today i choose joy (duncan)

Joy Duncan

the fullness of joy

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ Joy, mon prénom annonce d'ores et déjà la couleur du personnage, je suis faite d'amour et de joie. Je suis hilarante, je peux vraiment rire de tout, je n'ai pas froid aux yeux, comme on dit le ridicule ne tue pas, je fais aussi l'unanimité au concours du plus gros mangeur de sushi et bouge comme personne sur les danses de campings, bref je suis un vrai bout-en-train, pourtant ça n'a pas toujours été le cas. + À une époque où un peu tout le monde allait mal chez les Duncan suite au décès de nos parents, j'ai fini par me renfermer, ne comprenant pas tout, j'étais un peu seule, m'enfin je me pensais seule. Papa et maman c'était la passion du cheval, c'était de grands exemples pour moi et devoir quitter ma ville d'origine et les souvenirs qui vont avec pour rejoindre mes grands-parents dans une ville qui m'étais inconnu, j'avais peur, alors les premiers temps j'étais colérique, orgueilleuse et difficile à vivre, puis j'ai fait ça rencontre. + Grand-mère a souvent tentée de creuser en moi, elle savait quel adorable bonbon je pouvais être, alors pour me dompter tel un étalon sauvage, elle a fait appel à son plus beau pur-sang, Kaporal, une rencontre et un duo qui en a fait des ravages, cette boule d'amour m'a fait comprendre un tas de choses, dont qu'il fallait continuer de vivre malgré cette malheureuse tragédie. + J'ai commencé la haute-voltige vers l'âge de 10 ans, les compétitions d'amateurs à l'âge de 12 ans et je suis entrée professionnelle à l'âge de 15 ans, depuis j'ai une petite notoriété dans ce sport, ils me nomment l'étoile montante de la haute voltige.. Mais depuis quelques temps je doute de mon attachement à ce sport.. + En réalité, j'ai beau faire semblant de n'avoir peur de rien, j'en cache pas moins.. Oui, j'ai peur des araignées comme la plupart des gens, j'ai peur des feux d'artifice, je ne regarde jamais la fin d'un film dramatique par peur d'être déçu, j'ai peur du noir et des esprits, j'ai peur passer au second plan, j'ai peur d'avoir une image de snobinarde de campagne, j'ai peur de ce que me réserves l'avenir, j'ai peur de ne pas être aimé en retour. + Un réveil sans mon Footloose de Kenny Loggins, c'est comme un café sans sucre, amer. + Avant de partir, je monte dans ma chambre et embrasse un cadre comportant la photo de mes deux parents, pour me porter chance, c'est un peu comme mon rituel.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ sabrina carpenter</pris> joy duncan

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

3yo - T'avais trois ans, t'attendais tes parents derrière la grande porte d'entrée, entre tes petites mains innocentes tu tenais un pot fait en argile, tu avais fabriqué ça le matin même avec ta meilleure amie, t'avais posé une chaise pour atteindre la fenêtre te permettant de guetter leur arrivée. T'avais fini par t'endormir paisiblement sur ta chaise, t'es parents n'étant pas rentrés. Le lendemain t'étais dans ta chambre, ton petit pot entre les mains, tu allais aux nouvelles, ils n'étaient toujours pas rentrés. Tu avais alors une nouvelle fois grimper sur ta chaise, tu ne la quittais plus, tu voulais absolument les voir franchir le pallier et leur sauter au cou. L'une de tes sœurs, la plus grande passait dans les parages, tu l'avais interpellé avec ta petite voix d'ange, tu voulais savoir quand est-ce que les parents allaient rentrer. « ma chérie, papa et maman ne reviendront pas.. » T'avais trois ans, tu ne comprenais pas grand chose, et tu ne cherchais pas à en savoir plus, papa et maman ne reviendront pas, tu ne savais pas quoi penser ni quoi faire, alors t'es larmes coulaient et ta sœur t'avais laissé seule sur ta chaise, à pleurer comme la petite fille de trois ans que tu étais, jeune innocente et maintenant orpheline de ses parents tu t'étais renfermé, t'avais plus l'envie de sourire, t'avais plus l'envie de penser que tout allait bien alors que ce n'était pas le cas.


10yo - Grand-mère t'avais laissé te charger des poneys aujourd'hui, elle t'a ensuite conduit au box d'un pur-sang : Kaporal. Tu le trouves magnifique avec sa robe blanche, son museau noir tout comme son contour des yeux et le quart de ses pattes, il était majestueux, t'étais admirative c'est vrai. Grand-mère s'installe sur sa chaise à bascule prenant son tricot en main, me laissant le soin de m'occuper de lui. « Alors, prêt à te faire chouchouter ? » Comme seule réponse un hennissement, tu en déduits qu'il est prêt. Tu l'attires à l'extérieur de son box pour l'emmener vers les douches, une fois installé t'ouvres le tuyau, avec surprise, d'un coup de sabot il dirige le tuyau vers toi, t'es à présent trempé et apparemment il est fier de son coup. « T'es un marrant dis-moi. » Tu lui dis ça d'un ton exaspéré avant de diriger l'eau vers lui, il se laisse faire, il est docile contrairement à ce que tu pensais.Une fois la douche terminée, tu le sèches et part le brosser, là encore il se laisse faire. Grand-mère te demande alors de lui faire prendre l'air. « Mamie, dans ma vie tout au plus, j'ai dû monter sur deux, trois poney, pas un pur-sang haut de deux mètres. » Elle t'y force, t'installe alors ta selle et l'attirail qui va avec, elle t'aide à monter, tu ne fais pas tellement la fière en haut de ce garnement, mais ta confiance parce que grand-mère est à tes cotés. Vous commencez par du pat, tu es tranquille, puis du trot, ça va tu t'en sors bien même si tu as pensé à un moment avoir perdu une dent et puis vous finissez par le galop, ça va c'est pas si horrible que ça, tu en lâches même ta longe, tu te mets en tailleur sur ta selle. Une fois la balade terminée, grand-mère revient vers toi. « Ma fille, tu es faites pour la haute voltige. » La haute-voltige ? Connais pas.


14yo - Tu voulais t'acheter un paquet de bonbon, malheureusement pour toi, t'as oublié ton porte-feuille. Tu reposes avec dégoût ton paquet avant de te diriger vers la sortie. « Au voleur ! » Tu prends la peine de te retourner par curiosité, quand on fini par t'attraper le poignet, t'entraînant dans une folle course poursuite entre toi et un inconnu contre deux hommes de la sécurité. Désespérément tu l'insultes de tous les noms, il l'a bien cherché, tu détestes courir et puis d'ailleurs pourquoi t'avoir pris toi ? « Abruti, lâche-moi où j'appelle la police. » Ton air de princesse et ta voix de bébé on l'air de l'amuser, ça a le don de te vexé. « La police est déjà à nos trousses, idiote. » A cause de qui, du con ? Il fait de toi sa potentielle complice, il a pété un plomb ! Pour semer les deux hommes, il te coince assise contre lui dans une petite ruelle sombre. Une fois semé, tu te lèves, tu comptes lui faire la peau. « Mais t'es un grand malade ! De une, pourquoi moi ? Elles en auraient pensé quoi mes sœurs hein ? Une future délinquante, peut-être ! De deux la dernière chose dont j'avais besoin c'était faire du sport. » Tu as le don de te donner en spectacle devant les passants, tu t'en fous un peu, lui aussi. « Calme-toi, madame parfaite, je voulais juste m'amuser, moi, puis faire connaissance. D'ailleurs, tiens, attrape ça. » Il te lance un paquet de bonbon, celui qui te faisais tant baver dans le magasin. « Si tu voulais m'aborder, un simple 'bonjour, ça va' suffisait, tu sais. » Il se relève et ouvre ton paquet, il pique une poignée. « J'aime pas faire dans la banalité, princesse, au plaisir de te revoir. » Il te lance un dernier salut avant de repartir de son côté, finalement il t'avait pas laissé indifférente.

Par la suite tu traînais de plus en plus vers le magasin, au fond il t'avait marqué le bad boy, mais aucune trace de lui. Tu as alors abandonné l'idée de le revoir un jour, retournant à ta sympathique vie de cavalière. Puis un jour en traînant près d'un terrain de basket avec un groupe d'amies, tu tombes en face du mec de l'autre fois, il jouait au basket avec d'autres amis, il t'aperçoit et laisse le ballon lui filer des mains, tu fais comme si de rien n'était, sauf qu'à trop faire la maline, tu reçois un ballon sur la tête, tu t'écroules au sol et injure, comme à ton habitude, le monde. « Ma parole qu'ils veulent ma peau ses crétins en short. » T'attends qu'une de tes amies t'aides à te relever, mais c'est peine perdu, elles n'ont d'yeux que pour ses basketteurs, il faut bien le dire vraiment bien foutu, bref tu te perds. « Besoin d'aide ? » Il te tend la main, tu t'apprêtes à la prendre quand il se rétracte finalement. « Avant ça, j'aimerais connaître ton prénom, princesse. » tu ne peux t'empêcher de sourire bêtement, c'est sûr, il ne t'aide pas en te fixant. « Joy. » satisfait il te relève. Depuis vous vous tournez autour, vous vous êtes embrassés, mis ensemble, il a fait un tour en prison, il t'as quitté, il est sorti, vous n'êtes qu'amis, pourtant vous vous aimez, il t'a laissé espérer, mais c'est pas un homme bien, tu l'as compris quand tu l'as surpris au cou d'une autre, mais tu ne peux, quand même, t'empêcher de l'aimer ce con.