contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Non, tu n'étrangleras pas les poneys (Qaïn) (#) Lun 17 Juil - 23:56
Non, tu n'étrangleras pas les poneys Riley & Qaïn
Le ciel s'est bien heureusement dégagé, dévoilant un soleil brillant et chaud malgré la froideur hivernale d'Island Bay qui, réjouissons-en nous, est plutôt clémente. Les derniers jours de vacances semblent être indulgents envers la jeune étudiante qui a pu profiter de journées relativement fraîches pour prendre des photographies de paysages enveloppés sous une fine couche de neige. Profitant des derniers rayons de soleil qui risquent de disparaître en fin d'après-midi, l'étudiante quitte sa demeure armée de son appareil pour photo pour retrouver Qaïn Heinck à qui elle a promis une visite imminente. Elle a développé une certaine relation avec cet homme pour lequel son père a tant d'estime. Malgré son passage en prison, son père a tout fait pour l'aider et lui offrir le support dont il a besoin. Robert n'a jamais été que son avocat, mais fondamentalement un vrai ami. Retrouver Qaïn l'a réellement rendu heureux, et il n'a pas hésité une seconde à prendre la relève de son dossier à l'annonce de la retraite de son avocat. Certes, il n'était pas au courant que sous le nom de Qaïn se trouvait en réalité Yvan Berenson, mais la photo accrochée à son dossier ne pouvait tout simplement pas lui mentir. Le visage de l'homme ne pouvait être nul autre que celui de son ami disparu de sa vie depuis trop longtemps. Son père a pris le temps de lui expliquer l'histoire rocambolesque de leur amitié ainsi que de son passage en prison, sachant l'intérêt marqué de sa fille unique pour son métier. Toutefois, il a toujours été conscient qu'il ne s'agit que d'une curiosité insatiable plutôt que d'une passion dont elle voudra un jour faire le métier. Seule la photographie occupera toujours le coeur de la jeune femme et son entêtement a su leur faire avaler sa décision de lâcher la médecine et de poursuivre sa formation académique dans son domaine de prédilection. Bref, la jeune femme a été relativement impliquée dans le cas de Qaïn qu'elle a pu apprendre à bien connaître après son passage rapide chez elle, après que ses parents l'aient gentiment hébergé à la suite de sa sortie de prison. Étant nouvellement déménagée à Island Bay, elle n'a pas hésité à entrer en contact avec lui afin de prendre de ses nouvelles et de rassurer son père trop préoccupé par son ami désormais si loin. Il lui a été rassurant, à son arrivée dans la ville, d'avoir un visage familier à une trentaine de minutes de chez elle.
Ne possédant de voiture, la jeune femme prend le transport en commun jusqu'à la section sud et rejoint, après quelques minutes à pieds, le centre équestre dans lequel Qaïn travaille depuis sa sortie de prison. Elle salue rapidement certains membres du staff qu'elle s'habitue à voir, étant passée trois ou quatre fois auparavant, si ce n'est pas plus. Elle se souvient que deux fois elle était accompagnée de son père qui, chaque fois qu'il visite sa fille, insiste pour passer voir son vieil ami. Il lui arrive encore de l'appeler Yvan, sa langue s'entremêlant encore malgré les années qui ont passé depuis leurs retrouvailles.
Lorsqu'elle le voit enfin au loin, elle brandie les deux frappucinos qu'elle a achetés en chemin avec un sourire radieux pendu au visage. "Lâche tes poneys, j'ai ramené des beignes et de quoi boire", lui lance-t-elle en posant délicatement le sac contenant les pâtisseries au sol.
Non, tu n'étrangleras pas les poneys (Qaïn)
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