gracias por estar ahí × aarilla.

Réveille qui sonne pour que j'aille travailler mais je n'ai pas envie, pas aujourd'hui pas en ce jour si triste en réalité. Tout le monde a remarquer que plus rien en vas dans ma vie, tout mes ami(e)s s'en sont rendus compte alors pourquoi le cacher maintenant. Mais je n'arrive toujours pas a en parler. Le seul à qui je parle ? James, enfin, monsieur Hammond, la personne qui s'occupe de moi, de mon dossier. Cette putain d'agression, bordel ça arrive toujours aux personnes qui ne le mérite pas. J'ai fais quoi moi ? J'ai fais quoi pour avoir toutes ses merdes en un rien de temps. Mon meilleur ami qui est décédé il y a un mois pile maintenant, oui c'est aujourd'hui et il y a quelques jours en arrière cette putain d'agression qui ma voler mon collier le plus précieux que je peux avoir. Je viens alors taper sur mon réveille pour l'éteindre. Je me redresse sur mon lit prenant alors mon téléphone pour envoyer un sms a mon patron. Je lui explique rapidement que je ne peux pas venir au boulot aujourd'hui mais aussi je lui dis une raison bidon ou presque bidon : insomnie qui m'empêche de venir. C'était un peu vraie, même s'il ne l'accepte pas je ne viendrais pas. Il m'a vue au boulot, il ma vue venir au boulot deux heures après l'enterrement de mon meilleur ami, alors oui, oui il peut le me laisser ça et ne pas m'emmerder pour ça. Je viens déposer mon téléphone sur ma table de nuit en soupirant. Je passe mes mains dans ma longue tignasse en fixant alors mon plafond. Mon téléphone vibre une fois mais je le laisse faire, je suis sur que c'est mon patron qui me répond mais je m'en fous. Je viens alors me retourné dos a mon réveille puis, je vois un museau dépasser par la porte, puis un deuxième un peu plus bas. Un sourire stupide puis, bizarrement mes larmes me montent rapidement, je les laisse couler et j'appelle mes chiens pour qu'ils montent sur le lit. Mon berge allemand s'allonge de tout son long à mes coter puis mon petit teckel vient se mettre entre nous deux. Ouais je craque en ce moment même, ce moment ou mes chiens me réconfortent. C'est bizarre mais pas tant que ça. Je viens passer un bras le long d'eux deux puis je referme les yeux pour me rendormir une petite heure. Mon téléphone ? Je le laisse sur la table de nuit, une première vibration que je ne me préoccupe pas, puis un second mais la je reconnais la vibration d'un appel. Je me réveille en sursaut mais je le loupe. Je le prends, passe mes cheveux en arrière puis je regarde qui m'a appeler « Aaron » toi, tu viens de m'appeler mais je t'es louper. Je soupire doucement, puis je viens alors te rappeler le plus rapidement possible tombant sur ta messagerie. Je t'envoie un message en te demandant pardon d'avoir louper ton appel. Quand tu me dis que tu veux me sortir de chez moi. Je ne refuse pas, pas une seule seconde mais je te demande de me laisse bien deux heures pour que je sois prête mais surtout que je puisse sortir mes chiens. Il faut. Je me lève de mon lit, enfile mon jogging et un vieux tee-shirt, puis je fais bouger mes chiens en leur faisant comprendre que c'est l'heure de sortir. Une heure, une très longue heure avec eux ne me fait pas de mal, courir, marcher, jouer avec eux. Quoi de mieux, c'est un peu un remède ses animaux. L'heure passer, je rentre et file à la douche. Tu me sors faire du surf, enfin, reprendre les dits cours pour que je sache en faire, pourquoi pas. Je penserais totalement à autre chose puis c'était un sport qui me tient quand même a cœur. Sport qu'on c'était promis de faire avec mon meilleur ami mais qu'il ne pouvait pas avec ses problèmes de santé. Une fois prête j'ai juste le temps d'attacher mes cheveux en un chinons fouille que j'entends frapper à la porte. Azraël se met à aboyer, les aboiements d'un berger allemand est assez impressionnant mais je sais que ce n'est pas ça qui va te faire peur, toi aussi tu as un chien. Je siffle un coup et ça le calme assez rapidement. Je m'avance vers la porte pour la déverrouille -depuis l'agression c'est tout le temps fermé à clef.- « Aaron, merci t'avoir attendu avant de venir. » je souris et te laisse entré, te fais la bise en tenant mes cheveux entre mes doigts étant entrain de refaire mon chinons. Mes chiens arrivent rapidement vers toi, pour réclamer des câlins. « J'essaye de faire mon chinons et je suis toute à toi. » je souris toujours, mais tu peux remarquer que mon sourire est moins, moins présent que d'habitude comme si je cachais quelque chose, mais je cache quelque chose. Tu me connais à force, même trop bien vue qu'on est sortie ensemble et qu'on a quand même bien appris à se connaître malgré tout.

