Une pensée suivit d'une action. #Lyra

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Une pensée suivit d'une action...

Depuis très peu de temps je suis en ville, je venais d’emménager dans mon nouveau logement, c’était une assez belle maison bien qu’elle soit un peu trop grande pour moi tout seul. Cependant, je ne voulais pas me prendre un appartement, j’avais envie d’espace et surtout d’un petit jardin privé. Du coup, j’avais fini de ranger mes cartons, ma maison était meublée, et ma vie reprenais son court. J’ai pu aussi acheter mon bâtiment pour créer mon propre bar. J’ai encore pas mal de boulot mais mes prêt sont tous OK, j’ai plus qu’à rénové l’intérieur et y mettre les meubles et autre commande à l’intérieur. Je pense que d’ici cinq à six mois je pourrais enfin ouvrir mes portes. Je vais tout faire pour me faire connaître, et surtout réussir dans mon projet. Je ne perds pas espoir du moins. Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, j’avais pris ma journée, j’avais besoin de me vider l’esprit. Les papiers c’est bien, mais parfois, il faut cesser de se prendre la tête et faire une grande pause sinon je risque de péter un câble je le sais. Je me suis donc forcé à ne pas travailler, de toute façon, je ne gagne pas grand-chose vu que je n’ai pas de salaire à la fin du mois.

Je m’étais donc promener dans la ville, visitant quelques parcs ou ruelles plutôt jolies. Je connaissais déjà un peu Island Bay étant donné que j’y suis passé il y a quelque temps maintenant pour ma lune de miel. Cependant, je ne sais pas si c’est une bonne idée de repenser à ça. Certes, je suis venue dans cette ville pour retrouver mon ex-femme mais j’ignore encore comment la retrouver et surtout, comment ça va se passer cette retrouvaille. En bien ? En mal ? J’en ai aucune idée.. Notre histoire s’étant déjà mal finie, je m’attendais un peu à tout et encore plus au pire. Je soupirais à cette pensée avant d’entrer dans une librairie. J’avais envie de lire un peu, de découvrir de nouvelle histoire. Je lis certes, très peu et je mets du temps à terminer mon livre mais quand je lis, je le lis en entier. Je refermais donc la porte de cette librairie en entendant le son de la cloche qui prévenez mon entré. « Bonjour… » Disais-je poliment avant de me diriger vers le rayon des livres « trillers ». Je penchais un peu le visage sur le côté pour lire les titres afin de trouver ma perle rare alors que j’avançais lentement avant de bousculer une personne. C’était peu de chose, je n’avais pas mis énormément de force mais je sais que j’ai quand même fais un peu décaler la personne en question sur le côté. Je me redressais alors, confus par mon geste. « désolé. » Disais-je en grimaçant un peu alors que je posais enfin mon regard sur la personne bousculé. En reconnaissant Lyra, je restais bloqué à la fixé sans un mot. Disons que je ne m’attendais pas à la croiser aussi facilement et surtout, je ne voulais pas des retrouvailles pareille. J’aurais aimé faire les choses bien. « bah Merde… » Ricanais-je un peu alors que je passais ma main dans mes cheveux que j’ébouriffais. « je me sens complétement con là. Faut que je pense à toi pour que tu apparaisse dans les minutes à suivre faut croire.. »

