âme charitable ? - Nova

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vente de limonade pour qui en voudra. Ouais le titre n’est pas accrocheur et je sais, ce n’est pas du tout l’époque pour ça, mais bon c’est comme ça. Faut bien faire plaisir au gamin du foyer non ? Non ce n’est pas vraie, la pancarte a été faite par… un ami. Ouais c’était surtout un parie débile avec lui. Un stock de limonade bien trop grand. Un stock qu’il avait dans sa boutique mais qu’il ne voulait pas ventre pour je ne sais quelle raison. J’avais vérifié les dates quand même pour ne pas empoissé les gens. Il aurait été capable de me donner des limonades date passer quand même. Ouais ça pourrait être son genre. Je suis là depuis quelques heures et … aucune limonade a été vendu. Si a un enfant sous les caprices, et ses parents ont cédés. Je pense que j’aurais dû m’habiller en curé pour que ça puisse marcher et dire que c’est pour une paroisse. C’est ce que je vais finir par faire à force, sinon, je reviendrais avec tout le stock sur les bras… Je soupire un peut en impatientant, jusqu’à ce que je reconnaisse un visage familier, Nova. La jeune voyageuse, toi, celle avec qui j’étais pour ses feux d’artifices et qui m’a fait passer une bonne soirée. Ouais plus dans le sens où, c’était agréable de pouvoir parler avec toi mais aussi de ne pas paraître trop vieux en fait. Parler de voyage ma fait un bien fou, surtout que je n’ai jamais trop eu l’occasion de le faire avec quiconque. Quand je te vois, mais aussi que tu me reconnais je te souris, presque de toute mes dents. Une fois à ma hauteur. « Bonjour Nova, une limonade pour… pour la paroisse ? » je dis en souriant mais j’étais pas crédible. Avec un inconnu je le suis, puis quand tu fais le tour, je me permets de te faire la bise. « Je ne suis pas crédible avec toi, je sais, faut que je le sois, j’ai… tout ça à vendre. » je te montre mon stock, mais j’en suis sûr que je vais trouver une âme charitable pour le prendre ! Une petite mamie qui est pour la paroisse, ou bien, un curé qui passe par là… Ou je ne sais pas trop mais faut que je trouve, vraiment !

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J’étais un peu désespéré que personne ne vienne alors si on est deux … pourquoi pas ça n’attira pas du monde. Mais on verra bien, que voulez-vous, les paris à la con faut vraiment que j’arrête d’en faire. "Et bien et bien ... Si je m'attendais à voir un notaire vendre ... de la limonade." je me mets à rire doucement à t’es paroles, ouais, personne ne s’attend à me voir ventre des limonades. « Il faut de tout pour faire un monde, dont un notaire qui vend des limonades … » je ris doucement à nouveau en te disant ça. "Pour la paroisse ? Vraiment ? Si c'était pour la paroisse ... j'pense qu'ils se sont un peu plantés." Je ne peux pas m’empêcher de rire doucement, ouais tu es franche et c’est se qu’il faut, mais surtout que mon mensonge ne passe pas du tout auprès de toi. "J'veux dire ... Ca aurait sans doute plus eu de succès avec des enfants." Je hoche doucement la tête de haut en bas. « J’ai pas réussi à soudoyer des enfants pour qu’ils viennent avec moi, même les bonbons n’ont pas marchés, tu vois ! Donc c’est le vieux notaire qui s’y colle. » je dis en souriant amusée, puis je viens te montré mon stock de limonade que j’ai à vendre. "Ah ouais ... Et bien ... Bon courage. Parce que j'suis pas sûre que ça va être facile." Je penche un peut mon visage sur le coter en haussant un petit sourcil. « Merci de ton courage, je pense qu’en arrivant ici je me suis douté que ouais ça va être dure ! » je dis en grimaçant doucement. "Mais comme j'suis une fille sympa, j'veux bien te prendre une limonade." a t’es parole je souris quand tu me dis ça. Je viens alors m’abaisser pour prendre une limonade et te la tendre. « Que vous êtes charmante et adorable mademoiselle ! Mais je suis sûre que j’arrive à soudoyer une petite mamie qui est pour une paroisse à prendre tout mon stock. » j’ai l’impression de revenir vingt ans en arrière à faire à nouveau des paris à la con, mais j’ai de la conviction dans ma voix quand je te dis ça. Mais je te lance comme un petit défis en souriant et fait un petit signe de la tête. « J’ai besoin de ta plus belle écriture s’il te plait, marquer que c’est pour la paroisse, et tu vas voir je vais avoir ma petite mamie. » je dis en riant prenant ma pancarte de devant et te tend un marqueur, je te fais limite les yeux doux pour que tu acceptes.

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Parler des enfants qui ne veulent pas m’aider, mais aussi tu me dis que les stands c’est dépassé, je hausse des épaules en riant doucement. Ouais je m’en fous un peu, faut bien que j’écoule se stock. « C’est pas grave je fais ça tout seul ! » Puis je viens te dire que je vais bien trouver une pauvre petite femme pour tout prendre. "Han ! T'as pas honte d'essayer d'arnaquer une pauvre femme ?" Je ris doucement. « Un homme d’une paroisse je viens de voir passer un curé ici. » je te montre du regarde. Puis quand tu es prête à tout recracher je ne peux pas m’empêcher rire.  "Ouais ... Et pas, ta limo, elle est pas géniale du tout. J'dirais pas que c'est du jus de chaussette, mais presque." Je ris doucement ne te regardant. "Tu vas avoir du mal à vendre tout ça." je lève un peut les yeux au ciel, je savais que je vais avoir du mal. "Euh ... Je sais pas si j'peux le faire. J'veux dire ... T'as goûté cette limonade ?" je rigole de nouveau a t’es paroles. « C’est écrit secouer avant d’ouvrir. Tu l’as pas fait, tu as tout le goût au cul de la bouteille ! » je dis en riant doucement, puis je viens te faire les yeux doux. « Aller s’il te plait, marque le moi, pour moi ! Sinon… Bah je vais voir le petit jésus et je lui dis que tu as été une vilaine fille ! » je dis en riant, ouais vilaine dans le sens pas gentille et non l’inverse… Alors que j’étais entrain de te supplier le fameux curé d’une paroisse arrive vers nous. « Bonjour mon père. » on pouvait clairement le reconnaître avec sa petite collerette blanche au cou. « Ooh, c’est pour quel occasion ? » Je me racle doucement la gorge puis je reprends la parole, je te fais les gros yeux pour que tu ne dises rien. « La paroisse que ma femme fréquente a organisé ça. Ma femme est partie faire un petit tour car elle avait besoin de se dégourdir les jambes. » il hoche la tête de haut en bas. « Je vais vous en prendre une alors. » je lui fais mon plus beau sourire. « Prenez tout mon stock, les enfants seront content d’avoir de quoi boire quand ils viennent à la messe mais aussi les adultes. C’est une soudaine envie de vous faire se plaisir, plaisir à ses personnes qui puissent venir dans votre église pour se confesser. Mais bien ses pauvres personnes qui sont dans la rues, je vous aie déjà vue distribuer de la nourriture et des boissons a ses personnes alors, alors ça pourrait vous aider que pensez-vous ? » je lui offre mon plus beau sourire, on pouvait voir qu’il hésite, qu’il hésite à le prendre et qu’il boit mes paroles. Je compte aussi sur toi pour pousser sur mes dires, j’avais plus envie d’avoir ce stock sur les bras, mais aussi je te dirais la vérité.

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"Oh my god … Arnaquer une vieille, d'accord. Arnaquer un curé ... Tu vas finir en enfer !" Je ris doucement à t'es paroles. « J'ai déjà ma place en enfer, demoiselle, si tu savais tout ma pauvre. » je dis en pinçant doucement des lèvres puis haussant un peut les sourcils. Ouais si tu savais tout se que j'ai pu faire dans ma vie, l'enfer m'ouvrir ses bras et m'attends avec impatience. Puis on change de sujet, sur le prêtre ouais pourquoi pas, après tout faut bien que je vide tout ça non ? Mais bon c'est comme ça, j'aurais pas du faire de parie. C'est alors que tu me dis que la limonade n'est pas... Buvable. Je te dis que tu ne la pas secouer avant ça. "Ouais ... Tu sais, j'suis pas certaine que ça soit le fait que j'l'ai pas secoué. Goûte et tu verras." Je ris doucement en secouant la tête de gauche à droite. « J'n'aime pas l'citron alors bon je peux pas goûter, je trouve que ça a déjà un goût très... très écoeurant pour ma part. » je dis en riant doucement. Puis quand je vois le prêtre arriver, mais je remarque que tu caches ta bouteille derrière ton dos et non envie de coopéré. Je vais devoir me débrouiller tout seul. Après plusieurs supplisse pour que le prête prenne mon stock, plusieurs hésitations de sa part, je réussi a lui faire dire oui. Mais je ne lui fais pas payer, j'ai aussi garder la monnaie que tu m'avais donner pour te la rendre, ouais, te rembourser du dégât du goût que tu as pu avoir. Je lui demande s'il veut de l'aider pour emmener le tout à sa voiture et il me dit que non, qu'il va prendre un chariot et le faire seul. Je hoche la tête, et des qu'il a finit et qu'il est partie je me retourne vers toi. Je te tends ta monnaie. « Tient, je te rends ça, ça ne va pas me servir à grand chose, puis je pense que c'est pour le dédommagement de la limonade dégueu. Et pour être franc, je pense que tu vas plus en avoir besoin que moi. » je dis en haussant doucement des épaules. J'avais bien vue que tu n'avais pas coopéré, mais je ne vais pas t'en vouloir pour ça. Une fois que tu as repris ta monnaie, je prends ma fausse pancarte puis mon stylo que je mets dans ma poche. « T'es venu comment ? Enfin, savoir si tu veux que je te ramène ou pas ? » cette fois je suis en voiture et non en moto, vue le froid.

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Quand tu me dis que l'on a tous notre place en enfer, je viens doucement hausser des épaules. Tu as surement raison mais après tout, moi je sais que j'irais réellement vue tout se que j'ai pu faire, mais surtout tout se que je fais actuellement. En être fier je ne pense pas que c'est le mot, mais, je fais se qui me paraît juste, ou pas spécialement par moment. Mais on laisse la conversation de l'enfer de coter et quand tu me dis que les boissons assez dégueulasse je te dis franchement que ouais, je n'aime pas le citron alors que je ne pourrais pas goûter. Je souris doucement quand tu me parle d'excuse, mais, je laisse aussi ça de coter vue que le curé arrive rapidement vers moi, le spitche fait il me prend tout. Je le laisse partir pour venir te rendre ta monnaie en te disant que tu en as plus besoin que moi. Je rie doucement quand tu me poses la question. « Je vie dans une villa et je suis le plus grand notaire du pays et sur d'autre continent Nova. » non pas pour me venté, mais juste pour te dire que ses quelques sous, et bien, j'en veux pas et je ne suis pas un voleur. Non j'en ai jamais été un. Ouais un négociateur je veux bien mais pas un voleur. Je les déposes dans le creux de ta main en souriant doucement et comme pour me faire pardonner je te demande comme tu es venu. Quand tu me dis a pied, ça ne m'étonne pas trop. Mais avant que je te propose de te ramener tu me devances assez rapidement. « J'allais te le proposer, aller vient. » je dis en souriant et te fais un petit signe de la tête pour me suivre. Je m'avance vers une belle cadillac noir de 67. J'ouvre la sécurité, puis ma porte conducteur en mettant tout se que j'ai dans le main derrière moi. Je monte coter conducteur, puis je viens alors mettre la voiture en route quand tu es à l'intérieur. Le chauffage marche déjà, et je te regarde. « Je te paye un café avant ou je te ramène directement ? » me faire pardonner de mon comportement ? Ouais je pense, mais ça, je ne le dirais pas. « Après cette vilaine limonade, je peux quand même t'offrir un bon café, ou autre boisson chaude ? » je m'attache tout en te regardant, mais aussi j'attends de savoir se que tu veux faire pour rouler. Je me souviens du chemin pour aller chez toi ce n'était pas la première fois que je te raccompagne puis ce n'est pas loin.

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Quand je viens te dire que je vie dans une villa, et que ouais ses quelques sous ne me servira pas à grand chose. "Ah ouais ? A ce point ? Donc, en fait, tu aurais pu me payer pour que je t'achète une boisson. J'aurais su ça avant, j'me serais pas faite avoir." Je me mets à rire à t'es paroles. « C'est vrai que je ne te l'ai pas préciser, mais je ne le dis pas non plus sur tout les toits que je vie dans une villa et que j'ai, quand même beaucoup d'argent. » Je rigole en te disant ça, mais aussi en voyant ta réaction. A nous deux on avait la même idée, que je te ramène et pour moi ce n'était pas du tout un problème bien au contraire. C'était même un plaisir. "C'est bien. On est sur la même longueur d'ondes." je hoche la tête aussi en souriant, puis nous allons à la voiture, une fois à l'intérieur, je mets rapidement le chauffage pour que tu puisses te réchauffer mais aussi parce qu'il ne fais pas si chaud que ça dehors. Ce n'est pas parce que je supporte assez bien le froid que je dois en faire profité tout le monde. Puis je peux voir que ça te fait du bien. Je viens alors te proposer une café ou quelques chose d'autres de chaud pour me faire pardonner, mais je précise bien que je t'invite aussi. "J'prendrais bien un grand chocolat chaud." je souris. « Allons pour un grand chocolat chaud ! » Je commence alors a rouler quand tu me dis ça, puis j'écoute se que tu me dis à la suite. "Y'a un petit coffee shop pas très loin. Donc on peut toujours aller y faire un tour. Et au moins, on sera au chaud. Et on se gèlera pas les miches." Je hoche la tête voyant ou il y ait et j'en prends la direction. « Oh que oui, puis vue que tu commences un peut a parler du nez, ça ne te fera pas du tout de mal à être au chaud aussi ! » je te dis en souriant, puis je me dirige jusqu'à là-bas tranquillement.