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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 There's something 'bout that work, work, work ( Dwight)

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MessageSujet: There's something 'bout that work, work, work ( Dwight) (#)   There's something 'bout that work, work, work ( Dwight) EmptyVen 15 Sep - 21:37

There's something 'bout that work, work, work
When you’re a kid, they tell you it’s all… Grow up, get a job, get married, get a house, have a kid, and that’s it. But the truth is, the world is so much stranger than that. It’s so much darker. And so much madder. And so much better.

Il est un peu moins de dix-neuf heures lorsque je décide que ma journée est terminée. Après tout, j’avais le droit à mon week-end. J’avais prévu de prendre un verre avec des copains mais tous ont eu la bonne idée d’annuler à la dernière minute. C’était un peu ça d’avoir la trentaine passée. La plupart de vos amis ont fait leurs vies et ont des impératifs. Des enfants, voila, ces petits trucs qui puent et qui court partout en gueulant. Je préférais de loin l’amour de mes chats qui arrivaient à peu prés à se débrouiller seuls. Une chose est sûre c’est que loin de moi l’envie de devenir mère un jour. Et encore faut-il trouver l’homme qui va avec et de ce côté aussi c’est le néant. Rien, walou, seulement quelques plans par-ci par là pour éviter la solitude. Je m’abandonnais dans leur bras quelques instants pour me rhabiller et retourner vaquer à mes occupations. Je n’aimais pas me prendre la tête et les relations amoureuses rimer clairement avec problèmes. Je vivais ma vie comme je l’entendais et j’étais plutôt contente de ma routine. Pourtant, cela ne plaisait pas à tout le monde et encore moins mon cher père qui attendait de pouvoir enfin se débarrasser de moi. Et je me contentais de lui répondre que c’était lui l’homme de ma vie, une phrase qui avait longtemps fini par le lasser. Il s’était posé des questions sur ma sexualité, après tout, je n’avais jamais emmené personne à la maison. Il n’avait rien contre le fait que j’aime d’autres femmes, il avait promis de me soutenir si tel était le cas mais à condition que je me case enfin. Il ne supportais pourtant pas que je découche de la maison. Il y a des années qu’il ne me croyait plus lorsque je lui disais que j’allais dormir chez Ella mais il ne voulait pas creuser plus loin au cas où la vérité le déçoit. Moi, mon truc c’était les relations courtes et concises. Je ne supportais pas m’attacher à quelqu’un de peur de souffrir.

« Hey, t’as encore mal garé ta bagnole. » dis-je en déposant mon sac sur le comptoir. J’ai pris l’habitude de faire comme chez moi, je contourne le table pour passer de l’autre côté et m’auto-servir une bière avant de claquer un bisou sur la joue de Dwight : «  Et tu me dois 20 balles sur le pari de l’autre fois. » dis-je en pointant mon index menaçant sur lui. En règle général, je ne m’autorise pas ce genre de familiarité avec les gens, mais avec mon voisin de commerce les choses se sont fait naturellement. Il a ce truc glauque en lui qui me fait me sentir moins bizarre à ses côtés. Et puis de son côté, il ne s’en est que moyennement plaint et tant que ce n’est que des petits reproches je continuerai. Je reprend place sur mon siège attitré, celui que je prend à chaque fois que je met les pieds dans son bar et où il m’est arrivé de demander à de gros gaillard de bouger. Poliment bien sur, mais je savais arriver à mes fins. Et comme je n’aime pas faire comme tout le monde, j’ai pris l’habitude de boire ma bière à la paille forçant ainsi Dwight à en acheter. Après tout, il suffisait qu’un verre soit mal lavé pour qu’on se retrouve à chopper de nouvelles bactéries. La première fois que je lui avais faite ma proposition il m’avait ri au nez, il s'agissait d'un bar de bonhomme et une minette comme moi n’avait rien à faire ici une fois l’heure passé. Seulement c’était mal connaitre ma détermination. Je plisse les yeux en regardant Dwight. J’ai cessé de porter des lunettes à l’extérieur depuis que Johnny Carther en primaire m’avait traité de binoclarde. En fin de journée garder mes lentilles devenaient une vraie torture et je préférais les laisser au cabinet prenant le risque de conduire malgré ma petite myopie. Jusque là je n’avais jamais eu d’accidents mais ça restait quand même dangereux. « Mais dit donc, qu’est ce que t’as au visage. » dis-je en essayant de voir de plus prés. Le connaissant, il en était surement venu au main et je sais qu’il en faut peu pour le faire sortir de ses gonds mais j’attends tout de même d’écouter sa version avant de juger. 
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MessageSujet: Re: There's something 'bout that work, work, work ( Dwight) (#)   There's something 'bout that work, work, work ( Dwight) EmptySam 16 Sep - 3:41

" There's something 'bout that work, work, work " - Emna
EXORDIUM.
Vendredi soir. Tu t'occupes de l'ouverture seul depuis cette fameuse soirée, non pas parce que tes petits protégés ont pris peur suite au fiasco de la dernières fois, mais seulement parce que tu tiens à ne pas leur infliger un round two si les deux autres abrutis en redemande, persuadé de pouvoir à nouveau t'en occuper comme un grand en solitaire. Les trois de service arriveront plus tard dans la soirée, de quoi te laisser savourer un temps d'accalmie bien qu’éphémère en ce début de soirée. À l'heure où les bureaux se vident, où les commerces ferment, où tout le monde affluent aux heures de pointes, tu vois déjà apparaître quelques têtes de patrons désabusés dans ton local passer commande pour retarder les cris de leurs morveux après les plaintes de leur salariés; double dose pour ces messieurs, telle est la règle que l'on mettra sur le compte de l'empathie. Ce soir sonne enfin le weekend et tu ne t'inquiètes pas vraiment de ton chiffre d'affaire de ton côté. En plus, tes acolytes t'aiment, ils ne te le disent pas, mais tu le sais.
T'occupant sur la machine à sou, une voix familière te sors de tes pensées avec toute la discrétion que tu lui connais, la non gêne personnifiée. " Tu t'fais rare ces temps-ci,j'ai bien cru que je ne te manquerais jamais. " Tu ne réponds pas tout de suite à sa petite pique, attendant bien sagement qu'elle installe son petit rituel du bisou sur la joue avant d'attaquer à ton tour. "La prochaine fois, prends ton vélo. " Tu en profites pour lui dénicher son billet, sortant la tête de la machine pour enfin la détailler de haut en bas de ton regard on-ne-peut-plus sérieux."T'as pris des cuisses un peu, je me trompe ?" Balances-tu pour enfoncer le clou. C'est ainsi que cela fonctionne entre vous. Emna est cette petite boule de nerf et de joie qui ne peux t'empêcher de te faire sourire, bien qu'elle possède un bon nombre de défaut. Tu l'imagines bien en casse-cou de de sa tribu, libre comme l'air, inconditionnellement sinoque, elle est ce petit brin de folie qui t'épuises autant qu'elle s'admire. Tu ignores comment ce lien s'est installé entre vous deux, aux totales antipodes, mais les opposées s'assemblent, disent-ils. Enfin, c'est un bien grand mot. Tu te lâches avec elle et il faut dire qu'elle te rend la pareille. Ça te fait un bien fou de la voir, mais tu restes bien trop pudique et fiérot pour le lui avouer. Elle s'en tape sûrement ou bien l'avez vous déjà compris tout les deux, au choix. Tu vois que les petits détails ne lui échappent pas non plus, ainsi lui souris-tu avant de lui lâcher sur un long soupir " Je tiens un bar. " D'un geste preste de la tête, tu évoques le foutoir au fin fond de la pièce, les quelques chaises entreposées sur les deux tables hors-services. Tu ne préfères pas t’éterniser sur les souvenirs de la soirée survenue trois jours plus tôt, ni sur son origine. Alexy est un problème dont tu préfères t'occuper seul. Tu te remets doucement de tes "blessures de guerre", préférant suivre ton invitée spéciale dans sa démarche en te servant cette fois-ci, un simple verre d'eau. Que cela te serve de leçon. " Et toi alors, le boulot ?" Tu doutes qu'elle ait des informations croustillantes à te fournir sur le sujet, mais tu as encore du mal à te remettre de votre dernière conversation sur le sujet, quand madame se plaignait de sa joute verbale face à un perroquet. Rien que d'y penser, tu en rigoles encore.


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