☆☆☆ Beerus

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Joan, Joan Rodriguez

En ce moment mes journées sont de plus en plus longue. Deux personnes qui travaillaient pour moi sont en arrêt et une qui quitte la boite c'est pas simple tout ça. Certes c'est la vie mais tout les papiers que j'ai à faire, toutes les recherches que j'ai à faire aussi ça me fatigue en plus du boulot qui est plus intensif mais aussi Craig, mon fils qui est malade. Tout n'arrange rien, mais je me dis que c'est une mauvaise passade. J'ai réussi a trouver une personne qui peut m'aider mais c'est tout, rien de bien fantastique. Pour Craig, mon frère s'en occupe qui alterne avec ma meilleure et ça me soulage qu'ils soient là pour m'aider. Mais ça n'arrange pas le fait que je suis assez perdu dans mes papiers et mes recherches pour trouver deux autres personnes pour les remplacés, je le sens bien qu'eux aussi vont partir. Je sais que c'est des jeunes et qu'ils ont besoin de faire leur vie mais bizarre ils sont tout les trois en moins, ceux qui s'entendent le mieux, ceux qui était plus efficace à ma boutique comme au coffee shop. Alors ce matin je me suis lever en ayant pas réellement envie d'aller au boulot mais je n'ai pas du tout le choix, j'en suis obliger. Filant sous ma douche, comme d'habitude, je me coiffe, me maquille puis j'enfile un jean, un tee-shirt assez large et mes talons puis c'est partie pour le travaille. Je passe déjà quelques heures dans mon bureau pour finir toutes cette paperasse qui, ne m'aide pas non plus, plus je descends à la librairie là ou il manque le plus de monde. J'ai réussi a me faire un nom assez rapidement car je suis très bien placer, a un endroit ou tout le monde peut voir ma boutique mais aussi je pense que depuis que j'ai le coffee shop ça ma propulser au maximum. Je remets en place mon tee-shirt, ainsi que mes cheveux que j'ai couper il y a quelques jours et qui m'arrive aux épaules maintenant. Je suis cacher dans mes rayons à ranger mes livres. J'ai toujours été mordu de livre, même quand on était ensemble je dévorais les livres que je pouvais avoir dans les mains. Je me souviens que tu étais assez surpris au début, c'est normal, avoir un bouquin de plus de 300 pages qui ne me faisait même pas trois semaines. Je lis depuis que je suis enfant alors c'est pour ça que je m'en sors plutôt pas mal en réalité. Puis je ne sais pas si c'est moi qui t'a donner un peut plus goût à lire, mais je sais que quand tu en avais un en main tu faisais tout pour le finir, c'est pour ça que tu n'en prenais pas des aussi gros que moi. Un peut perdu dans mes pensées, je n'entends même pas retentir la sonnerie de la porte, j'entends bien des voix « bonjour. » la politesse d'un homme mais je ne fais pas attention a ton accent ni même au timbre de ta voix qui au contraire devrais me faire tilte. Mais bien trop préoccuper a ranger mes bouquins mais surtout me rappeler nos soirées a lire et à s'emmerder alors qu'un d'entre nous était concentré sur son bouquin. Ma collègue te répond chaleureusement, puis retourne a ses occupations. Comme moi, ce rayons trillers est peut-être très grand mais je suis un peu au ralentis comme mon cerveau. Ce parfum me fait légèrement froncer les sourcils. Ca fait tellement longtemps que je ne l'ai pas sentie que, non ça ne peut pas être possible que ça soit toi. Je secoue doucement ma tête blonde et continue de ranger mes livres. Quand je pose mon dernier livre, je sens une masse d'homme me bousculer, pas violemment ni avec force mais vue ma petite taille je le sens rapidement. « désolé. » Je me retourne au même moment que toi, prête a dire quelque chose, mais je suis choquée, surprise surtout. Toi, ici. Comment ? Pourquoi ? Je n'avais pas eu de doute possible, c'était bien ton parfum. Tu es tout aussi bloquer que moi mais tu prends la parole avant moi. « bah Merde… » Je me pince doucement mes lèvres peintes de rouge, comme toujours. Puis a ton ricanement, un léger sourire se fait sur mes lèvres. « C'est le mot à dire oui. » Je ne sais pas si je dois te regarder dans les yeux ou non, sourire ou pas, m'énerver ou pas. La dernier fois que je t'es vue, c'était au divorce vue la violente dispute qu'on à eu, on ne se parlait pas, on se gueulaient dessus. « je me sens complètement con là. Faut que je pense à toi pour que tu apparaisse dans les minutes à suivre faut croire.. » Flatter ? Peut-être, je souris doucement et remets un peu ma mèche de cheveux puis je plisse doucement mes sourcils, penser à moi ? D'accord donc tu n'es pas là par « hasard ». « Surtout que tu es dans ma boutique en réalité. Je pense que tu n'as pas remarquer le nom de celle-ci, tu dois même pas te rappeler mon nom de jeune fille. » je dis en faisant une petite grimace, haussant un peut des sourcils en détournant le regard. C'est vrai que « Foster » c'est pas latino, mais ça se retient rapidement. Mais je commence bien, je n'y vais pas de main morte des les quelques seconds qu'on se revoit.

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Retrouver Lyra dans un moment pareille, je ne m’y attendais pas spécialement. Pourquoi maintenant ? Pourquoi n’aurais-je pas eu le temps devant moi pour me préparer ? Le destin est parfois malsain je trouve. Après, cela ne me dérange pas spécialement mais j’aurais préféré que ça se passe mieux qu’une petite bousculade. Mon regard se posait sur la demoiselle, je la détaillais du regard dans un petit sourire. Elle était toujours aussi belle, j’avais eu beaucoup de chance de l’avoir comme femme même si je ne l’ai pas épousé pour sa beauté extérieure mais plutôt intérieure. Je ne suis pas du tout superficiel de toute façon. Quoi qu’il en soit, je me sentais complétement bête devant elle, je ne savais pas où me plaçais, je ne savais pas si je devais partir en courant ou alors faire comme si de rien n’était, comme si le passé n’existait plus et aller de l’avant. Je ne pense pas que j’y arriverais, ça s’est terminé tellement mal entre nous que je ne peux pas. Cependant, nous ne sommes plus marié alors peut-être que la tension ne sera plus là… Je pense, au fil du temps on a dû passer à autre chose. C’est ce que j’espère… « C'est le mot à dire oui. » Je mordillais l’intérieur de ma joue en écoutant le son de sa voix. Une voix qui m’avait manqué et que j’avais oubliée avec toutes ces années. C’est malheureusement ce qu’on oublie en premier quand le temps passe, même si on fait tout pour la garder en tête, au final notre imagination en imagine une autre. Du coup, la réentendre me faisait un bien fou. « Si je m’attendais à ça.. » ajoutais-je alors encore un peu perdu et surpris de cette retrouvaille. « Surtout que tu es dans ma boutique en réalité. Je pense que tu n'as pas remarqué le nom de celle-ci, tu dois même pas te rappeler mon nom de jeune fille. » Je haussais lentement les épaules à ses mots. Non, je n’avais pas regardé le nom de la librairie, j’avais simplement vu des livres exposés à la vitrine ce qui m’a fait tout de suite pensé à une librairie. Après je ne suis pas du genre à lire les noms des boutiques, cela ne m’intéresse pas spécialement pour être honnête. Cependant, de là à avoir oublier son nom, non, ce n’était pas vrai. Comment puis-je l’avoir oublier ? Elle est une partie de ma vie, je ne suis pas un poisson rouge quand même, pas à ce point. Je fronçais les sourcils en secouant le visage un peu exaspéré. « Arrête, comme si j’avais oublier ton nom. Je sais bien que c’est Foster. Je ne suis pas aussi con… » Je croisais un peu les bras contre mon buste en la regardant dans les yeux. « nom de jeune fille… » Répétais-je curieusement, j’avais peur qu’elle disait ça car elle porterait un autre nom. « Tu es de nouveau mariée ? » J’espérais que non, je ne voulais pas qu’un autre homme prenne la place que j’avais eu autrefois. Je sais que c’est hypocrite de ma part, surtout qu’elle est libre de faire ce qu’elle veut mais quand même. « Tu as une belle boutique en tout cas… » je voulais penser à autre chose alors j’en profitais pour changer de sujet.

