contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
nom ○Nordenskiöld. Patronyme venu des contrées nordiques, généralement mal orthographié, maintes fois épelé. Héritage qui fait ma fierté. prénoms ○Calliopée, muse éloquente qui déchaîne les passions, insuffle une énergie presque dévastatrice. Un souffle d’ailleurs, un souffle rêveur. Echo, un charisme envoûtant qui dévore les esprits, qui ne se laisse pas oublier. Deux prénoms tout droits venus de mes racines. âge ○Vingt-cinq années que le monde se reflète dans mes opales de carbone. lieu de naissance ○ J'ai ouvert les yeux la toute première fois sur la Venise du Nord, Stockholm la somptueuse. Mais j'ai grandi dans un cottage à l'écart de l'effervescence de la capitale. statut civil ○ Le coeur balafré par cette double trahison. Protégé par des remparts inaccessibles. orientation sexuelle ○ Eprise des gros bras protecteurs et des mâchoires carrées. métier/études ○ Attirée par l’adrénaline de l’illégalité, je trouve refuge derrière les livres de la librairie d’Island Bay. groupe ○ lost in my mind. avatar choisi ○ Madelaine Petsch.
les informations en vrac
la partie anecdotes ○ ✵ La Suède mon paradis perdu. Et dans mes veines, c’est le mystère de la Grèce qui s’y mélange, m’hypnotise. Ce métissage hors du commun, je le dois à mon père, à demi-héllène. C’est de lui que je tiens la profondeur de mes iris, si différente des teintes azures bien plus communes dans le Nord. ✵ Une seule fois, mes pieds ont foulé la mythique terre des Grecs. J’en suis tombée amoureuse, de ces eaux turquoises, de ce blanc pur qui se mêle au bleu roi, de ces délicates fleurs roses qui tombent en cascade sur les murs immaculés. Depuis, je rêve d’y retourner, découvrir un peu plus cette culture qui a su éveiller en moi une véritable bouffée d’oxygène. ✵ Depuis toute petite, les livres me fascinent. Tourner les pages de ces ouvrages, c’est comme ouvrir une porte sur un autre monde, une fenêtre par laquelle m’échapper. Passé que je peine à esquiver, toujours ces mêmes foutus flash qui reviennent me hanter. ✵ Et puis faut les faire couler, ces démons qui me guettent. Alors j’écris. Je couche les mots sur le papier, dans l’espoir d’oublier. J’écris, pour purger mon esprit embrumé. J’écris, en quête de ma renaissance. ✵ L’envie d’encrer mon derme qui se fait de plus en plus entendre. Tracer des lignes sombres à même ma peau, des symboles explicitement muets pour y graver des parcelles de mon histoire qui restera énigmatique aux yeux du monde. ✵ Jamais mes lèvres n’ont ne serait-ce qu’effleuré les volutes du tabac. Répugnée par l’odeur, perdre mon temps à consumer mes poumons ne m’intéresse pas. Les liqueurs amères que je n’affectionne pas particulièrement, dans lesquelles je ne souhaite pas me perdre. ✵ Le coeur paralysé par la méfiance. Ma confiance trop de fois abusée, malmenée, pour finalement être réduite à néant. L’amour, définitivement de la poudre aux yeux. Celle que je considérais comme ma sœur, a fait voler en éclats mon équilibre. Et celui qui faisait vibrer mon âme, y a mis le feu le sourire aux lèvres. ✵ Sous la lueur de la lune, mon existence se mue lentement. Instinctivement féline, je me glisse dans l’ombre et je flirte avec l’illégalité. Je m’infiltre entre les murs des plus riches, surtout des hommes, pour dérober leurs biens les plus précieux. Mais je ne garde rien pour moi, non. J’en fais don à ceux que la vie a moins gâté. Et je laisse derrière moi une rose rouge, ma signature, seule trace de mon passage. ✵ Cette manie de rejeter mes longs cheveux en arrière qui me caractérise. A la fois pour me donner une contenance lorsque je perds pied et simple réflexe. L’habitude de camoufler mes incertitudes derrière un masque d’assurance habilement feinte. ✵ Peu fêtarde, je préfère à la foule la tranquillité d'une soirée à la maison, devant un film. Pizza, crêpes ou glace, tant qu'il y a un plaid et des coussins, je suis toujours partante.
