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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis

 

 Oups. Feat Carolyn

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MessageSujet: Oups. Feat Carolyn (#)   Oups. Feat Carolyn EmptyMer 20 Sep - 15:34


Carolyn & Carron







Je déteste plus que tout au monde le heures de pointe. Malheureusement pour moi, n'ayant pas de permis je suis bien obligé de prendre le train pour traverser la ville et me rendre sur mon lieu de travail. Mon sac de sport a mes pieds, glissé dans un pull a col roulé, un pantalon de smoking et ma longue veste noir, je reste debout dans ce train bondé. Une main dans la poche, l'autre accroché a la barre prévu à cet effet, je regarde le paysage défilé sous mes yeux sans vraiment prêter attention à ce qui passe autour de moi. Je soupire longuement et sors mes écouteurs de ma poche de veste, glisse le casque sur mes oreilles et lance la musique d'un geste rapide sur mon téléphone. Les premières notes s'élève et je me retrouve confiner dans ma bulle, la voix suave de LP me racontant son histoire d'amour ratée et le fait qu'elle a perdu beaucoup durant cette période. Mon pied tape le sol de manière incontrôlable, j'imagine quel pas faire a quel moment, chaque mouvement du corps, chaque mouvement de pied, comptant tous les temps se trouvant sur la musique, décomposant chaque morceau pour raconter une histoire a travers la danse. Je me mords la lèvre inférieur, les yeux fermés. Je descend au terminus, je n'ai pas vraiment besoin de savoir ce qu'ils disent dans le haut parleur…

Puis, comme dans un film, tout bascule. Et quand je dit tout, c'est moi tout entier bien entendu. Le train freine si violemment et si brusquement que je n'ai pas le temps de me rattraper a la barre, ai a peine le temps de retrouver un certain équilibre que je tombe sur le sol. Un peu surpris et sonné j'ai du mal à me rendre compte de ce qu'il vient de se passer. La voix de Lp ne chante plus a mes oreilles, ça c'est sur, et a la place je peux entendre un brouhaha de gens mécontent. Je baisse la tête en sentant que ça bouge sous moi. Je reste un peu surpris alors que mes lèvres se retrouvent a quelques centimètres de celles d'une jeune femme. Je suis tombé sur quelqu'un. A demi allongé sur elle, coincé entre ses cuisses, nos visages se frôlant presque. Je peux sentir son haleine mentholé, son souffle contre ma peau. Si l'endroit n'était pas si blindé, ce pourrait être un moment très sensuel. Je reprend mes esprits et d'un geste rapide je me relève et lui tends la main pour l'aider à se relever alors que dans le hauts parleur ont peut entendre la voix du chauffeur nous annoncer un incident technique.

-Et merde.

C'est sortis plus vite que moi, mais je ne suis pas le seul a râler de cette malchance puisque plusieurs autour de nous commencent déjà à râler, sortant leur téléphone pour appeler leur patron et leur rendez vous. Téléphone. Un instant de panique, je palpe mes poches en cherchant le miens, le trouve et suis le fil… Cassé net. Mes écouteurs tout neuf sont arraché, irréparable. Mon faciès change du tout au tout, de la panique je passe au désarroi et soupire en m'accroupissant, ramassant les morceaux de mon casque avant de les foutre dans ma poche. Je reporte mon attention sur la jeune femme et lui lance un regard désolé:

-Toutes mes excuses… J'ai perdu l'équilibre… Et je suis désolé de vous êtes tomber dessus ainsi, ce n'était pas du tout dans mes intentions… Vous n'avez rien?

Quitte a attendre que tous soit réparer, et étant donné que je n'ai plus de quoi écouter la musique sans gêner les autres voyageurs, autant lancer la discussion… En tout cas, vu sa tête, elle n'a pas l'air ravie de devoir m'adresser la parole… Ça commence bien.


fiche par century sex.


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MessageSujet: Re: Oups. Feat Carolyn (#)   Oups. Feat Carolyn EmptyDim 24 Sep - 17:56

Oups. Feat Carolyn Tumblr_inline_nvook5cOa01tydw0x_500

[justify@J’avais mal dormi. Les bleus que j’avais continuaient de me faire mal. N’importe quelle femme partirait si son petit la battait. Mais pas moi. Parce que je savais qu’il n’était pas comme ça. Lorsque je l’avais rencontré, il était loin d’être de ceux-là. Et pourtant, sa galerie d’art avait pris feu. Il avait tout perdu. J’aurais fait n’importe quoi pour lui. Mais je ne voulais pas qu’il se détruise. Qu’il sorte avec des soi-disant potes qui l’entrainent à faire tout et n’importe quoi. Je lui avais fait remarquer une fois. Est-ce que ça avait été le déclencheur ? Je n’en savais rien. Je ne voulais même pas savoir dans le fond. Qu’est-ce que ça aurait pu changer ? Pas grand-chose. Il avait eu un père violent. Il l’avait être comme ça sa mère. Peut-être que pour lui c’était juste… normal. Je soupirais légèrement avait de monter dans le train. J’aurais pu prendre ma voiture mais c’était le même bordel sur la route. Comme d’habitude, il était bondé. Comme d’habitude, j’allais me faire bousculer. Et comme d’habitude, je ne dirais rien. Parce que j’étais fatiguée. J’avais hâte de repartir sur le terrain. M’échapper loin. Faire un reportage pour tout oublier. Je cherchais de plus en plus à fuir. Et ma famille se posait beaucoup de questions. J’espérais simplement qu’aujourd’hui on m’annoncerait que je partirais dans je ne sais trop quel pays d’Afrique. Faire un safari pourrait me plaire. Mais ce n’était pas vraiment sûre que je rentre.

Plongée dans mes pensées, je ne faisais pas vraiment pas attention aux gens autour de moi. Mais j’en fus rapidement sortit, lorsque le train s’arrêta brusquement et qu’un homme tomba sur moi. Je tombais par terre et sentit mon épaule cognée contre la paroi d’un siège. Au moins se serait le premier bleu qui ne viendrait pas d’Ethan. J’essayais de faire en sorte que l’homme se pousse pour que je puisse me relever. Son visage était à quelques centimètres du mien. Et c’était un brin bizarre. Je ne pus m’empêcher que dans une situation différente, la situation aurait pu paraître ambigu. Il se relève finalement et en fait de même. J’entends alors le chauffeur s’excusé mais qu’il y a un incident technique. Je soupire et lève les yeux au ciel. Parfois, il valait vraiment rester couché ! Je chercher désespérément mon téléphone dans mon sac. Légèrement sur les nerfs, j’ai simplement envie de balancer tout mon sac par terre pour le retrouver et prévenir mon patron. C’est à ce moment-là que l’homme qui m’est tombé dessus décide de m’adresser la parole. Je l’écoute tout en continuant de chercher ce foutu téléphone. Je relève la tête vers lui et lui lance un regard noir :

« Non c’est bon, j’ai rien. Puis au pire, si jamais j’me rends compte que j’ai quelque chose, j’vous enverrais la facture de l’hôpital ! » Je pouvais être assez directe quand j’étais énervée. Je reportais mon attention sur mon sac et finit par mettre la main sur mon téléphone. Je refermais mon sac et envoya un message à mon patron pour lui dire que je ne sais pas à quelle heure j’arriverais au boulot. Il le prendrait peut-être mais qu’importe. Il avait qu’à me payer un chauffeur privé. Je reportais mon attention sur l’homme qui m’avait parler et sur un ton légèrement plus gentil, je lui dis : « Ecoutez, j’suis désolée. C’est juste qu’en ce moment, j’suis légèrement à cran et je sens qu’avec cette connerie, je vais sûrement me faire torpiller par mon patron. »

Je ne savais pas pourquoi j’avais jugé utile de me justifier. Peut-être par politesse, je n’en savais rien. Je le regardais quelques secondes avant de reporter mon attention sur mon téléphone. Mon patron ne m’avait toujours répondu. Génial. En plus de ça, il était sûrement en réunion et n’allait pas regarder son téléphone avant un long moment. Je soupirais une nouvelle fois. La journée commençais super bien.[/justify]
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