AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Le Deal du moment :
Boutique Nike : -25% dès 50€ sur TOUT le ...
Voir le deal

 

 When I met the woman I would call my own (brax)

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyMar 29 Aoû - 22:35


When I met the woman I would call my own

Brooke Fletcher & Max Odair

« Dieu des Haribos donnes moi la force » Qu'il dit le brun devant son paquet, se trouvant face à la notice. Il cherche un peu d'espoir ou plutôt d'encouragement pour monter ce meuble. Quelle idée de vouloir monter un meuble ikéa un vendredi. Alors que la plupart des gens dit 'normaux' sont entre amis, avec son compagnon, en soirée … Lui il décide de monter un meuble et autant dire que c'est actuellement le carnage dans le salon d'Evie. Oui parce que Max il est doué pour tout ce qui touche à l'informatique, les animaux, mais pour monter un meuble … il est loin d'être Bob le bricoleur. D'abord parce qu'il n'a pas de salopette et qu'ensuite il voit pas comment imbriquer ce bout de bois dans celui-ci. Max n'est pas le genre de gars qui abandonne aussi facilement, il faut dire que cela va faire plus d'une heure que ses nerfs se retrouvent face à ces bouts de bois. Autant dire qu'il a de la patience, plus qu'il n'en faut. Certains auraient abandonné, pas lui, non lui il s’obstine à croire qu'il peut le faire … Quelle idée aussi d'acheter des meubles de rangement … Bon qu'on se rassure ce n'était pas pour lui. Non lui ses affaires tiennent dans un seul sac, avec le temps le jeune brun a appris à vivre d'un rien. Puis bon c'est un mec, il n'a pas besoin de grand-chose. Tournant la tête et soufflant, attrapant son verre de lait. Il reconnaît bien le brun qu'une présence lui manque. Pas forcément une présence humaine, non parce qu'il a bien du mal avec eux. Non juste une présence, un compagnon à quatre pattes. Songeant doucement à l'idée de faire accepter une tortue ou autre bête à Evie .. après tout, on a tous besoin d'un ami à quatre pattes. Lui il avait trouvé le sien ou plutôt il s'était imposé à lui : Reid. Certes il n'a rien de canin voir félins, Reid fait bien partie de l'espèce humaine (du moins aux dernières nouvelles) mais il s'était imposé dans la vie de Max tel un fidèle compagnon … C'est même lui qui lui sort parfois 'j'suis ton labrador' ou autre phrase du genre. Eh bien ce soir le brun ressentait le besoin animalier … heureux d'être rentré auprès des siens, mais incomplet. C'est ce sentiment qui prédominait le plus. Lorsqu'il était au zoo l'après midi il se sentait lui même ou presque. Il faut dire que Tom ne lui simplifiait pas la tâche, Max n'avait pas encore remarqué que ce dernier l'avait pris en grippe. Aux yeux du brun c'était presque normal cette attitude froide et autoritaire …

Enfin bref, revenons en aux choses sérieuses : le meuble car à cette longueur il sera monté dans une semaine … Ou alors il fera l'appelle à un ami, parce qu'Hunter il est plus doué ou Evie. L'un des deux se débrouillera beaucoup mieux que lui avec un tournevis et un marteau … Oui, oui il tient en ce moment même un marteau. C'est à se demander ce qu'il est réellement en train de monter. Les minutes se passent et Max continue de chercher le sens. Le paquet d'Haribo se vidant doucement, le brun finit par se relever pour se réapprovisionner en lait. Oui Max ne boit que du lait, les sodas sont mauvais pour les dents et la gencive, donc il reste à l'eau, le lait, le café et le thé. Sauf que là il est bien tard pour prendre de la caféine ou théine. Il a abandonné cette idée après dix sept heures c'est le lait. « Une tortue … voir une chèvre, y a bien de la place sur le balcon » qu'il se dit, bon plus pour lui même. Il cherche juste l'animal qui comblera son petit vide. Ne pouvant pas passer ses nuits au zoo, il faut bien qu'il trouve un compagnon, autre que Reid. Non de préférence un compagnon qui ne parle pas, qui lui laisse le monopole des perspectives de débat .. Mettant le marteau dans sa poche arrière. C'est qu'il commence à apprécier ce truc, bon pas au point d'en faire son objet de tous les jours. Il ne va pas abandonner son stéthoscope aussi rapidement … Oh que non, encore moins les animaux  - au cas vous l'auriez toujours pas compris – La bouteille de lait en mains, à la recherche de son verre … Un petit bruit, puis un second … Oui c'est à ce moment là que la porte émet un drôle de bruit, enfin par 'drôle' on sous entend des petits coups. Assez pour perturber Max dans sa petite activité. Gardant la bouteille à la main -bien sûr sans avoir remis le bouchon- il se dirige vers la porte. Sans se douter une seule seconde de qui pourrait se trouver derrière. Du Max quoi, en même temps, il n'attend personne et puis : il n'est pas chez lui. Donc ça pourrait très bien être le fils du facteur comme le boucher du coin .. Bien qu'il se demande pourquoi le boucher viendrait à cette heure … Haussant les épaules, il finit par ouvrir la porte et …

Le lait gicle de la bouteille et atterri un peu sur la porte, un peu sur Max et surtout aux pieds de la personne se trouvant face à Max. La surprise peut se lire sur le visage du brun. Est-ce qu'il s'attend à voir cette personne ? Oui, mais pas ce soir, enfin non il ne s'attendait pas à la voir. Pas comme ça, pas ainsi. La bouche qui s'ouvre et qui se referme aussitôt. N'oublions pas que Max n'a jamais été doué avec les gens, encore plus avec la gente féminine .. et encore plus si cette personne lui plaît … Vous faites le rapprochement ? Oui, bon il n'est pas habile, mais face à cette brune, il perd ses moyens. Pourtant cela fait longtemps qu'il .. l'a vu … mais cela ne veut pas dire qu'il a cessé de penser à elle … « je  … tu ... » n'arrivant pas à trouver ses mots, il reste là stoïque face à cette naïade.
© POUPI


Dernière édition par Max Odair le Mer 6 Sep - 23:39, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyMer 30 Aoû - 9:23


When I met the woman I would call my own
Brax ❣

Certains pleurent, d'autres crient ou encore font la fête pour oublier, moi, quand j'ai du mal à gérer quelque chose, je me jette à corps perdu dans le travail. C'est ce qui me fait avancer. Alors oui, après avoir entendu ce matin cette voix mécanique caractéristique me demandant si je voulais bien accepter un appel provenant de la prison, je n'ai pensé qu'à une chose, m'occuper l'esprit. Et c'est ainsi que bien qu'il s'agisse de mon jour de congé, je suis allée bosser sans demander mon reste. "Bah qu'est-ce que tu fais là ?" L'incrédulité dans le ton de la voix de mon assistante me fait sourire. "Moi aussi ça me fait plaisir de te voir Tru." Un coup d'oeil à mon agenda suffit à me faire froncer les sourcils. "Pas de rendez-vous aujourd'hui, rien du tout ?" C'est plutôt inhabituel. "John les a tous booké hier pour pouvoir s'occuper de la paperasse aujourd'hui." Plus le temps passe et plus je me dis que j'ai bien fait de l'engager, c'est une perle. "Et bah parfait je vais..." Elle secoue la tête et lève un indexe, me coupant par de la même avant que je ne puisse terminer ma phrase. "Non, non, non. C'est le premier jour de congé que tu as pris depuis que tu as crée la boîte. Profites." Elle soutient mon regard. "Tout va bien se passer ici, relax. Va t'amuser." M'amuser, hein ? Comment veut-elle que je m'amuse exactement ? La seule chose que je vais réussir à faire, c'est ressasser si je ne m'occupe pas pronto. "Tu vois, moi je croyais que ce qui avait bien dans le fait d'être patron, c'est que personne ne te disait ce que tu dois faire." Elle me fait une petite moue qui, je suis sûre, doit en amadouer plus d'un. "Je dis ça pour toi. En plus Tyler m'a fait promettre de prendre soin de toi." Tyler, mon ancien associé, celui avec qui j'ai monté ma première affaire, à Sydney. Tru est sa cousine, c'est lui qui me l'a recommandé et je crois que je commence à comprendre pourquoi. "Est-ce que je dois lui passer un coup de fil ?" Je hausse un sourcil. Manquerait plus que ça, ça fait un bail qu'on se connait, il ne lui faudrait pas plus de deux secondes pour comprendre ce qui se passe. Et en bon ex-thérapeute qu'il est, il voudra pour sûr qu'on en discute. Et ça, c'est hors de question. "Est-ce que je dois te virer ?" Elle sourit. "Ce qui le ferait impeccablement débarquer." Touché. Et je dirais même coulé. Ayant perdue une bataille mais pas la guerre, je quitte le bureau, des dossiers sous le bras. Tru a bien essayé de m'en dissuader mais il y a des limites quand à ce que je suis prête à accepter. Elle a beau être la cousine de Tyler, elle en reste néanmoins mon employé. Quoiqu'il en soit, c'est ainsi que ma matinée passe rapidement : je travaille sur les dossiers, me focalisant pleinement sur ce que je fais, oubliant presque le coup de fil de ce matin. Sauf que voilà, j'ai toujours été plutôt rapide et il n'est même pas treize heures que je me retrouve sans rien faire. Après avoir tourné en rond un bon moment, je me décide à aller faire un tour. Le truc c'est que je ne sais pas où. C'est en me baladant un peu sans but que je me rend finalement compte que je ne suis pas si loin de chez Evie que ça. Naturellement, je me dis que ça pourrait être sympa de la voir, surtout que la plupart du temps, la tornade Evie balade tout sur son passage, la parfaite distraction. Me voilà donc en train de cogner à sa porte. Une fois, puis deux fois. Je ne suis pas vraiment du genre patiente. La porte s'ouvre enfin après ce qui me semble une éternité et laisse place à... Max ? Je n'ai pas  vraiment le temps de réaliser, en effet, mon attention est accaparée par ce qui semble être du lait, lait qui gicle un peu partout et surtout, pile devant mes chaussures toutes neuves. Je recule par réflexe, ne sachant pas vraiment si ça a pour but de mettre de la distance entre le liquide et moi ou max et moi. "Je… tu..." Il semble être aussi surpris que moi ; seule différence, je le cache mieux. Avant, à l'époque où lui et moi nous nous fréquentions, mes émotions et pensées avaient l'habitude de se lire sur mon visage. Inutile de préciser que ce n'est plus le cas aujourd'hui. Je dois bien avouer que le voir ici, tout spécialement aujourd'hui, m'ébranle quelque peu mais jamais je ne le laisserais paraitre. "Je ne savais pas que tu étais en ville. Je suis passée voir Evie." Selon toute logique.  "Ravie de te revoir." Ce n'est pas vraiment honnête, c'est dur à expliquer mais, je me sens étrange en sa présence. Il représente une part importante de mon passé, une part qui semble être aujourd'hui plutôt une autre vie. Et je crois que j'ai du mal à encaisser ce rappel. Ça fait remonter bien trop de souvenirs : ce que nous partagions, qui j'étais avant tout ça... C'est comme une claque, rapide et désagréable. Ma gorge s'en nous presque. "Est-ce qu'elle est là ?" Je suis heureuse de voir que ma voix ne tremble pas d'un poil, honnêtement je n'en étais pas sûre.


Dernière édition par Brooke Fletcher le Sam 9 Sep - 21:56, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyMer 6 Sep - 20:05


When I met the woman I would call my own

Brooke Fletcher & Max Odair

LLes yeux rivés sur cette 'bombe' qui se tient face à lui. La bouche qui s'ouvre, puis se referme. Le 'jeune' Odair en perd son latin. Ne sachant pas quoi dire, quoi faire. Il n'était pas préparé à se retrouver devant son ex. Oh que non. Bien sûr qu'il avait rêvé de ses retrouvailles, il s'était fait multiples scénarios dans sa tête. Et s'il y a bien une chose pour laquelle Max est doué : c'est bien imaginé un scénario. Alors oui, il s'était fait des films, de merveilleux films sur ses retrouvailles avec Brooke. Et qu'on soit clair, dans aucuns de ses tableaux du lait giclait, aucuns. Regardant la tache blanche au sol, puis relevant le regard vers Brooke. En matière de retrouvailles, on peut dire qu'il faisait fort. Tellement surpris qu'il était prêt à l'arroser. Assez déconcertant, mais bon lorsqu'on connaît Max, on peut dire ce geste est habituel. Puis là ce n'est rien de méchant, personne n'a été touché, blessé ou quoique ce soit du genre. Non, il est resté soft malgré ce que l'on pourrait croire. Son regard azur qui se perd sur celui de la brune. Un regard qui n'est pas prêt d'oublié, un regard qui l'a réchauffé durant les longues soirées arctiques. Alors non, il n'y a rien de pervers là dessous, on calme tout de suite les ardeurs. Ce n'est pas le genre de Max, oh que non, Max n'est pas de ce genre à sauter sur tout ce qui bouge. C'est même le contraire, lui quand il aime et bien c'est pour la vie et là en ce moment … hum … nous reviendrons sur les sentiments du jeune Odair plus tard, même si cela paraît évident qu'il n'a pas oublié la douce Fletcher. Oh que non. Il a essayé, mais c'était peine perdu. Max est un manchot, il aime une fois et pour la vie. Rajoutons à cela qu'il est un brin romantique, lui il croit au grand amour, le vrai, l'unique. Ce qui paraît hilarant quand on sait sa situation .. ahum sujet dangereux .. et qui dévie dans sa tête. Il chasse vite ce sujet de la table. Pourquoi il est de retour ? Il va falloir qu'il trouve une excuse, mais pour l'heure, il laisse Brooke pénétrer dans les lieux ou plutôt dans l'appartement d'Evie. Son squatte à lui, toute façon elle lui a pas vraiment laisser le choix.

Il va bien falloir qu'il lui réponde… sauf que Max et les mensonges ça fait deux, alors pour le moment il se contente de la regarder. Qu'elle est belle qu'il se dit, se pinçant intérieurement pour ne pas craquer. Il sait qu'il a l'air d'un pingouin, mais il s'en fout. C'est Brooke, elle le connaît, du moins il ose espérer qu'elle ne l'a pas oublié. « Je … euh ... » S'il continue, il pourrait rejoindre la troupe des Muppets, quoiqu'une Muppet cause plus que lui. Elle va croire qu'il a perdu l'usage de la parole durant ses années. Il se concentre, il chasse toutes pensées de sa tête. Les raisons de son retour ? Surtout celle-là il manquerait plus qu'il lâche la bombe comme ça, comme ci de rien n'était … Ce qui serait parfaitement son genre … mais non il va tenter de se contenir, c'est ce qu'il se répète intérieurement. Se mordant la joue pour ne pas cafouiller. « Euh.. je sais pas.. elle m'a trop rien dit … mais euh ... tu peux l'attendre si tu veux ... » Un bon début, il s'auto-félicite intérieurement le gamin. Oui parce que face à Brooke, Max il retombe en enfance, il a l'impression de redevenir cet ado qui n'osait pas l'approcher. Celui qui en pinçait secrètement pour elle et qui n'a pas osé lui avouer… Enfin il a fini par le faire, mais il aurait pu oser bien plutôt. Il a fallu qu'on le pousse, parce que c'est ça Max, un enfant. Un enfant qui découvre la vie au contact des gens et qui paraît sûr de lui lorsqu'il est avec des animaux. Et là… Là il prierait pour que des animaux l'entourent, se disant que tout serait beaucoup plus facile.. tellement plus facile. Il n'a jamais été doué pour tout ça.. oh que non. Elle le sait et elle n'a pas l'air de vouloir l'aider. « tu as l'air d'aller bien ... » Stupide qu'il se dit à l'intérieur … après tout ce temps voilà ce qu'il trouve à lui dire. Il a envie de se frapper la tête contre le frigo … « un peu de lait ... » autant continuer dans les conneries. En ce moment même Max se noie dans sa propre connerie et ne sait pas du tout comment sortir la tête hors de l'eau. Une aide ? Une bouée ? Dieu entend ses prières…

Jouant timidement avec ses doigts. Il n'ose pas croiser son regard, se sentant idiot. «  ça … ça me fait plaisir de te voir... » finit-il par dire pour briser ce cours silence. Entre eux pourtant le silence n'a jamais été gênant. Pas comme là. Il faut dire que ces deux-là ne se sont pas vu depuis plus … de dix ans presque.. autant dire une éternité … «  désolé .. tu sais que … fin … alors tu deviens quoi ? » Il tente de reprendre un peu de confiance en lui le gosse. Oui parce qu'il en reste pas moins un gosse pétrifié à l'idée d'avoir dit ou fait une connerie. Comme si elle allait le disputer ou juste partir à nouveau. Il aimerait tellement lui dire ce qu'il est devenu, ce qu'il a vécu, mais il a juste peur qu'elle parte à nouveau. Après tout, il n'a pas su la garder une fois, alors pourquoi voudrait-elle rester dans la même pièce que lui. Puis elle est peut-être attendu, par quelqu'un de bien mieux que lui .. et rien qu'en songeant à cela, il a presque envie de se frapper à nouveau contre le frigo et vider les pots de glace.
© POUPI
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptySam 9 Sep - 18:54


When I met the woman I would call my own
Brax ❣

Il est là devant moi, fidèle à lui même. Et c'est peut-être ça qui fait plus mal. Il a l'air d'être resté celui que je connaissais à l'époque alors que moi, la vie ne m'a pas fait ce cadeau. Elle m'a obligé à m'endurcir. "Je… euh..." Quelle éloquence, c'est à croire qu'il a perdu l'usage de la parole. Comme si ce n'était pas déjà assez gênant. "Tu as déjà dit ça il me semble." C'était un "je... tu..." et non un "je... euh..." mais on est pas là pour chipoter. J'ai déjà assez de mal à garder cet air impassible pour ne pas avoir en plus à me soucier des détails. Parce que oui, c'est étrange de me retrouver ici, en sa présence. J'aurais aimé pouvoir dire que ça ne l'était pas, après tout, ça fait des années que nous nous sommes pas vus... Sans compter que je ne me suis promis de ne plus me laisser submerger par quelque sentiment que ce soit. C'est une promesse que je me suis juré de ne jamais briser alors que j'étais complètement déchirée dans une auberge de jeunesse de Sydney... J'avais touché le fond et mes sentiments en avaient été la cause. "Euh... je sais pas... elle m'a trop rien dit… mais euh... tu peux l'attendre si tu veux..." Je hausse un sourcil dubitatif, il parle ça y est ? Et ironiquement, j'aurais préféré qu'il se taise. Rester ici ? Alors qu'il ne sait pas quand Evie va rentrer ? Avec lui ? Je doute que ce soit une idée judicieuse. Mais d'un autre côté, si je pars, je fuis et ça reviendrait à dire que je ne suis pas capable de gérer. Sauf que si, je peux tout à fait gérer, je le sais. Il faut savoir prendre sur soi quelque fois. "Je suppose que je peux rester cinq minutes, histoire de voir si elle débarque." Je le contourne lui et son lait pour pénétrer dans le salon. Et un étrange constat me perturbe, je ne m'y sens pas aussi à mon aise qu'à l'accoutumé. Non ça ne me perturbe pas... Ça m'énerve, ça m'agace profondément que sa simple présence puisse m'affecter de la sorte. C'est ridicule. Tout bonnement ridicule. "Tu as l'air d'aller bien ..." Le regard fixé sur ce qui semble être un meuble en cours de construction, je lâche un sourire bref. "Je vais bien. C'est toi qui monte ce meuble ?" Je sais que les bonnes manières devraient normalement m'obliger à lui retourner la question mais... Je n'ai pas signé pour ça, je voulais simplement rendre visite à ma cousine, pas me retrouver nez à nez avec l'un des fantômes de mon passé. J'ai l'impression que tout contrôle m'échappe et je déteste ça. Voilà pourquoi je reste focalisée sur le meuble, c'est plus facile. Et à ma décharge, il faut dire que connaissant Max, l'idée de l'imaginer en train de faire quelques travaux manuels que ce soient parait totalement surréaliste. "Un peu de lait..." Mon regard se fixe au sien. Du lait, sérieusement ? J'aurais préféré un scotch mais je tais cette information. "Ça va aller, merci." Et comme pour me donner une contenance, je me racle la gorge. Histoire de faire comme si tout ceci n'était pas affreusement embarrassant. Gênant. Malaisant. Et j'en passe... "Ça … ça me fait plaisir de te voir..." Je fronce les sourcils. Est-ce que c'est aussi hypocrite que quand moi je l'ai dit ? Ça n'en a pas l'air en tout cas. C'est mal-assuré mais franc. Voilà autre chose... On rentre pile dans le type de discussion que je veux absolument éviter. "C'est gentil." C'est gentil. C'est gentil ? C'est gentil ??? Est-ce que je viens réellement de répondre ça ? Mais qui donne une réponse pareille ? Mon dieu, il faut que je me reprenne et pronto. Tout est normal. Ça n'a pas à être bizarre. Il n'y absolument aucune raison qui le justifie, c'est ce que je me dis, comme pour me convaincre. "Écoutes..." Je m'approche quelque peu, veillant tout de même à garder une bonne distance entre nous. "Est-ce qu'on peut passer outre la conversation typique des retrouvailles embrassantes ? Éviter la gêne, tout ça ? Et agir normalement ?" Je hausse les épaules, essayant au maximum de garder un air nonchalant. "Ça me semblerait bien personnellement." Et l'oscar de la fille qui joue à celle qui en rien à faire revient à... Ouais je suis devenue très bonne à ce jeu là. Avec n'importe qui d'ailleurs. "Désolé... tu sais que… fin… alors tu deviens quoi ?" Je croise les bras. "Désolé ? Mais pour quoi ?" La perplexité s'affiche sur mon visage. Et aussi la paranoïa, la peur qu'il est appris pour Evan. Ce n'est pas possible, je le sais, personne ne sait pour lui sauf mon frère et encore, il n'en connait pas la moitié. Oui, c'est impossible mais il n'empêche que cette anxiété irrationnelle m'habite. Parce que je hais paraître faible et que cette histoire, qu'Evan m'a fait devenir très faible passé un moment. Et c'est ce explique que je n'ai aucune envie de m'étaler sur ma vie. "Je suis revenue à IB, j'ai ma boîte et je vis avec Erin." Ça me semblait être un plutôt bien résumé de ce que je voulais bien lui dire. Sauf que... "Oh, je sais que j'ai toujours dit que je voulais ouvrir un cabinet de psychologie mais au final, je suis conseillère en image. Voilà." Et encore une fois, je n'ai aucune envie de développer. Manquerait plus que je lui dise comment j'ai choisi cette voie. 'Oh tu sais mon ancien patron m'a ramené chez moi un soir alors que je n'arrivais même plus à marcher après avoir bu un verre ou deux. Ou dix. C'est comme ça qu'on s'est rencontré, il m'a prit en pitié et m'a engagé en tant qu'assistante.' Autant dire qu'il y a mieux. "Toi alors ? Retour aux sources ?" Je n'ai pas envie de le savoir mais il faut bien que je trouve quelque chose à lui dire. Non, ce dont j'ai envie, c'est plutôt de partir en courant. Et je ne le dirais jamais assez mais ça m'énerve. "Hum... si Evie n'a pas prévu de se montrer je vais partir je pense. Je voudrais pas t'embêter, t'as l'air occupé en plus..." Ouais, on peut le dire, je prends la fuite. "C'est quand même fou de te croiser aujourd'hui alors que ce matin j'ai reçu un coup de téléphone d'Eva..." Légèrement irritée, je laisse échapper ça dans un souffle. Deux exs en une journée, faut le faire quand même. Attends un peu... J'ai dit quoi ? Oh mon dieu. J'ai vraiment dit ça à voix haute. C'est pas vrai, c'est comme s'il n'y avait plus de filtre en mon cerveau et ma bouche ma parole ! Et voilà que maintenant j'ai les mains moites, je suis maudite bordel ! Je recule d'un pas, comme par réflexe, comme pour me protéger d'une force invisible qui m'attaquerait. "D'Evie. Coup de téléphone d'Evie." Et le masque d'indifférence qui s'est craquelé quelques secondes reprend sa place. Je ne gère pas, je ne gère pas du tout.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyLun 11 Sep - 21:42


When I met the woman I would call my own

Brooke Fletcher & Max Odair

À la base notre 'jeune' (oui alors pour tous ceux qui se demandent, Max il est plus si 'jeune' d'où le '') avait prévu de monter un meuble. Oui lui, Max Odair avait prévu de passer sa soirée à monter un meuble. Exactement, ce bricoleur du dimanche voulait s'aventurer dans une mission à risque. C'est qu'il n'a peur de rien, ou presque .. rappelons les faits : il essaie de monter ce meuble de rangement depuis un peu plus d'une heure. Autant dire qu'il s'accroche. Il n'a pas froid aux yeux le Max, ou alors il est juste têtu et persévérant. Certains diront que sa persévérance va finir par payer, mais c'est Max, donnez lui un animal, ou des coloriages y a pas de soucis. En revanche un meuble .. il préfère vous installer votre home cinéma, connexion wifi ou autre technologie … Là il n'a pas besoin d'un marteau, marteau qui se trouve dans poche actuellement. Alors oui c'est un fait Max n'est pas doué pour le bricolage et son ex le sait. Son ex vous dites ? Exactement cette dernier se trouve à exactement trois ou quatre nageoires de lui … autant dire qu'en ce moment même dans sa tête c'est un peu, voir beaucoup l'apocalypse. Savoir quoi dire à son ex qu'on n'a pas vu depuis plus de dix ans, voilà un livre que Max achèterait volontiers. Histoire d'y trouver les subtilités ou autres techniques d'approches … ou juste pour pas avoir l'air d'une catastrophe, mais ça c'est innée chez lui. Il aura beau faire tous les efforts du monde, la maladresse reste là, elle ne veut pas le quitter. C'est qu'il s'y est fait avec le temps, en même temps il n'a pas vraiment le choix …

L'ex dans la place, le meuble pas loin, non ce n'était pas ce que Max avait imaginé comme soirée. Il finit malgré tout par poser sa bouteille de lait -il était temps. Cherchant toujours ces mots, qui ne viennent pas vraiment, il galère, il fourche, mais rien ne vient. Rien du tout, enfin rien de très concret. Rien qui fasse naturel, mais ça non plus il sait pas faire. À l'exception de ses amis, là il y arrive sans problème, mais en ce qui concerne Brooke .. C'est un sujet pas tabous mais presque, on va dire qu'il perd bien plus que ces moyens … Et pourtant il ne l'a pas revu depuis leur séparation, soit une éternité. Elle est toujours aussi belle, c'est ce qu'il pense. Il a l'impression de revenir cet ado qui en pinçait secrètement pour la belle brune du premier, voir second rang. Celle qui le regardait à peine, qui était gentille, mais qui ignorait tout, vous me direz c'est le but d'un amour secret. Enfin cet amour secret n'a pas duré longtemps, il a fini par avoir le cran de lui avouer. Il lui a juste fallu un petit coup de pouce .. et là il dirait pas non pour un coup de pouce, mais rien. Alors il essaie, il teste et ça en reste pas moins maladroit. Trop peut-être ? "Est-ce qu'on peut passer outre la conversation typique des retrouvailles embarrassantes ? Éviter la gêne, tout ça ? Et agir normalement ? Ça me semblerait bien personnellement. " C'est ce qu'elle lui rétorqua dans le blanc des yeux. Lui il voudrait bien mais la gêne elle fait bien souvent partie de lui. On ne peut pas dire qu'il la contrôle, il aimerait bien appuyer sur un bouton et pouf .. si seulement c'était plus simple … ça aussi il se l'est souvent dit. À ce moment précis, Max donnerait tout pour avoir un précieux conseil, une aide, dire un truc adéquate, pas à la Max … Surtout ne pas flancher, c'est ce qui se répète intérieurement. Il peut le faire, il est pas plus idiot qu'un autre, oui il peut le faire. Suffit juste qu'il manie la conversation juste autre chose que lui.

« Je suis revenue à IB, j'ai ma boîte et je vis avec Erin. Oh, je sais que j'ai toujours dit que je voulais ouvrir un cabinet de psychologie mais au final, je suis conseillère en image. Voilà »  Emballée c'est paqueté comme diraient certains. Il la regarde incrédule, elle a dit tout cela d'une façon… il ne sait pas si spontané est le bon mot. Il se demande juste s'il peut le faire avec autant de détachement … L'impression de retirer un pansement « ça t'a pas fait mal » et voilà qu'il continue  à parler à voix haute. Elle le regarde et pour toute réponse il se frappe le front. «  Pardon je voulais dire que la façon dont tu as tout cela, m'a fait penser à lorsqu'on retire un pansement ...» C'est sûr que dans le livre on ne prescrit pas de dire ce genre de chose. Pas du tout même, mais c'est Max, que voulez-vous. Le contrôle de son cerveau et de sa bouche n'est pas en accord. Voir pas du tout, il cherche le câble qui a sauté, il a sûrement dû griller en voyant Brooke sur le pas de la porte. "Toi alors ? Retour aux sources ?" Et là, il ouvre la bouche et la referme aussitôt. Oui il a l'air fin, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle retourne la question aussi vite. Enfin toutes personnes lambda auraient capté que le moment viendrait, Max non. Il se dit que le moment peut disparaître … Naïf est le mot pour définir la situation, il a prié les Dieux qu'elle ne lui retourne pas la question. Apparemment les dieux ne sont pas de son côté. Encore moins celui des Haribos.

"Hum... si Evie n'a pas prévu de se montrer je vais partir je pense. Je voudrais pas t'embêter, t'as l'air occupé en plus… C'est quand même fou de te croiser aujourd'hui alors que ce matin j'ai reçu un coup de téléphone d'Eva..." Elle voulait pas le laisser parler en fait ? Il s'attendait pas à ça, qu'elle comble les trous toute seule. D'un côté, ça lui va à Max, il se sert son verre de lait et apprécie ce liquide. Sauf que les Dieux sont décidément contre lui, il manque de s'étouffer avec son lait … Oui nous ne sommes pas aider. Et Brooke ? Elle est dans ses pensées, elle devient parano, mais ça Max il est à dix milles lieux de s'en rendre compte. Tapotant son torse. Il entend à peine la fin de sa phrase. Il relève à peine ce qu'elle vient de lui dire. Pas que ça ne l'intéresse pas, juste qu'il change de couleur le Odair. Si cela continue il va finir ce 'délicieux' moment aux urgences …

Main sur le coeur, souffle qui revient doucement, le regard de Brooke dans le sien. Et là … c'est le drame. Il flanche à nouveau le Odair et se retrouve le cul en arrière, enfin ce dernier est sur le carrelage … une chute qui fait du mal. Décidément .. il n'avait rien imaginé de tel, absolument pas. S'il n'entend pas les sirènes c'est qu'il y aura échapper. Fermant les yeux. Il essaie de se remettre des derniers événements. Au pire tout ceci n'est qu'un rêve ? Oui c'est ça et lorsqu'il va rouvrir ses pupilles, Brooke ne sera pas là … cinq .. quatre … trois … deux … «  AAAAAAAAAH ! » qu'il se met à hurler en voyant le visage de la brune au dessus de lui. «  mais non … mais no ...attends je vis pas un rêve ? » il écarquille bien ses yeux, se recule un instant et heurte le meuble qui fait … «  j'aimerais mieux ... » atterrir la bouteille de lait sur lui et gicle à nouveau sur Brooke. Oui il n'avait pas du tout imaginer ça. Voir pas du tout. Il reprend ses émotions un instant, sentant la migraine venir. «  j'suis désolé ... » il tente de se redresser, attrape un torchon qui tend à Brooke pour qu'elle s'essuie et lui.. lui il retire sa chemise d'une façon naturelle. Trop peut-être ? Il n'a pas réalise son geste, mais c'est Max, il a pour habitude de ne pas écouter son corps et sa tête et tout le reste. Y a trop de minions dans sa tête. «  je suis désolé .. j'avais pas du tout imaginé ça voir pas du tout … toi t'es là .. belle.. t'as l'air .. j'sais pas et .. moi j'suis toujours aussi empoté ... » il lui dit tout cela de dos, soufflant et baissant les bras. Oui il se sent pas à son avantage. «  la preuve je dois monter ce meuble, je suis dessus depuis … trois paquet d'haribo … et rien ... » Il n'a rien du mec attirant, enfin  si on peut dire d'un mec qui sait construire un meuble qu'il est attirant. Chacun à sa description de l'homme parfait. «  désolé encore … j'comprendrais si tu veux prendre la porte mais … ça m'fait vraiment plaisir de te revoir ... » sincère comme à son habitude. Max ce n'est pas le mec qui irait vous mentir, pas en vous regardant dans les yeux.
© POUPI
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyVen 27 Oct - 14:11


When I met the woman I would call my own
Brax

"Ça t'a pas fait mal." Je hausse un sourcil perplexe, j'ai beau avoir toujours trouvé Max drôle, je dois avouer que parfois, j'ai du mal à le suivre. "Mal ?" Je croise les bras, peu sûre de quelle attitude adopter. "Pardon je voulais dire que la façon dont tu as tout cela, m'a fait penser à lorsqu'on retire un pansement..." Grillée. "Oh... Euh et bien, j'ai essayé de te faire un résumé efficace, simple et concis." Tout en prenant soin d'omettre certains détails, bien évidemment. Ça m'embête qu'il l'ait remarqué, j'avais pourtant essayé de me montrer tout ce qu'il y a de plus naturelle. À croire que Max a un don spécial pour remarquer quand quelque chose cloche, c'est agaçant. Enfin, ce doit être sa seule habilité car, apparemment, tenir debout s'avère trop compliqué pour lui. Il tombe en plein sur le coccyx et je sourirais presque. La maladresse de Max m'a toujours fait rire, je trouvais ça tellement mignon à l'époque mais, chut, c'est un secret. Comme il ne se relève pas immédiatement, je m'approche un peu de lui, à demie-inquiète. "Max ?" Un léger soupir d'aise m'échappe lorsqu'il ouvre enfin les yeux. Ouf, il n'est pas inconscient, manquerait plus que je me retrouve à l'emmener à l'hôpital. "AAAAAAAAAH !" J'ai un mouvement de recul, c'est qu'il m'a surpris l'andouille ! "Est-ce que c'était vraiment nécessaire d'hurler ?" Je soupire une nouvelle fois, décidément c'est la journée. "Bon... Est-ce ça va ? Tu t'es pas trop fait mal ?" Pitié qu'il ne dise pas oui. "Mais non… mais no... ...attends je vis pas un rêve ?" Nouveau haussement de sourcil, un rêve, mais de quoi il parle ? Je vais réellement finir par croire que je vais devoir le trimballer jusqu'à Wellington. "J'aimerais mieux..." Et voilà qu'à peine après deux secondes de répit, il crée une nouvelle catastrophe en faisant tomber le lait en plein sur nous et surtout, sur ma toute nouvelle combinaison. Combinaison que j'ai payé une véritable petite fortune et qui va sans doute encore une fois me coûter très chère, en note de pressing cette fois ci. "J'suis désolé..." Il se relève alors maladroitement et me tend un torchon.  Je considère quelques moments le tissu. Qu'est-ce qu'il croit que je vais faire avec ça ? Étaler la tâche ? Et dire que je pensais pas pouvoir être plus surprise, voilà que quand je me tourne pour lui rendre son chiffon, je le vois en train d'enlever sa chemise comme si de rien était. La pudeur, il ne connaît pas ? Je me racle la gorge. "Merci mais ça va aller." Mon regard se pose sur le meuble visiblement en cours de montage, bien loin de la vue de son torse. "Je suis désolé... J'avais pas du tout imaginé ça voir pas du tout… Toi t'es là... belle... T'as l'air... J'sais pas... Moi j'suis toujours aussi empoté..." C'est peut-être très superficiel de ma part mais je fais une fixation sur le mot 'belle'. Il me trouve belle ? Je n'ai pas pourtant l'impression d'avoir fait beaucoup d'effort ce matin... Vous voulez savoir ce qu'il y'a d'encore plus étrange ? C'est l'effet que provoque ce simple mot sur moi, comme si mon ventre s'enserrait. C'est déroutant ; je n'ai plus ressenti ça depuis... Depuis Evan. Ouh, ça ne va pas du tout, ça ne va vraiment pas. "La preuve, je dois monter ce meuble, je suis dessus depuis… Trois paquet d'haribo… Et rien..." Ébranlée, je cherche quoi dire, sans grand succès. Et ça m'emmerde, ça m'emmerde vraiment. J'ai énormément travaillé sur moi-même afin d'être détachée et rationnelle en toute situation et tout ce qu'il me faut pour me déstabiliser, c'est un coup de fil mon ex-mari et une rencontre inopinée avec une ancienne flamme ? Ça ne semble pas bon, pas logique ; je suis capable de gérer tout un tas d'enfoirés pour mon travail, capable de segmenter et organiser chaque partie de ma vie alors pourquoi cela m'est si difficile quand il s'agit de mon passé ? "C'est rien, je t'assure. Ça arrive..." Ouais, on bat les records en terme de banalités mais là, je ne peux pas faire mieux. Il faut vraiment que je me remettre et illico presto, je déteste me sentir comme ça. Je dois absolument redevenir, distante, froide ; c'est ce que j'ai choisie d'être. "Désolé encore… J'comprendrais si tu veux prendre la porte mais… Ça m'fait vraiment plaisir de te revoir..." Manquait plus que ça... "Ce n'est pas que ça ne me fasse pas plaisir aussi Max, c'est juste que..." Comment me justifier sans me dévoiler ? "Les choses ont beaucoup changé depuis la dernière qu'on s'est vu. J'ai changé." Et ça à un point qu'il ne peut pas imaginer. "Je ne suis plus celle que tu as connu." J'aimerais partir ma sa moue triste m'en empêche. Bon dieu, est-il obliger d'être toujours si... Craquant ? Bordel, c'est ça, il est simplement trop mignon. On dirait un gosse et qui veut décevoir un enfant ? Mais dans un sens, tant mieux, c'est à moi de passer au dessus de tout ça, à moi d'arriver à reprendre mes esprits. "Écoutes, tu sais quoi ? Je vais t'aider à monter ce meuble, ça ne doit pas être sorcier, puis j'aime bien avoir les mains occupées." Je me retrousse déjà les manches, prête à passer à l'action. "Par contre, je préfère te prévenir, je ne parle pas de moi et ça pour une raison précise, je ne le veux pas. Donc si je reste, plus de question, OK ?" Ma voix a repris son assurance habituelle alors que je lui expose mes conditions. "Je ne t'en veux pas pour la tâche. Il y a bien pire dans la vie." Je parle d'expérience. "Passes-moi un tournevis cruciforme que je vois ce que je peux faire de ce meuble." Pas de sourire parce que je ne souris plus mais mon ton n'en reste pas moins agréable, détaché mais agréable. "Oh et va enfiler un t-shirt." Oui parce que je compte pas bosser sur ce meuble avec lui à moitié nu à côté.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyDim 12 Nov - 16:12


When I met the woman I would call my own

Brooke Fletcher & Max Odair

En ce moment même dans la tête de Max, une déferlent de voix s’emmêlent les pinceaux. Oui des voix, un peu comme une tonne de Minions, sauf que là ils discutent tous ensemble et que personne ne se met d'accord. En clair, c'est le bazar dans son esprit et il ne sait pas comment s'en sortir de tout cela. Pourquoi cette réaction ? Eh bien tout simplement à cause de la personne qui se trouve en face de lui. Cette déesse qui a emprisonné son coeur et qui ne veut pas le remettre en liberté. Phrase qui sort d'un récit de l'Antiquité, mais phrase que Max serait capable de dire. Bon peut-être pas devant elle, non parce que devant elle, il perd totalement ses moyens. La preuve. De base, Max est une catastrophe naturelle, si, si naturelle, mais là. Là c'est encore pire, il n'avait pas prévu cela, à dire vrai il n'avait rien prévu enfin pour ce soir : monter un meuble. Ce qui est aussi un désastre, mais passons, toute personne qui connaît Max sait que lui et le bricolage : égal deux. Pourtant il est habile de ses mains, mais pas pour construire quelque chose, pour soigner des animaux : oui, pour installer un home cinéma : oui, mais pour le reste … Appelez Bob le bricoleur, ça ira beaucoup plus vite, largement. Toujours est-il que ce soit, il a eu envie, pris d'une envie soudaine d'aider Evie et de peut-être devenir un homme .. Enfin il sait qu'il en est un, qu'on se rassure, il ne s'est jamais posé de question la dessus. Juste que pour une fois il peut faire quelque chose sans appeler Hunter, même si l'idée lui est venue, il a juste préféré attendre. Attendre quoi ? Que l'inspiration lui vienne sûrement … en attendant l'inspiration ne vient pas, mais Brooke si. Enfin elle vient .. elle vient à parler et elle s'emmêle l'esprit ou alors elle embrouille l'esprit de Max, parce qu'il ne comprend plus rien. Brooke elle avait toujours réponse à tout, c'était ce qu'il s'était toujours dit et là … Là elle lui en bouchait un  coin, enfin il n'est pas un canard, enfin pas encore, mais parfois .. Et voilà qu'il repart dans ses pensées, quand je vous dis qu'une flopée de minions règne dans son cerveau, ce n'est pas des âneries. Max il n'est jamais seul dans sa tête, jamais, qu'on se le dise.

Rassemblant ses esprits, il essaie tant bien que mal de comprendre ou la brune veut en venir. Des mots restent dans sa tête, elle a changé, elle n'est plus la même. C'est ce qu'elle vient de lui dire, lui aussi il a changé, enfin … d'après son entourage il a grandi, mais il reste le même. Enfin le même ça dépend sur quel point, mais faut croire que ses sentiments pour la brune n'ont pas changé au final. Il entend à nouveau les paroles d'Evie 'va de l'avant', plus facile à dire qu'à faire .. Max il ne sait pas aller de l'avant, du moins pas pour ses sentiments. Il a bien tenté de l'oublier, mais en vain, Brooke c'est Brooke. Il chasse cette pensée de son esprit, il sait que ce n'est pas le moment pour penser à tout cela et puis .. sa situation a lui aussi est compliqué. Ça vient de lui faire tilte, mais ça aussi il préfère l'oublier. Brooke le ramène à la réalité, elle reste. Un sourire apparaît sur son visage, il est bien content de savoir qu'elle reste, lui qui a cru un instant qu'elle allait prendre ses jambes à son cou. Ce n'est pas le cas. Elle reste et elle l'aide. Max il reste planté là, tel un gamin qui admire un magnifique paysage africain. Oui logiquement les enfants contemplent un sapin avec des cadeaux en dessous, mais Max .. Max lui il préfère la savane africaine ou autre endroit du genre. Le sapin ça l'a jamais attiré, il n'a rien contre mais ce n'est pas comme un paysage avec des animaux. Ne cherchez pas : c'est Max. secouant sa tête et donc ses minions par la même occasion, il revient doucement à la réalité. Qu'il se rhabille ? Pourquoi est-ce qu'elle lui disait cela ? Et d'un coup il comprend : il ne porte pas de tee-shirt sous sa chemise. Chemise qu'il a aussitôt enlevé. Levant sa main un instant et se dirigeant vers la pièce ou il squatte. Soit sa chambre, mais pour le moment ça reste la chambre d'amis, mais pour Max c'est sa chambre. Il farfouille dans ses affaires et trouve un tee-shirt. Il est pourtant assez pudique, mais pour le coup, il n'a pas tilté, vu qu'en soit il porte toujours un tee-shirt sous sa chemise. Faut croire que ce matin il a décidé de changer sa routine.

Revenant doucement vers le salon, regardant Brooke assise face au meuble. Un peu plus tôt, elle lui avait demandé un tournevis, il vient de s'en souvenir. Il contemple la pièce, à la recherche de ce qu'elle lui a demandé. « tiens, désolé » et voilà qu'il prononce à nouveau ce mot. Sa peau qui frisonne au contact de celle de Brooke. Leurs regards se croisent à nouveau, il rougit. Le Odair tente de changer de pensée, il peut le faire. « Merci de m'aider et promis je .. plus de question. » Techniquement il n'avait posé aucunes questions, mais bon il tente de ne pas chercher à comprendre. Il sait que les femmes sont compliqués, il en a la preuve avec ses sœurs. C'est pour ça qu'il ne se pose jamais de question à leurs sujets. Les yeux face à ce meuble. « Je me demande pourquoi j'ai eu l'idée de vouloir monter ce meuble .. j'aurais dû appeler Hunter ça aurait été plus vite ... » qu'il dit à voix haute, avouant enfin la vérité, mais bon il n'a jamais eu honte de lui ou quoique ce soit du genre. Max sait reconnaître lorsqu'il a tort ou raison. Là c'est une évidence il n'est pas doué. « Et tu sais … » il capte à nouveau son regard … « non oublie, tiens tu penses que ça va où cela ? » il aurait aimé lui dire qu'il avait changé lui aussi, mais à quoi ? Plus de questions, c'est ce qu'elle lui a dit. « J'avais pas imaginé cela pour nos retrouvailles … » qu'il continue à dire à voix haute tout en tentant d'assembler des pièces … « non définitivement pas ça ... »

© POUPI
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyMar 5 Déc - 15:17


When I met the woman I would call my own
Brax

Le "alors tu deviens quoi ?" de Max ne cesse pas de me trotter dans la tête. J'ai pourtant réussi à changer de sujet, il n'est plus question de parler de moi mais rien n'y fait, ça continue à me revenir en mémoire. Mon dieu qu'est-ce que je peux haïr cette question ! Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que je déteste la réponse, je déteste me dire que j'ai perdu tant d'années au profit d'un homme qu'il n'en valait pas la peine. Je déteste me dire qu'il m'a mis plus bas et que terre et qu'aujourd'hui encore, j'en porte les cicatrices. Oui, je déteste ça."Tiens, désolé." Je me retourne rapidement vers Max, sortant par la même occasion de mes pensées. À ce que je vois, il est retourné mettre un t-shirt et me tend le tourne-vis que je lui ai demandé. Il faut vraiment que j'arrête de me perdre dans les méandres de mon esprit, rien de bon ne peut en sortir ; m'en faisant la promesse silencieusement, je plaque les deux planches à visser l'une contre l'autre. "Arrêtes de t'excuser." Il avait l'habitude de toujours s'excuser quand il était nerveux, je m'en souviens. À croire que ça n'a pas changé. Maintenant toujours les deux planches collées d'une main, je me saisis du tourne-vis sans manquer d'effleurer légèrement la main de Max au passage. G.é.n.i.a.l. Et encore une fois, mon ventre fait des siennes, il s'enserre de cette façon si particulière qui me fait sentir toute bizarre. Je croise alors son regard et il rougit. C'est si... mignon... On dirait presque qu'il est encore ce gamin timide que j'avais rencontré à l'école. C'est ce qui me faisait craquer chez lui à l'époque d'ailleurs, ça et sa capacité à me faire rire, bien souvent malgré lui. Enfin, les choses ont bien changer maintenant. Ce qui est sûr, c'est que cette nostalgie, ce contact fait naître en moi une émotion qui ne plaît pas trop et je retire rapidement ma main, peut-être quelque peu brusquement. "Merci de m'aider et promis je .. plus de question."  Je hoche la tête - satisfaite - sans pour autant le regarder. Mon entière concentration va sur le meuble et c'est mieux ainsi. "Je me demande pourquoi j'ai eu l'idée de vouloir monter ce meuble... J'aurais dû appeler Hunter ça aurait été plus vite..." Concentrée à assembler la dernière pièce qui constitue la base du meuble, je mets un certain temps à lui répondre. "Vous êtes toujours en contact alors ? C'est bien." Je ne parle à plus personne pour ma part, sauf bien sûrEvie et Gus mais on ne peut pas réellement les compter étant donné qu'ils sont de ma famille. Ça ne m'étonne pas de Max cela-dit, ses amis ont toujours eu une place importante dans sa vie. Moi, c'était déjà différent à l'époque, je n'avais pas de véritable amis, je faisais partie d'un groupe sans vraiment l'être. Le plus ironique, c'est tous autant qu'ils y étaient, ces gens se clamaient mes amis sans me connaître réellement. Ça m'allait, je me servais d'eux pour avoir de la compagnie et ils se servaient de moi en retour. "Et tu sais…" Ses yeux cherchent les miens alors que j'attends la suite. Je me sens moins chamboulée qu'au début d'être en sa présence, ça devait être la surprise qui m'a remué. Maintenant que je suis habituée, je dirais presque que je suis à nouveau moi-même. Je dois sans doute ça au montage du meuble qui me distrait juste assez pour m'empêcher de penser. "Non oublie, tiens tu penses que ça va où cela ?" Je hausse un sourcil, "non oublie" sérieusement ? Je hais les gens qui font ça, n'ont-ils pas idée d'à quel point je suis curieuse ? Cela-dit je me force à ne pas insister, je me dis que je pourrais le regretter, la conversation prend enfin un tour normal et je ne gâcherai ça pour rien au monde. Je peux gérer sans soucis les banalités du quotidien mais pas le reste. "Ici, tiens enclenches-le là." À croire qu'à force de changer de bureau et ainsi de monter et remonter des meubles, j'ai fini par devenir experte en la matière. Quand on a prit la technique, ce n'est pas si compliqué en fin de compte. "J'avais pas imaginé cela pour nos retrouvailles…" Alerte rouge, pente glissante. "Non définitivement pas ça ..." Et merde j'ai beau essayer de ne pas analyser ce qu'il dit c'est plus fort que moi. C'est mon métier après tout ! "Parce que tu as déjà imaginé ce que pourrez être nos retrouvailles ?" J'admets être un peu surprise, ça fait des années maintenant que nous ne sommes pas vus. "Et comment savais-tu qu'il y allait avoir des retrouvailles ?" Parce qu'après tout j'habitais encore à Sydney il n'y a pas si longtemps que ça et rien n'indiquait que j'allais revenir. Et pourquoi il réfléchirait à comment seraient nos retrouvailles d'abord ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) EmptyJeu 18 Jan - 19:27


When I met the woman I would call my own

Brooke Fletcher & Max Odair

Il était là, dans cette pièce avec son ex .. un tableau qu'il avait imaginé un million de fois. Des scénarios qui s'étaient fait, des pires aux meilleures. Oui parce qu'il est ainsi Max, il aime bien se faire des films dans sa tête et parfois ce n'est pas que dans sa tête. Oui parfois les rêves prennent le pas sur la réalité, et croyez-moi ça fait peur .. Allez savoir de quoi un Max est capable, souvent du pire comme du meilleur. Être complexe, on l'a souvent appelé l'alien, mais il le vit bien. Très bien. Il faut de tout pour faire un monde et lui n'a jamais voulu ressembler à tout le monde. Non ça ne l'intéresse guère d'être un mouton. Il adore les moutons, mais il ne veut pas leur ressembler, lui il préfère être … un canard dans un troupeau de mouton. Oui bon la comparaison est étrange sachant qu'on peut aussi bien dire un mouton dans un groupe de canards. En gros, Max il est habitué à ne pas être normal. Il s'en est accommodé avec le temps. Ça lui plaît bien et puis toute façon il s'en moque de ce que les gens peuvent penser de lui. Ça ne l'a jamais effleuré, pas d'un pouce. Max il est du genre à vivre sa vie comme il l'entend, au diable les préjugés et les cancans. De toute façon, il les entend à peine ou alors il ne les comprends pas. Il est loin d'être bête, très loin, juste qu'il ne pense pas de la même façon qu'une personne normalement constitué. D'où le fait qu'on le surnomme l'alien, parce que parfois.. parfois Max il part loin. Très loin. Là par exemple en présence de son ex Brooke, il ne sait pas quoi dire. Il bafouille et perd tous ses moyens. Au pire de finir au sol, la tête à l'envers… à croire qu'elle lui fait toujours autant d'effet, mais en même temps c'est Brooke. Elle lui fera toujours quelque chose. Alors qu'il se tient à ses côtés, l'aidant à construire ce meuble, logiquement c'est la nana qui aide l'homme à construire le meuble. Logiquement, mais les gens nous vivons dans un siècle où les femmes sont bien plus douées que les hommes. Et cela est prouvé ! Odair il parle, il essaie de combler les blancs, pas qu'ils ne soient gênant, mais parce que c'est Max. Il parle d'Hunter, oh que oui il aurait vraiment dû faire appelle à lui pour le meuble. Pourquoi a-t-il accepté d'aider Evie ? Parce qu'il est trop gentil, voilà la réponse exacte. Parce qu'il ne sait pas dire non à sa meilleure amie et puis qu'il a envie de prouver aux gens qu'il peut être doué avec un marteau. Ce qui n'est clairement pas le cas … absolument pas. Vous êtes toujours en contact alors ? C'est bien Il regarde Brooke, intrigué par ses propos. Bien sûr qu'ils sont toujours en contact. Elle s'attendait à quoi. « oh oui, tu sais on ne sait jamais perdu de vu, comme avec Evie, se sont mes piliers … » et il n'imagine pas une vie sans eux. Max il est fidèle en amitié, en amour et en famille. Une fois que vous faites partie de sa vie et bien c'est foutu, vous ne pouvez plus partir. Limite il vous séquestre dans sa tour et vous ne pourrez plus jamais en sortir. Qu'on se rassure, cela n'est pas méchant, juste que Max est attachant, trop peut être et que lorsqu'il aime… et bien c'est pour la vie. Alors soyez heureux de faire partie de sa vie et puis c'est tout. Là par exemple, il aurait pu voir la subtilité du message de Brooke, l'étonnement dans sa voix, mais non Max, il répond. Basiquement, simplement. Parce que c'est Max. écoutant les directives de Brooke, ça lui plaît, elle a toujours su quoi faire de ses deux mains. À l'inverse de Max, attention il sait parfaitement s'en servir et pas que pour jouer à la console ou éplucher des pommes de terres. Quoique là encore on risque d'avoir des surprises, sachant qu'il s'est coupé à plusieurs reprises avec l'économe .. Oui tout est possible, lorsqu'il s'agit de Max. Il l'écoute et file les outils dont elle a besoin tout en parlant … il ne doit plus poser de questions embarrassante ou autre. Techniquement il n'en a pas posé, mais apparemment oui. Là non plus, il ne cherche pas à comprendre. Parce que tu as déjà imaginé ce que pourrez être nos retrouvailles ? Et comment savais-tu qu'il y allait avoir des retrouvailles ? Qu'elle lui demande, tournant la tête vers lui. Oui c'est une question que toutes personnes auraient posés. Max il continue son montage, même s'il ne comprend pas pourquoi cette pièce doit aller dans celle-là. Décidément ce meuble est mystère pour lui… un grand mystère. Sans regarder Brooke. « bah tu m'es destiné. Fin je veux dire, tous les manchots tombent amoureux une fois et le reste pour le restant de leurs jours … du coup j'sais pas, je savais qu'on se retrouverait … c'est une évidence, t'es ma destiné. » et il a dit ceci sans la regarder, sans hausser les épaules, simplement… La pièce n'est pas tombée qu'on se rassure. Il ne s'est pas rendu compte des propos qu'il a dit, parce qu'il a parlé comme un passionné. Un passionné des animaux. Il lui faut un petit temps .. et puis les planches tombent et le bruit ramène Max à la réalité.. Il ouvre la bouche pour continuer dans sa continuité lorsqu'il comprend .. « pardon je suis ... désolé… oui je dois plus m'excuser, je sais mais … fin … » c'est plus fort que lui et à présent il est gêné. Ne trouvant plus la sortie de secours. « écoutes .. je .. si tu veux partir, je comprendrais .. je vais appeler Hunter pour qu'il m'aide ... » gêné et n'osant plus la regarder. Parce qu'il a dit… il a dit ce qu'il avait plus ou moins sur le coeur et ça.. ça c'était pas prévu, oh que non.

© POUPI
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: When I met the woman I would call my own (brax) (#)   When I met the woman I would call my own (brax) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
When I met the woman I would call my own (brax)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
island bay ::    :: trash :: rps-
Sauter vers: