Un irlandais loin de chez lui !

Fínn O’Connell

Ce que beurre et whisky ne peuvent soigner est incurable.

les informations en vrac

1) Fínn est passionnée d'histoire, plus particulièrement la période du Moyen Âge et de l'antiquité. 2) On peut voir la cicatrice de la balle juste au-dessus de son cœur 3) Il adore les tatouages, pour preuve il en a plusieurs sur les bras ainsi que le dos et le torse. Généralement ce sont des tatouages nordiques, catholique ou celte. 4) Si un jour, il peut retourner en Irlande, et que vous l’interpellez, il ne vous répondra jamais en anglais. Il déteste le gouvernement anglais ainsi que les Anglais de l'Irlande du nord. 5) Malgré son appartenance à l'IRA, au premier abord on pourrait penser qu'il soit un malfrat un plus détestable et froid, mais en réalité c'est le contraire. C'est plutôt une personne calme, réfléchis quand les situations l'exigent, drôle et attentionnée. 6) Bien entendu il n'est pas non plus un ange, depuis sa fuite d'Irlande, il est très méfiant envers les étrangers en dehors de sa mission avec Mara. Et n'hésitera pas à tuer pour protéger les siens ou son pays. 7) Il n'a jamais connu l'amour, pour une raison toute simple c'est qu'en tant que membre de l'une des grandes familles de la noblesse irlandaise la décision ne lui appartient qu'en partie. Et que pour une raison inconnue, il se méfie des femmes quand il est question de sentiment. 8) C'est un grand amateur de Whisky et de bière. 9) Sur son bras droit, entre deux tatouages celtiques, se trouve le prénom de son frère. Il ne sait jamais remis de la mort de son frère, les nuits sa lui arrive à faire des cauchemars et revivre ce moment. 10) Les loisirs de Fínn sont très varié, c'est un adepte inconditionné des fêtes irlandaises, il adore faire du sport et particulièrement l'Hurling, passionnée des langues mortes ainsi que l'histoire, s'il n'aurait pas été noble il serait très certainement professeur d'histoire dans une petite école de campagne.

les indiscrétions sur le joueur

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<pris>alexander skarsgård ›</pris> Fínn O’Connell

   

l'histoire de ma vie

Qui à dit que la vie d'un Irlandais est facile ?!

Avant de parler de moi, je dois vous parler de ma famille, les O'Connell. Ma famille est l'une des grandes familles de la noblesse irlandaise, elle possède de nombreuses terres en Irlande du Nord, mais aussi dans le Connacht ainsi que des actions dans différentes entreprises. Pour ne citer quelle, la très célèbre banque Allied Irish Banks est l'une des deux plus grosses banque du pays, est détenue par ma famille. Tout ceci est grâce à mon grand-père Yoric qui a érigé notre patrimoine financier, est même encore aujourd'hui, il ne veut pas entièrement quitter le milieu des affaires familiales, malgré, c'est 95 ans et une santé d'Irlandais. Et dans notre famille, le dernier mot revient souvent aux aînés, et ma relation avec mon grand-père est très importante pour moi, après mon père, c'est vers lui que je me tournerais pour demander conseil.

Mon grand-père m'avait raconté une fois l'histoire de notre famille grâce au livre du Chronicon Scotorum, une réplique de la chronique irlandaise. Que la famille O'connell descende de la dynastie des Uí Briúin au 7e siècle qui s'était rendu maître de tout le Connacht ainsi qu'une partie du nord. Mais avec l'arrivée des invasions Vikings en Irlande, la dynastie des Uí Briúin fit une proposition de mariage au Roi de Dublin de l'époque. Et depuis ce jour, la famille O'Connell et les descendants de ce roi de Dublin, la famille Hårfagreætta de Norvège s'accorder de temps à autre à marier leurs enfants pour perpétuer et rappeler ce qu'unit les deux familles du temps de leurs fondateurs.

