contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Mer 28 Juin - 23:03
If only you knew how much i love you
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Il a l'air bien étonné, ça m'amuse quelque peu de voir sa mine déconfite. "Je… hmm... Attends là." Alors que je suis en train de lui exposer mon idée, il me coupe. Visiblement il semble réellement chamboulé par ma proposition. Je sais bien qu'elle est peu orthodoxe, pas de celles qu'on entend tout les jours mais j'aurais préféré une autre réaction de sa part. Son étonnement ne fait en effet qu'augmenter mon stress alors que je me justifie une fois de plus, essayant de lui exposer au mieux la situation. Je lui dis qu'on se connait bien, je lui dis qu'on est tout deux de bons amis et que forcément ça se passera bien. Et je le pense, je suis sûre que Julian fera toujours passer mon plaisir avant le sien, comme il le fait dans la vie de tous les jours. "Je ne suis pas contre l’idée. En soi, je pense que ça pourrait être bien. Mais t’es certaine que… que tu ne le regretteras pas ?" Je soupire, soulagée. J'ai cru pendant un moment qu'il allait me remballer et ça, ça ne m'aurait fait que peu plaisir. Plus gênant que ça, on aurait pas pu faire. Mais heureusement pour moi, il n'est pas contre l'idée comme il dit. Et ça, je le prends comme un oui. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que j'ai toujours réussie à amadouer Julian quand il se montre hésitant, je suis assez persuasive, surtout avec lui. "Pourquoi je le regretterais ?" Je hausse un sourcil. "Je ne pourrais jamais regretter quand il s'agit de toi." Me voilà donc en train de commencer à le travailler au corps si on peut dire, lui offrant un grand sourire. Je sais qu'il adore me voir sourire. "Je te l'ai dit, si je suis avec toi, je suis sûre que ce sera bien." Je laisse mes doigts s'aventurer sur sa cuisse, jouant de mon indexe et mon majeur pour faire comme deux jambes qui avancent. Et plus ils avancent plus ils s'approchent d'une zone bien précise de l'anatomie de mon ami. Je ne vais néanmoins pas jusque là, je m'arrête à une distance bien correcte de son entre-jambe, mon unique but étant de le titiller dans l'espoir que ça le motive à passer le cap. "J'ai envie de le faire, vraiment..." Et c'est bien là tout le problème, je n'ai plus envie d'attendre. C'est ce pourquoi je me dit que Julian serait la solution parfaite à mon soucis. Imaginons que ça se passe mal, il n'y aurait pas de problème puisque nous ne sommes qu'amis. Et si ça se passe bien, nous aurions tout deux eu ce que nous voulions. Quoi rêver de mieux ? "Je sais que tu en as envie aussi allez..." Je lui offre un petit sourire en coin alors que j'essaie du mieux que je peux de le faire céder. Je m'approche alors de lui, prenant appui sur les accoudoir du transat avec mes bras pour me stabiliser et lui susurre à l'oreille. "Fais moi l'amour Julian." Je ne sais pas d'où cette assurance me vient mais ce que je sais, c'est que je ne recule plus devant rien pour le convaincre.
