fix my heart. (edwy)

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feat. edwy & murphy

Dimanche soir. Elle était censée dormir chez son père, Murphy. Pourtant c'est la porte de la maison des Ziegler qu'elle passe et qu'elle claque, au risque de réveiller les plus jeunes. Ça lui vaut un chuuuut de la part de Wyatt qui est en train de regarder la télé, seul au rez-de-chaussée. Les autres sont probablement tous dans leurs chambres, ou à l'extérieur. Elle est énervée, Murphy. Elle vient encore de se disputer avec son père. C'est fréquent, ça arrive presque tout le temps. Ils n'ont jamais vraiment réussi à s'entendre, malgré les effort de l'un et de l'autre. Ils ne savent pas comment s'y prendre, comment tisser une relation père-fille correcte. Alors ils sont maladroits, et les moments passés ensembles finissent en désastre la plupart du temps. Comme ce soir. Caïn se doute que quelque chose cloche chez sa fille. Et Murphy, elle a peut qu'il découvre son secret. S'il venait à apprendre qu'elle se fait vomir, il l'enverrait probablement à l'autre bout du pays dans une maison de repos ou dans un hôpital. Alors Murphy elle se ferme, encore plus que d'habitude. Et lui il insiste, il est trop sur son dos, il essaye d'évoquer les sujets sensibles. À dire que s'il n'était pas venu à cette stupide compétition de surf le weekend dernier, il n'aurait rien remarqué. Alors elle lui en veut de s'immiscer dans sa vie, encore et toujours. Elle monte les marches de l'escalier deux par deux et se dirige vers sa chambre qu'elle partage avec Dakota, au bout du couloir. Mais elle s'arrête devant la porte de celle d'Edwy. La lumière filtre sous la porte, il est encore debout. Alors elle frappe à la porte, doucement avant de l'ouvrir, sans vraiment attendre de réponse. Pour l'intimité on repassera plus tard, mais de toute façon dans une maison avec sept enfants c'est connu qu'il n'y en a peu, voir pas du tout. Son frère et assis sur son lit, son portable à la main. Alors elle s'approche et se laisse tomber sur le matelas à côté de lui. « J'en ai trop marre de mon père. » elle observe la plafond en soupirant bruyamment. « Il ne comprend rien, il se mêle de tout tout le temps. » heureusement que ce n'est qu'un weekend sur deux. « La seule chose qu'il sait faire c'est de se mêler de mes affaires et de m'offrir des cadeaux stupides. » elle s'énerve encore plus, Murph. Elle arrache un bracelet que son père lui a offert quelques semaines plus tôt et le jette à travers la pièce. Il vient taper contre le mur en face du lit. Puis elle tourne la tête vers son aîné. Ce dont elle a besoin là maintenant, c'est de réconfort.

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J'étais rentré un peu plutôt du zoo et franchement ça ne me fait de mal du tout bien au contraire, j'ai pu manger avec tout le monde pour une fois mais aussi profiter pour me reposer un peu. Alors que tout le monde est partie ce coucher j'en ai profiter pour prendre une douche, une longue douche ou j'ai profiter d'être seul et qu'on ne me dérange pas parce qu'un ou une est presser de se préparer ou qu'un ou une c'est lever à la bourre et à besoin de la salle de bain. Bon en vivant tous ensemble c'est normal qu'on se fasse engueuler parce que tu prends un peu plus de temps que les autres par moment. Mais je m'en fou un peu, personnellement ça ne me dérange pas je mets pas trois ans dans la salle de bain la plus part du temps, sauf ce soir. Sortie de la douche je m'habille rapidement, tee-shirt et sorte de sport. Je passe une main dans mes cheveux mouiller puis je sors de la salle de bain. Je marche doucement dans le couloir pour rejoindre ma chambre, j'entends la télé qui fonctionne en bas. Je descends pour voir qui est devant et quand je vois que c'est Wyatt. « Bonne nuit salle puce et tarde pas trop devant la télé non plus. » il me lance un regard puis un : « pff ! bonne nuit l'nain ! » et replonge dans la télé. Je ris doucement, les mots doux les surnoms aussi sont aussi mignon. Je remonte dans ma chambre tranquillement. Je laisse ma lampe de chevet allumer en venant alors me mettre dans mon lit, le dos a moitié coller au mur accompagner d'un cousin puis je mets mes écouteurs sur mes oreilles pour écouter ma musique ou plutôt regarder des vidéos. Plusieurs heures passent comme ça, je suis bien, pas spécialement envie de dormir mais je me détends c'est le principal et ça ne fais que du bien. J'entends pas qu'on frappe a ma porte c'est seulement quand je la vois s'ouvrir -heureusement que je ne suis pas nue dans ma chambre ou avec une fille sinon je serais mal barré, surtout si tu me surprends comme ça-. Je retire doucement mes écouteurs et te suis du regard quand tu viens t’étaler de tout ton long a mes cotés sur mon lit. « J'en ai trop marre de mon père. » Je dépose mon regard sur toi et je vois que tu es énerver. Je pose mon téléphone a mes coter puis je passe doucement une main sur t'es cheveux pour commencer à jouer un peu avec. « Qu'est-ce qui ce passe princesse ? » je vois que tu es encore bien trop énerver pour me regarder, mais je continue de jouer un peu avec t'es cheveux, comme j'ai toujours fais et je le ferais toujours. « Il ne comprend rien, il se mêle de tout tout le temps. » je laisse un léger sourire s'afficher malgré moi. Oui un parent se mêle de tout, tout le temps, maman c'est se qu'elle faisait mais on ne lui en voulait pas vue qu'on vivait tout les jours avec elle et elle nous protégeait comme elle le pouvait. On était quand même ses bébés n'importe quel âge on pouvait avoir. « La seule chose qu'il sait faire c'est de se mêler de mes affaires et de m'offrir des cadeaux stupides. » a t'es paroles je vois que tu t'énerves encore plus, je te laisse jeter le bracelet a travers la pièce sans rien dire. Je le récupérais plus tard. « Tu sais il veut peut-être bien faire, puis il n'a jamais eu d'enfant avant donc il croit que c'est la bonne solution tu vois ? » Je te regarde puis je viens me redresser un peu plus. « Vient part là toi maintenant. » je te tends doucement mes bras pour que tu viennes t'installer contre moi mais aussi que je te fasse un câlin pour te calmer et te réconforter. « Après, tu m'as toujours dis que c'était très électrique entre vous deux. Il essaye de rattraper le temps perdu mais il s'y prend mal je le sais et ça t'énerve plus qu'autre chose. Il veut savoir t'es petits secrets que même moi je ne sais pas, il veut connaître ta vie, se que tu as vécu et se que tu vie. Mais s'il te force c'est pas la meilleur des solutions je sais bien princesse. » quand tu t'installe contre moi je viens frotter délicatement ton dos, puis ma seconde main vient dans t'es cheveux pour jouer doucement avec. J'ai un ton assez calme et doux, même si tu sais autant que moi que je ne peux pas spécialement le voir vue qu'il veut te garder pour lui se qui m'énerve mais je ne veux pas te montré ça, je suis ton aîné et je dois me contrôler pour toi.

Dernière édition par Edwy Ashleigh-Ziegler le Sam 27 Mai - 13:19, édité 1 fois

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De tout les Ziegler, Edwy est indéniablement l'un de ceux de qui Murphy s'entend le mieux. Ça a toujours été, et ça sera probablement toujours le cas. Peut-être parce qu'ils se ressemblent beaucoup niveau caractère. Et puis ils ont pas mal de centre d'intérêt communs. Le dessin les a toujours énormément rapproché. Déjà gamine, c'est vers Edwy que Murphy se tournait quand elle avait besoin d'un conseil, ou quand elle voulait être rassurée ou réconfortée. Il était celui a qui elle collait aux baskets quand elle avait entre cinq et dix ans. Le pauvre. Et encore aujourd'hui, c'est dans ses bras à lui qu'elle va pleurer quand l'envie - ou le besoin - lui prend. Comme maintenant. Parce que là, elle a envie de se plaindre de son père. Envie de pleurer de colère aussi, un peu, même si elle n'est pas du genre à le faire devant qui que ce soit d'habitude. Murphy rentre donc dans la chambre de son aîné, se laisse tomber sur son lit et lui raconte ses malheurs. Et il écoute patiemment ce qu'elle dit, jouant avec ses cheveux. « Tu sais il veut peut-être bien faire, puis il n'a jamais eu d'enfant avant donc il croit que c'est la bonne solution tu vois ? » mouais, essayons donc de trouver des excuses à Caïn, le père de l'année. « Ouais, mais ça fait seize ans que je suis née, hein. Il serait peut-être temps qu'il apprenne comment être père. » même si ça ne fait véritablement que huit ans qu'il s'occupe d'elle deux jours toutes les deux semaines. Ce n'est pas énorme si on fait le calcul. Mais normalement, il devrait avoir un certain instinct paternel, non ? « Vient part là toi maintenant. » Edwy se redresse, s'adossant à moitié au mur, l'invitant à venir se réfugier dans ses bras. Et elle ne se fait pas prier, Murphy. Elle s'approche de son frère et pose doucement sa tête contre sa poitrine. Elle se sent mieux, là, comme ça. Malgré ses seize ans, elle apprécie toujours les câlins de ses frères et sœurs. Ça lui rappelle toujours qu'elle n'est pas seule, qu'elle peut compter sur eux. Et là, dans les bras d'Edwy, elle se sent sereine, en sécurité. « Après, tu m'as toujours dis que c'était très électrique entre vous deux. Il essaye de rattraper le temps perdu mais il s'y prend mal je le sais et ça t'énerve plus qu'autre chose. Il veut savoir t'es petits secrets que même moi je ne sais pas, il veut connaître ta vie, se que tu as vécu et se que tu vie. Mais s'il te force c'est pas la meilleur des solutions je sais bien princesse. » Elle sait qu'Edwy a raison. Pourtant ça ne la console pas vraiment, ça l'agace encore plus. Pourquoi les parents ressentent-ils toujours le besoin de vouloir tout savoir de leurs enfants. Et le pire avec Caïn, c'est qu'en plus de le vouloir, il s'y prend mal. « On a jamais réussi à être proches, lui et moi. Même quand j'avais huit ans, que je venais de retrouver mon père, je savais que quelque chose clochait entre nous. Je n'veux pas qu'il essaye de rattraper le temps qu'il a perdu en fuyant comme un lâche quand il a appris que maman était enceinte de moi. » son souffle est court tellement elle est énervée, pourtant elle continue de parler, parce qu'elle en a besoin. Elle a besoin de dire ce qu'elle a sur le cœur, et Edwy semble être l'oreille attentive dont elle a besoin. « Parfois je me dis que ça aurait été plus simple qu'il soit resté en Irlande, qu'il ne m'ait jamais croisé. Il n'y aurait que moi, et notre famille. J'ai plus besoin de toi, de lazslo et des autres que lui. » elle ne mesure pas ses mots, murphy, et peut-être ne les pense-t-elle même pas. Parce qu'elle l'aime quand même, son père. Mais elle est fâchée contre lui. Elle en a marre, elle a peur aussi. Peur qu'il apprenne pour son anorexie. Peur de sa réaction. Peur de ce qu'il serait capable de faire. Elle lève la tête vers le visage de son frère, les yeux baignés de larmes.

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Je savais que ça fait des années que tu es toujours derrière moi, même si au début j'avais du mal mais quand on a remarquer l'un comme l'autre qu'on avait des tas de point en commun je me suis vachement adoucis puis aussi j'ai pris conscience que j'étais le grand frère et que tu voulais aussi avoir un peu plus de réconfort. Même si t'aurai pu le trouver en vers Eleonor, non tu es venu vers moi, même si tu as aussi de très bonne relation avec Ele. Mais c'était souvent vers moi que tu venais quand ça n'allait pas, quand tu avais besoin d'un renseignement ou même avoir du réconfort comme ce soir. Ce soir ou tu avais de la chance que je ne bosse pas mais ça ne me dérange pas que tu viennes sans même ne dire un mot et râler, pester sur se qui ne va pas dans ta vie. La, ce soir c'était ton père, tu es vraiment en colère contre lui et je pouvais le comprendre. A ton âge j'avais appris que le mien ne voulait vraiment pas de moi et qu'il m'a réellement abandonné. Mais ça, j'évite d'en parler, de t'en parler. Je pense que tu crois qu'il est partie comme tout le monde, que je n'ai pas essayer de le rechercher mais non je l'avais fais sans en parlé à personne. Alors je peux comprendre ta haine ce soir. Quand je te dis qu'il essaye de faire bien, sans m'énerver contre lui et sans te le montré je te regarde toujours à ta réponse : « Ouais, mais ça fait seize ans que je suis née, hein. Il serait peut-être temps qu'il apprenne comment être père. » je me pince doucement les lèvres, en me redressant et t'attire contre moi pour te faire un câlin, câlin ou je joue avec tes cheveux et câline ton dos. Je dépose doucement mon menton sur le sommet de ta tête en continuant avec mes doigts, je sais que ça te fais un bien fou. Par moment tu t'écrasais contre mon être pour avoir un simple câlin sans raison valable. Même si notre mère nous apprit a avoir beaucoup d'attention les uns en vers les autres, je ne pense pas voir Wyatt ici à ta place dans mes bras... J'essaye de te consoler comme je peux avec mes paroles mais je peux sentir que je n'y arrive pas, pas ce soir. « On a jamais réussi à être proches, lui et moi. Même quand j'avais huit ans, que je venais de retrouver mon père, je savais que quelque chose clochait entre nous. Je n'veux pas qu'il essaye de rattraper le temps qu'il a perdu en fuyant comme un lâche quand il a appris que maman était enceinte de moi. » quand tu me dis parle de sa fuite quand maman était enceinte je te serre un peu plus contre moi, un boule au ventre en repensant à mon père mais j'en dis rien. « Tous nos pères étaient des lâches à abandonner maman quand elle était enceinte de nous. Le tien à voulu te retrouver, dans un sens il veut peut-être se faire pardonner... » je dis calmement, c'est peut-être ça, ou tout simplement que maintenant il veut réellement nous emmerder pour qu'il ait ta garde. Mais non, on est têtu dans la famille. Je sens que ton souffle est court et que tu es énerver, mais cette énervement tourne rapidement à la tristesse. « Parfois je me dis que ça aurait été plus simple qu'il soit resté en Irlande, qu'il ne m'ait jamais croisé. Il n'y aurait que moi, et notre famille. J'ai plus besoin de toi, de lazslo et des autres que lui. » je pouvais entendre de la colère et de la tristesse dans ta voix, mais je n'en dis rien, je ne pouvais que te comprendre à se moment là. Même si moi quand j'ai appris que le mien ma réellement abandonner je voulais tout fuir mais je ne l'ai pas fait pour vous. Quand tu relèves le visage et que je vois t'es yeux remplis de larme j'embrasse délicatement ton front et murmure. « Laisse toi aller, ça restera entre nous de toute façon. Et je suis là, je serais toujours là quoi qu'il arrive ma princesse. » Je viens te serre un peu plus contre moi pour que tu puisses pleuré, je sais que ça ne peux que te faire du bien. Puis c'est mot son tellement franc, sincère et qui on un impact aussi fort dans une vie, surtout dans la notre. Quand on sait que l'un des frères et sœurs sont là pour nous quoi qu'il arrive on sait qu'on est protéger et en sécurité en quelques sortes. Alors que j'entends t'es sanglots, je continue a caresser ton dos pour te consoler, sans dire un mot. Puis en regardant sur mon lit, j'attrape ma peluche, seul que j'ai, que tu m'as offert ce vieille ours en pluche puis je décolle doucement de toi et prends une autre voix en l'agitant devant. « Bonsoir mademoiselle, vous savez que vous êtes tellement plus belle sans ses vilaines larmes sur vos joues. » Puis je fais simple qu'il te fasse des bisous, tout simplement pour te faire rire, espérant que ça marche.

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Parfois, elle a du mal à supporter de vivre dans une maison pleine à craquer, avec ses six frères et sœurs et son cousin - qu'elle considère comme son frère aussi. Parfois c'est trop bruyant et on manque cruellement d'intimité et de temps seul avec soit-même. C'est difficile à vivre la plupart du temps, même si murph a la chance (ou pas) de pouvoir aller se réfugier dans sa chambre chez son père, là où elle n'est dérangée que par une seule et unique personne : son père, qui vient voir si elle va bien toute les quinze minutes. Pourtant, elle aime la vie chez les Ziegler, malgré les nombreux inconvénients. Parce qu'ils sont toujours là les uns pour les autres. Dès que l'un d'entre eux à un problème, les autres l'aident à le résoudre ou le consolent. Comme Edwy le fait avec Murphy en ce moment-même. Edwy, il a toujours été le meilleur pour réconforter sa sœur. Il a toujours été celui qui réussi à la faire sourire même lors des pires chagrins. « Tous nos pères étaient des lâches à abandonner maman quand elle était enceinte de nous. Le tien à voulu te retrouver, dans un sens il veut peut-être se faire pardonner... » il a raison, bien sûr, et elle se sent un peu égoïste, murphy, parce que son père à elle a tenu à la connaître, à s'occuper d'elle, à se faire pardonner, contrairement à ceux de Laszlo, d'Edwy ou encore de Dakota. Elle, elle sait d'où elle vient, qui est son père, et même si ce dernier a pleins de défauts, il est là. Mais elle n'a pas envie de reconnaître tout ça, murphy. Là, maintenant, elle a envie de le critiquer, de se plaindre de lui. Après tout, elle n'est qu'une adolescente, et tous les ados se plaignent de leurs parents. « Tu ne vas quand même pas le défendre..? Je te rapelle qui est censé être l'un de nos ennemis numéro 1. Il veut que j'aille vivre chez lui je te rappelle. » Pauvre Murphy qui est loin de se douter que cette histoire là est en train de prendre une nouvelle tournure, que son père est en train de monter un vilain dossier pour être sûr d'obtenir sa garde. Pour l'instant, selon elle, il ne s'agit que d'une envie de son père, rien de plus. Et puis, il est hors de question qu'elle aille vivre chez lui en permanence. Déjà qu'elle a du mal à supporter un simple week-end. Les yeux de Murphy sont emplis de larmes, elle est à deux doigts de craquer, même si elle essaye de résister. « Laisse toi aller, ça restera entre nous de toute façon. Et je suis là, je serais toujours là quoi qu'il arrive ma princesse. » Et il n'en fallut pas plus à murphy pour qu'elle fonde en larmes, le visage enfoui dans le t-shirt de son aîné. Il caresse son dos, en silence. Et Murphy elle pleure encore et encore, inlassablement, jusqu'à ce qu'elle finisse par se calmer, un peu. « Bonsoir mademoiselle, vous savez que vous êtes tellement plus belle sans ses vilaines larmes sur vos joues. » elle se redresse et regarde l'ours en peluche, celui qu'elle a offert à Edwy il y a quelques années. C'était le premier cadeau qu'elle lui a offert avec son propre argent de poche. L'un de ses premiers achats. Et elle rit malgré elle, entre deux reniflements. « T'es bête. » elle ne rit pas longtemps, mais Edwy a quand même réussit à faire passer ses sanglots. Il est fort pour ça. Elle tourne le visage vers lui. « Parfois, je me dis que je ne sais pas ce que je ferais sans toi. T'es plutôt utile quand tu le veux. »

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J'aimerais tellement avoir mon propre appartement par moment, mais ça me couperait de toute le monde, c'est peut-être pour ça que je reste encore à la maison. Ca couperais ses moments ou tu débarques dans ma chambre, ça couperais les moments ou je me chamaille avec Wyatt, Julian ou même Dakota. Mais ça me soulagerais qu'on ne soit plus en froid avec Laszlo. Certes on reste droit devant tout le monde mais quand on a l'opportunité de s'ignorer... on le fait malheureusement. J'ai toujours été la pour écouter et réconforter tout le monde mais surtout toi, l'écart que l'on a tout les deux ne nous empêche pas d'être très proche. Quand je t'explique que tous nos pères nous à abandonner sauf le tien, qui veut peut-être se faire pardonner en te reconnaissant, ta réponse me fait doucement sourire malgré moi. « Tu ne vas quand même pas le défendre..? Je te rapelle qui est censé être l'un de nos ennemis numéro 1. Il veut que j'aille vivre chez lui je te rappelle. » je hoche doucement la tête de haut en bas. « Tu sais autant que moi que je ne le supporte pas du tout et que je ne veux pas qu'il aille la garde... Tu sais très bien que je ne peux pas le voir non plus et que je ferais tout pour qu'il ne réussisse pas a ses fins je te le jure ! » C'est vrai que je ne le supporte pas, une seule confrontation et on a tout de suite été fixée, fixé sur le fait que je suis têtu et que j'ai pas envie de laisser partir ma petite sœur, têtu sur le fait qu'il la laisser, enfin abandonner maman puis qu'il est revenu comme une fleure, en réalité je ne le supporte pas du tout ça. Revenir comme si c'était le meilleur père du monde, il ne veut pas non plus une médaille ? Enfin je calme doucement mes ardeurs quand je vois que tu es a deux doigts de craquer mais que tu te retiens. J'ai eu que quelques mots, quelques mots qui t'ont fait craquer et fondre en larme. En silence je te laisse pleuré, je pouvais savoir à quel point ça fait du bien, même si je pleure rarement. Caressant ton dos et t'es cheveux, jusqu'au moment ou je trouve une solution. L'unique peluche que j'ai dans mon lit, le cadeau que tu m'as offert avec ton premier argent. Ce qui ma toucher c'est aussi pour ça qu'elle est toujours avec moi. Je l'agite doucement devant toi en prenant une autre voix, ton rire me fait comprendre que j'ai réussi, même s'il dur pas longtemps. « T'es bête. » je rie doucement en te regardant. « Je le sais, c'est comme ça que tu m'aimes ! » Je dis en embrassant le bout de ton nez et essuie t'es joues encore toute mouiller par t'es larmes. « Parfois, je me dis que je ne sais pas ce que je ferais sans toi. T'es plutôt utile quand tu le veux. » je viens doucement hausser des épaules en ayant mon petite sourire aux lèvres, c'est flatteur et non méchant. Beaucoup penserait que le « t'es plutôt utile quand tu le veux » serait méchant. « Je suis toujours utiles, attend, avec moi on dessine, on joue aux jeux vidéos, je fais le con, j'aime toujours bouger partout pour remettre de bon-humeur... Ouais je suis bien utile. » je dis en souriant. Puis je te regarde a nouveau. « Mais ce soir tu veux dormir avec moi ? Ne pas réveiller Dakota car on sait tout les deux qu'elle peut être d'une humeur de chien ? » je te dis en souriant doucement. Puis ça ne serait pas la première fois qu'on dorme ensemble en réalité. Tout à coup une idée me vient en tête. Je viens doucement te lâcher puis je me lève. Je viens tiré l'un de mes tiroirs de mon bureau puis j'en sors un paquet de biscuit aux chocolat. Je l'avais mit là toute à l'heure, je viens me r'asseoir a t'es coter, je dépose sur mon ventre. Et te regarde avant de prendre un gâteau. « Quoi ? Manger avant de dormir c'est bien, puis, tu vas voir le chocolat réconforte aussi et il est très très utile ! » je dis en souriant avant de t'en tendre un puis mange le mien.

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« Tu sais autant que moi que je ne le supporte pas du tout et que je ne veux pas qu'il aille la garde... Tu sais très bien que je ne peux pas le voir non plus et que je ferais tout pour qu'il ne réussisse pas a ses fins je te le jure ! » elle sourit, heureuse que ses frères et sœurs soient de son côté. Aucun membre de la fratrie Ziegler n’apprécie vraiment le père de Murphy. Pas qu'il soit méchant, mais plutôt parce qu'il a toujours plus ou moins essayé d'éloigner sa fille du domicile familial. Et s'il n'a jamais rien tenté quand la mère Ziegler était encore en vie, aujourd'hui il ne se dérange pas pour faire comprendre à tout le monde quelles sont ses intentions. Et autant dire que Caïn est franc, direct, et buté. Quand il a une idée en tête, il ne lâche rien. « Au pire, s'il m'oblige à vivre chez lui, je pourrai toujours faire le mur et venir ici. Je ne compte pas rester là-bas tout les jours de chaque semaine, ça serait trop horrible. » Elle a le moral à zéro, murphy, et même si ça ne lui ressemble pas, elle se laisse aller. Elle se permet de pleurer dans les bras de son grand-frère de qui elle se sent si proche. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, c'est toujours vers edwy qu'elle se tourne quand quelque chose cloche. Peut-être parce que c'est le seul frère à qui elle fait suffisamment confiance pour se confier. Elle aime Laszlo, mais ils n'ont jamais été très proches dans la mesure où elle était trop jeune quand il a quitté la maison. Wyatt, c'est plutôt le frère qu'elle aime embêter et qui l'envoie balader jour après jour. Elle dit beaucoup de choses à Julian, mais elle ne s'imagine pas lui parler de choses aussi importantes que son père. Il y a Eleonor, avec qui elle est proche, Murphy, mais une sœur, ce n'est pas pareil qu'un frère. En tout cas, Edwy exécute sa mission de réconfort plutôt bien. Il arrive à la faire rire, puis sourire. « Je le sais, c'est comme ça que tu m'aimes ! » Elle hoche la tête. Il a raison. Il a toujours été le frère qui lui remonte le moral en la faisant rire. C'est pour ça qu'elle l'aime, entre autre. « Je suis toujours utiles, attend, avec moi on dessine, on joue aux jeux vidéos, je fais le con, j'aime toujours bouger partout pour remettre de bon-humeur... Ouais je suis bien utile. » Et murphy elle rit de plus belle en écoutant les paroles d'Edwy. Elle attrape rapidement un oreiller, ni vue, ni connue, et elle frappe le visage de son frère avec, sans aucune pitié. « Ça va ? Tu n'as pas les chevilles qui enflent ? » elle dit, un sourire faussement narquois au coin des lèvres. Elle aime l'embêter, sans méchanceté. « Mais ce soir tu veux dormir avec moi ? Ne pas réveiller Dakota car on sait tout les deux qu'elle peut être d'une humeur de chien ? » cette fois, murphy lève les yeux au ciel. Dakota et son caractère insupportable. Petites, elles étaient proches toutes les deux, elle étaient toujours fourrées ensemble. Mais depuis le décès de leur mère, elles ont énormément de mal à se supporter. Leur relation est électrique et elles passent leur temps à se crier dessus pour un oui ou pour un non, quand elles ne s'ignorent pas totalement. « Ouais, ça sera mieux pour tout le monde. Elle est impossible à vivre depuis quelques temps. Et c'est encore pire depuis que j'ai parlé de Balthazar à Laszlo. Elle m'en veut à mort. » elle a ses raisons, certes, mais Murphy pensait bien faire. Elle regarde son frère se lever, arquant un sourcil, se demandant ce qu'il est en train de faire. Il marche jusqu'à son bureau, ouvre un tiroir et en sort un paquet de biscuits au chocolat. « Attends, tu caches de la nourriture dans ta chambre ? Sérieusement ? » Ils le font tous, ou presque. Murphy non, parce qu'elle ne mange rien. Mais elle sait que Dakota fait la même chose, et Leo aussi. « Quoi ? Manger avant de dormir c'est bien, puis, tu vas voir le chocolat réconforte aussi et il est très très utile ! » « Je suis au courant. Tu sais que c'est le genre de trucs que les filles amènent à leurs copines en plein chagrin d'amour. Tu te féminise, Edwy, attention. » et elle rit de plus belle.

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Je pouvais voir que plus tu me parles de t'es problèmes avec ton père plus ça te fait du bien, mais surtout ça te soulage. Tu sais où me trouver pour me parler de n'importe quoi, puis, je suis le grand frère qui est rester à la maison du début jusqu'à... maintenant en réalité. Mais on ne dirais pas comme ça et je remarque beaucoup de chose, je remarque bien que tu es proche avec Eleonor est c'est bien ça mais j'ai vite remarquer que l'entente que tu as avec Dakota c'est pas la meilleur des choses. « Au pire, s'il m'oblige à vivre chez lui, je pourrai toujours faire le mur et venir ici. Je ne compte pas rester là-bas tout les jours de chaque semaine, ça serait trop horrible. » je hausse doucement des épaules, c'était pas la meilleure des solutions et tu devais le savoir mais je te le dis quand même. « Certes mais c'est pas la meilleure des solutions, puis s'il veut vraiment, on fait tout pour faire traîner le truc pendant deux ans et à t'es dix huit ans t'es majeurs et tu fais se que tu veux, tu même prendre un appartement ou rester à la maison tu vois ? » je dis d'un ton bienveillant mais surtout si tu veux le faire je te suivrais de près, très près même. Car je ne veux pas que tu fasses un faux pas, que tu ne fasses pas de connerie. Puis on commence a partir sur autre chose, des petits mots doux comme on les appels si bien, des mots qui nous font plus rire qu'autre chose. Je ne vois même pas que tu prends un oreiller et que tu me le balance en pleine figure, je me mets à rire quand je sens le cousin dans la figure. « Ça va ? Tu n'as pas les chevilles qui enflent ? » je ne peux pas m'empêcher de rire à t'es paroles. « Tien regarde par toi même ! » je souris amuser et lève mes jambes en l'air pour que tu regardes mes chevilles. Ce qui nous fais rire, et ça me fais du bien de voir que tu vas mieux. Je viens alors te proposer de dormir avec moi en te disant qu'on connait l'humeur de chiant de Dakota. « Ouais, ça sera mieux pour tout le monde. Elle est impossible à vivre depuis quelques temps. Et c'est encore pire depuis que j'ai parlé de Balthazar à Laszlo. Elle m'en veut à mort. » je rie doucement, ironiquement en entends le nom de Balthazar. « Elle en veut un peu a tout le monde par rapport à lui. Elle ne sait pas encore que je suis aller le voir pour avoir des explications plus concrètes. Quand elle va le savoir, ça va être drôle, je pense que je vais lui en parler quand on ne sera pas à la maison sinon tu vas nous entendre ! » je dis en riant doucement. « Mais tu as bien raison d'un coté de lui en avoir parler, tu veux aussi vieller sur elle, mais elle ne le comprends pas. » je dis en levant doucement les yeux au ciel. Je viens alors me lever pour aller chercher des gâteaux. Je m'arrête quand tu me parles. « Attends, tu caches de la nourriture dans ta chambre ? Sérieusement ? » « Alors non je ne les planques pas, je les ai ranger toute à l'heure après avoir finit de bosser mademoiselle. » je te tire la langue puérilement mais aussi comme un enfant ce qui me fait rire. Un fois que je suis installer a nouveau à t'es coter je te regard en t'écoutant mais surtout en mangeant mon gâteau. « Je suis au courant. Tu sais que c'est le genre de trucs que les filles amènent à leurs copines en plein chagrin d'amour. Tu te féminise, Edwy, attention. » « C'est pas de ma faute, avec toi, Eleonor ou même Nina bah... j'ai pris l'habitude de manger des gâteaux et de les passer quand vous n'aller pas bien ! » je dis en souriant amusée. Nina c'est ma meilleure amie, tu la connaissais et tu l'avais déjà vue, tu savais que c'est ma meilleure amie mais aussi qu'elle est juste adorable et que j'en parle souvent.

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Si son père venait à obtenir sa garde exclusive, elle serait vraiment prête à faire le mur chaque soir pour rejoindre les Ziegler. Elle serait prête à fuguer aussi, à se barrer loin d'ici et de tout ses problèmes. Elle a déjà évoqué cette possibilité avec Nolan à plusieurs reprises. Mais serait-elle vraiment cap ? Pas sûr. Quoi que. « Certes mais c'est pas la meilleure des solutions, puis s'il veut vraiment, on fait tout pour faire traîner le truc pendant deux ans et à t'es dix huit ans t'es majeurs et tu fais se que tu veux, tu même prendre un appartement ou rester à la maison tu vois ? » edwy essaye de la rassurer, de la console, et il faut dire qu'avec cette solution là il y arrive plutôt bien. C'est vrai que ce genre d'affaire traîne souvent devant les tribunaux, et avec un peu de chance, elle sera majeure avant que le verdict soit rendu. Après pour ce qui est de vivre chez les ziegler ou de prendre un appartement, elle a encore tout le temps d'y réfléchir. peut-être qu'après le lycée elle ne restera pas à Island Bay. Elle aimerait aller étudier en Angleterre, Murphy. Mais on verra de quoi demain sera fait. « Tien regarde par toi même ! » elle a simplement demandé si son frère n'a pas les chevilles qui enflent et là voilà avec un pied devant son visage. Et ça la fait exploser de rire. Elle fait semblant d'inspecter la cheville de son frère sous tout les angles. « ça a l'air d'aller, mais à ta place je ferais quand même gaffe parce que les grosses chevilles c'est moche. » bon, en vrai elle n'est pas sûre que l'on puisse avoir un corps "normal" et des chevilles gigantesques. Ça serait bizarre. Bizarre comme le comportement de Dakota depuis plusieurs mois. Ou insupportable plutôt. Parce que ouais, la cadette des filles n'en fait qu'à sa tête, chose que ses aînés ont beaucoup de mal à supporter. « Elle en veut un peu a tout le monde par rapport à lui. Elle ne sait pas encore que je suis aller le voir pour avoir des explications plus concrètes. Quand elle va le savoir, ça va être drôle, je pense que je vais lui en parler quand on ne sera pas à la maison sinon tu vas nous entendre ! » murphy, elle s'attendait un peu à ce que ses frères aillent rendre une petite visite à ce Balthazar. Après tout le mec est genre hyper chelou de traîner avec une gamine de quatorze ans. Ça amène à se poser des questions quoi. « Il t'a dit quoi ? » elle est curieuse, et elle veut connaître le dénouement de l'histoire, s'il y en a un. Mais avec Dakota et sa manie de compliquer la vie de tout le monde, elle doute qu'il y en est un un jour. « Mais tu as bien raison d'un coté de lui en avoir parler, tu veux aussi vieller sur elle, mais elle ne le comprends pas. » ouais, parce que même si murphy et dakota ne s'entendent plus - du tout - elles n'en restent pas moins sœurs. Et murph, elle ferait tout pour elle, pour la protéger. C'est pour ça qu'elle en a parler à Laszlo. Mais pas sûre que la petite ziegler lui pardonne de si tôt. « Ouais... J'espère qu'elle finira par comprendre un jour, parce qu'on partage notre chambre et c'est juste invivable comme situation. » le truc, c'est qu'elles ne peuvent même pas s'éviter, elles sont obligées de dormir dans la même pièce, chaque nuit. « Alors non je ne les planques pas, je les ai ranger toute à l'heure après avoir finit de bosser mademoiselle. » dit-il à propos des biscuits qu'il vient d'aller chercher dans le tiroir de son bureau. « Ouais, c'est vrai que tout le monde range les gâteaux dans les chambres, c'est totalement logique. » et elle tire la langue, comme il vient de le faire. Ils doivent avoir l'air de deux gosses comme ça. Mais ça fait du bien de plaisanter un peu. « C'est pas de ma faute, avec toi, Eleonor ou même Nina bah... j'ai pris l'habitude de manger des gâteaux et de les passer quand vous n'aller pas bien ! » « Bon, on va dire que ça me rend plutôt chanceuse ce soir. » ou pas, parce qu'elle n'a pas l'intention d'en manger. Du coup, elle change de sujet, elle essaye de détourner l'attention d'edwy pour qu'il ne remarque pas qu'elle ne pioche pas dans le paquet. « Ça fait longtemps que je n'ai pas croisé Nina. Elle va bien ? »

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MACFLY

i'm here to listen to your heart my little princess

murphy &
edwy

A se que je vois avoir vider ton sac à me parler de ton père parce que je sais que tu en avais besoin mais réellement. Puis j'essaye de te rassuré en te disant que même s'il veut ta garde on fera tout pour que ça dur jusqu'à ta majorité comme ça tu pourras choisir par toi même de toute façon. Mais je peux remarquer que ça te fais réfléchir malgré tout, mais on change rapidement de sujet, c'est-à-dire : mes chevilles. Je te les montre pour prouver qu'elle ne sont pas gonfler. « ça a l'air d'aller, mais à ta place je ferais quand même gaffe parce que les grosses chevilles c'est moche. » je ne peux pas me retenir d'éclater de rire malgré tout. « Oui c'est moche mais je ne les aurait pas t'en fait pas. » je dépose mes jambes sur mon lit après cette petite parenthèse et je te propose de dormir avec moi vue l'humeur qu'à Dakota avec … tout le monde en faite. Puis quand tu me dis que tu as parler à Laszlo de Balthazar je t'explique que j'y suis aller. « Il t'a dit quoi ? » Je lève doucement les yeux au ciel. « Il ma raconter un truc du genre qu'il lui a sauver la vie, que c'était vers lui qu'elle allait toujours quand elle avait des problèmes avec des gens de son collègue et qu'il « s'occupe » mieux d'elle que nous. » je laisse doucement ma tête aller de gauche à droite, je me suis surtout énerver sur le coup mais bon au moins on s'est expliquer. « Mais après je lui ai dis de m'appeler s'il y avait quelques de grave et que ce n'est pas a lui de géré ça. Il pourrait appeler Laszlo mais... bref. » je n'en dis pas plus parce que bon, c'est moi qui a un différent avec Laszlo pas vous. Puis quand tu reprends la parole je te regarde doucement. « Ouais... J'espère qu'elle finira par comprendre un jour, parce qu'on partage notre chambre et c'est juste invivable comme situation. » je hoche la tête, j'ai la chance de ne plus partager de chambre mais je sais se que c'est. « Je ne sais pas s'il elle prendra conscience maintenant mais s'il faut lui faire comprendre je le fera avec plaisir si personne ne bouge. » je te dis calmement, car je pense que c'est envers tout le monde qu'elle est comme ça mais qu'elle doit taper sur le système de tout le monde. On passe un peu le sujet aussi parce que ça m'énerve un peu, et c'est petit gâteau me réconforte, je t'explique que je les ais ranger ici « Ouais, c'est vrai que tout le monde range les gâteaux dans les chambres, c'est totalement logique. » je rigole doucement en revenant a t'es coter, bien sûr j'en mange un peu mais je t'explique aussi qu'avec toi, Eleonor et Nina je suis obliger d'en manger. « Bon, on va dire que ça me rend plutôt chanceuse ce soir. » je hoche la tête de haut en bas. « Tu peux oui ! » je ris doucement, puis je viens déposer le paquet au sol, quand tu changes de sujet et que tu me demandes comme va Nina je souris. Ca me fait plaisir que tu me demandes comment elle va. « Ça fait longtemps que je n'ai pas croisé Nina. Elle va bien ? » je hoche a nouveau la tête de haut en bas. « Ouais elle va bien, elle est entrain de se demander quel option elle va prendre pour l'université. Elle est venu il y a quelques jours en arrière pour passer la soirée à la maison, tu la louper tu n'était pas à la maison, elle aurait contente de te voir aussi elle t'apprécie bien. » je souris en hochant a nouveau la tête. Tu pouvais malgré moi, voir que ma fatigue revient plus vite que je le pense, je me laisse doucement glisser sur le dos dans mon lit en continuant de te regarder. Je viens en suite me mettre sur le ventre en attrapant des mes bras mon cousin que je cale sous ma tête. Je grogne doucement en souriant amusée malgré moi. « Princesse, ce n'est pas que je ne t'aime pas mais... avec ma journée de boulot je commence a sombre petit à petit. T'as l'droit de t'endormir sur moi comme d'habitude ! » je rigole en te regardant avec des petits yeux.

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feat. edwy & murphy

Non, Murphy n'est absolument pas surprise d'apprendre qu'Edwy a été voir ce fameux Balthazar pour causer. Parce qu'il a toujours pris son rôle de grand frère protecteur très à cœur. Quand l'un d'entre nous a des ennuis, il est toujours là. Toujours. « Il ma raconter un truc du genre qu'il lui a sauver la vie, que c'était vers lui qu'elle allait toujours quand elle avait des problèmes avec des gens de son collègue et qu'il « s'occupe » mieux d'elle que nous. » elle lève les yeux au ciel. Il est sérieux ce mec ? Il se prend pour Dieu ou quoi ? Et puis c'est quoi cette histoire d'avoir sauvé la vie de Dakota ? Et puis pourquoi Dakota, du haut de ses quatorze ans, irait se confier à un mec aussi âgé ? C'est totalement improbable. Quoi que... Elle fait n'importe quoi ces derniers temps la gamine. « Mais après je lui ai dis de m'appeler s'il y avait quelques de grave et que ce n'est pas a lui de géré ça. Il pourrait appeler Laszlo mais... bref. » Il y a deux trucs qui chiffonnent murphy. La première, c'est qu'Edwy a été trop gentil. Si elle avait été un mec, elle aurait foutu un poing dans la figure de ce type et l'aurait formellement interdit de s'approcher de sa sœur. Deuxièmement, c'est la façon dont Edwy prononce le prénom de leur aîné. Il y a un problème entre eux ? Ils se sont disputés sans que personne soit au courant ? Pourtant tout se sait toujours dans la maison Ziegler. Mais elle préfère ne pas demander, parce qu'elle ne veut pas risquer de mettre Edwy en rogne. Il ne manquerait plus qu'il la renvoie dans sa chambre avec Dakota. « Je ne sais pas s'il elle prendra conscience maintenant mais s'il faut lui faire comprendre je le fera avec plaisir si personne ne bouge. » elle sourit un peu malgré elle, murphy. Parce que sa jeune sœur à besoin d'un sérieux recadrage. Et apparemment nombreuses sont les personnes qui seraient ravies de le faire. Elle la première. « Je t'aiderai avec plaisir. » oh que oui ! Mais mieux vaut changer de sujet maintenant, celui-ci est un peu trop agaçant. Les gâteaux, c'est mieux. Ou pas. Mais bon, elle en compte pas en manger de toute façon, murphy. Pas question qu'elle touche à ces cochonneries qu'elle serait obligée d'aller vomir. Alors elle change de sujet, encore une fois. Elle profite du fait que son grand frère évoque Nina, sa meilleure amie que Murphy connaît bien pour l'avoir déjà vu des dizaines et des dizaines de fois à la maison. « Ouais elle va bien, elle est entrain de se demander quel option elle va prendre pour l'université. Elle est venu il y a quelques jours en arrière pour passer la soirée à la maison, tu la louper tu n'était pas à la maison, elle aurait contente de te voir aussi elle t'apprécie bien. » c'est vrai qu'elle aussi, elle aurait bien aimer voir la rousse qui sert de meilleure amie à son frangin. Elle l'apprécie pas mal, Murphy, parce qu'elle est amusante Nina. Mais bon, elle aura sans doute d'autres occasion de la croiser dans les prochaines semaines. En attendant, elle regarde son frère s'allonger dans le lit. Il à l'air fatigué, le pauvre. Et il ne tarde pas à confirmer les pensées de la demoiselle. « Princesse, ce n'est pas que je ne t'aime pas mais... avec ma journée de boulot je commence a sombre petit à petit. T'as l'droit de t'endormir sur moi comme d'habitude ! » Elle sourit et se lève. « Je vais juste mettre mon pyjama, je reviens. » et elle s’éclipse quelques minutes pour se brosser les dents et se mettre en tenue de nuit, parce que dormir en jeans n'aurait pas été très confortable. Et quand elle est enfin prête, après à peine quelques minutes, elle retourne dans la chambre de son frère, qui s'est déjà endormi. Elle sourit en le regardant, et le rejoint, se blottissant contre lui. « Bonne nuit. » Elle murmure, même si elle doute qu'il puisse l'entendre.

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MACFLY