it's not the way it's meant to be. // galaad #1.

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il est tard. sans doute trop tard. ou peut-être trop tôt. tu sais pas, t'as perdu la notion du temps depuis plusieurs heures déjà. ou seulement quelques minutes. un profond soupir t'échappe alors que tu vagabondes dans les rues tu de la ville. tu n'as pas envie, tu ne veux pas rentrer. tu ne veux pas retrouver cet appartement dans lequel se trouve tellement de souvenirs, cet appartement qui te fait plus te sentir étranger qu'à ta place. ton cœur bat encore par une raison que tu ignores, alors qu'il se brise un peu plus à chaque fois que tu traverses le pas de la porte, que ton regard tombe sur la silhouette de gal. tu ne peux pas. tu n'arrives plus à juste vivre la, avec lui, tu ne supportes plus de le voir partir et de le savoir dans le lit d'un autre. tu fermes les yeux, t'adosses contre un mur avant de glisser tes doigts sur ton visage. l'alcool est peu à peu évacué de ton sang et tu retrouves un semblant d'esprit alors que tu te décides à rentrer, avoir froid et mal une nouvelle fois. t'es claqué, le levé du soleil s'annonce déjà et, bordel, tu vas encore dormir toutes la journée. de toute manière, il n'y a pas grand chose de mieux à faire pour le moment. tu essayes d'être un minimum discret quand tu rentres, retirant tes chaussures et ta veste, avant de te diriger vers la cuisine. un soupir t'échappe, le sommeil te fuit toujours, alors que la nuit est presque terminée. tu t'appuies contre le plan de travail et prends quelques secondes pour rassembler tes esprits. tu te poses finalement sur une des chaises pour extirper ton téléphone de ta poche, traînant un peu idiotement sur les réseaux sociaux. et tu ne vois pas le temps passer, défiler à une vitesse folle, alors que des bruits te tirent de tes pensées. tu relèves la tête, décrochant un bâillement par la même occasion. ton regard ton sur gal. tu fronces les sourcils. il est encore tôt. qu'est ce que tu fous là ? tu souffles en retenant un soupir, te redressant un peu maladroitement, tes muscles tirés de fatigue. et tu imagines sans mal les cernes sous tes yeux, alors que ton regard ne peux s'empêcher de se poser sur le brun face à toi et ton cœur ne se prive pas de s'emballer et de battre fort, trop fort dans ta poitrine. et pourtant tu les refrènent, ces sentiments qui maintenant prennent trop de place dans ta tête, dans ton cœur, dans ton corps.

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La nuit fût très courte, bien trop courte à mon goût. Resté dans cet endroit me déprimait, pourtant je n’avais pas vraiment d’autre choix. J’aurais aimé prendre de la distance car je sais que je finirais par revenir vers toi. C’est inévitable à force de te croiser dans ton appartement. Ce n’était pas une bonne idée mais je n’avais finalement pas d’autres choix, surtout si je ne veux pas retourner chez mes parents. Les souvenirs ne cessent de s’entrechoquer entre eux, chaque pièce est remplie de ton rire, de souvenirs heureux. Maintenant tout cela est dévasté à cause d’un malheureux secrets. Même si j’avais ma part de tort, le secret a détruit tout simplement notre couple. Mais on ne peut pas revenir en arrière, le mal est fait. Alors oui, je suis devenu un vrai salopard. Je vais découvrir le plaisir de la chair ailleurs. Bien sûr rien n’est à la hauteur de ce que j’ai pu vivre avec toi, parce que probablement l’amour n’y est pas. Je sais que je me voile la face en pensant que je pourrais retomber amoureux de quelqu’un d’autre. Parce qu’une fois qu’on a rencontré le grand amour, il est difficile voire même impossible d’en retrouver un autre. Mais je suis un naïf qui peut croire que je peux t’oublier. Je regarde le réveil avant de décider de me lever pour prendre un café. Généralement on parvenait à s’éviter sans trop se croiser. Mais j’aperçois ta silhouette dans la cuisine. Je déglutis, depuis quelques jours, j’évitais soigneusement ta présence parce que je sens que je vais craquer et c’est bien la dernière chose que je veux. Pourtant je ressens toujours cette attraction qui nous a toujours caractérisé dans notre couple. Je sais qu’elle ne s’effacera jamais, mais je ne devais pas y céder, je ne voulais plus être malheureux. Je t’observe sans décrocher un mot. La cohabitation devenait de plus en plus compliquée. Je soupire avant de hausser les épaules. « J’ai rendez-vous avec mon conseiller ce matin, et j’ai un entretien également, que je dois préparer. » On ressentait la tension qui était plus que palpable. J’évite sciemment ton regard que je sens sur moi. La chair de poule me transperce et l’étau autour de mon coeur se resserre. Je file vers le frigo en essayant de ne pas être trop proche de toi, ce qui était compliqué vu que tu étais installé proche du frigo. Je me demande toujours comment on arrive à vivre sous le même toit.

