contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Ven 23 Juin - 19:50
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Le mois de juin en Nouvelle-Zélande rimait souvent avec la pluie et un temps plutôt froid pour un pays où le soleil était principalement roi. Augustus avait donc bien remonter la fermeture de sa veste avant de sortir de chez lui. Étant donner qu'il était en repos, il avait prévu de passer en ville se prendre quelque chose à boire dans un Starbucks du coin. Il était accro à ces boissons chaudes servi dans un gobelet où son prénom était toujours mal orthographier. Les caissiers étaient bien les seuls à entendre son prénom en entier, ça faisait tellement rire Gus de voir comment chaque jour ils pouvaient réinventer l'écriture de son prénom qu'il ne s'en lassait jamais. Après ça, il irait probablement traîner à coté du zoo, histoire de prendre quelques uns de ses collègues à la débauche pour pouvoir aller passer le temps dans un bar ou pourquoi pas même se faire un bon restaurant, ça faisait longtemps. Il n'était pas du genre à faire des plans, à prévoir sa journée point par point donc tout était encore possible jusqu'au moment où il irait dormir.
Marchant dans la rue piétonne de Wellington, Augustus avait mit ses deux mains dans ses poches, le temps n'était vraiment pas sympa aujourd'hui. Tellement, qu'il avait du mal à imaginer que d'en d'autres pays se soit la canicule en ce moment même. Il faisait quoi ici ? Dix à tout casser,enfin bon, c'était comme ça. N'ayant pas de parapluie, il faisait tout pour se retrouver sous la devanture des boutiques jusqu'à se retrouver enfin dans la queue du Starbucks. Il y avait pas mal de monde à l'intérieur du bâtiment mais au moins, il était à l'abri. Devant lui se trouvait une jeune femme, il était persuadé de l'avoir déjà vue quelque part, mais où ? C'était un mystère. Tout en faisant la queue, il la regardait en détournant parfois le regard parce que concrètement fixer quelqu'un, ce n'était pas vraiment quelque chose de polie à faire mais c'était tellement perturbant. La jeune femme devant lui passa sa commande puis il passa la sienne. C'était le genre d'endroit où tout était très rapide puis au moment où il attrapa son gobelet où il y avait de marquer « Augusstuss », du grand art, ça fit un dé-clique dans sa tête et il comprit d'où il connaissait la jeune femme. Pas étonnant qu'il ne s'en souvienne pas puisqu'il ne l'avait jamais rencontré, ou peut-être seulement dans ses rêves ?
Ni une, ni deux, il pressa vers le pas vers la sortie pour peut-être espérer la trouver si elle n'avait pas déjà filer en douce. Il tourna sa tête à droite puis à gauche avant de se mettre à parler tout en marchant.
- Mademoiselle Allen ? Lexie Allen ?
Il avait un grand sourire un peu bai-bête sur les lèvres comme s'il venait de découvrir une mine d'or. En même temps après avoir chercher pendant plusieurs minutes, il était plutôt fier de lui. Pour le reste, à part le travail de Lexie au travers du cinéma et de la télévision, il ne connaissait rien de sa vie privée. Il n'achetait jamais les presses peoples ou ce genre de bêtises alors peut-être qu'il ferait quelques gaffes, rien n'ait jamais prévu d'avance avec Augustus.
Dernière édition par Augustus Fletcher le Sam 8 Juil - 8:35, édité 1 fois
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Lun 26 Juin - 11:59
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La météo ne nous faisait pas de cadeau aujourd’hui, le ciel était gris, parfois parsemé de bleu, mais c’était très rare. La pluie était rafraîchissante, et les cultures en avaient bien besoin, mais pour ma part, mon brushing pouvait sans passer. Je sortais du théâtre en protégeant les quelques feuilles volantes en dessous de mon blaser puis essaya de sortir mon parapluie. En voyant la difficulté de tout protéger, je sacrifiais ma coiffure et le rangea dans mon sac. « Lexie, va falloir courir ! » Je pris mon courage à deux mains puis sortie de l’auvent du grand bâtiment où je travaillais depuis un mois seulement. Faisant de grande enjambée, j’en arrivais presque à éviter les flaques d’eau sur le trottoir. Cependant, je sentais parfaitement le manque de rythme que j’avais quant à mes mains qui ne pouvaient se balancer contre mon corps. Il en devenait difficile de prendre sa respiration et de faire des lignes droites. Un post-it s’échappa d’ailleurs par le dessous de mon vêtement, je marmonnais intérieurement des mots grossiers. Trop tard, le numéro qui y était inscrit était complètement effacée. Quel professionnalisme ! Je repris mon sprint en étant quelque peu dans mes pensées… Comment allais-je faire pour avouer que j’avais malencontreusement perdu cette information ?
Un obstacle me fit arrêter dans ma course. A quelques microsecondes près, je me retrouvais empalée dans ce lampadaire qui avait passé inaperçu. En reprenant mes esprits je me figeai face à l’enseigne de la boutique qui se trouvait devant moi, dans l’angle de la rue. Un Starbucks, implantée à Wellington ? C’était une vraie trouvaille puisque qu’à Londres, la plupart du temps libre que j’avais, je le passais là-bas en bossant mes textes. Et si j’allais y faire un saut ? Ni une, ni deux, je me retrouvais derrière un bon nombre de personnes qui avaient eu la même idée que moi. Au moins, j’étais à l’abri, et peu importe le temps que ça durerait. Malgré la pluie, il ne faisait pas froid, cependant, le fait d’être humide me donnait des frissons. Je posais mes feuilles sur le comptoir, puis m’essora les cheveux quand un serveur se présenta en face de moi pour prendre ma commande, et par la même occasion, mon nom pour l’inscrire sur le gobelet. C’était un risque de le dévoiler. Il suffisait qu’une personne ai quelques doutes sur mon identité, pour être sûr de lui à l’annonce de mon prénom. Je mis au moins dix secondes avant même de lui répondre, posant un froid et des soupirs dans mon dos. Je chuchotais alors mon prénom entre ma commande. Je manquais cruellement d’inspiration pour en trouver un autre en si peu de temps. « Lexie, et je voudrais un Colombia s’il vous plait. ». Le serveur à casquette fronça les sourcils, mais ne décrocha pas un mot. Ouf ! Il m’a juste prise pour une abrutie de service. Au fond de moi, je m’en fichais complètement, mais si je pouvais refaire la scène, elle serait bien différente. Malheureusement, chaque scène ne peut être coupée et réenregistrée dans la vraie vie ! Après quelques minutes d’attentes, qui passèrent relativement vite, je reçu mon doux café au goût noisette puis remercia le serveur. La faute sur mon prénom «Laixy» me faisait doucement rire, et il me semblait d’ailleurs que c’était l’une des raisons pour laquelle ce système avait été mis en place. Décrocher ne serait-ce, qu’un sourire, c’est toujours agréable, non ?
Une fois sortie, la pluie s’était arrêtée mais certainement pas pour longtemps et je devais impérativement me grouiller pour ne pas mouiller le reste de ma paperasse. J’avais d’ailleurs beaucoup de mal à les faire tenir car je venais de me charger un peu plus avec ce café. Soudainement, une voix m’interpella. Mes pieds firent un tour sur eux même, manquant de me faire chuter, mes doigts quant à eux firent en sorte de cacher le nom inscrit sur mon gobelet. « A qui ai-je affaire ? Un journaliste ? Un fanatique ? » Ma voix devenait intense à la limite du sarcasme. Mon regard s’intensifiait et je ne lâchais pas une seule seconde le regard de cet homme. « On ne vous a jamais appris la politesse ? » Je ne m’apercevais pas du ton désagréable que j’employais. Je passais d’ailleurs souvent pour une actrice prétentieuse comme l’était mon ex-mari. Cependant, lui, adorait se faire reconnaître puisque la soif de gloire et l’image qu’il renvoyait était plus importante que sa vie privée. Ce n’était pas mon cas. D’autant plus quand cela manquait sincèrement de respect et de bienveillance. Les bonnes manières ne sont pas inculquées à tous, faut-il croire. Le manque de tact de ce jeune homme était déstabilisant, impossible de savoir si c’était malsain ou maladroit. Cependant, si la distance de sécurité n’était pas respectée, il pouvait s’attendre à être réchauffé par un café encore bouillant !
Emi Burton
Dernière édition par Lexie Allen le Mar 4 Juil - 13:34, édité 1 fois
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Lun 26 Juin - 22:34
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C'était peut-être un truc d'acteur, l’arrogance ? L'impression d'être au dessus de tout le monde avec un sentiment de contrôle sur l'univers. Du moins, c'est ce Gus se mit à imaginer lorsque la jeune femme lui répondit avec un ton plutôt froid. Ce qu'il pouvait comprendre, il n'était probablement pas le seul à l'arrêter dans la rue pour lui dire qu'il aimait le travail qu'elle pouvait faire. Il était un peu déçu, car à la base, il ne venait pas pour l'agresser mais juste pour la complimenter. Quelle femme n'aimait pas ça aujourd'hui ? Il fronça légèrement les yeux en faisant une sorte de petite grimace avant de répondre.
- Quoi ? Un fanatique ? Mais non… Je m'appelle Augustus Fletcher et je…
Mais il n'eut pas vraiment le temps de finir sa phrase que la jeune femme le coupa de nouveau. C'était bien une première pour Gus de donner son prénom et son nom en entier comme quoi, elle ne le laissait pas de marbre. Effectivement, il se sentait un peu déstabiliser lui qui avait toujours le sourire aux lèvres et la conviction que les gens autours de lui n'attendait qu'un signe de sa part pour aller boire un verre.
- Il faudrait peut-être me laisser en placer une pour que je puisse être poli, non ?
Gus garda cette distance entre eux. De un, parce qu'elle agitait son gobelet plein de café en sa direction et que la pluie même à faible densité suffisait à le tremper. Et de petit deux parce qu'il n'était plus vraiment certain de vouloir connaître la personne que pouvait être Lexie Allen. Franchement, il ne se sentait pas la force de débattre avec elle sur le pourquoi du comment il était là face à elle. En plus de ça, il était persuadé qu'elle avait tout un agenda de star à respecter, quelque chose qu'il ne connaîtrait jamais. Partant d'une bonne attention à la base, il se rendit rapidement compte de son erreur. Il haussa doucement les épaules en la regardant dans les yeux. Gus prit la voix la plus douce qu'il pouvait pour dire ces quelques mots.
- Je voulais juste vous dire que j'aimais beaucoup votre travail et que vous êtes à mon propre avis une grande actrice.
Il plissa légèrement les yeux avant d'ajouter.
- Mais vous savez quoi ? Je ne vais pas vous embêtez plus longtemps. Profitez bien de votre café, ils en servent des très bons par ici. Bonne journée mademoiselle Allen.
Ce serait probablement la rencontre avec Lexie Allen la plus courte de l'histoire mais il n'avait pas spécialement envie de se faire descendre plus bas que terre par une actrice. Autant garder une bonne image d'elle et puis une photo ou n'importe quoi d'autre ne l'intéressait pas vraiment alors elle pouvait retourner à ses occupations et Gus se contenterait de boire son propre café en la regardant s'éloigner. D'ailleurs, il porta sa boisson à ses lèvres et si ça ne plaisait pas à madame tant pis. Il n'allait quand même pas lui faire une révérence non plus ?
Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Mar 4 Juil - 13:33
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Je ne m’aimais pas ainsi, tyrannique, désagréable. Oui, je me détestais. En fait, c’était ce côté de moi impulsif qui parlait. Celui qui voulait dire. « Allez-vous faire foutre, je ne suis pas une marionnette, je ne suis rien de tout ça. Non, je suis humaine ! Laissez-moi faire ma vie bordel. » J’avais ce goût amer des fans complètement barjo qui serait prêt à m’arracher la main pour ne serait-ce qu’un autographe. C’est bête à dire, mais j’avais cette impression de ne plus être dans la normalité. Avec une étiquette placarder sur mon front, prônant mon succès et mes films. Je voyais très bien en ce jeune homme qu’il n’y avait aucun jugement, aucune intention malsaine. Mais je me sentais toujours en danger, toujours sur mes gardes, sans garde du corps pour le coup… et merde… Et si c’était un fou furieux ?
Ça recommence…
Mon débit de parole le coupa dans ses présentations, et honnêtement, je me fichais littéralement de son nom, de son métier, ou bien même de sa famille et de sa petite amie. Non, je voulais juste boire mon café tranquillement, sans être gainée de la tête au pied. Encore heureux, la pluie s’était calmée. Mais, mon petit doigt me disait que ça n’allait pas durer ! Quand il me répliqua calmement qu’il fallait peut-être que je le laisse parler pour être polie, mes yeux roulèrent vers le ciel spontanément, comme pour dire. « Depuis quand on interpelle quelqu’un de la sorte ? » Mais je me tus, et le regarda toujours avec ce regard de tueuse qui était propre au mien. La seule manière de le tenir à distance pour le moment. Cependant, ses compliments adoucissaient malgré tout, la situation. Une sorte de sensation étrange descendit jusqu’à mes pieds, comme si nous enlevons une casserole pleine d’eau entrain de bouillir, du gaz. Ce qui détendait l’atmosphère crispé. Les bulles intérieurs se dissipaient tranquillement tandis que la pluie venait de battre son plein une fois de plus. Je resserrai mon blaser contre ma poitrine pour protéger le reste de mes documents et pris le bras du jeune homme tout en courant vers l’auvent d’un magasin. Mon Colombia glissa de ma main alors que je lâchais l’homme, en m’apercevant de la vitesse à laquelle la situation avait évoluée, et notamment la météo ! « Et merde ! » Je regardais au sol, le café étalait au pied « d’Augustus Fletcher », comme il le dit si bien. Je m’apercevais qu’il avait échappait de peu à la douche chaude du café bouillant. Je repris le gobelet, vide cette fois, et le mis dans la poubelle la plus proche tout en reprenant la conversation. « Je ne peux que vous remerciez pour ces compliments. Mais vous imaginez bien que si à chaque fois que je passe à un Starbucks quelqu’un me reconnaissait et m’interpellerait … ça serait invivable. Et je sais parfaitement votre réponse ; que j’ai choisis ce métier et qu’il fallait s’y attendre ! Mais ce n’est pas une raison en fait. Non, parce que je ne viens pas faire chier le co-créateur d'apple, du micro-onde, ou bien même le bassiste d’un groupe à succès ! » J'insistais sur des personnalités qui n'était pas à la tête des affiches pour lui montrer que le succès ne voulait pas forcément dire popularité. Je fis également d’énorme geste théâtral pour lui montrer l’ampleur que pouvait prendre ce genre de situation, mais deux de mes papiers coula en dessous de ma veste tout en s’envolant vers la route... L’une des feuilles s’étala sur le pare-brise d’un véhicule en marche, et fut écrasé par l’essuie-glace, l’autre finit sa course au-dessus des bâtiments. « Ras le bol d’être poisseuse aujourd’hui ! » Je fis une moue de déprimée, sans vraiment l’être. Il ne me restera qu’à les réimprimer pour demain... « Bon écoutez… Vous savez quoi ? Au lieu de me faire vos adieux et au vu de la situation… et cette malchance qui me tourne autour de la tête… Je vais faire l’inverse de ce que j’aurais fait en temps normal. » Parce qu’après tout… jamais deux sans trois ! « Si vous acceptez d’égailler ma journée, je prends la décision de rester en votre compagnie pendant… Allez… 20 minutes ? » Ce n’était absolument pas un moyen de me payer sa tête, ou bien même de profiter de lui. Non. J’avais ce besoin de renverser mes habitudes. Et au lieu de passer pour l’actrice diabolique que je ne suis pas, je lui apprendrais à me connaître, avec la contrepartie de me tenir compagnie le temps que ma poisse se dissipe.
Et je suis venue à IB pour changer après tout !
Emi Burton
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Mer 5 Juil - 22:24
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Augustus ne savait pas vraiment comment prendre les propos de la jeune femme et elle employait d'ailleurs un ton qu'il n'aimait pas beaucoup mais c'était sûrement le prix du succès. Vous deviez prendre une voix pleine de sarcasme pour que tout le monde vous aimes ou quelque chose dans ce genre là. Sans le vouloir, il allait très certainement lui montrer que pour lui elle était comme n'importe qui d'autres dans cette rue, à une exception. Il aimait son travail mais il avait aussi de l'estime pour le travail de sa sœur et ce n'est pas pour ça qu'il avait un comportement différent avec elle alors pourquoi en aurait-il un avec mademoiselle Allen ? Vraiment aucune raison. La pluie se remit à tomber et elle attrapa Gus par le bras pour qu'ils aillent s’arbitrer sous le paravent d'une boutique. Dans leur course, le café de Lexie tomba au sol et Gus trempa même ses pieds dedans en faisant une légère grimace. Il voulu lui tendre son café mais avant ça, il ne pu s'empêcher de redresser la tête pour la regarder dans les yeux en riant.
- Pas vraiment. J'aurais plutôt dit un truc du genre : Ça va vos chevilles ?
Crispant le visage il regarda les deux feuilles prendre leurs envolent vers chacune une différente destination. Il n'avait rien tenté car s'était peine perdue avec cette pluie. Il bu une gorgée de son café avant de se souvenir qu'il voulait le donner à Lexie. Il fit un léger bruit en arrêtant de boire tout en tendant son gobelet à la jeune femme.
- Je ne suis pas malade si jamais vous vous posez la question. Oh ! Et tous mes vaccins sont à jour.
Un léger sourire se dessina au coin de ses lèvres puis elle parla d'un ras le bol d'être malchanceuse aujourd'hui. C'était une journée contre combien qui avait tourné en sa faveur ? Des journée comme ça, ce n'était pas le pied mais il ne fallait pas voir que le mauvais coté des choses et peut-être qu'au final, elle retiendrait quelque chose de positif. Enfin ça, c'était à elle d'en juger. Bon, elle n'avait pas l'air de beaucoup apprécier sa compagnie et il ne comptait pas s'imposer mais à sa grande surprise elle le mit en quelque sorte au défi. Il haussa les sourcils en répondant.
