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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 (r e i d) - tout sera anormal

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MessageSujet: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:41



reid bane-levy
en ne regrettant rien, on se fera du mal

nom ○ Bane-Levy. Contrairement à la plus part des gens, tu as deux noms de famille - quelque chose qui se fait de plus en plus à ce qu’on dit. La vérité, c’est que tu as deux mères et que, forcément, quand tu es né, elles n’étaient pas mariées. Ça n’est d’ailleurs jamais arrivé. Elles ne voyaient pas pourquoi tu devrais avoir un nom plutôt que l’autre. Elles ont donc décidé que tu porterais les deux, tout comme ta sœur de quelques années ton aînée. prénoms ○ Reid. Juste Reid. Tu n’as pas de deuxième prénom et tu n’en as jamais souffert. Pourquoi Reid ? Tu ne sais pas trop. Certaines de tes connaissances ont toute une ribambelle d’explications quant au choix de leur prénom, mais pas toi. C’était joli. Tes mères aimaient bien. Eh bam, ça a fait des Chocapic. âge ○ Ça fait maintenant vingt-sept ans que tu ères sur cette Terre et jusque-là, tout va bien. lieu de naissance ○ Tu es né un cinq mars, pas très loin d'ici à Wellington. statut civil ○ Tu es célibataire depuis un peu plus d’un an maintenant. Ta sœur dit que tu es trop difficile, ce à quoi tu réponds toujours que tu préfères être seul que mal accompagné. Le fait est qu’en réalité, tu es un grand romantique. Tu cherches la personne qui fera battre ton cœur comme jamais, qui te coupera le souffle à chaque fois qu’elle sera proche de toi. Cette personne, tu ne sais pas si elle existe, mais une chose est sûre : tu ne comptes pas t’arrêter avant de l’avoir trouvée. Si ce n’est pas déjà fait… orientation sexuelle ○ Pansexuel, tu n’as aucune préférence quant aux différents sexes. Tout ce qui compte pour toi, c’est ce que les gens sont à l’intérieur. métier/études ○ Tu as toujours aimé aider les autres. Déjà gamin, tu te sauvais en douce de la garderie de l’hôpital pour aller à l’étage pédiatrique et faire le zouave devant les autres enfants. Tu voulais juste les faire rire et jouer avec eux. Si bien qu’avec le temps, c’est devenu une habitude. Quand tu manquais à l’appel, la nourrice savait toujours où te trouver. Ce n’est donc pas surprenant qu’aujourd’hui, tu sois bénévole au service pédiatrique de l’hôpital pour faire le clown et lire aux enfants malades. Seulement, ta passion pour les autres ne s’arrête pas là. Tu es également éducateur spécialisé dans un foyer pour jeunes. Fugueurs de parents abusifs, orphelins qui ne trouvent plus de maisons d’accueil après de trop nombreuses rébellions, adolescents à la rue… Tu t’occupes d’eux comme tu peux. Tu les aides à trouver leur voix, à découvrir leurs passions. Tu leur montres que leur vie n’est pas forcément pourrie d’avance juste parce qu’elle a mal commencé. Principalement, tu leur parles, tu les écoutes. Plus qu’un métier, pour toi, c’est une véritable vocation. groupe ○ workin' day and night. avatar choisi ○ dylan o'brien  (r e i d) - tout sera anormal 2913072852.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 01. Tu as été habitué très jeune à supporter le regard et la curiosité des autres. Aujourd’hui, ça n’a plus aucune importance pour toi. Tu es ce que tu es et ce que les gens peuvent penser, tu t’en moques. Cependant, quand tu étais plus jeune, c’était différent. Tu ne comprenais pas pourquoi avoir deux mamans suscitait autant d’intérêt. C’était difficile parfois, surtout quand arrivait la fête des pères et que tu te retrouvais à devoir confectionner un cadeau à l’école sans avoir personne à qui l’offrir. Les autres enfants te disaient souvent de l’offrir à l’une de tes mamans, mais ça n’avait aucun sens pour toi. Aucun. 