pseudo/prénom ○ risibles amours âge ○ vingt-cinq ans. pays/région ○ bleu blanc rouge. présence ○ plusieurs fois par semaine. comment as-tu connu island bay ○ sur un top-site. scénario/pré-lien/inventé ○ inventé. raison de ton inscription ○ je cherche un petit cocon où ma plume pourra s’épanouir dernier mot d'amour ○ j'ai craqué, vous m’avez l’air bien sympathiques
I'm gonna get you to burst just like you were a bubble
Petite rose fraîchement éclose, qui fait la joie de mes deux parents. C’était le commencement. Une famille unie, un équilibre modèle et sans faille. Mais l’éphémère a repris ses droits, parce que rien n’est éternel en ce monde. Rien ne dure, dans un royaume où l’inconstance est reine. La communication qui se complique, avec une mère trop exigeante, jamais satisfaite. Une mère qui veut tout contrôler, tout maîtriser. Façonner l’image de sa fille quitte à l’éroder un peu. Face à elle, un père présent, compréhensif. Complice. J’en veux tellement à ma mère, d’avoir abîmé papa comme elle l’a fait. D’avoir rayé notre famille avec son égoïsme. Et j’ai commis la même erreur que mon père. Celle de laisser l’amour s’emparer de mon âme. Ce foutu poison viscéral aux airs d’Eden, cette lumière finalement toxique qui vous étouffe lentement.
Les rivières de mascara qui noircissent mes joues, les délicates perles salées qui finissent leur triste course en s’écrasant sur le sol. Lavent mes deux diamants bruts des images imprégnées sur leur rétine. J’y croyais. Vraiment. Foutaises. J’ai fait l’erreur de lui donner les clés de mon coeur. Il s’y est infiltré, il a tout saccagé. Et elle. On était comme des sœurs. On n’avait pas le même sang, mais c’était qu’un détail. Le feu de la jalousie l’a consumée, la folie l’a possédée. Sans le moindre remord, elle a fait imploser mon monde tout entier, le temps d’un corps à corps. Mes deux alliés, désormais deux tâches sur la toile de mon existence, deux balafres dans un coin de mon âme. C’est calme autour. Comme si j’étais la seule à avoir assisté à la scène. Le rideau se ferme, les lumières s’éteignent. L’univers entier s’effrite. Ne reste que moi. A genoux dans les décombres de notre histoire.
Envolée, ma confiance. C’est incroyable, cette détresse qui me prend au corps. Je ne m’attendais pas à ça. Je ne m’attendais pas à me sentir complètement vide. Je me souviens de la séparation de mes parents. J’entamais ma seizième année. Année maudite, année chaotique. Un divorce aux airs de drama qui me tiraille toujours et dont les raisons restent obscures. Ma mère, qui quitte le foyer sans prévenir, prétexte de nouvelles envies pour pouvoir s’échapper. Abandonne mon père, l’homme de ma vie, l’homme de sa vie, aussi. Enfin, je croyais. Elle l’a détruit. Il ne voyait que par elle, elle était son univers, sa muse. Finalement la mieux placée, pour lâchement lui planter un couteau dans le dos. C’est tout notre équilibre qui a basculé. J’ai vu mon héros s’écrouler, capituler face à sa kryptonite. Il a sombré. Se noyer dans les liqueurs amères pour occulter la triste réalité. Et j’ai frappé un grand coup. J’ai déménagé chez lui. Au tour de ma mère, d’être abandonnée. A son tour, de connaître l’amertume de la déception, la déchirure de la trahison. Pas la solitude, malheureusement. Elle avait déjà rencontré quelqu’un. Un homme que je n’ai jamais accepté. J’ai lâché mes études pour porter secours à papa. Abandonné mes rêves, pour lancer une bouée au premier homme qui m’a aimée. J’ai eu du mal à me faire à cette idée, au fait que jamais je ne pourrais enseigner. C’est toujours dans un coin de ma tête. Mais je suis fière d’avoir été présente pour le relever.
