contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: They said keep the family close (famille Braxton) (#) Lun 31 Juil - 18:05
THEY SAID KEEP THE FAMILY CLOSE
Iris reçut un message plutôt surprenant et inattendu de la part de sa mère en cette fin de journée. Elle venait tout juste de quitter le musée tandis qu'elle sentit son smartphone vibrer dans sa main. "Ma chérie j'ai un soucis avec l'alarme tu peux passer à la maison s'il te plaît ? Bisous." Lisait la blonde en fronçant des sourcils. Iris n'était ni technicienne, ni un de ses frères et encore moins apte à régler ce genre de problème. Malheureusement c'était à elle qu'était destiné ce message et sans poser de questions elle se rendit chez elle afin de se changer et porter quelque chose de plus confortable. Habituellement la jeune femme ne se plaignait jamais et était plutôt du genre à acquiescer sans se poser de questions. Seulement, cette fois-ci l'hôtesse d'accueil n'était pas prête à utiliser son cerveau quelques heures de plus pour comprendre le fonctionnement de l'alarme. Quelle idée de faire appel à une incompétente alors qu'une société aurait très bien fait l'affaire. De plus ce n'était pas comme si elle était fille unique, ils étaient six enfants et une belle-fille s'était rajoutée à la fratrie après avoir épousé le plus grand. Les Braxton étaient assez nombreux et ce n'était pas l'aide d'Iris qui allait arranger cette situation. La jeune femme enfourcha son vélo et décida de pédaler lentement, peut-être que d'ici là sa mère allait faire appel à un autre de ses enfants.
Assise à moitié nue et ayant seulement une simple serviette couvrant son corps dégoulinant d'eau, Iris décida d'appeler sa mère en priant pour qu'elle n'ait plus besoin de son coup de main. Qu'elle était là probabilité pour qu'elle ne réponde pas ? « 100% apparemment. » murmurait-elle avant de soupirer lorsque la voix robotisée retentissait à son oreille. La blonde posa son téléphone sur son lit avant de se relever difficilement pour se diriger vers son petit dressing. « C'est toujours pareil, toujours Moi, toujours Iris pour faire la technicienne. » Râlait-elle en attrapant un simple jogging gris et un pull bleu marine volé dans les affaires de Cade. Il était peut-être temps de le lui rendre après toutes ces années. Mais se souvient-il encore de son existence ? Sans doute pas. Une fois habillée, Iris enfila des chaussures de sport avant de claquer la porte d'entrée de son appartement prête à affronter cette maudite alarme.
« Maman ? » Demandait Iris en se dirigeant vers le salon où des années plus tôt la famille se réunissait pour passer du temps ensemble. Tout était vide, aucune présence humaine ne pouvait soulager sa nostalgie. Elle retira ses chaussures qu'elle plaça correctement à l'entrée et parcourut du regard les pièces de la demeure familiale. « Mais c'est une blague ? » S'exclamait la blonde en laissant retomber lourdement ses bras contre ses cuisses. « Si tu comptes faire une fête surprise maman tu te trompes d'enfant, c'est pas mon anniversaire ! » Disait-elle en redescendant rapidement les escaliers d'un pas lourd. La jeune femme se jeta sur le canapé imposant au milieu de la pièce de vie avant d'attraper son téléphone pour composer le numéro de sa mère quand quelqu'un entra dans la demeure.
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Sujet: Re: They said keep the family close (famille Braxton) (#) Jeu 3 Aoû - 10:15
≈ ≈ ≈ {they said keep the family close.} crédit/ tumblr ✰ braxton family.
Aujourd’hui, je ne travaille pas. J’ai un peu de temps pour moi, pour Cami. Et je décide de l’emmener au parc. A en voir le sourire qui trône sur son visage quand je lui annonce la bonne nouvelle, ce n’est pas une mauvaise idée. Je suis contente de pouvoir passer du temps avec elle. Le temps est précieux. Surtout avec sa maladie. Heureusement, son état de santé est stable. Mais nous ne sommes jamais à l’abri. Après deux bonnes heures à jouer dans l’air de jeux, je reçois un message de ma mère. Elle a un problème avec l’alarme de la maison et elle veut que je vienne l’aider. Sans rechigner, je lui réponds favorablement. C’est toujours un plaisir pour moi de retourner à la maison familiale. Et de revoir ma mère. Pour Cami, aussi. Elle a besoin de passer du temps avec elle. « Cami, il faut qu’on y aille. » La petite blonde ne semble pas d’accord, la mine boudeuse. Elle préfère sans aucun doute continuer de jouer, elle. « Pas envie. » Mais je suis convaincue que ce qui va suivre la fera changer d’avis. Je lui adresse un tendre sourire. « On va passer voir Nanny. » Nanny, le surnom que donne Cami à sa grand-mère. D’un coup, son visage s’illumine. Et sans plus attendre, elle vient me rejoindre. Prête à partir. Direction le quartier de la maison familiale. Celle dans laquelle j’ai grandi, depuis toujours. Le repère de notre famille. Un lieu rempli de souvenirs. De notre enfance. De notre père, aussi. Un endroit aimant où il fait bon de vivre. Où je me sens bien, apaisée. La porte est ouverte et je rentre sans m’annoncer. « Maman ? » Aucune réponse. J’avance finalement jusqu’au salon, Cami dans les bras, et je tombe sur ma jumelle, Iris, assisse sur le canapé. Sur le coup, je ne comprends pas tout. Mais je ne réfléchis pas plus que ça. Je m’approche de ma sœur pour la serrer dans mes bras. En réalité, ça fait un moment que je ne l’ai pas vu. Entre mon boulot au fast-food, mes sorties en tant qu’escort, Cami et les nombreuses visites à l’hôpital, la vie défile à cent à l’heure. Et puis, faut dire que les relations familiales ne sont plus vraiment ce qu’elles étaient aussi depuis le drame. Même si, Iris, c’est Iris. Quoi qu’il arrive, elle reste et restera ma moitié, ma jumelle. Celle qui me complète à la perfection. Et malgré nos divergences sur le sujet, je ne pourrais jamais lui en vouloir. Jamais lui tourner le dos. Elle est trop importante à mes yeux. C’est ma vie, mon équilibre. Je ne peux pas vivre sans elle. Impossible. « Ça fait du bien de te voir. » Je mets un terme à notre étreinte avant de m’asseoir à côté d’elle surprise de ne pas voir notre mère dans les parages. Je dépose Cami dans les bras de ma sœur pour que la princesse puisse profiter de sa tante. « TATAAAAA RIS' » Le sourire aux lèvres, toute excitée, on comprend vite que Cami est vraiment heureuse de la voir, elle aussi. « C’est quoi le délire, en fait ? » Je ne peux m’empêcher de rire, malgré moi. Même si, inconsciemment, j’ai un mauvais pressentiment. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais je ne le sens pas. « Maman m’a envoyé un message pour que je l’aide. » Je jette de nombreux regards à gauche, à droite, mais rien. « Elle n’est pas là ? » Je reste perplexe. Sans trop comprendre ce qui est en train de se passer. Finalement, la porte d’entrée se fait à nouveau entendre.
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Sujet: Re: They said keep the family close (famille Braxton) (#) Ven 4 Aoû - 12:35
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Sujet: Re: They said keep the family close (famille Braxton) (#) Dim 20 Aoû - 22:36
they said keep the family close
Braxton Family
D epuis l’accident de Ryan, rien n’allait plus chez les Braxton. La fratrie s’était divisée en deux clans bien distincts, d’un côté ceux qui blâmaient Cade pour l’état de leur aîné et de l’autre, ceux qui le soutenaient. Et cette situation n’était pas pour plaire à Sawyer, d’autant que la jeune femme n’avait jamais été très friande de conflit. Bien sûr, elle avait sa part de responsabilité, mais cela ne voulait pas dire qu’elle ne comptait pas essayer d’arranger les choses. Parce que la famille, c’était important pour elle. Parce qu’elle n’aimait pas les voir se déchirer. Parce qu’elle savait que Ryan n’aimerait pas voir sa famille imploser. Parce qu’ils avaient besoin les uns des autres. Alors Sawyer avait rendu visite à sa belle-mère, qui n’appréciait pas non plus l’état dans lequel était sa famille, dans l’espoir de trouver ensemble un moyen d’amener tout ce petit monde à enterrer la hache de guerre. Elle-même avait fait un pas vers Cade, apaisant ainsi cette guerre froide qui s’était installée entre eux, mais d’autres plus têtus qu’elle semblaient avoir bien du mal à mettre leurs rancœurs de côté.
Voilà comment Sawyer s’était retrouvée à garer sa voiture devant la maison familiale pour se diriger, le plus innocemment du monde, vers la porte d’entrée. Elle ferait comme ses beaux-frères et belles-sœurs : elle prétendrait que la mère des Braxton lui avait envoyé un message pour lui demander de l’aide avec son alarme défectueuse, et puis elle jouerait la surprise en découvrant qu’elle n’avait pas été la seule à recevoir ledit message. Ensuite et bien… Advienne que pourra.
Bien entendu, jamais Sawyer ne se permettrait de rentrer librement chez sa belle-mère sans s’annoncer si Ryan n’était pas avec elle. C’était la moindre des politesses et même si, officiellement, sa belle-mère l’attendait de pied ferme pour qu’elle répare son alarme – demande peu crédible quand on connaît le peu de talents de la jeune femme pour la technologie – Sawyer n’allait pas entrer dans la maison comme dans un moulin. Elle avait beau faire partie de la famille depuis un moment déjà, elle n’en était pas encore à s’autoriser ce genre de liberté. Alors bien sagement, le plus innocemment du monde, elle toqua à la porte d’entrée et attendit que quelqu’un vienne lui ouvrir la porte. Sa belle-mère n’était pas là, et elle le savait pertinemment et elle ignorait si qui que ce soit d’autre était arrivé, même si elle avait pris la précaution de leur laisser le temps de rejoindre la maison familiale après que sa belle-mère l’ait informée de l’envoi du message.