02. Mais le caractère atypique de ta famille ne s’arrête pas là. Tu as une sœur, Evie, de quelques années ton aînée et c’est vraiment ta sœur. Ta demi-sœur pour être exact. Vous avez le même « père » … ou plutôt le même donneur. L’une de tes mères a porté ta sœur et l’autre toi. Utiliser le même donneur était leur façon à elles de lier votre famille. Pourtant, si vous avez des gênes en commun, ce que les gens voient quand ils vous rencontrent c’est votre principale différence. Tu es blanc, elle ne l’est pas. Il ne leur viendrait jamais à l’idée de se dire que vous êtes vraiment frère et sœur. Si au début, ça te faisait de la peine, aujourd’hui, tu t’en moques. C’est ta sœur, tu l’aimes, au diable les gens. 03. Tu as grandi à l’hôpital de Wellington, non pas en tant que patient, mais en tant qu’enfant de deux médecins. Quand tu n’étais à l’école ou chez un copain, tu étais à la garderie de l’hôpital … ou plutôt au service pédiatrique. Tu finissais toujours par te soustraire à l’attention de la nourrice pour te faufiler à l’étage supérieur. En grandissant, tu n’as pas perdu cette habitude. Adolescent, tu continuais de rendre visite aux enfants pour les divertir un peu. Aujourd’hui encore, tu te débrouilles pour venir les voir le plus souvent possible. 04. Tu es quelqu’un de très occupé en général. Il est rare que tu prennes le temps de te poser chez toi à rien faire. La plus part du temps, quand tu n’es pas à l’hôpital ou dans le foyer pour jeunes où tu travailles, tu es en vadrouille. Tu adores marcher. Partout. N’importe où. Il n’est pas rare de te voir avec ton Border Collie dans les rues d’Island Bay ou de Wellington. 05. Tes plus grandes qualités sont ta patience et ta franchise. Tu es vrai en toutes circonstances. Tu n’as aucun scrupule à exprimer ce que tu penses, cependant tu as tout de même l’art de dire les choses. Tu ne fais pas partie de ces personnes qui balancent leurs vérités sans se soucier des conséquences. Tu sais comment les mots peuvent toucher les gens et, en général, tu les manies avec précaution. 06. Ton plus gros défaut est ta manie de n’éprouver aucun regret. Tu assumes tout ce que tu fais. Tu es bien plus réfléchi que tu en as l’air, tu as tendance à calculer tout ce que tu fais. De cette façon, tu ne regrettes rien. Ou en tout cas, tu ne te l’avoueras jamais si ça venait à arriver. Ce qui fait que si tu tournes le dos à quelqu’un, tu continueras ta route sans un regard en arrière. Si on ne vient pas te chercher, eh bien ça n’ira pas plus loin. Tu n’es pas rancunier cependant. Si une ancienne connaissance dans le besoin reprend contact avec toi, tu seras le premier à lui venir en aide. 07. Il y a huit mois, tu as eu un violent accident de moto. Tu étais derrière ton meilleur ami et ce dernier a fait un malaise. Il s’en est tiré sans une égratignure. Ce n’a pas été ton cas. Quelques côtes cassées et le poignet en vrac. Le point positif dans tout ça, c’est que tu n’as pas souffert. Tu as passé trois mois et demi dans le coma et quand tu t’es réveillé, tes fractures étaient remises. Oui, parce que tu es le genre de gars à voir du positif dans tout. Ce qui a été plus difficile par contre, c’est la rééducation de tes muscles et les vilains maux de têtes qui te prenaient sans crier gare. 08. Dans cette épreuve, tu as découvert ton amour pour la littérature. Tu étais plus ou moins cloué au lit les premières semaines qui ont suivi ton réveil et tu avais besoin de t’occuper alors tu as lu. Jusque-là, tu n’avais jamais vraiment pris le temps de te poser avec un bouquin. Tu vivais toujours à deux cents à l’heure. Depuis, il n’est pas rare de te voir profiter d’une pause-café ou des transports en commun pour te plonger dans bon roman. 09. Quand tu étais ado, tu étais très proche de ton grand-père. Il travaillait dans le bâtiment et même à la retraite, personne ne l’arrêtait. Il a décidé de remettre à neuf sa maison et tu l’as aidé comme tu as pu. Tu l’idéalisais et tu adorais passer du temps avec lui. Tu voulais le rendre fier alors tu suivais ses instructions à la lettre. Quand il est décédé, il ne t’a pas laissé un sou - il n’en avait pas beaucoup à donner non plus - par contre, il t’a légué sa maison. Aujourd’hui, tu y vis en colocation avec plusieurs de tes amis d’enfance. 10. Tu as construit un petit potager dans ton jardin. Tu y cultives des carottes, des tomates, de la salade, des courgettes, des poireaux et surtout des fraises. Ça te rend fier de pouvoir manger des produits qui viennent de ton propre jardin. Bon après, on ne va pas se mentir, ce n’est pas toi qui les cuisines. Non, toi, tu es le genre de gars à faire cramer la baraque en faisant cuire des pâtes. 11. Un brin stalker, tu es capable de trouver des informations sur quelqu’un sans trop de difficulté. Seulement, tu n’utilises ce ‘talent’ - si vraiment on peut se permettre de l'appeler ainsi - que pour les gens qui t’intéressent vraiment. Creppy ? Totalement, mais tu ne t’en rends pas forcément compte par toi-même. Espérons juste qu’il ne prendra pas peur en te voyant débarquer chez lui à l'improviste…


les indiscrétions sur le joueur

pseudo/prénom ○ edoxe ou monsieur tortue pour certains. (r e i d) - tout sera anormal 4006438364 mais appelez-moi marine.  (r e i d) - tout sera anormal 1242777542 âge ○ ma vingt-deuxième bougie se rapproche rapidement à dos de chameau.  (r e i d) - tout sera anormal 1113161770  pays/région ○ la france, paris... malheureusement.  (r e i d) - tout sera anormal 315452285  présence ○ c'est assez variable mais je devrais passer au moins quatre/cinq jours par semaine.  (r e i d) - tout sera anormal 1113161770  comment as-tu connu island bay ○ alors là, c'est une très bonne question. (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 j'en ai pas la moindre idée.  (r e i d) - tout sera anormal 1986789816 je reviens au bercail un an après (plus ou moins, on va pas chipoter) et c'est grâce à monsieur ananas aka cade ((r e i d) - tout sera anormal 4142961569), newt ((r e i d) - tout sera anormal 2573357129) & rhéa ((r e i d) - tout sera anormal 1113161770).  (r e i d) - tout sera anormal 4271622108 pour les petits curieux, il fut un temps où j'étais ellie baker & simon murphy.  (r e i d) - tout sera anormal 1049845934 scénario/pré-lien/inventé ○ c'est un personnage inventé ainsi que la propriété de @Cade Braxton... accessoirement.  👼  (r e i d) - tout sera anormal 843031823  raison de ton inscription ○ je me suis fait corrompre et cade est le mal?  (r e i d) - tout sera anormal 792901804  dernier mot d'amour ○  (r e i d) - tout sera anormal 2483518822  
 
Code:
<pris>○ dylan o'brien</pris> reid bane-levy




Dernière édition par Reid Bane-Levy le Mar 27 Juin - 11:01, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:42



l'histoire de ma vie
i don't feel no remorse, and you can't see past my blinders

La pluie qui s’écrasait contre le toit était le seul bruit que tu percevais dans toute la maison. Assis sur le rebord de la fenêtre, tu observais les passants avec leurs parapluies de toutes les couleurs défiler dans la rue. En temps normal, c’était un spectacle qui ne te laissait pas indifférent. Tu aimais observer les autres, analyser leurs comportements, anticiper leurs actions, faire des hypothèses - souvent fausses - sur leurs vies respectives. Pourtant, ce jour-là, ton regard se perdait rapidement dans le vide. La sonnette retentit soudain, te sortant de tes pensées, tu te levas et descendis les escaliers deux par deux jusqu’à la porte d’entrée. Tu l’ouvris et découvris Newton, trempé de la tête aux pieds. Son tee-shirt lui collait au corps sous sa veste en cuir qui lui donnait un petit style rock’n’roll. Tu aurais presque pu apercevoir ses abdos - enfin il aurait fallu qu’il en ait pour ça. Un léger sourire se forma sur tes lèvres alors que tu l’observais de haut en bas. Tu t’écartas pour le laisser entrer puis refermas la porte derrière lui. « Alors ? » lui demandas-tu sans y aller par quatre chemins. L’espace d’un instant, son regard rencontra le tien jusqu’à finalement glisser jusqu’au sol. Tu le reconnaissais bien là. D’un autre côté, tu savais qu’en le mettant au pied du mur comme tu l’avais fait, tu le mettais dans une situation extrêmement inconfortable. Seulement, c’était nécessaire. Ou tout du moins, ça l’était pour toi. Il n’était pas question d’amour entre vous. Juste d’un profond attachement. Vous étiez bien l’un avec l’autre, autant sur le plan sexuel que relationnel. Pourtant, vous n’étiez pas en couple. Pas aux yeux de tous en tout cas et c’était quelque chose qui te peinait. Ce n’était pas un problème de sexualité, il ne semblait avoir aucun problème à se montrer avec un mec. Ça ne bloquait qu’à partir du moment où c’était ‘son’ mec. Cependant, toi, tu avais besoin de cette reconnaissance. Tu voulais pouvoir t’afficher avec lui dans la rue sans devoir faire attention à tes gestes. C’était pour cette raison que tu lui avais donné un choix à faire : soit vous passiez à l’étape supérieure, soit c’était fini. Tu n’avais pas l’impression que ça soit totalement déraisonnable. Vous vous fréquentiez quand même depuis plusieurs mois déjà. Alors tu lui avais lancé un ultimatum. Tu l’avais fait alors que tu en connaissais déjà la réponse. « Tu l’sais bien… » Tu laissas échapper un léger soupir avant de t’approcher de lui. Tu attrapas sa nuque et vins plaquer tes lèvres sur les siennes. Il sembla surpris, pourtant il prolongea ton baiser. Lorsque tu lâchas finalement ses lèvres, tu lui glissas à l’oreille : « c’est dommage », avant de finalement reprendre tes distances. Tu le regardas hausser les épaules. Tu savais que même s’il ne le montrait pas, ça lui faisait autant de peine qu’à toi que les choses se terminent comme ça. Pourtant, les choses étaient ainsi. Il était ainsi.


