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EXORDIUM.

Mon frère me pousse depuis deux jours d'aller voir quelqu'un pour que je suis... parler et surtout me libéré de tout le poids que j'ai sur les épaules depuis quelques temps. Il voit très bien que je ne vais pas bien du tout mais aussi que lui n'arrive pas a faire quelque chose pour moi. C'est fou ça, que mon frère n'arrive pas a me libéré de tout ça, c'est assez dur. Pour moi comme pour lui. J'ai l'impression qu'il pense qu'il n'arrive pas a jouer son rôle de grand frère. Mais non ce n'est pas du tout de sa faute. Il sait très bien que Carmélo c'est toute ma vie. Depuis que l'on a deux ans on se connaît, ont a toujours vécu ensemble, fait les cons ensemble, ont étaient même en cours ensemble. Alors ouais, ouais il voit bien que cette situation me pèse énormément. Le fait qu'il ait eu ce putain d'accident me bouffe. Surtout qu'ont étaient à la même soirée ce soir là, mais que moi je suis partie avant lui. J'avais appeler le cabinet pour prendre rendez-vous avec toi. Quand la secrétaire ma donner une horaire où tu pouvais me prendre, bien sûr ça ne m'arrangeait pas trop vue les rendez-vous que j'avais. Mais cette fois ma patronne ne va rien me dire car ouais, ouais je peux moi aussi avec des soucis dans ma vie. Ca n'arrive pas qu'à elle. Surtout qu'elle me mets une pression monstre depuis plusieurs jours. Mais non je n'y arrive pas.

Alors que je sors de mon bureau une heure et demi a l'avance, car des fois les transports en commun l'on peut mettre beaucoup plus. Je monte dans mon bus qui m’amène jusqu'à ton cabinet. Musique sur les oreilles, regard un peu vide. Mes cheveux de couleur orange/rouge attacher en haut de ma tête, une queue de cheval mal faite mais je m'en moque un peu en ce moment. Je regarde part la fenêtre, ne faisant pas gaffe aux personnes qui montent et descende. Je ne sais pas pourquoi j'ai accepter de suivre l'idée de mon frère, car pour moi, ma seule place c'est au près de mon meilleur ami qui est dans le coma depuis maintenant trois semaines. J'ai aussi un mauvais pressentiment mais c'est comme ça... Une fois arriver à l'arrêt, je marche un peu avant d'arriver devant l'immeuble. J'entre, puis me dirige vers l'étage concerner. Soupire doucement, je retire mes écouteurs en coupant ma musique. Je m'avance doucement vers la secrétaire en souriant doucement. « Bonjour, je suis mademoiselle Clarke. J'ai rendez-vous avec Monsieur Taylor. » je dis calmement. Elle affirme que je suis bien sur sa liste puis me demande d'aller t'attendre en salle d'attente. Je m'assois sur une chaise puis je regarde les bouquins devant moi tout ses magasines que je ne lis pas ses choses comparés a ma jumelle. Je croise mes jambes, puis je bascule doucement ma tête en arrière en attendant mon tour. Je trouve ça tellement long.. Mais je dois m'armer de patience. J'ai juste envie de faire demi-tour et rentré chez moi. Je viens recouvrir tout mon corps de ma veste en laine que j'ai sur le dos puis je reste à l'écoute jusqu'au moment ou j'entends une voix d'homme prononcé mon nom de famille. D'un bon je me lève puis m'avance doucement vers toi en souriant légèrement, la moindre des choses. Serrant ta main. « Bonjour... » je dis doucement puis je suis ton pas pour aller jusqu'à ton … bureau.

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Il avait toujours été un très bon ami, un très bon élève, et il était toujours là pour tout le monde, pour donner des conseils ou bien simplement être une épaule sur laquelle pleurer, il était toujours à l'écoute de tout le monde, et jamais personne n'était venu à dire que Sonny était un égoïste, parce que ça n'était pas le cas, il faisait toujours passé les autres avant sa petite personne. D'ailleurs, la plupart de ses proches lui demandaient de prendre du temps pour lui, pour souffler, mais il le faisait déjà, il le faisait dans la plus grande discrétion. Il s'amusait à droite, à gauche, il aimait prendre son pieds avec des inconnus, que ça soit chez lui, chez elle, ou bien dans son cabinet lors d'une consultation. Il n'avait aucune peur que sa secrétaire ne le surprenne en plein acte parce qu'elle était, elle aussi, passer sur le bureau du psychologue, mais malgré ce que l'on pourrait pensé, elle n'avait pas eu son job grâce à ça. Son amour pour les petits plaisirs intime, lui avait coûté son mariage qui n'avait duré que quatre ans, et pour cause, il avait mis enceinte sa maîtresse qui était venu sonner chez lui avec le bébé dans les bras, mais manque de chance ce fut sa femme qui alla ouvrir et qui découvrit la vérité sur son mari qui était en vérité comme les autres hommes à ne penser qu'avec leur deuxième cerveau.

Il était actuellement dans son cabinet, et entre deux rendez-vous il passa un appel en Angleterre afin de parler avec sa fille, Daisy, qui était à présent âgée de vingt-deux ans, et Sonny ne pouvait pas s'empêcher de se dire qu'elle avait grandi tellement vite et qu'il avait l'impression qu'il ne l'avait pas vu depuis un nombre incalculable d'années alors qu'elle était venu lui rendre visite durant les vacances d'été de cette année. Il n'avait jamais perdu contact avec sa fille, ni même son fils Marlon, qui était, lui, un peu distant avec son père depuis qu'il avait su pour son infidélité. Mais malgré les erreurs qu'il avait fait dans le passé, il restait tout de même un bon père pour ses enfants, bien qu'il n'a jamais fait la connaissance de son enfant qui était le fruit de sa tromperie, il n'avait pas voulu le reconnaître, pour Sonny il était inexistant. Les minutes étaient passé, et il finit par couper court à la conversation avec sa fille. « Je te laisse ma chérie, j'ai encore du travail. ... Moi aussi je t'aime ma puce. » dit-il en souriant avant de ne raccrocher et de poser son portable sur le bord de son bureau.

Il se leva et alla dans la salle d'attente, tout en souriant il annonça la prochaine personne. « Mademoiselle Clarke. » Quand la femme arriva à sa hauteur, il vint serrer doucement mais fermement la main de sa patiente tout en la saluant, puis il l'invita à rentrer à l'intérieur de son bureau qu'il ferma afin de ne pas être déranger. « Installez-vous mademoiselle. » dit-il en montrant de la main le divan. « Vous pouvez vous allonger comme vous asseoir. Mettez-vous à l'aise. » il alla s'installé sur la chaise qui était juste à côté du divan, mais avant cela il prit son carnet de notes ainsi qu'un stylo, et mit sa paire de lunettes de repos sur son nez. Quand sa patiente fut installé sur le divan, il déglutit et prit la parole. « Pourquoi avez-vous besoin de mon aide mademoiselle Clarke? » une question assez simple pour lancer le sujet, il n'était pas vraiment du genre à brusquer les personnes qui venait pour avoir une oreille à leur écoute.

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by Wiise

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EXORDIUM.

Alors que j'étais dans la salle d'attente a regarder un peut autour de moi, ne pensant pas que mon tour allait aussi rapidement arriver. J'avais coller un instant l'arrière de mon crâne contre le mur, mais aussi fermer un instant les yeux pour, et bien pour penser à autre chose mais surtout penser que que l'on ne va pas encore me prendre pour une folle comme beaucoup l'on fait mais aussi je me demande encore si c'est une bonne chose d'être ici, présente, mais surtout de venir te voir. Déjà que j'ai l'impression d'être folle, mais que non, tu n'es qu'un psychologue et non un psychiatre. Ceux qui est totalement différent, je le sais et je devrais pas m'inquiéter la dessus mais... non je n'y arrive pas. Alors qu'une voix assez ferme et roque se fait entendre : « Mademoiselle Clarke. », relevant la tête et d'un bon j'arrive rapidement devant toi. Au début je pensais tomber sur un homme assez âgé mais surtout avec les cheveux blanc, grisonnant et je ne sais... avec un vieux bouc bien entretenu. Comme un peut le père Berenson, mais il me semble qu'il a quitter la ville pour le moment. Je te salue à mon tour, puis quand tu me tends ta main je viens moi aussi la serrer, de ma petite force, mais tout aussi fermement que toi. Ouais, une poignet de main dit molle n'est pas respectueuse de mon point de vue. Je hoche doucement la tête en acceptant de te suivre, je te laisse fermer la porte derrière nous, je me perds quelques secondes à t'observer, quel âge à tu c'est ça ma première question qui me vient en tête, tu es plutôt, bel homme pour ton âge, mais bon ce n'est pas de ça que je vais parler aujourd'hui, bien sûr que non. Si peut-être d'amour, mais ça, c'est autre chose, une autre histoire. « Installez-vous mademoiselle. » je hoche doucement la tête de haut en bas puis, je viens alors déposer mon sac à terre, et je viens déposer mes fesses au milieu du divet. Ma plus grande habitude c'est de m'asseoir en tailleur, les jambes croisés devant moi mais aussi je viens trop rapidement attraper l'une de mes mèches de cheveux colorés pour jouer avec. Je ne suis pas à l'aise, j'ai mon rythme cardiaque qui commence un peu a s'accélérer. Je ne suis pas timide habituellement, mais là, je ne sais pas, je le suis. Peut-être plus du mal à l'aise d'un coter ? Je ne sais pas trop y répondre en faite. Je relève doucement mes pupilles bleues pour regarder des mouvements, se que tu fais mais aussi je te vois prendre ton carnet de notes et tes lunettes. Intérieur, je sourire, c'est rare qu'un homme assume le fait d'en avoir. « Pourquoi avez-vous besoin de mon aide mademoiselle Clarke? » j'entre-ouvre doucement la bouche pour te répondre, mais, je baisse rapidement la tête pour éviter ton regard. Pourquoi ? Je ne sais pas. « En réalité, pour être franche, c'est mon grand-frère qui ma pousser a venir vous voir... Je... » Tout en continuant de jouer avec ma mèche de cheveux, la laissant lisser entre mes doigts, la tourne par moment. Puis je reprends la parole. « Il n'accepte plus de me voir dans cette état... Un état second, un état ou je suis totalement ailleurs, que je ne me préoccupe pas de se qui peut se passer autour de moi... L'autre jour, j'étais avec lui et il a vue que je ne l'écoutais pas, que j'étais ailleurs et c'est de là qu'il sait réellement inquiéter avec ma perte de poids qui ce vois a vue d'oeil... » je laisse un petit soupire m'échapper d'entre mes lèvres, comme je peux te dire se qu'il m'arrive directement, je n'y arrive pas, ça ne veux pas sortir, j'ai l'impression que de passer par plusieurs petits chemins me fait du bien.

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