AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal

 

 comme quand j'étais petite. (alastair)

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyMer 19 Juil - 21:22


BONNIE & ALASTAIR

“Quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir” -Proust © code by anaëlle.

La veste épaisse de cuir sur le dos, je suis enfin prête à chevaucher la bête féroce de mon père. Dit comme cela, on peut comprendre une tournure plus incestueuse mais je ne fais que de parler de sa moto, sa bécane, son bolide. Une moto que j'envie à mon père, que j'adore chevaucher et laisser le vent venir se glisser dans la moindre parcelle de peau à découvert. Attrapant mon casque dans le placard, je descend de la mezzanine par mes escaliers en verre. Le grognement de Chris se fait entendre et je m'arrête à mi chemin entre les escaliers et la porte d'entrée. T'vas où comme ça? Je tourne doucement mes pointes pour lui faire face, il se soulève hors de son fauteuil vieux de mille ans. Il me regarde, une canette de redbull à la main, l'oeil qui cligne par signe de beuverie. Il échappe un hoquet qui me surprend, me fait prendre peur légèrement. Je vais voir mon père, je t'ai dis hier pourtant. Il regarde le plafond, grattant sa barbe qu'il ne rase que rarement. Il hausse les épaule en lâchant un hoquet plus silencieux cette fois. M'en souviens pas. Je me mordille la lèvre, ne sachant trop quoi faire maintenant. Je ne peux décemment pas annuler à la dernière seconde. Mon père affirme sa présence en accélérant dans le vide le moteur de son monstre. Je regarde la porte puis Chris qui lâche, non pas un hoquet, un rot. L'odeur de la bière me monte à la gorge, c'est écœurant mais je cache bien mon envie de vomir en plaçant ma main sous mon nez. Tu rentres, c'soir? J'ai envie d'toi. Quelle galanterie ouah. Maintenant je sais une chose, ce soir je vais déguster et comme il sera bien saoul, je risque même d'ajouter des blessures à ma peau. Un de plus dans ma collection, à force cela deviendra comme un tatouage. Il est pas encore trop bourré, sinon, j'aurais eu le droit au viol conjugale. J'opine légèrement et il repart s'affaler sur son fauteuil, le regard sur un match de baseball. Je soupire, la pression qui m'a habitée retombe d'un cran. J'ouvre ma porte et sors pour saluer mon père d'un geste de la main. Je referme délicatement la porte dans mon dos et m'avance vers lui en enfilant mon casque, le sourire aux lèvres et le regard pétillant. On va où ? Hurlais-je en chevauchant derrière lui. Le casque bien fermé, j'enroule mes bras autour de sa taille, sentir l'odeur de mon toute mon enfant et du cuir. Le moteur qui vibre, le son de ma liberté et la présence de mon père, sortir un peu de ce loft parfois puant me fait un bien fou déjà.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyMer 19 Juil - 22:43

comme quand tu étais petite. •
père & fille.
••••

Ce n'est pas parce que Tom est de retour à la maison que je dois oublier tout le monde mais surtout toi. Tu es ma première fille et … ouais j'avais envie de passer un moment avec toi, un moment poser, tranquille loin de cette maison qui devient bien trop bruyante pour moi surtout que c'est les vacances alors tout le monde est réuni à la maison et non j'ai besoin de calme, de passer un peut de temps à l'extérieur mais aussi avec toi. C'est pour ça que la vieille je t'avais appeler pour te demander si tu étais d'accord pour que l'on passe la journée ensemble. Je t'ai pas préciser mais je t'ai dis que j'allais venir te chercher en moto. Je savais très bien que tu aimais ça mais aussi je sais que moi aussi. Me balader avec toi c'était des plus agréable puis ça nous rappellera quand on partait tout les deux en balades quand tu étais plus jeune. Puis quoi ça ne fera pas de mal. C'est alors que j'embrasse ta mère avant de lui dire : « Je vois Bonnie aujourd'hui chérie. » elle sourit « Embrasse la pour moi alors et bonne journée ! » elle me dit tout sourire et m'embrasse a nouveau. Je souris a mon tour, puis je viens enfiler ma veste de cuir, toujours la même depuis des années et ça ne changera pas. Heureusement que je l'avais prise assez grande la première fois vue que j'avais un peu grossis avec la vieillesse je rentre toujours dedans. Clipsant mon casque et mettant mes lunettes de soleil je viens alors faire ronflé ma moto devant la maison, tout le monde se mets a la fenêtre pour savoir se qu'il se passe. Ta mère tien Jack pour qu'il ne parte puis je viens alors sortir de l'aller et rejoindre la route pour aller jusqu'à chez toi. J'étais sur que tu allais entendre la moto arriver, bien sûr que tu l'entends puis je n'avais pas envie de descendre pour aller sonner. Quand je vois que tu mets un peut de temps je viens faire ronfler le moteur de la moteur pour te montré que je suis arrivée. Quand je vois la porte s’ouvrir mon sourire s'affiche sur mes lèvres, je vois que tu es prêtes mais aussi que tu as enfiler ton cuir. L'un que je t'es offert en réalité, j'en suis fier. Un fois a mes coter, ton casque sur la tête, je pouvais t'entendre hurler ses mots : On va où ? je souris aux lèvres et je parle tout aussi fort que toi. « C'est la surprise ça ! » je dis avec amusement. Je sais que tu es prête en sentant t'es bras autour de ma taille. Je viens faire a nouveau ronfler le moteur de ma Harley et je reprends la route je sais que tu vas te poser des questions mais ça, ça c'est pas grave tu vas vite le voir une fois arrivé. Je profite de se parcourt avec toi sur ma moto mais aussi de faire comme quand tu étais petite, des pointes d'accélération. Je connais trop bien ma bécane mais aussi je sais que tu as confiance. Je prends ce vieux chemin qu'on connait trop bien, chemin qu'on prenait quand tu étais petite pour aller au parc. Par chance je pouvais en faire une partie en moto avant de trouver une place. Je viens mettre la béquille et je coupe le moteur. « Tu connais cette endroit chérie ? » même si tu as trente ans, tu es ma chérie un point c'est tout. Je viens alors retiré mon casque en souriant et tourne mon visage vers toi, te laissant descendre en première.

••••

by Wiise
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyJeu 20 Juil - 9:46


BONNIE & ALASTAIR

“Quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir” -Proust © code by anaëlle.

« C'est la surprise ça ! » Je chevauche sa Harley et le moteur gronde lorsque je referme mes bras autour de lui. Le vent se déchaîne dans ma chevelure blonde qui dépasse du casque. Je savoure le moment présent. Nous allons au coeur de la ville de Wellington puis quittons cette dernière en quelques oups de vitesse. La Harley se calme, elle tombe légèrement sur le ôté pour être finalement soutenue par la béquille.  « Tu connais cet endroit chérie ? » Je me retire de la moto, retirant en même temps mon casque. La main enfouie dans ma crinière de blé, je replace mes cheveux ébouriffés sur le coté. Je soulève mon regard et sourit en découvrant un petit chemin que je connais bien. Un chemin caché entre deux bâtiments en ruine, es arbres qui poussent dedans. Ce chemin mène vers un petit endroit tranquille, sympathique. Un vieux jardin commun des deux bâtisses. Je tourne mon visage vers mon père qui descend de sa bécane. « Tu déconnes ? Bien entendu que je connais P'pa. » Je m'aventure dans ce petit chemin étroit, faut pas être épais pour passer mais c'est faisable. Lorsque le chemin s'ouvre sur un large petit jardin abandonné, je souris de plus belle. Il n'a pas changé, sauf que les herbes sont hautes à présent et que le cerisier ne donne plus de fruits. « Je me demande encore comment ils ont pu laisser ça à l'abandon. » Dis-je en m'avançant dans les hautes herbes jusqu'à un porche de bois usé blanc et gris. Quelques feuilles mortes sur le parquet du porche, je m'y avance prudemment pour ne pas faire craquer le vieux bois grinçant. Je viens m'asseoir sur un banc en balançoire, tenu par des épaisses cordes et de bois, tout aussi blanc mais la peinture s'efface. « Tu te souviens que tu m’emmenais souvent ici après l'école, quand j'avais eu de mauvaises notes ? » Je caresse du bout du doigt le banc usé. Retirant délicatement l'épaisse veste, je laisse apparaître un pull en dentelles blanc par-dessus un débardeur en coton.  « J'avais peur que maman m'engueule. Alors que c'était assez rare je dois dire les mauvaises notes. » Je souris, presque amusée de me souvenir de ça. Je n'étais pas une super bonne élève, mais je n'étais pas la plus nulle. Je viens poser mon fessier délicatement sur le banc qui bascule déjà. Je me tiens par réflexe à un accoudoir et observe mon père dans sa grandeur.  « Comment ça se passe à la maison au fait ? »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyJeu 20 Juil - 19:28

