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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


vous n'avez pas envie d'être seul(e) ? La famille atkins-gallagher recherche les enfants de la fratrie

une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
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 Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie)

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MessageSujet: Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) (#)   Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) EmptyLun 11 Sep - 18:24


Si je saute, tu sautes pas vrai ?

Evie Bane-Levi & Max Odair

Les panneaux s'illuminent. Les yeux s'affaissent, mais il se contient. La route va bientôt se terminer, il voit déjà apparaître le panneau de sa ville. La ville de son enfance, de l’insouciance. Cela faisait déjà un moment que cet énergumène n'avait pas mis les pieds dans le coin. Et pour cause trop accaparé par sa dernière mission, qui l'a conduit en Ouganda pour sauver les girafes. Ces géants d'or   qui disparaissent bien trop vite … Soufflant la fatigue se lisant sur son visage, il est bien rare de le voir ainsi. La fatigue ne l'a jamais effrayé, mais là, depuis cette nouvelle, il n'arrive pas à dormir. Il cogite le géant. Il essaie de comprendre pourquoi c'est tombé sur lui. Les dieux lui en veulent ? C'est ce qu'il a pensé dans l'avion, puis la théorie du complot … non il a beau cherché, creusé, il ne voit pas pourquoi le ciel lui est tombé sur la tête et de cette façon. Il a l'impression de ce sentir comme ce petit gaulois qui avait toujours peur que le ciel lui tombe sur la tête … et ce jour est arrivé… Malheur. Enfin il n'est pas Gaulois, il ne s'appelle pas Astérix et il ne boit certainement pas de la potion magique. Non lui il s'appelle Max et il s'apprête à rentrer chez lui, sa ville natale, où personne ne sait qu'il revient … ce qui n'est pas habituel lorsque l'on connaît un brin le 'jeune' Odair. En effet il a pour habitude de prévenir ses comparses de toujours, son Raymond et sa Pâquerette ou plutôt Hunter et Evie. Qui n'ont absolument rien en commun avec le cochon -Raymond- et la chèvre -Pâquerette- de son enfance. Hormis le fait que Max traînait avec eux, comme il traîna plus tard avec les deux autres. Alors non, il les a pas prévenu, il n'a rien dit. C'est la surprise comme il le dit si bien… et pas qu'une petite surprise… oh que non.

Le taxi finit par se garer dans une allée, ce qui réveilla Max de sa léthargie. Tendant un billet, il aurait pu raconter sa vie au chauffeur, comme il le fit auparavant, mais là.. Là il était juste extrêmement fatigué. Les nerfs à fleur de peau, il a l'impression de se sentir comme sa sœur la vieille de ses menstruations … l'avantage c'est qu'il ne va pas souffrir et se rouler en boule. Quoique ? Venant de Max tout est possible et surtout réalisable. Il repositionne son sac à dos et s'engage vers l'immeuble. Un bâtiment qu'il connaît si bien, il cherche le trousseau de clef, ce dernier qui contient le Graal. Son moyen de dormir et de se reposer. Il sent, il est proche, très proche. La clef entre doucement en contact avec la serrure. Et le canapé qui se rapproche. Oui il va prendre le canapé et ne pas déranger Evie pour cette nuit. Toute façon il est pas bien difficile après l'avion, l'aéroport et le taxi .. même la moquette lui suffirait ou du moins le tapis. Posant son sac à terre, s'était sans se rendre compte de la nouvelle lampe ou autre objet qui se trouvait là. Au sol, mains sur le visage, il grimaça, pour sûr : ça allait réveiller son Evie. Il se dégagea de l'entrée pour avancer sur la pointe des pieds, aussi bien elle n'avait pas entendu.

Doucement mais sûrement il avança en quête du canapé, mais sa route fut barré par un faisceau de lumière qui l'aveugla, puis un coup qui le mit à terre. Une voix, sa voix et un étonnement qui se comprenait. Main sur le font « Surprise » qu'il dit tout simplement .. bon bah lui qui voulait arriver en douceur et surtout dans le calme : c'est foutu. Il se redresse et attrape sa meilleure amie pour la prendre dans ses bras. Ayant pris soin de dégager l’ustensile de combat de ses mains ou plutôt la lampe qu'elle tient fermement ... « je viens en paix j'te promets ... » Il se sentait bien le Odair, son Evie dans ses bras … le sentiment d'être revenu auprès des siens, au bercail, un sentiment qu'il aimait que trop bien.
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MessageSujet: Re: Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) (#)   Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) EmptyLun 18 Sep - 17:28


Si je saute, tu sautes pas vrai ?

Evie Bane-Levi & Max Odair

Evie s’était redressée dans son lit, tous ses sens en alerte et le cœur tambourinant contre ses côtes. Les néons extérieurs, éclairaient faiblement sa chambre, lui permettant juste de lire l’heure sur son réveil posé sur la table de chevet. Deux heures du matin. L’esprit encore embrumé par le sommeil, la jeune femme se força à rester immobile, tendant l’oreille. Elle avait cru entendre sa porte d’entrée s’ouvrir et se fermer, et des bruits de pas résonner dans le couloir. Le doute ne fut plus permit, quand elle entendit un objet tomber au sol et se briser. Or elle vivait seule – même pas un chat qu’elle aurait pu blâmer pour le boucan – et même si son appartement servait régulièrement de refuge, personne n’aurait dû débarquer cette nuit-là. En entendant remuer dans le salon, elle eut alors sursaut d’indignation et de colère en s’imaginant qu’on était venu la cambrioler. Attrapant la première chose qui lui tomba sous la main, sa lampe de chevet, elle se glissa silencieusement hors de ses couvertures et avec tout autant de précautions, sortit de sa chambre à pas de loups, prête à faire regretter à l’intrus d’avoir choisi son appartement. Les mains moites, la respiration sifflante, elle avisa une grande silhouette découpée par la lumière extérieure devant elle, et chargea sans plus attendre en poussant un cri sauvage. Elle l’atteignit à la tête, pas peu fière de le voir s’écrouler, continuant à mouliner dans les airs son arme de fortune mais sentit la peur la tétaniser quand l’inconnu se releva brusquement, se saisit de son arme et l’emprisonna dans ses bras. Elle gigota tant bien que mal pour se défaire de sa prise, avant de cesser de lutter, les yeux écarquillés par la surprise.

« Mm-Max ? » Souffla-t-elle alors que l’homme l’écrasait dans une étreinte affectueuse. Le nez dans son sweat, Evie sentit une bouffée d’émotions contraires la submergée et elle enroula ses bras autour de la silhouette de son meilleur ami, se pendant à son cou. « Mais qu’est-ce que t’es con tu m’as foutu une trouille bleue. » Qu’elle fit, en resserrant encore sa prise, papillonnant des cils pour chasser les larmes qui menaçaient de déborder. Parti en expédition depuis quelques mois, il n’avait donné des nouvelles qu’à travers mails et coups de téléphones qui aux yeux de la jeune femme étaient insuffisants. Ils se connaissaient depuis qu’ils étaient gosses et étaient devenus inséparables dès lors. Si elle respectait son choix de parcourir le monde pour sauver des espèces en voie de disparition, elle ne pouvait pas non plus prétendre sauter de joie à chaque fois qu’elle le voyait prendre l’avion. Mais il aurait été injuste de sa part de le retenir.

Palpant ses épaules et enserrant son visage entre ses paumes pour s’assurer que c’était bien lui, elle renifla un grand coup et le gratifia d’une tape sur l’épaule. « J’aurais pu abîmer ta belle petite gueule ! T’as oublié ce qu’était un téléphone à force d crapahuter dans la savane ? Qu’est-ce que tu fais là d’ailleurs ? » L’assomma-t-elle de question, en tâtonnant pour allumer la lumière du salon. Elle plissa les yeux, les rétines agacées par la brusque clarté.

« Tu ne devais pas rentrer maintenant. Je serais venue te chercher à l’aéroport sinon. » Fit-elle, scannant maintenant son ami avec attention pour voir s’il lui manquait un membre ou quelque chose de ce goût-là. « T’as une tête à faire peur. T’as pas chopé une putain de gastro ? »

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MessageSujet: Re: Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) (#)   Si je saute, tu sautes pas vrai ? (evie) EmptyDim 24 Sep - 21:18


Si je saute, tu sautes pas vrai ?

Evie Bane-Levi & Max Odair

Oui il était bien. Un sentiment qu'il n'avait pas connu durant ces derniers quarante huit heures voir, soixante douze … Pourtant près de cette odeur qu'il connaissait tant, qu'il chérissait tant, il oubliait tout et surtout le pourquoi de son retour. Ce n'était pas un retour voulu, enfin à la base il ne devait pas rentrer aujourd'hui. Pas de cette façon, mais voilà Max Odair est un grand gamin, il a fui pour la première fois de sa vie … En même temps, vous me direz il y a de quoi .. Ce n'est pas tous les jours qu'on apprend qu'on a été drogué -oui c'est ce qu'il aime dire- et qu'ensuite on vous force à signer un contrat de mariage. Le voilà marié .. mais cette partie, il préfère la mettre de côté. Très loin, là pour le moment il préfère la chaleur de sa meilleure amie. Il savait qu'en revenant ici, il avait fait un bon choix. C'était son chez lui, sa ville, sa famille et ses amies se trouvaient là. Tout ici le ramenait à des bons souvenirs, de très bons souvenirs. Il aimait partir pour sauver le monde animalier, mais il aimait aussi rentrer au bercail. Ce sentiment qui le parcourait à chaque fois, un bon sentiment, il était bien et ne voulait plus partir. Oh que non. Là il n'était pas près à partir, il faudrait limite le renvoyer à coup de pieds dans le derrière. Enfin il avait le temps pour penser à ça. Pour l'heure il savourait le moment des retrouvailles. « Mais qu’est-ce que t’es con tu m’as foutu une trouille bleue. » Evie qui le ramène doucement à la réalité, il regarde son visage. Bien sûr qu'elle est contente de le voir, ça se lit dans son regard. Sauf que pour le pourquoi … il ne sait pas encore s'il doit lui répondre … vérité ou pas ? C'est d'Evie qu'on parle … il n'a jamais pu lui cacher quelque chose, sauf que là.. Là c'est quelque chose. Alors il se contente de sourire et puis il sait qu'elle en a pas fini avec ses questions. « J’aurais pu abîmer ta belle petite gueule ! T’as oublié ce qu’était un téléphone à force de crapahuter dans la savane ? Qu’est-ce que tu fais là d’ailleurs ? » Et voilà nous amenons doucement le sujet .. ce qu'il fait là. Si elle savait. Si elle savait ce qu'il l'amène … ce n'est pas dit qu'elle réagisse de cette manière. Enfin c'est d'Evie, elle ne va pas appeler l'ambassade ou pire sa … non il ne peut pas songer à ce mot. Oh que non. « Tu ne devais pas rentrer maintenant. Je serais venue te chercher à l’aéroport sinon. » Elle en a décidément pas fini avec lui et lui .. lui il cherche quoi dire .. et là pour le coup les mots ne lui viennent pas. Il sourit comme un abrutit voilà ce qu'il fait … essayant de trouver une réponse correcte à ses questions .. Sauf qu'à ses yeux, y en a aucune de bonne .. Oh que non. La vraie raison … elle le terrifie. Il a peur Max et pas qu'un peu.

« T’as une tête à faire peur. T’as pas chopé une putain de gastro ? » A ce point, Max tourne sur lui même, essayant de trouver une issue de secours. Là où y en a pas. Il aurait bien aimé avoir un peu de sommeil avant de faire face à l'interrogatoire… Hélas il peut y couper, c'est ça quand on fait du bruit tel un éléphant qui entre dans un magasin de porcelaine. Non pour le coup, il n'a pas été fin. Posant son sac, il commence à gesticuler. « Oh non t'en fais pas .. juste le voyage qui m'a crevé ... » issue de secours ? Voilà ce qu'il cherche, il gesticule et se dirige vers la cuisine. Cet appartement il le connaît un peu trop bien, il cherche un chouïa à fuir le regard de son amie. Toute façon il se connaît dans quelques minutes il va cracher la vérité, mais juste que pour l'heure .. il essaie de trouver une manière de l'annoncer. « Oh puis tu sais j'avais comment dire fini .. et puis bon entre temps il se pourrait que j'ai fait une connerie fin non pas vraiment mais comment dire … bah il paraît que je suis marié … et puis bah en fait la girafe n'avait rien donc j'ai pris de la guimauve et je suis rentré. » Il dit tout cela à une vitesse hallucinante bien sûr. Sinon cela ne serait pas drôle. Les mots sortent aussi vite de sa bouche qu'une voiture sur un terrain. Il bouge, puis finit par trouver son bonheur. « Un thé ça te dit, oh tu as le parfum que je t'ai envoyé ! » Petit souvenir d'une visite en Inde, il n'a pas pu s'empêcher de lui envoyer un petit colis. Se retournant vers son amie, laissant l'eau chauffer. « Et sinon toi, quoi de neuf dans ta vie ? J'ai pas raté beaucoup de chose depuis le skype de la semaine dernière ? Ton Mr marié est revenu ? Tu sais que ce n'est pas une bonne idée … du sucre. Tiens je m'en prendrais bien un, voir deux. » et il continue de causer le Odair à une vitesse à en faire décrocher les radars, mais que voulez-vous, c'est Max. Quand il panique, il cause et puis rajoutons qu'il n'a pas beaucoup dormi .. c'est la fin des haricots. Oui madame c'est ça, la fin des haricots.
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