AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


vous voulez vivre à center bay ? sans trop payer ?
cette colocation devrait vous ravir !

jouer de la musique est votre passion, venez rejoindre ce groupe de musique.
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

 

 Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie]

Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 20:00


Il est coriace, j’admets. Mais ça ne me décourage pas pour autant, bien au contraire. Je me prends au jeu de le découvrir d’avantage même si je me donne pour objectif de lui faire admettre incessamment sous peu qu’il ne cherche qu’une chose : me rouler dans ses draps. Est-ce que l’idée me plaît ? Hum. Faut voir. Le fait qu’il ne soit pas aussi facilement manipulable que les autres hommes, qu’il ait un côté mauvais garçon, cela m’excite un peu je dois bien l’avouer. Toutefois, je doute que nous arrivions réellement à cette issue tout les deux. Pourquoi ? Parce que nous avons tout deux un fichu caractère, je pense. Il est donc presque plus qu’improbable que l’un de nous deux s’incline face à l’autre. Du moins, pour ma part, il en est hors de question. Je ne vais pas – à l’instar de ces poupées siliconées qu’il a l’habitude de côtoyer – l’implorer de me faire hurler de plaisir. Loin de là. Je vais plutôt, si j’ai raison, le pousser à s’y plier lui-même. Après tout, j’ai tellement de pouvoir déjà sur lui, ce ne serait que l’étape ultime à atteindre. Si tu échoues ? Hé bien nous saurons tout deux que sur cette planète il existe un adversaire de taille dans ce jeu qui s’instaure naturellement entre nous. C’est étrange, d’ailleurs. Il est parvenu à me captiver à son tour – suffisamment – pour que j’accepte de lui confier ce que peu d’humain dans ce monde sait. Que je suis née au cœur d’une tribu africaine. Que j’exècre tout ce que l’espèce humaine envie. Ce ne sont pas des détails que je confie facilement. Pour quel motif ? Hé bien parce que je sais que la plupart des gens ne le croiront pas. Ils se diront que je balance ça juste pour me donner une image encore plus sauvage autant qu’inaccessible. Alors, bien évidemment, je pourrais parler malgache pour leur assurer que ce n’est pas un odieux pipeau puisque c’est ma langue maternelle mais, encore faudrait t’il que j’en éprouve le désire. Ce n’est jamais arrivé. Très juste. Mes anciens amants n’avaient besoin de savoir qu’une chose : que j’avais envie qu’il me baise, point. Le reste ne les concernait pas. Adriel est donc une exception. Oui. Pour quelles raisons par contre, je l’ignore. Nous allons dire que c’est en gage de confidences plus croustillantes sur ses réelles motivations. Plus il sait qu’il a réellement une sauvageonne, moins il sera dans la retenue. Un prêté pour un rendu en sommes. Voilà. Tout a fait. Je rie en réponse à son éclat de rire. Ainsi monsieur ne connaissait pas cette expression ? Je suis étonnée. Je la croyais plus courante.

_ Elle n’est pas de moi mais… Dis-je amusée. _ Merci.

J’incline ma tête en sorte de référence. Un geste qui ne manque pas de me faire rire alors qu’il m’assure que son service trois pièces est prêt à reprendre du service sans soucie. Intéressant.

_ J’imagine, oui.

Je réponds en lui rendant son sourire. D’ailleurs, même s’il ne me l’aurait pas dit, j’aurais deviné toute seule comme une grande qu’il lui fallait bien plus qu’un coup dans les parties pour le mettre à genou. Voilà pourquoi, pour rien au monde, je ne m’amuserais à tenter de le défier autrement que verbalement. Je connais mes limites. Elles se situent exclusivement dans mes capacités à manipuler mon petit monde par le biais de propos savamment posés dans chaque situation. Il est très rare que je trouve un adversaire à ma taille dans une joute verbale, soit dit en passant. Adriel est bien partie pour être l’unique à tenir le niveau mais, pour combien de temps ? Je me délecte d’avance de le découvrir. J’éclate de rire à sa confession. Lui ? Difficile avec les femmes ? Cela ressemble à une très bonne blague. D’ailleurs, il fait bien de mentionner que pour les histoires d’une nuit il n’est pas regardant à la partenaire parce que, le cas échéant, je ne l’aurais pas crue davantage. J’apprécie donc qu’il joue – encore – la carte de l’honnêteté sur ce sujet qui n’est pas un secret pour moi. Toujours le menton posé sur mes doigts entrelacés, je l’écoute attentivement me parler métaphoriquement de ma personne. Il est brillant. Il m’amène subtilement sur le terrain qui l’intéresse à savoir : si l’attirance sexuelle est réciproque. Je sourie brièvement, amusée d’être prise à mon propre piège. Cela ce confirme. Il est un excellent adversaire. Le serveur revient à cet instant précis avec notre commande. Charmante, je l’en remercie en admirant les pancakes sous le coulis chocolaté. Je vais me régaler. La bonne odeur qui s’en dégage éveille même mon appétit. Je suis autant prête à les savourer qu’à répondre à Adriel lorsqu’il reprend la parole. Je le découvre défaitiste, tiens. C’est étonnant. Je croyais qu’il possédait une plus grande confiance en soi. Serais-je l’inquisitrice d’un tel changement ? Hum. On dirait. Piquant mes couverts dans mon premier Pancake, je me décide à lui répondre totalement détachée.

_ Je ne pense pas me tromper en vous assurant que si vous déplaisiez autant à cette tigresse, il y aurait longtemps qu’elle vous aurez faussé compagnie. Je marque une pause. _ C’est très farouche comme animal, mine de rien.

Farouche possède deux significations. Il peut autant signifier la peur d’un animal, que la virulence d’une haine envers un être précis. Dans le cas présent, c’est la seconde option que je souligne. Si Adriel m’était autant déplaisant, si une pointe d’attirance n’existait pas, je ne serais déjà plus là. Je me serais faufilé en chemin dans le meilleur des cas, quand je serais partie en lui disant d’aller se faire foutre avec ces conneries dans le pire. C’est donc plutôt bon signe pour lui ? C’est une indication que oui. A lui maintenant d’user à bon escient de cette indice que je lui fournis sans détour. Je mange enfin ma première bouchée. Je suis curieuse de découvrir le goût de cette merveille. Lorsque c’est chose faite, je pousse volontairement un profond gémissement de plaisir en le mâchant, avant de lui déclarer avec provocation.

_ Hmmmm. Absolument divin.

@Adriel Williams
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 20:50

Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent.
Adriel & Lexie



Ah ! Enfin un bon point pour moi, selon celle qui se décrit à juste titre comment étant une réelle tigresse. C’est vrai, comme elle l’eut dit, elle était farouche, mais dans le bon sens du terme. Car oui, être aussi peu accessible mais à ce point désirable augmentait le niveau du jeu dans lequel nous semblions nous complaire tous deux. J’aimais décidément à un point non descriptible la manière dont tournaient les choses. Avais-je réellement une chance avec elle ? Je finissais sérieusement par le croire. Et lorsque j’entendis ce divin gémissement sortir de sa bouche, je devais bien admettre entre nous que cela m’avait pour le coup pas mal excité. Je n’en laissais pourtant rien voir, si ce n’est un regard de feu absolument ravi. Ah elle voulait s’amuser à cela ? Très bien, il était temps de se montrer aussi joueur. Et pour le coup, je l’étais tout-à-fait. Alors non, je n’étais pas un enfant de chœur. Non je ne tournais pas toujours sept fois ma langue dans ma bouche avant de parler, laissant davantage mon cœur dicter ma conduite. Et mes pulsions, également. Tout comme celles qui me disaient que plus les secondes passaient, plus j’avais terriblement envie de l’allonger sur un lit, totalement dévêtue. Alors, le regard joueur et les yeux flambants d’un désir à moitié masqué par la volonté de lui faire comprendre qu’il en faudrait encore plus pour m’allumer, je lui répondis :

« Divin, tout comme il existe bien des choses dans une bouche qui peuvent être délicieuses. »

Ah tu voulais me faire languir de désir ? Mais très bien ma chérie, jouons ensemble maintenant.

« Tout comme ce café je présume. Je n’ai pas l’habitude de le boire aussi noir, mais je sais que Spencer ne les rate jamais. »

Et voilà : hop, petite pirouette. Voilà comment des propos aussi crus peuvent immédiatement être détournés pour paraître moins vulgaires. Pourtant vulgaire je l’étais, mais à ma manière. Ou plutôt devrais-je dire : à notre manière. Je mis une bouchée de pancake dans ma bouche, et la mâchai tranquillement en regardant droit dans les yeux, le sourire en coin.

« C’est vrai que c’est bon, et je me suis souvent demandé s’il y avait des choses meilleures dans ce monde. Mais vous en conviendrez que les pancakes sont dans une catégorie à part. Aimez-vous cuisiner ? Prendre la pâte savamment allongée sur une poêle. Cette dernière est brûlante, tout comme la pâte que l’on prend et que l’on retourne avant de la sauter. Ou plutôt faire sauter, autant pour moi. C’est dingue ce que je peux faire comme lapsus. » Lui dis-je en levant les yeux au ciel, comme si cette erreur était involontaire.

Tu parles. Si j’en avais douté jusqu’à présent, Lexie m’émoustillait véritablement. Je la regardais sans ciller, avant de lui dire sur un ton faussement léger :

« Ah, vous avez un peu de chocolat sur le coin des lèvres. Je gage, en pensant je ne sais pourquoi à cela, qu’un homme incivilisé aurez dit une intéressée qui se trouverait être dans votre cas qu’il aurait adoré laissait sa langue faire disparaître ce délice. Mais nous sommes polis et je ne pense absolument pas à cela. En fait, je ne sais vraiment pas pourquoi je dis ça. » Lui dis-je, mon regard et mon sourire se plissant de malice.

La température semblait monter. Et je m’en amusais, tout comme elle visiblement. A chaque parole faussement déplacée que j’avançais, j’attendais la sienne en retour avec curiosité et onctuosité. Nous nous prenions tous tour à tour au jeu du chat et de la souris, inversant les rôles que nous jouions à merveille. Une chose était certaine à présent : si je me sentais calme quoiqu’intérieurement sexuellement bouillonnant, je ne voudrais pour rien au monde laisser un autre homme l’approcher. La jalousie ne me ressemblait absolument pas. En fait, je crois même que je n’avais encore jamais au monde été jaloux, même de ma première petite amie. A croire qu’elle ne m’intéressait pas outre mesure. Mais cette Lexie… elle était tout ce que je recherchais chez une femme : elle était belle, piquante, mordante, futée et à l’esprit aiguisé à souhait. Une chose était certaine : il était hors de question que je la laisse filer à présent entre mes doigts. J’étais prêt à tout pour la conquérir et, si j’y arrivais, la garder. Oui, je croyais bien avoir trouvé mon homologue féminine, et c’était véritablement exquis. Curieux à la fois, car même si nous nous ressemblions plus qu’elle ne voudra certainement jamais l’admettre, je ne savais jamais à quoi m’attendre au détour d’une nouvelle phrase ou d’une nouvelle conversation. Oui Lexie, tu me plais à en mourir…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 22:21


Il mord à l’hameçon. C’est parfait. Cela serait en presque trop facile, même. Or, à son regard, je vois que cela ne le sera pas autant qu’il ne me laisse l’entendre. Je vois le joueur en lui sortir doucement de sa léthargie, au cœur de ces prunelles, et je me délecte d’avance de découvrir ce qu’il me réserve. Car enfin, oui, il a compris que nous avions passés depuis longtemps le stade de la banale petite discussion pour faire connaissance. Désormais, nous en sommes à apprendre les limites de l’autre sur un plan plus… érotique ? Oui. C’est le mot qui convient. La température monte graduellement pour déclencher peu à peu une fièvre chez chacun de nous qui, si nous nous y prenons bien, viendra me donner tort quant à mes pronostics précédents. Peut-être que nous n’aurons pas à nous incliner face à l’autre, finalement ? Hum. Cette idée m’est diablement excitante. Pour rien au monde je ne désire quitter la partie sans obtenir la réponse à cette intéressante interrogation. Je sourie ravie de sa remarque sur les choses qui peuvent être délicieuses en bouche. J’ai bien une idée très nette de ce qu’il évoque, se trouvant sous sa ceinture, même s’il tente de noyer l’allusion en parlant du café. Ça me fait rire quelque peu. Il est encore un peu timide face à moi mais, je n’ai pas encore jouée toutes mes cartes pour éveiller totalement l’animal sauvage qui tapis dans son regard brûlant. Je décide donc d’en poser une nouvelle lorsque je lui demande, avec une innocence feinte.

_ D’autres exemples, Adriel ?

Je meurs d’envie qu’il le dise tout haut, qu’il me donne raison. Vous vous demandez pourquoi ? Parce que cela m’affirmerait qu’il a très envie de me voir gober ce que dame nature lui a – je le souhaite – généreusement offert, comme j’enfourne sensuellement ma fourchette pour mâcher un nouveau morceau de mon déjeuner sucré. C’est jouer un jeu dangereux. C’est jouer un jeu que j’affectionne tout particulièrement. Il est rare d’avoir un adversaire aussi doué que moi, je ne boude donc pas mon désir d’abréger peut-être trop vite nos discours pour passer à la pratique. Donc désormais c’est sûr. Tu le désires. D’avantage lorsqu’il glisse volontairement dans ses propos des lapsus criant de vérité. Je retiens d’ailleurs la chose la plus essentielle : qu’il désire me sauter. L’image qui s’impose à mon esprit est séduisante. Elle augmente la chaleur en moi. Je ne le quitte pas du regard pour qu’il savoure sa petite victoire. J’en oublie même de regarder mon assiette ainsi que la portion que je porte à mes lèvres. Je cherche le moyen subtil de l’aguicher lorsqu’il me l’apporte sur un plateau. Je sourie immédiatement, mi amusée mi provoquante. Il désire me délester du chocolat qui orne le coin de mes lèvres ? Hé bien soit. C’est à ses risques et périls ou... aux miens, peut-être. Je débarrasse mon assiette que je pose sur une autre avoisinante, sous son regard intrigué, pour ensuite me pencher sur celle-ci sans risque de me salir. Plus proche de lui, je lui susurre.

_ Qui vous dit que je suis une femme civilisée, Adriel ? La question peut-être posée. _ N’ai-je pas grandie au cœur de la savane africaine après tout ? Question rhétorique à laquelle je réponds immédiatement. _ Là-bas, la bienséance, on en a que faire. Tant que l’on ne fait de mal à personne, nous sommes libres de nos faits et gestes. J’en viens à la raison de mon changement de position, notre presque promiscuité totale. _ J’aimerais que vous ayez l’audace de mettre à exécution votre idée de nettoyer le chocolat que j’ai dans le creux de mes lèvres. Je pose mon regard sur la table pour m’emparer de la serviette en papier non loin de son assiette. Je lui tends, en tournant légèrement mon visage. _ Maintenant, libre à vous d’employer cette serviette ou… D’un ton chaud. _ De vous aventurez à découvrir si le goût de me peau se marie bien avec cette merveille.

C’est un défit. J’attends beaucoup de lui. J’attends qu’il ne me déçoive pas en jouant la carte de la prudence que je lui ai offerte. Il est un homme, après tout. Pourquoi renoncer aux opportunités aussi alléchantes quand elles sont aussi gentiment proposées ? C’est une question que je ne manquerais pas de lui poser s’il fait le mauvais choix.

@Adriel Williams
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 22:57

Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent.
Adriel & Lexie



Bon sang, elle jouait avec le feu. Ce même qui me consumait de la tête aux pieds et qui me donnait terriblement l’envie de lui faire tout un tas de choses que mon cerveau gardait secrètes. En effet, ni l’un ni l’autre n’étions civilisés. J’étais un horrible gars de la banlieue, elle était une sale gosse de la savane. Je n’étais qu’un homme, elle n’était qu’une femme. Je brûlais d’un feu ardent pour elle, elle attisait la flamme qui grandissait de seconde en seconde en moi. En nous ? Et à présent, elle me provoquait. Oui, elle me poussait à bout, dans mes retranchements les plus profonds, faisant battre mon cœur comme jamais encore il n’avait battu auparavant. J’étais excité, intimidé, presque. Toutes les évidences étaient devant moi, et pourtant je n’étais plus serein. D’où me venait ce manque soudain d’assurance, alors qu’elle, pourtant, me faisait comprendre qu’elle avait envie de moi ? Certainement de la peur que ce petit jeu auquel nous nous adonnions ne soit que le fruit d’une mascarade dûment montée par cette manipulatrice qui pourrait en fait essayer de se venger de moi, et de ce que je lui avais fait subir depuis notre rencontre. Les menaces, la filature… Elle pouvait en fait me comprendre comme nulle autre et jouer avec moi comme elle savait jouer avec n’importe quel autre homme. Mais tant pis, je préférais tomber dans le panneau et souffrir, oui, souffrir vraiment, plutôt que de passer à côté de la femme la plus merveilleuse qui m’eut été donné de connaître. Alors, le regard flambant perdu dans le sien, le sourire malin, je pris délicatement la serviette qu’elle tenait élégamment entre ses doigts, et penchai mon buste en avant. Approchant la serviette de ses lèvres, je m’arrêtai toutefois à quelques millimètres à peine de celles-ci, et lui dis :

« Bon sang, c’était une feinte, arrêtons de jouer au plus con. C’est moi qui ai perdu. »

Prenant doucement mais fermement son visage entre mon pouce et mon index, je l’embrassai torridement, y prenant un plaisir sans pareille. Je ne craignais plus de le dire : non, jamais je n’avais ressenti cela avant elle. Le cœur qui bat à tout rompre, l’estomac noué qui fait des vrilles et la tête qui me tourne agréablement. C’était… étrange. Inattendu. Inespéré. Et terriblement bon. Puis doucement, à l’aide de ma langue, je vins cueillir les quelques gouttes d’un chocolat encore chaud qui se logeait dans le creux de ses lèvres. Et alors, me reculant, je dégustais ce que j’avais chaudement recueilli, et lui dis d’une voix excitante et murmurée pour la rendre plus sexy encore :

« Hmm… absolument délicieux. »

Echangeant un grand sourire avec elle, je ne pus m’empêcher de rire doucement et de lui dire en posant ma joue sur mon poing :

« Jamais je n’aurai cru aimer autant le chocolat un jour. J’espère que c’est réciproque. »

Oh ça oui, je l’espérais de tout cœur. Car comment réagirai-je si elle me disait que je n’étais qu’un pauvre con, stupide, innocent et crédule qui, finalement, n’était bon à rien ? Après tout, je pouvais m’attendre à tout, comme à un « tu es débile, mauvais, et en plus tu embrasses mal ». Bon, pour ce dernier point, pour être honnête et sans vouloir me vanter, j’avais toujours entendu strictement l’inverse. Les (nombreuses) femmes qui m’avaient fréquenté avaient toujours lourdement défendu que j’embrassais très bien, et j’en étais heureux. Mais Lexie, elle, qu’en pensait-elle ? Car elle était la seule qui m’intéressait dans le lot, après plus d’une trentaine d’année de bons et loyaux services au sein de la gente féminine. Elle était la seule dont l’importance de l’avis me préoccupait. J’ignorais comment expliquer ce qui se passait alors à présent entre nous. Non, depuis le début, même. Je ne savais pas pourquoi elle m’obsédait à ce point, mais les faits étaient là. Il semblait y avoir quelque chose, un je ne sais quoi qui naissait en mon for intérieur pour elle. Il était encore trop tôt sûrement pour parler de sentiments, mais si le temps s’offrait à nous, peut-être qu’un jour… Stop, Adriel. Tu ne sais même pas ce qu’elle a pensé de ton baiser, alors ne mets pas le feu au lac et par la barbe de ton défunt père : calme-toi ! Maintenant attends son avis et reprends tes esprits. Attends de voir ce qu’elle pense de ton baiser, de toi, même. Patiente, et vois ce que la vie vous réserve. Car si je n’avais jamais rien attendu du Maître Temps, aujourd’hui les choses étaient différentes. Je ne savais pas ce qui allait se passer entre Lexie et moi, mais… Je voulais y croire. Vraiment. Même si je ne savais pas en quoi croire vraiment, pour être honnête une nouvelle fois. Tout ce qu’il fallait que je fasse, c’était de faire confiance en une vie qui ne m’a jamais fait de cadeaux. L’alcool, la drogue à outrance, le trafic d’armes… il n’y avait que le sexe dans l’histoire qui était positif. Et encore. Le sexe à outrance n’avait pas la moindre signification. Depuis ma première relation sexuelle à quatorze ans, je n’ai jamais éprouvé de sentiments. Je couchais pour coucher, me donner du plaisir et en procurer pour flatter mon égo, voilà tout. Maintenant, je voulais que ça soit différent. Mais qui sait, peut-être que notre hypothétique histoire n’existera jamais…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 0:29


Je lui offre un choix. Un choix crucial. S’il opte pour la mauvaise carte, la sécurité, le feu qui nous consume se verra alors éteins aussitôt. Aura t’il une chance par la suite de redémarrer ? Aucune. Il aura définitivement perdu sa chance de me sauter, pour le citer, et je ne reviendrais plus jamais sur cette décision. Bien entendu, je lui accorderais le temps qu’il semble nécessaire de plaider sa cause d’homme. Toutefois, je ne lui offrirais plus aucune opportunité de me convaincre d’en faire un amant. Dans l’optique de conserver l’effet de surprise, je ne cherche pas à lire ces intentions dans le creux de ces prunelles que je ne lâche pas. Je me contente d’attendre – presque impatiente, de découvrir le verdict. Il semble partie sur la mauvaise voie. J’aurais presque envie de soupirer de déception. Ce qui m’en dissuade, c’est cet aveu qu’il me donne avant qu’il ne s’empare de mon visage du bout des doigts pour m’embrasser. Immédiatement, j’entrouvre les lèvres pour laisser le loisir à sa langue de découvrir la mienne. Je soupire contre sa bouche, d’envie, en découvrant le goût du chocolat se mêlant à sa salive. Le mélange est agréable, enivrant, excitant. Je serre mes paumes sur les extrémités de la table au plaisir violent que j’éprouve de l’embrasser. Je suis presque frustrée qu’il y mette un terme pour s’adonner à ce que je lui ai demandée plus tôt. Lorsqu’il a finit, je reprends doucement place, le sourire aux lèvres. Je suis fière qu’il m’ait cédée. Je suis fière qu’il se soit incliné. Hélas, le contrecoup de ce geste est ma propre perte. J’en veux plus. Beaucoup, beaucoup, plus. Je suis désormais moi-même autant en proie à un désir charnel inextricable qu’il me faut rapidement satisfaire. Bien-sûr, je pourrais m’excuser le temps d’aller me soulager pour le laisser sur sa faim mais, il se trouve que j’ai très envie de lui. Je décide donc d’abréger notre rendez-vous dans ce bar en lui murmurant, avant bras déposés sur la table.

_ Tu n’imagines pas à quel point. Je marque une pause. _ J’ai envie de toi, Adriel. Tout de suite. Alors, voici ce que je te propose. Je m’approche plus de lui. _ Je vais sortir de ce bar pour te laisser le temps de payer la note, ainsi qu’au besoin te fournir en capotes. N’hésite pas à en prendre plusieurs, j’ai un appétit féroce. Ensuite, tu m’emmèneras dans un lieu tranquille où nous pourrons baiser pendant des heures, et des heures, et des heures durant. Nous sommes d’accord ?

Nouvelle question rhétorique. Je m’éloigne déjà pour récupérer mon sac au sol que je cale sur mon épaule. Sans la lâcher du regard, je me lève pour m’emparer de l’index d’un peu de la sauce au chocolat de son assiette que je lèche sensuellement. Je veux m’assurer qu’il ait confiance en moi. Je ne compte pas lui faire faux bond. J’aurais pu – en d’autres circonstances – mais pas dans celles-ci. Je lui assure donc dans l’érotisme de mon geste que mon désir n’est pas feint. Je tourne ensuite les talons pour rejoindre la porte que je franchie en saluant le barman ainsi que ces clients ivrognes. Les mecs aux bars me sifflent. Visiblement, notre petit échange érotique n’a échappé à personne. J’en suis ravie. Je veux que lorsque Adriel revienne ici à l’avenir, sans moi, il ne puisse pas oublier la femme qui l’a dompté. La tigresse qui dompte l’apprentie dresseur. C’est tellement drôle. Follement. Je regagne la rue où – comme promis – j’attends patiemment l’arrivée d’Adriel qui doit s’activer pour être certain de ne pas me manquer. Je rie à cette idée. Cet homme, si j’étais foncièrement aussi mauvaise qu’il peut l’être face à ces clients malhonnêtes, je pourrais le briser en mille morceaux. Tu le briseras. Volontairement ou non. J’en ai bien peur, oui. Il me semble déceler plus qu’une simple envie de sexe dans le fond de son regard lorsqu’il m’admire, il est donc fort probable que je lui brise le cœur en disparaissant. Hum. Il s’en remettra. C’est un gros dur après tout, non ?

@Adriel Williams
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 1:09

Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent.
Adriel & Lexie



Waouw… Cette proposition c’était le plus beau cadeau de Noël que je n’avais jamais eu. Sauf que nous n’étions pas à Noël. Et qu’accessoirement je n’avais jamais eu de cadeau. Pas les moyens, juste une bonne soirée passée avec ma mère et mon père de son vivant autour d’un jeu de société avant que mes paupières d’enfant ne se ferment. Caressant une dernière fois sa joue avec douceur et délicatesse, je déposai un dernier – pour le moment du moins – baiser sur ses lèvres avant de lui répondre un très enflammé :

« Prends de l’avance, j’en ai pour deux secondes à peine. »

Elle se leva alors, pris son sac à main qu’elle glissa sur son épaule, et laissa son index prendre un peu de chocolat qu’elle suçota avec un plaisir et une sensualité telles que je me mordis la lèvre inférieure d’excitation. Je la regardais s’éloigner et sortir du bar, avant de pousser un long et profond soupir. Le visage posé sur ma main, j’eus soudainement la sensation que l’on m’administrait un électrochoc. Putain, mais qu’est-ce que je fais encore là, moi, à part admirer son joli derrière qui se déhanchait à chacun de ses pas ? Je me levais aussitôt et pris la direction du comptoir pour aller régler l’addition de nos encas même pas terminés.

« Alors, Adriel. Ca n’était pas bon, ou tu as mieux à faire ? » Me demanda Spencer dans un clin d’œil complice, soulevant les rires des ivrognes qui n’avaient rien loupé à la scène comme on regarde un bon film porno.

« Si tu savais. Allez, dis-moi combien je te dois. Et vite s’il-te-plait, j’ai… autre chose à faire, si tu vois ce que je veux dire. »

Sifflements. Les pauvres, je les comprenais. Ils affutaient leur imagination limitée par l’alcool, eux qui n’avaient pas touché une femme – qui plus est une si belle – depuis des années. Il me remit la note, et je sortis de l’intérieur de ma veste de costume mon portefeuille pour en sortir quelques dollars que je déposais sur le comptoir.

« Garde la monnaie. Salutations et bonne journée à tous ! » M’empressai-je de leur dire en sortant du bistrot.

C’est alors que je la vis. Cette superbe demoiselle me tournant le dos, et attendant patiemment que je ne vienne la rejoindre pour satisfaire notre appétit sexuel clairement ouvert. Trottinant jusqu’à sa rencontre, je déposai ma main entre sa fesse et sa hanche, et lui dis :

« Note réglée. En ce qui concerne le reste… »

Je pris mon portefeuille que je n’avais pas encore rangé et en sortis une liste de capotes neuves tout en commentant en riant sur un ton séducteur :

« As-tu déjà vu un marin naviguer sans bouée de sauvetage ? Allez, suis-moi. J’habite à sept cent mètres maximum d’ici. » Lui dis-je en déposant un baiser sur sa tempe.

Rangeant mon joyeux bordel dans la poche de mon pantalon pour plus d’accessibilité, je déposai ma main sur sa taille et l’entrainai avec moi de l’autre côté de la rue. Nous fîmes quelques pas puis traversâmes la rue avant de prendre l’immeuble qui lui faisait angle. Celui-ci ne payait pas de mine, mais cela ne faisait rien. Au moins, j’y étais bien à l’intérieur. Je sortis la clé de mon pantalon et passai le digicode devant le détecteur pour ouvrir la porte.

« Après vous, mademoiselle. » L’invitai-je.

Non, ça n’était pas le grand luxe mais cela avait le mérite de sentir le propre, grâce à un concierge vieux et maniaque que je n’importunais jamais. La raison ? J’étais en réalité aussi maniaque que lui. Nous pénétrâmes dans l’ascenseur, avant que d’autres personnes ne nous rejoignent. Merde… Me penchant alors à l’oreille de Lexie, je lui murmurai :

« Si je m’écoutai, je te ferai l’amour à même l’ascenseur. »

Le gamin d’une dizaine d’année maximum devant nous et tenant la main de sa mère tourna alors son regard suspect vers moi, et je lui fis un sourire avant qu’il ne regarde à nouveau droit devant lui. Me mordillant la lèvre inférieure, je me retenais de rire en comprenant aussitôt qu’il m’avait entendu. Evitant de croiser le regard de Lexie pour ne pas prendre de fou-rire, l’ascenseur sonna au cinquième étage.

« Excusez-nous. Merci. » Demandais-je pardon en passant poliment entre les personnes devant nous et en prenant Lexie par la main pour sortir de la cabine.

Traversant le couloir – mon Dieu que c’était long… et pourtant si rapide – je sortis en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire la clé de mon appartement numéro 501 et l’ouvris. J’allumais l’interrupteur pour dévoiler un intérieur aussi sobre qu’extrêmement élégant et surtout inondé de livres. Des étagères étaient joliment accrochées au mur, et un livre encore ouvert m’attendait sur le canapé du salon. A peine la porte s’étant fermée, je plaquai Lexie contre celle-ci et l’embrassai avec une ferveur et un appétit encore jamais vus. Prenant ses mains, je les collai vers le haut avant de laisser mes mains descendre le long de ses formes pour attraper sa veste que je jetai négligemment sur un sol parquet et brillant parfaitement propre. Puis je lui saisis son haut et le lui retirai, glissant entre deux halètements un :

« Si tu savais combien j’ai envie de toi… »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 4:26

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 16:29

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyLun 16 Oct - 17:46

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyLun 16 Oct - 20:16

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyLun 16 Oct - 21:21

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyLun 16 Oct - 22:22

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 EmptyLun 16 Oct - 23:27

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] (#)   Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie] - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent. [Lexie]
Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
island bay ::    :: trash :: rps-
Sauter vers: