contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: let me teach you something [luker] (#) Mar 12 Juil - 18:25
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
J’ai eu beaucoup à faire entre mes enfants et mon boulot, mais ce soir, je suis libre, et je compte bien aller rendre une petite visite à Lukas. Nous nous sommes vues il y a trois jours, elle m’a embrassée et m’a fait comprendre qu’elle avait apprécié, mais je n’ai pas essayé d’aller plus loin pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait l’air un peu perturbée de ses aveux, de sa condition, de tout en fait. Et puis, l’arrivée surprise de son plan cul de la veille a eu tendance à mettre une ambiance bien pourrie. Une fois mon service terminé, je rentre chez moi et suis assaillie par mes deux petites têtes brunes. « Salut mes amours. » Je les embrasse sur le front et Noa s’éclipse rapidement pour retourner jouer avec ses poupées alors que Kenzo, comme à son habitude, me colle un peu plus. Nana est là et elle me sourit. Nana, c’est la grand mère de mes enfants, la mère de leur père, qui n’a pas accepté que son fils n’abandonne ses enfants lâchement comme il l’a fait. Alors elle s’est rapprochée de moi quand j’ai décidé de venir ici en Nouvelle Zélande, histoire de pouvoir continuer à les voir, et ça m’arrange bien parce qu’elle les garde régulièrement. « Je dois filer assez rapidement, je donne des cours à une adolescente, je suis déjà pas super en avance. Ça ira pour ce soir ? » Elle hoche la tête et me sourit. « Oui, il n’y a aucun souci Parker, je m’occupe des petits. Prends un peu de temps pour souffler si tu as besoin. » Elle est adorable, j’ai de la chance de l’avoir. Je file directement prendre une douche et c’est en serviette que je sors, Kenzo me suivant de près une fois sortie de la salle de bain. « Tu vas où maman ? » « Je dois faire l’école à une jeune fille qui a tout juste le double de ton âge ! » « Elle est jolie ? » Je ris un peu et m’assieds sur le rebord de mon lit. « Oui, elle est très jolie. Elle te plairait beaucoup j’en suis sûre ! » « Je peux venir avec toi ? » Je lui souris et viens déposer un baiser sur son front. « Non mon coeur, mais j’essaie de ne pas rentrer trop tard. » je me lève et m’habille rapidement, une fois que le petit garnement a quitté ma chambre. Je choisis une jupe volante très légère et un petit top tout aussi léger. Une paire de sandales ouvertes, plates pour la simplicité, et mon sac à main. J’enfourne à l’intérieur un petit gilet et quitte l’appartement après avoir fait un énième câlin à Kenzo qui réclamait, comme toujours.
C’est sur les coups de 17 heures que je frappe à la maison des Antonelli, passant mes mains sur ma jupe pour la lisser un peu. La porte s’ouvre, et c’est un garçon à peine plus vieux que mes enfants qui ouvre la porte. Je me souviens qu’elle m’a parlé de son petit frère, Charlie. « Bonjour ! Tu dois être Charlie c’est ça ? » Il hoche vivement la tête. « Je suis Parker, le professeur particulier de Lukas. Elle est ici ? » « Oui oui, dans sa chambre, je vous accompagne. » Il est vraiment trop mignon à se la jouer gentleman. Je suis le jeune garçon jusqu’à la chambre de Lukas et il frappe à la porte avant d’entrer sans attendre qu’elle lui ait donné la permission. Je me revois avec mes jeunes frères et soeurs. Elle est prête à l’engueuler mais quand elle me voit, elle se ravise, alors que je lui adresse un large sourire. « Bonjour Lukas. Je suis désolée, notre séance de travail n'était pas prévue mais j’avais du temps, je me suis dit que ce serait bien de bosser… » Elle me sourit à son tour et je passe ma main dans les cheveux du jeune garçon. « Tu nous laisses travailler Charlie ? » Il hoche la tête et ne bronche pas, étonnamment, me laissant refermer la porte une fois entrée. Je dépose mon sac à main sur le sol près du bureau et m’avance vers la jeune femme. « J’avais envie de te voir, te faire une petite surprise. J’espère que ça te fait plaisir ?! » Je viens placer une main à sa taille pour l’approcher de moi et dépose un baiser au coin de ses lèvres. « Ça va depuis samedi ? »
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Mar 12 Juil - 20:17
❝ Let me teach you something ❞ Parker & Lukas
Les journée sont longues, je n’aurais jamais pensé tant languir d’avoir mes cours. Parker et sa simple présence ne me donnent non pas l’envie de bosser mais l’attrait à m’y mettre, dans l’espoir de la voir encore un peu, une fois de plus, un cours supplémentaire et une occasion de la revoir. Assez peu douée dans l’art de dire les choses ou de les faire comprendre, merci le côté froid et buté de papa, je ne saurais le lui formuler de façon assez explicite pour qu’elle trouve ça autre chose que mignon et adolescent. Parker et moi nous sommes embrassées la dernière fois, enfin je l’ai embrassée mais je suis à peu près sûre qu’elle a répondu à mon baiser. J’ai fini par prendre la fuite, c’était ridicule mais elle a su me trouver, et me calmer, chose dont peu de monde est capable. Je suis une autodidacte, même dans le fait de me calmer ! En général après avoir cassé un truc ou deux, je me sens bien. Mais cette fois-ci, j’aurais bien cassé la tête de cet abruti tout juste envoyé la veille. Une catastrophe, certes, mais je ne peux pas nier le fait d’y avoir goûté sciemment.
Je n’ai rien de prévu pour la journée, je me suis levée avec ce sentiment de manque. Pas de nouvelles de Parker, pas encore. Pas depuis trois jours. J’ignore si elle me fait la gueule, ou non, réflexion on ne peut plus adolescente mais je me dis que si elle a renoncé au job, mon père me l’aurait mis dans la tête d’une façon ou d’une autre. Elle n’a donc pas quitté le boulot et reste ma prof. Je prends de longues douches pour apprécier le fait de me retrouver seule, plus que d’habitude j’entends, juste l’eau et mes pensées. J’enfile un short en jean, très court et un énième t-shirt à l’effigie d’un groupe. Aujourd’hui, ce seront les Ramones. Une paire de Converses blanches et basses et il en est fini de mon look pour la journée. Je zone dans ma chambre, à penser, réfléchir, me remettre en question, et en parallèle, jouer quelques parties sur la nouvelle console tout juste offerte par mon père pour féliciter les notes remarquables et les progrès que je peux faire grâce à Parker, s’il savait le grand manitou. C’est surtout pour se décharger du fait qu’il ne soit jamais là, même en vacances.
Piscine, bouquins, parties, siestes, oui, je me fais chier, royalement. Je pourrais sortir mais à quoi bon ? Et puis je suis censée réviser. Super les vacances. 17 h, mon père ne rentrera pas ce soir, j’en suis maintenant convaincue. Quelques coups frappent à ma porte, Charlie ne frappe que par principe et entre. « Bordel Charlie je t’ai dit de… ! » Parker se tient sur le pas de la porte… Ma guitare est en vrac sur le lit, des fringues trainent sur une chaise et moi je… je trouve le moyen de gueuler parce que mon frère amène cette femme dans ma chambre. Mon frère qui comprend trop vite ce qu’il en est et qui est aussi fouineur que je ne sais quel petit… fouineur. Il ne dit rien à mon père, je le paye plus cher que lui pour qu’il garde des infos.
« Bonjour Lukas. Je suis désolée, notre séance de travail n'était pas prévue mais j’avais du temps, je me suis dit que ce serait bien de bosser… » « Oui, c’est… une très bonne idée, je me prends complètement la tête sur l’exercice de la dernière fois. » Je me gratte le haut de la tête et remarque le sourire amusé de Charlie, il ne me lâchera donc jamais ce gosse ? « Tu nous laisses travailler Charlie ? » Sans broncher, il s’éclipse. Ne prenez pas ça pour une quelconque forme de discipline, vous vous feriez du mal. Il est simplement en train de tromper l’ennemi, sale gosse qu’il est ! « J’avais envie de te voir, te faire une petite surprise. J’espère que ça te fait plaisir ?! » [/color] Je ne m’attendais pas à un bonjour si chaleureux. Elle pose même ses mains sur moi et son baiser me fait frissonner. Si je m’étais attendu à ça ! « Ça va depuis samedi ? » « Pour… Je… Enfin tu… Je suis contente que tu sois là. » Voilà que je bafouille, que je perds mes moyens, c’est bien Lukas, continue comme ça, tu vas l’intéresser.
Je pose mes mains sur son visage délicat, et embrasse ses lèvres, cette fois-ci, sans l’intention de me barrer ensuite. C’est déjà un progrès en soi. Je pose une main sur sa hanche, et embrasse à nouveau la commissure de ses lèvres, avant d’entendre un bruit derrière la porte. Putain de merde, j’aurais dû y penser ! « Attend une seconde. » Je prends sa main dans la mienne avant de la lâcher et d’ouvrir la porte de ma chambre, derrière laquelle se trouve Charlie en train d’espionner, je suis vraiment une débutante. «Putain Charlie… Qu’est-ce-que tu veux pour te taire ? » « Ca va te coûter très cher. » «Annonce. » « Mm… » « La console, tu la veux ? Prends-la. » Débranchant toute la console en y ajoutant les manettes et une pile de jeux. « Maintenant tu dégages. » « Mm… » « Quoi, mon walkman aussi ? » Le rajoutant sur la console. Seulement mon frère est du même monde que moi, de celui où tout nous est tellement accessible que la corruption maternelle ne suffit pas. «OK, papa ne rentre pas ce soir, vas à la soirée de la plage et prend mon invit’. Mais au moindre débordement Charlie, au moindre scandale, je te couvrirais pas vu ? » « Vu ! » Recevant fièrement son sésame. « Et pas d’alcool ! » Il a déjà disparu, les bras chargés et son invitation en main. Mon frère de 12 ans vient de me foutre à poil putain ! Il ira trop loin ce gosse. Je retourne donc vers Parker, fermant cette fois-ci ma porte à clé en pendant ma veste sur la poignée pour éviter tout manque de pudeur. « Excuse-moi. Tu voulais me faire bosser mes maths, c’est ça ? » Je lui souris, en coin et embrasse son cou, je me laisse aller à ce qui me passe par la tête. Après tout, c’est elle qui a commencé. «Pas de nouvelles pendant trois jours, tu comptais abandonner le poste ? » Mon ton est amusé, si elle est là, c’est que non. « Ou un amant qui te demandait trop de temps… » Prêcher le faux pour savoir le vrai.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Mer 13 Juil - 12:34
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
« Oui, c’est… une très bonne idée, je me prends complètement la tête sur l’exercice de la dernière fois. » Je souris de plus belle, parce que clairement, nous n’avons jamais vraiment travaillé, et son mensonge ne sert pas à grand chose, surtout que j’ai bien cru comprendre que son frère n’est pas le genre naïf ignorant. Je lui demande de nous laisser d’ailleurs, et il en bronche pas, ce qui semble étonner légèrement Lukas au vue de son regard. Je m’avance vers elle et suis assez tactile, la laissant entrer dans mon jeu ou non. C’est comme ça que ça marche entre nous. « Pour… Je… Enfin tu… Je suis contente que tu sois là. » Je ris légèrement, amusée de voir qu’elle perd un peu ses moyens. C’est étonnant venant d’elle, mais je m’en amuse. Je ne la lâche pas des yeux et elle ne perd pas de temps à venir prendre mon visage entre ses mains pour m’embrasser tendrement. Mes mains se nichent dans son dos, dans le creux de ses reins pendant que nous échangeons ce baiser, puis elle dévie sur le coin de mes lèvres avant de s’éloigner. « Attend une seconde. » Elle fait glisser sa main le long de mon bras, frôlant ma main avant de la lâcher pour se diriger vers la porte. Charlie est là. Je souris, croisant mes bras d’un air un peu désespéré. Je les regarde faire leur marchandage et le jeune garçon s’éclipse finalement avec tout ce qu’il vient de recevoir, juste pour le silence de ce qu’il vient de voir. « Excuse-moi. Tu voulais me faire bosser mes maths, c’est ça ? » « Dis donc, c’est de famille d’être dur en affaires ! » Je ris un peu et la laisse se rapprocher, embrassant mon cou. Je penche la tête un peu sur le côté pour la laisser faire. « Les maths ? Tu as vraiment envie de bosser les maths ? » Elle ne répond pas à ma question et je ferme un peu plus les yeux en sentant les frissons me parcourir de ses baisers dans mon cou. J’adore ça, et je crois qu’elle vient de se rendre compte à quel point c’est un de mes pêchers mignons. « Pas de nouvelles pendant trois jours, tu comptais abandonner le poste ? » Je ris légèrement. Elle sait bien que si je suis là, ce n’est pas que j’ai voulu abandonner le poste. « Ou un amant qui te demandait trop de temps… » « Un amant ? » J’arque un sourcil avant de trouver son regard. « Non… mais une maîtresse. Une dizaine de maîtresses, une centaine même… » Je lui dis ça d’un ton charmeur tout en la faisant reculer jusqu’à ce que ses mollets heurtent le bord de son lit. Ma main dans son dos relève un peu son t-shirt pour venir se faufiler et trouver sa peau alors que mes lèvres retrouvent le chemin des siennes. « Tu as dit l’autre soir que j’avais beaucoup de choses à t’apprendre… » J’éloigne à peine mes lèvres et viens passer ma langue délicatement sur sa lèvre inférieure avant qu’elle ne vienne la pincer de ses dents. « Tu as une petite idée ? » Mon autre main rejoint la première au niveau de sa taille, mais sous son t-shirt. « J’ai eu beaucoup de choses à faire mais j’ai pensé à toi tu sais… » Je la regarde avec insistance avant de lui sourire, en coin. « J’ai envie de jouer à un jeu… » Je sais qu’elle est joueuse, au moins autant que moi, et ça me donne envie d’en profiter. « Je te pose une question concernant ton programme de maths, et à chaque bonne réponse, je retire un de mes vêtements. A l’inverse, tu me poses n’importe quelle question sur n’importe quelle matière de ton programme de bac, et à chaque bonne réponse que je te donne, j’ai le droit d’embrasser une partie de ton corps que je choisirai. Deal ? » Je lui souris de plus belle, bien contente du deal trouvé parce que quoi qu’il arrive, nous savons toutes les deux où tout ça nous mènera. Maintenant que Charlie est évincé et que nous savons que son père ne rentrera pas avant un bon moment, nous avons du temps devant nous.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Mer 13 Juil - 15:19
❝ Let me teach you something ❞ Parker & Lukas
« Dis donc, c’est de famille d’être dur en affaires ! » « Attend de me voir négocier. Je me suis juste faite avoir sur une action nécessiteuse. Le cours du marché n’était pas en ma faveur. Un truc comme, l’offre était nécessairement plus grande que la demande, tu vois ? » Je lui récite mon cours d’éco, je suis complètement à la masse. Mais je sais qu’elle comprend tout ce que je dis et saura même me reprendre si je fais une erreur. Parker est la femme la plus intelligente qu’il m’ait été donné de rencontrer, la plus futée et la plus débrouillarde. Elle ne vient pas du grand monde et n’a visiblement pas besoin de ça pour y trouver son compte. Je me demande même si elle a vraiment besoin de ce job ou si elle ne vient ici que pour… moi ? Oserais-je l’espérer en tout cas ? « Les maths ? Tu as vraiment envie de bosser les maths ? » «Ah ouais, je suis… on ne peut plus motivée… » Je lui souris, récupérant ses lèvres des miennes, sur un ton totalement provocateur. Je suis très douée pour ça, et ça énerve autant mon paternel que n’importe quoi qui puisse lui faire de l’ombre, à lui ou à sa carrière, ou entacher sa réputation. Tout n’est qu’histoire de réputation là où je vis. Ici, ils ont l’air de s’en foutre, et c’est on ne peut plus reposant. Moi aussi je me fous de la mienne, mais apparemment, c’est un tords.
« Un amant ? Non… mais une maîtresse. Une dizaine de maîtresses, une centaine même… » « Tant que ça… Tu les cases où dans ton emploi du temps ? » Je la regarde, hausse les sourcils et ris, à moitié. Je ne sais pas si elle se fout de moi ou non, si elle se cache ou non de toutes les aventures qu’elle peut avoir, auxquelles elle peut prétendre. Si je dois prendre ça pour un oui, pour un non, je ne sais pas sur quel pied danser avec Parker, c’est bien là le plus troublant, ou le plus excitant, je cherche encore. « Tu as dit l’autre soir que j’avais beaucoup de choses à t’apprendre… » Sa main glisse sous mon t-shirt, je suis en train de me demander si je vais tenir, elle pourrait commencer à m’apprendre à garder la tête froide, pour commencer, ce serait sans doute très utile par la suite. Je frissonne, je perds la tête, et je me demande si je vais tenir et combien de temps je pourrais le faire. « Tu as une petite idée ? » « Je crois que tu es… sur la bonne voie. J’en suis même presque… sûre. C’est pas décent ce que tu fais là. » Lui fis-je remarquer en la voyant s’agiter au-dessus de moi et à caresser mon corps comme si elle allait n’en faire qu’une bouchée. « J’ai eu beaucoup de choses à faire mais j’ai pensé à toi tu sais… » « Ah ouais, comment ça ? » Je dévore son cou de baiser après avoir attrapé sa nuque d’une autre main et descendu celle qu’il me reste de libre, dans son dos, sous son top, dans le creux de ses reins. Le bout de mes doigts la parcours, sa peau halée d’un teint de plage. L’odeur de sa peau est déjà une drogue en soi.
« J’ai envie de jouer à un jeu… » « J’adore jouer… Seulement si tu inventes les règles… » Parce que je sais que ça mènera à autre chose. En parlant d’autre chose, je savais que ça finirait par arriver et je suis sans doute naïve d’avoir préféré éviter la question mais je savais bien que j’y passerais un jour ou l’autre à jouer ce petit jeu. Agréable, mais pervers. En tout cas aux yeux du monde, il le deviendrait sans aucun doute. Je bascule sur le côté et prend la position du dessus, caressant sa joue le temps de l’écouter, puis plonge dans son cou, la laissant poursuivre. « Je te pose une question concernant ton programme de maths, et à chaque bonne réponse, je retire un de mes vêtements. A l’inverse, tu me poses n’importe quelle question sur n’importe quelle matière de ton programme de bac, et à chaque bonne réponse que je te donne, j’ai le droit d’embrasser une partie de ton corps que je choisirai. Deal ? » « Gagnant gagnant alors ? Je te trouve beaucoup trop consciencieuse, c’est pas sain de l’être autant… » Répondis-je en fondant sur elle, dévorant ses lèvres de baisers, puis mes mains deviennent plus baladeuse, remontant sous son top, au niveau de sa poitrine que j’effleure du bout des doigts. «Je vote pour, mais je choisi le terrain de jeu, et ce n’est pas ici. » Mon père pourrait rentrer à l’improviste et je sais qu’il monterait tout de suite dans ma chambre pour vérifier que je ne suis pas en train de me foutre de sa gueule à passer mes journées à la plage sans bouger le petit doigt. « Suis-moi. Tout se mérite non ? Et le sport, fait partie des matières à bosser pour le diplôme, je crois… » Je me lève, la laissant en plan sur le lit, avec un rire amusé de ma provocation. Je lui tends finalement la main, hissée sur le bureau, prête à rejoindre le toit en m’aidant de la force de mes bras. Une fois là-haut, et la voyant prête à me suivre, bien que surprise, je l’incite à traverser le toit et descendre par ce qui devrait être un escalier de service, mais qui n’est en fait qu’une gouttière permettant d’accéder à différents étages de la maison, puis de descendre sans être vus. « C’est toi qui a l’âme aventurière, non ? » Je ris pour moi-même, à moi de la bousculer un peu. Je ne réfléchis plus, je vis. Une fois sur le sol, je l’attends, et lui tend la main pour l’aider à atterrir le plus simplement possible. Pas facile d’escalader avec ses scandales. Je garde sa main dans la mienne et regarde suspicieusement autour de moi, et enfin traverse le jardin pour nous réfugier dans la pool house. Je referme derrière nous et m’assure qu’il n’y ait aucun bruit avant de la plaquer en douceur contre la commode de l’entrée, sur le point de retirer son haut. « Faut pas que je réponde pour avoir le droit de retirer ça ? Il est cruel ton jeu… »
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Mer 13 Juil - 19:20
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
« Tant que ça… Tu les cases où dans ton emploi du temps ? » Je ris pendant qu’elle hausse un sourcil. Je plaisantais, évidemment, je ne me fais pas cent filles en trois jours. Au mieux, 3 ou 4, mais alors là pour le coup ça n’est pas du tout le cas. J’ai bien failli passer la nuit avec une fille hier mais j’ai préféré couper court quand je me suis rendue compte que je pensais à Lukas. Enfin ça, je ne vais pas lui avouer. Elle serait capable de penser que je suis amoureuse d’elle ou ce genre de trucs. C’est à ça que pensent les adolescents non ? Je lui demande finalement si elle a une idée de ce que je pourrais bien lui apprendre. « Je crois que tu es… sur la bonne voie. J’en suis même presque… sûre. C’est pas décent ce que tu fais là » Je souris, charmeuse, désireuse de la faire perdre tous ses moyens, et à entendre ses phrase désorganisées, je comprends que je suis sur la bonne voie. Je lui avoue tout de même que j’ai pensé à elle, alors qu’elle commence à parcourir mon corps de son toucher délicat. « Ah ouais, comment ça ? » Je souris de plus belle. « Comme ça… » je viens lui faire un suçon dans le cou, juste pour appuyer mes dires et surtout lui faire comprendre que je n’ai pas pensé à lui donner un cours de maths, loin de moi l’idée. Mais je ne voudrais pas aller trop vite, je ne veux pas être une nouvelle expérience qu’elle aura oubliée demain. Alors je décide de lui proposer un jeu. « J’adore jouer… Seulement si tu inventes les règles… » Je me mords la lèvre inférieure et la laisse nous faire basculer pour se positionner au dessus de moi. Mes mains glissent sur ses cuisses nues, s’arrêtant là où son short commence. Je lui énonce ma petite idée, une lueur complice dans le regard. « Gagnant gagnant alors ? Je te trouve beaucoup trop consciencieuse, c’est pas sain de l’être autant… » Je ris un peu, mais pas longtemps puisque je subis les assauts de ses baisers. Ses mains remontent sous mon haut et s’immiscent entre mon top et mon soutien-gorge. J’attrape ses mains pour lui faire comprendre que je ne veux pas qu’elle aille trop vite, et puis c’est plus excitant de laisser l’instant flotter un peu, de laisser le désir s’installer même s’il est déjà très présent. « Je vote pour, mais je choisi le terrain de jeu, et ce n’est pas ici. » A moi d’arquer un sourcil, surprise de son initiative, mais pas dans le mauvais sens du terme évidemment. J’adore être surprise. « Suis-moi. Tout se mérite non ? Et le sport, fait partie des matières à bosser pour le diplôme, je crois… » Je la regarde s’échapper - encore - alors que je me redresse sur mes avant-bras pour la regarder. Elle ne plaisante pas. Elle ne plaisante pas ! Elle me tend une main que je saisis sans tarder, et la suis comme il y a trois jours, sur le toit. Elle me fait faire n’importe quoi, et me je suis, avec l’impression de redevenir une adolescente. N’importe quoi. Je marche sur les tuiles en prenant soin de ne pas me casser la gueule et je descends par une échelle de fortune, avec Lukas qui m’attend en bas. Cette fille est décidément trop téméraire. Nous traversons le sublime jardin, à la hâte pour entrer dans une espèce de dépendance. A l’intérieur, c’est comme un vrai studio tout aménagé avec un canapé qui semble ultra confortable, un frigo et tout un tas de trucs de piscine entreposés sur le côté. C’est plutôt mignon, et quand on y pense, ça doit faire la taille de mon appartement. Lukas ferme derrière nous et elle me pousse contre la commode de l’entrée avant de reposer ses mains sur mon corps dans l’idée visiblement de retirer mon haut. « Faut pas que je réponde pour avoir le droit de retirer ça ? Il est cruel ton jeu… » « Oh que si… tu ne crois pas que ça va être si facile que ça… » Je lui souris, de toute mes dents, et commence à lui poser une question, facile. De ce fait, elle répond juste et obtient le droit de retirer mon haut, entre deux baisers ardents. Je la laisse me poser une question et éclate de rire en l’entendant, elle a rien trouvé de plus facile, elle m’aurait demandé d’épeler le mot désir ça aurait été la même. Je la pousse jusqu’au canapé et la laisse tomber dessus, avec finalement le droit de l’embrasser où bon me semble. Encore debout, et elle assise dans le canapé, je la regarde avec un air charmeur. Finalement, je viens me poser à califourchon sur elle et attrape le bas de son t-shirt pour le lui retirer à son tour. Je la décale un peu pour la faire s’allonger et passe mes mains sur son ventre. « Je choisis ton ventre… » Je lui souris et me penche sur elle, dévorant son ventre de baisers ardents, jouant même parfois de ma langue pour augmenter un peu la température. Je sens sa respiration se faire plus saccadée et une fois satisfaite, je reviens près de ses lèvres pour lui poser une nouvelle question, pas trop difficile, évidemment. Elle répond juste et je la laisse se débarrasser de ma jupe, me trouvant en sous-vêtements. Un bel ensemble en dentelle noir et rouge. Plus sexy tu meurs. Ses mains commencent à être plus baladeuses, plus aventureuses. A elle de me poser une question et j’y réponds encore très facilement comme prévu. Je décide de la débarrasser de son soutien gorge pour venir à la découverte de sa poitrine douce et ferme. Je suis en train de perdre le souffle de la jeune femme, on dirait qu’elle va succomber à mes baisers. Une fois que je me suis bien amusée à faire monter la température, je pose une question et elle répond juste. Je me redresse au dessus là, passant mes mains dans mon dos, prête à dégrafer mon soutien-gorge, mais la sonnerie de mon téléphone me sort de notre moment d’intimité. C’est la sonnerie dédiée au téléphone de la maison, et ça n’annonce jamais rien de bon. « Merde, excuse-moi je dois répondre. » Je pars à la recherche de ma jupe et de ses poches pour en trouver mon téléphone, auquel je répond rapidement. « Oui ? Merde c’est pas vrai… J’arrive, j’arrive tout de suite. » Je m’empresse de récupérer mes affaires. « Je suis désolée ma belle, une urgence, je t’appelle promis. » J’enfile à la hâte ma jupe et mon haut, téléphone dans la main. Je file lui voler un baiser. « Je suis vraiment désolée. Vraiment. Mais ce n’est que partie remise… » Je l’embrasse à nouveau et quitte la dépendance, filant chercher mon sac dans sa chambre avant de quitter la maison familiale pour retrouver mes enfants. Noa s’est cognée suffisamment fort pour que ma belle-mère s’inquiète de sa grosse bosse. Il y a des fois où je me dis que ma vie serait plus simple sans mes enfants, et je culpabilise la seconde d’après d’avoir pu penser une chose pareille.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Mer 13 Juil - 23:39
❝ Let me teach you something ❞ Parker & Lukas
« Comme ça… » « Oh non, je vais devoir me taper une écharpe pendant une semaine, pas là… » Je ris, malgré moi, et l’encourage au final à poursuivre puisque je passe ma main dans sa nuque, l’autre dans son dos, les sens en éveille, les mains tremblante de désir. Si peu, et je suis déjà hors de contrôle. En tout cas c’est bien la première fois que la simple présence de quelqu’un me fait autant d’effet.
Elle ne veut pas aller trop vite, et moi je veux la dérouter, je suis prête à tout pour qu’elle ne pense pas de moi que je ne suis qu’une gamine sans saveur. Je suis surtout prête à tout faire pour qu’elle me voit moi, qu’elle voit ce qu’elle veut, ce qu’elle aime. Je l’entraine dans un parcours infernal entre le toit et le jardin et elle s’y plie sans trop broncher, sans même broncher du tout. A croire qu’elle en a autant envie que moi et je peine à le croire. Je suis très joueuse, et en particulier avec elle. Elle sait comment me parler, comment me défier et elle sait en particulier comment me charmer et occuper toutes mes pensées. Dingue comme elle peut être présente dans ma tête ! Je l’emmène dans la pool house. Pour beaucoup, ce n’est qu’un endroit miteux où stocker les matelas des transats et les brassards des gamins, mais chez mon père, c’est tout autre. C’est toujours en grand, une façon à lui de se prouver qu’il est puissant, un truc de mec je dirais. Je prends le parti de me dire qu’il faut profiter de ce qu’on a, au lieu de le critiquer. Mais quand même, autant de place et autant de luxe pour trois… ah oui pardon, ses maîtresses aussi. « Oh que si… tu ne crois pas que ça va être si facile que ça… » Je ne crois rien, et les questions pleuvent, les réponses s’enchainent et les vêtements nous quittent. Dieu que cette femme est un démon ! « Je choisis ton ventre… » Elle parvient à me faire décoller, mes muscles se contractent, ma peau n’appelle que la sienne et je suis encore surprise de ne pas avoir fait un malaise plus tôt. Mais je n’ai encore rien vu… Après une bonne réponse de ma part, c’est son sa jupe que je retire. Un ensemble de sous-vêtements à couper le souffle. « Bordel… qu’est-ce-que t’es belle… » A vous faire mal à la tête ! Je la regarde une seconde, puis pose mes mains sur ses cuisses fuselées, bien obligée, elle attire mes mains comme des mouches attirées par le miel. Elle est… sublime.
Une autre question et cette fois-ci, c’est mon soutien-gorge qui saute. Après une bonne réponse. Elle se délecte de ma poitrine et c’en est fini de moi-même. Je ne réponds plus de rien et gémis légèrement de plaisir, étouffant mes cris pour n’alerter personne, mais c’est trop pour moi. Je commence à me tortiller, posant mes mains sur les siennes et parviens à peine à répondre à ses baisers, le souffle coupé. Elle se redresse pour retirer à son tour ce bout de tissu qui barre le passage à mes caresses et… « Merde, excuse-moi je dois répondre. » « Assure… » Elle va me laisser en plan pour son téléphone ? C’est la même chose que mon père, vive le monde des adultes, ils sont tous pareils. « Oui ? Merde c’est pas vrai… J’arrive, j’arrive tout de suite. » Visiblement, c’est important. Je me redresse sur mes coudes pour tenter de comprendre ce qui se passe. Je suis à moitié nue, et elle est au téléphone, putain. « Je suis désolée ma belle, une urgence, je t’appelle promis. » «Explique-moi au moins… » Non, elle ne m’expliquera rien. Parker est très secrète, depuis le début, c’est un mystère à elle toute seule, je ne sais même pas si elle a quelqu’un, si elle a des enfants, un métier en dehors de mes cours. Je ne sais que de petites choses infimes qu’elle me laisse entrevoir. Elle file sans demander son reste. Et moi je retombe sur le matelas, comme une abrutie, que je suis. « Bordel… » Je glisse une main dans mes cheveux, et soupire.
Je lui en veux de m’avoir laissé en plan, mais je sais qu’elle a des obligations, en tout cas, c’est ce qu’elle me dit. Je me réveille en vrac dans la pool house, et le soir même, impose à mon père de déménager dans la maison d’invités. Il ne fait pas trop d’histoires, au contraire, il se dit sûrement qu’une de ses maîtresses pourra venir passer la nuit ici, sans qu’on ait à la croiser. Je me décide à rester joueuse, cependant. Après plusieurs échanges de textos avec Parker, dans lesquels elle me dit mourir d’envie de me rejoindre, je la mets au défi de le faire et la laisse, prétextant aller me coucher. J’ignore si elle le fera, mais qui sait… Je dépose alors une clé dans une enveloppe, au milieu du canapé de la pool house, c’est celle de la maison d’invité, de mon intimité. Je suis aussi excitée qu’anxieuse, c’est encore tout nouveau pour moi, mais qui ne tente rien n’a rien, paraît-il. Et je m’endors, là-encore, à l’attendre…
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Jeu 14 Juil - 10:21
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
Une fois en sous-vêtements devant elle, je la vois me parcourir de son regard et je souris, parce que je la trouve vraiment touchante. « Bordel… qu’est-ce-que t’es belle… » Je lui souris de plus belle, me mordant la lèvre inférieure sur une mimique amusée, flattée, comblée. Après la question qui me permet de l’embrasser où je veux, je choisis sa poitrine, sa magnifique poitrine de laquelle je me délecte. Ma langue joue avec ses tétons gorgés de désir et je m’amuse même à les mordiller. Lukas commence à gémir et je souris pour moi-même, heureuse de pouvoir à quel point je semble lui faire de l’effet. C’est comme si sa poitrine avait été créé pour mes mains. Mes longs doigts épousent à merveille la forme de ses seins parfaits. Nous passons à la question suivant et je suis prête à me défaire de mon soutien-gorge lorsque mon téléphone sonne. Inquiète pour mes enfants, je me lève en quatrième vitesse pour retrouver mon téléphone et répondre à la hâte. C’est urgent, j’aurai préféré que ça ne le soit pas. Je m’avance vers elle pour m’excuser et lui promettre de l’appeler. « Explique-moi au moins… » Je l’embrasse une dernière fois et m’éclipse sans demander mon reste. Je rentre chez moi à vitesse grand V et retrouve ma fille avec un oeuf sur la tête. « Mon coeur mais qu’est-ce qu’il s’est passé ? » « On courait et puis j’étais derrière elle et je l’ai appelée, elle s’est retournée et elle est tombée. » « Un coin de mur. » Je soupire un peu et m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras. Noa n’a jamais été très tactile avec moi, depuis toujours. Mais ça ne nous empêche pas de nous aimer très fort. « Si jamais tu as mal à la tête tu me dis. D’accord ? » « Mais non mais ça va ! Et puis ça a déjà dégonflé depuis tout à l’heure. Je vais bien m‘man ! » Je dépose un baiser sur sa joue et me laisse tomber dans le canapé. « Vous pouvez rentrer Maria, ça va aller ! » « Tu es sûre Parker, je peux rester là encore un peu, si jamais elle se réveille dans la nuit. Je pense que tu as besoin de dormir toi aussi, tu sembles fatiguée… » Je hausse un peu les épaules. « Je bosse beaucoup en ce moment. » « Je sais. ».
Je couche les enfants sur les coups de 21 heures, ils me font du charme pour veiller plus longtemps mais je refuse. Je me retrouve avec ma belle-mère sur le canapé à regarder un film. Génial la soirée. Pendant un long moment, j’envoie des sms à Lukas, ce à quoi elle me répond non sans répartie et charme. Je lui dis à quel point j’ai envie de la rejoindre, même si je ne peux pas. Je me vois mal partir maintenant alors que ma belle-mère n’est là que pour que je me repose. Aller voir Lukas ce n’est pas tellement du repos, pourtant, ça me démange. Je suis restée sur un goût d’inachevé et je commence à avoir des fourmis dans tous le corps simplement en repensant à tout ce qu’on aurait pu faire tout à l’heure si je n’avais pas eu cet appel d’urgence. Ma belle-mère finit par s’endormir et je la réveille à peine. « Maria, vous devriez aller dormir dans mon lit. Je dormirai ici. » Elle ne bronche pas, même si je sais que réveillée, elle m’aurait dit non. Je la laisse quitter le salon et je ne perds pas de temps pour prendre la poudre d’escampette. Une petite veste en jean par dessus mon haut et je prends juste mes clés et mon téléphone que j’enfourne dans mes poches avant de quitter l’appartement. Je prends un taxi, n’ayant aucune envie de me trimballer dans un bus de nuit avec tout un tas de cinglés. J’arrive rapidement au quartier sud, paye le taxi et descends en soufflant un peu. Je cherche les sms de Lukas qui me disait avoir laissé la clé de son nouveau chez-elle là où je l’ai laissée en plan un peu plus tôt dans l’après-midi. Je traverse le jardin en catimini, espérant que personne ne me voit. J’entre dans la pool house et file droit vers le canapé. Je glisse mes mains dans toutes les rainures et trouve le fameux sésame, dans une petite enveloppe avec un dessin d’une autre dépendance, et une sorte de plan de la maison. Elle a voulu se la jouer carte au trésor ? Je sors de la pool house et regarde un peu mieux le plan, me dirigeant je pense vers la bonne direction. Je fais le tour de la maison et tombe sur une nouvelle dépendance. Ça doit être ça. J’entre la clé dans la serrure, tout doucement, espérant qu’elle dorme. La réveiller est très excitant. Je referme la porte le plus doucement possible et commence à me déshabiller dans l’obscurité. Je me retrouve en sous-vêtements, comme un peu plus tôt, et me dirige finalement vers le lit qui trône au milieu de la grande pièce. Il y a juste un filet de lumière qui provient de la lune, juste assez pour que je la vois étendue là, par dessus le drap, simplement vêtue d’un shorty et d’un t-shirt. Je monte sur le lit doucement et fais glisser mes doigts délicatement le long de sa jambe, son mollet, sa cuisse, et je remonte sous son t-shirt pour caresser sa poitrine avant de déposer un baiser dans son cou et de lui murmurer. « Je crois qu’on a quelque chose à terminer… » Je pense que c’est un joli réveil, du moins, je l’espère.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Jeu 14 Juil - 12:04
❝ Let me teach you something ❞ Parker & Lukas
J’ai dû négocier tout de même un peu pour obtenir le droit à mon « indépendance ». J’estime avoir le droit de m’isoler un peu de la vie de débauche que mène mon père. Je peux parler de lui, je ne fais pas mieux, mais moi, à présent, il y a de quoi parler d’un peu plus qu’un coup comme ça. Mon père est le roi des apparences, alors ramener une jolie fille à son bras et en profiter si elle ne dit pas non, je ne vois pas le problème, mais nous l’imposer au petit déjeuner, très peu pour moi. La seule que je n’ai jamais su apprécier, il a fini par tout foutre en l’air avec en s’en tapant une plus jeune. Abruti qu’il est comme tous les mecs que je croise. Moi qui pensait pouvoir tranquillement aménager dans la maison d’invités, qui ressemble plus à un foutu appart de luxe qu’à toute dépendance de base, mon frère se pointe, le grand gagnant de la journée avec tout ce qu’il a pu me soutirer. Sa soirée s’est écourtée, de toute façon, personne n’est au lit de bonne heure chez moi. « Tu n’es pas au lit toi, microbe ? » «Au lit ? Je te signale que je viens de récupérer au moins trois numéros. » « Sur la plage ? C’est pas plutôt des numéros de nounous ? » « Moque toi autant que tu voudras. Mais moi j’ai un petit secret sur ta prof et toi. Tu couches avec ? » « Charlie, tu m’as déjà faite chanter, non, je ne couche pas avec. C’est ma prof ! » « Si tu savais ce que je fais avec les miennes… » « Putain t’as 12 ans. » « Et un talent certain. » « Je te l’accorde, tu bouges maintenant ? » « Je venais simplement te dire que le double des clés est juste ici. » Il me présente une toute autre clé et la dépose sur la desserte de l’entrée. Comme pour m’encourager et me dire que je n’ai plus qu’à en profiter, il ne dira rien. Je dois le croire ? Je n’en sais foutrement rien mais au moins, mais je n’ai rien à perdre.
Installée dans mon nouveau chez moi, je bombarde Parker de textos, tous plus indécents les uns que les autres, persuadée qu’elle ne viendra pas se joindre à moi, je peux alors me permettre de l’allumer un peu, c’est de bonne guerre après tout. Chacune sa frustration, mais la mienne fut de taille ! Je fini par m’endormir, après l’avoir laissée en plan, mariner, en espérant qu’elle pense un peu à moi, tout autant que je ne peux m’empêcher de le faire. Elle est entrée dans ma tête et refuse d’en sortir, c’est on ne peut plus frustrant. Je tente de me vider la tête en allumant la télé, mais il n’en n’est rien. Tout me rapporte à elle, et à ce qu’on aurait pu concrétiser tout à l’heure. Même sans être là, elle est plus présente que les deux habitants de cette maison, c’est incroyable, je crois qu’on appelle ça le talent. Tombant de sommeil, je fini par éteindre, et m’endors en quelques secondes.
Il fait horriblement chaud, je dors depuis quelques heures déjà, passant ma jambe sur et sous la couette de façon régulière, pour chercher le frais. Une main sous mon oreiller, comme un doudou. J’ai encore un côté très enfantin, que je m’efforce de masquer, sans y parvenir. En petit top et shorty, je passe une jambe sur la couette et trouve mon sommeil sans avoir à trop chercher. Plus tard dans la nuit, la porte s’ouvre après que la clé ait tourné dans la serrure, sans que je ne m’en rende même compte. Je dors tellement bien que je sens à peine quand elle se glisse sur le lit, mais quand ses doigts effleurent ma peau, il en est tout autre. Mon ventre se tord, mon sourire s’affiche, sans que je ne le contrôle et je m’étire, m’allongeant sur le dos, pour lui faire face, et l’entendre me murmurer quelque-chose, toute frissonnante que je suis. « Je crois qu’on a quelque chose à terminer… » « T’es venue. » Je souris, malgré moi, encore endormie, les idées à peine claires.
Je la laisse se délecter de ce que je lui offre, soit moi toute entière. Je tends les bras au-dessus de ma tête pour m’étirer et retire ensuite mon haut, le jetant au sol avant de passer mes bras autour du coup de Parker. Cette femme sublime qui me fait face, juste au-dessus de moi, prête à commettre l’irréparable. Je peine à me réveiller, peine à retrouver mes esprits, comme si j’avais trop bu, mais c’est en ça que c’est le plus grisant, cette sensation de ne rien contrôler, mais de la laisser faire, de me laisser aller. « Y a plus de jeu, ça y est ? » Glissant une main sur sa hanche, envieuse, puis la fait dériver dans le creux de ses reins. Ayant la position la moins dominante, il m’est cependant facile de remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille, pour dégager son visage et embrasser ses lèvres avec douceur. La nuit, tout paraît plus évident, plus accessible, il n’en n’est surement rien, mais c’est bien là tout l’intérêt de la clandestinité, se mettre en danger. Mais forte de sa présence, de l’idée que je puisse lui plaire assez pour qu’elle revienne ce soir, je me lance. « Parker… c’est la première fois. » Avec une femme, j’entends. Pas que je recule, bien au contraire, mais j’ai besoin qu’elle sache que je ne suis pas aussi expérimentée qu’elle, une foutue réflexion de gamine qui se trouve avoir assez peu confiance en elle malgré ce qu’on pourrait croire. Je me redresse légèrement contre elle, une main dans sa nuque et l’autre sur son flanc, et je lui glisse quelques mots à l’oreille : « Mais j’ai très, très… très envie de toi… »
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Jeu 14 Juil - 13:49
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
La voir là aussi étendue qu’endormie, ne la rend pas moins désirable, bien au contraire. Je profite justement de ce moment de latence pour venir caresser son ventre, sa poitrine d’une infinie douceur. Il doit être quelque chose comme deux heures du matin, et je ne trouvais pas le sommeil, encore trop perturbée par ce goût d’inachevé. Lukas s’étire et je la regarde faire en souriant. Elle se tourne pour se mettre sur le dos et je profite pour me mettre à califourchon au dessus d’elle, en appui sur mes mains. « T’es venue. » Je lui souris de plus belle, de toutes mes dents, caressant son visage délicatement en la regardant se réveiller doucement. Elle finit par retirer son haut et je l’aide un peu, retrouvant la vision divine de son corps à moitié nu. Une douce chaleur s’invite en moi, tout aussi vite que le désir que je ressens depuis que je l’ai rencontrée. C’est plus fort que moi. J’ai beau me dire qu’elle a 12 ans de moins que moi, qu’elle est encore bien loin d’être majeure, tant pis. Après tout, elle est consentante ! « Y a plus de jeu, ça y est ? » Je ris un peu, la laissant me caresser et me faire frissonner légèrement. Je continue de murmurer, comme si quelqu’un pouvait nous surprendre. Ça ajoute quelque chose de plus intimiste, de plus excitant. « Non, plus de jeu, je ne suis pas des plus patientes ! » Je la laisse m’embrasser et prolonge son baiser avec envie, caressant sa langue de la mienne. La chaleur de mon corps se concentre sur le bas de mon ventre, voire même un peu plus bas. Je me penche un peu plus sur elle pour l’embrasser plus langoureusement, lui faisan comprendre que je ne suis pas venue pour jouer aux cartes. « Parker… c’est la première fois. » Je m’arrête de l’embrasser et plonge mon regard dans le sien avec un peu plus d’intensité que précédemment. Je viens caresser sa joue, délicatement, tendrement même. Elle se redresse et vient attraper ma nuque avant de murmurer à mon oreille. « Mais j’ai très, très… très envie de toi… » Je souris, largement, avant de venir dévorer son cou de baisers ardents. « Alors je crois que ça tombe très bien… » Je mordille la peau tendre de son cou et y laisse même traîner ma langue. « Tu verras, y’a rien de bien sorcier, et je suis sûre que tu seras absolument parfaite ! » Je lui souris de plus belle avant de l’embrasser à nouveau. Je guide ses mains dans mon dos pour qu’elle retire l’attache de mon soutien gorge. Après deux essais, elle y parvient et je me redresse pour le retirer pour de bon, sous son regard gourmand. J’attrape à nouveau ses mains et les fais remonter sur mon ventre, puis je les pose sur ma poitrine qui n’attendait qu’à être caressée. Mon coeur tambourine rapidement dans ma cage thoracique et je ne suis pas sûre d’arriver à être patiente très longtemps. Je me promets pourtant d’essayer. Mes mains sur les siennes, le souffle devenu plus court, je lui montre ce qui me fait perdre le nord, pendant que quelques gémissements s’extirpent de mes lèvres et que je me sens frémir sous des doigts, désireux d’apprendre. Finalement je choisis de me repositionner au dessus d’elle et commence un parcours de baisers tout le long de son corps. Je m’attarde sur sa poitrine qui m’avait laissé un goût d’inachevé tout à l’heure, puis je descends plus bas sur son ventre qui se contracte à mon passage et j’agrippe finalement les deux côtés de son shorty pour le faire glisser le long de ses longues jambes halées. Mes mains parcourent sa peau, frôlent l’endroit convoité, juste pour voir son corps se tordre de désir. Je dépose une série de baisers à l’intérieur de ses cuisses, me rapprochant de la zône sans pour autant la frôler, ou à peine avec mon souffle. Je veux qu’elle sente le désir monter, encore et encore, jusqu’à ce que je n’ai plus la patience de continuer. Et c’est alors le moment que je choisis pour m’emparer de son intimité, offerte. La réponse de son corps est sans appel, elle se cambre, gigote sous mes coups de langue experts. Je sais exactement ce que je fais, où je vais, il n’y a pas de place pour le hasard. Comme toute femme, son corps répond à certains besoins, et les points stratégiques ne sont pas différents des autres femmes à qui j’ai pu faire l’amour avant elle. Bien qu’il y ait quelque chose de différent, sans que je ne puisse dire quoi exactement. Je viens remonter ma main jusqu’à sa poitrine que je caresse sans arrêter mes baisers intimes, et de mon autre main, je viens jouer de mes doigts pour augmenter un peu le plaisir. Elle ne tiendra plus longtemps, mais j’espère que sa jeunesse lui donnera l’endurance que j’adore. J’ai envie que cette nuit n’en finisse plus. Et maintenant que j’ai goûté à son corps, je ne compte pas m’en séparer dans l’immédiat.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Jeu 14 Juil - 16:52
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« Non, plus de jeu, je ne suis pas des plus patientes ! » Plus de jeu alors. Et ça me fait peur autant que ça m’excite. Plus de jeu, que du vrai, qu’elle et moi, imaginez un peu quelle étape on passe. Je pensais que Parker se cachait derrière son côté prof, pour vivre tout ça, mais visiblement, c’est de moi dont elle a envie, et pas de son élève. Aussi brillante puis-je être. Elle a très vite compris que j’étais à niveau et qu’elle pouvait se permettre certaines choses avec moi, que je n’avais pas froids aux yeux et que j’étais tout sauf indifférente à son charme. A-t-elle aussi compris à quel point elle me plaisait ? Je ne doute pas du fait qu’elle soit assez lucide et surtout bien plus intelligente que la moyenne, pour comprendre le monde qui l’entoure, et les gens aussi, en comprendre l’essence même et en user pour parvenir à ses fins. Rien de pervers ni de manipulateur, juste un peu de malice.
Ses baisers se font plus langoureux, plus tendres, comme pour m’assurer qu’en dehors du jeu, il y avait quelque-chose de particulier. Pas de l’amour, c’est bien trop tôt, mais une attirance contre laquelle, ni elle, ni moi ne pouvons lutter. Tout mon ventre est en ébullition, mon intimité commence à en prendre conscience et de multiples picotis ne cessent de me ronger tout le bas du ventre. Je lui avoue enfin que je ne connais rien aux femmes, et elle s’arrête, prend le temps de me rassurer, d’un regard, d’une caresse, cette femme c’est pas que la tentation, c’est une perdition totale. Mais je me rattrape en lui avouant à quel point j’ai envie d’elle. « Alors je crois que ça tombe très bien… » Je soupire largement à ses baisers dans mon cou, qui me font littéralement perdre la tête. Je ne suis plus moi-même, je ne suis que ce qu’elle voudrait que je sois cette nuit, peu importe, je suis prête. « Tu verras, y’a rien de bien sorcier, et je suis sûre que tu seras absolument parfaite ! »
Elle me guide, pas à pas, et ça commence par l’épreuve du soutien-gorge. Putain c’est pas un truc dont tous les mecs se ventent ça ? De pouvoir le dégrafer d’une main ? Moi je ne sais pas faire ça, mais les braguettes n’ont pas de secret pour moi… Je tente une fois, et rate, contrariée, puis la seconde fois est la bonne et là, victoire ! Elle retire le tout et nous en sommes au même point question fringues qu’il nous reste à retirer. Je regarde tout son corps au-dessus du mien. Mon regard se perd dans la beauté infinie de ses courbes. Putain qu’elle est belle, c’est juste irréel. Elle guide mes mains sur son corps, doucement, de son ventre à sa poitrine, et je m’applique à reproduire les mêmes gestes qu’elle. De mes pouces, je caresse ses tétons durcis par le désir, lentement, mais avec insistance et volupté. Je la sens déjà ressentir un peu de plaisir, et c’est une agréable surprise. Mon regard se perd dans le sien, malgré sa beauté, c’est son regard qui attise toutes mes convoitises. C’en est fini de mon apprentissage, elle me fait retomber sur le dos et reprends sa position initiale, elle décide que c’est à elle de prendre les devants, qu’il en soit ainsi. Je la laisse faire, levant les bras au-dessus de ma tête pour attraper mon oreiller. Ma poitrine lui est totalement offerte, je me cambre, lui tends mon buste en me cambrant et quand elle descend le long de mon corps, je ne peux retenir un léger gémissement de plaisir. De ma main libre, je caresse son bras, encore sur mes seins, que j’ignorais être aussi sensibles, en tout cas de la main d’une femme, mais l’effet est tellement différent quand il s’agit d’elle… elle retire mon shorty, bordel de dieu… C’en est fini de toute lucidité. Je suis complètement nue, face à elle, et je n’en n’éprouve pas la moindre gêne, juste une déconcertante liberté. Celle de plaire, celle d’être moi-même et de ne pas avoir à jouer de rôle. Je n’ai pas de nom en ce moment même, je n’ai aucun nom à honorer, aucune réputation à préserver. Je suis toute à elle. « Parker… » Je glisse une main dans ses cheveux, avec douceur, quand elle tourne autour de mon intimité, c’est aussi agaçant qu’excitant.
Lassée de prendre sur elle et de tourner autour du pot, elle me prend en bouche. Sa langue chaude sur mon intimité déjà prête à l’accueillir me rend toute chose et cette fois-ci, je ne peux retenir un gémissement aigüe, et ma main de se refermer sur sa nuque, juste entre mes jambes. Ses cheveux recouvrent ma peau, mon bassin se cambre, tout mon corps est incapable de tenir en place et je ne cesse de murmurer son prénom comme pour l’encourager. Je serais de toute façon incapable de formuler une phrase correcte. Sa main rejoint ma poitrine, et encore une fois ça m’arrache un soupire de plaisir, cette femme est le diable. Je cherche sa main libre de la mienne et entremêle nos doigts, les serrant autant que le plaisir est fort. Elle se défait de cette étreinte par la suite pour ajouter ses doigts experts à ses mouvements de langue, et cette fois-ci, c’est la fin. Impossible de revenir en arrière, ma vision se trouble, tout mon corps tremble, ma tête explose et mon désir aussi. Je jouis, pleinement, entièrement, dans sa bouche, et ne peut réprimer ma voix. Ce n’est que quand elle se redresse pour m’embrasser qu’elle parvient à étouffer mon plaisir, en tout cas le bruit qu’il peut causer. Mon corps continue de se tortiller. Je la regarde dans les yeux, le regard lointain, les pupilles dilatées comme si je venais de prendre un rail et ne m’attendais pas à un deuxième assaut. Elle poursuit avec ses doigts, au creux de moi-même, m’arrachant un second orgasme, les yeux dans les yeux. « Bordel, Parker, t’es pas… humaine… »
Je dois lui rendre la pareille, et je suis on ne peut plus nerveuse. Encore tremblante, mais à présent raide dingue de son corps, de ses gestes… D’elle, bien malgré moi, et je sais qu’il m’en faut peu, je glisse une main sur sa joue et l’embrasse, en douceur, mordillant sa lèvre inférieure, puis à mon tour, je descends une main sur ses hanches, caresse doucement son dos du bout des doigts en remontant jusqu’à sa nuque et de la main dont je ne me suis pas encore servie, la prends par surprise en la glissant dans son sous-vêtements. La barrière de son élastique n’en n’est plus une, une fois que mes doigts eurent pénétré sa petite culotte. Je caresse sa peau, en surface, excitant du bout de l’index, son bouton de plaisir. Je sens son regard se troubler, et j’en suis plutôt fière. J’embrasse son cou, délicatement, toujours la main à l’intérieur de son sous-vêtement et pousse mes gestes pour la caresser de façon encore un peu plus intime. J’attends qu’elle ne s’agace, encore un peu, pour cette fois-ci rendre mes gestes plus langoureux, plus profonds, plus intimes. Je dépose de légers baisers dans son cou, cherchant à contraster de douceur face à l’assaut de mes caresses répétées. J’attends qu’elle me guide, d’être sûre d’être sur la bonne voie… Nous avons toute la nuit… Et bien plus, je l’espère…
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Ven 15 Juil - 12:46
❝ Let me teach you something❞ Parker & Lukas
Je la rassure, du moins, je fais au mieux pour qu’elle se sente le plus à l’aise possible. Je ne veux pas qu’elle stresse, qu’elle se mette à trop réfléchir. Je sais pertinemment que lorsque ce sera terminé, elle pensera que finalement, c’était facile, naturel, et peut-être même qu’elle appréciera plus encore ce moment que celui passé avec certains jeunes hommes avant moi. Je l’espère en tout cas. Jusqu’à présent, personne ne s’est jamais plaint de mes talents à faire l’amour, bien au contraire, et loin de moi l’envie de m’en vanter. Je fais juste les choses avec une passion dévorante, et je suppose que c’est le secret de la réussite. Lorsque la belle italienne vient caresser ma poitrine, je la laisse prendre ces marques sur moi, sur ma peau, l’attrait de la nouveauté je suppose. Elle me regarde, partout, laissant aller ses yeux sur les courbes de mon corps mais bien vite elle ancre son regard dans le mien, avec une puissante inouïe faisant accélérer mon rythme cardiaque de manière considérable. L’envie est trop importante et je ne tarde pas à replonger sur elle pour la dévorer de baiser plus ardents les uns que les autres. Je la dévore, toute entière, et m’en délecte jusqu’à la dernière bouchée. « Parker… » Je souris de l’entendre prononcer mon prénom. De sa bouche et dans cette intonation, c’est absolument divin, jouissif. Alors je ne cherche plus à résister et plonge directement sur son intimité pour lui offrir sans doute quelque chose qu’elle n’a jamais reçu avant cette nuit. Je finis par m’aider de ma main, juste pour que le plaisir vienne plus rapidement, et c’est le cas. Ses muscles se contractent, sa respiration se bloque juste après un gémissement plus poussé, plus long, plus rauque. Son corps est brûlant et son goût exquis. Je retrouve sa bouche, mon corps frôlant le sien, nos poitrines se rencontrant à nouveau dans une sensation particulièrement agréable. Mais j’ai du mal à être rassasiée, et ma main retrouve très vite le chemin de son intimité, laissant deux doigts s’immiscer en elle à nouveau pour asséner un nouveau coup. Quelques minces minutes à peine et un nouvel orgasme la saisit, l’enveloppe, alors que mon regard n’a pas quitté le sien une seule seconde. « Bordel, Parker, t’es pas… humaine… » Je ris un peu et l’embrasse tendrement, remontant ma main le long de ses courbes que je caresse du bout des doigts.
A son tour, elle vient caresser mon visage, m’embrasse avec une fougue certaine et vient même mordiller ma lèvre inférieure ce qui a le don de m’exciter d’avantage. Ses mains me parcourent et sans que je ne m’y attende réellement, elle enfouit une main dans mon sous-vêtement, pendant que j’étouffe un gémissement de surprise tout contre ses lèvres. Mon ventre se contracte immédiatement lorsque le bout de son doigt entre en contact avec le centimètre carré le plus sensible de mon anatomie. Elle connaît son corps, il n’y a pas meilleur secret, c’est bien pour cette raison que deux femmes se donnent souvent bien plus de plaisir qu’un homme et une femme, pour la simple et bonne raison que les femmes connaissent leur propre corps et savent exactement où se diriger pour faire plaisir à leur partenaire. Je peine à garder les yeux ouverts tellement j’ai envie de plus, d’encore, elle doit bien le sentir de toute manière, ce n’est pas quelque chose qui se cache, surtout là où elle a sa main. Je me cambre un peu plus lorsqu’elle caresse une partie un peu plus large de mon intimité et je grogne légèrement, me sentant véritablement impatiente. Lukas semble le comprendre et elle s’immisce en moi d’une facilité déconcertante alors qu’un gémissement de plaisir s’extirpe d’entre mes lèvres entre-ouvertes. J’ai chaud, horriblement chaud et j’ai même l’impression que cet infime morceau de tissus me tient plus chaud qu’un plaid combiné à une cheminée en plein hiver. D’une main, je viens baisser mon string en dentelle pour le faire glisser le long de mes jambes et je m’en débarrasse comme je peux, plaquant ma main sur celle de Lukas pour qu’elle ne s’arrête surtout pas. Toujours à califourchon au dessus d’elle, à genoux sur le lit, je me cambre un peu plus encore pour lui offrir une vue intéressante sur cette position équivoque. Je me redresse sur mes genoux, mon corps désormais à 90° du sien puisqu’elle est encore allongée sur le lit. Je récupère sa main libre pour venir la poser sur mon sein et de l’autre, je lui fais comprendre qu’elle ne doit pas s’arrêter. Je déplie son pouce et l’incite à venir caresser mon bouton des plaisirs en même temps qu’elle continue ses va-et-vient divins. « Continue… t’arrête surtout pas Lukas… surtout pas… » Mon bassin ondule sur elle alors qu’elle a une vue parfaite sur mon corps. Les yeux clos, je me mords la lèvre inférieure si fort que je pourrai bientôt la sentir saigner. Je finis par me laisser tomber au dessus d’elle à nouveau, mon visage au creux de son cou. De quelques murmures, le souffle saccadé, je l’incite à poursuivre ses gestes même si je sens qu’elle va bientôt tétaniser d’utiliser les muscles de son bras d’une manière qui ne lui est pas habituelle. « Lukas… je… han putain…. » Mes muscles se contractent tous en même temps, pendant qu’une chaleur inouïe m’enveloppe. Je suis prise d’un soubresaut violent et j’étouffe mon dernier gémissement dans le creux de son cou. L’orgasme est puissant, attendu, divin. Je lâche un petit rire amusé alors que je peine à retrouver un souffle convenable. « Félicitations… » Je me redresse juste à peine pour pouvoir plonger mon regard dans le sien et lui sourire. « Tu sais maintenant faire jouir une femme, si j’avais le temps je ferai un diplôme, mais j’ai d’autres idées avant… » J’attrape sa jambe et la replie sur elle-même, immisçant une de mes jambes pour les entremêler. C’est alors que nos bassins se rapprochent, nos intimités brûlantes se frôlent, se cherchent. J’ai envie de partager tellement de choses avec elle, mais pour le moment, le plaisir est le maître mot, et je ne m’arrêterai pas avant de l’avoir totalement épuisée.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Ven 15 Juil - 19:11
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A croire qu’elle trouverait grâce dans tout ce que je fais. Je vais visiblement dans la bonne direction et le fait même de suivre ses indications semblent suffire à faire de moi une parfaite maîtresse. Loin de moi l’idée d’égaler quelconque expérience qu’elle aurait eu par le passé, mais peut-être aurais-je le désir de laisser une part de moi-même sur elle. Je n’ose imaginer la place que je peux occuper dans sa trame de vie, sans doute un peu plus maintenant que plus tard, mais je ne veux rien laisser au hasard, rien louper et me conduis non seulement comme une parfaite petite élève, mais également comme une amante que je veux passionnée. Je le suis, en tout cas pour elle, je me rends compte pouvoir tout être, pour peu qu’elle en émette le souhait.
Mes caressent semblent obtenir l’effet escompté, étant donné qu’elle se cambre de plaisir et que son intimité toute entière semble appeler plus, d’avantage, encore et toujours d’avantage. Pour se faire, elle se redresse, et retire son sous-vêtement, un peu comme elle le peu étant donné son corps qui ne réagit que par plaisir et non plus sur commande. J’aime le savoir, j’aime la sentir comme ça, sous mes gestes, me sentir aussi un peu responsable de sa perte de contrôle, c’est tellement grisant sur une femme comme elle. Elle se redresse sur moi-même, se dresse sur ses genoux et m’incite à poursuivre, comme si je risquais de grosses représailles pour arrêter, et je sais qu’elle serait capable de me menacer. C’est ce que j’aime, ce côté entier, elle ne vit qu’à 100 à l’heure ou pas du tout. Encore une fois, elle me guide et déplie ma main pour que je puisse à la fois titiller la zone la plus sensible de son corps, tout en explorant l’intérieur d’elle-même avec volupté. Je ne me fais pas prier et accentue mes mouvements, ma respiration se fait plus forte à la voir se tortiller autour de mes doigts. « Continue… t’arrête surtout pas Lukas… surtout pas… » Je ne m’arrête pas, et amplifie une fois de plus mes mouvements, ajoutant à ça une main baladeuse, sur son sein, dont je caresse le téton durcit avec un peu d’insistance. J’admire cette vue et m’excite tout autant à la voir prendre autant de plaisir que moi à le ressentir ou presque. Est-ce que me voilà déjà amoureuse ? Je préfère ne pas répondre à ce genre de questions et laisser aller mon esprit à Parker, mon esprit et tout le reste de mon corps. Elle se penche sur moi, incapable de tenir en place étant donné l’énergie que lui demande de subir tous ces assauts. J’accélère le rythme, refuse de la ménager et en tire le gros lot, son orgasme, sa jouissance pleine et entière, dans le creux de mon cou, alors que mon bras menace de céder. « Lukas… je… han putain…. » Je ne peux m’empêcher de rire, un rire franc, heureux, sincère. Un rire qui fait du bien. A bout de souffle, je viens glisser une main sur sa joue quand elle me fait face et me souris. « Félicitations… Tu sais maintenant faire jouir une femme, si j’avais le temps je ferai un diplôme, mais j’ai d’autres idées avant…» «Ah tu as des idées ? Je ne demande qu’à apprendre moi… » Pour répondre à ma demande, elle remonte une de mes jambes et s’insère entre les miennes. Je sens sa féminité toute entière frôler la mienne dans une délicieuse caresse qui me demande un peu de concentration pour ne pas sombrer. Je la laisse faire, passant une main dans mes cheveux en soupirant, pour ne pas sombrer tout de suite. Puis je la retourne sur le dos, reprenant l’avantage. De baisers délicats, du bout des lèvres, je dépose de petits baisers le long de sa peau, commençant par sa poitrine, remontant ensuite dans son cou, que je mordille très légèrement. D’une douceur infinie toujours, je descends sur son ventre, laissant à chaque fois mon souffle chaud parcourir sa peau, et mes mains libres agir comme bon leur semble. D’une, je cherche la main de Parker, de l’autre, je caresse le dessous des cuisses de ma maîtresse. « Laisse-moi te montrer ce que j’ai retenu… » D’un sourire coquin, je descends sur son bassin, armant mes lèvres de curiosité, pour définir chacune de ses courbes. Puis je libère mes dix doigts et les glisse sous ses fesses, caressant sa peau, de façon un peu plus insistante. Du bout de mes lèvres, je glisse sur son intimité déjà prête à me recevoir. Je la tire un peu vers moi pour ajuster l’intérieur de ses cuisses à ma position et le bout de ma langue viens glisser sur son intimité la plus profonde, puis répète mes assauts érotiques tout autour de son bouton de plaisir. De ma main, ou plutôt de mon pouce, je la prends, là, sans prévenir et aspire entre mes lèvres son bouton des plaisirs, le caressant de ma langue quand je le laisse échapper d’entre mes lèvres, puis recommence, encore… et encore…
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Sam 16 Juil - 11:11
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Je l’entends rire, signe qu’elle semble fière d’elle, de ce qu’elle a accompli, et clairement, elle peut l’être. Pour une première fois, croyez-moi que c’est réussi. La plupart des femmes avec qui j’ai couché et pour qui c’était la première fois se contentaient de se laisser faire mais étaient bien incapables de faire qui que ce soit à leur tour. Je sens que Lukas est attentive, qu’elle veut bien faire, qu’elle veut me rendre la pareille. Et c’est très agréable. Ce qui me donne forcément envie de continuer. M’épuiser seule, ce n’est pas drôle. Donner du plaisir à quelqu’un est fortement plaisant, mais quand ça ne va que dans un sens, on se fait chier quand même. « Ah tu as des idées ? Je ne demande qu’à apprendre moi… » Je souris d’avantage, amusée par ses paroles, son côté coquin et malicieux. Elle me plait, beaucoup, sans doute même un peu trop au vue des circonstances. Je suis sensée être sa prof. Est-ce qu’on finit tous au lit avec sa prof ? Je n’en suis pas certaine. Sûrement le fantasme prof/élève, ça doit y jouer. Je reprends les choses en main et me positionne de manière à m’emboîter parfaitement avec elle pour que nos féminités se trouvent au plus proches, pouvant ainsi se caresser, se faire l’amour. J’ondule mon bassin contre le sien et mes doigts s’enfoncent dans sa cuisse sous le plaisir ressenti. Je ferme les yeux et de ma main libre je viens caresser sa poitrine à pleine main, avide de sensations plus puissantes. Je commence à gémir mais elle ne me laisse pas le temps de finir ce que j’avais commencé que déjà elle prend appui pour me renverser sur le côté et prendre le dessus. Frustrée que ce moment de plaisir n’ait pas atteint son apogée, je réouvre les yeux pour la regarder et lui murmure avec un regard puissant « Tu vas le regretter ma jolie… » Je me force à ne pas sourire mais je réponds à chacun de ses baisers. J’espère qu’elle a une meilleure idée pour régler cette histoire de frustration, parce que clairement je boue de l’intérieur et tout mon corps cherche le contact du sien. Je viens même entourer mes jambes autour de son buste et relève mon bassin pour chercher un contact intime, j’en redemande, évidemment.
Heureusement Lukas reprend clairement les choses en main et quand ses lèvres trouvent ma poitrine, je lâche un soupir de soulagement, de plaisir aussi. Mes doigts s’infiltrent dans sa chevelure quelque peu emmêlée par le début de nos ébats et je me mords fermement la lèvre inférieure en me cambrant légèrement, l’incitant à continuer sur cette voie. Elle descend encore plus et mon ventre se contracte à son passage pendant que mon souffle se fait plus court. Elle vient récupérer ma main à laquelle j’entremêle mes doigts pour les serrer un peu, lui montrant toute l’envie qui m’habite. « Laisse-moi te montrer ce que j’ai retenu… » Je souris et baisse un peu les yeux pour la regarder avec une complicité certaine. « Voyons si tu es une bonne élève ! » J’arque un sourcil et ris un peu et la laisse me caresser délicatement. Je suis prise d’un long frisson et à l’instant où ses lèvres entrent en contact avec mon intimité, tout mon corps réagit dans une contraction incontrôlable, accompagné d’un gémissement tentant d’être contenu dans ma gorge. Elle réajuste sa position et reviens à la charge, me prenant en bouche de manière subtile. Tout mon être réagit à ses caresses intimes et je ne cherche plus à contenir mes râles de plaisir. Il faut bien qu’elle prenne conscience qu’elle est foutrement douée. Elle se glisse soudainement en moi et encore une fois, tout mon être réagit « Oh putain… » Je viens glisser une main dans ses cheveux délicatement, loin de moi l’idée de la guider cette fois, elle se débrouille très bien toute seule. Elle reproduit à la perfection les gestes que j’ai pu faire avec elle tout à l’heure, je trouve même ça dingue qu’elle ait réussi à analyser en même temps quelle prenait son pied. Je la sens déjà se délecter de mon bouton des plaisir comme d’un petit bonbon et je succombe. « Oui… continue comme ça ma belle, contin… Anh… » Elle vient de laisser aller ses dents très légèrement et c’est jouissif. Elle accélère ses mouvements et je la guide à peine d’une ondulation très légère de mon bassin alors que mes gémissements se font plus rapides, plus saccadés, plus bruyants aussi. « Lukas… » Et voilà qu'une forte chaleur s’invite dans la totalité de mon corps, ce dernier se contractant dans un dernier assaut de sa langue. Un nouvel orgasme, plus puissant encore que le précédent. Je peine à reprendre mon souffle alors que la jeune femme remonte pour venir m’embrasser. J’enroule mes jambes autour d’elle et en fais de même avec mes bras, la laissant enfouir son visage dans mon cou. « Laisse-moi respirer une seconde… » Je ris légèrement et après quelques secondes je reviens l’embrasser langoureusement. « Tu peux être fière de toi jeune demoiselle… » Je lui souris, tendrement, et reviens l’embrasser à nouveau. Sauf que je suis loin d’être rassasiée. « Tu es fatiguée ? » La lueur dans ses yeux semble me répondre par la négative et je lui souris, amusée, conquise. Oui, conquise. « Je pense pas avoir encore grand chose à t’apprendre, mais pour être encore meilleure, il faut pratiquer. Je peux te montrer à nouveau si tu as un doute. Tu as un doute ? » J'adore ce côté joueur que nous avons instauré…
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Sam 16 Juil - 18:51
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« Tu vas le regretter ma jolie… » « Mais pas toi… » Glissais-je entre deux baisers. Elle est frustrée, pour le moment, même si j’aurais été la dernière à me douter que la couper dans son élan aurait pu avoir tant d’effet. C’est peut-être que je lui plais un peu plus qu’elle ne veut bien le dire. Qui sait. Je retourne la situation et prends l’avantage, chose dont elle n’a absolument pas l’habitude. J’adore la surprendre, et j’imagine que c’est le genre de femme qui en a tellement connu que la prendre à son propre jeu est un exploit. Je descends sur son corps, avec une douceur infinie, ce n’est plus un défi, ou alors celui de faire du bien, de plaire, de séduire, pas de gagner. Celui de faire l’amour. Chacune de ses courbes passe sous mes lèvres et je ne perds rien de ce que je rencontre.
« Voyons si tu es une bonne élève ! » Elle me met en doute ? J’arque un sourire et relève les yeux vers elle, d’un air de défi. Je vais lui montrer que je suis non seulement une bonne élève mais une maîtresse on ne peut plus dévouée. Parker est de ce genre de femmes qu’on ne veut pas décevoir, qu’on veut impressionner et à côté de laquelle on ne se sent pas totalement à la hauteur. Mais cette nuit change la donne. Elle se donne entièrement à moi, et même si je ne comprends pas tout à fait pourquoi, je ne compte pas la décevoir. Le moindre contact avec son intimité fait d’elle une victime de mes lèvres et déjà elle est sur le point d’atteindre un nouvel orgasme. Intérieurement, j’en suis on ne peut plus fière. Elle se retient, je le sens, et ma main d’appui se rapproche une fois de plus de ses côtes, comme pour ne pas perdre une seconde le contact de sa peau contre la mienne. « Oh putain… » C’est son signal, celui qui veut dire que je ne suis pas loin et que je suis une vraie garce d’en user, mais qu’elle en redemande. Je sais lire entre chacune de ses expressions et soupirs, j’ai comme l’impression de la connaître déjà. C’est très troublant. J’ai l’impression de ne jamais vraiment avoir su faire l’amour. En tout cas pas comme elle me le montre. Je m’attaque à la partie la plus érogène de son anatomie et elle semble m’en remercier par quelques gémissements et quelques paroles. « Oui… continue comme ça ma belle, contin… Anh… » Quelle plus belle satisfaction de l’entendre perdre la tête, perdre ses moyens et en redemander, c’est bien la preuve que je suis dans la bonne voie. « Lukas… » Ca y est, cette fois, elle semble lâcher totalement prise. Elle ne se retient plus et accepte de jouir sans retenu, me procurant, à moi, un sentiment de satisfaction plein et entier. Je la laisse succomber au plaisir et remonte sur ses lèvres pour être au plus près d’elle. Je l’embrasse, tendrement, comme pour me fondre en elle, dans son regard, et ses bras et ses jambes m’emprisonnent contre elle. J’adore ça. Je me repose alors contre elle, dans son cou, une main dans son cou, l’autre à enserrer le draps, je tremble, moi aussi, et je la sens trembler tout autant contre moi. « Laisse-moi respirer une seconde… » Moi aussi j’ai besoin de reprendre mon souffle et je me serre contre elle, caressant la peau de son bras du bout des doigts, comme pour calmer le jeu quelques temps. « Tu peux être fière de toi jeune demoiselle… » « Je suis pas si mauvaise élève alors. » Je ris, pour moi-même, dans son cou, embrassant sa peau avant d’expirer fortement de plaisir, de fatigue, mais surtout de bonheur. « Tu es fatiguée ? » « Tu peux me réveiller… » Cette fois-ci, je la défie, tout en caressant son visage, du bout des doigts, avec une tendresse que je n’ai jamais adressée à personne encore. « Je pense pas avoir encore grand chose à t’apprendre, mais pour être encore meilleure, il faut pratiquer. Je peux te montrer à nouveau si tu as un doute. Tu as un doute ? » « Mais je doute en permanence ! » Nous sommes déjà on ne peut plus complice, et c’est ce qui me change de toutes les autres relations. Ce n’était que du paraître, comme le veut mon monde, de belles personnes en apparences pour le côté bling bling mais des étrangers qui ne partagent rien au fond. Avec Parker, c’est différent, on partage des choses, en dehors de nos corps, je crois que nous nous comprenons d’une certaine façon.
Je l’incite à poursuivre, à bout de forces, et surtout sur le point de ne plus supporter la chaleur qui règne dans cette pièce. « Je meurs d’envie de prendre une douche, pas toi ? » Pour le moment, je me délecte de la savoir rien qu’à moi. Elle s’est remise sur moi et je ne demande que son approbation pour changer de contexte. Je glisse une main douce sur son visage que je dégage de quelques mèches de cheveux rebelles qui lui barrent la vue. Je me contente de soulever ma tête pour attraper ses lèvres des miennes, encore et encore. Je glisse mes mains dans le creux de ses reins, puis sur ses fesses, auxquelles je me raccroche, que je caresse avec envie. Elle voulait me montrer un truc tout à l’heure, m’en apprendre encore un peu plus et je relève une jambe contre ses hanches pour lui permettre de se coller à moi, de partager nos intimités qui ne cessent de hurler leurs envies. A mon tour, j’ondule mon bassin contre le sien et laisse mon souffle court s’échapper à son oreille, tandis que je niche mon visage au creux de son cou, comme un refuge, un cocon que je ne veux pas quitter.
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Sujet: Re: let me teach you something [luker] (#) Dim 17 Juil - 18:57
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Elle est douée, très douée, peut-être même trop douée au vue de mon palpitant qui explose dans ma poitrine, de mes envies d’encore, de mes pensées qui m’échappent pour ne penser qu’à elle, ses doigts, ses baisers, sa peau sucrée. Ma tête tourne et c’est un nouvel orgasme qui me saisit de plein fouet, puissant, véritable, entier. Un de ceux qui ne nous arrive pas tous les jours et pas avec n’importe quelle partenaire. Je récupère Lukas dans mes bras le temps de reprendre mon souffle, calmer les battements de mon coeur et sentir mon corps se détendre doucement. Je tremble encore sous la crispation de mes muscles. « Je suis pas si mauvaise élève alors. » Je ris avec elle et la sensation est grisante, entendre les tintements de nos rires sincères, apaisés. C’est plaisant. Plus encore. Je soupire très légèrement avant de lui demander si elle est fatiguée. « Tu peux me réveiller… » Je la regarde, droit dans les yeux et souris à cette étincelle de malice qui me plait bien plus encore que je ne le voudrais. Je lui propose de lui montrer encore deux ou trois choses, bien qu’elle semble être déjà bien à l’aise dans sa nouvelle situation de femme à femme. « Mais je doute en permanence ! » J’arque un sourcil, amusée, alors qu’elle reprend ses baisers on ne peut plus équivoques et l’envie de prend en flèche. Je retourne à nouveau la situation et me délecte de sa peau désormais salée par la légèrement pellicule de transpiration. « Je meurs d’envie de prendre une douche, pas toi ? » « Une douche, c’est une bonne idée ça… » lui dis-je en la dévorant toujours de baisers plus adents à mesure que les secondes passent. Elle relève sa jambe et je m’immisce entre les siennes pour que nos intimités puisse se frôler, danser l’une contre l’autre pour un ballet divin et hautement sensuel. Il ne faudra pas longtemps pour que de nouveaux cris de plaisir raisonnent dans la pièce que j’espère insonorisée. A bout de souffle, je suis obligée de me redresser tellement j’ai chaud. J’essaie de me faire de l’air avec ma main mais en vain. « Une douche, vite ! » Je ris et laisse Lukas nous mener le chemin.
Evidemment, inutile de vous dire que la douche ne passera pas à l’as et qu’elle est le témoin, elle aussi, de nos ébats torrides. Je n’arrive plus à m’arrêter, la faim de son corps est plus forte que la fatigue. C’est après une nouvelle succession de plaisirs partagés que nous sortons de la douche. Ça fait un bien fou. Lukas se laisse tomber sur le lit, nue, encore ruisselante de petites perles d’eau. Elle est magnifique. Je m’approche et la regarder, là, debout, la dominant par ma taille. Ses yeux se ferment et je la rejoins simplement pour déposer un baiser sur ses douces lèvres et passer une main tendre dans ses cheveux. « Tu peux dormir ma belle… » Un murmure, d’une voix tendre et apaisante. Il ne faudra pas plus de quelques secondes pour que sa respiration s’intensifie comme étant celle du sommeil. Elle vient de sombrer dans les bras de Morphée. Je souris et reste là, allongée sur le ventre à la regarder pendant quelques minutes. Et puis finalement, je décide de me lever sans faire aucun bruit. Je me rhabille et cherche quelque part un morceau de papier et un crayon. Sur ce dernier, je griffonne quelques mots ‘Déjà hâte de notre prochain cours.' Je n’ai pas besoin de signer. Je la regarde encore quelques minutes et prends la poudre d’escampette le plus doucement possible, pour ne pas la réveiller. Elle m’en voudra sûrement d’être repartie aussi vite que je suis arrivée, mais je crois que je que je lui ai donné vaut bien plus encore qu’une nuit complète à ses côtés.