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tu n'as plus aucune notion du temps et c'est, en temps normal, une situation que tu détestes plus que tout au monde. mais pas cette fois, pas ce soir, pas en ce moment. parce qu'en ce moment, le temps, tu le haïs du plus profond de ton être, tu le détestes parce qu'il passe si lentement et renforce la douleur de ton cœur chaque seconde qui s'écoule alors que tu te trouves beaucoup trop loin des bras de galaad. mais voilà. t'as merdé et tu dois en assumer les conséquences. t'as menti et tu en payes le prix. tu ne peux t'en prendre qu'à toi même. à personne d'autre. tu n'as aucune foutue idée de l'heure qu'il est quand ce dernier débarque dans la cuisine. t'es surpris, mais t'arrives juste à être froid et distant, ton regard se portant rapidement sur l'horloge accrochée à la cuisine. tu te recroquevilles légèrement sur ta chaise et te mords l'intérieur de la joue. j’ai rendez-vous avec mon conseiller ce matin, et j’ai un entretien également, que je dois préparer. tu arques un sourcil, vérifiant une nouvelle fois l'heure, secouant légèrement la tête. tu essayes de reprendre tes esprits et passe tes doigts sur ton visage. à six heures du matin ? tu lâches, comme ça, comme une petite bombe. j'suis p'être encore bourré et j'ai pas dormi de la nuit, mais j'suis pas totalement con non plus galaad. et toi, t'as plus l'habitude de prononcer son prénom en entier. non. c'est froid et distant. t'aimes pas ça, tu détestes ça, ce que vous devenez, par ta faute. tu te lèves et te plantes face à lui, plongeant délibérément ton regard dans le sien. tu sais quoi ? j'en ai rien à foutre, barre toi si t'as envie. tu lâches en te retourner, récupérant d'un geste de la main une bouteille d'alcool qui traîne sur le plan de travail. tu sais même pas ce qu'il y a dedans et t'en as rien à foutre alors que tu portes le goulot à tes lèvres, la brûlure de l'alcool dans ta gorge devenue familière après tant de litres. beaucoup trop. p'être que ça, ça le fera réagir. t'en sais rien, t'as plus envie de lutter.

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La situation tendue à l’extrême ne pouvait pas perdurer. On se détruisait tous les deux. Mutuellement. À croire que l’on aimait se faire du mal. Comment as-t-on pu tomber aussi bas ? Si j’avais su la vérité dès le début, aurais-je réagi autrement ? Probablement pas. Je pense même que je n’aurais jamais donné la moindre chance à notre histoire. Mais je me complaisais à dire que j’aurais accepté cela. Alors qu’en vérité, j’avais des convictions profondes, bien malgré moi, ancrées par mes parents. J’avais beau dire que j’avais envoyé valser tout ce qu’ils m’ont inculqués, il y a des choses qui demeurent gravé en nous pour jamais. Pour moi, tout était noir ou blanc, très rarement gris. Ce côté impulsif pouvait parfois me desservir, mais je ne pouvais rien y faire. Alors que je tentais de ne pas te croiser, voilà que je tombe sur toi dans la cuisine alors que je m’apprêtais à sustenter mon estomac en vue de cette journée bien chargée. Je finis par te répondre alors que mon coeur se met à battre à bâtons rompus, menaçant d’éclater ma cage thoracique. Tu me faisais toujours un effet de dingue, ça devient de plus en plus dur d’aller à l’encontre de mes sentiments. Je veux te haïr, du moins autant que je t’aime. Tu ne me crois pas. Je me contente de hausser les épaules. Franchement je n’ai pas la force de me battre contre toi. « Crois ce que tu veux. » J’ouvre le frigo pour te tourner le dos, et surtout pour attraper la bouteille de jus d’orange. Je referme le frigo et file me prendre un verre. Voilà que je suis contrarié à peine levé. « Je dois préparer mon entretien. J’ai bien l’intention de décrocher ce boulot. » Parce que le nouvel appartement que je veux ne se paiera pas tout seul. Je ne peux plus rester dans la même pièce que toi quand mon corps te réclame d’une telle force que ça me bouffe. Je me prends chacun de tes mots en pleine tronche. Je ne rétorque rien mais je m’offusque quand je te vois prendre la bouteille d’alcool. « Arrête de te saouler un peu. » Je soupire, m’approchant pour te prendre la bouteille d’alcool des mains. Je ne supportais pas de te voir te détruire ainsi.