- Vraiment, vingt minutes ? Vous chronométrez absolument tout dans votre vie ?
C'était une vraie question car lui, pas du tout. Généralement quand il donnait rendez-vous c'était toujours dans une tranche horaire, histoire de ne pas être en retard. Les seuls horaires qu'il respectait étaient celles de son boulot, car il adorait tout simplement son travail et que les félins n'aimaient pas attendre leur repas, tout comme les éléphants et surtout les singes. Eux, ils sont du genre à vous lancez une bonne motte de terre et d'herbe à la figure si vous êtes en retard, un vrai caractère… de star.
- Et si on commençait par vous achetez un nouveau café où je n'ai pas bu dedans ? Je vous l'offre.
Dernière édition par Augustus Fletcher le Jeu 6 Juil - 18:12, édité 1 fois
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Jeu 6 Juil - 14:18
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Difficile d’être de bonne humeur quand le cumul de mauvais événements est au rendez-vous. D’autant plus que l’homme en face de moi n’avait guère l’impression d’avoir mal agit. Je persistais à penser qu’il y avait bien des manières plus respectueuses pour aborder une personne, quelles qu’elles soient. Ma franchise l’avait d'ailleurs surement quelque peu refroidit, cependant, son air passif et ses traits souriants n’était pas signe de grand mécontentement et prônait l’inverse. A sa remarque, je ne pus m’empêcher de faire les gros yeux et ma bouche s’entrouvrit pour pouvoir laisser passer un « je vous emmerde », mais le son de ma voix se fit plus ou moins discret. Je me rattrapai en me raclant la gorge pour dissimuler mes vraies pensées. J’étais à la fois déçu de son manque de tact, mais j’appréciais cependant son franc parlé et sa simplicité à me prendre pour une personne des plus normales. Au vu de mon manque de tendresse avec lui, je ne pouvais pas lui en vouloir. A chacun son droit d’expression après tout. Je me contentai donc de rentrer dans son jeu tout en ayant les yeux riants et la bouche grimaçante. « Mmmmmh. Elles vous remercient de vous en inquiéter. » J’avalais ma salive malgré tout, en appréciant guère sa remarque.
Il se mit à agir par la suite d’une façon très étrange, comme une lumière scintillante qui s’éclaire au-dessus de sa tête, il me tendit son café après en avoir bu une gorgée. Je jonglais entre ses yeux et le verre qui se trouvait en face de moi. Partagée entre un sentiment de bienveillance et de doute, je refusai d’un hochement de tête en tendant mon bras pour le repousser délicatement puis lui dit. « Non merci, vous savez, je suis une star capricieuse, quand je veux quelque chose, ce n’est pas autre chose. » Je penchais ma tête pour observer mon Colombia couler à travers les détails du béton puis le regarda de nouveau. « Et sinon, vous êtes O+ ? Non parce que, je vais finir par tout savoir de vous avant la fin de la journée. » J’insistais sur un ton ironique. Il allait vraiment finir par croire que la fameuse « Lexie Allen » n’était autre qu’une personne odieuse et orgueilleuse, mais il se tromperait totalement et n’aurait pas eu la faculté de voir plus loin que le bout de son nez et des apparences. C’était peut-être un moyen de juger de sa personnalité, de voir ses limites et jusqu’où il arriverait à me supporter. Jusqu’ici, il arrivait à faire ses preuves.
Le temps grisâtre et les gouttelettes de pluie qui finissait leurs courses sur mes vêtements me donnèrent de légers frissons, sans compter sur le vent qui dansait avec mes cheveux. Je pliais mes bras un peu plus contre ma veste afin de me réchauffer. Tout en m’apercevant que j’écrasais littéralement le reste de mes documents, je bus ses paroles qui me sortirent de mes grelottements. Je n’avais pas eu l’intention de chronométrer quoi que ce soit, cependant, avec le recul, je m’apercevais parfaitement que je n’aurais pas beaucoup de boulot en rentrant, mise à part la réimpression. J’avais oublié que mon emploi du temps n’était plus le même depuis que je ne travaillais plus en tant qu’actrice, à passer de studio en studio, ou bien même à me présenter aux journalistes pour des interviews. Bref, avoir une image comme je l’avais prenait un temps monstre. Il fallait une organisation irréprochable. Mais ce n’était plus le cas. Le théâtre me demandait pas autant de temps et d’investissement personnel qu’à l’époque.
« Je calcule le temps à lequel j’arriverais à vous supporter. » Lui répondit en soupirant. Vingt minutes, c’était déjà d’un bon niveau !
Il aimait apparemment le travail que je faisais et il était en première loge de mon travail d’actrice et de faculté à imiter tel ou tel sentiment. J’adorais jouer des rôles qui ne me représentait pas afin d’obtenir les véritables réactions de mes interlocuteurs. La psychologie humaine, les comportements humains m’ont toujours fascinés. Voir le faciès des gens se changer, leurs attitudes se transformer. C’était toujours un vrai régal et une vraie leçon de théâtre pour moi.
Il finit ensuite par m’inviter gracieusement boire un café dont il n’avait pas déposer sa salive sur le contour. « Bon allez, 10 minutes de plus pour votre bonne action Monsieur Fletcher. » Je repris sérieusement et l’invita avec ma main à faire demi-tour en direction du Starbucks. Nous reprenons alors la route inverse en destination du café que nous avions quittés il y a à peine quelques minutes. Spontanément je lui mis un coup de coude gentillet dans son bras alors que nous marchions tout en lui envoyant un sourire taquin. « Vous savez, j’ai le compte en banque qui va avec mon nom. » Mon manque de sérieux me perdit dans mes paroles, j’espérais cependant qu’il n’allait pas prendre mes mots à la lettre. C’était de sorte à lui expliquer que je n’abuserais pas de sa galanterie.
Emi Burton
Spoiler:
Désolé, c'est médiocre.
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Sam 8 Juil - 9:20
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Si Augustus était resté lorsqu'elle lui avait proposé de passer quelques minutes en sa compagnie, cela prouvait bien qu'il ne pensait pas totalement que Lexie était une star capricieuse et odieuse. Il pensait plutôt à une sorte de mur qu'elle s'était construit au fil des années à cause de son métier, de la popularité et de ce que ça entraînait avec les bons cotés et les moins bons. Quelque part, tous les artistes suivaient plus ou moins ce schéma. A la base, ils étaient proches de leurs fans mais quand cette communauté augmentait avec son cota de dingues qui va avec comment en vouloir aux artistes de prendre leur distance ? La popularité de Gus se résumer à quelques visiteurs qui le reconnaissait désormais, pas de dingues à l'horizon. Peut-être que Lexie l'avait prit pour l'un d'entre eux mais il allait très vite lui faire comprendre qu'il était une personne lambda parmi d'autres.
- Comment vous avez deviner ?
Il se mit à rire. Son sang n'était pas vraiment O+ mais qui ça intéressait à part les hôpitaux ? Gus remarqua que Lexie avait probablement froid à cause de la pluie, il lui aurait bien passé sa veste mais elle était aussi trempée que la sienne donc ce n'était sûrement pas une bonne idée. Il proposa donc de retourner dans un café mais ce n'est pas ça qui la ferait sécher, peut-être qu'il la raccompagnerait jusqu'à son lieu de travail et si cela ne prenait pas vingt ou trente minutes alors tant pis tant qu'elle se retrouvait au sec. Il se mit à rire à la remarque de Lexie en répondant directement.
- Je dois avouer que c'est un vrai défi de pouvoir me supporter.
Pas tous les jours c'est sûr. Gus savait être sérieux mais parfois il oubliait qu'il était un adulte de plus de trente ans et là, il devenait insupportable. Comme tout le monde j'imagine non ? Ne me dites pas qu'il y a des gens qui se trouvent être sérieux toute leur vie car je trouve ça vraiment triste... Pour en revenir à Gus il proposa à Lexie de lui offrir un café, elle accepta lui offrant dix minutes de plus, quelle générosité. Il ne pu s'empêcher de faire les gros yeux un peu étonner lorsqu'elle l'appela « Monsieur Fletcher ». Il n'entendait quasiment jamais personne l’appelait ainsi. A part des personnes qu'il ne connaissait pas personne ne l'appelait ainsi, même pas son patron au zoo. Et là, il ne considérait plus vraiment être un inconnu pour Lexie.
- Vous pouvez m'appeler Gus parce que Monsieur Fletcher, c'est plutôt mon père, vous voyez ?
Elle l'invita ensuite à faire demi-tour en direction d'un autre café ce qu'il fit. Ils marchaient désormais tous les deux dans une rue piétonne trempait par la pluie mais cette dernière s'était calmée et c'était le principal. En marchant elle lui fit part d'une petite réflexion sur son compte en banque, ce qui le fit sourire.
- Et alors ? Cela m'empêche de vous offrir un café ? De plus, j'ai également le nom qui va avec mon compte en banque, donc...
Et c'était vrai. Les Fetcher n'avait jamais gagné des millions mais ils n'étaient pas pauvres non plus. Disons qu'avec un crédit pour acheter une maison par exemple, ils pouvaient réussir à s'en sortir dans la vie. Acheter un café ne le mettrait donc pas dans le rouge. Tout en marchant, Gus se permit de poser une question à Lexie.
- J'ai cru comprendre que vous travaillez dans un théâtre maintenant ? Honnêtement, je ne sais plus où j'ai lu ça. On ne sait jamais si c'est vrai avec les articles de presse mais si c'est bien le cas, ça doit être plutôt intéressant comme travail, non ?
Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Mar 18 Juil - 13:20
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Augustus & Lexie
Cette âme d’enfant apparaissait très clairement sur les traits de son visage. Il avait cette attitude à la fois gentillet mais très sérieuse qui me déstabilisait et contrastait avec ce temps froid et déterminé. Son caractère était à la limite de la contradiction, mais pas improbable, et cela me faisait avoir plusieurs jugements sur lui, alors que pourtant, la première, ou du moins non, la deuxième impression que j’avais de lui me semblait correcte. Plus je l’écoutais, plus les doutes sur sa véritable personne se faisaient présents. Cependant, ma décision de changer passait aussi par l’étape sociabilité et écoute d’autrui. Alors je n’allais pas rester froide et renfermée sur moi alors qu’il ne cherchait que la sympathie. De toute façon qui étais-je vraiment pour pouvoir juger ce personnage ? Sous prétexte que je portais le nom du grand Allen, il ne mettait d’aucun droit de porter un regard négatif sur cet inconnu. Pour détendre un peu tout ça, rien n’était mieux qu’un peu d’ironie et de second degré pour passer la frontière du malaise. « C’est l’intuition féminine ça ! » lui dis-je spontanément, sans ayant une once de réflexion. Je lui fis un clin d’œil comme si ma réponse fut tout bonnement la seule qu’il pouvait y avoir. Les O+ nous ont déjà bien envahis, alors il était logique de penser à ce groupe en premier. En tout cas, il laissait supposer que ma remarque était la bonne, sans répondre concrètement à ce qui était véritable. Mais après tout, je ne voulais pas en savoir plus et je ne souhaitais pas de son carnet de santé entre mes mains, ce n’était pas de mon ressort et de mes fonctions.
Son rire me détendait, me faisant penser qu’il comprenait parfaitement mes attitudes. La bienveillance s’était ancrée en lui, et je commençais mine de rien à apprécier sa compagnie. Mais c’est sa façon d’approuver mes dires qui me fit avant tout plaisir. Peut-être ne voulait-il pas m’irriter un peu plus et y allait en douceur pour ne pas réveiller une fois de plus la bête féroce qui se cachait en moi. Il approuvait le défi que j’aurais à le supporter et ma seule réaction fut de jouer avec mes cheveux tout en affichant un sourire décontracté. C’est son étonnement qui me l’effaça totalement pour exprimer une interrogation. Pourquoi faisait-il les gros yeux alors que je lui accordais dix minutes supplémentaires en ma compagnie. Il suffisait de quelques secondes pour en avoir la réponse. « Vous savez, pas besoin d’un père pour être un monsieur. C’était surtout le côté viril de cette civilité qui est séduisant. Moi, je trouve que Monsieur Fletcher, ça vous va comme un gant ! » Qu’avait-il vraiment contre son père pour refuser être appelé ainsi ? Était-il indigne aux yeux de son fils ? Ou simplement, était-il encore de ce monde ? J’avais peut-être ravivée quelques souvenirs douloureux, le rendant un peu plus direct dans ses paroles. Je n’insistais pas plus, ne voulant pas le contrarier par ma maladresse. Après tout, j'étais la première à détester être reconnue pour le travail de mon père et non pour le mien. Je pouvais donc comprendre où voulait en venir Augustus. J’enchaînai rapidement sur autre chose pour ne pas le rendre mal à l’aise. « Si vous insistez dans ce cas, je ne suis pas contre un peu de galanterie. » De toute manière, qu’elle femme pouvait refuser ? C’était tellement agréable de se sentir choyée. Et malgré l’importance que j’avais dans le milieu du showbiz rien ne valait ce genre de petite action intentionnée.
En direction du café, je m’arrêtais net face à sa dernière question assez personnelle. C’est là que la première image que j’avais de lui refit surface, me prouvant qu’il était très bien informé à mon sujet. Je savais que certains journalistes ne m’avaient pas lâché la grappe, cependant, très peu de magazine et d’article parlaient de ma reconversion. La discrétion faisait dorénavant partie intégrante de ma nouvelle vie. J’échappais un soupir de détresse, voulant éviter ce genre de conversation. J’étais cependant contrainte de lui répondre. « De quel article parlez-vous ? Laissez donc ce mystère en stand-by. Les secrets d'une femme sont sacrés. » Je repris mes distances tout en me rapprochant de la porte d’entrée. Ma réponse était peut-être un peu moins froides qu'au début de notre rencontre, cependant elle était explicite, je n'avais pas envie de rentrer dans le vive du sujet, mais j'étais très curieuse de savoir qui avait balancé cette information sur moi. Ma voix était douce et proche de la séduction afin de lui faire perdre sa curiosité et le rediriger sur autre chose. J'aimais jouer de mes charmes pour déstabiliser la gente masculine et obtenir un tout autre chemin que celui que je souhaite éviter. Je ne le connaissais pas assez pour lui dire où je travaillais. Je ne savais pas ses intentions, bien qu’il m’ait prouvé sa gentillesse, rien ne me prouvait ce qu’il voulait vraiment de moi. La gloire et le succès ? Ma naïveté m’avait perdue une fois, il n’y en aura pas de deuxième !
Emi Burton
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Sujet: Re: How I met this woman. | Lexie & Augustus. (#) Mer 2 Aoû - 15:32
❝How I met this woman.❞ Lexie & Augustus
Un nouveau sourire prit place sur les lèvres d'Augustus. Il n'avait vraiment rien contre son père mais il savait une figure imposante dans sa famille et depuis son plus jeune âge partout où son père l'avait emmené tout le monde l'avait appelé monsieur Fletcher. Mais il était vrai qu'aujourd'hui, il était bien lui aussi un homme. Bon il l'avait toujours été mais passer le cap d'être un adulte avait été compliquer. Lui, il serait bien resté à l'époque de la fac toute sa vie. Merveilleuse période d'insouciance où personne ne lui demandait lorsqu'il se marierait ou aurait des enfants. Il acquiesça alors en répondant avec une pointe d'humour à Lexie.
- Votre définition me plaît plutôt bien. Viril et séduisant… Je ne manquerais pas de m'en souvenir.
Ça l'aiderait à avaler la pilule lorsqu'un adolescent l’accosterait en lui sortant un « Yo, Monsieur Fletcher, bien ou bien ?! ». Bon est-ce que les jeunes parlaient-ils vraiment encore comme ça ? Je m'en ai franchement aucune idée et dans le cas où cela serait pire, il valait peut-être mieux rester dans l'ignorance de savoir ce que pouvait être un « dab ». Augustus était plutôt content de voir qu'elle acceptait finalement. De quoi il aurait eu l'air en la laissant payer alors qu'il était en parti responsable de la perte de son café ? Ce n'était vraiment pas dans ses habitudes d'agir autrement que se soit avec une personne connue ou non d'ailleurs. La galanterie était probablement quelque chose qui commençait à se perdre et c'était bien dommage. Ils se mirent donc en direction du café le plus proche mais sur leur chemin, Lexie s'arrêta et il fit de même ne comprenant pas trop son erreur dans ce qu'il venait de dire. Après tout pour lui, parler de boulot était l'un des sujets les plus communs qui pouvaient exister. Il haussa les épaules avant de répondre.
- Je ne sais plus, c'est vraiment important ? Très bien, c'est dommage. Enfin, parler de travail pour moi c'est plutôt banal et je dois avouer que je ne m'y connais pas vraiment en théâtre, ça aurait pu être l'occasion d'en apprendre un peu plus. Désolé de vous avoir prise au dépourvu avec ma question.
C'est vrai qu'il n'avait jamais été très attiré par le théâtre mais pour sa défense il n'était pas non plus particulièrement fan de la télévision. Il aimait cependant aller au cinéma trouvant cela beaucoup plus spectaculaire que sur un petit écran, d'où sa connaissance de mademoiselle Allen et son travail. Elle s'était approché de la porte du café et il s'était à son tour rapprocher pour lui ouvrir la porte.
- Pour ma part, je travaille au zoo comme soigneur. Je suis célèbre moi aussi mais auprès des animaux.
Lui dit-il en souriant puis ils entrèrent dans le café. Il n'y avait pas beaucoup de monde. Quelques personnes qui regardaient Lexie mais Gus n'y prêta pas vraiment attention se mettant à la suite d'autres personnes qui faisaient la queue.