contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: If you love me, don't let go (bonnie) (#) Jeu 20 Juil - 21:18
If you love me, don't let go
Canie #1
Un pas. Puis un autre. Un sourire. Et un autre. Une accolade. Tout va bien. Oui vous allez bien. Tout s'enchaîne. « Arrêtes avec cette musique. » Qu'il te dit. Sauf que toi, t'en as pas fini avec cette musique. Oh que non. Il devrait te connaître depuis le temps. Trente ans qu'il partage ta vie, il devrait savoir que lorsque tu as un truc en tête … Tu l'as pas ailleurs. Commençant doucement à fredonner l'air de cette chanson. Voyant sa tête. Il la supporte pas. Il commence à trifouiller le poste de radio. « Moi conducteur, ma musique » Que tu lui dis, en ayant pris soin de lui claquer la main. Il soupire, ça t'éclate. Tapant des mains sur le volant. Tu vois bien qu'il rage dans son coin. « Franchement … - oui moi aussi j'me demande comment on peut être frangin. » Que tu lui rétorques avec un grand sourire. Sa réflexion tu la sentais venir. Et puis même s'il comptait pas te dire ça, tu lui en remets une couche. Il se met dans son coin, t'accorant un silence. Petite bouderie. Toi tu continues à jouer au rythme de la musique. Plus elle est fun, plus tu adores. Enfin tu adores emmerder Ryan, mais ça il le sait bien. « Allez boudes pas ! Promis j'te laisse choisir après. » Tu peux voir d'ici qu'il lève les yeux au ciel. Vous vous connaissez, que trop bien. Vous êtes frères, les meilleurs. Tu t'entends très bien avec Kyan, il n'y a pas de doute là dessus, mais Ryan et toi c'est différent. Entre vous, ça a toujours été simple. Lui le grand et sage, toi le second et imbécile. Tout vous sépares, mais ça vous réunis en même temps. Tu tentes de l'entraîner avec toi au rythme de la chanson .. à force de le taquiner et surtout le faire chier. Tu vois qu'il commence à céder. Comme quoi tu le connais bien l'animal. Vous chantez ensemble, comme si rien ne pouvait vous atteindre. À des années lumières de ce qui se prépare. La lumière qui se dégage sur ta droite. Tu ne la vois trop tard. Sa voix qui perse tes tympans. Puis le choc … la chanson qui défile, ta voiture dans le décor. Sa voix, mélanger à la tienne… juste un silence. Tu tentes d'ouvrir la bouche, mais rien. Tu tentes de l'implorer, de te répondre, mais rien ne sort.. puis d'un coup noir. Absolue. Noir provoquant… Tu finis par te réveiller. En sueur pour changer. Des coups qui martèle ton esprit. Ton cœur a deux doigts de sortir de sa cage. Cage doré a fait place à une prison de froid. De glace. Là où il se trouve à présent. Passant tes mains sur ton visage. Tu n'en peux plus. Toutes les nuits ça recommence. Encore et encore. Cette nuit qui te hante. Qui te bouffe de l'intérieur. Cette culpabilité qui te ronge. Qui te brise par dessus tout. Envoyant valser tes draps. Tu n'en peux plus de tout ça. T'as mal. Beaucoup trop mal. Et puis ce bruit qui ne cesse pas de fracasser ta tête. Tu es réveillé, ne comprenant pas pourquoi il continue toujours. Perdu entre rêve et réalité. Il te faut un certains temps avant de comprendre que le bruit vient de chez toi. Ce bruit n'est autre que ta porte, du moins quelqu'un qui martèle ta porte. Qui la tambourine de toutes ces forces plus précisément. Regardant l'heure, tu pries pour que ça ne soit pas Sawyer, avec elle on ne sait jamais penses-tu … Il est bien trop tôt ou trop tard pour que ça soit ta belle sœur. Reid ? Une brève lueur apparaît au fond de toi. Et si c'était lui ? Cela serait une bonne raison de sortir de ton lit … Pour savoir qui se trouve derrière ta porte … il va falloir que tu te lève. Extirpant ton corps de ce lit, qui est devenu un lieu de torturé pour ton âme. Soufflant et percutant un objet non identifié au sol. Lorsque tes yeux sont plus habitués à la noirceur de l'appartement. Tu te rends compte que c'est un déchet de bouteille. Tu souffles à nouveau. La nuit a encore été rude… tu n'arrives même pas à t'en vouloir. Tu évacues comme tu peux. À ta façon si on veut. Le bruit ne cesse pas, si la personne continue, elle va bientôt faire un trou dans ta porte. On peut sentir son énergie. Non ce n'est définitivement pas Reid. Quoique ? Non. Une fois la porte ouverte, tu reçois un coup dans le torse. Apparemment la personne, bien trop déterminée n'a pas fait attention au faite que tu viennes d'ouvrir. « Bordel Bonnie ... » que tu souffles. Passant ta main sur le torse. Elle ne t'a pas loupé et pourtant tu n'es pas une chochotte. Des coups, tu as toujours eu l'habitude d'en recevoir, merci la boxe. Sauf qu'en pleine nuit et dans ton état : négatif. La jeune blonde te lance un de ces regards… l'enfer vient de frapper à ta porte. Tu aurais mieux fait de rester au lit, penses-tu …
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Sujet: Re: If you love me, don't let go (bonnie) (#) Ven 21 Juil - 12:21
If you love me, don't let go
Canie #1
« On n'est plus ensemble, Bonnie. » La voix un peu mélancolique de Abby se fait entendre au bout du fil. Je raccroche après avoir lâché un vaste ok, mais en réalité, je suis rongé par de multitudes sentiments. Je cherche à contacter Cade mais c'est sans grand succès. Le téléphone sonne dans le vide et je stresse qu'il lui soit arrivé quelque chose. « Il ne va pas bien. » M'avait-on dit également au téléphone, mais cette fois-ci, j'avais appelé sa mère. Sans trop de réponses de Cade, le principale intéressé, mon ami d'enfance, amoureux de bancs de primaire et sujet de ma rupture la plus hilarante de tout les temps. Je ne sais pas ce qu'il a mais je suis rongé par la colère ainsi que la tristesse. Colérique qu'il ne m'en parle pas. J'attends donc que Chris part dans un sommeil profond. J'attends quelques heures, faisant semblant de déjà partir au pays des rêves. Au pays de ma seule délivrance face au cauchemar quotidien que je vis en restant ici avec lui. Lorsque je l'entends ronfler à mes coté, l'haleine puante d'un mélange d'alcool, je me soulève hors du lit avec une douceur et une discrétion apprise en un mois. Je me faufile dans la salle de bain, enfiler un vieux tee-shirt ample, une jean et de changer mon pansement au bras. Le sang ne coule plus, mais je préfère garder un pansement. J'enfile ma veste en cuir au passage vers la porte d'entrée. Je ferme cette dernière très, très, délicatement et ouvre à distance la voiture de Chris, un peu plus loin dans la rue. J'actionne le moteur et me dirige vers chez Cade à West Bay. La nuit est calme, froide, quelques goûtes ruissèlent sur mon pare-brise mais se font retirer par mes essuies-glaces. J'éteins mes feux de routes, coupe le moteur et me dirige vers son appartement. Personne ne sort, il pleuvine en prévision d'une averse que l'on connait bien ici, à Island Bay, en cette période de l'année. L'odeur de l'humidité pluvieuse me quitte lorsque je pénètre dans son immeuble. Je m'arrête à sa porte. Toque calmement plusieurs fois. Pas de réponses. J'accélère les coups, les rendant de plus en plus forts. Puis, n'ayant toujours aucun signe de vie, je tambourine du coté de mon poing fermement clos contre sa porte. Je la sens vibrer à mon contact, trembler à deux doigts de lâcher si j'avais la force de hulk. Une porte s'ouvre, mais pas la sienne. « Vous pouvez vous calmer ?! » Une dame sort de son taudis pour m'engueuler, je la fusille du regard puis affiche un sourire lumineux, presque effrayant par cette pénombre. « Pardonnez-moi, mais j'ai de bonnes raisons. » Elle fait un bruit avec sa bouche, comme pour me narguer. « Tsk. Encore une des conquêtes du jeune...- » Elle claque sa porte sans terminer de marmonner sa phrase en ma présence. Parfait. Je tambourine en regardant toujours la porte de la dame, le sourire se décomposant. « Bordel Bonnie ... » J'avais touché quelque chose de moins dur que le porte. Je regarde Cade, qui avait ouvert la porte alors que je frappais à sa porte. « Abruti, tu peux prévenir avant d'ouvrir. » Dis-je en le regardant se caresser le ventre, presque anéanti par ma force maigre. J'entre dans son appartement, du moins je m'incruste telle une bourrin. Je lui claque sa porte dans mon dos, le faisant reculer pour que j'entre. « Pas de bordel Bonnie, Cade. Tu ne réponds pas à mes appels depuis le début de la soirée. » Les mains sur mes hanches, je regarde le petit Cade se morfondre dans sa fatigue. Je bouge mon visage afin de positionner une mèche hors de mon champ de vision. « En plus, j'apprends quoi ? T'as quitté Abby. Enfin, vous n'êtes plus ensemble. » Je pose mon index sur ses lèvres avant qu'il n'ouvre son bec de pélican en chaleur. « Je sais qu'on ne s'est plus trop parlé depuis quelques temps à cause de mes voyages mais je suis bien présente là. Devant toi. Alors raconte. Pourquoi tu ne m'as rien dit ?! » Je retire mon index, le laissant finalement me parler.
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Sujet: Re: If you love me, don't let go (bonnie) (#) Sam 22 Juil - 12:45
If you love me, don't let go
Canie #1
Les yeux à moitié fermés. T'avances tel un robot vers ta porte. Afin de faire cesser le bruit. Ce bruit qui martèle ton crâne. T'as plutôt l'impression que ce n'est pas la porte qui prend, mais ton cerveau. À peine as-tu ouvert, que tu reçois le coup sur toi. Ça pour un réveil, c'est un réveil. La tornade blonde a sonné, tu aurais pu le prévoir, mais honnêtement : tu n'y as pas songé. Ne pas lui répondre, c'était un choix. Un choix que tu assumes, vu que tu évites tout le monde ces derniers jours, voir semaines. Puisque depuis l'accident tu n'es clairement plus le même. Tu souffles en croisant son regard. L'enfer te rattrape, mais pour le coup tu aurais préféré que ça soit Hades plutôt que Bonnie. Tu l'adores ta blonde, mais là tu le sens mal. Suffit de voir la hargne qu'il y avait dans ses coups. Te poussant vers ton appartement. Leur des règlements de compte a sonné, qu'importe ton avis. « Pas de bordel Bonnie, Cade. Tu ne réponds pas à mes appels depuis le début de la soirée. » la phase un est enclenchée. Tu frottes tes yeux et bailles à nouveau. En plus de te sortir d'un cauchemar et donc de ton sommeil, elle attend de toi des réponses. Tu la sens mal cette nuit. Ne sachant même pas quelle heure il est. Ton esprit est encore trop touché par ce cauchemar. Cela ne fait même pas quelques minutes que tu as émergé. Sauf que Bonnie, elle s'en fout, elle te laisse pas le temps de souffler. Elle ne serait pas la tornade Bonnie sinon. L'envie de regagner ton lit se fait plus grande, tu sens qu'au fond tu préfères affronter ce cauchemar plutôt que cette discussion. As-tu le choix ? Non. Absolument pas. « En plus, j'apprends quoi ? T'as quitté Abby. Enfin, vous n'êtes plus ensemble. » Phase deux, il ne manquait plus qu'elle aborde cette partie. Rien qu'évoquer son prénom .. tu .. n'as pas de mot. Tu t'apprêtes à répliquer, parce qu'il serait temps qu'elle te laisse en placer une. Rien qu'une seule. Apparemment non, si on se fit à son index. « Je sais qu'on ne s'est plus trop parlé depuis quelques temps à cause de mes voyages mais je suis bien présente là. Devant toi. Alors raconte. Pourquoi tu ne m'as rien dit ?! » Levant les yeux au ciel. Oui bien sûr qu'elle est adorable de se morfondre pour toi. Votre amitié existe depuis bien trop longtemps. Ce qui te fait penser que tu n'as pas vu le groupe depuis .. tu ne saurais dire. Trop longtemps. Te laissant tomber dans ton canapé. T'as pas la force de réfléchir et de te creuser pour trouver les bons mots. Tu respires un bon coup et finis par planter ton regard dans le sien. Tes yeux qui se ferment aussitôt car la tornade vient d'allumer la lumière. « Bordel tu cherches à m'tuer cette nuit ou quoi ? » que tu sors naturellement. À l'article de la mort à cause de cette luminosité. Plissant les yeux et te cachant derrière un cousin. Après le coup dans le torse -qu'on se rassure, il ne sent plus rien, merci la boxe – voilà qu'elle cherche à te rendre aveugle. De mieux en mieux. Tu sens qu'elle se pose à côté de toi. Elle cause : encore. C'est Bonnie après tout. Tu soupires. « Easy. » que tu dis. La tête toujours à l'ouest. Puis tu n'as pas spécialement envie de parler à cette heure. T'as envie de rien, mais bon … Tu finis par sortir la tête de sous le cousin. « Je l'ai pas quitté d'abord, c'est-elle qui est parti ... » Fin c'est ce que tu as compris. Est-ce que tu ressens quelque chose ? Honnêtement, tu ne sais pas. Ton esprit est bien trop rongé par autre chose. Tu n'as pas encore conscience de tout ce qui se trame autour de toi. « puis désolé, mais ça n'a rien n'avoir avec toi … j'suis … fin c'est compliqué. » bien sûr que ça va l'aider ou la faire taire. Tu la connais, elle va insister. Encore et encore. C'est Bonnie après tout. Passant une main sur ton visage. « C'est Ryan. Fin moi et Ryan on a eu un accident et .. il est dans l'coma … à cause de moi. » te raclant la gorge. Tu te surprends à avoir réussi à dire tout cela sans craquer. Peut-être la fatigue ? Fatigué de devoir toujours t'expliquer. Ou juste fatigué tout simplement, ton corps épuisé par les naufrages des nuits passés … épuisé et lasse, tu te laisses tomber en arrière. Tu sais que tu n'es pas prêt de retrouver ton lit. Oh que non.
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Sujet: Re: If you love me, don't let go (bonnie) (#)
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