comme quand tu étais petite. •
père & fille.
••••

Une fois que nous sommes garé, je retire rapidement les clefs puis je te laisse descendre la première. Je fais de même en retirant mon casque à mon tour, passant les clefs dans la poche de mon jean puis je te regarde. « Tu déconnes ? Bien entendu que je connais P'pa. » je laisse un petit rire m'échapper a t'es paroles. « Tu aurais pu oublier, après je ne sais pas si tu viens toute seule ici. » je sais qu'ici, c'est notre coin, à nous deux, notre endroit ou on sait qu'on peut se retrouver mais aussi discuter sans que personne autour de nous nous entende ou se mêle de notre conversation. J'avais horreur de ça en réalité, qu'on se mêle de notre conversation. Je viens alors marcher dans t'es pas, qu'il y a quelques années en arrière c'était l'inverse. Mais c'était assez amusant a voir. Mais se qui était amusant aussi c'était ce chemin que tu prends, je me rends compte à se moment que ouais, mon ventre commence à avoir du mal à passer. Mais je ne dis rien et je te dis suis. Je ferme un instant les yeux prenant une grande bouffé d'air frais. J'ouvre les yeux quand j'entends ta voix puis je dépose mon regard sur ton visage. « Je me demande encore comment ils ont pu laisser ça à l'abandon. » je hausse doucement des épaules. « Je ne sais pas du tout. Mais c'est vrai que ça aurait été entretenu été tout aussi magique, mais en faite... J'aime bien comme ça aussi, ça garde un  petit charme. » En réalité je connaissais cette endroit avant qu'il soit abandonné mais je pense que je ne te l'ai jamais dit et faudrait qu'un jour je t'explique l'histoire. Je passe mes mains dans les poches de mon jean perdant alors mon regard au loin en laissant un petit soupire m'échapper. « Tu te souviens que tu m’emmenais souvent ici après l'école, quand j'avais eu de mauvaises notes ? » Je me retrouve vers toi en riant doucement et fais un oui de la tête. Je viens alors faire de même, retiré ma veste pour la garder sur mon bras et je t'observe t'installer sur ce banc. « Oui je m'en souviens bien, je voulais te dire que c'était pas grave et que, bah, te montré que malgré la mauvaise note il y a avait bien plus à voir que ça. » Je souris a mon tour en m'approchant un peut plus de toi en te regardant. « J'avais peur que maman m'engueule. Alors que c'était assez rare je dois dire les mauvaises notes. » je ris doucement. « Et ta mère qui disait a tout le monde que c'était moi qui allait vous engueulez pour des mauvaises notes. Je ne l'ai jamais fait. » sûrement parce qu'avant de faire mes études de notaire, j'étais pas très douer en cour ? Ou parce que ça arrive a tout le monde de ne pas réussir. Je viens déposer ma veste a coter de toi, restant debout face à toi, voyant bien ton regard. « Comment ça se passe à la maison au fait ? » je hausse doucement des épaules. « Tom est revenu vivre à la maison parce qu'il … je ne sais pas trop pourquoi une histoire de couple qui c'est mal terminé. » je hausse doucement des épaules. Puis je viens doucement mordiller ma lèvre inférieur, j'ai envie de te parler de ta mère, que ouais ça va plus trop entre nous deux mais j'espère que c'est qu'une passade et j'évite ce sujet. A moins que tu me poses la question. « Et les ados sont calmes, enfin presque, Andrew j'ai toujours autant envie de le claquer mais bon c'est comme ça. » puis je me décide alors de retiré ma veste d'accoter de toi pour m'asseoir doucement. Il était solide ce banc. Je viens alors dépose mon regard sur toi. « Et toi puce, comment ça va chez toi ? » je souris doucement en plissant un peut des yeux. J'aime bien en savoir plus sur toi, mais c'est vrai que ton homme je ne le connais pas tant que ça mais surtout je n'ai jamais eu le flaire pour lui. Je ne l'ai jamais senti bon pour toi.

••••

by Wiise
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyVen 21 Juil - 11:48


BONNIE & ALASTAIR

“Quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir” -Proust © code by anaëlle.

« Tu aurais pu oublier, après je ne sais pas si tu viens toute seule ici. » Je souris, les yeux délicatement clos pour profiter de cette brise fraîche. « Je n'oublies jamais les choses qui compte et je ne suis plus venue ici depuis la dernière fois que tu m'y as emmené. » Je l'informe, rouvrant mes yeux et observant le petit chemin entre les vieilles bâtisses abandonnées. J'entre dans le vaste jardin aux herbes monstrueusement hautes. Alors je regarde mon père, d'un regard plus tendre. Le voyant fermer les yeux, je souris, me demandant comme on peut laisser un endroit si paradisiaque en abandon. Il hausse les épaules. « Je ne sais pas du tout. Mais c'est vrai que ça aurait été entretenu été tout aussi magique, mais en faite... J'aime bien comme ça aussi, ça garde un  petit charme. » Je souris comprenant ce qu'il dit. C'est vrai que ça laisse ce charme mystérieux, authentique, vieillot et un peu apocalyptique. Mes doigts se mêlent aux herbes hautes. Je rejoins le porche de bois, retire ma veste épaisse. Je me demande si mon père se souvient de la principale raison de notre première venue ici, et les fois suivantes. « Oui je m'en souviens bien, je voulais te dire que c'était pas grave et que, bah, te montré que malgré la mauvaise note il y a avait bien plus à voir que ça. » J'opine du menton en gardant ce sourire mélancolique. « Et ta mère qui disait a tout le monde que c'était moi qui allait vous engueulez pour des mauvaises notes. Je ne l'ai jamais fait. » Je ricane en le regardant de haut en bas avant de rajouter en blaguant : « Faut dire, tu faisais peur à des tas d'enfants avec tout tes tatouages et ton aspect un peu rock. Carrément rock. » Je cligne de l'oeil, je plaisante. Mon père, je l'aime comme il est et j'ai toujours dit qu'il était le papa le plus cool au monde. Qui a son père avec une Harley authentique ? Je calme un peu les plaisanteries, demandant comment est l'ambiance à la maison, les nouvelles. « Tom est revenu vivre à la maison parce qu'il … je ne sais pas trop pourquoi une histoire de couple qui c'est mal terminé. » J'esquisse un sourire amusé. Tom, l'ainé de toute notre fratrie est allé revivre chez papa et maman. Je vois que mon père se mordille la lèvres et je sais qu'il hésite à me parler de quelque chose. « Et les ados sont calmes, enfin presque, Andrew j'ai toujours autant envie de le claquer mais bon c'est comme ça. » Je ricane à nouveau. Andrew est l'un des gamin que je préfère avec notre petit rebelle. « Je devrais passer un jour pour les voir. Remettre Andrew à sa case, si tu veux. Me moquer de Tom. Puis voir maman aussi. » J'opine délicatement de la tête, comme une affirmation future promesse que je me fais. Surtout pour me chamailler avec Tom, c'est comme cela depuis toujours avec lui. « D'ailleurs comment elle va maman ? » Je veux savoir comment elle va, je remarque qu'il ne m'a pas dit pour elle alors, je me pose des questions. Vont-ils bien tous les deux ? Papa vient s'asseoir à coté de moi, retirant sa veste de sa place.« Et toi puce, comment ça va chez toi ? » Mon visage se crispe. Je lève les yeux au ciel, frottant délicatement mes bras par nervosité. Comment dire que ça ne va clairement pas, sans l'inquiéter, sans qu'il parte dans des hautes montagnes de colère ? Alors, je soupire et je serre mes mains contre le bord du banc, de part et d'autre de mes cuisses. « Ça peut aller. Chris en a marre de ne rien pouvoir faire et de rester seul quand je pars en reportage à travers le monde. » J'opine, retenant des larmes tout en regardant les pieds de mon père. Je me mordille les lèvres entre elles et finit par regarder mon père en souriant. « Je suis un peu devenue l'homme de la maison. » Je souris mais je ne fais que mentir. J'attrape mes cheveux en queue de cheval pour les mettre sur un seul coté. Je ne calcul alors pas immédiatement que je lui affiche sous le nez un hématome récent à la nuque.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) EmptyDim 6 Aoû - 16:15

comme quand tu étais petite. •
père & fille.
••••

« Je n'oublies jamais les choses qui compte et je ne suis plus venue ici depuis la dernière fois que tu m'y as emmené. » Je te regarde en souriant légèrement à se que je vois tu réserves cette endroit qu'à nous deux, et pour être franc moi aussi, je ne suis pas revenu sans toi, mais aussi j'ai besoin d'avoir la présence de quelqu'un avec moi car j'ai pas envie de rester ici nostalgique car de vieux souvenirs sont présent a cette endroit, c'est peut-être pour ça que je t'emmène souvent et que maintenant que tu es grande tu es peut-être prête a entendre une partie de vérité, de ma vie, une partie que j'ai toujours caché, et que je pense qu'elle doit enfin naître au grand jour. Tu en sera la première a qui je vais en parler, mais il me faudra du temps pour tout t'expliquer, car ouais, c'est douloureux et pas si facile que ça. Une fois que tu es installé tu parles du bon vieux temps et que ouais je me souviens parfaitement pourquoi je t'emmenais ici. Quand je te dis que ta mère faisais croire que j'étais le plus méchant, a ta réponse je ne peux pas m'empêcher de rire.  « Faut dire, tu faisais peur à des tas d'enfants avec tout tes tatouages et ton aspect un peu rock. Carrément rock. » je hausse alors des épaules en te regardant. « Et tu vas me dire que tu n'aimes pas les tatouages de ton vieux père rocker, ou plutôt bicker ? » je dis en souriant, bien sûr c'est rien de méchant et que de la taquinerie à ce moments présent. Quand tu me demandes comme ça se passer à la maison je t'explique rapidement que le plus, ceux qui me fou presque péter un plomb c'est le mômes. Surtout Andrew. « Je devrais passer un jour pour les voir. Remettre Andrew à sa case, si tu veux. Me moquer de Tom. Puis voir maman aussi. » Mais je t'es aussi dis pour Tom. Après tout, c'est mon fils je peux l'aider non ? « Tu sais que tu es toujours la bienvenue à la maison Bonnie. Et tout le monde seraient content de te revoir, surtout ton frangin, il en manquera pas une pour t'emmerder et je suis que c'est pareil pour toi. » je hausse des sourcils en souriant, comme je fais toujours. Bien sûr je voulais éviter le sujet de ta mère mais bon c'est lancer. « D'ailleurs comment elle va maman ? » je hoche la tête de haut en bas. « Elle va bien, s'inquiète toujours pour rien, tu la connais mais elle va bien. Elle t'embrasse aussi. » je dis en souriant. Si je te dis que non ça ne va pas tu vas te faire un sang d'encre et vouloir savoir se qu'il se passe. J'ai pas trop envie de rentré dans les détails maintenant, des détails conjugales mais surtout que c'est totalement moi le fautif et d'un coter j'ai pas envie que tu me vois comme le père qui fait souffrir ta mère. Car oui c'est vrai. Mais bon, je viens alors m'installer à t'es coter en retirant à mon tour ma veste et je te demande comme tu vas. J'ai pencher doucement le visage vers toi pour t'observer et t'écouter. « Ça peut aller. Chris en a marre de ne rien pouvoir faire et de rester seul quand je pars en reportage à travers le monde. » je hausse doucement un sourcil, je n'ai jamais apprécier Chris et tu le savais très bien. Mais je m'abstiendrais toujours pour toi. « Je suis un peu devenue l'homme de la maison. » je soupire discrètement, c'est pas a toi de l'être et non il ne faut pas ça va te bouffer la vie et je n'ai pas envie. J'avais détourné une seconde le regard de toi, mais je viens a nouveau redéposer mon regard sur toi, quand tu lèves t'es cheveux, je fronce les sourcils. Je dois m'énerver ou pas ? Je vais attendre t'es explications surtout. Je passe délicatement mes doigts sur ta marque enfin plutôt ton hématome. « Bonnie, c'est quoi ça ? » j'ai les sourcils froncé, et mes doigts passe doucement dessus. Avant que ma main se glisse sur le haut de ton dos. Mon ton n'était pas méchant ni agressif mais vaux mieux pas que soit Chris qui t'ait fait ça sinon... ouais je vais m'énerver et il va comprendre qui je suis et surtout comment je m'appelle. Tu savais très bien comment j'étais, tu m'avais déjà vue me battre, entre parenthèse car avant qu'on aille les deux derniers je faisais encore de la boxe pour expulser ma colère et tu savais comment je suis et que je serais capable de... et bien de lui donner une leçon de vie.

••••

by Wiise
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: comme quand j'étais petite. (alastair) (#)   comme quand j'étais petite. (alastair) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
comme quand j'étais petite. (alastair)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
island bay ::    :: trash :: rps-
Sauter vers: