une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
|
|
| — don't forget the cookies (cady) | |
| Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: — don't forget the cookies (cady) (#) Lun 26 Juin - 0:37 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Tout était compliqué en ce moment. Avery était tendue comme un string depuis plusieurs semaines au vue des résultats, bientôt proches, concernant sa spécialisation en pédiatrie ainsi que de son mariage qui approchait. C'était à dire, dans un mois. Elle n'avait pas eu le temps de souffler cinq minutes, entre les préparatifs, ses cours, son boulot à l'hôpital, sa mère et les charges quotidiennes d'une vie. Réalisant qu'elle ne pourrait définitivement pas tout assumer, Avy avait décidé de laisser la fin de l'organisation de son mariage à sa mère. Non pas qu'elle était heureuse de le faire, bien au contraire, mais pour tout dire, elle n'avait pas vraiment le choix. Ce n'était pas Wonder Woman et elle n'avait que deux bras et surtout, des tonnes d'heures de sommeil à rattraper. Toute la journée, la belle avait songé à sa soirée. Parce qu'elle avait décidé de rentrer tôt. Elle prendrait une douche, enfilerait son pyjama hyper sexy de bob l'éponge et finirait sa soirée devant un film bidon, avec Sean qui dormirait, sans aucun doute. Seulement, plus la journée avancée et plus elle se rendait compte qu'elle avait zappé une chose. Une chose qu'elle n'avait pas prévu et que pourtant, Sean lui avait rappelé toute la semaine, histoire d'être certain qu'elle n'oublie pas. Ah oui ! Ce soir, ils étaient invités à une soirée. Chez Cade. Le Cade de Sean. Son meilleur pote qu'Avery n'avait vu que très peu et dont elle avait déjà une mauvaise image. Vous savez, ce type imbus de lui même, charmeur et coureur. Ce petit rigolo qui ose tout, ou presque, avec vous. Oui, bon, elle en avait peut être une image sur faite, sans doute, mais elle était certaine de ne pas être aussi loin de la vérité que ça. Dans tous les cas, elle avait abandonné l'idée du pyjama et du film, se rendant à l'évidence qu'elle ne pourrait pas échapper à cette soirée. Une fois rentrée chez elle, les mains prises par une assiette de cookies qu'un patient lui avait apporté (étrange, en effet. Elle songeait à ne plus s'en occuper, ça devenait trop intime cette histoire de cookies), Avery constata qu'un mot trônait sur le plan de travail. C'était Sean, avec son écriture en patte de mouche. Désolée bébé, mais je dois travailler ce soir. Vas à la soirée de Cade sans moi, ce sera une bonne occasion de faire connaissance. Je t'aime. WHAT ? Elle avait mal lu ? Elle fronça d'abord les sourcils, se mit à relire le mot deux fois pour être certaine. C'était tout de même l'hôpital qui se foutait de la charité là. Elle ne devait pas oublier mais lui, allait bosser. Tranquille comme ça. C'est cool, c'est frais. La belle finit par jeter le mot à la poubelle et prit son portable afin d'appeler son fiancé. Elle était vraiment obligé d'y aller ? Toute seule en plus ? Seulement, au bout de quelques sonneries, elle tomba direct sur son répondeur. Et merde. Que faire, que faire ? La solution de rester chez elle semblait la plus attractive mais dans un sens, Sean semblait croire qu'il était important qu'ils s'entendent. Ouais bon. Sans doute dans un monde parallèle à celui-ci, c'était possible. Mais dans un sens, qu'est-ce que ça lui coûtait d'y aller faire un tour ? Après tout, c'était une soirée, chez Cade et donc, ça voulait dire qu'il y aurait d'autres personnes et qu'elle n'aurait pas l'obligeance d'aller lui parler, ou juste un peu. Après deux bonnes minutes de réflexion, elle se décida et fila à la douche, enfilant un jean, un tee-shirt et une paire de baskets par la suite. Elle s'y rendrait. Juste pour dire coucou et repartir. Oui voilà. Puis tant qu'à faire, ne pas venir les mains vides. L'assiette de cookies fera parfaitement l'affaire. Arrivée devant la porte de chez Cade, Avery constata combien la musique raisonnée dans son appartement. C'était le bordel intégral ! Elle finit par taper, une fois, deux fois, trois fois à sa porte. Sans réponse. Et merde ! La musique était beaucoup trop forte pour que qui que soit n'entende ses appels. Elle se décida finalement à rentrer, sans attendre aucune permission, et lorsqu'elle fut dans l'appartement, rapidement, elle se stoppa dans son élan, bouche ouverte tel un "o", yeux écarquillés, tant la scène était choquante ! Pour commencer, parce qu'il y avait plusieurs choses, la soirée n'était pas une soirée. Du moins, pas l'image qu'elle s'en était donnée. Il n'y avait personne, pas d'invités. Un appartement vide ou presque. Elle s'était trompée de soir ? C'est la première idée qui lui était venue à l'esprit en relevant le deuxième problème de cet instant. Le deuxième c'était que Cade et une hippie blonde se roulaient, allègrement des pelles, chemise ouvert, tandis que la nana était en sous vêtements, prête à enlever le bas. Quelle image répugnante ! Avery aurait pu tout aussi bien partir, sans avertir de sa présence, puisque qu'ils ne semblaient pas l'avoir entendu rentrer. Seulement, au moment même où la musique s'arrêta, la porte d'entrée claqua dans son dos. ET MERDE ! Elle grimaça aussitôt et Cade tourna la tête vers elle, le visage encore plus choqué. Quoi ? Que faire ? Cette situation, elle ne l'avait jamais vécu mais tout ce qu'elle savait en cet instant, c'est qu'elle avait abandonné sa soirée toute prévue pour venir ici et que ... il lui avait fait ça ! Un brin de colère lui monta au nez. Quel toupé ! Sans trop réfléchir à ce qu'elle faisait, et seulement porter par la vague de vengeance et de colère qu'elle avait en elle, Avery posa l'assiette de cookies sur le comptoir de la cuisine. C'est qui elle ? Non pas qu'elle en avait quelque chose à foutre en vrai. La jeune femme s'avança vers les deux chauds du slip et là, d'un seul coup, le pantalon de Cade tomba sur ses pieds. Quelle vision d'horreur ! Avery en grimaça. Je croyais qu'on allait se marier ! finit-elle par dire, le son de sa voix montant dans les tours. Elle montra son alliance à lui, à la nana. JE SUIS ENCEINTE EN PLUS ! Elle était en colère, si bien qu'elle n'avait même pas besoin de surjouer cette scène. Autant ne pas être venue pour rien. Elle avait bien le droit d'en rire. Dans le fond, elle savait que Sean se fendrait la poire lorsqu'elle lui raconterait ! Il le méritait. Amplement. Tu m'as fait croire pendant des semaines que t'avais chopé un champignon ! Tout ça pour sauter la dernière pétasse du coin ! Dans le fond, elle avait envie de rire. D'exploser même. Tellement la tête de Cade était drôle. Il ne comprenait rien. Et c'était bien normal ! Dans tous les cas, Avery espérait une chose, c'était que la nana ne lui en colle pas une. Non parce qu'elle ne savait pas se battre et qu'elle n'avait pas envie d'avoir un coquard pour son mariage. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Sam 1 Juil - 22:18 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Boum. Ton pantalon tombe à tes pieds. Le regard perdu dans celui d'Avery. Ne comprenant rien à ce qui se passe … pour mieux comprendre la situation, il faut revenir quelques heures plutôt …
Boum. Le bruit te sort de tes pensées.Tu relèves ton regard. Intrigué par le bruit, amusé même. Gardant ton flacon dans la main. L'envie de renverser ce précieux ne te plaît guère. Une de tes collègues a fait tomber sa chaise. Elle doit sûrement avoir trouvé la réponse à sa question.. celle qu'elle n'arrête pas de poser depuis huit jours. Trop long à ton goût. Beaucoup trop. Y a que dans ton métier que tu aimes te poser des questions et t'interroger pour le reste .. ça rentre comme ça sort. Reposant ton regard sur le flacon. Tu dois finir ton rapport par la suite, avant de pouvoir te détendre. Ce soir tu n'as rien de prévu, juste un petit tour au bar, histoire de te détendre. Ton portable vibre, mais tu n'y prêtes pas attention. Cette petite fiole qui bouge devant toi. Ce sang qui se dissout. Tu le reposes à sa place. Claquant tes gants avant de les enlever, de t'étirer et passer devant ton ordinateur. Tes doigts se déchaînent sur le clavier, les mots fusent, les phrases s'enchaînent. Et l'heure de partir arrive. Tu attrapes ton sac, en bandoulière qui contient ta panoplie, pas de petit chimiste, tu n'as plus l'âge pour ça. Notons que tu as toujours été un champion dans ce domaine et tu es pratique sûrement que ça ne changerait pas. Tu n'as jamais excellé en chimie surtout en cours, tu t'en sortais de justesse, mais en apprenti chimiste tu te débrouillais plutôt bien … Toute façon là ou y a de la connerie, tu y es. Tes parents se sont trompés de prénom pour toi, tu fais avec. Puis Cade c'est cool. Toute façon trop tard pour changer et toi tu l'aimes bien, puis connerie aurait été trop dur à porter. Saluant certains de tes collègues, te dirigeant machinalement vers l'ascenseur, la tête dans tes pensées. Tu as failli bousculer quelqu'un. Un regard qui t'es familier. Concentré par tes préoccupations, tu octrois l'essentiel de ses propos. Tu dis oui, oui bien sûr, ce que la personne veut entendre. Il te parle d'Avery, tu dis oui oui, limite cause toujours tu m'intéresses, mais bon ça … ça tu lui diras pas. Quittant ton écureuil, tu pénètres dans l'ascenseur. N'ayant bien sûr pas compris la moitié de ce que ton compagnon d'infortune vient de te dire. Enfin tu as compris, ce que tu voulais comprendre. Encore une histoire de mariage, de stresse et tout ce qui s'en suit. Toi tout ça, tu le fuis presque comme la peste. Sauf que tu vas pas l'empêcher de se marier … tu tiens à ta vie. T'as essayé de lui faire comprendre que là, il se foutait la corde au cou, mais bon il a l'air décidé. Pire que ton frère celui là. Manquerait plus que Ryan décide d'épouser sa pouliche et ta vie est foutue. Enfin pas vraiment, mais bon à tes yeux c'est un peu le cas. Tu ne comprends pas leur obsession pour le mariage. Comme si ça pouvait te venir un jour à l'idée … plutôt mourir que d'y songer. Tiens en parlant de mort, tu relèves les yeux vers les personnes se trouvant de toi. Discutant d'un dossier. Intéressant tout ça. Tu lis à travers leurs épaules. T'aimerais bien t'ajouter à la discussion, mais tu connais Peter, il déteste ça. Son regard de ne te trompe pas, il a dû sentir ton regard par dessus ton épaule. « Ce n'est pas un suicide sinon le sang n'irait pas dans cette direction ... » dis-tu en quittant l'ascenseur. Ouais, t'aimes bien montrer que tu as raison. Là c'est le cas. Tu connais ton métier et il est bien rare que tu te trompes. Il n'est pas encore arrivé le mec qui serait trompé ta vigilance. Tu as envie de te retourner pour voir leur tête et voir ô combien ils sont ridicules avec leurs pronostiques … Un petit sourire en coin, tu les regardes … Le visage de Peter ne peut qu'être jouissif à tes yeux. Un délice même.
Coupant le contact. Tu finis par regarder ta partenaire à tes côtés. Affublé d'un bonnet, elle en reste pas moins mignonne à souhait. Tu comptes bien lui montrer tes talents de magicien. Oui c'est ta technique pour ce soir. Technique comme une autre. Attrapant ta victime de ce soir par la nuque, la bloquant contre toi. Elle n'a pas l'air de vouloir fuir. Idéal. Elle commence même à t'allumer un peu plus .. ça devient dur pour toi de résister. Il t'en faut pas plus pour la plaquer contre la paroi de l'ascenseur. Sa jambe qui se redresse, vos langues qui dansent à l'unisson. Un balai aérien qui te plaît. Une chaleur qui augmente. Tu finis par quitter cette chaleur le temps d'ouvrir la porte, sentant son souffle dans ta nuque. Elle te veut. Tu la veux. Elle t'attrape par le col de ta chemise. D'un coup de pieds tu refermes la porte. Balançant tes affaires. Elle n'est pas patiente et ça te plaît. Ou alors elle a déjà trop consommé. L'un dans l'autre ça te va. Tu la quittes un instant. « Un peu de musique. » dis-tu en allumant ta chaîne. Histoire de vous mettre dans l'ambiance. Trente secondes plus tard, elle déboutonne ta chemise. Ses yeux font plaisir à voir. Elle te fixe un instant, son sourire qui s’élargit. Eh oui tu es bien foutu, merci la boxe pour ce corps. La ramenant vers toi, la bloquant entre toi et le mur. Laissant tes mains sur son corps, chaud comme tu les aimes. Tes lèvres se baladent sur sa nuque. Sentant des frissons sur son corps, elle te rapproche d'elle. Dangereusement elle te regarde, déboutonnant ton jean. L'excitation monte de plus en plus. Te mordant la lèvre inférieur, tu la serres un peu plus contre toi. Posant une main sur son joli petit fessier. Remontant doucement vers le haut de sa robe. D'un simple coup sa robe finit au sol. L'attrapant par la taille, ses jambes finissent par t'encercler. La musique retentit dans l'appartement, empêchant tout bruit d'en sortir ou d'y entrer. Puisque tu ne fais pas attention à la personne qui rentre, bien trop occupé par la friandise qui se tient contre toi. Tu sens ta prise s'extirper de toi. Un bruit qui résonne…
Boum. Ton pantalon tombe à tes pieds. Le regard perdu dans celui d'Avery. Ne comprenant rien à ce qui se passe. Pour toi c'est l'incompréhension totale qui se lit sur ton visage en la voyant se tenir devant ta porte. Ta partenaire qui manque de finir sur le sol et pas de la façon dont tu aurais aimé. La tornade rousse s'avance vers toi.« C'est qui elle ? » Hein ? Tu ne piges rien. T'as même pas le temps d'ouvrir la bouche. Déjà parce que tu ne comprends pas ce qu'elle vient faire là … maintenant… chez toi… c'est une caméra cachée ? « Je croyais qu'on allait se marier ! » Qui ? Quoi ? Tu ouvres les yeux un peu plus grand, un diamant qui pointe son nez sous… bah ton nez littéralement. La blonde qui te dévisage. Ainsi que Tornado.« JE SUIS ENCEINTE EN PLUS ! » Mais de quoi … tu écarquilles les yeux … Là c'est le flou … tu ouvres la bouche, mais rien ne sors. Ouais t'as l'air sacrément con, mais pour ta défense. Tu ne comprends rien à la situation. Tu n'oses même pas bouger de peur que le pokemon orange t'attaque. Ou alors que la blonde contre attaque.« Tu m'as fait croire pendant des semaines que t'avais chopé un champignon ! Tout ça pour sauter la dernière pétasse du coin ! » WHAT que tu songes. C'est pire qu'une caméra cachée. Et là sans que tu ais le temps d'assimiler les mots du pokémon, une main se pose sur ta joue. Recevant une belle gifle. « Connard ! » Qu'elle te dit en ramassant ses affaires et filant à toute allure vers la porte. Penaud tu restes là. Le jeans sur les pieds, la chemise ouverte. En boxer dans ton salon, une tornade sous tes yeux. « Rhabille toi » qu'elle te sort … C'est une blague .. Non, mais là. « T'as fumé quoi ? » lui dis-tu en bloquant ton regard sur elle. Pour ce qui est de se rhabiller tu vois ça en douceur. Bon oui le jeans, toute façon ce n'est pas ce soir que Junior va se régaler. « D'où tu débarques chez moi et casses mes plans ? Elle était au taquet ! J'avais rien à demander, prête sur un plateau d'argent et toi … Pouf » que tu fais avec tes mains en direction de la porte ! Sérieusement tu te demandes pourquoi elle est là ! « Tu peux pas penser à ma vie ? J'ai b'soin de me vider pour parler vulgairement ! » Ouais t'es vulgaire, mais là t'es aussi frustré ! Et tu avais tout à porter de main et et et et … « Tu peux pas rentrer dans ta Pokéball ? Il est où ton proprio d'abord que je lui cause deux mots ! » Refermant ta chemise, tu t'aventures ton frigo pour attraper une bière. Tu lui en tends une « Tiens ça va te détendre ! » te dirigeant vers le salon, posant tes pieds sur la table basse. Écœuré que ta soirée ne prenne pas la tournure que tu l’espérais. « Ah puis pour ta gouverne junior n'as pas de champignon ! J'suis propre moi madame ! » Tu la regardes, l'air de dire que sa vengeance elle ne l'emportera pas au paradis ! « Puis t'as d'la chance il était pas encore en action ! Sinon j'peux te dire que tu aurais d'quoi t'en rappeler ! » Ouais faut pas te chercher, bon y en a un qui t'aurais sûrement tué, mais là … Là clairement tu y es pour rien ! D'où on entre chez les gens sans frapper ! Ces pokémons de nos jours, plus aucuns respects ! Tu bois une gorgée pour te détendre, la musique résonne à nouveau. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Dim 2 Juil - 1:22 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Il y avait des situations dans lesquelles Avery n'était pas du tout à son aise. Les disputes, celles des autres, dont on assiste dans le vouloir. Dans ces cas là, elle se faisait toute petite et était dans un grand état de stress et lorsqu'elle le pouvait, la jeune femme s'éclipsait rapidement. Il y avait ensuite, la perte. Avery était souvent confrontée à cette situation, de part son boulot. Pas qu'elle en ait eu beaucoup, mais assez pour dire que rien n'était plaisant. Comme toute personne normal de toute façon. Mais c'était une situation hors de contrôle pour elle, bien qu'elle devait garder son calme et rester professionnel. Pour finir, les effusions d'amour. Enfin, surtout de sexe. Les couples qui ne savaient pas se tenir, en tout lieux, surtout publics. Elle en avait déjà vu faire. Ce qu'elle trouvait totalement choquant. Y avait des hôtels pour ça, des lieux intimes. Pas besoin d'en faire profiter la société. Tout le monde se fichait de savoir comment ils s'embrassaient, ils se touchaient ou quelle était la longueur de son appareil intime. Du coup, elle s'en fichait royalement. Du coup, ce genre de situation la mettait vraiment dans état de stress ultime et de gêne, si bien que le plus souvent, elle se mettait en colère. C'était ce qu'il se passait actuellement sous ses yeux. Choquée au plus haut point, la jeune femme n'avait pas su quoi faire, quoi dire (quoi que dire quelque chose n'aurait pas été approprié), partir, rester stoïque (bien qu'elle ne souhaitait pas voir la nana chevauchait Cade. Non pas vraiment. Pas du tout). Le claquement de la porte fit le reste pour elle, stoppant net les deux protagonistes sur le point de retirer le peu de vêtements qu'ils leur restaient sur le dos. La bouche toujours arrondie, en forme de haut, elle avait d'abord hésité à partir quand même, quitte à se faire passer pour la débile profonde qu'elle n'était pas, ou alors, se mettre en colère. Oui, parce qu'elle l'était. Profondément. La belle était venue assistée et participer à une soirée. Pas à une sexe tape. Donc c'était quoi ce putain de fucking de bordel ?! Il n'y avait que lui pour la mettre dans des situations comme ça. De toute façon, depuis le début, elle ne le sentait pas ce type. Non vraiment. Jamais elle ne serait amie avec lui. Ils étaient bien trop différents pour ça. Seulement, elle se devait de faire un effort pour sa moitié, seul lui compter dans l'histoire. Hors, Cade ne semblait pas vouloir y mettre du sien pour que l'entente se passe du mieux possible. Elle était certaine qu'il l'avait fait exprès. Ou pas au vue de sa surprise. Mais dans tous les cas, Avy était en colère et elle, elle lui en voulait. Se laissant guider par la crise de rage qui avait envie ses veines, la belle finit par s'avancer vers eux, déblatérant tout un tas de connerie, plus grosse que le monde, histoire d'assouvir sa vengeance. Là, elle en avait grandement besoin. Et plus la situation avancée et plus elle avait envie de rire au vue des réactions du blond. Perdu. Dévasté aussi. Parce qu'il n'allait pas obtenir ce qu'il voulait. Elle haussait la voix comme une furie, se montrant des plus déplaisantes et n'hésitant pas à employer des mots qu'elle n'utilisait jamais. Insulter, ce n'était pas son genre et pourtant ce soir, elle le faisait avec cette pauvre fille qui n'avait rien demandé à personne, sauf de se faire sauter. Dommage, ce ne sera pas pour ce soir ! Fallait choisir demain, ou hier, mais pas ce soir. Son plan marcha finalement, comme sur des roulettes et elle ne pu retenir un sourire lorsque Cade prit une bonne gifle dans la figure suivie d'un sale nom d'oiseau que je ne citerai pas dans ce rp. Parce que je me respecte. Voyant la nana prendre ses affaires et se diriger vers la porte, Avery ne pu s'empêcher d'en rajouter une couche, juste pour le plaisir. Et c'est gratuit ! T'as raison. De toute façon tu loupes vraiment rien, j'te rassure ! J'ai ses pilules de viagra, il aurait pas vraiment assurer sans ! La porte claqua et là, Avery éclata de rire. Bon pour le coup, elle n'était pas peu fière de sa connerie mais aussitôt qu'elle tourna son regard vers Cade, elle fit disparaître le peu de joie de son visage pour le laisser fermer et toujours en colère. Bipolaire ? Pour ce soir, oui. Elle finit par lui demander de se rhabiller. Enfin, lui ordonner plutôt. Elle en avait assez vu pour la soirée. T'as fumé quoi ? Rien. Avery ne fume pas. Elle n'a jamais essayé d'ailleurs, mais ça ne lui dit vraiment rien. Mais elle n'eut le temps de répondre quoi que ce soit, qu'il enchaîna. D'où tu débarques chez moi et casses mes plans ? Elle était au taquet ! J'avais rien à demander, prête sur un plateau d'argent et toi … Pouf PARDON ? Qu'il répète un peu. Sa bouche reprit la forme du célèbre "o" et elle cru bien que sa main allait partir pour le gifler. Mais non. Ce n'était que dans sa tête ça. Avy n'était pas violente pour un sous mais elle aurait bien pu changer, rien que pour lui et sa face de blondinet puceau. Tu te fou de moi, c'est ça ? Certainement. Elle croisa ses bras sous sa poitrine et le toisa de façon désespérée. T'as oublié ? Tu m'as invité ce soir ! Elle finit par lever les bras au ciel, comprenant enfin tout se délire et voyant sa soirée pire que fichue pour le coup. Elle secoua plusieurs la tête, pesta toute seule dans sa barbe, fit un pas, puis deux, sur les nerfs. Incapable de rester en place. Il fallait qu'elle tape dans quelque chose et qu'elle s'enlève ces images de la tête. Tu peux pas penser à ma vie ? J'ai b'soin de me vider pour parler vulgairement ! Comment il parlait lui ? Elle fronça un sourcil (oui un, trop forte), le regarda de haut en bas et finit par éclater de rire par la suite. Bipolaire je vous disais ... Non mais je crois que t'as pas comprit. Je m'en fiche complètement ! Elle le suivit du regard alors qu'il se dirigeait vers le frigo. T'es très vulgaire comme personne. Je trouve ça ... Elle fit semblant d'avoir des frissons, et finissait finalement par se comporter exactement comme lui : c'est à dire une enfant ! Avy rentrait dans son jeu, sans le savoir. Tu peux pas rentrer dans ta Pokéball ? Il est où ton proprio d'abord que je lui cause deux mots ! Hein ? Quoi ? Il parlait de qui ? De quoi ? Mais elle n'eut le temps de répondre qu'il finit par lui tendre une bière, tout en la servant avec une phrase des plus déplaisantes. Non mais ... Avery posa directement la bouteille sur le comptoir de la cuisine, tandis que lui se posait dans le canapé, tranquillement, comme chez lui. Bon, on était chez lui mais tout de même, un peu de tenue lorsqu'on reçoit une personne invitée, qu'on a oublié, du coup qui n'est plus invité mais qui est invité quand même. Bon, on se perd là ! Ah puis pour ta gouverne junior n'as pas de champignon ! J'suis propre moi madame ! Ça voulait dire qu'elle non ? Cette situation lui paressait de plus en plus exubérante ! Sean est au boulot, il n'a pas pu venir. Et c'est bien dommage. Ensuite, je ne veux pas de ta bière. Je m'en vais. J'en ai assez vu pour la soirée ! Elle finit par se retourner vers son assiette de cookies qu'elle prit dans ses mains. Et je pense que si, tu finira par avoir des champignons à récupérer des nanas partout comme ça, sans connaitre leur hygiène intime. Elle devait pourtant se douter que cette soirée serait un pur désastre. Bien entendu ! Avec lui. Cade + soirée = merde. C'était une addiction totalement logique, pour tout le monde. Fin surtout pour Avery en tout cas ! Puis t'as d'la chance il était pas encore en action ! Sinon j'peux te dire que tu aurais d'quoi t'en rappeler ! Quel ... ARROGANCE ! Elle n'en croyait pas ses oreilles. Comment pouvait-il se permettre de dire une telle chose ? Décidément, il arriverait toujours à la choquer, dans tous les sens du termes. Plus en négatif qu'en positif. Elle se retourna vers lui, le regard méchant et noir et finit par le pointer du doigt. Je vais faire comme si je n'avais rien entendu. Parce que là, ça dépasse tout ! Tu sais quoi ? J'allais faire un effort et me montrer plaisante à ta fichue soirée qui n'a pas lieu, où il n'y a personne ! Elle montra l'assiette de cookies. J'avais même fait des cookies ! La menteuse ! C'était un patient qui lui avait donné. Elle ne les avait pas fait. Non non pas du tout. La belle finit par se diriger vers la porte, attrapa la poignée. Puis. Et bien non. Elle se dirigea de nouveau vers Cade, assiette en main, la posa sur la table du salon, attrapa la bière posée sur le comptoir et revint s'asseoir sur le canapé, laissant une distance assez grande et raisonnable en lui et elle. Non en fait. Non. Elle décapsula sa bière et en prit une gorgée. Grimaça aussitôt. Elle n'aimait pas la bière. J'ai promit à Sean de faire un effort et il va me demander comme c'est passé cette soirée. Je fais un dernier effort, vraiment. Le dernier. Fais en sorte que ça se passe bien ! La belle avait adopté un ton calme et posé, avait fixé le jeune homme et avait re bu de la bière qu'elle n'aimait pas. Tout ça pour lui prouver qu'elle passait outre, ou presque, sur ce début de soirée, plus que chaotique. Et qu'elle lui laissait un minime chance. Prends un cookies. finit-elle par ajouter, montrant du doigt son plat, et tout ça avec le sourire.
Dernière édition par Avery Sawyers le Dim 2 Juil - 13:19, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Dim 2 Juil - 2:03 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Ok ! Donc cette soirée partait en vrille complet. Tu ne comprenais absolument. D'abord tu étais censé te faire cette petite blonde, elle était venue à toi. Tu n'avais pas eu besoin de persuasion ou de blablater durant des heures. Elle était chaude comme la braise et … la tornade orange, voir rouge, qu'importe ce n'est qu'un détail de couleur. Dans le fond, on reste sur les mêmes games, soit du feu, de la lumière, un truc qui est voyant. Beaucoup trop voyant. SURTOUT LORSQU'IL OUVRE LA BOUCHE(oui oui les majs sont importantes) toi le pantalon en bas des jambes. Passant de l'une à l'autre, ne pigeant quedal … T'aimerais bien qu'une petite voix vienne t'expliquer ce qui se passe. Quitte à faire comme Frank Underwood … Tu t'en fous. Du moment que tu captes ce qui se passe. Enfin pour l'instant, tu comprends surtout que le Pokemon de couleur feu -restons dans la précision, est en train de craquer son string -même si connaissant le spécimen, tu doutes qu'elle porte ceci… Tu ne demanderas bien sûr pas de confirmation à ton comparse, tu tiens à ta vie. Revenons donc au truc qui s'enflamme dans ton salon et ce n'est bien sûr pas ton boxer. Non lui, là il est plutôt calme, au repos. Pas de salues. Pas de bouquet final. Quedal ! La faute à qui ? Au pokémon bien sûr ! Qu'on la remercie, on l'applaudit même, pas trop fort car elle va se sentir heureuse de cette victoire. Toi au milieu de cette scène, l'impression de vivre un vaut de ville en direct dans ton salon … Tu ne savais pas qu'à présent ton salon était un lien de représentation … T'as pourtant pas invité les premiers comédiens du coin, si on peut aller le truc une comédienne… Effectivement tu ne comprends rien et ça n'arrange pas ton esprit qui divague … d'une fille à une autre. Et là… Gifle. Le coup fatale est tombé. Celle-ci tu l'as pas mérité car remémorons nous la scène : la blonde était consentante .. jusqu'à l'arrivée en scène du Pokemon. Puis tu ne comprends qu'un mot sur deux à son speech. Toujours est-il que tu n'ais pas prêt de l'épouser, ô que non et encore moins de l'avoir mis en cloque … Ou alors tu es doué, trop doué au point de mettre une femme, que tu ne désires pas en cloque sans la toucher … Chapeau à l'artiste, mais tu n'es pas Dieu -dommage- ! Donc non, tu n'as pas mis ce truc en feu, enfin en cloque ! D'abord parce que tu tiens à ta vie et puis que c'est .. l'opposé de ce que tu es ! Cela serait le jour dernier pour que tu changes d'avis ou plutôt d'envie sur la demoiselle ici présente. Incompatibilité autant sur le plan psychologique que physique. T'as rien contre les crinières en feu, mais bon vu le caractère : sans façon. T'as l'impression de voir un sosie de Bree Van de Camp … merci à tes sœurs pour ces références … T'en as bouffé du Desperate Housewives et t'as pas envie d'en manger à nouveau. Les bonnes femmes de quartier ce n'est pas trop ta tasse de thé. Quoique ça dépend dans quel position ou plutôt style … tout est une question de style, d'attitude … de position … d'humeur ..
Eh voilà un nouvel indice de votre incompatibilité : les ordres. Elle s'est prise pour ta mère l'espace d'un instant. Ou alors elle est bien trop choquée… A tous les coups tu penses à la seconde option. Elle mère de toi ? Autant devenir orphelin. Non ta mère à toi, elle gère et tu ne l'échangerais pour rien au monde. Elle ne serait pas du genre à débarquer dans ton salon et casser ton coup du soir. En revanche, la coincée ici présente : affirmatif. Tu oses malgré tout lui demander quelle mouche l'a piqué -si on ose penser que c'est une mouche et non une espèce non identifié, rien n'est sûr avec ce spécimen. « Tu te fous de moi, c'est ça ? » Et bien sûr, comme tu aurais dû le prévoir : c'est de ta faute. Premièrement tu aimerais savoir en quoi c'est ta faute. Tu veux bien encaisser tous les malheurs du monde, mais les raisons peuvent être pas mal. T'es doué, mais tu as tes limites (si, si c'est vrai) « T'as oublié ? Tu m'as invité ce soir ! » Ta bouche s'ouvre puis se referme. Ceci explique cela. Effectivement tu as oublié. C'était peut-être de ça qu'il voulait te parler Sean, mais … Il n'est pas là ! Lui aussi va falloir que tu lui causes de mot, il l'a mal dressé son pokemon ! Tu lui as pourtant bien dit qu'il ne fallait pas les laisser en liberté. On ne sait pas de quoi ils sont capable, la preuve par a plus b ! Tu as bien envie de dire « oup's » mais rajoutez de l'huile sur le feu, il paraît que c'est une très mauvaise idée … Tu es con, mais tu as tes limites. Bon tu peux lui accorder ce point, elle a pas tort : tu as merdé. Réfléchissant un instant -alors oui ça t'arrive, tu te demandes pourquoi tu as oublié ce dîner. Pourtant on parle de Sean et de son pokémon ! Ce n'est pas dans tes habitudes. Ah mais y avait cette affaire et puis … ta mémoire qui te fait défaut ces derniers jours. Parlons simplement que tu étais en manque … tu ne peux pas être à deux endroits à la fois. Alors oui tu lui expliques que tu avais besoin de te soulager et qu'à cause d'elle … Et bien ça va finir bleu. Enfin tu te connais assez pour savoir que tu pourras rattraper ça bientôt. Très bientôt et non pas avec elle ! T'es pas fou et suicidaire non plus. Mademoiselle la prude paraît choquer à nouveau. « C'est pas un balai que t'as dans le cul mais un baobab ... » bon tu marmonnes plus ça pour toi … T'as pas envie qu'elle te le sorte et te frappe avec elle… Vu son degrés d'agacement … évitons les ennuis. Il vaut mieux pour l'instant … car on ne sait pas de quoi la suite va être faite …
La laissant causer derrière toi, tu prends place dans ton canapé. Bière à la main. Elle t'a gâché le début de ton programme, mais bon tu peux bien arranger la suite. Elle marmonne toujours, des trucs que tu piges à peine. Bon il faut que ça ne t'intéresse pas, voir pas du tout … tu ne prends même pas la peine de hocher la tête. Tu bois tranquillement réfléchissant à comment tu en es venu à oublier ton pote. Sa meuf à la rigueur, elle est facilement oubliable .. mais lui … Lui ce n'est pas n'importe qui ! C'est Sean quoi ! Le grand, l'unique, l'irréprochable. Oui y a pas à dire, t'as un souci en ce moment et ça te réussit pas. Ça te ressemble surtout pas. Relevant discrètement la tête et surtout l'oreille… apparemment elle cause toujours, mais du peu que tu as compris : elle se tire. Halleuah, il existe bien un Dieu -non toujours pas toi, et il a enfin entendu tes plaintes. Ou les siennes. Toujours est-il, que tu vas pouvoir te poser devant un film et oublier cette expérience pokémonesque ! Oui, en quelques minutes ça sera de l'histoire ancienne. Tu bailles un peu, attrapant le programme Tv. Histoire de voir ce qui passe à cette heure. La musique résonne doucement en fond. Pas assez pour couvrir ses bruits. Sans que tu comprennes le pourquoi du comment… Là voilà à tes côtés. « Euh .. » Que tu dis, plus à toi même qu'à elle. Elle a vraiment un souci. Tu l'examines sous tous les angles. Ne comprenant toujours pas ce qui vient de passer. Y a encore quelques secondes : elle allait partir et là… Là elle est posée sur ton canapé, bière à la main, cookie en face de toi. Tu arques un sourcil, fronçant le reste (oui lui aussi est doué) Elle a décidé de jouer avec ton cerveau ce soir ou bien. « Tu prends un truc c'est pas possible. » Que tu lui dis en la regardant bien dans les yeux. Puis avec son cookie, t'as l'impression de revenir à la petite maison dans la prairie. Marie Hingalls, les couettes en moins. Tu finis par trinquer dans sa bière et prendre un cookie. « T'es vraiment, mais alors vraiment sacrément bizarre comme nana ! Va falloir que tu me dises le nom de ton fournisseur ... » Tu rajouterais bien que l'envie d'examiner son cerveau te prend … Sauf que là c'est un motif pour te prendre une gifle ou pire. Évitons ça. Puis bon elle a l'air de vouloir vraiment passer la soirée avec toi ! « Bon puisque tu as foiré mes plans, tu vas être mon plan B .. » Tu vois que ses yeux s'ouvrent en grand et qu'elle s'apprête à parler. « Minute Poky, j'ai pas dit dans ce sens là ! Ça va pas dans la tête ! T'es pas mon style ! Puis j'suis pas suicidaire ma petite dame ! » Poky tu trouvais ça mignon comme surnom. Adéquate pour la tornado en face de toi. Quoique tu aurais pu dire Tornado … pas sûr qu'elle comprenne le sens.
Tu bois une nouvelle gorgée. Regardant du coin de l’œil ta partenaire de la soirée. « Bon t'es pas Sean, t'es pas mon genre, mais on devrait bien trouver à s'amuser ... » Ou pas. Non pour ton pote tu peux le faire. Il doit bien lui trouver un truc. « T'as envie de faire quoi ? J'ai vu qu'apparemment tu étais une bonne comédienne, mais oublies les théâtres de rue, pas mon délire ! » Elle n'est pas amatrice de bière, mais elle fait un effort. Comme tu fais un effort pour manger ses cookies. « T'as faim ? » Que tu balances machinalement ? Apparemment tu étais censé les inviter à manger … tu peux au moins te rattraper sur ce point ! « Bon j'te présente mes excuses pour mon oublie … Il se peut que j'ai un chouia oublier cette invitation ... » Tu peux être gentil, quand tu as envie … Tu te tairas pour la suite. T'as pas envie de choquer la pucelle. Tu te demandes bien comme Sean fait… C'est pas possible, elle doit être une vraie tigresse au lit … évitons de penser ainsi. Les ennuis te narguent toujours. « Pas mauvais ces trucs, donc tu les as fait. » T'en attrapes un autre. Bon toute façon la bouffe ça te connaît. Tu ne résistes jamais. C'était gentil à elle d'apporter ceci .. et toi … tu n'as pas grand-chose à lui proposer. Enfin ce n'est que le début de la soirée, les festivités seront plus … éloquente ? Importante ? Marquante ? Tu cherches ton mot, mais il reste bloquer quelque part. Il faut que tu fasses des efforts, tu peux le faire. T'en es capable. « Alors dis-moi Avy … hormis piquer des crises, tu fais quoi des moments de repos ? J'suis sûr que tu t'es une tigresse ! » Subtilement … tu places des indices, même si tu as déjà plus ou moins ta réponse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Dim 9 Juil - 14:02 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) C'est pas un balai que t'as dans le cul mais un baobab ... Malgré le fait qu'il est dit cette phrase à voix basse, l'air de rien, Avery avait très bien entendu sa remarque et autant dire qu'elle ne faisait pas plaisir. Il se permettait des choses totalement déplacées, surtout lorsqu'on connait à peine la personne en face de nous. Seulement, la belle décida de ne pas relever. Avec les paroles, mais son regard en disait long sur ce qu'elle pensait à cet instant. C'était trop. Vraiment. Pour ce soir. Pour toujours en fait, elle avait décidé de ne plus faire d'effort avec ce môme. Parce qu'autant se le dire, Cade était un gamin. Puéril. Aucun intérêt. Surtout qu'elle sentait bien combien il se fichait de ce qu'elle pouvait dire, de la situation et du fait qu'elle avait tout ce chemin pour répondre, aimablement, à son invitation. La belle avait mit ses plans de côté pour lui et lui, lui beh n'avait rien fait ! Agacée de cette situation, Avy décida de quitter les lieux. Il était temps qu'elle retrouve son pyjama et sa télé, la soirée n'en serait que meilleure. Il était encore temps de la rattraper. Cependant. Oui cependant. Comme souvent en fait, Avery avait un bien trop grand coeur, ou gros, à votre convenance. Et elle ne restait jamais sur un échec. Une qualité, autant qu'un défaut en soit. Au moment où elle attrapa la poignée de la porte d'entrée, elle fit marche arrière pour revenir auprès de Cade et prendre place sur le canapé, que lui n'avait même pas quitté. Rien que pour la raccompagner, mais non ! La belle avait décidé de lui donner une seconde chance. Ou une troisième. Elle ne tenait plus le compte en fait. Quoi qu'il en soit, elle était bien décidée à honorer son engagement de faire un effort. Un dernier. Oui, parce qu'il ne fallait pas abuser non plus. Tu prends un truc c'est pas possible. Aucunement ! Elle est simplement polie, gentille, aimable (pas trop ce soir mais bon). Elle est généreuse aussi. Mais il fallait bien lui accorder le fait qu'elle changeait d'avis régulièrement et la preuve en était là, ce soir. Je ne vois pas en quoi accorder une énième chance à quelqu'un, c'est bizarre. finit-elle par lui dire, tout en le fixant, l'air songeur. C'était lui l'mec bizarre, pas elle. T'es vraiment, mais alors vraiment sacrément bizarre comme nana ! Va falloir que tu me dises le nom de ton fournisseur ... Elle leva les yeux au ciel, exaspérée de ces remarques sur la drogue, sur sa folie et tout le reste. Bordel ! Elle faisait un effort là, ne pouvait-il pas garder ses remarques pour lui ? Ne pouvait-il pas se taire, tout simplement ? Avery décida de ne pas en rajouter, buvant sa bière qu'elle trouvait immonde. L'alcool, ça n'avait jamais été son fort. Du moins, pas la bière, elle préférait les cocktails. Les trucs de filles. Mais Cade n'avait sans doute pas l'intention de lui en préparer un. Pas assez aimable pour ça. Elle avait prit place sur le canapé, jambes croisées et avait déposé l'assiette de cookies fraîchement préparés sur la table du salon. Bon puisque tu as foiré mes plans, tu vas être mon plan B .. Elle faillit s'étouffer avec sa bière et le regarda avec de gros yeux. Pardon ? Minute Poky, j'ai pas dit dans ce sens là ! Ça va pas dans la tête ! T'es pas mon style ! Puis j'suis pas suicidaire ma petite dame ! Elle respirait. Ah ! Une seconde, elle avait cru à autre chose. Juste une seconde, avant qu'il n'ajoute cette phrase. Il n'aurait pas oser de toute façon ... Si ? Mais c'était quoi ce surnom qu'il lui donnait ? Poky. Exaspérant ! Je te rassure, t'es pas DU TOUT mon style non plus ! Elle voulait, elle aussi, mettre les points sur les "i". Il était certain que Sean le tuerait sur place, surtout qu'elle serait bientôt une femme mariée, heureuse et amoureuse. Il était hors de question qu'il en soit autrement. Que pouvaient-ils avoir en commun ? RIEN DU TOUT ! Alors cette soirée risquait d'être des plus ennuyeuses possible. Ils allaient boire leur bière, manger deux trois cookies et basta, elle filerait chez elle. Pas besoin de plus, n'est-ce pas ? Bon t'es pas Sean, t'es pas mon genre, mais on devrait bien trouver à s'amuser ... Ou pas ! Elle n'avait pas très envie, dans le fond, de s'amuser avec lui et ses idées plus gamines les unes que les autres. Non vraiment. Juste rester là, assise, le temps qui passe et bientôt, elle pourrait quitter cet endroit. T'as envie de faire quoi ? J'ai vu qu'apparemment tu étais une bonne comédienne, mais oublies les théâtres de rue, pas mon délire ! Très amusant. Elle posa sa bière presque pleine, roula des yeux et répondit : Te sens pas obliger de nous occuper. On a rien en commun. A part Sean et là encore, je comprends pas. Tandis que Cade prenait un cookies, elle en fit de même et en mangea un morceau. Une légère grimace étira son visage, tandis qu'elle mâchait. Ils avaient un goût étrange. Les siens étaient bien meilleurs mais là pour le coup, elle n'avait pas fait l'effort d'en avoir cuisiner. Pourquoi au final ? Au vue de ce début de soirée, Avery n'avait pas regretté une seconde de n'avoir rien préparer. A part son ventre qui criait famine. Oui, d'ailleurs, ils n'avaient rien préparé. Cade ne devait pas être un bon cuisiner. Il lui demanda si elle avait faim. Bien entendu ! Elle était venue pour ça, au départ. Pour une soirée, un repas amical qui n'avait jamais eu lieu. Et au vue de la tenue de Cade, elle savait d'or et déjà qu'il n'avait rien fait. En réponse, la belle fit un signe de tête positif, tout en avalant son cookies, difficilement. Son patient n'avait pas du tout le don d'un fin cordon bleu ! Bon j'te présente mes excuses pour mon oublie … Il se peut que j'ai un chouia oublier cette invitation ... AH ENFIN ! Il l'avouait ! Ce n'était pas trop tôt. Il ne devait pas souvent s'excuser, non ? Ces mots avaient lui arracher le fond de la gorge. Un bon point à présent. C'est bien que tu le reconnaisse ! La belle re bu une gorgée de bière pour faire passer ces gâteaux trop secs. Pas mauvais ces trucs, donc tu les as fait. Il trouvait ça bon ? Bizarre. Il ne devait pas manger souvent des vrais trucs bons, parce que là, ce n'était pas l'cas. Pas du tout. Ils sont immondes ! finit-elle par sortir, grimaçant par la suite. Elle ne savait pas mentir, c'était un fait. Ce n'est pas moi qui les fait. Mais un patient et je comprends pas comment tu peux les manger. Entre temps, il en avait reprit un autre. Ce mec n'avait pas de goût. La bière était meilleure. C'est pour cela qu'Avery n'arrêtait pas d'en boire, là tout de suite, pour passer le goût de ce cookie infâme. Ce qui était bizarre. La bière, c'est aussi dégueulasse mais peut être un peu moins. Alors dis-moi Avy … hormis piquer des crises, tu fais quoi des moments de repos ? J'suis sûr que tu t'es une tigresse ! Sans le contrôle, tout à coup, elle recracha toute sa bière en sa direction, tellement ses paroles l'avaient surprises. Si bien que tout le liquide perlait sur le visage de Cade et elle ne pu s'empêcher de se mettre à rire, ensuite. Se rendant compte de ce qu'elle avait fait. Et merde ! Elle mit sa main devant sa bouche, le fixa un moment. Il allait mal le prendre. Je suis vraiment désolée ! Pardon ! Cette fois, c'était à elle de présenter ses excuses. Elle ne l'avait pas fait exprès. Non vraiment. C'était lui aussi avec ses questions, ses paroles déplacées. Avy finit par se lever du canapé et fila vers la cuisine pour attraper un torchon qui traînait par là. Elle lui lança par la suite. Je ne l'ai pas fait exprès. Elle tenait à le souligner. Vraiment. Au cas où il pense le contraire. Ce qui était tout à fait possible. Et je ne pique pas des crises. C'est toi qui fait n'importe quoi aussi ! La jeune femme était une personne douce et patiente, la plupart du temps. Hormis ce soir. Mais elle ne piquait jamais de crises de colère. En fait, le plus souvent, elle se gardait bien pour elle, tout ce qu'elle pensait de négatif, préférant ne pas entrer dans ce genre de discours et surtout, de disputes. Elle n'aimait pas ça. Revenant sur le canapé, Avy fut soudainement prise de sueurs. Elle avait chaud. Bien trop chaud ! Se ventilant le visage avec ses mains, elle tourna la tête vers Cade. T'as mit le chauffage à fond ou quoi ? Ou c'était elle le problème. Non vraiment, c'était intenable là ! Elle reprit sa bière et la bu en entier, d'une traite, tellement la soif asséchée sa gorge. Étrange ! Elle reposa la bouteille vide sur la table, gigota dans tous les sens. Elle ne se sentait pas bien. Pas malade, mais pas normal quoi. Je me sens ... Bizarre. Tu te sens pas bizarre toi ? Y avait qu'elle ? L'atmosphère devenait lourde. Elle prendrait bien une douche glacée, là tout de suite. Un bain glacée même, remplit de glaçon. Dans le pôle nord. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Dim 9 Juil - 21:03 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Baillant au son de sa voix. Oui c'est l'effet qu'Avery à sur toi. Aussi soporifique qu'un suppositoire. Bon tu n'as plus cinq ans et tu n'as plus besoin qu'on t'enfonce un truc dans le cul pour t'endormir. Encore heureux, tu n'as jamais été fan de ce genre de pratique … ce n'est pas pour te déplaire en revanche de le faire aux autres … Là n'est pas le question du moment, t'es sûr en revanche que le suppositoire elle l'a bien coincé la tornade rousse. Bon tu ne poseras bien sûr pas la question à Sean. Il en va de sa vie. Quoique de mémoire et pratique surtout, les plus effarouchées sont généralement les plus torride au lit. Tu te souviens de cette ingénue qui était en cours avec toi. Une vraie coincée de la vie et puis POUF métamorphose au lit. Comment tu as su ? Lors d'une soirée un peu trop arrosée, elle était là. Toi aussi et l'un entraînant l'autre, tu n'as pas pu résister. Elle non plus. À l'époque personne ne résistait à ton sourire -et ça n'a pas changé. Bon elle te trouvait bien trop con -ça non plus ça n'a pas changé, mais sans commentaire. Elle a retiré ses propos une fois avoir goûté à l'homme. Un bon souvenir qui se projette à toi. Toujours plus intéressant que les propos de la tornade moitié Bree Van de Camp. Tu ne sais pas où il l'a trouvé celle-ci ton Sean, mais il l'a bien trouvé. Parce qu'elle est collée à lui tel une moule à son rocher. Une moule qui ne te fait pas envie que ça soit clair. Il manquerait plus que ça … que tu tapes dans l'assiette de ton pote. Tu n'as jamais été du genre à prendre les restes, encore moins ceux de tes potes. Puis bon ça te fait plaisir dans le fond de voir Sean heureux, un peu moins à ta libido. On va pas se le cacher, il était un bon soutient pour tes nuits endiablés ! Adieu soirée déjantée à la chercher d'une proie … Bon vous n'avez jamais vraiment fait ça … enfin toi oui lui non, du moins pas depuis que vous traînez ensemble. Ce n'est peut-être pas claire là, mais dans ta tête ça l'est ! C'est ce qui compte dans le fond ! On s'en fout du reste. Alors tu regardes cette nana sortie d'un soap opéra te faire des manières sur ta façon d'être et autre … L'écoutant d'une demi oreille. Parce qu'il faut pas déconner non plus. Cherchant un truc à la tv. Quelque chose de bien plus intéressant que ces propos. Zappant et buvant, deux choses que tu adores faire. Pas besoin de nana pour ça, mais bon tu as décidé d'être gentil ce soir. Oui ça t'arrive parfois. Il faut toujours mettre une croix sur le calendrier lorsque ça survient. Elle cause, encore. Pour ne rien dire, toujours. Tu ne dis rien. Et puis le DRAME SURVIENT ! Tu as tourné la tête vers elle, l'espace de cinq secondes ... elle te gicle de la bière sur toi …Clignant des yeux. La regardant s'agiter pour aller te chercher un torchon. « Je ne l'ai pas fait exprès. » Tu clignes des yeux et attrapes le torchon. « J'espère bien … fin pas que ça me déplaise qu'on me gicle dessus mais bon ... » Finesse toujours. Elle te lance un de ces regards. « Pardon ! J'accepte tes excuses, mais évites de gâcher de la bière … Mon visage n'apprécie guère ! » Finissant de t'essuyer. Tu reposes le torchon. Faut bien que la trêve se passe … et pour ça il faut que tu continues à être gentil … Tu t'es excusé, faut pas déconner non plus. Elle veut pas non plus cent balles et un mars. Toute façon t'en as pas donc elle devra se contenter de ce que tu as dans ton frigo …
Tu la laisses un instant sur le canapé. « Bon puisque t'es mon invitée j'te propose ... » Tu ouvres tes placards à la recherche du Graal. Quand le paquet arrive à tes yeux. Tel une projection, il te parle. Il n'attendait que toi. Que tu l'ouvres et le dégustes. « Des macaronis aux fromages. » C'est tout ce que tu as et qu'elle ne fasse pas la difficile ou tu l'expédies chez le voisin. Tu attrapes une autre bière et lui amènes. « Tiens t'as l'air d'avoir soif et j'te jure que j'ai pas augmenté le chauffage ! J'fais ça que lorsque j'veux chopper. » On peut clairement dire que t'en as pas eu besoin ce soir ! Tu es gentleman, t'as pas envie qu'elle meurt de soif. Elle se lève et vient à tes côté. Il manquait plus que ça. « Donc en plus d'être une comédienne, t'es une petite escro ! » Référence à l'aveu qu'elle t'a fait sur les cookies ! « Moi je l'ai trouve pas dégueulasse, bon ça ne vaut pas ceux de ma mère ! » Dis-tu en prenant un nouveau cookie. La bouffe bien ouverte, les morceaux qui s'écrasent contre tes dents. « La prochaine ch'fois j'attends que tu m'en fasses ... » Oui tu es optimiste comme mec, y aura forcément une prochaine fois. Que vous le vouliez ou non. Elle va épouser ton meilleur pote après tout. « J'adore les smarties donc si ça te donne des idées. » Tu retournes dans ta cuisine et t’affaires à vous préparer à manger. T'es pas un cordon bleu, mais tu te débrouilles pour ne pas crever de faim tous les jours. Un jour à la fois, parfois c'est un miracle que tu sois encore en vie après certains de tes tests culinaires … Tu aurais dû écouter ta mère lorsqu'elle faisait à manger. Toujours est-il qu'à présent, le micro onde est un fidèle ami, lui et la cafetière. Qu'on se rassure, tu as pratiqué et tu arrives à faire des trucs plutôt mangeable. À tes yeux, la cuisine c'est comme le sexe, plus on s’exerce et plus on progresse ! Puis c'est toujours un atout auprès de la gente féminine de savoir faire à manger. « Beaucoup de cheedar ou pas ? » Ce supplément tu le rajoutes de ton frigo bien sûr. Tu as toujours du cheedar dans ton frigo. C'est une devise. Un sacrilège lorsqu'il n'y en a plus. Une vie sans cheedar, n'est pas une vraie vie. Tu sens que ton esprit s'embrume un peu, mais ça t'es bien égale. Ton poky a tes côtés qui joue avec tu ne sais quoi. « Pas touche la mouche, c'est moi qui cuisine ce soir ! Vas jouer avec la musique si tu veux .. » Elle te lance un regard. L'un de ceux qu'elle t'a lancé en début de soirée… Quoi elle va changer ENCORE d'avis ? Si elle le fait, tu lui tu lui fous le paquet de cheedar à la tronche. Oui tu n'hésiterais pas s'il le faut.
