contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: compass points you home ❖ freya. (#) Jeu 20 Avr - 12:33
Freya RomanoffInfos généralesHistoireSujets de RP♦ Nom : Romanoff ♦ Âge : Vingt-huit ans. ♦ Métier/occupation : Artiste à la recherche de renommée. ♦ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. ♦ Situation : Célibataire. « Si Freya utilisait la pensive, elle récolterait ses souvenirs les plus marquants. Une kyrielle de bons comme de mauvais moments viendraient alors parer cet étrange instrument. Et la charmante Romanoff pourrait se mirer dans son « miroir aux souvenirs » à la limpidité frappante. Elle obtiendrait même la possibilité de corriger ses erreurs, avec la promesse d'un futur bien plus prometteur. » Une enfance choyée, elle n’aurait jamais pu trouver un autre foyer plus aimant que celui offert par les Romanoff. Une adorable petite poupée qu’on se plaît à voir grandir de jour en jour. Elle s’épanouit, émerveille son entourage par sa folie artistique. Le passage aux bonshommes bâtons n’avait été qu’une brève étape, déjà à dix ans, ses dessins se faisaient plus développés que ceux de ses camarades. Lorsque c’était à son tour de choisir la sortie du week-end, son choix se portait inlassablement sur une visite de musée. Les peintures aux couleurs presque illusoires laissaient une trainée d’étoiles dans ses prunelles céruléennes. Freya était l'exemple même de la petite chenille frêle et fragile, se muant en un majestueux papillon dont l'avenir se profilait utopique et semé d'opportunités nouvelles. À l’adolescence, le destin fut un brin capricieux. Le personnage solaire sentit son caractère s’ombrager. Un épais brouillard d’incertitudes semblait vouloir l’ensevelir à jamais. L’incandescente blonde perdait de son éclat lumineux et de sa bonne humeur contagieuse. Elle se comparait beaucoup trop aux autres filles. Elle complexait sans raison, et s’inventer des défauts insidieux. Freya n’avait pas besoin que l’on vienne déverser son venin sur elle, l’adolescente le faisait déjà avec bien trop d’aisance. L’esprit vagabond, mal en point. La mine bougonne, son père la comparait à une petite sauvageonne, toujours sur la défensive. Au fil des mois, les parents Romanoff décidèrent de l’emmener voir un spécialiste. Des allers et retours entre la maison et l’hôpital, dans l’espoir de retrouver leur ancienne Freya. C’est l’espoir qui raviva la flamme et propagea un regain d’énergie à ce petit corps laissait à l’abandon. À l’aube de son vingt et unième anniversaire Freya souhaitait franchir un cap. Elle le sentait au plus profond de son être, l’envie menaçait de faire craquer la moindre parcelle de peau afin de s’évader. Son palpitant cognait abruptement contre sa cage thoracique et ses mains devenaient de plus en plus moites à mesure que le temps prenait le pas sur l’instant. James ce soir-là lui avait proposé une soirée films. Ils ne regarderaient que ses préférés. Elle avait souri sur le coup, attendrit. Mais une petite voix, dans un coin de son crâne, lui soufflait les mêmes mots. Inlassablement, depuis l’arrivée du jeune homme. Le canapé sur lequel s’étaient pelotés les deux amis, semblait sur le point de l’avaler dans la minute. Alors, ce qui devait se passer arriva.
« T’as bien dit que j’avais carte blanche pour mon cadeau ? » sa voix sonnait tellement fausse. Elle était aussi tressautante que celle de la nana qui passait à la télé, et sous l’emprise d’une possession vociférait toutes sortes d’insultes.
Sous l’air interrogateur de son interlocuteur, ses doigts à elle vinrent effleurer avec incertitude la mâchoire du jeune homme. Dire qu’elle en mourait d’envie était un euphémisme. Son corps risquait de céder sous le désir qui avait choisi comme point de chute le bas de ses reins. C’était maintenant ou jamais. Avec lui ou personne. Il serait sien pour au moins cet instant.
« J’ai vraiment envie que ce soit toi, James.. »
Les dés étaient lancés, il ne restait plus qu’à attendre le retour du second joueur.
Citation :
« And I feel life for the very first time, love in my arms and the sun in my eyes. »