Ces grâce a cette tradition que beaucoup diraient dépasser, que ma mère Siggy issue de la famille Hårfagreætta, fut mariée à mon père. Mon père m'a dit un jour qu'au début, c'était plutôt dur de se résigner à vivre avec une femme qu'on n'a pas choisie, mais qu'avec le temps, il avait appris à connaitre ma mère est que désormais, il ne changerait rien pas même pour tout l'or du monde. Mais que faire partie de la noblesse n'était pas toujours comme on le montre dans les films où les séries-télés, et demande parfois des contreparties, comme mon père me disait " quand tu naquis O'Connell, ta vie ne t'appartient pas, avant de penser à toi, pense à la maison O'Connell est-ce que tu laisseras derrière toi "

Ma naissance a eu lieu au château familial non loin de Belfast en 1980, ce même château ou à voir naître mon père et mon grand-père. La famille s'agrandit les années plus tard avec l'arrivée d'un frère et d'une sœur, et pendant mon enfance, je fus éduqué par mon père et mon grand-père qui m'apprirent toutes les choses qu'un noble devait apprendre. J'hérite aussi de la mentalité de mon père est grand-mère, qui est un certain traditionalisme pour les coutumes et tradition ancienne irlandaise. Dans notre famille, nous sommes très attachés et nous efforçons de garder cela intacte dans un monde à cent à l'heure ou la mondialisation fait loi et prime sur tous. Et c'est d'autant plus difficile en Irlande ou la domination anglaise sur notre île est écrasante, dans tous les domaines de la vie quotidienne.

Le parfait exemple est la langue, la conquête des Anglais à partir du 16e siècle marque le début du déclin du gaélique irlandais. Henri VIII brise toute autorité celtique, exproprie toutes les terres cultivables pour les donner aux Anglais, privant les Irlandais de tout développement économique et social. L’anglais devient alors la seule langue enseignée à l’école, l’irlandais devenant une langue interdite. Malgré cela, l’irlandais demeure la langue utilisée dans la vie quotidienne, même si l’anglicisation gagne du terrain. Au début du 19e siècle, la moitié de la population de l’île parle encore l’irlandais. Mais la Grande Famine de 1845 va porter un coup fatal à l’irlandais. Elle frappe surtout les régions les plus reculées d’Irlande, où l’irlandais est la langue dominante. La mortalité décime les populations de langue irlandaise et provoque des décennies d’émigration et le déclin irrémédiable de la population gaélique. En 1800, 2,5 millions d’Irlandais parlent le gaélique. Après la Grande Famine ils ne sont plus que 1,5 millions. En 1911, les locuteurs gaéliques ne sont plus estimés qu’à environ 600 000. C'est pourquoi dans ma famille, on parle uniquement le gaélique irlandais et que l'anglais est interdit, et que bien que cela soit illégal mon père à demander à tout, c'est employer d'entreprise de parler uniquement en gaélique irlandais, et ma famille dépense une certaine somme d'argent pour soutenir les projets pour défendre la langue nationale.

En Irlande, ce sujet est presque tabou, et les gens de la haute société et politiciens se contentent de parler au lieu d'agir. Ma famille quant à elle de part sa statue fait de même en soutenant les projets pour défendre l'identité irlandaise tout en sachant que cela ne suffirait pas, c'est pourquoi ma famille est liée secrètement à la mafia irlandaise, à vrai dire non ce n'est pas une mafia comme les yakuza ou les mafias italiennes, mais bien un mouvement de résistance pour nos Irlandais de l'IRA. Je peux dire sans aucune honte que l'IRA est une seconde famille pour moi, bien que pour beaucoup d'étrangers, on représente des mouvements d'extrémiste totalement à l'opposer de notre objectif, il pense que la Révolution française s'est passée dans le calme et la démocratie . Et malgré les menaces, ma famille est resté à Belfast pour montrer que nous ne reculerons pas et ne quitterons pas les terres irlandaises.