Déjà quinze ans qu’on a quitté la Suède. Quinze ans que j’ai dû abandonner mon paradis, pour suivre ma mère en Nouvelle-Zélande. C’était son rêve, elle en parlait avec des étoiles dans les yeux et de grands gestes avec ses mains. Alors, papa lui a fait la surprise. Mais sans le savoir, papa lui a donné le flingue avec lequel elle a tiré quand elle a fait ses valises. Il va mieux maintenant, j’ai confiance en lui, même s’il n’a pas encore trouvé le courage de refaire sa vie. Je ne vis plus sous le même toit que lui, et parfois, l’odeur de son café qui me chatouille les narines alors que je suis encore au lit me manque. Mais on est toujours aussi soudés. Nordenskiöld un jour, Nordenskiöld toujours.
J’ai beaucoup de rancoeur en moi. Au milieu des débris, la haine commence doucement à se soulever. Elle grandit à l’intérieur, à mesure que le temps passe. Elle prend de plus en plus de place. C’est devenu mon moteur, ce qui m’anime, ce qui booste les battements de mon palpitant. C’est comme ça que tout a commencé. M’infiltrer chez toi, initialement pour te donner une bonne leçon. Oui, toi qui t’es allègrement tapé ma meilleure amie. Vêtue des ténèbres, me fondant dans l’ombre. Armée d’une batte de base-ball, c’est d’abord à ta voiture que je me suis attaquée. Briser les vitres comme t’as brisé mon coeur. Eclater la carosserie comme t’as éclaté ma vie. L’adrénaline qui m’a emportée. Rentrer chez toi, par effraction. Subtiliser quelques objets auxquels, je le savais, tu tenais particulièrement. Signer mon crime avec fierté, d’une tête de rose que j’arrache à son vase et que je jette négligemment sur ton lit. Un avertissement dopé à la rage. La menace de la tempête qui lentement se forme. Quitter les lieux, un sourire en travers de mes lèvres couleur cerise. Balayer d’un revers de la main la petite goutte qui déborde des abysses de mes prunelles avec insolence.
A ton tour. Eh oui, t’es la prochaine sur la liste.
Dernière édition par Calliopée Nordenskiöld le Mar 26 Sep - 20:57, édité 1 fois
le pseudo, l'avatar choisi et la description dans ton profil... je suis en amour. tu as bien fait de poser tes valises sur island bay, je suis certaine que tu t'y sentiras bien ! officiellement bienvenue parmi nous & bonne chance pour la finalisation de ta fiche. du love sur toi.
Finn Drake
ONGLET 1
○ âge : 27 ans. (01.01)
○ statut : célibataire.
○ métier : acteur, doubleur de voix & chasseur d'esprit.
○ quartier : #01 south bay.
○ orientation sexuelle : hétéro.
○ informations en vrac :
il a une chienne au prénom de Nana. ∞ ce n'est pas le mec, le plus mature. ∞ il aime bien les t-shirts imprimés. ∞ un gros geek. ∞ c'est un passionné des jeux vidéo ainsi que des super-héros. ∞ la pizza, la bouffe italienne, il adore. ∞ ses amis sont comme une seconde famille pour lui. ∞ c'est un fan de l'horreur, tout ce qui touche aussi au paranormal, surnaturel. ∞ un casse-cou, il fonce toujours la tête baissée. ∞ un sportif, il touche à tout. ∞ il adore voyager et découvrir de nouveaux endroits. ∞ blagueur né, ça aide aussi durant les situations gênantes. ∞ il possède une tesla depuis 2019. ∞ il s'est déjà fait tirer les cartes. ∞ c'est un apprenti cosmologue/astronome, grâce à sa maman, il s'y connaît bien. ∞ il a fondé le premier club des geeks à Island Bay. ∞ il fait également des podcasts quand il chasse les fantômes. ∞ raconteur d'histoires d'horreur. ∞
bienvenue chez nous et merci de ton inscription :)
Nina Baranovski
ONGLET 1
○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle