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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 You lucky little prick ! - ft. Dwight

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MessageSujet: You lucky little prick ! - ft. Dwight (#)   You lucky little prick ! - ft. Dwight EmptySam 25 Nov - 0:43


YOU LUCKY LITTLE PRICK !
dwight ashmore & dan hawker
Long soupire qui traverse mes lèvres alors que je me frotte la nuque du plat de la main. Laissant rouler mes cervicals sous mes doigts dans l’espoir de me défaire de cette tension qui s’anime dans mon dos depuis le début de la soirée. Le cou craque sous le mouvement de ma nuque, lorsque je penche la tête un peu à gauche, puis à droite. Je redresse la tête tout en gardant ma paume contre mes cervicales, chaleur bienfaitrice qui soulage un peu la douleur. C’est une douleur régulière, qui revient un peu trop souvent à mon gout et ce depuis plus de quatre ans. Je note dans un coin de ma tête que je devrais peut-être voir un ostéopathe pour voir si j’ai un souci quelque part. J’ai lu une fois dans un bouquin de gonzesse à deux balles que l’on trouve dans les salles d’attente, qu’il fallait en voir un au moins une fois par an. Je suis loin du compte… La dernière fois que j’en ai vu un, c’était pour cette douleur aux côtes lorsque j’étais rentré d’Irak. Comme quoi… ce n’est pas tout frais et ça ne me rajeunit pas non plus.

D’une main j’attrape la dernière chaise encore sur ses pieds la secouant un peu pour laisser glisser au sol les éventuelles saletés laissé-là par les clients ce soir. « Encore une bonne soirée ! » Avouais-je pour Dwight encore derrière le bar surement à faire le compte de la caisse. A savoir la recette du jour. Dans l’ensemble ça avait été une bonne soirée. Nous n’avions pas eu affaire à une bande d’ivrogne ou à un combat de coq. « T’es attendu ce soir où t’as le temps pour une bonne bière et une petite partie de cartes ? » Je regardais le brun, la main toujours posée sur la chaise attendant qu’il réponde, prêts à redescendre la chaise en fonction de sa réponse. C’était monnaie courante et il fallait être franc. Dwight était l’un des rares gars avec lequel j’avais autant de bons rapports depuis que j’avais quitté l’armée. Après tout, un dicton disait que ce n’était pas la quantité qui comptait, mais bien la qualité. Et si je n’avais pas une idée précise de la qualité de notre amitié. Elle était pourtant suffisante pour qu’il me fasse confiance au point de me donner un emploi dans son affaire, mais aussi pour que je sois son second. Ce petit Jiminy cricket sur son épaule, son garde-fou, cette force tranquille dont il a parfois besoin. Et ce n’est pas un rôle qui me dérange alors, why not ?

Je porte mon verre de bière jusqu’à mes lèvres tout en attendant que le brun joue, puisque c’est à son tour. Je garde ma bière un peu en suspend devant mes lèvres le fixant lorsqu’il lève les yeux vers moi et qu’il a son petit regard d’enculer. J’le sais, il va m’entuber, j’ai déjà perdu ! Les jeux sont faits. Lorsqu’il abat les cartes devant moi je manque de m’étouffer avec ma bière reposant le verre un peu brutalement sur la table dans un claquement qui raisonne dans tout le pub vide. Le rire de Dwight qui perse déjà mes tympans alors que je me lève si brutalement de ma chaise qu’elle tombe en arrière. « Tu t’fou d’ma gueule c’pas possible ! T’as des cartes dans ta manche !! » Je lâche rageusement mes cartes encore en main sur la table lui montrant ma main qui était pourtant déjà très bonne. « Remonte tes manches, j’veux être sûr que tu t’fou pas d’ma gueule p’tit con ! » Je le pointe du doigt tout en disant cela. Un sourire qui vient sur mes lèvres aux milieux de ma colère d’avoir encore perdu. Il sait très bien que je plaisante, quoi que … je suis tellement en rage de perdre face à lui que je voudrais vraiment qu’il remonte ses manches.
25/11/2017
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MessageSujet: Re: You lucky little prick ! - ft. Dwight (#)   You lucky little prick ! - ft. Dwight EmptySam 9 Déc - 5:30


YOU LUCKY LITTLE PRICK !
Dan & Dwight
Depuis tout petit, tu tends à réfuter les moindres signes d'autorité à ton égard, qu'ils viennent d'ici ou d'ailleurs. Tu te rappelles encore de ce pauvre professeur au bord du burn-out, allié au fait de devoir être réduit à l'assistant social d'un établissement à la mauvaise réputation, qui t'avait rudement ordonner de prendre la porte après quelques mots crus échangés. Et tu t'exécuta,l'écouta à la lettre et au sens propre du terme, au summum de l'effronterie pour les acclamations d'une classe hilare et  un vulgaire avertissement dans le dossier, peine perdue pour une ligne rouge déjà bien franchie. Deux mois plus tard, t'étais viré, libre comme l'air, en marge pour bien du monde, pour la simple et bonne raison que tu n'avais de cesse de répéter que tu ne serais jamais un énième pion dans ce vulgaire monde. T'étais jeune et con oui. Ça traînait encore dans les bacs à sable que t'avais le droit de te manger du « rémi sans familles » à longueur de temps.. Les mômes sont ingrats et la règle est intemporelle. Mais quand tu sais qui sont les principaux acteurs de ce genre de lavage de cerveau, t'es bien content d'avoir bénéficier de tes « carences affectives ». On ne pourra pas dire que tu as hérité de la connerie d'un tel ou de la mocheté d'un autre et c'est déjà pas mal. Et malgré tes nombreuses conneries, tu pourras toujours te vanter d'être parti de pas grand chose pour arriver, grâce à l'indépendance précoce, là où tu en es aujourd'hui. T'as pas chômé pour reprendre cette affaire là où elle avait été laissé après ton arrivée. Et peut-être que c'est la raison pour laquelle tu as tout de suite fait confiance à Dan. Entre loups solitaires, vous vous êtes vite compris, bien que plusieurs différences convergent entre vous, pour le meilleur fort heureusement. C'est sûr, ça ne fait pas des lustres que vous avancez ensemble, mais l'idée de le considérer comme le veilleur de tes nuits ne te dérangent pas. Il a une histoire, comme un paquet d'humains. Ses plaques te fascinent, mais t'aimes pas jouer les curieux. Puis se faire quelquefois remettre à sa place par plus costaud que soi est toujours favorable. Il suffit de voir comment s'est terminé la dernière soirée où il était de repos. Outre la présence d'Alexy, peut-être que tu ne serais pas parti au quart de tour s'il avait été dans les parages, ou si, mais pas seul contre les deux colosses. T'en sais rien, mais pour laisser le vieux bouc te taper sur les doigts, toi le gérant, c'est que tu ne peux contester l'âme bienfaitrice du pote et collègue moralisateur en aparté. Tu pars du principe que ce n'est pas par hasard si vos routes se sont croisés; s'il y a une personne à considérer ici depuis ton arrivé, c'est bien ton second. Professionnellement parlant, humainement surtout.

Preuve est-elle que ce soir, tout s'est déroulé à merveille. Bondée il y a encore peu, la salle est désormais vide, l'entrée mise sous verrous et vos deux âmes seules s'occupent à animer le bar sur les fâcheuses tâches, la plonge et la comptabilité de ton côté, le sale boulot pour Dan. Le ménage n'étant pas ton fort, avec le balai dans ses mains, il ne lui manque plus que la tenue de bonne et la perruque pour engraisser son p'tit air de Mary Poppins. Il te remerciera plus tard pour l'augmentation. Il en vaut bien tout les mois pour l'aide qu'il t'apporte, mais vous n'êtes pas du genre à vous faire des déclarations d'amour. Enfin.. " Tu sais comment m'attendrir toi. " Rétorques-tu aussi ironiquement que sensuellement, petit sourire en coin quand tes yeux peinent à quitter la caisse. Il était bien deux heures passées, tu n'avais pourtant aucunement envie de rentrer chez toi, Morphée ne t'ayant toujours pas tendu ses bras. Un hold'em ne se refuse évidemment pas et tu n'as plus réellement l'esprit à copiner avec les clientes depuis que tu as remis le couvert avec ton ex à l'arrière du bar il y a quelques semaines. Enfin, "remis le couvert"... pas sûr que la brune partage ton point de vue pour le coup, mais en attendant, tu sais que ta libido et ta force tranquille ne semblent toujours pas vouloir s'en remettre. Moins l'on t'en parlera, mieux tu te porteras. Une fois libéré de tes tâches, tu laisses le brun vous servir en breuvage pendant que tu t'actives à aller chercher la mallette de poker.

Quatrième main, vingt dollars pariés de part et d'autre de la table, jetons réduits considérablement de son côté. Il faut dire, non sans prétention, qu'il faut mieux s'allier à un british que de parier contre lui dans le domaine. Pourtant, t'es loin d'être le meilleur pour bluffer. Malheur à lui quand la chance te sourît, tu poses ton jeu après l'avoir suivi dans son élan de confiance. Main que tu remportes sur une quinte quand monsieur pouvait enfin se vanter d'un brelan. Mauvais joueur comme il est, tu ne peux que pouffer de rire face à sa réaction presque disproportionnée. Las Vegas, D arrive. " Bibi est riche ! On devrait jouer plus souvent encore, tu crois pas ? " Dis-tu en trempant tes lèvres dans ta Guinness. Par de grands gestes provocateurs, tu lui exposes tes bras à présent découverts, pendant qu'il s'active à mélanger de nouveau les cartes. " Pour ce qu'il en est, tu peux toujours parier ta bécane. " Balance-tu d'un coup de tête vers le jeu de clés qui traîne en bordure de table. " J'te paierai le taxi, promis. Ça vaut mieux que de te retrouver dans la banque alimentaire quand j'vois où passe ton salaire du soir. " Tu réagirais sûrement de la même manière à sa place, mais tu ne peux t'empêcher de pousser le bouchon un peu plus. En toute amitié !


Emi Burton
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