Une semaine avant les accords du vendredi Saint de 1998, je me retrouvais dans l'un de c'est bar typique irlandais au centre-ville de Belfast avec mon frère cadet. La soirée battait son plein jusqu'au moment où un groupe de jeunes Protestants loyaliste nous suit après avoir quitté le bar, et réussi à nous bloquer dans une rue sans issue. Un affrontement était inévitable malgré que nous étions deux contre une dizaine, il savait qui nous étions, les fils de Connor O'Connell. Je reconnus l'un des jeunes du groupe qui faisait partie en réalité de la police anglaise de Belfast, grâce aux informations de notre père, nous savions l'identité de tous les policiers et espions anglais résidents à Belfast. Bien entendu, malgré toute la volonté, mon frère est moi, on finit rapidement par terre et les sirènes de police se firent entendre au loin. Le policier en civil demande à ces amis loyalistes de partir avant que la police arrive, et quand elles arrivèrent sur place, c'est à ce moment-là que le policier en civile sortie une arme et tire deux balles sur mon frère cadet et une balle sur moi. Les policiers qui étaient arrivés sur place et avaient vu la scène, et on simplement tournait le regard, oui, c'était monnaie courante et connue que la police soutenait les loyalistes.

Le policier civil et c'est collègue quittèrent les lieux en nous laissant pour mort, bien que pour mon frère a bien été tuer sur le coup, mais je survécus par miracle avec tout de même une balle entre l'épaule et le cœur. Bien que je fasse partie de l'IRA, et dans un monde où la violence est parfois employée, je suis un homme de nature drôle, loyal, posé et réfléchis en essayant se trouvais le parfait équilibre entre un noble respectable et un membre de l'IRA qui s'assume pleinement. Mais ce soir-là, j'avais tellement de haine et malgré ma blessure qui me faisait perdre beaucoup de sang, je pris mon téléphone pour avertir un groupe de l'IRA de venir récupérer mon frère et de m'envoyer des hommes au centre-ville de Belfast. Plus tard dans la nuit, mes informateurs me donnèrent la planque ou se trouvaient le policier en civil, un immeuble abandonné du centre-ville, on ne mit pas longtemps avant de l'attraper et de le torturer pendant des heures avant que je le tue et que j'attache son corps sur le mur devant le bâtiment du gouvernement d'Irlande du Nord avec le symbole de l'IRA sur le front.

Après ce fameux soir, mon père me fit passer la frontière en Irlande, pour me faire soigner dès le lendemain grâce à des contacts haut placé qu'il entretenait avec le gouvernement irlandais. Quelques semaines plus tard, je quittai l'Irlande, mon père avait peur que des espions du MI5 me retrouvent pour finir le travail, et donc je partis me réfugier aux USA avec regret et tristesse de ne pas avoir pu être à l'enterrement de mon frère et être là pour ma famille.

Ma planque aux USA allait durer plusieurs mois avant que je puisse reprendre contact avec ma famille, tout en dirigent de temps à autre l'IRA basé aux USA. Pendant mes temps libres, ce qui manquer pas, je trouvais des boulots illégaux plutôt bien payés et non les boulots de vendeur de drogue de premier rang dans la rue pour la simple raison que j'avais des règles que je m'étais fixées, pas de drogue, ou tuer des gens innocents ainsi que d'autres règle de principe, j'étais certainement devenu un mafieux pour les gens ordinaires, mais pour moi, je n'avais rien à voir avec les tueurs de mafia pour des questions d'argent, l'IRA était bien plus que ça pour moi. Grâce à c'est petit boulot, je me fis un nom dans plusieurs milieux, et je réussis à décrocher un gros contrat pour une grosse entreprise de mode, mais ce que j’ignorai c'est que ce contrat allait bouleverser ma vie. Mon contrat consisté à voler des croquis de la nouvelle collection chez la créatrice en concurrence avec mon employeur, chose qui n'était pas prévue, c'est que ce soir là, elle était à son domicile alors quel ne devait pas être là. Au début, j'étais surpris et indécis sur la suite des évènements, mais je pris quand même la décision de continuer ce que pourquoi j'étais envoyé et je m'empressai de saisir la jeune créatrice pour la conduire dans un placard d'une pièce voisine pour ensuite fouiller toute la maison est pris ce que j'étais venu chercher. Ce soir-là pour moi, c'était seulement un contrat comme tous les autres, mais pas pour la suite, vu que mon employeur me recontacte de nouveau quelques mois après ce fameux soir pour espionner cette même femme et rapporter toute information que je pourrais.

