PAULINE + You're gonna miss me when I'm gone.

   

Pauline Seiter

wer will, der kann

   
   

les informations en vrac

  UN. Les Seiter sont une famille tenant une boulangerie seulement depuis la génération du père de Pauline, il l'a ouvert avec son épouse et ont sués à deux dessus. DEUX. Pauline est la seconde d'une assez nombreuse famille, elle possède un frère ainé avec qui les chamailleries sont au rendez-vous et trois petites soeurs dont une paire de jumelles, qu'elle s'amuse à appeler les siamoises. TROIS. Petite, Pauline traînait souvent dans la boulangerie avec son père avant de partir pour l'école. Faut dire que la boutique ne fut pas loin de leur maison, juste en dessous pour tout dire.  QUATRE. Pauline a un oncle maternel, des cousins de ce dernier et ce fut tout ; son père est fils unique. L'oncle à Pauline tenait un garage depuis deux générations dans la petite ville et Pauline y allait en rentrant d'école pour s'amuser avec ses cousins et revenait couverte de cambouis. CINQ. Elle a toujours été le genre de fillette dont l'honnêteté directe et franche surprenait toujours les adultes. Pauline est une femme qui n'a pas vraiment froid aux yeux. SIX. peut-être que cela était à cause du fait qu'elle ne traînait qu'avec son frère et ses cousins, mais Pauline n'a jamais été vraiment attiré par la gente masculine. Pire encore, elle avait peur d'un homme tout nu, du moins, elle n'apprécie pas la forme de leur trompe génitale.  SEPT. Pauline a été dans les moyens de l'école et ce n'est pas non-plus la plus grande sportive de tout les temps. Elle grimpe à l'escalade et cela s'arrête là avec les combats entre frères et soeurs. HUIT. Elle est une femme que l'on peut décrire comme franche et directe, mais aussi quelqu'un avec un certain romantisme qu'elle se cache tout de même. C'est aussi une femme qui n'a jamais eu la langue dans sa poche et qui connait bien les jurons. Elle a également cette habitude de lancer des piques aux gens, sarcastique, finissant son exploit par un mince sourire en coin et un petit son bitch pour se rendre fière. NEUF. Elle fut admise à l'université de Berlin en management et économie. Lorsqu'elle obtient son diplôme, elle fuit pour le soleil de l’Océanie, en Nouvelle-Zélande, Island Bay en 2014. DIX. Pauline parle l'allemand, puisque c'est là qu'elle a toujours vécu. Elle parle l'anglais avec un petit accent qui la rend que plu craquante. Pauline a également apprit le français à l'école et le russe à la maison avec sa mère et son oncle. ONZE. Arrivée en Nouvelle-Zélande, la belle allemande s'est mise à boire et à sortir en soirée. Elle finit rapidement bourrée et sort des tas d’âneries qui sont pour la plupart des vérités enfouies. Elle boit également avant un rendez-vous stressant ou crucial. DOUZE. Pauline a une immense peur des requins, elle ne peut pas les voir en peinture. Sa crainte en allant pour la première fois à la plage en Océanie, fut de croiser un requin. Elle en a toujours la phobie d'ailleurs et évite l'eau de la plage le plus possible. TREIZE. Pauline vit en collocation, non-seulement avec son chat blanc de type persan qu'elle a sagement nommé Snowflakes, mais aussi avec un humain. QUATORZE. cela ne fait pas si longtemps qu'elle travaille pour Parker Lane de BMW. Elle aime son travail bien malgré la relation tendue avec sa patronne. QUINZE. Et en amour ? Pauline est malchanceuse, certainement... Avant de venir à Island Bay, la belle sortait avec une femme à Berlin. Cette dernière a trompée Pauline avec un homme dans leur propre lit et elle n'ose imaginer ailleurs dans leur appartement. Depuis, elle n'espère pas retomber sur une telle personne et fait très attention à ne pas s'attacher trop vite.  SEIZE. C'est une femme très libérée. Elle se balade nue dans l'appartement et va même à se taper un concert, debout et nue sur le sofa, une brosse à cheveux en main.


   

les indiscrétions sur le joueur

   
   

Code:

<pris>brittany snow ›</pris> pauline seiter

       

   

l'histoire de ma vie

Two bottle whiskey for the way

   C'est en un été de 1989, dans une ville de l'Allemagne, que vit au monde une fille de plus. Les parents, les Seiter, deux boulangers détenant leur boulangerie fleurissante et familiale, obtenaient des Cieux une fille. Après la naissance d'un garçon aussi turbulent qu'une voiture de course, ils eurent une radieuse fille qu'ils espéraient plus féminine et gracieuse.
Que fut la surprise quand, en grandissant, la belle Pauline Seiter, devenait plus une femme sans grâce, sans gênes, qui éructe devant un ministre si elle en croiserait un. Pauline est bien loin de la jolie princesse qu'on pensait qu'elle deviendrait. Peu sportive, elle a néanmoins ce goût pour la hauteur et les sensations fortes. Alors, elle grandit, comme une fleur au milieu des choux, reprenant quelques habitudes des choux tout en gardant la beauté et les sentiments d'une rose épanouie sous une rosée printanière.




   Les « Je t’aime » étaient aussi courants que les « Salut ». On les entendaient, flotter dans l'air, entre deux jeunes femmes qui s'aimaient encore plus horriblement que des adolescentes. Un amour fait de roses et de paillettes, on y croirait pas si on ne le voyait pas de nos propres yeux. Cet amour, il existait, dans un passé lointain et merveilleux pour les deux femmes. Pauline Seiter, étudiante en management à l'université de Berlin, rencontra pour la première fois cette belle femme du prénom de Louison, une française et également étudiante mais en langues étrangères. Chacune avait un rêve, l'une voulait devenir la manager d'un grand palace et l'autre rêvait de devenir interprète au Parlement Européen. Deux femmes qui rêvaient et qui voyaient l'amour encore plus rose que des gamines. Des parties de jambes en l'air à en couper le souffle. des saints-valentins parfaits. Tout cela dura deux ans avant que l'amour ne se brise en mille morceaux. Puzzle. Verre brisé, gisant au sol avec des gouttes de perles rouges. Les vêtements d'un inconnu sur le sol de leur appartement. Des cris de jouissance. Pauline se tenait alors ferment à la sangle de son sac. La porte entre-ouverte, une Louison à califourchon et une Pauline qui s'abîme.

Totalement incontrôlable, elle ne savait pas comment avaler cette pilule pour le moins douloureuse. La femme qui avait le sang horriblement bouillant voulait pousser la porte, claquer dans leur intimité soudaine, et se manifester dans des jurons allemands. Malheureusement, sa conscience était si dévastée qu'elle ne bougeait pas. Le regard sur eux pendant des minutes durant suffira pour les faire retourner vers elle. L'angoisse se lu dans les eux de la française et la colère dans le regard de l'allemande. Le sucré de ses lèvres lui manque cruellement dans cette tromperie qui la rendait différente, plus bestiale mais canalisée.



Une dispute avait donc éclaté entre les deux femmes. Sous le nez d'un homme, nu, au plus grand désarroi de Pauline. S'il avait eu la décence de mettre une serviette au moins ! Pour l'allemande, ce fut la grâce en trop. Elle prit ses valises, un diplôme fraichement obtenu et s'en alla dans le premier avion en direction de la Nouvelle-Zélande. Comme un destin, elle tomba sur la dernière place pour un vol au hasard ; Island Bay.