" l'amour brille sous les étoiles .. " + emydge.

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" L'amour brille sous les étoiles, D'une étrange lumière, La terre entière, en parfaite harmonie, Vit sa plus belle histoire. "

edwy' & emy'

Vers dix neuf heures dans l'appartement d'Emy' se situant à l'ouest d'Island Bay, le chiot de quelques mois répondant au prénom de Nell appartenant à la race canine des bouledogues français de moins de dix kilos au corps trapu et court, aux babines pendantes et à l'imposante musculature encore en cours de développement s'approchait à grands pas vers la porte bien que ralenti par les légers sauts qu'il faisait en même temps parce que ses grands yeux globuleux s'assuraient que la jeune femme le suivait de près. Après un « Oui, oui. On y va, ne t'inquiètes pas. » en posant son regard un court instant sur la bête, l'organisatrice d’événements prit la laisse au cordon gris d'un nombre de mètres acceptable soit, qu'il soit en mesure de vagabonder à la découverte des espaces publics d'Island Bay tout en étant à une distance qui permet à Emy' de prendre le contrôle sur l'animal en cas de besoins et le lui mit à la boucle en acier se trouvant sur ce bout de tissus banc qu'il a autour du cou. Après un « Allez, c'est bon. » la jeune femme prit de la monnaie et son téléphone portable que sa main droite libre, mit dans une des poches de sa veste qui se mariait à la tenue d'Emy' qui se trouvait être vêtue d'un jean à trous et d'un haut à manches longues bleu, avec des baskets en toile. Rapidement, s'en suivit la fermeture de la dernière lumière de l'appartement éclairant encore le deux pièces lui servant d'habitation depuis deux ans environ et la fermeture de la porte d'entrée après deux tours de clefs.

Dehors, depuis dix sept heures environ l'étoile de type naine jaune du Système Solaire - le soleil - a disparut de manière progressive au profit de l'apparition de l'unique satellite naturel de la Terre - la lune - dans le ciel néo zélandais qui fut suivit de près par un tas de points lumineux - les étoiles - dès que les lumières jaunes provenant des lampadaires longeant les rues et les routes d'Island Bay étaient devenues les seules sources d'éclairages pour les habitants à pieds et ceux assit derrière le volant d'un transport à deux ou quatre roues à cause du paysage nocturne que procurait la teinte prédominante du ciel. Après un « Oh, pardon. » avec une fine grimace inscrite sur les lèvres à l'égard d'un passant ayant perdu quelques peu l'équilibre lorsque le flanc droit d'Emy' le bouscula parce que si lors de la promenade le long de l'accotement son corps les amenait instinctivement dans un autre coin d'Island Bay, l'esprit de la jeune femme vagabondait dans ses histoires familiales et ses problèmes actuels en admirant longuement les points lumineux blancs entre deux vérifications de son environnement courts instants.

Vers dix neuf heures quarante cinq en même temps qu'un « Attend, Nell. On s'arrête là un instant. » d'une voix au volume pas trop fort, Emeline ralentit l'animal en tirant un peu sur le cordon gris en arrivant près d'un magasin dans lequel les professionnels proposaient à la vente un grand nombre de fleurs et d'autres végétaux aux couleurs, aux parfums et aux formes divers se situant à l'est d'Island Bay. Au « Bonsoir, Comme d'habitude ? » de l'homme qui sortit des locaux, l'organisatrice d’événements fit un mouvement de la tête de haut en bas suivit d'un « Bonsoir, Oui s'il vous plaît. » avec un sourire inscrit sur les lèvres. Alors que le chiot à la tâche blanche dans le cou se trouvait être à la recherche des marchandises sous la devanture responsables des odeurs qui parvenaient jusqu'à ses narines, l'homme fit à nouveau son apparition avec le bouquet de quelques fleurs dans les mains qu'il tendit à Emy' qui n'eut pas besoin de l'annonce du prix pour lui tendre l'appoint avec la monnaie qui se trouvait jusque là dans une des poches de sa veste qui ne la protégeait guère de la température fraîche de la saison. Un « Merci. Au revoir. » avec un nouveau sourire inscrit sur les lèvres mit fin à cet arrêt.

