contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Aujourd'hui tout est calme, j'ai personne à la maison, ma femme est partir faire ses petits tours tranquille puis, moi je suis tout seul. J'ai envie de bouger, bouger tranquillement mais seul. Ouais ça m'arrive souvent de vouloir prendre l'air. Habiller d'un jean et d'une simple chemise noire. J'enfile alors mon perfecto noire puis je prends mon casque avec mes gangs. Je sors dehors, les clefs en main, fermant la porte de ma demeure. Je viens alors enfiler mes gangs en finissant ma cigarette que j'écrasse a mes pieds. J'enfile mon casque sur ma tête puis je dépose mes lunettes sur mon nez. Je fais démarré ma moto, la laissant ronflé quelques instants puis je me mets a démarré, a rouler, rouler tranquillement, je laisse le vent me taper contre le visage je laisse le temps passer, je me laisse rouler jusqu'à l'autre cote, la coter du bord de mer la plus tranquille aussi. Même si je vie a coter d'une ça me fait du bien de me retrouver seul sur une plage que je connais mais où je sais que je ne croiserais personne, ou presque personne. Aucun des enfants qui vivent sous le même toit que moi. Mais au moins je vais être tranquille. Je me gare près de la cote puis je viens alors retirer mon casque que je garde en main, je viens alors tranquillement marche, je m'avance vers le bord de l'eau puis je passe mes mains dans mes poches, je marche le plus sereinement tranquille. Jusqu'au moment ou je viens sortir une cigarette, je l'allume tranquillement puis je viens doucement relever la tête. Je vois ton visage. J'ai l'impression de voir une personne que je connais, un visage que je n'ai pas vue depuis un long moment. Toi je te vois galéré a essayer d'allumer une cigarette aussi. Je m'approche doucement de toi puis je te tends mon briquet. Je crache doucement ma fumer en relevant mes lunettes sur le sommet de mon crâne. « Tiens tu t'en sortira mieux j'pense. » un légé sourire s'affiche sur mes lèvres, mes cicatrices se voient rapidement quand je souris, c'est peut-être aussi pour ça que je ne souris jamais. C'était un zippo, un magnifique zippo avec une faucheuse dessus et derrière écrit « bràthair mo leannan » un gaélique écossais, moi seul c'est se que ça veut dire, a moins que tu parles l'écossais se qui m'étonnerais enfin tout le monde peut l'apprendre. Je reste à t'es cote, venant faire craquer la roulette car elle à un peu de mal par moment puis j'apporte la flamme a ta cigarette. « T'es nouvelle dans le coin si c'est pas indiscret ? » je dis calmement, même si j'ai l'air impressionnant je reste assez calme, je ne vois pas pourquoi je te ferais peur, puis je ne sais pas, j'ai l'impression que ton visage est un visage que je connais déjà, un visage famillier, le même que celui de ma petite sœur, mais se qui est de sur c'est que je ne suis pas choqué, au que non puis tu m'as l'air fort sympathique c'est pour ça que je me permets de te poser cette question.
Où t'as foutu tes clefs, maintenant ?! J'en ai marre de tout perdre dans le bordel sans nom de mon studio. Y a qu'une pièce pourtant. Difficile de pas s'y retrouver, quand même ! J'ai tellement la flemme de déballer les cartons que, du coup, tout est sens dessus dessous. Et impossible de remettre la main sur mes clefs ! Je fouille dans la cuisine. Rien. Je me jette à corps perdu dans les fringues qui encombrent le salon. Rien non plus. Bon sang, où tu les as posées ?! Faut bien qu'elles soient quelque part... À moins qu'un petit lutin des bois soit venu me les chouraver. Hmm... J'y crois pas une seconde. Je retourne tout sur mon passage. Les jeans et les vestes s'envolent pour retomber en tas informe juste à côté, les assiettes en plastique valsent avec les couteaux et les cuillères à soupe, mais je retrouve pas ces foutues clefs !
On se pose deux minutes. Réfléchis. La dernière fois, t'en as fait quoi ? J'étais sortie m'acheter un sandwich en bas de la rue. Je suis rentrée, j'ai forcément dû m'en servir pour déverrouiller la porte. Ensuite, je m'avance dans l'entrée et là... Trou noir. Démoralisée et vachement agacée, je me laisse choir sur un bout de lit et jette sans y croire un regard en direction du tas de paperasses inutiles et pénitentiaires qui jonchent le sol à côté de la porte. Nom de... Un éclat dans la lumière de l'après-midi qui filtre au travers des fenêtres. Elles sont là ! Comment j'ai pu m'en débarrasser en les jetant par terre ? D'un bond énergique, je me relève et attrape la clef, que je fourre avec violence dans la serrure dès que j'ai repoussé le battant derrière moi. Sur le palier, j'entends des bruits en provenance de l'appartement des voisins. Toujours pas rencontrés, ceux-là, d'ailleurs... C'est peut-être pas une perte, qui sait ?
Dans la rue, il fait beau. C'est bien, ça change de la flotte qui tombe presque sans discontinuer, cet hiver. Vu le froid de canard, cela dit, je m’emmitoufle profondément dans ma doudoune et pars affronter le vent qui, lui, n'a jamais cessé de souffler. Mes pas incertains me conduisent jusqu'au bord de mer. Cette dernière est vive et agitée, et je me perds dans la contemplation des vagues qui viennent mourir sur le rivage. Une clope, et c'est parfait. J'en tire une de mon paquet puis farfouille dans mes poches, à la recherche d'un briquet. Comme les clefs, il a disparu. J'en ai marre d'être un boulet ! Je me fatigue. Ah ! Le voilà. Il est vachement vieux, celui-là, je savais même pas que je l'avais encore... Bon, ben il marche plus, comme ça c'est réglé.
Un homme s'approche de moi, avec vraisemblablement l'intention de m'allumer. "Tiens, tu t'en sortiras mieux j'pense." Il avance un zippo et je me penche légèrement en avant avec ma cigarette dans le bec. Je tire une bouffée et le remercie d'un signe de tête, en recrachant la fumée. "T'es nouvelle dans le coin si c'est pas indiscret ?" Je hausse un sourcil soupçonneux. T'es de la police ? Je me méfie des étrangers. Même si, pour le coup, c'est moi qui vient à peine de débarquer à Island Bay. Mais après tout, il vient de me sauver la mise en allumant ma clope. "Ouais. J'viens d'arriver. Tu t'appelles comment ?" Je le dévisage en plissant les yeux. Ses cicatrices et sa barbe me laissent à penser qu'il a, à un moment ou un autre de sa vie, traîné dans des trucs pas joli-joli, si vous voulez mon avis...
J’étais peut-être sur la plage depuis peu de temps et je me suis permis de venir te voir, pourquoi ? Je ne sais pas du tout, surement parce que j’avais peut-être envie de parler un peu ? Un vieux comme moi, parler a d’autre personne que ceux de sa famille ça ne fait pas de mal en réalité. Je t’avais prêté mon briquet pour que tu allumes ta clope mais aussi je t’avais demandé si tu étais du coin parce que ouais, ouais je ne t’avais jamais vue et que je me serais souvenu de toi si ça aurait été le cas. Une fois que tu me rends mon briquet je le passe dans mes poches puis je viens tiré sur ma cigarette à mon tour en te regardant. Je pouvais voir sur ton visage que tu es réticentes mais ce n’est pas ça qui va me faire fuir. Une femme comme toi, ne me fera pas peur, en réalité je n’ai jamais eu peur des femmes bien au contraire. Malgré leur petit coter macho, elles seront toujours sensibles malgré elle. "Ouais. J'viens d'arriver. Tu t'appelles comment ?" je hoche la tête de haut en bas quand tu me dis que tu viens d’arriver, ça se voit. Oui vraiment ça se voir. « Alastair et toi ? » tu me tutoie directe comme je t’es fait, mais je me suis un peu plus permis vue mon âge et que je sais qu’une personne jeune comme toi n’aime pas forcément le vouvoiement ce qui peut totalement se comprendre, j’ai déjà vue ma fille être exaspéré quand on a eu le malheur de la vouvoyer donc bon. Mais je passe outre et n’en tient pas rigueur. Puis je ne vois pas pourquoi je ferais un scandale pour ça. Je garde mon regard fixer sur toi puis je passe doucement une man dans mon bouc pour le remettre en place tout en fumant. « Qu’est-ce qui t’amène ici ? Ami, famille, travaille ou simplement l’envie ? » je me permets de te poser des questions non pas parce que je suis de la police, au contraire j’ai rien à voir avec eux, mais pourquoi pas parler un peu tu m’as juste l’air un peu paumer alors pourquoi pas t’aider si je le peux ?
Sujet: magic wolrd. ○ blue. (