i'm dying to feel again - azariah

azariah andersson

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 1. les parents d'azariah sont suédois. il est lui-même né en suède mais sa famille a déménagé peu après sa naissance pour s'installer en nouvelle-zélande. il a donc vécu la plus grande partie de sa vie sur l'île. 2. azariah est marié depuis plus de vingt ans. vingt-sept ans pour être exact. il s'est marié très jeune, et est devenu papa très jeune par la même occasion. des jumeaux. ses enfants sont la prunelle de ses yeux. 3. azariah avait commencé des études d'histoire à la fac mais l'arrivée des jumeaux l'a poussé à trouver du travail pour subvenir aux besoins de sa famille. il a commencé comme caissier dans une petite supérette bio, maintenant il gère sa propre affaire. 4. azariah se définit comme un homme simple qui aime les petites choses de la vie. rien ne lui fait plus plaisir que de prendre son café tranquillement sur sa terrasse avec un petit rayon de soleil. 5. loin d'être un grand sportif, azariah aime tout de même faire un petit jogging de temps en temps et se déplace principalement à vélo. 6. la famille andersson possède un chien, un bouvier bernois de quatre ans, et sert d'hôtel-restaurant à quelques chats du quartier. 7. azariah n'a connu qu'une seule relation sérieuse dans sa vie, avec sa femme. ils se sont connus à la fac et ne se sont pas quittés depuis. l'arrivée des jumeaux y est sans doute pour quelque chose... mais azariah a toujours aimé sa femme. même encore aujourd'hui. 8. azariah est plutôt fier de ses origines. sa façon de le montrer ? cuisiner des plats suédois ! azariah adore cuisiner, notamment pour sa famille. 9. azariah est du genre papa-poule avec ses enfants. il est très protecteur et adore leur faire plaisir. mais depuis qu'ils ont pris leur envol, il se sent un peu abandonné... 10. son plus grand défaut ? être têtu. il a toujours raison ! 11. azariah a une soeur, plus âgée que lui, et a une nièce, phoebe anderson, qui vit à Island Bay.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ nikolaj coster-waldau</pris> azariah andersson

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Chaque jour, Azariah se lève vers 5h30, prend une douche pendant que la cafetière fait lentement couler un café. Il en prend une tasse et se pose sur la terrasse de sa maison. Parfois il mange un morceau, mais le plus souvent il se contente de son café. Il écoute le silence, observe parfois un des chats se prélasser au soleil, et réfléchit à ce que sa journée va lui réserver. Ce matin-là, il ne se doutait absolument pas qu’aujourd’hui, sa vie allait être chamboulée. Il enfourcha son vélo, comme lors d’une journée normale et se rendit à sa boutique. Il tenait depuis quelques années une épicerie bio, où on pouvait retrouver des produits de toutes sortes, mais surtout des produits des producteurs locaux. Il avait commencé sa carrière en tant que caissier dans ce type de commerce et quand il s’était installé à Island Bay, voilà maintenant plusieurs années, il avait décidé d’ouvrir sa propre épicerie. Après la naissance des jumeaux, sa femme avait émis le besoin de retourner dans sa ville d’origine et Azariah avait suivi son désir. Petit à petit, il avait appris à apprécier la petite ville et désormais il ne s’imaginait plus la quitter. Il avait vu grandir ses enfants dans ses rues. Et désormais, il allait y voir sa vie se déliter… Il arriva à l’épicerie, le premier comme d’habitude. Il aimait arriver tôt le matin afin que tout soit parfait pour l’ouverture. Ça lui permettait aussi de s’occuper de la paperasse tranquillement, avant l’arrivée des quelques employés. Il s’attela au travail, un mug de café près de lui. Il n’avait jamais apprécié le coté administratif, surtout la comptabilité. Mais il fallait bien que quelqu’un s’y colle… il n’y a pas que des bons cotés à être patron ! Le premier employé arriva à 8 heures et vint saluer Azariah dans son bureau. Il pensait être un patron plutôt sympa et proche de ses employés. Il se montrait arrangeant quand il fallait, tout en demandant aux salariés de ne pas abuser de sa gentillesse. Il pouvait parfois être dur avec eux, mais sans jamais les rabaisser ou les casser. Chaque jour, Azariah cherchait le juste milieu pour le cadre de travail soit le plus épanouissant possible, tout en assurant la rentabilité et l’accueil des clients. Le téléphone sonna, quelques minutes avant l’ouverture du magasin. L’une de ses employés ne pouvait venir assurer son service. Un problème personnel. Azariah lui accorda ce jour de congé au pied levé. Il allait devoir la remplacer, au moins le temps qu’une de ses collègues vienne la remplacer cet après-midi. Il laissa de coté la paperasse, enfila la tenue de rigueur et descendit dans les rayons du magasin. Les autres employés furent prévenus du changement et lorsque les grilles du magasin se levèrent, Azariah se tenait derrière l’une des caisses. Ce n’était pas la première fois qu’il remplaçait l’un de ses employés, et sûrement pas la dernière ! Cela ne le dérangeait pas. Il retrouvait le contact avec la clientèle, pour changer des fournisseurs. Et puis, en étant là, il se rendait compte du fonctionnement du magasin ! Les premiers clients étaient la, faisaient leurs emplettes et passaient à sa caisse. Au bout d’un moment, il ne savait même plus combien de clients il avait vu défiler ! Le rythme était soutenu, mais parfois des ralentissements se faisaient sentir dans la vague des clients. C’est là qu’elle arriva. Son regard fut capté par cette femme qui entra dans l’épicerie. A peine quelques secondes et elle avait disparue dans les rayons. Il ne l’avait jamais vue, ne la connaissait pas. Pourquoi son regard fut-il attiré par elle ? Il ne le savait pas, mais il ne sentait pas forcément bien à cette idée. Il avait hâte de la voir passer à sa caisse, juste pour la revoir d’un peu plus près et peut-être comprendre ce qui était aussi attirant chez elle. Mais d’un autre coté, il se sentait coupable de ce sentiment. Azariah était un homme marié. Marié et heureux. Mais la voilà qui arrivait. Elle déposa quelques articles sur le tapis. Azariah l’observa plus attentivement. Il la trouvait belle. Vraiment belle. Leur regard se croisèrent alors. Pendant quelques secondes qui parurent des minutes, ils se fixèrent, ne pouvant s’en empêcher. Comment décrire se qui se passait ? Azariah ne le savait pas, mais il se sentit incroyablement bien à ce moment-là. Un sourire se dessina sur son visage tandis qu’il faisait passer les articles de la demoiselle. Il ne pouvait s’empêcher de la regarder du coin de l’oeil. Ressentait-elle la même chose ? Peut-être. En tout cas, elle semblait gênée, bafouillant lorsqu’elle récupéra ses produits. Azariah encaissa son argent et la regarda s’éloigner. Pendant un instant, il pensa que tout ça ne venait que de son imagination. Et puis, elle se retourna et lui adressa un sourire qui en disait long. Elle disparut et Azariah retourna à son travail. La seule chose qu’il désirait maintenant, c’était de la revoir.