Les mains dans les poches, tu remontas tranquillement le couloir qui séparait les urgences du reste de l’hôpital. Tu n’étais vraiment pas pressé. Tu venais voir Jodie, l’une de tes mères, et tu la savais en pleine opération. Vous deviez déjeuner ensemble, seulement ses patients passaient avant tout et vous aviez dû décaler votre rendez-vous. Ça t’était égal. D’abord parce que tu étais habitué à ce genre d’imprévus et ensuite, car tu n’avais rien de mieux à faire de toute façon. Tu avais donc décidé d’aller faire un tour au service pédiatrique. Ici, tout le monde te connaissait, tu ne pouvais pas faire trois pas sans saluer ou sourire à quelqu’un. Tu t’attardais parfois pour discuter un peu si jamais la personne n’était pas trop pressée, mais ça n’arrivait que rarement. En arrivant dans l’espace détente réservé aux enfants, tu esquissas un petit sourire en toquant contre la vitre. Quelques têtes se levèrent et tu entras dans la salle. « Reid ! » Une petite fille coiffée de deux couettes brunes, son doudou dans les bras, se rua vers toi. Tu l’attrapas pour la prendre dans tes bras sous le regard amusé de sa maman. « Bah alors Mindy, tu devais pas rentrer chez toi ce matin ? » lui demandas-tu en affichant une mine faussement inquiète. Tu savais très bien qu’elle avait encore quelques examens à faire avant de pouvoir enfin rentrer chez elle. « Mais non ! C’est cet après-midi que je rentre à ma maison ! » Tu mimas un grand ‘ah’ avec ta bouche et elle laissa échapper un petit rire qui en aurait fait craquer plus d’un. Tu la reposas sur le sol avant de t’accroupir à sa hauteur. « Alors dis-moi, qu’est-ce que tu as prévu pour votre grand retour à toi et Pinpin ? » Tu montras le petit lapin gris du doigt et elle le serra encore plus contre sa poitrine. Un immense sourire s’afficha sur ses lèvres. « Papa, il va faire des hamburgers et on va manger devant la télé ! Et il a dit que c’est moi qui choisira le DVD ! » Sa petite faute de conjugaison te fit sourire. Tu jetas un regard à sa maman qui semblait aux anges avant de reporter ton attention sur Mindy. « C’est un super programme ça, dis-moi ! » Tu ébouriffas brièvement le haut de sa tête et elle fronça le nez. « Je dois y aller princesse, tu passeras le bonjour à Cassie pour moi ? » Mindy acquiesça d’un signe de tête avant de demander : « c’est ton amoureuse Cassie ? ». Un sourire en coin se forma sur tes lèvres. « Peut-être bien, » lui répondis-tu, amusé par sa question. En réalité, Cassie n’était pas ta copine. C’était la meilleure amie de ta sœur qui se trouvait être en pleine formation pour devenir infirmière, et si tu l’appréciais beaucoup, tu savais que si tu l’approchais, tu te faisais démonter. Et mine de rien, ta sœur pouvait se montrer sacrément flippante parfois ! « J’en étais sûre ! » Tu regardas Mindy jubiler sur place avec un regard bienveillant. Tu espérais sincèrement que tu ne recroiserais jamais cette petite entre ces murs. Elle en avait assez bavé comme ça.


« T’as tout entendu ? » Tu acquiesças d’un hochement de tête, les poings serrés et la mâchoire contractée. Ce pourri, tu allais le buter. Tu n’avais aucune idée de comment tu allais t’y prendre. Tu n’avais rien du mec baraqué et celui-là faisait bien deux têtes de plus que toi, mais ça t’était égal. Toucher à Cassie, c’était comme toucher à ta sœur. Ce n’était pas quelque chose que tu pouvais laisser passer comme ça. Tu attrapas ta veste et enfilas rapidement des baskets qui trainaient. « Reid, qu’est-ce que tu fais ? » Tu levas les yeux au ciel avant de hausser les épaules. « J’vais à la chasse à la pouliche avec ma baguette magique… sérieux, qu’est-ce que tu crois que j’fais ? » Cassie sortit de la chambre d’Evie en reniflant. « Il en vaut pas la peine, » lâcha-t-elle à ton attention. Elle avait surement raison, seulement tu ne pouvais pas juste rester assis sur ton lit à rien faire. Il l’avait frappée, il allait payer… même si ça voulait dire que tu allais te prendre la branlée de ta vie. Tu quittas la maison malgré la désapprobation totale de ta sœur. (…) Accoudé au comptoir, une pinte de bière devant toi, tu soupiras en appliquant précautionneusement le sac d’épinards surgelés contre ton œil. Tu ne t’en étais pas si mal tiré que ça finalement. Et en plus, tu aurais des épinards pour le diner. C’était tout bénef. Bon ouais, okay, tu aurais surement mal aux côtes pendant quelques jours et en voyant ta tête, tes mères te piqueraient surement un câble… Mais ça en valait le coup ! Et puis, tu étais majeur. Si tu voulais te prendre le chou avec des gens, elles n’avaient plus vraiment leur mot à dire. Enfin, ça, tu avais beau te le répéter, même toi, tu n’y croyais pas. « T’avais vraiment pas à faire ça… » Hm ? Tu haussas un sourcil avant de grimacer de douleur. Quel con. Cassie prit place à côté de toi. « Mais merci. » Tu lui adressas un léger sourire avant de te concentrer à nouveau sur ta bière. « Il t’a appelé ? » Tu n’avais pas besoin de la regarder pour savoir qu’elle était en train de hocher la tête. « Il s’est excusé. » Bien. C’était ce que tu comptais accomplir. Tu portas ta bière à ta bouche et en avalas plusieurs gorgées. Celle-là, tu l'avais bien méritée.


Tu rentras à la maison après plusieurs heures passées dehors à marcher. Tu avais besoin de penser à tout ça. Jodie et Zella se séparaient. Tu ne l’avais pas vu venir celle-là. Tu laissas échapper un long soupir alors que tu remontais discrètement les escaliers. Tu poussas la porte de ta chambre et découvris Evie, endormie sur ton lit. Elle devait surement t’attendre. Tu t’assis à côté d’elle et posas délicatement ta main sur son bras. « Hey. » Elle ouvrit doucement les yeux et esquissa un léger sourire en t’apercevant. Tu t’installas correctement sur ton lit et la pris dans tes bras. « Ça va ? » lui demandas-tu. Elle hausa les épaules pour simple réponse. Tu l’embrassas sur le front et contemplas le plafond de ta chambre. Les choses allaient définitivement changer par ici. « Tu crois vraiment qu’elles s’aiment plus ? » Tu ne savais pas quoi répondre à cette question. Tu avais du mal à imaginer tes mères ne plus vouloir l’une de l’autre. Elles étaient toujours si fusionnelles. « J’ai vraiment rien vu… » Tu soupiras à nouveau avant de répondre : « moi non plus ». Vous ne compreniez vraiment pas comment les choses pouvaient se terminer entre elles, juste comme ça, du jour au lendemain. Ta vision de l’amour en prenait forcément un coup. Tu avais toujours vu tes parents comme le ship ultime par excellence. Et là… là, tu étais totalement largué. Seulement, tu voulais qu’elles soient heureuses et si elles ne l’étaient plus ensemble, eh bien… tant pis ? C’était très difficile à accepter, mais tu n’avais pas vraiment le choix de toute façon. « T'as mangé ? » te demanda Evie en levant la tête vers toi. C’est vrai que tu avais quitté la maison avant le diner et que tu n’avais pas pensé à t’arrêter quelque part pour manger. Tu secouas la tête. « Je crois qu’il reste du melon et du fromage dans l'frigo. » Tu grimaças quand elle mentionna le fromage. Tu n’avais jamais aimé ça en dehors de celui qu’on met sur les pizzas. « J’ai pas très faim, » répondis-tu simplement, ce qui n’était pas faux. Vous restiez comme ça, tous les deux, sans rien dire, jusqu’à vous endormir.


Les dernières semaines avaient été difficiles. Entre ta rééducation et la frustration de ne pas pouvoir accélérer tout le processus, tu avais l’impression de devenir chèvre. Tu n’avais qu’une seule envie : quitter cette fichue chambre d’hôpital et rentrer chez toi. Oh ça oui, tu rêvais de pouvoir t’écrouler sur ton lit … et faire la fête à ton chien aussi. Trois mois. Tu avais passé trois mois dans le coma et tu avais l’impression d’avoir manqué beaucoup trop de choses. Au cours des dernières semaines, tu avais tenté de te mettre à jour sur les dossiers des jeunes que tu suivais au foyer ainsi que sur la situation des enfants dont tu t’occupais bénévolement au service pédiatrique, cependant le fait de ne pas avoir été présent pour eux pendant ces quelques mois te faisait culpabiliser. Tu avais beau savoir que tu n’étais pas le seul à t’occuper de ces gamins, tu avais comme l’impression de les avoir laissé tomber. Ils te faisaient confiance et toi, tu n’étais pas là. Ce n’était bien évidement pas de ta faute et tu en avais conscience, pourtant c’était plus fort que toi. T’étais comme ça. C’était ton métier et s’il y avait bien quelque chose que tu tenais de tes mères, c’était ça : le boulot avant tout. Tu inspiras profondément avant de t’extirper de la voiture de ta sœur. Tu avais l’impression de finalement revivre en dehors de l’hôpital et ça te faisait du bien. À une semaine près, tu nous aurais surement fait une crise de nerfs. Qui aurait cru que tu te lacerais de cet endroit ? Pour y avoir grandi, surement pas toi. Comme quoi… Evie récupéra tes béquilles dans le coffre et les tendit. Tu soupiras mais les pris sans broncher. Tu marchais de mieux en mieux mais tu te fatiguais toujours un peu vite, ce qui avait le don de t’exaspérer. Tu te tournas vers ta sœur et esquissas un sourire. « Je devrais m’en sortir à partir de là, » lui annonças-tu, le regard plus brillant que jamais. Elle acquiesça d’un simple geste avant de venir te prendre dans ses bras. « Essaye quand même de pas trop l’amocher, okay ? » Tu ne pus retenir un gloussement. Un sourire au coin des lèvres, tu mis fin à votre étreinte. Tu lui fis un geste de la main avant de lui tourner le dos et d’avancer maladroitement jusqu’à la porte d’entrée. Arrivé dans le hall, tu abandonnas tes béquilles et entrepris de grimper les escaliers en t’appuyant de tout ton poids sur la rambarde. Tu fis un tour par ta chambre pour attraper ton traversin puis tu traversas le couloir. Tu poussas la porte sans prendre la peine de toquer et tu entras. Il dormait. Tu t’en doutais. Tu hurlas à la mort avant de faire un effort immense pour ‘courir’ et te jeter sur son lit, armé de ton traversin. À vrai dire, on aurait davantage dit une grenouille handicapée en train de croasser après une bonne angine qu’un être humain, mais bon… on en peut pas tout avoir. Il sursauta et un sourire satisfait apparu sur tes lèvres. « PUTAIN REID MAIS C’EST QUOI TON PROBLEME ?! » Tu restas silencieux jusqu’à ce qu’il percute, il baissa les yeux, visiblement gêné. « Mon problème, c’est toi, » lâchas-tu sans le ménager. Tu pris une position assise face à lui, ton traversin calé confortablement sous tes jambes. « Je suis désolé… » murmura-t-il sans même te regarder alors que tu le fixais avec intensité. « Est-ce que tu sais pourquoi tu t’excuses même ? » Il releva soudainement la tête comme si tu venais de l’insulter. « Tu t’fous de moi ? J’t’ai foutu dans l’coma… » Ton regard planté dans le sien, tu pouvais lire en lui comme dans un livre ouvert. Tu secouas la tête. « C’était pas d’ta faute. T’as fait un malaise, tu pouvais pas le prévoir… c’est con, mais ça arrive. C’est après que t’as pas assuré. » Devant son regard fuyant, tu capitulas et te laissas tomber sur le dos, tes jambes sur les siennes. « Sérieusement, ça fait deux semaines et demi que j’suis sorti du coma, t’attendais quoi, l’déluge ? » Tu l’entendis soupirer et tu en fis de même. « Tu pensais quoi ? Que j’allais t’en vouloir d’être tombé dans les vapes ? On a plus douze ans… » Il se redressa sur ses coudes et t’observa quelques instants. Ton regard croisa le sien et il tenta un sourire maladroit. Tu repris une position assise et le dévisageas. « J’pensais que si j’étais pas capable de m’pardonner, tu l’pourrais pas non plus… » Tu attrapas son bras et le tiras vers toi. Cette proximité n’était pas habituelle pour vous. Vous n’aviez jamais été le genre de meilleurs amis à vous prendre dans les bras et ce n’est pas là que ça allait changer, mais tu avais l’impression que dans ce moment précis, c’était nécessaire. Tu ne lui en voulais pas et il n’avait pas simplement besoin de te l’entendre dire. Il avait besoin que tu le lui montres. Alors tu le pris dans tes bras. Ça dura l’espace de quelques secondes seulement, jusqu’à ce qu’il finisse par te pousser et que tu lui écrases ton traversin sur le crâne. « La prochaine fois qu’il m’arrive un truc, t’as intérêt à être à mon chevet et aux p’tits, sinon j’te jure que je débarquerai pas avec un coussin mais avec une béquille ! » Tu affichas un regard faussement sérieux et il explosa de rire. Il pouvait rire autant qu’il voulait, tu pensais quand même à moitié tes mots. Mais tu connaissais ton ami et il n’était pas du genre à foutre les pieds dans le même plat deux fois de suite. Surtout qu’il avait beau te sourire, tu savais qu’il s’en voudrait surement toujours pour ce qui t’étais arrivé.


PRESENT DAY + Tout sourire, tu sors de ta dernière visite chez le kiné. Cette fois-ci, c’est bel et bien terminé. Tu es enfin délivré de tes séances de kinésithérapie. Comme neuf que tu es. Vous avez fini de bonne heure et tu as encore une bonne de vingtaine de minutes devant toi avant que Jensen ne vienne te chercher. Il a eu beaucoup de mal à te laisser remonter avec lui en moto, mais tu as su te montrer très persuasif… ou très chiant, au choix. Le fait est qu’il a cédé et les choses sont finalement rentrées dans l’ordre. Plus ou moins, mais ça s’en rapproche. Au bout de trois mois, il était temps. M’enfin bon, tu le comprends aussi. Tu jettes un coup d’œil à ta montre et décides de prendre le chemin de la cafeteria pour te prendre un café. Tu fais sagement la queue quand ce regard croise le tien. Il te regarde sans te voir, tu peux le voir à l’expression sur son visage. Il est vide. Là sans être là. Tu ne saurais trop dire pourquoi, mais ça t’intrigue. Tu l’observes récupérer sa commande et s’éloigner tel un zombie. Tu devines facilement qu’il est là pour un proche. Quand ton tour arrive, tu es tellement perdu dans tes pensées que la nana derrière toi est obligée de te pousser légèrement pour que tu reviennes à toi. Tu balbuties quelques excuses avant de te commander un café crème. Tu payes, récupères ton gobelet en plastique et tu décides de partir à la recherche de l’inconnu au regard absent. Tu connais l’hôpital comme ta poche et dans ce genre de situations - creepy à souhait, j’en conviens - c’est un sacré avantage. Tu déambules dans les couloirs tel un crocodile dans son réseau d’égouts - oui tu imagines qu’un crocodile connait les souterrains comme sa poche, sauf qu’il en a pas le pauvre … des poches … Tu jettes un bref coup d’œil dans les chambres quand les rideaux te le permettent et finalement, tu le retrouves. Il est assis sur un banc dans le couloir. Il fixe le jeune homme allongé dans la chambre qui lui fait face. Cette chambre. Ton ancienne chambre. Ça te perturbe légèrement, mais tu t'en remets rapidement. C'est terminé maintenant, te répètes-tu. Tu restes légèrement en retrait, ne cherchant pas à te faire remarquer. Tu l’observes de loin. Tu te demandes qui est cet homme dans ce lit d’hôpital. Tu te demandes quelle est leur histoire à ces deux-là. « Reid ? T’en as pas encore marre de ce service ? » Tu fais un bond sur place et Cassie pouffe de rire. « J’ai eu un élan nostalgique, que veux-tu… J’sais pas si t’as entendu, j’suis libre ! » Tu écartes grand tes bras comme un oiseau près à s’envoler. Cassie acquiesce : « oui, j’ai entendu. Félicitations ! » Tu lui adresses un sourire, puis, distrait, tu te retournes vers l’inconnu de tout à l’heure. Elle suit ton regard avec curiosité. « Tu connais son histoire ? » demandes-tu sans aucune gêne. Elle hausse négligemment les épaules. « C’est son frère dans l’coma. J’étais pas de garde la nuit où ils sont arrivés, mais j’crois bien qu’ils ont eu un accident de voiture… sauf que l’un a été plus chanceux que l’autre. » Hum. Tu comprends mieux l’expression qu’il arbore. Tu devines qu’il était au volant. Tout ça te rappelle des souvenirs et tu te demandes si c’est justement cette familiarité qui t’attire chez cet homme. Tu n’en sais trop rien. L’avenir te le dira. Car oui, tu sais que tu seras amené à le revoir. T’iras même jusqu’à forcer le destin si nécessaire.




Dernière édition par Reid Bane-Levy le Lun 26 Juin - 23:53, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:44

(r e i d) - tout sera anormal Anigif_enhanced-28057-1398800957-9
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:49

TE REVOILAAAAAAAAAAAAA (r e i d) - tout sera anormal 1965479019 (r e i d) - tout sera anormal 1965479019 (r e i d) - tout sera anormal 1965479019
J'ai voulu t'accueillir avec un gif tout beau mais Cha te l'a balancé sur Skype et en plus de ça l'a mis dans sa signature (r e i d) - tout sera anormal 4271622108 (r e i d) - tout sera anormal 1298591534

Re-bienvenue dans le coin en tout cas (r e i d) - tout sera anormal 2693342364
Il me tarde de voir votre ship en action (r e i d) - tout sera anormal 1242777542
Bon courage pour ta fiche !


Dernière édition par Sean Sawyers le Mer 21 Juin - 16:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:50

j'me demandais bien quand tu allais débarquer (r e i d) - tout sera anormal 1986789816 (r e i d) - tout sera anormal 3497041440
excellent choix, et oui, mais ça tu le dois déjà le savoir (r e i d) - tout sera anormal 2139827335 j'ai hâte de vous lire tous les deuxn, franchement, ça va être top (r e i d) - tout sera anormal 2102931439 (r e i d) - tout sera anormal 902541242 (r e i d) - tout sera anormal 3901455339
forcément, il nous faudra un lien, de toute façon, t'as pas le choix (la meuf hyper chiante 👼 ) parce que déjà, cade est le meilleur pote de sean (le mari d'avy, bientôt ex.), qu'elle s'entend bien avec cade et aussi abby, l'ex (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 mais aussi et surtout, parce que tu fais du bénévolat au service pédia et qu'avy est chirurgien là bas (r e i d) - tout sera anormal 838751658 (r e i d) - tout sera anormal 838751658 (r e i d) - tout sera anormal 838751658
bref, t'es pas mon scénario, mais je t'ai pondu un roman, t'es privilégié (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 (r e i d) - tout sera anormal 2693342364
bienvenue à toi et courage pour ta fiche (r e i d) - tout sera anormal 843031823
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:55

@Avery Sawyers tu m'as tué (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 genre tu as dit toutes les raisons au lieu de commencer par la principale (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 Il est beau mon mien hein dit (r e i d) - tout sera anormal 3497041440 (r e i d) - tout sera anormal 3497041440 (r e i d) - tout sera anormal 3497041440

@Sean Sawyers Après l'épouse je fais le mari ! (r e i d) - tout sera anormal 1986789816 non mais oh ! je lui passe tout ou presque (r e i d) - tout sera anormal 1986789816 (r e i d) - tout sera anormal 1986789816 et puis je savais pas que tu voulais le mettre là (r e i d) - tout sera anormal 4271622108 si tu m'avais dit aussi ! (r e i d) - tout sera anormal 1295234102 (r e i d) - tout sera anormal 2397939694
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:56

DYLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN (r e i d) - tout sera anormal 445914281 (r e i d) - tout sera anormal 3551187679 Ca c'est du retour (a) Avec un ship de malade (r e i d) - tout sera anormal 3731638184 (r e i d) - tout sera anormal 2033693939 (r e i d) - tout sera anormal 794295163
Et puis je vais vous shipper à mort, moi j'étais à fond Buck sur WLY mais là, je sens que ça va faire la même avec Cade et toi (r e i d) - tout sera anormal 3731638184 (r e i d) - tout sera anormal 188913723
Je viendrai te quémander un lien, c'est obligé (r e i d) - tout sera anormal 843031823
Re-Bienvenue à la maison et hâte de voir ce que tu nous prépares avec ce nouveau personnage (r e i d) - tout sera anormal 2693342364
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 16:57

Je vois que tu fais des heureux en revenant à nouveau sur IB (r e i d) - tout sera anormal 2139827335
Du coup re-bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche avec ce choix d'avatar de fou (r e i d) - tout sera anormal 1965479019 (r e i d) - tout sera anormal 4164965148
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 17:00

bienv'nu (r e i d) - tout sera anormal 1683261404
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 17:02

j'étais trop emballée, c'est pour ça (r e i d) - tout sera anormal 2839392890 (r e i d) - tout sera anormal 2839392890
oui, il est très beau (r e i d) - tout sera anormal 3497041440
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 17:02

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche (r e i d) - tout sera anormal 2693342364
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 17:25

Bienvenue :).
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 17:38

Re-bienvenue parmi nous. Et bonne rédaction. (r e i d) - tout sera anormal 3497041440 (r e i d) - tout sera anormal 843031823
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 18:24

Re bienvenue par ici ! (r e i d) - tout sera anormal 838751658
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MessageSujet: Re: (r e i d) - tout sera anormal (#)   (r e i d) - tout sera anormal EmptyMer 21 Juin - 18:44

Re-bienvenue avec le beau Dylan! (r e i d) - tout sera anormal 843031823
Bon courage pour ta fiche.
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