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Jeu 29 Juin - 15:30
if only you knew how much i love you tulian
Nous sommes littéralement passés d’un extrême à l’autre en quelques instants. Tantôt nous parlions uniquement de nos expériences passées et maintenant, nous voilà en train de nous questionner à savoir s’il serait une bonne idée que nous passions le cap fatidique de la perte de notre virginité ensemble. Je n’aurais jamais cru qu’en cinq ans d’amitié et d’amour non réciproque, ce moment viendrait. J’ai certes très envie de partager une telle expérience avec Tess, mais j’ignore si ce que cela signifie est la même chose pour elle que pour moi. Je crains que ce ne soit que l’envie d’en finir avec sa virginité qui la motive à vouloir une telle chose, tandis que je rêve tout simplement de partager un moment d’amour sincère avec celle que j’aime depuis si longtemps. Je ne peux ainsi m’empêcher de lui demander si elle le regretterait, ne voulant pas que nous nous jetions dans la gueule du loup si c’est pour ensuite être pris de violents remords et une impossibilité de retourner en arrière. "Pourquoi je le regretterais ? Je ne pourrais jamais regretter quand il s'agit de toi." Je ne réponds pas verbalement, me contentant de planter mon regard dans le sien. Je parviens difficilement à comprendre ce qu’elle est en train de me dire tant ça frôle l’inimaginable. "Je te l'ai dit, si je suis avec toi, je suis sûre que ce sera bien." Et là, je sens son index et son majeur parcourir ma cuisse. Mes yeux louchent vers sa main que j’observe quelques instants pendant qu’elle fait son ascension. Bordel, pourquoi je me sens soudainement aussi désemparé? "J'ai envie de le faire, vraiment..." Mes yeux retrouvent la prunelle des siens. Ils brillent au soleil qui la rend tout simplement magnifique. Sa peau d’ébène ne faille de me charmer et ce sourire… que dire de ce sourire qui me fait toujours perdre la tête? "Je sais que tu en as envie aussi allez..." Tu parles! Je suis littéralement en train d’en perdre toute ma contenance. Je me retiens pour ne pas haleter tant je sens l’excitation monter en moi. Et ça ne prend que les quelques mots qu’elle vient enfin me murmurer à l’oreille pour me faire bander. J’en suis profondément embarrassé, mais je ne peux contrôler l’effet dévastateur qu’elle a sur mon corps. Je ne me combats plus et je capture ses lèvres avec avidité. Notre baiser, plutôt bizarre et insécure au début, devient de plus en plus intense. Après quelques minutes, je lui demande: “On va dans ta chambre ou on offre un spectacle à tes voisins?” J’éclate de rire, ce qui me détend énormément, puis prend sa main et la guide jusqu’à sa chambre.
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Dim 2 Juil - 15:39
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Voilà que je l'aguiche, que j'essaie de lui donner envie. Jamais je n'aurais envisagé vivre ma première fois avec Julian. Il est mon meilleur ami après tout, un membre de ma famille de coeur. C'est étrange que de se dire qu'il va se passer quelque chose entre nous. Mais, nous le faisons en toute amitié, parce que nous nous faisons confiance alors, au final, je pense qu'il n'y a pas plus logique. Je sais qu'il me respectera et que je garderai un bon souvenir de ma première fois. Enfin de compte ce n'est pas plus mal, c'est même mieux. Il faut bien l'avouer, les première fois n'ont rien de romantique de toute manière, on ne sait pas comment faire ci ou ça, on a mal alors bon... C'est la bonne solution, j'en suis convaincue. Sauf que ce n'est pas si facile qu'il n'y parait. En effet, quand Julian capture mes lèvres, notre baiser est assez étrange. Bien que je l'ai voulu, je me sens hésitante, j'ai du mal à vraiment prendre le rythme. Je ne sais pas quoi faire de mes mains, nos nez se percutent à plusieurs reprises, c'est assez gênant en somme. Ainsi, il nous faut un certains temps avant que notre baiser soit réellement agréable. Mais, ce qui compte, c'est qu'il finit par l'être. Je dirais même qu'il est intense, nos langues s'entre-mêlent avec ardeur alors que je pose mes mains sur son torse. Lorsque nous nous séparons, le souffle court, je passe mon pouce sur ses lèvres pour enlever la petite marque de rouge à lèvre que je lui ai faite. "Water-proof mais pas baiser-proff." Je ris légèrement. "On va dans ta chambre ou on offre un spectacle à tes voisins ?" Je jette instinctivement un oeil à la maison de mes voisins. Manquerait qu'ils nous voient et qu'ils en parlent pas à mon père. Quelle horreur ! "On joue déjà bien assez avec le feu." Et je souris alors qu'il me prend par la main pour m'emmener jusqu'à ma chambre. Peu à peu, l'appréhension commence à monter, surtout lorsque nous nous laissons tomber sur le lit. "J'ai de quoi nous protéger dans ma table de nuit..." Je lui souris pour cacher ma gêne et, tendant le bras, attrape l'un des préservatifs qu'on nous avait donné en cours d'éducation sexuel. Je pose l'objet en question à côté de nous alors que je scelle nos lèvres de nouveau. Cette fois-ci, nous arrivons plus facilement à accorder nos violons et progressivement, l'envie monte. Je me décide alors à retirer la serviette avec laquelle il s'est recouvert un peu plus tôt. Plus facile à dire qu'à faire, celle-ci se bloque sous l'effet de son poids et je me retrouve à me contorsionner pour le faire bouger et ainsi libérer le bout de tissus. Je soupire une fois la chose faite, envoyant valdinguer la serviette à travers la pièce. Et je ris, je ris parce que la situation a quelque chose de ridicule qui me détend énormément. "J'espère que ton maillot ne sera pas si dur à enlever." Un sourire mutin aux lèvres, je mords la lèvre alors que j'empoigne le short de bain en question, faisant mine de le retirer. "On le fait alors ? C'est vrai ?" Je veux une dernière confirmation, je veux qu'il me dise qu'il en a autant envie que moi.
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Lun 3 Juil - 22:46
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Je ne peux pas croire ce qui est en train de se produire et surtout, ce qui va se produire. Moi et ma meilleure amie, faire l’amour pour la première fois ensemble? J’ai l’impression que je suis en train de rêver. Je dois avouer être littéralement pétrifié, mais je ne pourrais rêver d’une meilleure fois. J’aime Tess de tout mon coeur et je suis persuadé être la meilleure personne pour partager une telle expérience. Non pas que je veuille me vanter, bien au contraire, mais l’amour que je porte pour elle m’amènera toujours à vouloir prendre soin d’elle. Je lui accorde une juste valeur, un respect inconditionnel et une place grandiose dans mon coeur aimant. Jamais ô grand jamais n’oserais-je lui faire du mal, autant physiquement qu’émotionnellement. Elle compte trop pour moi et la seule chose que je souhaite, c’est son bonheur. Conséquemment, une partie de moi est heureuse d’être celui qui la fasse vivre ce moment unique, car je sais qu’il n’y a aucun homme qui puisse autant la désirer et l’aimer autant que moi. Le baiser que nous échangeons est emprunt d’une passion dans laquelle je me perds et qui pourrait faire de moi son prisonnier sans que je ne m’y oppose. Après que nos lèvres se soient séparées, elle essuie le rouge-à-lèvre qui s'est imprimé sur ma bouche. Je rigole légèrement et l’invite à passer à sa chambre, question que nous n’offrons pas un petit spectacle à ses voisins. J’aimerais ne pas me faire tuer par son père qui ferait de moi de la bouillie pour chien en quelques secondes. Nous montons à l’étage, fermons la porte derrière nous et nous laissons tomber sur son lit. Mon coeur bat à une vitesse folle, mais j’aime le sentir s’agiter dans ma cage thoracique. "J'ai de quoi nous protéger dans ma table de nuit…" Je roule les yeux en rigolant. “Prête pour tout, toi!”, lui dis-je lorsqu’elle extirpe un préservatif de sa table de chevet. Nos lèvres se retrouvent dans une étreinte plus endiablée et surtout, plus harmonisée. Elle se décide à me débarrasser de ma serviette, non sans devoir se débattre ce qui me fait franchement rire. "J'espère que ton maillot ne sera pas si dur à enlever.” Je fais une moue hésitante, me demandant si je vais galérer à lui retirer son soutien-gorge. Les choses se concrétisent davantage lorsqu’elle simule retirer son bas avant de me demander si nous nous lançons. J’hoche la tête positivement avant de l’embrasser doucement. Mes mains se posent dans son dos, comme si je prétends être un homme confiant et entreprenant. Je frappe toutefois un mur lorsque je me retrouve à me battre contre le vêtement qui refuse de coopérer. Je décolle mes lèvres des siennes et me penche un peu pour tenter de voir ce que je fais, mais Tess vient vite à ma rescousse. Rouge comme une tomate, je laisse échapper un rire nerveux de mes lèvres. Lorsque sa poitrine est enfin libérée, je ne peux m’empêcher de fixer. J’ai l’air d’un gamin qui voit une paire de seins pour la première fois, quoi que ce soit en réalité vrai, même si je dois avouer en avoir déjà vu dans des pornos. Sans grande surprise, la concentration de sang dans l’une des sections particulières de mon anatomie augmente, laissant paraître une bosse bien proéminente sous mon maillot de bain. Pourquoi suis-je embarrassé alors que, d’une façon ou d’une autre, il est impératif que je bande pour que nous passions à l’acte? Je l’ignore, mais je suis quand même mal à l’aise.
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Dim 16 Juil - 19:07
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"Prête pour tout, toi!" Je lui frappe doucement le bras. "On a eu ça en cours crétin !" Mais je finis néanmoins par rire et ça fait du bien, j'ai l'impression que ça calme paradoxalement les battements de mon coeur. Le tract s'est emparé de moi et il m'est si inhabituel que je ne sais pas bien comment le gérer. En effet, je suis d'un naturel confiant dans tout ce que je fais, il n'y a que l'hôpital que je crains vraiment alors c'est plutôt étrange pour moi de ressentir cela aujourd'hui. J'en viens à me demander, l'espace de quelques secondes, si je ne suis pas en train de faire une grosse connerie. Cela-dit, je ne veux pas reculer et en venir à regretter par la suite, je me suis lancée, je continue : c'est comme ça que j'ai toujours fonctionné. "J'espère que ton maillot ne sera pas si dur à enlever." Et je ris encore une fois de façon presque compulsive. Ses lèvres viennent de nouveau se poser les miennes et je suis surprise de trouver ça de plus en plus agréable, j'avais l'habitude de penser que ça devait être totalement sans intérêt si la personne en face de vous ne vous attire pas réellement et bien j'avais tord. Je crois que je comprends mieux pourquoi je vois tant de personnes s'acoquiner en soirée alors qu'ils disent après coup se ficher bien pas mal de la personne. Les baisers restent agréables s'ils sont bien faits et je suppose que je le reste aussi... J'ai hâte de le découvrir en tout cas. Il passe alors ses mains dans mon dos et tentent de m'enlever mon maillot. Une fois de plus les choses ne sont pas si faciles mais je l'aide et la situation est bien vite arrangée, ce qui m'arrache néanmoins une nouvelle fois un petit rire. Sa gêne me donne étrangement plus confiance en moi, sans doute parce que je réalise qu'on est tout deux dans le même état. Son regard ne quitte pas ma poitrine, je peux même dire avec certitude qu'il louche dessus. Ça a pour effet de me faire sourire jusqu'aux oreilles et une fois de plus, ma confiance en moi en est boostée, j'ai l'impression de redevenir peu à peu la Tess impétueuse que j'ai l'habitude d'être. "Tu aimes ce que tu vois ?" Et je ris de bon coeur, détourant les yeux par réflexe si bien que mon regard se braque sur une partie de son anatomie que je n'ai pas l'habitude de regarder dira-t-on. "Visiblement oui." Mon sourire est rieur, je m'empêche de rire car je ne veux pas le vexer mais dieu sait que je trouve la situation hilarante. Jamais je n'aurais pensé mettre mon meilleur ami dans cet état à ma décharge, nous n'avons pas ce genre de relation. Je reprends néanmoins mon sérieux, me mordant légèrement la lèvre quand je me risque à dire : "Tu dois être à l'endroit là-dedans, il faudrait te l'enlever..." Malgré ce côté gênant voir drôle, j'aimerais garder un minium de sensualité, histoire d'être dans l'ambiance. C'est ainsi que je me retrouve à lui enlever son maillot, ce qui très bizarrement se trouve facile, bien plus facile que le reste. Il est alors littéralement à nu devant moi et comme une bécasse, j'ai encore envie de rire. Je me mords l'intérieur de la joue pour me retenir si bien que j'en viens à saigner quelque peu, pour le glamour on repassera. Je me racle la gorge avant de me décider à tendre la main vers son entre-jambe... Ce n'est pourtant pas la première fois que je fais mais je reste néanmoins fébrile, alors que ce sourire gêné ne me quitte pas, c'est sans doute parce qu'il s'agit de Julian. Ma main arrive enfin à destination et, prenant une grande inspiration, je commence à le caresser doucement.
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Mer 19 Juil - 15:26
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#) Lun 31 Juil - 15:38
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Sujet: Re: if only you knew how much i love you (tulian) (#)