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tu ne supportes pas, tu ne supportes plus cette situation, ce malaise, ce vide, ce froid qui t'envahit constamment quand galaad est près de toi. tu n'en peux plus de sentir ton cœur s'emballer et s'éclater contre ta cage thoracique. ça fait mal. un peu plus à chaque fois, un peu plus à chaque battement, à chaque respiration. tu fermes les yeux. crois ce que tu veux. tu arques un sourcil et rouvres les yeux, le regard dans le vague durant quelques secondes. tu retiens un soupir las et glisse tes doigts dans tes cheveux. dieu que tu rêves d'une bonne nuit de sommeil dans les bras du brun. mais non. plus maintenant. peut-être même plus jamais. dure réalité. je dois préparer mon entretien. j’ai bien l’intention de décrocher ce boulot. tu ne peux t'empêcher de rire nerveusement. bien évidement. qu'il veut un boulot. partir. loin de toi. mais t'as plus le droit de penser comme ça, putain. pas quand tu le sais dans le lit d'un parfait inconnu bien trop souvent. tu récupères une bouteille d'alcool posée sur la tablette de la cuisine. arrête de te saouler un peu. c'est toi qui me saoules putain. tu rétorques sans même réfléchir, quand galaad s'approche de toi, tu plaques une main sur son torse, le bras tendu pour l'empêcher d'avancer, alors que tu bois une longue gorgée avant d'éloigner un peu plus la bouteille de lui. tu sais très bien qu'il veut la récupérer et sans doute la vider. alors quoi ? ça t'fais mal de voir ça ? c'est con hein. tu ricanes et ton bras retombe le long de ton corps. le goulot en verre retombe contre tes lèvres. tu tangues un peu, tu retrouves peu à peu cette sensation de bien-être. tu relèves la tête vers galaad. j'ai jamais demandé à ce que ça se passe de cette manière. tu souffles en fronçant les sourcils, l'air un peu hagard sans doute. c'qui est bien, c'est que t'as l'alcool qui monte vite en général. mais qui redescend tout aussi vite. tu pousses un soupir et t'adosses un peu maladroitement contre la petite table de la cuisine.

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Je n’ose même plus penser au passé, quand je te surnommais chat, parce que t’es aussi gracile que ce félin. Que je te voyais sourire et que je sentais mon coeur fondre avant de me jeter sur tes lèvres. Aujourd’hui je tente de t’oublier dans le creux de bras d’autres hommes. Mais c’est voué à l’échec j’en suis bien conscient, je refuse tout bonnement de l’admettre. Quand j’y repense, cette histoire a pris des proportions démesurées. Peut-être que j’ai réagi un peu trop vivement, mais je me sentais trop bafoué dans ma fierté pour accepter ce métier. Résultat on continue de se détruire, et on n’est même ps fichu de faire le premier pas vers l’autre, sauf si c’est pour se bouffer la tronche. Là, je pense que l’on en connaît un rayon. Alors trouver un boulot devenait presque vital. Cette situation faisait de moi quelqu’un de tellement différend. Moi qui est toujours été quelqu’un de fidèle, j’étais devenu un vrai Dom Juan. Mais j’avais le cœur brisé. Pourtant chacun de mes gestes envers toi trahissent le fait que je suis toujours amoureux de toi. Je tente de stopper l’hémorragie, mais tu m’empêches en posant une main sur mon torse. Décharge électrique. Je me fige, te laissant ainsi tout le loisir d’éloigner la bouteille hors de ma portée. Je rage intérieurement avant de forcer le passage et de parvenir à te retirer cette bouteille. Si on doit se battre alors tant pis. Pourtant le moindre contact charnel avec toi devient vraiment compliqué. Parce qu’il me donnait envie de le toucher encore plus, et même de l’embrasser. Mais je ne pouvais pas me le permettre. Je déglutis alors en secouant la tête. « Moi non plus. » Mais pouvons-nous vraiment réparer ce que l’on a fait de cette histoire qui aurait pu être belle ? Après avoir vidé la bouteille dans l’évier, malgré la tentation d’en prendre aussi une gorgée. Je te regarde du coin de l’oeil avant de soupirer, j’aimerais tant que l’on avance, qu’on laisse ça derrière nous. Mais je n’arrive pas à pardonner, c’est encore bien trop douloureux pour moi.