☆☆☆ Beerus

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Joan, Joan Rodriguez

Je n'avais pas oublier grand chose de toi, si, ton parfum même si tu étais le seul à le porté c'était peut-être pour cette raison que je l'ai oublier. Ne plus le sentir depuis quatre ans maintenant, ça me fait assez bizarre d'avoir a nouveau ce parfum dans les narines. Parfum qui me rappelle quand tu sortais de la salle de bain et qu'elle en était imprégner avant que j'y passe, quand je savais que tu étais rentré avant moi car toute les pièces était imprégner de ce parfum, que j'ai toujours aimer. C'est vrai qu'une bousculade n'aurait pas été plus banale mais, la banalité à rapidement disparu quand j'ai vue que c'était toi, une de mes employés ou un habituer ça aurait bien plus banale mais toi. « Si je m’attendais à ça.. » je hausse doucement des épaules quand tu me dis ça, puis je t'explique que tu es dans ma boutique et que je pense que tu as complètement oublier mon nom de jeune fille. « Arrête, comme si j’avais oublier ton nom. Je sais bien que c’est Foster. Je ne suis pas aussi con… » Je te fais un signe de la tête pour te féliciter. « En effet tu n'as pas oublier. » je dis en venant resserré, le dernier livre que j'ai dans les mains, contre mon être et l'entouré de mes deux mains, vilaine habitude. « nom de jeune fille… » mais quand tu répètes que c'est mon nom de jeune fille je lève doucement les yeux prête à répondre mais tu es plus rapidement que moi. « Tu es de nouveau mariée ? » je secoue doucement la tête de gauche à droite en soupirant doucement. « N'importe quoi, comme si au bout de quatre ans avec toi j'allais me mariée à nouveau. Je suis peut-être pas la meilleure des femmes, ou plutôt ex-femme, mais je ne suis pas du genre a tiré un trait comme ça sur mon passé quand même ! » Un peu blesser par ta question, mais tu avais le droit de la poser, alors je te réponds avec franchisse et honnêteté. Puis après tout même si je m'étais remise avec une autre personne, ça tu le sera au moment venu. Même si c'était difficile, au début, d'accepter qu'un autre homme m'approche, me parle ou même me drague. C'était très dure oui. « Tu as une belle boutique en tout cas… » Je commence prendre direction dans mes rayons malgré tout, voulant poser ce livre que j'ai en main. « Merci, j'ai mis un an et demi pour la monté, et un an pour le coffee shop juste à coter qui est relier. » je marche doucement sachant que tu me suis, puis je m'arrête ou le livre doit être. Je me retourne vers ta personne. « Et toi ? Tu es ici comme ça ? Ou parce que tu savais que je vivais ici ? » je te dis en te regardant dans les yeux. Sauf que mon téléphone que j'ai sur moi nous coupe, ma collègue en caisse me demande de venir. Je la vois me faire signe d'où on ait mais aussi on était assez proche mais elle ne voulait pas crier pour m'appeler. « Excuse moi. » je passe a t'es coter en te frôlant sans faire exprès se qui me provoque un frison. Je m'approche du comptoir jusqu'à se que je vois un ami venir, grand, brun tatouer. Tu pouvais malgré tout entendre quelque peu se qu'on dit. Il me fait une accolade « Ha ! Lyra t'es là, je te cherchais. » je souris doucement en le regardant. « Ton frère ma appeler pour me demander si tu voulais que je garde Craig ? » Je me pince doucement les lèvres, j'espérais qu'il ne dise pas « ton fils », sinon je morte et là tu allais me prendre la tête. « S'il te plait Austin ! Tu sais où se trouve l'autre jeu de clef ? » il hoche la tête et me fait une nouvelle accolade avant qu'il parte. Je m'apprête a revenir vers toi mais tu t'étais approcher de ton propre choix, pour écouter ? Je ne sais pas du tout.

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« En effet tu n'as pas oublier. » Je levais les yeux au plafond à ses paroles. Comme si j’étais du genre à oublier ce genre de chose, c’était un peu blessant mais après tout, je ne pouvais pas lui en vouloir non plus. Si j’aurais mieux regarder, je me serais posé la question en entrant ici et j’ignore même si j’y serais entré en ce jour. Quoi qu’il en soit, je lâchais un petit soupir alors que je cessais de regarder les livres qui pourraient m’intéressé pour me concentrer sur elle. Je la trouvais mignonne à tenir son livre ainsi, on dirait que c’était une chose précieuse qu’elle tenait en main et je ne douterais pas qu’elle puisse penser ça de ses livres. Je sais qu’elle adore la lecture, bien plus que moi. Je me souviens encore de nos soirées où on ne faisait pas grand-chose de particulier, où nous étions poser, elle dévorant un livre, et moi essayant de finir mon chapitre. Je crois que c’est grâce à elle que j’ai m’y la main à la patte, sinon je doute vraiment que j’aurais ouvert un livre si je ne l’aurais pas rencontré. « Tu en doute ? Sérieusement ? » Disais-je en plissant un peu le front. Je ne voudrais pas me prendre la tête avec elle dans sa boutique mais après, on a le sang chaud elle et moi, et on est du genre à dire ce qu’on pense alors bon, je doute qu’on se retienne pour ce dire les choses. « N'importe quoi, comme si au bout de quatre ans avec toi j'allais me mariée à nouveau. Je suis peut-être pas la meilleure des femmes, ou plutôt ex-femme, mais je ne suis pas du genre a tiré un trait comme ça sur mon passé quand même ! » J’esquissais un tout petit sourire à ses paroles. Dans le fond, ça me faisais plaisir qu’elle n’oublie pas notre histoire. Qu’elle ne souhaite pas passer à autre chose tout de suite. Je sais que certains serait capable de le faire. Moi, je ne l’ai pas fais non plus, je me suis concentré sur mon travail et surtout, sur mon projet pour essayer de ne pas trop me mettre dans le mal. Jusqu’ici, ça avait bien fonctionné, ou c’est ce que je me suis fait croire. C’est fort possible ça… « Je demandais simplement, ça aurait pu… Mais, je suis plutôt content que tu n’es pas oublier notre passé. Puis, même si tu crois ne pas être parfaite, tu as énormément de qualités, et tu as été une bonne épouse malgré tout. » Je détournais mon regard pour regarder les structures et les rayons de sa boutique tout en l’écoutant parler. J’aimais vraiment entendre le son de sa voix, ça me faisait pensé à nos moments passés ensemble à parler de tout et de rien. A nos fous rire aussi… Qu’est-ce que j’aimerais l’entendre rire de nouveau, ça me ferait vibré de l’intérieur. Dans tous les cas, elle est comme moi, elle a fait son propre commerce et pour ça, j’en suis très fier. De toute façon, je n’ai jamais douté de ses capacités, je sais qu’elle peut faire tout ce qu’elle voudrait. La détermination est une belle qualité parfois. « Merci, j'ai mis un an et demi pour la monté, et un an pour le coffee shop juste à coter qui est relier. » Je hochais la tête en réfléchissant à l’endroit où nous étions pour voir si j’avais remarqué ce Coffee, et en effet, je l’avais aperçu avant d’entrer dans la librairie. « Et toi ? Tu es ici comme ça ? Ou parce que tu savais que je vivais ici ? » Je mordillais ma lèvre quelques secondes en la regardant de nouveau. Je ne savais pas si je devais lui dire que ma venue dans cette ville était pour elle, je pense que ça la fera fuir alors je préfère prendre l’autre carte en main pour le moment. « J’ai décidé de faire mon propre bar. J’ai m’y un peu plus d’un an à finalisé mon projet et maintenant que j’ai mon bâtiment pour le créer, j’ai plus qu’à tout mettre en place. Cette ville me plaisait bien alors, je me suis dis pourquoi pas… » C’était en partie vraie, mais je n’allais pas lui dire la vraie raison de ma venue, du moins, pas maintenant, c’était bien trop tôt, d’autant plus que la voir aujourd’hui n’était pas prévu non plus. « Excuse moi. » Je faisais un petit signe de tête en signe de compréhension, bien que le fait qu’elle m’est frôlé me rende tout étrange. Ma peau s’était mise à frémir et mes narines étaient enivrait par son doux parfum. Je restais quelque seconde à savourer cette étrange sensation bien que mes jambes, eux, la suivait sans même m’en rendre compte. « Ton frère ma appeler pour me demander si tu voulais que je garde Craig ? » J’écoutais l’homme en question, ayant posé mon regard sur lui. Je l’avais même détaillé du regard me demandant si c’était son petit copain. Un brin de jalousie commencé à faire surface en moi mais j’essayais de ne pas le montrer, après tout, elle reste libre. Je restais sagement non loin, les mains enfouis dans mes poches. Craig ? C’est qui lui aussi ? J’ai vécu assez longtemps avec elle pour savoir qu’il n’y avait pas de Craig dans sa famille. A moins que j’ai loupé un épisode… Je l’attendais avant de me reculer d’un pas quand elle voulait repartir en ma direction. Je la regardais en arquant l’un de mes sourcils. « Craig ? » demandais-je curieusement. Le fait d’entendre « garder Craig » me faisait penser à des choses que je ne voulais pas croire. En fait, ça m’inquiétais plus qu’autre chose.. Et si finalement, elle avait refait sa vie avec un autre ? Avec ce type aussi ? « Désolé, je ne voulais pas écouter mais il parlait assez fort et même au bout de la boutique j’aurais entendu… Et je suis bien curieux de savoir qui est ce Craig. »

☆☆☆ Beerus

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Joan, Joan Rodriguez

« Tu en doute ? Sérieusement ? » ouais quand même je ne peux qu'en douter en réalité. De toute façon je peux m'attendre à tout avec toi, ce n'est pas parce qu'on a passer quatre ans de notre vie ensemble que tu vas te souvenir de tout. Mais bon, je ne réponds pas à ta question ça ne serre a rien, juste a mettre la moise là ou il n'y a pas besoin surtout qu'en ce moment c'est assez bizarre, bizarre du genre ou tu es devant moi et nous sommes entrain de se parler. Bon peut-être pas aussi bien que je ne le pense mais bon, on se parler et on est assez franc l'un envers l'autre. Quand tu m'as demander si je me suis re-mariée, je n'ai pas hésiter à être franche avec toi, franche dans le sens ou non, que je ne suis pas une vraie connasse comme beaucoup et que je ne tourne pas la page comme ça en un claquement de doigts. Alors oui j'aurais pu mais non, tu étais bien trop présent dans ma vie que je ne pouvais pas t'oublier comme ça de toute façon, c'était impossible pour moi, vue le fils qu'on a. Comment je vais te dire ça a toi aussi … ? que tu es père. Je secoue discrètement la tête et je t'écoute. « Je demandais simplement, ça aurait pu… Mais, je suis plutôt content que tu n’es pas oublier notre passé. Puis, même si tu crois ne pas être parfaite, tu as énormément de qualités, et tu as été une bonne épouse malgré tout. » Je viens doucement hausser des épaules à ta réponse, bien sûr que non je ne suis pas parfaite mais surtout je sais très bien que je ne le serais jamais pour qui que ce soit. « M'ouais si tu me le dis, mais je ne le crois pas spécialement en réalité mais bon. » Je change rapidement de conversation parce que parler de notre mariage n'est pas une très bonne idée, vue comment il sait terminée. Je t'explique rapidement combien de temps j'ai ma librairie mais aussi mon coffee shop. Puis je te demande alors se que tu fais ici, pensant que tu venais pour moi ou non. « J’ai décidé de faire mon propre bar. J’ai m’y un peu plus d’un an à finalisé mon projet et maintenant que j’ai mon bâtiment pour le créer, j’ai plus qu’à tout mettre en place. Cette ville me plaisait bien alors, je me suis dis pourquoi pas… » je hoche doucement la tête, je vois que non, ou tu caches bien ton jeu en faite. « Ah d'accord, t'en mieux alors ! » puis on est rapidement déranger par un de mes amis, je vais rapidement le voir, je savais qu'il a une voix portante mais à se point que tu entendes ça m'étonnes. Je reviens rapidement vers toi. « Craig ? » je soupire doucement en levant doucement les yeux au ciel. Tu m'as écouter. Ce que ça peut m'agacer ça. « Désolé, je ne voulais pas écouter mais il parlait assez fort et même au bout de la boutique j’aurais entendu… Et je suis bien curieux de savoir qui est ce Craig. » Je me stoppe devant en haussant doucement un sourcil. « Dit plus que tu t'es approché pour écouter oui. Et Craig c'est mon chien, il a besoin d'être sortie et n'aime pas être seul alors c'est un ami qui va s'occuper de lui après que Gabriel soit partie vue qu'il doit bosser lui aussi. » je te dis assez rapidement pour me défendre. Je ne me vois pas te : c'est mon fils, non notre fils. L'enfant que je portais quand j'ai quitter la ville et que tu ne connais pas. Il à quatre ans maintenant. Non je ne me vois pas te dire ça tu le découvrira le moment venu en réalité.

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Je ne disais rien sur le fait qu’elle ne répondait pas à ma question. Mais est-ce qu’elle pense que j’aurais pu oublier comment elle s’appelait ? Du moins son nom. Elle a été ma femme, et elle a donc vécue plus de temps avec moi que n’importe qui sur cette planète sauf bien évidemment mes parents, mais c’est autre chose ça. Avec elle, j’avais accepté de lui offrir ma vie entière, prêt à tout peut-être mais on a des visions différentes, des envies différentes sûrement et peut-être qu’on se prend un peu trop souvent la tête pour tout et pour rien. Dans le fond, je me demande ce qu’on serait devenu si nous étions toujours mariés. Est-ce qu’on aurait eu des enfants, est-ce qu’on aurait cessé de se prendre la tête… Je ne sais pas. Dans un couple de toute façon, on se prend souvent la tête pour des trucs débiles mais on finit par passer outre, moi j’avais envie de renouveau, et pourquoi pas avec elle dans ma vie. Si je suis ici, c’est en partie parce que j’ai envie de la retrouver. De pouvoir repasser du temps en sa compagnie, et de se retrouver en de bonne condition alors je préférais ne rien dire par rapport au fait qu’elle ne me répondait pas, après tout, c’est une femme libre de faire ce qu’elle veut. « M'ouais si tu me le dis, mais je ne le crois pas spécialement en réalité mais bon. » Je levais les yeux au ciel, alors que je passais mes doigts sur ma petite barbe que je laissais pousser depuis quelques temps maintenant. Je me doutais bien qu’elle ne me croirait pas, mais je le pensais sincèrement. C’est une femme merveilleuse à mes yeux, et son caractère est ce qu’il me plait le plus. Au moins, on est sûr de connaitre la vérité avec elle et j’aime bien. Les autres femmes qui restent dans leur coin, à ne rien faire, ce n’est pas pour moi ou alors celle qui disent oui à tout. Celle-ci sont les plus chiantes car ça ne bougent pas. La vie reste platonique… Alors, oui, Lyra reste la femme idéale et je regrette souvent de ne plus être son mari. « Crois ton ex-mari qui n’est pas du genre à te mentir. Tu le sais bien, quand j’ai un truc à dire, je l dis et là, j’te le dis. » Disais-je en laissant mon regard sur son visage puis dans ses yeux. Lorsque je lui parlais de mon projet, j’espérais qu’elle y adhérait même si dans le fond, elle n’a rien à voir dans mon futur…Fin techniquement. « Ah d'accord, t'en mieux alors ! » Je souriais alors en haussant les épaules. « Tu penses que je peux réussir ? Du moins, à me faire connaitre ? » demandais-je car au fond, j’ai envie de savoir ce qu’elle pense et connaitre son avis me plairait beaucoup. « Puis tu sais… Fin, au fond aussi.. J’espérais te croiser un jour ou l’autre. Certes, je ne m’attendais pas à te voir maintenant, mais si ça n’aurait pas été le cas, j’aurais espéré te recroiser. » Disais-je finalement, autant être honnête après tout. Dit plus que tu t'es approché pour écouter oui. Et Craig c'est mon chien, il a besoin d'être sortie et n'aime pas être seul alors c'est un ami qui va s'occuper de lui après que Gabriel soit partie vue qu'il doit bosser lui aussi. » Je secouais alors la tête de gauche à droite en soufflant longuement. Toujours des reproches, c’est agaçant. Parfois, j’avais envie de gueuler mais je me retenais, ça ne servait à rien après tout, mais même si je reste calme, je ne compte pas garder ça pour moi non plus. « Oh c’est bon.. Je n’ai pas voulu écouter, ce n’est pas comme si on était à des dizaines de kilomètres, tu étais à côté, certes, je me suis avancé mais ce n’était pas dans le but de savoir ce que tu disais. J’m’en fiche et après j’étais curieux car je n’avais jamais entendu parler de Craig et ça paraissait étrange comme discussion. On aurait dit que tu parlais d’autre chose qu’un animal… Mais si c’est ton chien alors… Je ne t’embêterais plus avec ça. »

☆☆☆ Beerus

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