la devanture d'un magasin qui ne prêtait aucunement à confusion quand à ce qui y était vendu. Regard mi inquisiteur, mi amusé je croisais les bras sur ma poitrine... "Et bien sur parmi toutes les boutiques de lingeries fines, tu as opté pour... (regarde au travers de la vitre, mine déconcertée) un sex-shop! (rictus) c'est tellement r.o.m.a.n.t.i.q.u.e! Je la vois déjà te sauter au cou en te disant que tu es un véritable prince charmant!" Éclatant de rire, james pris au moins deux bonnes minutes avant de se calmer,  son fou rire redoublant chaque fois qu'il posait ses yeux sur moi.... "Mais tu vas arrêtez! (le poussant avec mon pied contre sa portière) Tu devrais avoir honte! En plus c'est pas pour dire que tu n'as pas les moyens!" Se calmant attrapant ma cheville avec douceur pour repousser mon pied... "Ok jackie chan, on se calme... (rire) Tu ne la connais pas mais je peux t'assurer qu'elle sera ravie de ce genre de petite attention... (sur élevant les sourcils) Elle est loin d'être la petite fille revant au prince charmant... (faisant semblant de réfléchir) Ou sinon celui ci serait un prince charmant très, trèèèès, trèèèèèèès cochon! et... " L'interrompant main levée devant moi, j'ouvrais déja la portière... "Ok ok ok, je ne veux pas savoir!" M'extirpant de l'aston martin, mes fesses glissants sur le siège, mon corps sortant du véhicule à l'horizontale... "Mais attends... (hilare m'attrapant la cheville pour me retenir) Il faut que je te dise ce qu'elle me fait faire, c'est juste... (mimant un frisson) c'est juste..." Le poussant du pied avec force... "Je ne veux pas... " Tombant fesses premières sur le trottoir, je poussais un petit cri plaintif... " Lei! Lei! (tête apparaissant du coté passager) Ça va?" Faisant la moue, regard de tueur, je me relevais du mieux que je pus... "Tu ne perds rien pour attendre!" Sourire en coin de lèvres, sortant du véhicule... "Humm je confirme, ça va!"

Ces cinq derniers mois n'avaient pas été des plus gais... On passera les détails sur la plus grosse trahison que j'ai pu connaitre de ma vie, qui a failli me couter mon amitié avec mikeal et a définitivement tuer celle avec Denise. Enfin définitivement aux dernières nouvelles, mais j'espérais toujours un miracle, une chance de rattraper tout ce merdier dans lequel nous avions été embarquées sans le vouloir, ni le savoir. Durant cette période qui ne fut pas la plus glorieuse de ma vie, James et Mikeal avaient unis leur force pour me sortir de l'abysse dans lequel j'avais couler à pique. Leur thérapie avait consisté à m'éloigner de la Nouvelle Zélande pour la belle Barcelone que j'avais déjà visité, puis le soleil californien, pour finir par m'isoler lorsque je devins hors de contrôle dans les hamptons petite bourgade de riches, située au nord east de long Island. J'avais eu droit à un sevrage en règle, autre partie fort désagréable de cette petite thérapie, mais surtout à beaucoup d'amour, d'attentions et de patiences de la part de mes deux piliers... Cela faisait un mois que j'étais de retour à Island Bay pour recommencer mes dernières années de musique et art que j'avais juste fucker avec brio. Nouvel appartement, nouvelle page de vie, je tentais doucement de redevenir la fille que j'étais, si tant est que cela soit possible....

- "Bon tu entres ou tu veux que je te porte telle une femme mariée?" Revenant à moi, j'esquissais un sourire aigre doux à james et poussais la porte d'entrée... Ok, j'étais loin d’être une none mais là, c'était... "Mais c'est quoi ça?" M’avançant vers un god des plus monstrueux, je restais effarée... "Mais y'a des femmes pour acheter ça?!" James me rejoignis lui mème tout aussi circonspect que moi... "Et après vous vous demandez pourquoi on a des réticences à vous laissez jouer toute seule!" Penchant nos tètes sur le coté de manière synchro, nos faciès exprimaient pour nous notre désarroi et choc, ce qui attira le gérant... " (amusé) Une belle bête hein..." Bifurquant nos regards sur l'homme, nous primes quelques secondes avant de répondre... "Un monstre serait plus approprié... " James défait... "inhumain et vexant!" Le gérant éclatant de rire remis l'outil en place tapotant amicalement le dos de james... "Faut commencer à vous y faire mon vieux... (soupirant) bientôt nous ne servirons qu'à la reproduction!" Sur élevant les sourcils, j'éclatais de rire face à l'expression des deux hommes et après avoir fait un brin de causette et en avoir appris un peu plus sur les gouts et vices des clients et clientes du magasin, je laissais james avec son nouvel ami d'infortune, et me laissais aller à la curiosité... Boules de geisha, jeux coquins, dés, menottes, fouets, huiles et j'en passe il y avait vraiment pour tous les gouts. J'étais quelques peu amusée par les discussions que je pouvais entendre de ci de là, sur les pratiques ou objets à essayer impérativement, et sur les déboires de certains. M’enfonçant un peu plus dans le magasin, je parvins à une partie réservée aux habits et accessoires SM. Laissant mon regard glisser sur les marchandises, celui ci fut attiré par un  ensemble collier menottes relié par des chaines fines. Le tout rendait très bien, loin du cliché cuir noir, ils étaient marron clair et de prime abord présentaient plus comme un "bijou" qu'un accessoire SM. Me saisissant de l'objet, je poussais la curiosité à passer les menottes et m’apprêtais à attacher le collier lorsque... « Police, haut les mains. » Mon sang se glaça, mon visage se durcissant et c'est regard noir que je pivotais sur moi même mains instinctivement levées pour finir par faire face à une blonde ne tenue très coquine de policière. De suite je me détendis, un large sourire amusé s'insinuant sur mes lèvres, alors que mes traits se détendirent lentement, mon corps retrouvant son élasticité.... "Aurais je commis quelques délits madame... (feignant l'hésitation) Mlle la policière?" Glissant mon regard sur la tenue,  je ne pus retenir un petit rire... "Croyez moi sur parole, si vous arrêtez des gens dans cette tenue, vous ne ferez qu'accroitre le taux de criminalité!" Non pas que la tenue était particulièrement réussie ou sexy, mais son mannequin du jour sublimait le tout. Regard posé dans celui de la blonde, je tendis mes poignets et repris voix taquine... "Suis je en état d'arrestation, ou puis je ôter ces menottes avant qu'un client ne s'imagine quelques situations perverses?"




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MessageSujet: Re: I've got twins, they're called boobs. [Leither] (#)   I've got twins, they're called boobs. [Leither] EmptyMer 26 Avr - 21:57

Mack n'a jamais été vraiment du genre pudique ou timide. La vie ne lui a certainement pas permis, et il ne lui a fallu qu'une maigre quinzaine d'années avant de réaliser que son corps serait un atout pour avoir ce qu'elle voulait. Un mec, un boulot, de l'argent. Elle l'avait utilisé, usé de toutes les façons possibles. Et malgré tout... aussi contradictoire que cela soit, elle n'aimait pas se balader dans cette robe tellement serrée qu'elle semblait pouvoir craquer à chaque pas, tellement courte que se pencher serait dégager son fessier de ce latex de mauvais qualité. À Island Bay, elle avait essayé de se refaire une réputation. Rien de répréhensible, rien qui ne puisse faire penser qu'elle pourrait être facile à avoir. Ouvrir un club de strip-tease n'allait pas dans ce sent, mais autant dire qu'elle comptait bien imposer ses règles, sa politique. Son club serait un endroit de luxure, de plaisir visuel, d'érotisme poussé. Au grand jamais un lieu dégradant. Allez faire croire une telle chose dans cette tenue... Enfin. Au moins, la blonde eut la chance de tomber sur une autre jeune femme, approximativement son âge, un joli minois, et... une attirance pour quelques accessoires exhibés. Mack ne put se retenir de sourire et de hausser un sourcil en voyant les mains liées, le cou prêt à l'être également. Un agréable frisson lui remonta l'échine et réchauffa son bas-ventre rien qu'à imaginer utiliser des menottes du genre avec Van. Il y aurait peut-être droit, s'il était sage à son retour...

Elle ne put s'empêcher de lâcher un rire, déjà prise dans le jeu du flic et du voleur. « Vous m'en direz tant... et pour quel genre de délit je pourrais vous arrêter, petite délinquante ? » Hormis pour ne pas avoir joué le jeu jusqu'au bout en essayant les menottes mais sans une tenue qui aille avec l'accessoire. Peut-être qu'elle était plus prude qu'elle n'en donnait l'air, après tout. Quelque chose dont la tatouée doutait assez franchement compte tenu de l'assurance avec laquelle l'inconnue continua. Ôter ces menottes, hein ? « Je ne vois pas du tout quelle situation perverse pourrait être détectée. Mais je risque de devoir vous laisser partir, je n'ai aucune idée d'où je pourrais vous emmener, et puis... je ne me risquerais pas à passer la porte. » Pas dans cette tenue là en tout cas. Elle ne savait pas jusqu'à quel point les règles sur la nudité étaient tolérantes en Nouvelle-Zélande, mais elle ne comptait pas essayer. Curieux, ses doigts vinrent quand même courir sur la chaîne qui reliaient les deux menottes avant de sagement défaire un poignet de cette entrave. « Il n'empêche que je suis curieuse de voir quels autres objets du rayon auraient pu retenir ton attention. » Elle haussa un sourcil, soudainement intriguée de voir si sa présence ici relevait d'un fantasme timide ou juste d'un moment d'égarement dans la boutique. De toute façon, ce qui serait dit ici ne sortirait pas du sex-shop.
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