- carry on my wayward son.

astrid célia st. john

don't be a princess, be a warrior.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 01. la relation avec sa mere a toujours été très compliqué, du au fait que celle-ci n'a en réalité jamais voulu avoir d'enfant aussi tot, pas tant qu'elle été toujours étudiante. de ce fait, astrid et sa mere ont toujours étés en conflit, quotidiennement. sa mere lui faisait très bien comprendre qu'elle n'a jamais voulu d'elle, contrairement à son pere. la blonde a toujours été fusionnel avec lui, il été son modèle, son repere. certes elle a toujours manqué de ce côté maternelle mais tant pis, son pere lui a toujours suffit. 02. jusqu'à ses treize ans, au moment où son pere a fait passer son boulot avant elle. deja délaissée par sa mere, voila que son pere la laisser tomber également. bien trop occupé dans son boulot, elle a commencé à faire des conneries pour qu'il l'a remarque, qu'il se rapelle qu'elle était la, à vouloir son attention. à quinze ans, elle ne cessait de découcher, quasiment un soir sur trois dans la semaine. sans jamais dire ou elle allait, uniquement dans le but de faire peter les plombs à son pere. puis l'alcool est arrivé, lui faisant oublier ses problèmes, oublier que sa mere n'avait jamais voulu d'elle et que son pere l'a faisait passer au second plan. elle passait ses soirées au bar, à boire puis, elle rentrait, complètement saoule. voire meme, les flics l'attrapait pour tapage nocturne et c'est son pere qui devait venir la récupérer au commissariat, et elle souriait, parce qu'au moins à ce moment là, il est venu s'occuper d'elle. tout ce qu'elle faisait, était uniquement pour avoir son attention mais, ça ne durait jamais. 03. elle a commencé à fréquenter des hommes, de son âge ou même plus vieux, les ramener à la maison devant son pere pour le faire réagir mais, il n'était même pas là. séductrice et charmeuse, astrid a toujours aimé sentir qu'elle plaisait, qu'elle avait un pouvoir de séduction assez incroyable sur les hommes au grand désespoir de son paternel. jusqu'à qu'une de ses relations lui mette une claque. un garçon, de vingt ans alors qu'elle n'en avait que dix-sept lui avait très bien compris que tout ce qu'elle faisait était dans l'unique but de faire réagir son pere. c'était juste ça qu'elle voulait, elle était en réalité une gamine qui souhaitait juste exister à nouveau aux yeux de celui qu'elle avait prit pour modèle. ce garçon l'a quitté et n'a plus jamais donné de nouvelles. elle a continué ses conquêtes mais, sans grandes convictions. c'était drôle, c'était sympa, elle s'amusait et prenait du bon temps mais, ça n'allait jamais plus loin. 04. ses parents ont divorcés apres lui avoir offert un petit frere, qu'elle aime plus que tout au monde malgré leur vingt ans d'écart mais, elle ne cesse de ressentir un peu de jalousie parce que son pere a du temps pour lui, pas pour elle. pourtant son petit frere est la prunelle de ses yeux, elle pourrait crever pour lui. elle n'a pas souffert du divorce, elle l'a même vécue totalement normalement. aucun remord de voir sa mere s'en allait puisque de toute facon, astrid l'a toujours détesté. 05. astrid n'a pas fait d'études, sortie diplômée du lycée, elle a enchaîné des petits boulots tous aussi casse gueule les uns que les autres jusqu'à trouver une place dans un centre équestre. passionne de chevaux et d'équitation, elle a été la plus heureuse en apprenant qu'ils cherchaient un palefrenier au centre équestre blackhood. elle n'a pas hésité une seule seconde et voila que ça fait trois ans qu'elle y bosse. elle s'occupe des chevaux, soigne leur hygiène, nettoie les boxs, mets tout en œuvre pour qu'ils soient dans un environnement sain. elle a également la chance de pouvoir combiner une autre de ses passions qui est la musique puisque, elle chante un à deux soir par semaine au foxglove. 06. la blonde est considérée comme une tornade, elle n'a pas la langue dans sa poche et elle ne mache jamais ses mots. si elle a quelque chose à dire, elle le dira et tant pis si ça ne convient pas. elle a toujours eu ce caractère très affirmé et volcanique, impulsive elle réagit au quart de tour et ne contrôle pas toujours ses réactions. c'est une femme hyper sensible, quand on l'a vexe c'est difficile de changer la donne et c'est exactement ce qu'il s'est passé avec son pere. deja abandonné par sa mere alors meme qu'elles vivaient ensemble sous le meme toit, son pere l'a également délaissé, la laissant des journées entières avec une femme qu'elle détestait. elle en fait voir de toutes les couleurs à son pere depuis tant d'années uniquement à cause de ça. susceptible, elle peut faire la gueule pendant des mois et vous faire doutez de votre existence. elle revient rarement vers les gens, encore moins si elle a tort, elle est bien trop fière pour cela. ses faiblesses, elle les garde pour elle. elle a peur de l'abandon et c'est la raison qui l'a pousse à n'avoir que des relations d'une nuit, jamais pour la vie. c'est un bout en train, dynamique et joviale, elle ne s'arrête jamais. le sourire aux lèvres, c'est une casse cou, impossible de compter le nombre de fois où elle a terminée aux urgence à la suite de cascade rocambolesque uniquement pour s'amuser. elle profite de la vie, c'est son mode de vie à elle et si son caractère ne plait pas, elle n'oblige personne à rester dans sa vie. 07. l'amour elle n'y croit pas, c'est pas quelque chose qui l'a fait rêver en soit. disons qu'elle a énormément manqué d'amour en grandissant et qu'elle a très bien réussi sans alors, elle a décidé qu'elle n'en ferait pas une priorité, ni meme une obsession. au contraire, elle s'adonne aux plaisirs d'une seule nuit ou voire deux mais, jamais plus. les hommes, elle n'a pas confiance, ils parlent beaucoup mais c'est tout ce qu'ils sont capable de faire, elle refuse de s'attacher. également parce que sa plus grande peur c'est d'être abandonné, ce qu'elle a deja subit. impossible pour elle que ça se reproduise, elle ne laissera jamais l'occasion à un homme de l'abandonner à son tour, alors pas de sentiments, pas d'histoires, du plaisir un point c'est tout. 08. astrid est une cuisinière hors pair, et elle ne le doit certainement pas à sa mere. si beaucoup de filles de son âge ont apprit à cuisiner en regardant leur Maman faire, astrid elle a apprit en se faisant à manger pour elle toute seule lorsque son pere n'était pas là et que sa mere se barrait on ne sais ou. aujourd'hui âgée de vingt cinq ans, elle sait concocter de bon petits plats qu'elle apprécie faire goûter à son petit frère de cinq ans lorsqu'elle le garde. la pâtisserie elle adore également et est plutôt douée. c'est une femme gourmande, le chocolat blanc est son pêché mignon. elle en mangerait n'importe quand, à n'importe quelle heure de la journée et de la nuit. 09. astrid est une fetarde, elle aime sortir avec ses amis, aller en boîte de nuit, restaurant, plage, peu importe mais elle déteste pourrir chez elle. elle a goûté à l'alcool très jeune et n'a jamais franchement arrêté, cela dit elle n'a jamais été une alcoolique non plus, elle n'a jamais bu ailleurs qu'en soiree, meme si elle est rentrée saoule un bon nombre de fois. c'est une femme qui aime profiter de la vie et de tous ses bons côtés. 10. en dépit de tout ce qu'elle fait subir à son pere, elle l'aime. c'est viscéral, elle aura toujours besoin de lui et elle le sait très bien mais, en tant que rancunière elle a ce besoin de lui faire comprendre qu'elle lui en veut toujours de l'avoir laissé lorsqu'elle avait besoin de lui. et au fond elle sait qu'il sait et qu'il s'en veut, elle sait que son pere essaie de se racheter mais c'est plus fort qu'elle, elle lui fait encore payer aujourd'hui.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ jennifer lawrence</pris> astrid st. john

l'histoire de ma vie

howling at the moon

- tu restes avec ta mère, d'accord ? te disait ton père, alors qu'il t'avait promit quelques semaines avant qu'il serait là pour ton spectacle de fin d'année à l'école. tu fronçais les sourcils, tu ne comprenais pas. tu avais bossé tellement dur pour pouvoir montrer à ton père à quel pont tu aimais la musique et le chant et tu voulais qu'il soit fier de toi. - mais papa, tu m'avais promis que tu serais là ! tu ronchonnais. du haut de tes treize ans tu avais déjà un caractère bien trempé et ça, ton père le savait. - j'ai une obligation au travail, je suis obligé d'y aller. tu comprendras un jour ma belle, c'est comme ça. tu m'expliquera tout en rentrant, d'accord ? tu soupirais alors que tu hochais simplement la tête, tu n'avais pas le choix. et en soit, c'est pas le fait qu'il ne vienne pas qui t'embête le plus même si oui, évidemment, ça t'embête vraiment. non, ce qui t'embête le plus c'est qu'il t'oblige à t'y rendre avec ta mère, la personne avec qui tu t'entends le moins dans ce monde et qui se fiche complètement de ce que tu fais. c'était comme ça depuis le début, elle t'a toujours fait comprendre qu'elle ne souhaitait pas d'enfant alors, vous n'avez jamais étés proche et c'est mieux ainsi. ton père embrasse ton front alors qu'il finit par quitter la maison, te laissant seule avec celle qui porte ton nom. vexée et blasé, tu ne calcules pas ta mère et monte en courant dans ta chambre ou tu t'enfermes. c'est la troisième fois en quelques mois que ton père te relaye au second plan, chose qu'il n'avait jamais faite jusqu'à maintenant et ça commence à faire trop, il n'a jamais été ainsi avec toi.

- mademoiselle, vos papiers s'il-vous-plait. te disait le policier. tu haussais les sourcils, mordillant ta lèvre au passage. - je ne les aient pas sur moi, c'est grave monsieur ? tu aguichais le policier, c'était facile avec eux même si ça ne fonctionnait pas toujours. - ça peut le devenir en effet. est-ce que vous avez bu ? aïe, ça se voyait tant que ça alors ? en effet, tu avais passé la soirée avec des amis et tu n'avais pas franchement été douce sur la consommation d'alcool. - peut-être un petit peu, oui. deux, trois ... ou quatre verres ? peut-être même plus, en faite. tu répondais en riant. oui, tu était complètement saoule et de plus en plus souvent ces derniers temps. l'air désespéré, le policier revient à toi. - je ne peux pas vous laissez rentrer dans cet état mademoiselle, est-ce qu'on peut appeler quelqu'un pour venir vous récupérer ? pile dans le mile, en effet oui, ton père. il allait se faire une joie de venir chercher sa fille de seize ans, complètement saoule, au milieu de nul part. et c'était tout ce que tu voulais. cela faisait trop longtemps maintenant qu'il t'avait laissé dans ton coin, il ne s'occupait absolument plus de toi et tu lui faisais payer, de toutes les manières possible. c'est après une vingtaine de minutes à patienter avec le policier que tu vis la voiture de ton père arrivait et, il n'avait pas franchement l'air content. - putain, astrid ! c'est quoi ces manières, qu'est-ce que tu fais ici dans cet état ? te sermonnait-il. tu le regardait d'un air détaché, furieuse à l'intérieur et pourtant tu ne laissais rien paraître. - au moins tu te rappelles de mon prénom. tu disais alors que tu montait dans la voiture, attendant qu'il règle tout avec le policier. chose faite, il revient et démarre la voiture pour rouler jusqu'à la maison, non sans évidemment te faire la morale, que tu n'écoutes pas, parce que tu n'as plus envie. tu l'aimes ton père, c'est indéniable. mais tu l'aimes autant que tu le détestes de t'abandonner comme ça, de ne plus te prêter attention. c'est pour ça que tu fais ça, que tu te fais remarquer, pour qu'il te voit, te parle. il faut que tu fasses tout ça pour que ton père daigne s'occuper un peu de toi et ça te rends tellement triste, et le pire c'est qu'il ne le comprends pas. il pense uniquement que tu deviens son pire cauchemar pour rien, alors qu'au fond tu déteste tout ça, toute cette manipulation, mais c'est trop tard maintenant.

- aller ma belle, laisse-toi faire. voilà, tout doux. tu laissais ta main caressait lentement le poil de la jument, elle été encore peureuse, étant arrivé récemment au centre équestre. tu avais toujours plus de facilités avec les animaux qu'avec les humains, c'était ainsi. alors que les relations ont toujours étés compliqués avec les hommes, tu as toujours était plus facilement à l'aise avec les animaux et principalement les chevaux. c'est d'ailleurs pour cette raison que tu as postulé en tant que palefrenière au centre équestre blackhood et, tu adores ce que tu fais. tu passes la plupart des journées à t'occuper d'eux, à nettoyer les boxs, à les nourrir, les laver, les brosser, réparer toutes les choses cassés. c'est un métier assez fatiguant mais quand on es passionné, c'est tellement agréable. tu te perdais dans tes pensées, toujours, tu étais dans ton monde. - magnifique. tu sursautais à l'entente d'une voix grave que tu n'attendais pas. - pardon ? tu disais, alors que tu faisais face à un homme, grand, assez costaud et impressionnant. - la jument, elle est magnifique. te répondait-il. tu faisais un léger "oh" avec tes lèvres alors que tu hochais le visage en regardant la dite jument. - oui, elle l'est. tu répondais. tu ne savais pas qui il était, peut-être un nouvel employer qui venait simplement se présenter ? et puis en faite, tu te rappelais. le centre avait décidé de donner sa chance aux libérés conditionnels de la ville pour une insertion professionnelle. il s'agissait donc d'un ancien détenu. tu ne sais pas ce qu'il a fait, pourquoi il a été incarcéré et au fond, tu souhaite pas franchement le savoir. et puis au fil des semaines, toi qui voulait mettre des distances avec cet homme, tu t'es senti attiré, presque comme un aimant, par cet homme. toujours là, dans le coin, jamais loin, c'est comme si, il avait prit ton rôle. celui de l'aguicheur, qui cherche à plaire, tu contrôle plus rien, c'est lui qui contrôle tout. toi qui as toujours favorisés le plaisir aux sentiments, tu te retrouves aujourd'hui à devoir essayer de mettre des mots sur ce que tu ressens pour cet homme, qui plus est est un ancien détenu. c'est papa qui va pas être content.