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tu n'y arrives plus. t'as pas assez de ressources pour passer au-dessus de tout ça. pour être fort. pour paraître fort. même ça, tu n'as plus la force. de sourire, de rire, de faire comme si tout allait bien. alors tu ne sors plus, tu restes cloîtré, la, à la maison. tu fuis gal, sors quand il rentre, rentre quand il sort. c'est comme ça depuis trop longtemps maintenant. c'est bien trop douloureux maintenant. bien trop compliqué. ton cœur se fracasse petit à petit, menace de s'arrêter, d'en avoir marre lui aussi, de se briser une bonne fois pour toute en mille morceaux. tu fronces un peu les sourcils quand galaad attrape la bouteille entre tes mains. tu n'as pas manqué le moment ou il a été totalement décontenancé par ta main sur son torse. tu ne le rates pas, mais tu n'arrives pas à réagir comme tu aurais réagi il y a quelques semaines auparavant. moi non plus. tu fermes les yeux et tentes de ne pas perdre l'équilibre, alors que tu glisses tes doigts tremblant sur ton visage. non. ce n'est pas le moment de craquer. pas devant lui. alors pourquoi tu joues aux cons ? tu lâches sans doute un peu trop violemment, un peu trop méchamment. l'alcool dans ton sang qui parle. la haine, la colère, la tristesse qui parlent aussi. pourquoi tu vas te taper le premier gars que tu croises dansla rue ?! pourquoi tu m'laisses pas juste une seconde chance putain ! tu cris, presque, n'ayant pas grand chose à foutre des voisins et de l'heure. tu t'es redressé et tout ton corps est tendu par cet sentiment qui t'habites à l'intérieur. on en fais tous des erreurs, pourquoi tu m'empêches d'en faire moi aussi ? tu ajoutes, un ton plus bas. t'es beaucoup trop instable quand tu bois. et la t'as juste besoin d'une étreinte, n'importe laquelle, t'as besoin de lui, qu'il s'intéresse de nouveau à toi, qu'il pose son regard sur toi, même si c'est un regard emplit de reproches et de colère.

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Je me sens au bord du gouffre. Prêt à exploser. Pourtant je demeure dans cette situation, sans vraiment chercher à la changer. Comme si j’aimais me faire du mal. Mais je n’arrivais pas à me dire qu’il fallait que je change les choses. Je parlais pourtant de quitter cet appartement, de recommencer une autre vie. Mais il fallait bien se rendre à l’évidence, je n’avançais pas du tout avec ce projet. Comme si quelque chose me bloquait dans la réalisation. Mais je ne voulais pas me poser la question, certainement parce que j’avais peur des réponses que cela allait engendrer. Je voulais également que tu arrêtes de te détruire. Et l’inquiétude que tu le fasse quand je ne serais plus là me taraude de trop. Chaque contact avec toi m’électrise, c’est bien pour cela que je l’évite au maximum. Ils me rendent faible, et me renvoient à une époque où il n’y avait que le bonheur entre nous. Dès qu’un contact s’instaure entre nous, j’ai mon cœur qui se serre. Tu me lances une question incisive et je déglutis avec difficulté. Je me mordille la lèvre inférieure avant de secouer la tête. « Parce que je en peux pas faire autrement pour t’oublier. » J’ai besoin de t’oublier, de me faire du mal. Et dans un sens, je veux également te faire du mal, comme le mal que m’a fait cette annonce. C’est certainement une forme de vengeance. Je me fige en entendant que tu souhaites une seconde chance. Je rêverais de te la donner. Pourtant ma fierté et mon cœur blessé m’en empêche. « Parce que je ne peux pas te partager avec d’autres hommes. » Je lance , les larmes qui montent aux yeux. Je t’avoue ainsi que je suis toujours amoureux de toi, même si je ne l’admettrais jamais de vive voix. Je me recule, j’en ai marre de sans cesse me prendre la tête avec toi, ça m’épuise, littéralement. Je veux juste ne plus avoir le coeur qui palpite à l’idée de te croiser.

