we are never alone in this world • aaron (winter festival)

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aaron & alastair.

Debout depuis maintenant six heures du matin, ouais ça fais quand même tôt mais je n'ai pas du tout le choix. Avec ses migraines qui me frappe la tronche je ne peux pas rester au lit le temps que je veux, puis de toute façon, je n'arrive plus a dormir autant quand j'ai le temps a mon âge. Normalement ça devrait être l'inverse mais non je n'y arrive pas. Alors j'ai profiter du calme pour m'occuper de mes dossiers, dossiers que j'ai mis du retard à l'intérieur. Jusqu'au moment ou tout les mômes sont debout. Des voix, a la limite des cris. Jusqu'au moment ou j'entends mon premier fils hausser la voix lui aussi. Le calme, il doit être comme moi le matin. Je soupire doucement, dépose mes lunettes sur mon bureau et me lève. Quand j'ouvre les portes de celui-ci un de ses piaffes entre a l'intérieur. Je serre la mâchoire. « Tommaso Berenson ! » je dis en hurlant à la limite de me faire une extinction de voix. Je ne voulais pas voir ses piaffes volés dans la maison et c'est se qu'il se passe. Bien sûr m'entendre hurlé ainsi ça a calmer tout le monde. Je le vois débarquer en deux temps trois mouvement pour aller chercher son oiseau dans mon bureau mais ne m'adresse pas la parole, pas maintenant. Après qu'il le remette dans sa chambre, je suis descendu dans la cuisine et rester dans l’encadrement de la porte. « C'est quoi ce foutu bizarre dans cette baraque bordel de dieu ! » « Chéri on ne jure pas ! » dit ma femme. « Je m'en fou ! Ils hurlent tous à la mort et faut que ça soit Tom qui intervienne. Tu trouves ça normal ? » « T'as qu'à être plus présent Alastair. » Je fronce des sourcils quand elle me dit ça, franchement en me regardant droit dans les yeux. Je m'approche d'elle pour que les gosses n'entendent pas. « On règle ça plus tard Jane. C'est pas le moment. Et tu sais se que j'en pense. » J'ai accepter qu'elle accueille des mômes parce que ses bébés sont partis ou presque alors fallait qu'elle aillent une présence vers elle. Quand je me retourne face à la table plus un mot, personne ne parle sauf un. Je lève mes sourcils mais non, il ne dit plus rien. Mon visage fermé, dur et surtout remplis de rage pour beaucoup trop de chose il n'ose plus rien dire. Je m'avance vers le coin ou se trouve le café, et Tom s'approche de moi pour murmurer « Désolé p'pa pour l'oiseau... Je... Puis pour les mômes maman n'a rien à voir. » « L'oiseau c'est la dernière fois, et le putain de bordel, ta mère y ait pour quelque chose. Maintenant, c'est ou tu les calmes ou je les bouffes tous. » je dis sérieusement en prenant ma tasse entre mes mains. La fatigue est présente sur mon visage. Je remonte dans mon bureau pour être au calme. Une envie soudaine de m'éloigner d'ici me prend. J'avale en deux temps trois mouvements mon café, par me changer. J'enfile un jogging, un tee-shirt de sport et un simple veste de sport aussi. Quand je redescends dans le hall, le calme était présent. Tom a toujours réussi a calmer les mômes quand je n'y arrivais pas. Je siffle un coup. « Jack ! On y va ! » il arrive rapidement, voyant que j'ai sa laisse en main, mon fils arrive. « P'pa tu vas où ? » « Courir. A plus tard fils. » je dis calmement puis je pars de cette foutu villa. Je cours, plusieurs minutes, plusieurs heures prenant des chemins que je connais trop bien. Chemins que j'ai toujours pris avec mon chien mais aussi que je connais par cœur vue que je les prenais avec ma sœur. En arrivant au sommet, la ou on a vue tellement magnifique mon chien s'allonge au sol et moi je souffle main sur mes hanches. Je ferme un instant les yeux laissant le vent me frapper le visage. Je viens alors me perdre dans mes pensées, me rappelant des vieux souvenirs, souvenirs avec ma jeune sœur, qui a toujours été jeune et n'a jamais pu revenir ici. Je passe mes mains sur mes hanches et soupire fortement et lâche un : « Putain de merde ! » j'ouvre les yeux pour regarder autour de moi. Mais j'entends mon chien grogner et se lever rapidement. Je siffle un coup, assez fort se qui le stop. Je sors la laisse et l'attache, j'entends aussi du bruit pensant être seul et pire, être le seul a connaître cette endroit mais non...

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aaron & alastair.

Quand je vois enfin une tête apparaître pour me prouver que je ne suis pas fou mais surtout que je ne suis pas seul je t'offre un large sourire, généralement la première réaction qu'on les personnes en me voyant c'est d'être choquer, choquer a voir mes cicatrices qui, elles se voient encore plus quand se stupide sourire est sur mes lèvres. Par moment j'aimerais qu'elles ne soient pas présente mais, bon comme on dit souvent, c'est la vie qui est faite ainsi. Jack, mon chien s'assoit à mes pieds et ne bouge pas quand tu t'approche avec ta chienne. - Bonjour ! C'est rare de croiser quelqu'un par ici. Un sourire amusée s'affiche sur mes lèvres après t'es paroles, un hochement de la tête, bien sur je continues de te regarder. « Bonjour, oui tu as raison ! » je me permets le tutoiement avec toi, parce que je pense que pour le vouvoiement tu es un peu trop jeune pour ça, tu n'est qu'un môme pour moi alors bon, puis d'un coter ça te montre que je ne suis pas méchant, que je ne suis pas là pour tuer quelqu'un ou bien même me tuer moi-même. Mais tout simplement que je ne trouve pas ça désagréable que d'autre personne connaisse cette endroit, surtout un jeune comme toi. Je sens mon chien se lever pour s'approcher du tien, tout simplement par gentillesse et si c'est trop je le remmènerait à la raison au bon moment, sa truffe touche celle du tien, je les regarde un instant et redépose mon regard sur ta personne. « Je pensais être le seul a venir ici avec Jack, après une bonne course, mais je vois que non. » je garde un sourire aux lèvres, je ne veux pas te faire fuir ni même te paraître froid comme beaucoup de personne le pense, malheureusement j'ai envie de dire. Ce n'est pas parce que j'ai cette tronche de vieux con, de vieux mafieux, comme beaucoup le pense que je le suis en faite. Certes j'aurais peut-être pas mes têtes, celles que je n'arrive pas a encadrer, comme Sasha, mais ça c'est une autre histoire. Quand je t'observe, je peux voir que tu m'as l'air bien sympathique et surtout très sportif. « Si je peux me permettre, tu viens souvent ici ou pas ? Enfin, c'est peut-être une question assez bête, mais, vue que c'est la première fois que je te vois dans les parages je peux penser que non ou bien oui alors qu'on n'a pas les même horaires ! » je rie doucement, ma voix roque, grave, imposante est dans l'air. Je ne fais pas spécialement exprès, je suis comme ça et c'est tout mais d'un autre coter, ça te montre l'autorité que je peux avoir avec des gamins ou tout simplement avec d'autres personnes qui me chercheraient un peu de trop. C'est corpulence imposante aussi, une taille bien trop grande à mon goût mais aussi à t'es coter. Je viens farfouiller dans la poche de ma veste pour trouver mon paquet de cigarette. J'en sors une et l'allume. « Je sais, c'est pas bien, je viens de faire du sport et je fume quand j'ai encore l'occasion. » je dis en haussant des épaules. Beaucoup me feront la morale. Puis je sens mon chien tiré un peu sur la laisse pour que je lui laisse un peut plus de liberté, liberté qui veut pour jouer avec ton chien. Je dépose mon regard sur ta chienne. « Très jolie chienne, c'est quoi comme race ? » je dis en recrachant ma fumer en l'air pour qu'elle ne vienne pas vers toi. Ouais elle est super belle, à coter de mon rottweiler, elle est toute fragile, toute belle. Mais je vois que le mien ne lui veut pas de mal.

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aaron & alastair.

- C'est vrai que je n'avais jamais croisé quelqu'un avant aujourd'hui, mais j'espérais un peu ne pas être le seul à connaître cet endroit, ce serait trop dommage. On était tous les deux d’accord sur ce point, d’avoir jamais vue personne sur ici, a part nous deux en fait. Je hoche la tête positivement à t’es paroles. J’étais d’accord aussi sur le fait que ce soit dommage. Dommage que personne ne connaisse pas plus cette endroit. « Sant te mentir, à mes souvenirs il y avait bien plus de monde qui connaissait cette endroit. Surtout en ce moment, enfin, je veux dire à cette date-là. Les amoureux venaient quand même souvent ici pour voir les feux d’artifices. » je dis en haussant des épaules. « Peut-être que t’es parents sont déjà venu ici eux aussi. » je dis en riant doucement. C’est vrai que j’ai déjà emmener des copines ici pour les… emballer, c’est le mot à dire. Mais je ne vais pas te dire ça à toi surtout qu’on ne se connais pas spécialement. Je viens alors te poser la question si tu viens souvent ici, car c’était une coïncidence qu’on se retrouve ici à la même heure. - Je cours souvent, mais je change régulièrement d'endroit, donc non je ne viens pas très souvent par ici, peut-être toutes les deux semaines, voire moins. Toi tu viens de manière régulière ? Je souris en hochant la tête, c’était bien, très bien même. « Ca doit être à peu près la même chose que toi. Ou un peu plus souvent enfaite. Je trouve que le charme de cette vue sur la ville est agréable et quand on n’y vient pas tous les jours on garde cette surprise, ses lumières qui reste là pour nous dire qu’elles sont toujours présente. On peut se rendre compte de certain changement. Du moins à mon avis. » J’avais remarqué que tu me tutoies mais personnellement je n’y tiens pas compte parce que ouais, je m’en fous, clairement, aujourd’hui je m’en fous, puis on commence à passer un bon moment tous les deux. Je me permets même de venir allumer une cigarette en te montrant que je me fais moi-même la morale. - T'en que tu ne jettes pas ton mégot par terre sans avoir pensé à bien l'éteindre avant, moi ça me va. je rigole doucement et fait un non de la tête. « Si je suis obligé de le jeter par terre je fais en sorte qu’elle soit bien écraser, sinon j’essaye de toujours trouver un truc exprès pour les éteindre et les jetés. Bien trop de monde ne s’en préoccupe pas ça… Même si on a des gens merveilleux qui font tout pour arrêter ses feux, je trouve que mettre volontairement l’incendie c’est con ! » je te dis franchement ne sachant pas que tu es pompier. Je vois aussi mon chien tiré, donc je fais de même pour le laisser aller jouer avec la tienne, quand je te demande quelle race c’est je redépose mon regard sur toi intriguer. - Merci. C'est un labrador, elle est encore très jeune, elle n'a qu'un ans Ton chien aussi est beau, c'est un Rottweiler non ? Je souris en voyant que tu reconnais la race de mon chien. « Elle est très jolie en tout cas ! Elle va vite grandir fait attention. Et oui Jack est belle et bien un Rott. Je le dresse depuis qu’il est bébé alors il m’écoute assez bien et n’a jamais fait de mal aux autres animaux ou même aux mômes. » tu pouvais voir que j’en suis assez content. - Au fait je m'appelle Aaron, enchanté. Je viens alors serré ta main dans la mienne quand tu te présentes. « Enchanté Aaron, Alasatair, plutôt Al ça sera plus simple. » je te dis en haussant des épaules et souriant toujours. Puis je plisse un peu de yeux, curieux. « Dit moi, tu travaillerais pas à la caserne de la ville ? Il me semble t’avoir déjà vue. » je te dis intriguer.

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aaron & alastair.

Je t'explique qu'ici c'est l'endroit des amoureux la plus part du temps, enfin je pense que c'était avant, et maintenant que les rendez-vous ne se font plus dans des endroits assez romantique j'ai envie de dire. Mais c'est comme ça tout change maintenant et je m'en rends bien compte. - Vraiment ? Maintenant que tu le dis c'est vrai que c'est un endroit plutôt romantique, mais je n'ai aucune idée de si mes parents sont déjà venus...probablement vu qu'ils sont originaires d'ici. Je souris quand tu me dis ça. « Tout est possible, sûrement que oui, t'es parents connaissent cette endroit, ou connaissent un autre endroit tout aussi romantique, qui c'est. » je dis en hochant la tête de haut en bas. C'est vrai qu'il y a énormément d'endroit ici pour que l'on puisse être tranquille en couple. « T'as qu'à emmener ta copine la prochaine fois. » je dis en souriant. Je ne sais pas si tu en as une ou pas, mais bon.« Même si c'est juste le coup de cœur, emmène la quand même tu vas voir, elle ne pourra te dire non a rien après ça. » je dis en riant doucement. On sent l’expérience derrière ? Pas qu'un peut oui ! - Oui on a une belle vue de pratiquement toute la ville d'ici, donc on voit assez rapidement ce qui change. je hoche la tête, c'est sur et c'est vrai ouais, c'est pas simple de voir ta ville, oui en quelque sorte c'est ma ville vue que j'ai grandi ici, changer en un rien de temps. Je tourne doucement mon visage sur la ville quand tu m'en parles. « Mais quand tu vois le changement, c'est là que tu te rends comptes que, et bien que tu vieillis mais aussi que la technologie te rattrape plus vite que tu ne le pense. » je dis en la regardant puis je reviens dépose mon regard sur toi en haussant des épaules doucement. Raison aussi pour la quel je viens prendre une cigarette et l'allumer, je te rassure aussi sur le fait que je fais très attention à ça. - C'est gentil. Si seulement tout le monde pouvait penser comme toi mon métier serait bien plus simplifié en été ! Je hoche la tête. « C'est sur, mais tu auras toujours des débiles sur terre qui vont pas penser que le feu provoque des dégâts et continueront a faire n'importe quoi avec leur cigarette. » Mais comment saut du coq à l'âne ? Comme l'on vient de faire, parler de feu de forêt puis de nos deux chiens qui sont simplement entrain de jouer. - Oui je sais qu'elle va grandir vite, sa taille a déjà bien augmenté par rapport à quand je l'ai adopté. En tout cas du peu que j'en ais vu, oui il m'a l'air très obéissant. Je fais un oui de la tête, jusqu'au moment ou je vois Jack jouer à la force et j'ai peur qu'il fasse mal à ta chienne. Je siffle un coup sec et franc pour le remettre à l'ordre se qui marche assez bien. Bien sûr elle revient à l'attaque mais, non je ne veux pas qu'il prouve qu'il est le plus fort surtout qu'elle est petite encore. « Depuis qu'il est petit je lui ai prouver que c'était moi le maître et pas lui et oui depuis il m'obéis assez. Mais j'ai l'impression que la tienne aussi t'obéis pas mal à se que je vois. » je dis en souriant tout en fumant. Puis les présentations se font, Al, Aaron, enchanté, la banalité j'ai envie de dire. Jusqu'au moment ou je reviens sur ton métier, te disant t'avoir déjà vue. - Oui je travaille là-bas. Après je ne sais pas si tu es à Island Bay depuis longtemps, mais si c'est le cas c'est fort probable qu'on se soit croisé plus d'une fois. Je fais un petit mouvement de la tête de haut en bas. « Si si je suis d'Island Bay, depuis bien avant ta naissance mon garçon. » je dis en riant doucement. « Mais je suis déjà aller à la caserne pour parler avec le chef des pompiers, c'est sûrement là-bas que j'ai du te voir. »

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