Alors que je t'avais demander d'attendre un peu c'était aussi pour que j'essaye de cacher ma marque, une marque que j'ai dans le coup depuis un moment qui a du mal à partir. Je ne sais pas si elle va partir avec l'eau mais au pire ce n'est pas grave je dirais encore une excuse et si ça passe tant mieux, si ça ne passe pas, tant pis. On verra bien, on verra bien comment ça se passe. C'est alors que j'entends la sonnerie de ma porte, mon chien qui se mets à aboyer je le calme rapidement, puis je viens d'ouvrir avec ma tignasse dans ma main pour essayer de les attacher. Je te remercie d'avoir attendu. - De rien, c'est normal. je rigole doucement puis je m'avance vers ma chambre laissant ma porte ouverte pour t'entendre, mon appartement n'est pas bien grand et c'est le principale pour moi, c'est aussi comme ça je peux t'entendre. Je laisse un petit bruit pour faire comprendre que j'avais réussi a attacher mes cheveux. C'est alors que je prends mon sac avec mes affaires et je sors de ma chambre en tirant la porte. - Ça y ait tu es prêtes ? je hoche doucement la tête de haut en bas, puis je rigole doucement quand je vois la tête de mon chien qui prend limite son pied quand tu lui caresse l'oreille. « Il va tomber amoureux de toi si tu continues à faire ça, fait attention à toi. » je dis en rigolant en arrivant face à toi en souriant puis je hoche la tête de haut en bas quand tu me demandes si je suis prêtes. Ca fait tellement longtemps que je n'ai pas refait du surf, et puis je sais que la seule personne avec qui je peux faire ça c'est toi et toi seul. C'est bizarre on dirais mais non c'est la simple vérité, vérité que je ne vais me mentir de toute façon. Après tout c'est comme ça. Quand tu lâches mon chien je viens vérifié qu'ils ont tout se qu'il faut pour passer les heures a ne pas mourir de faim ni même de soif. Je suis à l'étage je viens alors ouvrir la porte du balcon pour qu'ils puissent sortir prendre l'air. Je viens alors sortir avec toi de mon appartement mon sac sur mon dos, je ferme alors ma porte à clef et discrètement je vérifie si elle est bien fermer une seconde fois en marchant à t'es coter je te regarde en souriant - Tu voudras que je te remonte vite fait les bases qu'on a déjà vu, ou tu t'en souviens toujours ? je hoche doucement la tête de haut en bas. « Je veux bien car je suis capable d'avoir tout oublier, tu sais avec ma petite tête... » je ris doucement en venant alors monté dans ta voiture, je dépose mon sac à mes pieds puis je te regarde en souriant. « Ouais j'ai aussi tout oublier avec tout se qui c'est passer, je suis désolée... » je souris doucement, un sourire désolée, puis tu sais très bien que ouais même si j'aime ce sport, sport que j'ai commencer à t'es coter et je pense que je vais vite apprendre à nouveau, enfin réapprendre avec plaisir. J'avais ouvert la fenêtre de mon coter, déposer mes lunettes sur le nez, le bras appuyer sur la portière laissant mes doigts jouer avec l'une de mes petites mèches qui s’enfuie de mon chinons. Je m'étais bien évidemment attacher avant que tu démarres. « Alors tu as t'as journée aujourd'hui ? Pas d’astreinte en ce moment ? » je sais que tu aimes ton métier, et ça tu m'en parler depuis un long moment et je suis assez contente, contente que tu te plaises dans ton métier, que tu t’épanouis dans se que tu fais. C'est rare, mais au moins ça fait plaisir de te voir comme ça.

Ca me fait plaisir que tu es pu attendre un peut que je puisse finir de me préparer. Mais aussi je vois qu'il y en a un qui est devenu tout heureux pour profiter des papouilles que tu lui offre. Je viens alors te dire qu'il va tomber amoureux de toi en rigolant bien sûr, je ne dois pas montré que, non ça ne va pas en faite. - Oh ce ne serait pas grave, par contre pas sûr qu'il apprécie le fait de devoir me partager avec Boo et Rajah. je me mets docuement à rire quand tu me dis ça. C'est vrai que tu avais connus mon petit teckel quand on était ensemble, c'est le plus vieux de mes chiens que j'ai depuis un moment maintenant mais je ne pouvais pas m'empêcher de rire quand tu me dis. « Je connais ça t'en fais pas. Ils arrivent très bien a me faire la tête si j'ai le malheur de caresser un autre chien qu'eux ! » je rigole en te disant ça. Une fois prête je viens alors prendre mon sac, puis sortir avec toi. Quand tu me poses la question je préfère être franche avec toi, parce que oui, si je te mens quand on va arriver sur place tu vas bien voir que je ne m'en sort pas du tout. - Ne t'excuse pas pour ça, tu avais bien d'autres choses auxquelles penser et le surf n'en faisait absolument pas parti. je hausse doucement un peut des épaules quand tu me dis ça. « Certes mais je m'étais quand même promis de m'impliquer un peu plus à ce sport qui me plait quand même pas mal ! » tu as aussi raison, pensées à autres choses, chose qui m'ont totalement bouleverser et que j'arrive lentement a faire ça, même si ça ne fait que un mois qu'il est partie. Après bon, il y a cette deuxième chose mais j'en dis pas un mot, pas pour le moment. Une fois que nous sommes dans la voiture, le vent entrant dans la voiture pour la rafraîchir je te pose là question si tu as ta journée ou même si tu es d'astreinte. - Oui je suis de repos aujourd'hui et non pas d'astreinte, c'était toute la semaine dernière ça. je fais doucement une petite grimace mais je pense que oui, ça ne te dérange pas, c'est le métier qui veut ça et je pense aussi que tu t'y es fais et qu'il ne faut pas dire quoique ce soit, si tu aimes c'est le principale. Avant qu'on arrive toi aussi tu me retroune une question sur mon boulot. - Et toi alors, comment ça va le travail ? je suis prête a te répondre puis je souris doucement. « C'étais un peu dur au début pour t'avouer, mais maintenant ça va mieux, je me suis bien remise dans le bain. Mon patron a su se qu'il c'était passer donc bon il comprenait quand je n'y arrivait, c'est déjà un bon plan. » je dis en souriant. Mais je ne te dis pas que je devrais travailler aujourd'hui au pire je peux dire que c'est mon jour de congé. Une fois arriver, on peut clairement bien se garé c'était quelque chose de plutôt agréable, vraiment. C'est un très bon attout ici et c'est se qui est des plus agréable aussi. - Ça va j'avais peur qu'il y ait plus de monde que ça. je me mets doucement à rire et hoche la tête pour compatir à se que tu me dis. Je prends mon sac sur mon épaule avant de sortir de la voiture à mon tour. Je viens t'aider aussi pour sortir les affaires, deux mains de plus n'est pas de trop. - J'ai pris les combinaisons de plongée si tu veux. je te regarde en souriant. « Mais t'es parfait mon petit chat ? » je dis en riant, toujours trouver des surnoms, mais aussi ça fait pas de mal. J'aime bien en faire en maillot de bain, mais les premières fois ou tu tombe à l'eau, ça me glace le sang et j'ai pas spécialement envie de tomber malade. Je ferais comme d'habitude, j'attacherais le haut a la taille et j'en ferais en maillot, enfin en haut de maillot de bain que j'ai déjà sur moi bien sûr.

Ses animaux, animaux qui peuvent être jaloux malgré tout mais c'est vrai que mon petit Uriel n'était pas le plus jaloux, surtout pas de toi, il avait apprit à te connaître même trop rapidement et t'avais même adopter en quelque sorte et c'était assez amuser surtout quand il voulait des câlins de ta part. Enfin bon, c'était un petit moment de notre passée, passée qui n'était pas des plus désagréable en réalité. Un bon passer. C'est aussi pour ça que nous sommes toujours rester en très bon contacte et que même s'il arrive n'importe quoi on sait tout les deux qu'on peut se confier l'un a l'autre. Je reste franche à ta question. Pourquoi te mentir ? Enfin ouais je te mens quand même un peu mais j'ai tellement prit l'habitude de mentir sur se sujet que oui j'ai su comment faire, quoi dire aussi. - Et tu tiens ta promesse puisque tu as tout de suite accepté ma proposition d'aller faire du surf. je ris doucement à t'es paroles, ce n'est pas faux sur ce point là, je n'ai pas refuser et si j'avais refuser ça allait être louche très louche en réalité. Puis de toute façon j'ai toute ma journée alors pourquoi pas bouger, bouger un peu et profiter de faire un peut de sport. Du sport avec une personne qui a autant d'énergie pour t'en communiquer malgré toi. Mais ça c'était une très bonne chose. Puis quand on parle de travail, je sais que ma grimace te fait sourire, je suis assez ou même très expressive du visage et puis bah, ça a toujours été comme ça. Mais quand on aime se qu'on fait on ne réfléchis pas. Puis quand tu me parles de mon boulot je t'explique que j'ai un patron assez sympathique qui a très vite compris. Je ne sais pas si ça lui ait déjà arriver mais au moins je suis soulager, soulager qu'il est comprit. - Même si ce n'était pas très évident je suis sûr que ça ne peut que t'aider d'aller travailler, voir d'autres personnes et t'occuper l'esprit en organisant des événements. je hoche la tête positivement. « Ouais c'est sur, c'est pour ça que je ne suis pas rester plus de trois jours à la maison, je ne me voyais pas finir en dépression en réalité. Puis c'est vrai que mon boulot n'était pas le meilleur mais au moins beaucoup de personne m'ont fait pensé a autre chose. » je dis en souriant. C'est sur que je n'allais pas raconter à une future mariée que je viens de perdre mon meilleur ami mais que surtout je m'en fous de son mariage, moi se qui me préoccupais c'était lui. Non je me mettais dans mon métier au plus que je pouvais et c'était agréable. Une fois arrivée, dehors à t'es coter ton petit surnom revient bien trop vite. Et alors ? Je peux voir que ça ne te dérange pas du tout même. C'était aussi très amusant la première fois que je t'avais appeler comme ça, je me souviens encore de ta tête, une tête surprise mais à qui ça ne dérange pas. Le bon vieux temps va nous rattraper bien trop vite en ce moment je pense mais c'est un bien pour un mal non ? - Mon petit chat ? Tiens ça faisait longtemps que je n'avais pas entendu ça mon petit Muffin. je hausse des épaules en souriant. « Oh je l'avais oublier celui-ci, t'es le seul à m'le dire en plus. » je dis en souriant avec un petit moue. Puis je prends les combinaisons que tu me tends. Je viens alors fermer le coffre quand tu as finit et marche a t'es coter. - Bon tu te souviens au moins comment mettre ta combi j'espère. je souris amusée et te montre mon visage de ma main libre une fois qu'on est arrêter. « Te moquerais tu pas un peut de moi mon chat ? » je rigole en te disant ça. Puis je viens alors faire tomber mon sac sur le sable en te regardant. Je tourne rapidement mon regard autour de nous et pas grand monde, au pire je suis pas très pudique la dessus. Je viens alors retire mon short et mon tee-shirt. Je la prends entre mes mains. « Je pense que... Si tu vas me remontré tiens. » je dis en rigolant mais surtout en commençant a l'enfiler. Je me moque de toi, clairement et c'était assez amusant, surtout que je l'enfile assez rapidement et je me souvenais plus qu'on étais quand même assez a l'aise dedans. « Ah non j'ai finis ! » je te dis en venant pousser ton épaule gentillement sans grand force comparé à toi.