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qu'il parte, qu'il se barre, tu n'en as plus grand chose à foutre de toute manière. le mal est déjà fait. le mal déjà présent dans tes veines et dans ton cœur. tu retiens un petit soupir, essayes de ne pas simplement te laisser aller à la sensation de l'alcool te contrôlant en partie. tu te mords la lèvre, le repousses, mais ne l'empêches pas de vider la bouteille dans l'évier quand il arrive à la récupérer. sans doute parce qu'au fond, tu veux juste qu'il reste, qu'il continue de s'intéresser à toi, de te regarder avec les yeux qui brillent comme il le faisait fut un temps. parce que je en peux pas faire autrement pour t’oublier. t'oublier. tu en frisonnes presque. l'oubli, c'est la pire chose qui puisse arriver. que lui t'oublies, c'est encore pire que tout. tu le fixes, tu sens ton cœur tanguer dangereusement, battement irréguliers qui menacent de s'arrêter du jour au lendemain. parce que je ne peux pas te partager avec d’autres hommes. tu fronces les sourcils, cette fois, la colère l'emportant sur ce sentiment immonde de tristesse qui t'habites ces derniers jours. parce que tu crois que ça m'plaît de te savoir dans le lit d'autre mecs ?! tu grondes presque, les poings serrés, essayant de contrôler cet accès de colère. putain, mais, j'y crois pas. c'est TOI qui couche avec d'autres et c'est MOI que tu partages ?! mais t'es plus net mon pauvre. tu lâches, te fichant bien de savoir si ça peut faire mal ou non. j'ai jamais putain de toucher ou coucher avec un autre gars que toi depuis que j'ai vingt ans. et j'aurais pu l'faire à des milliards de reprises. mais j'l'ai pas fais. parce que j'sais que tu m'attendais toujours ici. et toi. toi t'es en train de tout balancer en l'air parce que t'es putain de trop fier, et putain de trop con. tu ajoutes, toujours autant en colère. tu te rapproches encore un peu plus. qu'est ce que tu veux exactement ? que j'me foute à poil ? que j'te suce gentiment la bite ? ça marche pas comme ça. tu ajoutes en retenant un soupir. tu sais quoi ? j'en ai rien à foutre, vas te taper qui tu veux, ça changera plus rien de toute manière, t'es bien trop borné. tu murmures, t'abandonnes, tu sais plus quoi faire face à lui. alors qu'il parte, qu'il s'en aille. t'as pas ton mot à dire. t'es plus personne de toute manière.

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Je ne sais plus ce que je veux. Je te veux toi, tout autant que je te déteste. Tout est noir ou blanc. Ne pas voir en gris. Ma colère m’aveugle, et pourtant si je suis en colère c’est justement parce que je t’aime. Je me sens bafoué, et j’exagère probablement ce sentiment. Mais je ne peux pas faire autrement, je ne contrôle rien quand je suis à ta proximité. À chaque fois que l’on se voit, nos échanges tournent presque systématiquement à la confrontation, à la dispute. Ca me fatiguait de me disputer sans cesse avec toi. Je te lance cette fausse vérité. T’oublier, c’est impossible, mais je te fais croire le contraire. J’ai juste besoin de m’éloigner pour ne pas étouffer, pour ne pas faire quelque chose que je regretterais. J’ai honte de te blesser, aussi facilement, c’est vil de ma part. Est-on arrivé tous les deux au point de non retour ? Ne peut-on jamais se retrouver ? Parce qu’au fond de moi je sais que j’aurais toujours besoin de toi dans ma vie. L’altercation se met à tourner autour de nos dérives mutuelles, comme si nous n’étions capable de ne nous faire que du mal. Je me fige et me prends tes remarques en pleine figure. Je mérite ta colère, elle est plus que légitime, puisqu’entre nous deux je suis devenu le plus salaud. J’en ai bien conscience et j’en ai honte. Même si je te laisse croire des choses fausses. Je te laisse te balancer ce que tu as sur le cœur sans rechigner. J’en ai marre de me battre avec toi, de faire celui que ça n’atteint pas, alors que c’est tout le contraire. « Je ne suis pas fier de tout foutre en l’air, même si tu crois le contraire » Première confession sincère. Je passe une main tremblante dans mes cheveux. Tu arrives à seulement quelques centimètres de moi. Je peux sentir ton souffle s’écraser sur mon visage, me rendant encore plus fébrile et prompt à craquer et à laisser éclater mes sentiments. « Peut-être que ça me ferait jouir, ouais. » Merde. J’ai sorti ça comme ça, sans réfléchir. Tu me rends fou, tu le sais ça ? Mais la vérité est que sois je n’ai jamais pu ressentir la moindre once de plaisir dans les bras d’autres mecs, soit parce que je me contentais de dormir dans leur canapé, ou que je ne laissais personne me toucher. Baise brutale sans plaisir. Je ne laissais personne m’atteindre. Parce que tu es l’homme de ma vie et que je fous tout en l’air avec ma fierté. Ou ma jalousie, ma possessivité. Je te vois t’éloigner et attrape ton poignet avec une douceur surprenante. Je plonge mon regard dans le tien alors qu’un courant électrique me parcourt de haut en bas, c'est toujours comme ça quand on se touchait, avant. C’est comme si le temps s’arrêtait. Il y a bien plus de choses qui se passent dans ce regard que dans nos mots. Nos sentiments inavoués, notre amour toujours aussi fort.

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tu n'en peux plus de te battre. tu n'en as même plus l'envie. qu'il parte. qu'il s'en aille une bonne fois pour toute. au moins tout se terminera. tu souffriras un bon coup, tu pourras faire le deuil de cette relation une bonne fois pour toute. tu n'as plus envie de te battre pour vous deux. d'essayer d'être la, de tout faire pour que ça aille mieux. mais il ne fait rien, aucun effort, il se contenter d'aller foutre sa queue un peu n'importe ou. et toi, tu souffres. je ne suis pas fier de tout foutre en l’air, même si tu crois le contraire. tu ris nerveusement. ce genre de rire un peu sordide, qui vient d'un peu trop loin du fond de ton cœur, tu secoues la tête, tu soupires longuement. mais c'est trop tard pour dire ça. c'est trop tard maintenant. t'as définitivement tout foutu en l'air. tu lâches, las. et pourtant t'essayes encore de le faire réagir, de te rapprocher, t'essayes de lui faire comprendre tout ce que tu ressens. mais non. rien. enfin, t'en as pas l'impression. et toi t'es pas juste sa pute, merde. peut-être que ça me ferait jouir, ouais. tu arques un sourcil. alors t'as cas demander au prochain mec que tu baiseras de te sucer la bite. tu lâches. mauvais. froid. en colère. t'es toujours autant blessé. blessé de sa réaction. de sa putain de fierté mal placée. tu t'éloignes. enfin, tu tentes de t'éloigner. ses doigts s'enroulent autour de ton poignet et te retiennent. et même si tu voulais vraiment t'éloigner, tu n'en serais plus capable maintenant. tu te retournes doucement vers galaad. putain. tu peux pas. t'y arrives pas. vos regards se croisent, tu secoues doucement la tête. pourquoi gal' ... ? tu murmures faiblement, la voix brisée. parce que t'es plus en colère. parce que t'es juste triste. triste de voir ce que vous devenez. alors que c'était si bien partit. juste vous. vous deux contre le reste du monde. et, merde, ça devait pas terminer de cette manière. ça avait pas le droit de se terminer comme ça. t'as envie de hurler, de frapper n'importe quoi. t'as juste envie de laisser exploser cette tristesse. tu fermes les yeux, et dans un geste presque désespéré, tu viens l'embrasser. comme avant. tes doigts glissant par réflexe dans ses cheveux.

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Je suis à bout, tendu et prêt à faire n’importe quoi. Je disjoncte. Tout est tellement difficile quand je suis dans tes parages. Je ne contrôle ni mon coeur ni mon corps, pourtant je parviens à rester loin de toi, au prix d’efforts surhumains. Cela m coûte énormément. J’aimerais tellement revenir en arrière et demeurer dans l’ignorance. Revoir ton sourire, pouvoir te prendre dans mes bras. Pourquoi tout est si compliqué ? À croire que la spirale infernale dans laquelle on est ne peut s’arrêter quand on aura blessé une fois de trop l’autre. JE ne veux pas me confier, je mets une distance entre nous pour que l’on arrête de se blesser volontairement ou involontairement. Pourtant malgré ça, rien ne semble arrêter notre destruction. Tes mots le prouvent en venant se planter comme un poignard dans mon cœur. Je tente de ne pas montrer combien je me sens détruit par tes mots. Pourtant c’est la stricte vérité, mais je ne voulais pas laisser l’inéluctable s’installer entre nous. De mon côté j’avoue, à demi-mot, que le plaisir m’a quitté depuis notre séparation. « Je ne le demanderais pas. » Je plante mon regard dans le tien. Parce que je veux que tu comprennes que je suis totalement sincère. Je ne te laisse pas t’éloigner en enroulant mes doigts autour de ton poignet toujours aussi frêle. C’est dingue comme je n’ai rien oublié de toi. Je laisse traîner mes doigts plus longtemps que nécessaire sur ton poignet, savourant la douceur de ta peau. Je ne parviens pas à te répondre car je me noie dans tes yeux, je résiste à l’attraction qui émane de ton corps. Je soupire avant de fermer pendant quelques secondes. « Parce que tu me rends fou. Littéralement. » Je suis fou de toi, de ton corps, de nous. Malgré le fait que c’est moi qui est initié la séparation j’en souffre aussi. Je suis légèrement surpris quand tes lèvres s’écrasent sur la mienne. Mais je ne tarde pas à réagir en répondant avec passion à ton baiser. Je glisse mes doigts le long de tes bras avant d’entourer ta taille. Je t’amène contre moi avec force. Je te colle contre le mur, te coinçant entre le mur et mon corps. Je ne lâche pas tes lèvres, je me montre possessif. JE m’abandonne à toi.

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parfois, tu te demandes si tu ne ferais pas mieux d'abandonner, fermer les yeux, faire une croix sur cette relation qui, pourtant, a sans doute été une des plus belles de ta courte vie. ouai, p'être bien. mais plus maintenant. tout est parti en vrille, tout s'effondre, plus rien ne va. sans doute, que t'était trop enthousiaste face à tout ce qu'il pouvait se passer. et tu en payes le prix aujourd'hui. après tout, tes parents te le disaient souvent, de ne jamais faire de plans sur la comète, de ne jamais prendre trop d'avance. personne ne sait ce qu'il peut se passer. maintenant, toi, tu l'sais. t'en as pris plein la face, t'as tout prit en pleine gueule et ça fait mal, putain. je ne le demanderais pas. pourquoi ? t'as envie d'crier, de hurler, de le frapper aussi. t'as envie d'évacuer tout ce qui fait mal, à l'intérieur. t'as envie de craquer. et pourtant, tu ne fais rien de tout ça. pas quand les doigts de galaad s'enroulent autour de ton poignet avec une douceur qui te chamboule. pas quand t'as toutes ces émotions qui se bousculent dans ton esprit. tu reprends maladroitement ton souffle, ne t'étant pas rendu compte que tu le retenais jusqu'à présent. et tu lui demandes simplement. pourquoi. pourquoi tout ça ? pourquoi tout part en vrille ? pourquoi tellement de choses. parce que tu me rends fou. littéralement. tu secoues la tête, tu baisses les yeux. arrête de mentir. arrête de jouer avec moi. tu n'arrives pas à le croire. mais t'es incapable de tout ça, incapable de parler. alors tu te contentes de venir l'embrasser. comme jamais. parce que putain, t'en as besoin. de son étreinte, de ses lèvres contre les tiennes, de vos deux corps pressés l'un contre l'autre. t'en as besoin pour pas craquer de suite. tu ne penses plus à rien quand gal' répond à ton baiser, quand il t'attire contre lui. tu t'en fiches quand tu t'emmêles les pieds et que tu te raccroches à lui, alors que ton dos heurte le mur sans trop de douceur. tu t'en fiches parce que tu t'accroches juste à galaad, tes bras enroulés autour de sa nuque, ton corps se pressant de lui-même contre le sien, tes doigts jouant avec ses cheveux. tu manques d'air et pourtant t'es incapable de te séparer de ses lèvres. c'est lui, ton oxygène. lui et rien d'autre. tu viens enrouler tes jambes autour de ses hanches, te servant du mur comme appuis. et aussi de son emprise qu'il a sur toi. et ça te réconforte, dans un certain sens. tu te sens bien. enfin. depuis des jours et des jours. une partie de toi se calme, quelque chose redevient paisible à l'intérieur. ton cœur tambourine dans ta poitrine et tu tires un peu ses cheveux, le forçant à pencher la tête en arrière. tes lèvres s'égarent dans son cou, ta main glisse dans son dos, sous son haut, savourant de toucher sa peau après tant de temps. toi aussi, tu m'rends fou. tu murmures contre sa peau, comme une confidence que tu lui accordes. mais c'est plus. beaucoup plus qu'une simple confidence.

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On devrait arrêter de se faire du mal, de souffrir pour des choses qui ne sont plus de notre ressort. On ne contrôle plus rien. Pourtant j’ai beau dire que je souhaite quitter cet appartement, il n’y a aucun de mes actes qui met en œuvre mon envie de quitter cet endroit. Je ne pouvais pas me résoudre à ne plus te voir. Au fond de moi je voulais tout réparer entre nous, mais je refusais tout bonnement de l’accepter. D’accepter mes propres erreurs et mon jugement trop rigide. Peut-être que je peux encore résoudre certaines choses, peut-être que rien n’est définitivement terminé. Mais, je commençais seulement à ouvrir les yeux. Si je voulais arranger les choses, il ne tenait qu’à moi de les arranger et de nous donner une nouvelle chance. Mais je ne savais pas encore comment faire. Tout est si flou dans ma tête que je me laisse porter par l’instinct. J’entoure ton poignet pour ne pas que tu t’échappes. Si mes mots étaient violent, mon contact envers toi est plus que doux. Mon pouce caresse l’intérieur de ton poignet. Je ne lâche pas ton poignet, et mon regard se perd dans le tien. Le temps se suspend, je ne sais pas combien de secondes se passent où le silence est maître de cet instant. Les non-dits explosent entre nous, mais je ressens la puissance de ce lien qui nous unit, de ces sentiments. Je finis par t’avouer que tu me rends fou. J’ancre mon regard dans le tien afin de te montrer ma sincérité. Tu sais bien que je suis incapable de mentir sans que cela ne se remarque. Tes lèvres emprisonnent les miennes. Je gémis en répondant à ton baiser sans l’ombre d’une hésitation. J’ai enfin l’impression de me remettre à respirer correctement. J’ai enfin l’impression que le monde redevient normal et qu’il n’est plus un champ miné. Mes bras t’entourent avec possessivité, j’ai besoin de sentir ton corps contre le mien. Je nous cogne contre le mur, alors que mon corps se presse contre le tien. Je m’impose à toi. Mes mains glissent sur tes courbes, goutant de nouveau à ces formes tant aimées. Je manque de souffle et je m’éloigne seulement pour reprendre mon souffle avant de prendre à nouveau tes lèvres en otage. J’étais là où j’aurais dû toujours être. Je glisse mes mains en-dessous de tes cuisses pour te soutenir. Ma main droite remonte le long de tes hanches, pour caresser cette peau si tentante. Je ne réfléchis plus à rien et profite simplement de ce moment. Je gémis alors que tes lèvres se posent dans mon cou, endroit sensible. Tes mots plongent en plein cœur. Je ferme les yeux avant de resserrer mon emprise sur toi. Je te lâche tout en te plaquant contre le mur pour te soutenir. Je tire sur mon haut pour le retirer. J'ai bien trop chaud. Mes lèvres s’égarent dans ton cou, déposant des baisers brûlant. J’y laisse des traces, marquant mon territoire. Tu es à moi. La jalousie me consume, me brûle de l’intérieur. Mes bras glissent autour de tes hanches, je ne veux pas que tu t’éloignes alors que je nous dirige dans la chambre. « Je te veux. » Je grogne alors que je te dépose sans délicatesse sur le lit. Je suis rongé par cette envie qui me dévore les tripes.

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tu n'en peux plus. t'es à deux doigts de craquer. t'as besoin que galaad face quelque chose. n'importe quoi. qu'il essaye lui, qu'il se battre pour vous. tu ne peux plus juste essayer de tout remettre dans l'ordre s'il continue à faire n'importe quoi. tu n'en as plus la force, tes épaules vont céder d'un moment à l'autre. et tu sais pas si t'auras la force de te relever, une fois par terre. non. tu vas juste rester au sol, attendre. attendre que ça passe, que ton cœur se pense. attendre de retrouver un semblant de sourire, un mode de vie sans gal. c'est tout. et ça, t'en as pas envie, putain. ça te rend malade rien que d'y penser. et pourtant. alors que tu n'espérais plus rien, alors que tu laissais peu à peu la noirceur t'envahir, le contact du brun t'électrises. les doigts de gal' qui s'enroulent autour de ton poignet te font revivre et tes lèvres rencontrent les siennes avec une violence que tu te connais peu. tu t'accroches à lui comme à une bouée. tu arrives à peine à maintenir la tête hors de l'eau ces derniers temps. ton dos rencontre le mur et tu t'en fiches bien. tu enroules tes jambes autour des hanches de galaad, ne cessant de l'embrasser, de goûter ses lèvres, sa peau, alors que tu frissonnes de sentir ses doigts glisser contre ton corps. tu continues de l'embrasser, ta bouche glisse contre son cou et tu souris alors que tu récoltes un gémissement. ça a toujours été un point sensible chez lui. et tu en es fier. tu as le souffle coupé quelques secondes alors que son poids repose contre toi pour te maintenant contre le mur. tu l'aides à retirer son haut et tes mains partent à l'assaut de son torse, glissant contre toutes les zones que tu sais plus sensibles que d'autres. tu glisses tes doigts dans ses cheveux, relâchant ta tête en arrière alors que ses lèvres investissent ton cou et y laissent leurs traces. tu raffermis ton emprise autour de ses épaules alors qu'il se dirige vers la chambre. votre chambre, putain. cette chambre n'aurait jamais dû être autre chose que la votre. tu tombes sur le lit, l'attirant avec toi dans ta chute, tes jambes encerclant toujours ses hanches alors que tu souris bêtement. je te veux. tu reviens l'embrasser une nouvelle fois. et tu m'as. tu souffles, te redressant du mieux que tu peux pour retirer à ton tour ton haut. toi aussi, t'as terriblement chaud. vraiment trop chaud. et puis, quelle idée tu as eu de mettre un pantalon aussi près du corps ? tes mains glissent sur les fesses du brun, les serrant fermement, l'attirant toujours plus contre toi alors que tu ne casses de l'embrasser. et puis, finalement, tu poses tes deux mains à plat contre son torse pour le faire tomber sur le lit, grimpant bien rapidement sur ses hanches, l'observant de ton regard brillant. ce regard qu'il connaît par cœur. ta bouche vient se poser contre sa peau brûlante. le haut de son torse. tu souris doucement et déposes une ligne de baisers le long de son buste, le taquinant. tu veux le rendre fou, suppliant de tes lèvres. tu continues d'embrasser chaque parcelle de sa peau alors que tes doigts s'attellent à défaire son pantalon un peu comme tu peux, tirant dessus avec force et impatiente.

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