La musique retentit dans l'appartement .. et on ne peut pas dire que ça soit ton genre. Du tout même. Tu laisses la préparation des macaronis, pour te diriger vers Avy qui commence à danser dans ton salon. Décidément tu auras tout vu ce soir, ou presque. On va éviter certaines choses. « Non, mais j'parlais de bonnes musiques hein ! » Tu attrapes la télécommande et elle commence à chouiner, tel une gamine de six ans. « Pas d'craprice sinon … » non tu ne peux pas dire fessée déculotter .. « pas d'CHEEDAR ! » Eh ouais tu oserais ! Tu attrapes la télécommande et mets une sélection. La playlist de tes soirées … C'est à ce moment que cette chanson survient .. tu peux lire le désespoir du pokémon sur son visage … « Come on Avy, let's go party ... » Ajoutons le parfait sourire et tu l'entraînes dans la cuisine. Tu ressens des bouffées d'air chaud, mais tu n'y prêtes aucunement attention. Sûrement à cause de l'eau qui chauffe ou les ondes du micro onde. T'en sais rien. Elle picore un peu de Cheedar et là tu lui fais les gros yeux. « D'où tu touches à mon précieux » que tu lui sors. Puis quoi encore. Tu lui arraches le sachet des mains, mais elle se laisse pas faire. Elle a de la poigne la tornade … Et dans un mouvement le cheedar vole au dessus de vous … « Super une pluie de Cheedar ! » Dis-tu en ouvrant la bouche. Tu ne vas pas gâcher ce délicieux nectar des dieux ! Oh que non ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Dim 16 Juil - 22:39 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Ce n'était pas dans les habitudes d'Avy, de cracher sur les gens. Pas son genre. Seulement là, elle ne l'avait pas fait exprès et pourtant, elle aurait pu au vue de son comportement à son égard. Elle aurait pu le faire mille fois et pas qu'avec de la bière. C'était de sa faute aussi à lui, à raconter tout un tas de conneries. Faut pas le faire la bouche pleine. Ça finit par nous retomber dessus. Et là, bim, un peu de bière de cette tronche de mino. Rien de bien dramatique en soit, bien que c'était mal poli. Et pour tout dire, Avery ne le connaissait pas assez pour savoir s'il allait le prendre bien ou mal. De toute façon, au point où ils en étaient, ils n'étaient pas à ça près. J'espère bien … fin pas que ça me déplaise qu'on me gicle dessus mais bon ... Nouvelle remarque cinglante. Sexuelle. Elle ne savait pas trop mais n'appréciait pas du tout. Regard noir, comme à chacune de ses remarques. Cet homme ne savait pas se tenir. Elle n'imaginait pas dans un dîner de gala ou autre. Espérons pour lui, qu'il se marie avec une simple d'esprit, histoire qu'elle rigole à toutes ses blagues stupides et sans le moindre sans. Une personne aimant son humour. En clair, pas elle. Pardon ! J'accepte tes excuses, mais évites de gâcher de la bière … Mon visage n'apprécie guère ! Bon, il semblait comprendre le message, petit à petit. Il n'avait pas à jouer avec elle de cette façon. Elle n'était pas Sean, elle n'était pas la dernière nana du coin et encore moins une sans cervelle. Sauf qu'Avery n'avait pas le temps de penser à tout ça. En effet, elle était prise de sueurs, de coups de chaud. Non vraiment, y avait un truc là ? A ce qu'elle sache, la ménopause, ce n'était pas pour tout de suite. Elle en fit d'ailleurs la remarque. La belle se croyait sous les tropiques et n'hésitait pas à se ventiler le visage avec sa main, tandis que Cade s'agitait dans sa cuisine. Ou du moins, à ce qui pouvait ressembler à une cuisine. Il semblait enfin comprendre qu'il devait se bouger les fesses pour leur préparer un truc à manger. Quoi que, la faim lui était passée. Avery ne criait pas famine. Non, elle avait juste CHAUD bordel ! Il lui proposa des macaronis au fromage mais en fait, ça faisait déjà plusieurs minutes qu'elle ne l'écoutait plus, tout comme lui toute à l'heure. Elle pensait juste à ses sueurs, à se ventiler et à un bain de glace. Bordel, un bain d'eau glacée. Le pied ! La jeune femme avait bu sa bière d'une traite, comme un verre d'eau, sans même grimacer. Chapeau. Mais ça ne soulager rien du tout. Juste une envie pressante, tout à coup, d'aller aux toilettes. La bière quoi. Tiens t'as l'air d'avoir soif et j'te jure que j'ai pas augmenté le chauffage ! J'fais ça que lorsque j'veux chopper. Il la sortit de ses pensées en lui apportant une nouvelle bière. Encore. Non en fait, là tout de suite, elle veut pas de bière, mais une douche froide. Elle la laissa sur la table du salon pour le rejoindre dans la cuisine. On bouge un peu. Ça fera peut être du bien. Avy ne se sentait pas mal. Juste pas normale. Vous voyez le problème ? Non. Tant pis. Donc en plus d'être une comédienne, t'es une petite escro ! Elle le fixa quelques instants. Essayant de remettre le pourquoi du comment il lui disait ça. Et là, le blanc. Durant plusieurs secondes. Elle était presque certaine d'être rouge comme une tomate sur le moment avant que sa bouche ne s'ouvre en grand. Ah ! Tu parles des cookies ? Euh ouais. Fin, pas un mot de plus. Elle ponctua sa phrase par un sourire et un signe affirmatif de la tête. Pas d'excuses bidons. Non, rien. La jeune femme avait l'impression que Cade roulait à 200km/h alors qu'elle dépassait à peine les 30. Elle couvait un truc. Non, ce n'était pas possible autrement. Elle n'arrivait pas à le suivre et pour une fois, c'était lui qu'on arrêtait plus dans le débit de paroles. Il lui parlait des cookies de sa mère puis du fait qu'elle devait en faire. Vraiment, cette fois-ci mais Avery était bien loin de toute cette conversation. Ouais vraiment. Elle était ... Nulle part en fait ! Juste ailleurs. Mais en même temps, elle était là. Personne comprend ? Elle non plus. Il lui parla ensuite de cheedar. Mais pourquoi au juste ? Avery avait déjà oublié. En fait, elle était restée coincer sur le sachet de pâtes, essayant de lire les ingrédients. Pourquoi ? Aller savoir ! Elle non plus n'en avait pas la moindre idée. Pas touche la mouche, c'est moi qui cuisine ce soir ! Vas jouer avec la musique si tu veux .. Hein ? Quoi ? Ce fut ce que ses yeux voulaient dire lorsque Cade lui retira le paquet pour le prendre. Non mais ... EUH ! Oui, exactement. La tête d'une enfant à qui on a retiré son jouet. Elle fixa longuement Cade. Musique. Il avait pas parlé de musique ? Ah si. Aussitôt dit, quoi que. Elle manqua presque de se fracasser la tronche sur le sol en se tournant. Mais genre, ni vu, ni connu... comme une princesse quoi ! Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille, tourna la tête vers Cade pour lui offrir un sourire. Non mais j'ai rien t'inquiète. C'était ça que ça voulait dire ! Quoi que par certaine qu'il en quelque chose à foutre. Elle était donc, devant la chaîne et pendant un temps, elle ne savait pas trop comment ça marcher. Bouton, pas bouton. Appuyer, pas appuyer. Ah ouais. Merde. Plutôt toucher au pc juste au dessus pour choisir la musique. La technologie, ce n'était pas son truc. Mais ce soir, encore moins. Les touches se touchaient (ouais j'suis poétique ce soir), elle n'arrivait pas bien à voir. Pourquoi elle était comme ça ? BIZARRE ! C'était le mot. Elle finit par inspirer un grand coup, secoua la tête dans tous les sens pour se remettre les idées en place mais ça lui donna plus le tournis qu'autre chose. Et merde. Avy finit par se saisir du clavier et tapa la première musique qui lui venait à l'esprit. Michel Telo. La musique du moment qui raisonnait dans tous les bars. Certaines que ça allait faire l'affaire et plaire à tout le monde. L'air était entraînant et elle connaissait les pas par coeur pour les avoir fait un million de fois avec des amis, en soirée. Ou à ses cours de zumba aussi. Qu'importe. Elle se croyait comme chez elle et ne savait pas du tout pourquoi elle agissait de la sorte ! Mais c'était amusant et cool. Pour une fois que la soirée était bonne. Sauf que ... BAH NON ! Il vient encore faire chier ! Non, mais j'parlais de bonnes musiques hein ! Il avait coupé le son. Comme ça. En plein milieu de la chanson, en plein milieu de sa chorégraphie. Ca ne se fait pas. La jeune femme resta sur place, droite comme un "i" et le scruta de toute sa hauteur (c'est à dire, pas bien grand). Elle fit la moue avec sa bouche, essayant de l'attendrir pour qu'il laisse sa foutue musique. Ne pouvait-il pas lui faire plaisir, juste une fois ? Non forcément, c'était trop demandé ! Pas d'craprice sinon … Elle leva un sourcil, attendant la suite. pas d'CHEEDAR ! Avery se mit à souffler plusieurs fois, fit encore les gros yeux et comme une enfant, finit par s'approcher de son acolyte de soirée, l'attrapant par le bras pour le supplier. Non mais s'il te plait, remets ma musique là ! Elle avait légèrement hausser la voix sur la fin de sa phrase, voulant bien lui faire comprendre son mécontentement. Mais à dire vrai, depuis l'début de cette soirée, elle n'était pas contente et il devait l'avoir bien comprit. Mais Cade s'en fichait, n'est-ce pas ? Tout comme du réchauffement climatique, de la faim dans le monde, de la chanson préférée d'Avery ! Et je m'en fou du cheedar ! J'ai pas faim ! Je veux danser et j'ai trop chaud ! Vas-y, on va se baigner ! Illumination ! Oui, une petite baignade nocturne avec un inconnu. C'est cool. C'est l'idée du siècle ! Il avait déjà changé la musique pour ... de la merde en boite ! Voilà tout. Elle roula aussitôt des yeux en entendant les premières notes et finit par lâcher le bras de Cade. Come on Avy, let's go party ... Il finit par l’entraîner dans la cuisine, alors qu'elle, traîne clairement des pieds, pas du tout heureuse de cette tournure de soirée. Non, elle, elle voulait faire sa fichue chorégraphie ! Bon, tant qu'à être dans la cuisine, autant se servir non. Il l'a bassiné avec son cheedar, Avy allait en manger mais même pas l'temps de l'amener à sa bouche qu'une main fit irruption et retira tout ça d'elle. Il avait un problème avec elle ? C'est ça ? Il ne voulait rien lui accorder. D'abord la musique, puis maintenant le cheedar. Mais là, la belle n'allait pas se laisser faire. Elle prit à son tour le paquet et le tira de toutes ses forces vers elle. Le duel des Jedis est ouvert. Oh beh non. Merde. Le paquet finit par voler au dessus de leurs têtes, déversant tout son contenue sur eux. Super une pluie de Cheedar ! Et là. Non mais là. Elle resta bouche bée. Cade bouche grande ouverte, prêt à manger le cheedar qui tombe. Elle hallucinait complet. C'est là que son cerveau dû lui faire un électro choque. Avery finit par attraper Cade par les épaules, en le secouant. Stupeur et boule de gomme ! Je crois qu'on a prit un truc ! Elle criait presque un peu trop fort. C'est pas normal ! J'ai des envies de me déguiser en licorne et de baigner avec les dauphins. Je suis pas enceinte, t'es pas enceinte. Non clairement. Oui, ça c'était sûr. Mais encore. La belle finit par le lâcher et monta sur le plan de travail où elle posa ses fesses. Faisant mine de réfléchir, la musique résonnant toujours dans la pièce. T'as mit un truc dans la bière, j'suis sûre ! Elle le pointa du doigt, d'abord énervée. Puis, sans vraiment comprendre pourquoi, elle se mit à rire. Hilare. Clairement. Ça me fait comme la fois où j'ai essayé le gaz à l'hôpital pour les gamins. Ouais vous savez, celui qu'on vous fait respirer pour vous recoudre. Elle avait perdu l'nom. Pour un médecin, ça fait peur, je vous l'accorde. Puis, la seconde d'après, elle arrêta de rire, de nouveau énervée. Tu m'as drogué ! C'était forcément de sa faute ! Tout était de sa faute ce soir, de toute façon ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Lun 17 Juil - 16:57 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) Cette soirée partait dans un délire complet. Pour une fois tu n'y étais pour rien, bon peut-être pour une partie, mais clairement : ce n'est pas vraiment de ta faute. Oui c'est ce que tu dis tous les soirs pour mieux dormir. Tu n'y peux rien si ta mémoire te fait défaut. Est-ce que tu étais obligé de te souvenir que ce soir tu avais invité Sean et son pokemon ? Pas forcément. Tu aurais pu … si tu n'avais pas le cerveau en bas. Tu reconnais sans soucis qu'aujourd'hui tu pensais plus avec ton cerveau du bas qu'avec celui du haut. Et qu'on taise les préjugés t'en as en haut. Il lui arrive de servir et parfois s'en est même épatant -on se passera de commentaire. Après tout tu n'as pas été en médecine pour faire office de plante verte. C'est qu'il y en a un peu dans ta caboche. Juste que la plupart du temps tu évites de montrer qu'en plus d'être bien foutu, on va pas se mentir la nature t'a bien gâté, tu es loin d'être con. Le genre de combo gagnant qui pourrait faire de toi le gendre idéal. Oui on dit bien 'pourrait' car t'es loin d'être le gendre idéal. Tu es même le contraire. Gentil tu es, à tes heures perdues, soit pas souvent ou alors quand tu es auprès de tes vrais amis. Ce qui veut dire par là que la rousse n'en est pas encore une. Attentionnée ? Un critère qui ne fait pas forcément parti de tes fonctions premières. Tu avais déjà du mal à l'être gamin, alors ça ne va pas s'arranger en grandissant. C'est même devenu pire. Par contre tu n'es pas un goujat ou gouda -oui tu as un souci avec le fromage- tu t'efforces de faire taire ces spéculations. Tu peux être con, très con par moment, mais de là être un porc, faut pas déconner non plus. C'est sûr qu'aux yeux du truc en face de toi … Tu dois l'être, mais là pour ta défense, c'est elle qui a un truc coincé quelque part. Si elle prenait le temps de se détendre, elle verrait que t'es un mec cool. Sans prise de tête, qui profite de la vie comme elle vient. Tu n'y peux rien si tu n'arrives juste pas à te fixer. Ce n'est pas que tu veuilles pas, c'est juste que tu n'y arrives pas. D'où la nuance. Et puis tu précises toujours à la demoiselles tes intentions. Tu vas pas lui faire croire aux contes de fées si ton objectifs est de te la taper et partir au petit matin. Être franc voilà l'un de tes objectifs avec ces demoiselles. Apparemment ta franchise n'a pas l'air de plaire à miss Avery. Les femmes jamais contentent, voilà pourquoi tu es très bien tout seul. Que tu n'es pas désireux d'avoir un boulet à ta cheville. Franchement tu plains Sean de s'embarquer dans cette aventure. Il y a tellement d'aventures à voir, fin ceci n'est que ton avis. Tu as tenté de lui faire ouvrir les yeux, mais apparemment l'amour rend fermement aveugle. Tu l'as bien compris ce dicton à présent. Au pire, c'est son délire à lui et celui de ton frère … Et qu'on se rassure : ce n'est pas prêt d'être le tien. Oh que non, plutôt mourir que de prendre femme pour épouse.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire de toi, soit que tu es un bon à rien. Ce n'est pas toi qui le dit, mais la personne qui se trouve chez toi. Oui, elle te l'a déjà dit. Pour toutes réponses ? Tu lui as rigolé au nez avant de boire ta bière. Son avis t'importe peu, mais … il importe à Sean. D'où le fait que tu fasses des concessions ce soir. Et on t'y reprendra plus. Elle te laisse apparemment une dernière chance, tu saisis la perche. Histoire de voir la hauteur avant de sauter … Le vide n'a jamais été ton délire. Enfin pas que tu aimes sauter dans le vide, mais bon métaphoriquement parlant … Tu t'embrouilles déjà dans ce qui te sert de passoire, enfin non de cerveau. La faute à Avy, c'est elle qui te détraque le cerveau. L'espace d'une demi seconde, tu penses que tu vas finir comme elle. Soit que tu vas changer d'avis comme de chemise. La peur apparaît sur ton visage, avant de te raviser. Et puis quoi encore ? Tu n'es pas aussi cinglé qu'elle. Oui parfaitement, à tes yeux : elle est cinglée et responsable de ta décadence. Du moins pour ce soir car tu lui épargnes les années avant votre rencontre. Préparant la mixture, oui parce que c'était là où tu voulais en venir. Le plat de ce soir. Comme quoi il t'arrive d'être gentil. Farfouillant dans tes placards, à la recherche d'un plat pour régaler vos papilles. Ce qui n'est pas gagné, mais tu ne baisses pas les bras. Tu peux y arriver. Toute façon si ça lui plaît, elle peut toujours prendre ses clics et ses claques et rentrer chez elle. Tu ne la retiendras pas … Oui, mais demain Sean il va te massacrer. Car vu le spécimen, elle serait capable de rajouter des conneries à ton tableau. Mauvaise idée. En gros tu es clairement dans la merde et cette horrible musique qui résonne à présent dans ton appartement … Tout sauf ça. Tu ne supportes pas ce style. Tu en as même horreur. « Non mais s'il te plaît, remets ma musique là ! » Dix ans d'âge mental et après on ose te faire la moral. Eh bien c'est du propre tout ça. Tu te marres en voyant sa tête, cherchant à présent ce que tu pourrais mettre. Un truc qui va lui faire péter un plomb. Pour sûr. Vous avez toute façon des goûts à l'opposé. Sauf que ce soir, tu n'as pas envie de mettre ta playlist habituel. Non ce soir, une partie de toi a envie de la faire chier. Une partie seulement ? « Et je m'en fou du cheedar ! J'ai pas faim ! Je veux danser et j'ai trop chaud ! Vas-y, on va se baigner ! » Bloquant ton regard dans le sien .. Tu ne sais pas comment tu dois prendre cette proposition. Mais en tout cas elle est enjouée à l'idée d'aller se baigner. « Oublies t'as pas de maillot.» que tu lui dis en levant les bras en direction de ta cuisine. Vous auriez été du genre plus 'proche' tu lui aurais proposé un bain de minuit en sous vêtements… mais là. C'est tout de même la donzelle de Sean et on arrête les conneries. Tu n'as pas envie de mourir si jeune… surtout avec un physique pareil. Non, tu ne veux pas. Alors tu vas calmer ses ardeurs de poney en chaleur.
Le temps s'écoule et le poney te suit. Pire qu'un poney un vrai teckel quoique non. Tu cherches une race qui tire tout le temps la gueule. Un bouledogue, truc du genre. Décidément tes parents auraient vraiment dû t'offrir un chien lorsque tu étais gamin. Peut-être que ça t'aurais évité par la suite les comparaisons animales avec ton entourage … Peut-être, mais il est trop tard pour revenir là dessus. Beaucoup trop tard. Comme l'heure qui tourne et vous qui ne captez que dal. Toi tu veux manger. Elle en a décidé autrement. Et là. Là c'est le DRAME ! Oui madame que tu dirais à tes collègues du poste. Le drame de ta vie vient de se produire sous tes yeux. Le paquet de Cheedar qui explose en l'air. Un ciel orange, pire que lorsque les cheetos ont volés en éclat. Bataille qui a fini par vous restant dans votre chambre pour le restant de la soirée. Enfin d'après toi, c'était une bonne soirée. Et tu as battu Ryan pour le nombre de Cheetos dans ta bouche. Fier d'avoir une plus grande bouche que lui. Cette dernière que tu ouvres en ce moment même pour gober le plus de fromage possible. Elle ne t'aura pas. Oh que non. C'est le tien. À toi. Rien qu'à toi. Sauf que bah non … L'autre truc orange, qui n'est pas aussi appétissant que le fromage en a décidé autrement. Alors d'abord elle rouspète. Puis elle gueule. Elle ne sait pas ce qu'elle veut, quoique si : te pourrir la soirée. En tout cas mission réussit et après on va ENCORE dire que c'est de ta faute. On aura tout vu. « Je crois qu'on a prit un truc ! » Fronçant les sourcils, qu'est-ce qu'elle raconte encore. Pris un truc ? Elle si elle veut, toi tu vas bien. Très bien même. Bon il est où le fromage. Au sol. C'est malin, tu vas pas te ruer par terre … elle va te prendre pour un gros dégueulasse si ce n'est pas déjà le cas. Tu lui épargneras cette image de toi léchant le sol à la recherche de truc orange. « C'est pas normal ! J'ai des envies de me déguiser en licorne et de baigner avec les dauphins. Je suis pas enceinte, t'es pas enceinte. Non clairement. » Plissant les yeux, t'essaies de comprendre ce qu'elle te raconte. Oui tu essaies, tu mets du coeur à l'ouvrage. « Euh … - T'as mit un truc dans la bière, j'suis sûre ! » Qu'elle te coupe. Fermant la bouche. Bah voilà, tu te fais encore accusé, il ne manquait plus que ça. En plus de ça elle prend carrément ses aises chez toi. Tu la regardes se percher sur sa cuisine. « Jt'en pris, - Ça me fait comme la fois où j'ai essayé le gaz à l'hôpital pour les gamins. » C'est qu'elle t'écoute même plus la Bree. Elle est partie dans son délire. « Tu m'as drogué ! - Mais oui bien sûr et après ça va être quoi ? Que jt'ai violé ? Arrêtes de prendre tes rêves pour la réalité ! » Lui dis tu en pointant la cuillère en bois sur elle. Oui tu prends tes distances, on ne sait jamais avec ces machins là.
Toi à l'autre bout de la pièce. Elle qui reste percher sur son perchoir. Petit oiseau, si tu n'as pas d’aile, et bien tu restes clouer le cul sur le table et tu fais chier. Exactement. Drôle d'oiseau qui t'a ramené encore Sean. Il aurait pu s'en passer. Tiens d'ailleurs en pensant à lui. « Puis il est où Sean d'abord ? » tu sors ça tranquillement, à la limite du normal. La laissant sur son perchoir, ses yeux qui divague. « Eh oh le dauphin des mers, ça te dirait pas de bouger un peu, il fait chaud ici ! C'est ta faute ça. » Elle est en train de bouffée toute la bonne air. Contaminant cette dernière et toi ça arrive doucement vers toi. Parce que tu ne peux pas faire autrement. Tu t'empêcherais bien de respirer, mais il paraît que ce n'est pas conseiller. « J'emmène ça » Tu attrapes un paquet au hasard. La regardant, elle a l'air bien. « Bon le piaf bouges tes fesses, l'océan nous appelle !» Que tu lui sors, naturellement. Prenant grand soin de tout éteindre. Voilà qu'elle te suit. Tu te stoppes, elle te rentre dedans. Tu ne captes pas. « T'as pensé à prendre les canards ? » Que tu lui dis naturellement. Oui parce qu'il ne faudrait pas les abandonner les pauvres. Une poignée dans la bouche, bon sang que tu as faim. Ce qui est habituel chez toi, tu as toujours faim, mais différemment. « Allez Georgette on part à l'aventure ! » Ouvrant la porte de ton appartement en grand. Un cookie dans la bouche, oui tu l'as trouvé sur la route. Il t'appelait. T'en prends un pour Cady non ce n'est pas comme cela qu'elle s'appelle. Tu te passeras de lui demander, avant qu'elle s'excite à nouveau sur toi. Oui tu tiens à ta vie. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) Lun 24 Juil - 23:42 | |
| « In the time of chimpanzees, I was a monkey. Butane in my veins and I'm out to cut the junkie, With the plastic eyeballs, spray-paint the vegetables. Dog food stalls with the beefcake pantyhose, Kill the headlights and put it in neutral. Stock car flaming with a loser and the cruise control, Baby's in Reno with the vitamin D. Got a couple of couches, sleep on the love seat. » cade and avery » cady, loser, glee cast. ( song) La soirée avait défilé plus vite que la musique est été rapidement, devenue étrange. Ou alors, est-ce Avery qui n'était plus elle même ? La deuxième solution semblait la meilleure, puisque sincèrement, la belle ne se reconnait plus mais n'avait pas non plus la conscience de le voir pour se remettre en question. Elle suivait le rythme de son cerveau qui tantôt aller vite, tantôt ramer grave ! De quoi en perdre l'esprit par moment. Une situation des plus étranges qu'elle n'avait pas vu venir, et ne s'était donc rendue compte de rien. Cade se mettait en cuisine tandis qu'il semblait vouloir qu'elle bouge de son champ de vision. Eh Ok ! Elle le gênait mais ne faisait rien ? Vous voyez le genre ? Bon, bref. La belle finit par rejoindre la chaine hifi. Un peu de musique ne ferait pas de mal et elle avait une envie folle de bouger son corps ce soir ... Sur une piste de danse, bien entendu. ( ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.) Seulement, la jeune femme n'eut même pas le temps de faire deux pas que déjà, Cadenator avait changé le doux son qui résonnait dans la pièce. Réaction : puérilité. Non mais bordel ! Elle l'avait pas sonné ! Se devait-il toujours de la contredire ? Apparemment, c'était son sport préféré de la soirée. Puis merde, elle ne pouvait pas rester comme ça, à ne rien faire. Avery avait envie de bouger, de danser, de se baigner. Et d'ailleurs, elle en fit part à Cade. Après s'être battu pour la télécommande. Et comment changer de sujet, d'humeur, en un millième de seconde. Oublies t'as pas de maillot. La belle fronça d'abord les sourcils, scruta la chose en face d'elle et fit mine de réfléchir. Oui, mais non, elle n'arrivait pas à réfléchir. Finalement, elle haussa les épaules, elle devait se rendre à l'évidence, il avait raison ! Mais n'empêche qu'elle se serait bien baigner quand même ! Puis bon, un maillot, ça se trouve partout non ? Puis, qui a dit qu'il fallait forcément enlever ses fringues pour se baigner ? HEIN HEIN ? Seulement, jusqu'à ce qu'elle arrive à cette réflexion, Cade avait déjà disparu dans la cuisine et du coup, beh c'était trop tard pour le dire. Les revoilà dans la cuisine, Cade bouche grande ouverte à la pêche au formage qui tombe du ciel. C'est à ce moment là que son cerveau fit "clic" (oui oui, tout à fait possible.) Ce moment où vous vous rendez compte d'un truc pas normal. Ce moment là. C'est ce que vivait Avery. Du coup, son cerveau faisait "clic", elle regardait la scène, se posait un million de question avant d'enfin trouver la réponse à ce qui était la soirée la plus bizarre de sa vie. Forcément ! Il n'y avait que ça de logique à son comportement, ses envies et ses maux. Cade l'avait drogué ! Ça ne pouvait être que Cade de toute façon, c'était le seul dans la pièce le moins net des deux. Elle lui en fit donc part. Fallait qu'elle sache. Qu'il sache aussi. Bref, que tout le monde le sache ! Mais il ne semblait pas vraiment respectif à ses dires. DÉMASQUÉ ! ahah ! Elle avait prit ses aises, s’asseyant sur le plan de travail, tandis qu'elle menait jusqu'au bout sa réflexion du moment. Pour rien, tout ceci n'était qu'une évidence. Ils n'étaient pas dans leur état normal. Du coup moins, elle, c'était certain. Parce que bon, elle ne connaissait pas suffisamment le spécimen pour savoir quand il était normal ou non. Mais oui bien sûr et après ça va être quoi ? Que jt'ai violé ? Arrêtes de prendre tes rêves pour la réalité ! Beurk. Avery se mit à grimacer. Non aucunement. Elle ne voulait pas se faire violer ! C'était quoi ces idées de merde ? Elle le regarda de haut en bas. Il faisait peur là. Elle s'installa plus dans le fond du plan de travail, histoire de mettre la distance nécessaire entre eux. Il avait de ces idées franchement. Je ne vois pas pourquoi le fait que tu me viole soit un rêve. Oui, c'est vrai. BIZARRE CE MEC ! Qui rêve de se faire violer de nos jours ? Ou même, depuis toujours ? Personne. Il avait dû regarder un sale film encore. Toujours assise sur le plan de travail, elle balançait ses jambes de haut en bas, essayant de mener à bien sa réflexion du moment. Oui, mais en fait, non. Parce que son cerveau n'arrivait pas à réfléchir. Il tournait encore moins vite qu'une deux chevaux. Cade était loin. Genre super loin ! A l'autre bout de l'appartement depuis qu'elle avait lancé le sujet de la drogue. Est-ce qu'il avait prit peur ? Sans doute. Mais qu'importe, Avery pensait que ça faisait à peine deux secondes qu'elle était en pleine réflexion, alors qu'une bonne demie heure c'était déjà écoulée. Puis il est où Sean d'abord ? Ah tiens. Il parle maintenant ? Sauf qu'elle ne pigeait rien et finit par tourner la tête vers Cade, surprise d'entendre sa voix. Oui, elle est encore chez lui. AH MERDE ! Elle entrouvrit plusieurs fois la bouche, fronça les sourcils tout en le regardant mais n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit, que déjà, il ouvrait encore sa bouche pour parler. Eh oh le dauphin des mers, ça te dirait pas de bouger un peu, il fait chaud ici ! C'est ta faute ça. Ce n'était pas ce qu'elle avait proposé plus tôt ? Non parce qu'avec lui, Avery avait l'impression de perdre la tête. De ne plus savoir où elle en était. Il se bougeait enfin mais elle non. Pas tout de suite. Elle était encore restée sur la première question, se demandant bien si elle n'y avait pas déjà répondu en fait. Levant les yeux vers le plafond, faisant mine de réfléchir. Je te l'ai pas dit ? Il est au boulot ! Si, elle l'avait dit ! J'ai l'impression de vivre un déjà vu en fait avec toi. Oui voilà, c'était le mot. Sauf qu'il était déjà passé à autre chose, attrapant un paquet de je ne sais quoi et commençant à éteindre toutes les lumières. Ah ok ! C'est l'heure de partir ? Bordel, il allait bien trop vite pour elle. Ou c'était elle qui était bien trop lente ... Dans tous les cas, ils n'étaient pas accordés du tout. Bon le piaf bouges tes fesses, l'océan nous appelle ! Oui oui, elle arrivait, le temps de descendre et de retrouver l'équilibre de ses pieds. Pas si simple qu'il n'y parait. Elle finit par le rejoindre et oh ... BAF ! Elle l'avait vu bien plus loin et se le prit en pleine face. Son crâne. La belle frotta son front. Il s'en fichait. Ou n'avait simplement pas remarquer qu'elle lui était rentrée dedans. Les deux options étaient tout à fait possible, quoi qu'il en soit. T'as pensé à prendre les canards ? Hein ? Quoi ? Les canards. Tout en se frottant encore la tête, Avery chercha autour d'elle de quoi il pouvait bien lui parler. Des canards. Y avait des piafs dans l'coin ? Elle n'avait pas le moindre souvenir d'en avoir croiser ou même entendu. Décidément, il lui faisait perdre l'esprit. Des canards ? Mais quels canards ? Question de logique. Non vraiment. C'était n'importe quoi. Dans tous les cas, la question resta sans réponse puisqu'il passa à autre chose, l'appelant aussi par un prénom des plus moches ! Décidément. La nuit risquait d'être longue, bizarre, amusante. Bref, tout sauf normale ! Grincements. Picotements. Odeur de brûler. La lumière du jour vint titiller ses paupières fermaient et aussitôt, elle grimaça, un mal de crâne immense sonnant la fin de sa nuit, dans son crâne. C'est quoi ce bordel ? Oui, ce fut la première réaction d'Avery lorsqu'elle ouvrit les yeux, alors qu'elle se trouvait dans une posture des plus étranges. Surtout pour elle. En effet, la jeune femme venait de sortir de son sommeil, allongée dans une baignoire inconnue, les pattes en l'air. Elle portait encore ses fringues (et heureusement finalement), tandis qu'un ronflement inconnu se faisait entendre non loin d'elle. Elle avait la tête dans le pâté. Sa main vint fracasser le sommet de son crâne, tandis qu'une grimace faisait irruption sur son visage fatigué et meurtri par une longue nuit ... à ne pas dormir ! Oh merde ! Elle mit bien deux minutes à émerger, se rendant donc compte qu'elle était dans une baignoire et pas chez elle. ET MERDE ! Sean ! Un peu trop rapidement, elle se releva, essaya de sortir de cette fichue baignoire et BAM ! Le drame. La chut. Ses pieds avaient heurté un corps inerte sur le sol et elle avait fini par tomber à la renverse, réveillant l'monsieur par la même occasion. Cade. Damn it ! Bordel ! Mais on a foutu quoi ? Oui, c'était le mot. La belle se releva, un peu trop vite d'ailleurs et failli bien tomber à la renverse, se rattrapant sur le bord du lavabo. Elle l'entendait marmonner dans sa barbe, encore endormi. Son regard croisa celui du miroir et elle cru prendre peur. Quelle mine affreuse franchement ! On aurait dit qu'elle avait prit dix cuites d'affilées, sans dormir. Avery finit par se mettre un coup d'eau sur le visage puis se tourna vers Cade, toujours allongé sur le sol carrelé. Elle lui donna un léger coup de pied dans le dos. Et oh ! Tu te réveilles ?! Un peu brusque comme façon de faire. Mais elle s'en fichait. Sean devait être inquiet ! Et puis merde ! Elle n'avait pas besoin de Cade réveillé pour se tirer sur le champ et trouvait une bonne excuse à son retard. Ou plutôt, au fait qu'elle n'était pas rentré dormir. Mais quoi comme excuse ? Aucune. Elle ne savait pas mentir. Je t'interdis de dire quoi que ce soit ! finit-elle par ajouter, alors que la porte de la salle de bain claquée déjà dans son dos. Plus jamais de soirée avec Cade Braxton. Il ne sera jamais son ami. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: — don't forget the cookies (cady) (#) | |
| |
| | | | — don't forget the cookies (cady) | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|