Cela tombe bien, parce que au fond de moi je détestait New-York, qui était le total opposé de nos petites contrées d'Irlande. Je pensais que ça allait me faire du bien, et me changer un peu les idées et moins penser à mon pays, ma famille et à mon frère, mais ça n'allait pas se passer comme je l'avais prévue. Je pris un appartement juste à côté de celui de la jeune créatrice, et pour assurer ma couverture, je pris la décision de racheter la boîte de nuit à Wellington. Aux files des mois, la jeune créatrice prénommée Mara et moi-même commencèrent à faire connaissance et se voir tous les jours, même si ce n'était que dix minutes dans les couloirs en rentrant du travail ou bien en ville. Mais ce que je ne m'attendais pas, c'était à quel point j'avais oublié que passer autant de temps avec une personne me permit de la connaître mieux, moi qui avais repensé à elle au lendemain de ce fameux soir, quel faisait partie de c'est femme riche qui aimer le luxe, l'argent, capricieuses et toutes les choses que l'ont pensé d'elle. Mais je m'étais totalement trompé, ce fut là ma première erreur qui n'allait pas être la dernière. Elle était plutôt une femme simple et attachante, j'apprécie particulièrement de l'espionner alors qu'elle dessinait à sa fenêtre de son appartement et au fond de moi je commençais à ne plus savoir où j'en étais avec mes sentiments.

Je commençai à m'en vouloir d'avoir fichu en l'air la vie de Mara, que ce n'était pas moi et digne de ma famille. Et ce qui ma réellement fait changer d'avis, c'était quand j'ai appris que Mara avait fait une fausse couche pendant cette fameuse nuit et que par la suite elle a développé un syndrome post-traumatique, j'avais eu du mal à diriger tout cela en une seule nuit. Tellement du mal que je partis quelques jours sur l'île Inishkea au large de la péninsule de Mullet sur la côte ouest de l'Irlande, la première fois depuis dix ans que je revois les côtes de mon pays mais toujours dans l'impossibilité de rentrer dans mon pays. L'île Inishkea à était rachetée par ma famille, et je pris domicile dans une petite maison en pierre encore plus âgée que l'âge de mon grand-père. En parlant de lui, il me manquait, je savais que mon père était resté à Belfast ne voulant pas quitter le château familial et fuir devant le danger, mais après plusieurs soirs à insister, je savais que mon père avait réussi à convaincre mon grand-père de quitter Belfast et d'aller sur nos terres dans le Connacht au château de la famille O'Connell datant du 17e siècle construit sur les ruines de l'ancien château, où depuis des siècles les membres de notre dynastie sont enterrés dans l'abbaye battit juste à côté. J'aurais aimé aller voir mon grand-père au château ainsi que mon frère enterré à l'abbaye, mais je savais que trop bien que le lieu était sous surveillance par le renseignement britannique.

C'est seulement au bout d'une bonne semaine passé sur cette île déserte à réfléchir, bien que le mal soit fait, que je décide de plus faire souffrir Mara et de mentir à mon employeur sur mes futures informations que je lui donnerais sur Mara est, ces activités. Je repris la route en direction de la Nouvelle-Zélande pour assumer ce que j'ai causé à Mara.