- Tu as bien fait, rester se terrer chez soi n'aide certainement pas plus que le fait d'aller travailler. A t'es paroles je laisse un petit sourire sur mes lèvres, oui j'ai peut-être eu raison mais en ce moment je n'ai qu'une envie c'est de rester chez moi, terrer a ne pas bouger pour que ça ne recommence pas, que cette peur s'estompe rapdiement mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Après quand je suis accompagné je n'ai moins cette peur, j'ai moins peur que tout recommence c'est aussi pour ça que j'ai accepter de venir avec toi. Puis ta question ma fait quand même plaisir, que tu me demandes comment je vais depuis l'enterrement c'est rare qu'on me pose la question. Ca n'a pas été facile et je te l'avoue mais après tout, mon métier ma fait remonter à la surface et ça, ça je ne le regrette pas du tout. Enfin, on change rapdiement de sujet, surement parce que tu sais que c'est encore trop sensible et que je suis capable de fondre en larme en un rien de temps. Mais ce changement de conversation je ne sais pas si c'est la meilleure non plus, on est peut-être que des amis maintenant mais, se que je ne t'ai jamais dis c'est que notre histoire ma quand même toucher et aujourd'hui j'en suis encore émotive mais je le cache, je le cache même a la perfection. Je ne voulais pas te faire réveiller des supçon la dessus et puis, non j'ai pas envie de recommencer a me morfondre dans une histoire impossible. Car oui c'est totalement le mot. C'est pour ça qu'en rigolant je te dis que tu es le seul a continuer de m'appeller comme tu le fais, et pour être franche je n'ai pas vraiment l'envie de donner d'autre surnom a une autre personne que toi, mais je le garde encore une fois pour moi. - J'espère bien être le seul à t'appeler comme ça ! je me mets à rire a t'es paroles, je ne peux pas m'empêcher en réalité. Je suis contente, d'être avec toi, tu me fais rapidement oublier tout se qui se passe dans ma vie en ce moment et tu me donne de la joie de vivre, je pense que ça va continuer. Et ça, j'en profite aussi pour te taquiner. Quand je te demande si tu te moque de moi pour la combinaison à t'es mots : - Moi ? Jamais ! Ce n'est absolument pas mon genre de faire ça voyons ! je laisse a nouveau un rire m'échapper et un hochement de la tête. « Bien sûr que si ! » Puis je viens jouer « l'enfant » en quelque sorte. Je te taquine à mon tour, mais franchement et sans honte. Je te vois rapidement retiré t'es chaussures et ton haut mais une fois que j'ai finis de fermer ma combinaiser et que je te fois me tiré la langue. Je rigole et tape, enfin, tapotte ton épaule comme je peux. Je suis peut-être un peut plus petite que toi mais ça ne m'empêchera pas d'essayer comme à chaque fois. Se que je ne m'attends pas c'est que tu m'attrapes, aussi rapidement, je me retrouve sur ton épaule dans un petit cris de surprise mais aussi dans un rire « Aaron non ! ». Je passe mes deux mains sur le creux de t'es reins au début puis sur t'es hanche pour me retenir. Je rie aux éclats en réalité. Quand je vois l'eau aussi prêt, je sens que malgré tout, même si je te supplie tu me jette à l'eau c'est pour ça que je me tiens au mieux à t'es hanches. - Je te laisse une chance de me convaincre de ne pas te jeter à l'eau immédiatement. fou rire que j'ai je n'arrive pas a décrocher un mot. « Je... » j'essaye puis je te provoque. « Tu n'osera pas, tu vas pas abîmer une petite fille comme moi aussi frêle ! » je rigole toujours autant je ne suis pas sérieuse, je n'arrive pas, pas du tout. J'essaye de me redresser en m'appuyant sur t'es hanche mais tu me tiens tellement fermement que je n'y arrive pas. Je sens que ouais, je vais finir à l'eau.

Avoir le cœur briser je pense que j'ai assez donner la dessus, c'est vrai qu'au début je m'étais attacher à toi mais après tout, quand on sait dit qu'on resterait amis, je n'ai pas penser une seule seconde que ça pourrait me toucher mais bon, comme on dit : il n'y a que l'avenir qui peut nous le dire et on ne choisit pas, ou pas vraiment. Je préfère rester comme on est même si tu es assez tactile avec moi ce n'est pas du tout un problème pour moi, enfin je ne sais pas trop et je ne peux pas trop le dire à ce moment présent. J'ai sûrement bien trop d'émotion en moi pour juger le quel est le bon pour moi. Quand au fait ou l'on se taquine, ça toujours été comme ça et ça ne changera pas une seule seconde et c'est vrai que c'est plutôt agréable. Quoi qu'il se passe tu arrives toujours a me faire sourire et me faire changer les idées et inversement je pense. Je suis toujours ton jeu et ça marche pas mal en réalité. - À t'entendre on dirait que je suis le seul de nous deux à faire ce genre de choses. je rigole et fait un oui de la tête en te regardant, bien sûr que non tu n'es pas le seul mais j'ai envie de t'embêter encore pour aujourd'hui et je pense que ça ne sera pas finit pas du tout même. Mais je pense aussi qu'avec ma réponse je mérite de me retrouver sur ton épaule à rire aux éclats mais surtout a essayer de trouver un prétexte pour que tu ne me mette pas à l'eau. Mais je pense et je le sens que quoique je dise tu le fera. - C'est ça ton excuse pour ne pas finir à l'eau ? Que tu es trop frêle ? Je suis déçu, je m'attendais à mieux...tant pis ! je me mets a rire à nouveau voyant que tu ne me crois pas. « C'est vrai, je suis trop fragile pour ça ! Tu ne vas pas m’abîmer quand même. » Je ris toujours autant en disant ça, essayant toujours autant de me relever comme je peux mais je n'y arrive pas. Je n'ai pas assez de force pour ça, je n'arrive pas a le faire puis je n'ai jamais été très douer niveau force surtout pas avec toi. - Bon j'espère que tu es prête ! À la une, à la deux... Oups je crois avoir oublier le "à la trois je vois que tu me demande si je suis prête je laisse un : « NOOOON ! » en riant mais je me retrouve bien trop rapidement sous l'eau. Le froid me saisie un coup mais ça ne me fait pas de mal, pas du tout même. J'avais retenu ma respiration au bon moment et quand je commence a ressortir la tête de l'eau je souffle un coup, reprends de l'air dans mes poumous, je me redresse sur mes deux jambes passant mes mains sur mon visage ne pensant plus du tout à mon cou. J'ouvre lentement mes yeux mais je te vois bien trop proche de toi, je vois ton expression du visage qui a rapidement changer. C'est quand je sens ta main sur mon bras que je sais qu'il y a une couille quelque part. Je remarque bien vite ton regard se déposer sur mon cou je baisse doucement mon visage en soupirant. - Tu peux m'expliquer ce que sais que ça ? je viens doucement me reculer mais vue que tu me tiens je ne peux pas aller bien loin de toute façon. « Rien du tout. Je me suis fais mal l'autre jour. » je dis simplement, mais dans ma voix, ça en dit tout le contraire. Quand je relève mon visage sur toi pour voir si tu gobe mon mensonge je vois bien que ce n'est pas le cas mais surtout que tu ne me lâche. Si tu m'aurais cru tu m'aurais lâcher, hausser des épaules avec un : « t'es un boulet » mais là non... Tu es bien trop sérieux et je sens que ça va pas être si facile que ça pour le moment. Je repasse doucement une main sur le sommet de mon crâne, sur mes cheveux mouillés. « Aaron s'il te plait... » je dépose en suite ma main sur ton poignet pour te faire comprendre que tu peux me lâcher, je ne vais pas partir de toute façon. Je baisse a nouveau ma tête puis relève mon regard brun sur ton visage. « Tu te souviens de mon collier que je portais tout le temps ? L'argenté avec mon petit émeraude dessus ? Qu'Austin ma offert à mes dix huit ans ? » je te regarde doucement, espérant que tu t'en souviennes, mais tout d'un coup la conversation devient plus sérieuse, difficile pour ma part. « Je... Je me le suis fait arracher quand... » je murmure presque et baisse la tête. « Quand je me suis fait agresser il y a quelques jours... » voilà. La bombe est lâcher. Comment tu vas le prendre ? Je ne sais pas. Tu vas surement me dire que j'aurais du t'en parler mais, je ne pouvais pas, je n'y arrivais pas. Je reste malgré tout face à toi, le regard baisser essayant de ne pas fondre en larme en repensant à ça.

Oui cette journée avant très bien commcencer, rien ne venait interféré dans notre journée, celle qui est a nous deux et a personne d'autre tout simplement. Une journée banale comme je peux l'annoncer, mais une journée qui ne fait que du bien au moral. Être que les deux mais aussi être là faire se que l'on aime, surfer, chahuté, mais aussi a ce taquiner. Jusqu'à se moment ou ça va trop loin, bien sûr, bien sûr que non je ne me souvenais plus que j'avais cette foutu marque mais... Quand je ressors de l'eau, je te vois près de moi a me poser ses questions, mais surtout à me demander comment je me suis fais ça. Je pouvais voir que la ruse ne marche pas, pas aujourd'hui. - Ça ne semble pas vraiment être le genre de marque qu'on peut se faire tout seul à moins d'être schizophrène. je sais que tu veux mettre un peut d'humour, pour détendre le tout mais non je n'y arrive pas personnellement. C'est alors que je prends doucement ton poignet pour que tu me lâche le bras et au début je te demande si tu te souviens de mon collier, collier que j'enlever même pas pour surfer, seulement quand j'allais me coucher et encore. - Oui je me souviens de ce collier. J'avais pris une petite inspiration puis tout, tout est sortie de ma bouche, je t'es dis, dis se qui c'est passer. Pas en détail mais tu le sais maintenant. Je peux voir que tu es choquer, mais pour ma part je baisse rapidement mon visage ne voulant pas affronté ton regard ni même te montré mes larmes qui sont entrains d'apparaître, qui sont prêtes a dévalés mes joues. - Je suis désolé Cam, franchement si je venais à trouver ce mec il ne ferait pas long feu. T'es paroles ne m'étonnes pas, je peux même comprendre que tu veuilles le retrouver, je pense que mes frères le seront ils diront pareil. Quand je sens que tu me prends contre toi, je viens rapidement entouré ta taille de mes bras puis je laisse mes larmes dévalés mes joues, je te serre contre moi, déposant ma tête sur le haut de ton torse en fermant les yeux pour me calmer. - Est-ce que tu m'en aurais parlé si je n'avais pas découvert cette marque ? je hausse doucement des épaules et d'une petite voix : « Je... Je ne sais pas... Pas maintenant en tout cas... c'est trop... Trop frais... » je ne bouge pas de contre toi, je n'ai pas envie de quitter t'es bras pas, maintenant en réalité. - Si je peux faire quoique ce soit... je m'étais calmer, puis relever doucement le visage pour te regarder. « Continuons alors cette journée qu'on a bien commencer puis... si t'es libre ce soir on pourrait sortir... enfin tu vois ? Juste me changer les idées et ne pas me donner envie d'être enfermer chez moi a ruminé tout ça... » je te dis en souriant doucement, car oui oui je me renferme chez moi malheureusement. Après t'avoir dit que je voulais continuer tout ça, je dépose délicatement mes lèvres sur ta joue pour te remercier puis je viens me détacher de toi pour aller chercher ma planche, te montré que ouais, je veux, je veux cette journée avec envie. Je t'attends bien sûr pour qu'on puisse commencer à surfer, tu m'avais évidemment remontré les quelques trucs que j'ai à savoir. Bon au début je n'y arrive pas vraiment, j'ai encore du mal a tenir sur ma planche, mais après trois ou quatre essaye je tiens enfin debout puis j'arrive à nouveau a surfer. Avec quelques gamelle, des belles mais j'en rigole plus qu'autre chose. Jusqu'au moment ou je fatigue un peu ouais, comme un peut tout. Je te laisse prendre cette vague en venant m'asseoir au bord de l'eau. J'avais juste retiré le haut de la combinaison puis je viens t'observer, je te regarder, je te regarder surfer avec un petit sourire aux lèvres. Ouais, je me perds aussi totalement dans mes pensées, dans celle ou on était encore ensemble. Pourquoi toi ? Pourquoi c'est a toi que je pense en ce moment même. On c'était dit qu'on resterait juste des amis, mais, au fond de moi ? Est-ce que tu es tout simplement un ami ou bien, plus que ça. Je ne sais pas moi même. Je passe doucement une main dans mes cheveux mouillé pour les détachés. Je ne m'attendais pas a se que tu arrives si rapidement face à moi...