Aux alentours de vingt heures, ils passèrent les portes du portail de cet espace funéraire regroupant un nombre incalculable de tombes plus ou moins entretenues en fonction de la date de l'emménagement des habitants. Après un, « Nous y sommes, Nell. » Emy' s'accroupit afin de libérer le chiot de l'emprise de la laisse au cordon gris en même temps qu'un « Ne t'éloignes pas trop, hein. » alors qu'il partait déjà à la découverte de cet environnement qu'il côtoyait déjà plusieurs fois dans la semaine depuis qu'il vit avec Mlle. S. Mais, après à peine quelques mètres parcourut, son « Nell .. Nell .. » d'une voix basse marquait la perte de vue de l'animal dans la pénombre du lieu. En même temps qu'un « Nell .. Allez vient .. Nell .. » la jeune femme de vingt trois ans marchait à grands pas à travers l'endroit. Heureusement à un moment, de légers aboiements conduisirent Emy' jusqu'à l'animal et un homme assit sur l'herbe : alors que son corps fit un arrêt net dans son élan,
un « Ed .. Edwy ?! » sortit de manière maladroite de sa bouche alors que le chien s'éloignait du jeune homme afin de la rejoindre suivit d'un « Qu'est ce .. » alors qu'Emy se baissait afin de lier à nouveau la bête noire au cordon cachant par la même occasion les fleurs dans son dos. Enfin, après un « Je ne vais pas .. Je .. Je m'excuse, pour le chien ! » alors que son corps revint au position verticale, Emy' s'apprêtait déjà à le laisser à ses occupations comme le montraient les quelques pas faits en arrière en même temps ..

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Encore, encore une engueulade. Avec qui encore ? La plus jeune, la plus jeune de mes sœurs malheureusement. Je n'arrive pas avec elle. Je n'arrive pas a avoir les mêmes propos que ma mère avec cette petite tête blonde. Oui, oui elle m'énerve et je n'arrive pas a me contrôler pas ce soir. Je n'ai même plus envie de faire d'effort avec ma famille. Plus qu'aucun effort avec personne. Alors que j'essaye de la résonner dans ses stupides propos alors quoi ? J'ai mon frère aîné quelques années a peine qui se mêlent de toute la conversation. Il me demande de me calmer, c'est encore bien trop tendu entre lui et moi. Alors me calmer c'est encore bien plus dur. J'essaye, j'essaye de m'expliquer de lui dire que la plus jeune est entrain de foutre sa vie en l'air et que personne, personne dans cette maison ne s'en soucis ou même le remarque. Alors oui je suis une boule de nerf ce soir. Mais plus je hausse la voix plus la plus jeune se met à hurlé dans la maison qui fout en rogne tout le monde ici. Le plus grand lui dit qu'elle peut dégagé à sa foutu soirée et commence à me prendre à part. Sous la véranda, là ou très peut de gens de cette maison peut entendre mais surtout, surtout quand ils savent que nous sommes ici c'est bien pour quelque chose : nous expliqués sans que personne en le sache. « Putain Ed, calme toi enfin ! On sait que tu as le même caractère que ton père mais bordel c'est pas en lui hurlant dessus que ça va arranger les choses. » « Tu sais rien de cet homme et ne me compare pas à lui, pas toi Laszlo ! » « Je l'ai connu je te rappelle, avant que tu naisses. Faut que tu te calmes quand même s'il te plait. » Je pouvais voir qu'il fait un effort, effort pour ne pas crier mais moi je suis a bout, à bout de nerf. « Vous me gonfler tous, j'vais m'barré de cette putain d'barque ! » je dis tellement fort que tout le monde l'entends surtout que je sors de la verranda en même temps. Je le laisse là en plan, j'attrape la première veste qui me vient sous la main -celle de Laszlo malheureusement- puis j'enfile mes baskets et je l'entends dire « Ed attend bordel... » mais trop tard, trop tard j'ai déjà claquer la porte d'entré pour fuir d'ici. Je sais que ça la blesser ses paroles mais là, je m'en fous. Je ne pèse pas mes mots et ça, je tiens ça de ma mère. Ma pauvre mère que j'ai pas encore eu le temps d'aller voir cette semaine. Je m'éloigne de la maison a grand pas, le plus vite que je peux pour qu'il ne me rattrape pas. Je passe mes mains dans mes poches de jean pour attraper mes écouteurs que je branche et que je mets ma musique pour me calme. Je fouille dans mes poches pour prendre mes cigarettes et en fumer une puis deux... a la suite malheureusement. L'heure ? Je m'en fou, je sais juste qu'il fait nuit est c'est le meilleur moment pour aller voir ma mère. Je n'aime pas y aller en plein jour. Cette constellation, ses étoiles qui brillent dans le noir me fait passer en soirée qu'on passait tout les deux dans la véranda a parler, rigoler mais tout simplement en regardant les étoiles. Bien trop a cran pour regarder ou je vais, mais je sais que mes jambes connaissent le chemin. Je sens mon téléphone vibré : « Ed t'es où, je te rejoins, s'il te plait... Je ne veux pas te laisser seul pas maintenant. » Laszlo qui m'envoie un premier message, puis un second : « On n'est pas en si bon terme mais... bordel t'es mon p'tit frère et ouais j'veux que ton bien ! Répond moi s'il te plait... » Je soupire puis coupe et le son et le vibreur je veux plus savoir qu'il m'envoie des messages. Je pousse doucement la porte du cimetière et ouais, je ne cherche plus du regard l'endroit ou se trouve ma mère. Ma pauvre mère. Une fois arrivé, je coupe tout, ma musique et je range mes écouteurs dans les poches de la veste de mon frère. « Maman... » je dis dans une petite voix déjà briser par les larmes qui sont aux gouffres prêtent a dévalés mes joues. Je me laisse tombe sur le sol en tailleur. L'herbe mouiller ? Je m'en fous. Je viens alors lui parler. C'est bête mais c'est habituelle. Je me fais pardonné de ne pas être venu plutôt puis je lui explique tout se qu'il se passe à la maison. Malheureusement mes larmes dévalent mes joues. J'en peux plus de cette situation, j'en peux plus de cette tension qui pèse sur la maison mais surtout que... que je ne me sens plus à ma place depuis qu'elle est partie. Je viens reprendre une respiration, essuyer mes joues jusqu'à se que se petit chien arrive vers moi. Non pas par méchanceté. Je souris doucement et je tends doucement ma main pour qui la sente et il se laisse caresser. Je ne reconnais pas ta voix, ni même je ne prête pas attention au prénom du chien c'est au moment ou j'entends mon prénom « Ed .. Edwy ?! » c'est la que ta voix, ta douce voix me percute les tempants. Bordel, comment j'ai pas pu te reconnaître. Je me racle la gorge pour ne pas montré que je viens de fondre en larmes. « Ooh.. Emy ! Je t'avais pas reconnu dans l'obscurité ! » je souris faiblement pour te montré que oui, oui tu ne me dérange pas. « Qu'est ce .. » je te vois reculer et secoue la tête de gauche à droite. « Je ne vais pas .. Je .. Je m'excuse, pour le chien ! » je le refais à nouveau en te regardant et te fais un petit signe de la main de venir vers moi. « T'en fais pas, il est adorable. Et... t'en fuis pas s'il te plait... » je dis doucement en perdant mon sourire, et surtout d'une voix légèrement tremblante. En vérité j'ai pas envie d'être seul, mais accompagner, surtout pas de ma famille à ce moment même j'ai l'impression que tu tombes pile au bon moment.

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A son « Oh .. Emy ! Je ne t'avais pas reconnu dans l'obscurité ! » avec un faible sourire inscrit sur les lèvres, la jeune femme de vingt trois ans fit un succinct mouvement d'épaules de haut en bas en même temps qu'un « Oh, ce n'est rien. » avec un discret sourire inscrit sur ses lèvres. A vrai dire, si cela faisait cinq ans qu'Emy' venait dans ce lieu de recueil à de nombreuses reprises dans la semaine a des heures dépendants le plus souvent de son quotidien, ça ne faisait que quelques semaines que le chiot l'accompagnait à chaque fois là bas. Alors, si jusqu'à l'adoption de l'animal, Emy' ne se préoccupait pas du taux de fréquentations du lieu funéraire par les membres de la population néo zélandaise, à présent l'organisatrice d’événements le faisait en tenant en laisse la bête noire à la tâche blanche dans le cou lorsqu'ils s'y rendaient en plein jour afin qu'il n'entravait pas le temps de recueil de quelqu'un. Mais, dès que le soleil a disparut au profit de la lune et des points lumineux blancs, Emy' à l'habitude de libérer le chiot de l'emprise du cordon qui l'empêchait de partir à la découverte des odeurs et des habitants minuscules des lieux parce que vers vingt heures le lieu est désert. Du coup, si la jeune femme avait vu Edwy assit dans l'herbe au pied de la tombe de sa mère disparut sept mois plus tôt, Emy' n'aurait pas prit le risque de perdre le contrôle sur le chien au point d'être là face à lui avec un bouquet de fleurs dans les mains alors qu'il n'est pas au courant de la mort de sa mère qui a eu lieu il y a déjà cinq ans alors qu'ils étaient en secondaire.

Alors que le jeune homme de presque vingt quatre ans faisait à plusieurs reprises des mouvements de la tête de droite à gauche avant de lui faire un signe de la main en sa direction, Emy' reculait de quelques pas. A son « Ne t'en fais pas, il est adorable .. » un fin sourire apparut au coin de ses lèvres. En fait c'est à l'un des refuges pour les animaux - des chiens et des chats - d'Island Bay qu'Emy' a vu pour la 1ère fois le chiot de la race canine des bouledogues français qui sont des molosses d'environ trente centimètres et de quinze kilos au maximum à l'âge adulte. Après un temps relativement court au sein des locaux, Emy' sortit avec la boule de poils courts avec le museau aplati, la mâchoire puissante ainsi qu'aux oreilles longues, rondes et pointées vers le haut dans les bras l'amenant dans son appartement se situant à l'ouest d'Island Bay. Maintenant, ça faisait quelques semaines qu'ils cohabitaient dans le deux pièces et la jeune femme n'avait eut aucuns problèmes majeurs avec l'éducation de son chiot au bon caractère.

Quant à son « Et .. Ne t'en fuis pas s'il te plait .. » l'organisatrice exerçant au sein de l'entreprise, Magic Event ne fit plus aucuns pas dans la direction qui l'éloignait lentement d'Edwy en remarquant que ce faible sourire n'arborait plus ses lèvres et les légers tremblements dans sa voix. Après un brin d'hésitations qui se traduisit par un mouvement de son corps vers la droite et vers la gauche tout en se pinçant la lèvre inférieure suivit d'un « Je .. Je reste, d'accord ! » la jeune femme réduisit à nouveau la distance entre eux tout en retirant une des fleurs composant le bouquet. Emy' s'accroupit légèrement afin de le déposer sur la tombe de la mère d'Edwy avant de s’asseoir sur l'herbe près de lui. En même temps qu'un « T'inquiètes pas .. Une pour toi aussi ! Pas de préférences comme ça .. » avec un.brin d'amusement dans la voix Emy' lui tendit la fleur restante. S'en suivit un « Je crois que ça me vaut bien un p'tit sourire .. » en battant des cils avec une mine angélique inscrite sur le visage et d'un « .. Au lieu de cette p'tite mine triste .. » à la suite alors que son index droit faisait des ronds devant le visage d'Edwy avant que son épaule ne le bousculait légèrement et qu'un sourire arborait ses lèvres tandis que le chien lui grimpait dessus aussitôt afin de se nicher dans le creux de l'un de ses bras.

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Je n'étais pas spécialement en forme mais pour être franc, te voir, voir quelqu'un qui n'est pas de ma famille me fait du bien malgré tout. Ce n'est pas parce que je viens régulièrement ici que je ne suis pas soulager de voir une personne à qui je tiens. Mais ta présence, pourquoi ? Pourquoi tu es ici toi... tu ne m'as jamais parler que tu avais perdu une personne cher à ton cœur, enfin on ne sait pas tout raconter non plus. Au moment ou tu te trouves a coter de moi et que j'exprime le fait de ne pas t'avoir reconnu ton faible sourire m'indique la vérité malgré tout. « Oh, ce n'est rien. » je fais un petit mouvement de la tête de haut en bas pour te signaler que je te crois et de toute façon je n'ai pas du tout envie de m'engueuler une nouvelle fois ce soir. Ce n'est ni le moment ni l'endroit en réalité. Je n'avais pas l'habitude d'avoir de la compagnie à cette heure là. J'aime pas venir quand il y a tout le monde, quand ils sont tous là a se recueillir. Pourquoi ils viennent tous à la même heure aussi ? Je ne sais pas, mais au moins le soir, en pleine nuit je peux être libre de parler de se que je veux, je peux même me laisser aller, pleuré sans que personne ne le remarque. Être fort devant mes frères et sœurs c'est pas si simple que ça. Je n'ai jamais été l'homme sans cœur qui ne pleure jamais mais qui s'énerve à la place. Non j'avoue et j'amuse être un homme sensible et ça, ça c'est toujours comme ça et ça le sera toujours ça ne changera pas d'aussitôt. Je viens alors te dire que ton chien est adorable. Je ne savais pas non plus que tu avais une petite bête à poile avec toi. Qu'est-ce que j'aimerais avoir mon propre animal moi aussi mais bon à la maison c'est pas simple du tout. Puis quand je te vois te reculer je te demande, d'une voix encore tremblante, de rester. Je n'ai aucune hésitation. J'en ai envie. « Je .. Je reste, d'accord ! » Je ne remarque pas tout ce soir, ce soir c'est pas l'endroit ou je vais remarquer que tu hésites avant de t'asseoir. Mais la première chose que je remarque c'est les fleurs que tu déposes sur la tombe de ma mère. Tu ne savais pas que j'étais ici mais... est-ce que en réalité toi aussi tu aurais perdu une personne cher à ton cœur et que tu ne me l'aurais pas dit ? J'ai envie de te demander pourquoi ses fleurs mais ça viendra plus tard dans la conversation. « T'inquiètes pas .. Une pour toi aussi ! Pas de préférences comme ça .. » a ta voix légèrement amuser pour détendre l'atmosphère, je te laisse prendre une fleur et me la donner. Je la prends avec délicatesse puis je viens doucement l'apporter au bord de mes narines pour en sentir l'odeur. « Merci... » puis je viens doucement déposer mon regard sur ta personne. « Je crois que ça me vaut bien un p'tit sourire .. » je viens doucement sourire à t'es paroles. Je garde ma fleur que tu viens de m'offrire dans mes mains en te regardant toujours. Puis je te laisse montré mon visage triste. « .. Au lieu de cette p'tite mine triste .. » je souris un petit plus en laissant un petit rire se faire entendre. « Tu as raison, je suis désolé... » je garde mon petit sourire sur mes lèvres en gardant mon regard sur ta personne. « C'était un peu... difficile ce soir à la maison... » je viens doucement hausser des épaules de haut en bas en te regardant tout en pinçant doucement mes lèvres. Je viens doucement dériver mon regard sur la tombe de ma mère. « Alors je me suis... enfuit de la maison pour quelques heures sinon ça aurait mal tourner. » je soupire doucement je m'adresse à toi comme à ma mère. Elle savait très bien le caractère que j'ai, jamais, jamais on en est venu aux mains avec mes frères. Mais ce soir c'était le moment que je partes sinon j'aurais fais une connerie. « Enfin bon ce n'est pas grave... » je tourne délicatement mon visage pour déposer mes prunelles sur ta personne en venant doucement sourire. « Pourquoi ses fleurs Emy ? Tu ne savais pas que j'étais là pourtant... » je dis doucement, sans aucune pensée derrière, sans méchanceté vue que ce soir tout le monde prend mal se que je peux dire. Mais pas là, ça peut s'entendre à ma voix comme si j'en ai marre de m'engueuler, comme si j'en ai marre qu'on remette toutes les fautes sur moi. Je viens doucement faire tournée la fleur entre mes doigts en ne te quittant pas du regard. Mais avant que tu me répondes je viens doucement passer mon visage en arrière s'entend un petit air frais qui se dépose sur mon visage, je ferme un instant les yeux puis les ouvres à nouveau pour regarder le ciel. « La nuit est belle ce soir tu trouves pas ? » je veux aussi te mettre un peu à l'aise parce que si c'est se que je pense, c'est pas simple d'en parler. Je sais se que je dis, mais surtout c'était mon cas. Je n'arrivais pas à parler du fais que ma mère soit tomber malade mais aussi n'est pas survécu à cause de cette foutu maladie.

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Avant son « Merci .. » le jeune homme de vingt trois ans et demi prit l'espèce végétal restante qui composait le bouquet initial et vînt l'apporter jusqu'à ses narines afin d'en sentir l'odeur s'en dégageant. Il tenait entre ses doigts une plante - le lys - qui ne fleurit pas lors des périodes hivernales mais, les cultures étrangères rendaient possible l'achat de la plante majestueuse associée à la fois aux déesses grecques, à la Vierge Marie ou aux Rois de France sur le sol néo zélandais durant les trois cent soixante cinq jours de l'an. Il tenait entre ses doigts une plante à la centaine d'espèces présents à l'état naturel aux quatre coins du mal dans les zones forestières et montagneuses dont les pétales avaient une signification particulière en fonction de la teinte. Ici, le bouquet initial se composait de six fleurs : deux aux pétales blanches symbolisant à la fois l'innocence et à la fois l'amour pur et la noblesse ; deux aux pétales roses signifiant la tendresse et d'amour ; une aux pétales oranges symbolisant le désir et une dernière aux pétales rouges signifiant la passion. Là, il tenait entre ses doigts un lys aux pétales roses.

Au final, le bouquet qui se composait des fleurs favorites de Madame Strickland se retrouvait sur la tombe de la mère d'Edwy à cause de la tentative d'Emy' de détendre l'atmosphère. A en croire, le sourire qui apparut sur ses lèvres, le résultat est concluant. Mieux encore, avant son « Tu as raison, je suis désolé .. » le jeune homme de presque vingt quatre ans rit. Mais en fait, le lieu funéraire représentait l'endroit dans lequel aucuns citoyens n'ayant pas un membre de son entourage familial ou amical en position horizontale dans une tenue - costume ou robe - qu'ils auraient sorti pour une occasion particulière s'ils étaient encore en vie au fond d'une caisse en bois n'avaient pas le droit d'interdire l'expression inscrite sur le visage d'Edwy à l'instant d'avant où s'y reflétait en d'autres choses les conséquences d'un décès sur l'environnement de ceux encore en vie comme le soulignait son « C'était un peu .. compliqué ce soir à la maison .. » qu'il accompagna d'un mouvement d'épaules de haut en bas et d'un pincement de ses lèvres roses. Puis, à son « Alors je me suis .. enfuit de la maison pour quelques heures sinon ça aurait mal tourné .. » il tourna la tête vers la tombe de sa mère en soupirant. A ce moment là, Emy' posa sa main ne soutenant pas le chiot endormi au creux de son bras sur l'une des épaules d'Edwy. Enfin, après un « Enfin bon ce n'est pas grave .. » il tourna à nouveau la tête vers la jeune femme de vingt trois ans qui posa à nouveau sa main sur le pelage de l'animal, le caressant du bout des doigts.

Au « Pourquoi ces fleurs Emy ? Tu ne savais pas que j'étais là pourtant .. » de son ami, Emy' fit un mouvement d'épaules de haut en bas. A l'habitude, dès que quelqu'un s'intéressait de près à ses relations avec ses parents, la jeune femme concluait la conversation d'un, « Je n'ai plus de contacts avec eux. » à quelques détails près. Mais là, Emy' se trouvait dans un lieu funéraire en pleine nuit alors que son appartement se trouvait dans un autre quartier d'Island Bay avec un bouquet de fleurs dans les mains. En plus, la personne assise sur l'herbe à ses côtés, était Edwy. Alors, si son cerveau faisait le choix d'une variante de son mensonge, son coeur faisait le choix de l'aveu à ce jeune homme pour lequel ses sentiments avaient prit une tournure inattendue bien que pas réciproques. Heureusement, une brise de vent .. Est ce qu'à travers son « La nuit est belle ce soir tu ne trouves pas ? » le jeune homme de presque vingt quatre ans donnait une possible échappatoire à l'organisatrice dans l'événementiel ? Si c'était le cas, Emy' qui levait la tête vers le ciel lumineux ne la saisit pas. Après son, « Tu te souviens de ce que tu pensais de moi à l'époque .. » la jeune femme tournait la tête vers Edwy' suivit d'un « .. les sorties après les cours .. les absences .. les soirées .. » alors que sa tête se baissait sur la boule de poils immobile au creux de son bras. Après un, « .. J'avais juste besoin de me changer les idées .. de retarder mon retour à la maison .. » la jeune femme soupira légèrement suivit d'un « Je ne cherchais pas volontairement à rater mon diplôme .. » en faisant un fin mouvement d'épaules de haut en bas. Enfin, après un « Et tu te souviens quand est ce que ce drapeau blanc a fait son apparition entre nous .. » tournant la tête vers Edwy s'en suivit un, « J'aurais voulu que ça ne t'arrives pas aussi .. » d'une voix basse avec une légère grimace inscrite sur les lèvres.

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Me retrouver ici en compagnie je n'aurais jamais penser, mais surtout pas en ta compagnier, d'un coter ça me fait bizarre, bizarre de te voir ici de t'avoir à mes coter devant la tombe de ma mère. Ma pauvre mère qui me manque affreusement et que je n'arrive pas a me sortir du fait que oui, oui je l'ai perdu malheureusement. Je pense aussi que j'aurais pu faire bien plus pour elle pour qu'elle ne se tue pas à la tâche mais non je n'ai pas réussi et d'un coter j'ai... louper mon devoir de fils. Alors que je te demande de t'installer à mes coter car oui, oui je n'ai pas envie d'être seul mais aussi quand je vois que tu déposes les fleurs je me demande pourquoi, pourquoi tu as ceux-ci entre les mains. Après tout, tu vas surement me le dire. Quand je vois que tu en prends une, celle qui est roser pour me l'offrir je savais la signification et vue la déclaration que tu m'avais faites il n'y a pas longtemps je comprends pourquoi tu prends celle-ci. Au début j'ai du mal à sourire mais petit à petit il apparaît, légèrement mais il est là sur mon visage. La fleur de lys entre les mains entrain de l'apporter a mes narines pour en sentir l'odeur. J'adore. J'adore l'odeur de ses plantes et je sais que ma mère était fan des plantes mais aussi de fleur si elle pouvait les sentir... mais ce n'est pas possible. Je la fais doucement tournée sur elle même. La lys me fait tellement pensé aux pouvoirs, à la royauté mais aussi à l'amour. L'amour car cette odeur est tellement enivrante qu'on ne peut pas s'empêcher de continuer encore et encore de l'apporter a ses narines pour respiré cette odeur. Mais après tout ça je viens t'expliquer rapidement que c'est compliquer à la maison, mais j'aimerais tellement partir de là-bas, enfin mais je ne sais pas quand ça va pouvoir ce faire, je ne sais même pas si mes frères et sœurs vont m'en vouloir de mon départ. Surement, ça ne m'étonnerais pas mais j'ai besoin de partir pour souffler. Avoir des soirées comme ce soir je n'en veux plus. Je préfère passer de temps en temps même régulièrement et éviter les confis que... en avoir tout les jours. Ca me pèse de jour en jour. Après t'avoir dit que je me suis enfuis de la maison je pouvais sentir ta main se déposer sur mon épaule. Instinctivement je laisse mon sourire s’agrandir, c'était agréable d'avoir un peu d'attention, une douce attention, de la douceur tout simplement. De la douceur d'une femme. Douceur que je n'ai plus retrouver depuis un long moment. Même si ce n'est qu'un petit geste ça fait du bien. Je viens dépose mon regard marron sur ta personne laissant mon sourire sur mes lèvres en te regardant. Puis la question fatidique. Pourquoi ses fleurs. Voilà, elle est poser, mais sans méchanceté, sans arrière penser. Quand je vois que tu prends ton temps je me permets de penché ma tête pour déposer mon regard se les étoiles et te poser une seconde question un peut échappatoire ou pour te faire venir au sujet plus délicatement. Je sais l'être malgré moi. « Tu te souviens de ce que tu pensais de moi à l'époque .. » je redresse la tête pour te regarder doucement et hoche doucement la tête de haut en bas. Comme ne pas m'en souvenir ? « .. les sorties après les cours .. les absences .. les soirées .. » je me pinces doucement mes lèvres. Quel douceur j'étais adolescent quand même. Je peux m'en bouffer les doigts plus d'une fois. « .. J'avais juste besoin de me changer les idées .. de retarder mon retour à la maison .. » mais je t'écoute, je ne te coupe pas la parole, je vois que tu veux prendre ton temps et je te laisse le temps, de toute façon ici personne ne peut nous déranger à part si les morts se mettent à parler... « Je ne cherchais pas volontairement à rater mon diplôme .. » je mordille doucement ma lèvre inférieur. C'est vrai que je t'avais dis, dis que tu voulais juste louper ton diplôme en ayant le comportement que tu avais, mais je t'écoute et je pense comprendre, comprendre que non ce n'était pas volontaire vue se que tu es entrain de me dire.« Et tu te souviens quand est ce que ce drapeau blanc a fait son apparition entre nous .. » je te regarde doucement et murmure « Oui... » puis je te laisse continuer. « J'aurais voulu que ça ne t'arrives pas aussi .. » j'entre-ouvre doucement mes lèvres prêt a répondre quelque chose mais ça me vient, comme ça d'un coup. Je baisse doucement mon regard en ayant un peut la respiration de couper, puis je viens doucement relever mon regard sur ta personne. Ma main vient délicatement se déposer sur le haut de ton dos pour laisser mon pouce le caresser doucement. « Je suis désolée Emy... je... je ne savais pas... ça fait combien de temps ? » oui je me doute que tu parles de ta mère, que tu l'as perdu, mais ça, ça je ne sais pas depuis combien de temps. Ça m'avait un peut étonner que tu sois aussi compréhensive quand je t'es dis que j'avais perdu ma mère, pourquoi je ne l'ai pas penser plutôt. Je ne sais pas si c'est une bonne raison pour la quel on a tiré le drapeau blanc, mais au moins d'un coter on sait tout les deux qu'on ne s'engueulera plus, ou pas, ou je ne sais pas mais qu'on ne sera plus comme quand on était adolescent en faite. « Enfin si tu veux m'en parler bien sûr je ne te force pas hein... après, c'est pas facile malgré tout... » je dis dans un petit soupire, c'est dur pour ma part. Je garde ma main dans ton dos, mon regard déposer sur ta personne tout ça en délicatesse.

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" L'amour brille sous les étoiles, D'une étrange lumière, La terre entière, en parfaite harmonie, Vit sa plus belle histoire. "

edwy' & emy'

A en croire son mouvement de la tête de haut en bas, le jeune homme de presque vingt quatre ans se souvenait encore de l'opinion qu'il avait de la jeune femme de vingt trois ans à l'époque du secondaire lorsqu'ils avaient quatorze - quinze ans jusqu'à l'obtention de ce diplôme de fin d'études à dix huit ans. Peut être que si leurs chemins personnels et professionnels ne les avaient pas faits se croiser à nouveau dans les locaux de Magic Event après l'embauche d'Emy' environ deux ans auparavant, les avis d'Edwy' vis à vis de son ancienne camarade auraient disparus de sa mémoire définitivement. Pareil concernant les avis de l'organisatrice d'événements vis à vis du génie de l'informatique. En fait, comment est ce qu'ils avaient pu se faire l'opinion là l'un de l'autre ? Comment, est ce qu'ils avaient pu se faire l'opinion là l'un de l'autre sans en faire une révision au cours des trois ans dans le même établissement scolaire ? Même, comment est ce qu'ils avaient pu se faire l'opinion là l'un de l'autre et ne pas en faire une révision lorsqu'ils se sont rendus compte qu'ils exerçaient dans les mêmes locaux ? Du coup, en lien avec le « Oui .. » du jeune homme de presque vingt quatre ans, pourquoi est ce que la révision des avis de l'un vis à vis de l'autre n'avaient eu lieu qu'au moment du décès de la mère de la fratrie Z. sept mois auparavant ? Peut être parce que la jeune femme de vingt trois ans avait connu une perte similaire au moment de l'obtention du diplôme de fin d'études bien qu'aucuns membres de son entourage ne soit au courant. A son « Je suis désolée Emy .. Je .. Je ne savais pas .. Ca fait combien de temps ? » l'organisatrice sentit une des mains d'Edwy' se posait dans son dos, le pouce le caressant. Aussi, lequel des deux adolescents avaient eu les 1ers avis négatifs vis à vis de l'autre ? Est ce que c'est Emy' qui avait tenu en 1er des propos négatifs - prétentieux - à l'égard du jeune homme de presque vingt quatre ans engendrant les siens - rater son diplôme - à son égard ? A l'inverse, Est ce que c'est Edwy' qui avait tenu en 1er des propos négatifs - rater son diplôme - - à l'égard de la jeune femme de vingt trois ans engendrant les siens - prétentieux - à son égard ? Puis, s'il n'y avait pas eu la maladie de sa mère, est ce que la relation entre eux aurait prit la même tournure à l'époque ? Peut être, qu'il n'y aurait pas eu l'apparition d'un quelconque lien entre les deux adolescents sans le diagnostic du corps médical annonçant inévitablement la mort de sa mère. Au contraire, peut être qu'il y aurait eu l'apparition d'un lien plus positif entre les deux adolescents à l'époque. Après tout, le comportement d'Emy' lors des trois ans dans cet établissement ne se trouvaient être qu'un échappatoire à ses problèmes familiaux. A son « Enfin si tu veux m'en parler bien sûr je ne te force pas hein .. Après, ce n'est pas facile malgré tout .. » en soupirant, la jeune femme fit un mouvement d'épaules de haut en bas. En fait, pourquoi est ce qu'Emy' fit cet aveu à Edwy' concernant le décès de sa mère alors que les personnes de son entourage amical proches n'étaient pas au courant ? Peut être parce que ses sentiments ont prit une ampleur imprévue au fil de ces derniers mois bien qu'ils ne semblent pas réciproques. Mais final, est ce que la jeune femme n'aurait pas dû se contenter d'une variante de son mensonge habituel concernant sa relation avec ses parents ? Peut être qu'il ne se contenterait pas d'un « Je .. Non, tu ne me forces pas .. Mais .. Je .. » avec la voix aux hésitations flagrantes. Après tout, pourquoi est ce qu'Edwy' ne souhaiterait pas d'autres informations concernant l'après décès de l'un de ses parents ? En d'autres termes, concernant son paternel. En fait, pourquoi est ce qu'Emy' ne ferait pas cet aveu là, aussi ? Peut être parce que la jeune femme de vingt trois ans ne se sentait pas capable de verbaliser d'une quelconque manière les actes qui ont lieu entre les quatre murs de la demeure familiale un week end dans le mois environ. Après un, « Tu sais, il n'y a pas .. Je n'ai pas besoin d'en parler .. » l'organisatrice fit un mouvement d'épaules de haut en bas en espérant ne pas paraître trop distante d'un coup. Peut être que dans le fond Emy' aurait voulu prendre la main tendue d'Edwy' afin de se confier pour la 1ère fois en cinq ans sur le décès de sa mère. Après un « Mais, est ce que tu peux garder ça pour toi, s'il te plaît ? » avec un discret sourire inscrit sur les lèvres, Emy' fit des caresses au chiot en le regardant alors qu'il descendait de ses bras afin de se coucher à nouveau mais entre eux.

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