contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: La rencontre. | Paige & Nathan. (#) Jeu 21 Sep - 17:51
La rencontre.
Paige & Nathan.
Les galas de charité était toujours l'événement rêvé pour montrer au monde combien on avait pu réussir dans la vie. Signer un gros chèque et passer la soirée à boire du champagne hors de prix. Voilà bien là, une manière plutôt étrange de se comporter quand on sait que juste le prix de ce genre de soirée pourrait servir de fond pour une quelconque association. Prime organisait justement ce genre d'événement, probablement pour se donner une bonne image pour l'année à venir enfin, c'était la seule raison évidente que Nathan trouvait à cela. Il avait reçu son carton d'invitation dans la semaine et il comptait bien en profiter même si ça serait seul.
Sa chère et tendre était retenue au travail mais ça ne l'empêcher pas de vivre bien au contraire. Joey serait bien trop heureuse de le voir se morfondre au milieu du canapé face à une émission télé quelconque. Nathan s'était donc munit de son invitation et de son chéquier qu'il avait glissé dans la poche intérieur de sa veste de costume. Il avait prit soin également de sortir le chien de sa femme, histoire que ce ne soit pas un carnage lorsqu'il rentrerait dans la nuit. Ce chien ne l'aimait pas vraiment mais il lui rendait bien. Nathan n'aimait pas spécialement les poils qu'il laissait derrière lui et encore moins cette odeur de… chien ! Non, si Joey lui avait ne serais-ce demandé son avis, il aurait préféré un chat et ça le paillasson à quatre pattes, il devait le sentir.
Nathan attrapa ses clés de voiture et il se rendit directement au gala. Avant de sortir de sa voiture, il regarda son téléphone portable une dernière fois avant de le passer en silencieux mais il n'avait aucun message. La belle affaire, il le rangea dans la poche de son pantalon puis il entra dans le bâtiment, son invitation à la main. Comme promis, du beau monde un peu partout. Il salua quelques personnes et serra quelques mains d'hommes plutôt riches qu'il était habitué à voir ce genre d'événement. Certaines personnes s'étonnaient de le voir sans Joséphine et à ce moment là, il prenait la poudre d’escampette. D'ailleurs, il était temps d'aller se chercher une coupe de champagne histoire d'être plus apte à faire un don. C'est en se retournant qu'il croisa son regard. Malgré le jeu de lumière dans la salle et la distance qui les séparer, il avait remarqué le bleu de ses yeux. Elle était vraiment magnifique sous ses apparences de petite fille sage. Un bref sourire se dessina sur les lèvres de Nathan puis il attrapa deux coupes de champagne. Il était vraiment rare qu'il agisse ainsi mais parfois le désir l'emportait sur la raison...
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Sujet: Re: La rencontre. | Paige & Nathan. (#) Sam 23 Sep - 14:39
La rencontre
Naige
C'est fou comme les gens ne semblent pas comprendre en quoi consiste mon métier. Comme l'intitulé de mon travail contient le mot 'assistante', ils pensent qu'ils peuvent me refiler tout et n'importe quoi à faire. Bien que mon véritable job consiste à aider à la réalisation de reportage pour le journal télévisé, ils se permettent de me demander d'aller faire leur courses, de leur apporter du café ou bien encore d'aider à la préparation du gala de charité de Prime. Alors que, je précise, il y a des gens à la base payer pour ça. Et moi qu'est-ce que je fais ? Je m'écrase, je m'exécute, parce que je sais que si je fais ne serait-ce qu'un pas de travers, je n'aurais jamais la promotion que j'attends. Mais je me dis qu'il y a pire, après tout certains rêveraient de devoir organiser des soirées pendant leurs heures de travail. Et ça a un côté vraiment amusant, j'apporte ma touche personnelle et on m'écoute. C'est un pas de géant pour moi en quelque sorte, on prend mes idées plus en considération qu'à l'accoutumé. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. C'est une de mes supérieurs qui m'a demandé d'aider (en plus de faire toutes mes tâches quotidiennes) parce qu'elle veut que, et là je cite, 'la fête reflète l'esprit novateur bien que futile des jeunes d'aujourd'hui'. En clair, même si elle nous trouve complètement cons, elle veut que la soirée est l'air branché pour que Prime soit vu d'un oeil positif. Quoiqu'il en soit, le cocktail est plutôt réussi, le décors est magnifique et l'ambiance bat son plein. Bon, ça reste une fête de bourges snobinards et coincés mais ça a ses avantages. J'ai pu discuter d'une de mes idées de reportage avec un membre important de la chaîne et visiblement il a apprécié. Je crois que je vais me mettre à adorer les soirées guindées. En plus de ça, c'était l'occasion de bien s'habiller, de sortir les belles tenues qui restent, les trois quarts du temps, enfoui au fond du placard. J'avoue même m'amuser quelque peu, bien que quelque chose me tracasse. Il manque quelqu'un à mes côtés, en fait, plusieurs quelqu'uns. Mes meilleures amies, collègues et colocataires. Oui je sais, ça fait beaucoup. On s'est disputé et ça a pris des proportions énormes, si bien qu'on ne se parle actuellement plus. Autant vous dire que ça me fait étrange, nous qui passons le plus clair de notre temps ensemble. Et je me sens seule, un peu pantelante au milieu de la foule sans elles. J'en viendrais presque à prier un dieu auquel je ne crois pas de m'aider. Et comme pour me faire douter de mes certitudes, là, pile en cet instant où je me sens quelque peu mal à l'aise, un homme arrive deux coupes de champagnes à la main. Il m'en tend une et je ne peux pas m'empêcher de jeter un coup d'oeil en l'air, un petit sourire aux lèvres ; les coïncidences sont étranges parfois. "Merci beaucoup." Les politesses d'usages passées, je m'autorise à détailler l'homme qui se trouve en face de moi. Grand, brun et imposant, il en intimerait plus d'une avec son charme. Et j'avoue comprendre pourquoi à cent pour cent. Peu d'hommes de sa trempe viennent à se genre de soirée, les trois quarts sont à la retraite et meurent d'ennuis. Autant dire que ça change et je suis loin de m'en plaindre. "Je m'appelle Paige, ravie de vous rencontrer." Je lui tends ma main restée libre, un petit sourire aux lèvres. J'essaie de paraître assurée et agréable surtout, je n'ai aucune envie de me retrouver seule et je me dis que si je m'y prends bien, nous pourrions au moins discuter une bonne dizaine de minutes. Quelqu'un a dit qu'il n'y avait rien de pire que de se sentir seul au milieu de la foule, il avait raison. "Vous appréciez la soirée ?" Un brin pour meubler la conversation, un brin pour connaître son avis sur mon travail, j'en viens à poser cette question avec un naturel qui m'étonne moi-même.
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Sujet: Re: La rencontre. | Paige & Nathan. (#) Ven 29 Sep - 9:26
La rencontre.
Paige & Nathan.
Nathan s'était dirigé, ses deux coupes de champagne à la main vers cette jeune femme sans vraiment réfléchir. Après tout, qu'est ce qui y avait de mal à ça ? Il était fort probable que même si sa femme s'était trouvée dans la salle, il aurait été à sa rencontre. Nathan n'était pas le genre de mari à avoir des limites car en vingt ans, il ne les avait jamais dépassé alors pourquoi cela changerait aujourd'hui ? Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu'elle accepta la coupe qu'il lui tendait.
- Mais de rien, c'est Prime qui paye.
Autant profiter du champagne et en bonne compagnie, c'était encore mieux. Nathan avait vraiment hésité à venir ce soir mais comme quoi, quand le destin en décider autrement, vous pouvez être amener à faire de nouvelles rencontres plutôt intéressante. Elle se présenta à lui et il nota soigneusement dans un coin de son esprit. Il baissa le regard et attrapa doucement qu'elle lui tendit. Il la serra un bref instant avant d'ajouter en la regardant dans les yeux.
- Enchanté Paige et moi c'est Nathan.
Portant sa coupe de champagne à ses lèvres, il en bu une gorgée en observant les gens autours d'eux. C'est vrai que la moyenne d'âge était plutôt élevé surtout pour une jeune femme comme Paige. Enfin Nathan imaginait qu'elle n'avait pas plus de trente ans et probablement moins, d'ailleurs. Elle le ramena à la réalité et il se mit à sourire.
- Oui, c'est plutôt réussit. Je dirais même que c'est beaucoup mieux que le dernier événement de Prime. Vous travaillez pour eux ?
Nathan pensait chaque mots. La soirée était beaucoup plus festive que leur dernier événement qui faisait un peu dans le vieillot. D'ailleurs, il se souvenait même ne pas être rester très longtemps. Ils étaient venus avec sa femme, ils s'étaient tous les deux pavanés, ils avaient fait un donc et ils étaient repartis aussi vite qu'ils étaient arrivés. Nathan échappa un léger rire avant d'ajouter.
- Vous savez ce qu'il manque à ce genre de soirée ? Un karaoké ! Histoire de détendre tout le monde, même les plus riches.
Il ne se considérait en rien comme un « riche » mais il se voyait tout à fait devenir aigri comme la plus part des gens ici qui avaient probablement oublié de s'amuser avec les années. Nathan avait un peu peur de se retrouver dans vingt ou trente ans, d'ailleurs, il avait surtout peur de ne pas se reconnaître alors oui, il essayait de s'amuser et profiter de la vie un maximum.
- Est-ce que vous savez si monsieur Murphy se trouve ici ce soir ? J'adore la façon dont il se pavane, on dirait un coq cherchant à plumer toutes les poules du poulailler.
Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres et il bu une nouvelle gorgée de sa coupe de champagne. Nathan était plutôt moqueur mais ça restait toujours gentil et il faut l'avouer, proche de la réalité...
Sujet: La rencontre. | Paige & Nathan. (
C'est fou comme les gens ne semblent pas comprendre en quoi consiste mon métier. Comme l'intitulé de mon travail contient le mot 'assistante', ils pensent qu'ils peuvent me refiler tout et n'importe quoi à faire. Bien que mon véritable job consiste à aider à la réalisation de reportage pour le journal télévisé, ils se permettent de me demander d'aller faire leur courses, de leur apporter du café ou bien encore d'aider à la préparation du gala de charité de Prime. Alors que, je précise, il y a des gens à la base payer pour ça. Et moi qu'est-ce que je fais ? Je m'écrase, je m'exécute, parce que je sais que si je fais ne serait-ce qu'un pas de travers, je n'aurais jamais la promotion que j'attends. Mais je me dis qu'il y a pire, après tout certains rêveraient de devoir organiser des soirées pendant leurs heures de travail. Et ça a un côté vraiment amusant, j'apporte ma touche personnelle et on m'écoute. C'est un pas de géant pour moi en quelque sorte, on prend mes idées plus en considération qu'à l'accoutumé. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. C'est une de mes supérieurs qui m'a demandé d'aider (en plus de faire toutes mes tâches quotidiennes) parce qu'elle veut que, et là je cite, 'la fête reflète l'esprit novateur bien que futile des jeunes d'aujourd'hui'. En clair, même si elle nous trouve complètement cons, elle veut que la soirée est l'air branché pour que Prime soit vu d'un oeil positif. Quoiqu'il en soit, le cocktail est plutôt réussi, le décors est magnifique et l'ambiance bat son plein. Bon, ça reste une fête de bourges snobinards et coincés mais ça a ses avantages. J'ai pu discuter d'une de mes idées de reportage avec un membre important de la chaîne et visiblement il a apprécié. Je crois que je vais me mettre à adorer les soirées guindées. En plus de ça, c'était l'occasion de bien s'habiller, de sortir les belles tenues qui restent, les trois quarts du temps, enfoui au fond du placard. J'avoue même m'amuser quelque peu, bien que quelque chose me tracasse. Il manque quelqu'un à mes côtés, en fait, plusieurs quelqu'uns. Mes meilleures amies, collègues et colocataires. Oui je sais, ça fait beaucoup. On s'est disputé et ça a pris des proportions énormes, si bien qu'on ne se parle actuellement plus. Autant vous dire que ça me fait étrange, nous qui passons le plus clair de notre temps ensemble. Et je me sens seule, un peu pantelante au milieu de la foule sans elles. J'en viendrais presque à prier un dieu auquel je ne crois pas de m'aider. Et comme pour me faire douter de mes certitudes, là, pile en cet instant où je me sens quelque peu mal à l'aise, un homme arrive deux coupes de champagnes à la main. Il m'en tend une et je ne peux pas m'empêcher de jeter un coup d'oeil en l'air, un petit sourire aux lèvres ; les coïncidences sont étranges parfois. "Merci beaucoup." Les politesses d'usages passées, je m'autorise à détailler l'homme qui se trouve en face de moi. Grand, brun et imposant, il en intimerait plus d'une avec son charme. Et j'avoue comprendre pourquoi à cent pour cent. Peu d'hommes de sa trempe viennent à se genre de soirée, les trois quarts sont à la retraite et meurent d'ennuis. Autant dire que ça change et je suis loin de m'en plaindre. "Je m'appelle Paige, ravie de vous rencontrer." Je lui tends ma main restée libre, un petit sourire aux lèvres. J'essaie de paraître assurée et agréable surtout, je n'ai aucune envie de me retrouver seule et je me dis que si je m'y prends bien, nous pourrions au moins discuter une bonne dizaine de minutes. Quelqu'un a dit qu'il n'y avait rien de pire que de se sentir seul au milieu de la foule, il avait raison. "Vous appréciez la soirée ?" Un brin pour meubler la conversation, un brin pour connaître son avis sur mon travail, j'en viens à poser cette question avec un naturel qui m'étonne moi-même.